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Connaissez vous bien la Sego....... ??

 
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gaillard



Inscrit le: 05 Juil 2006
Messages: 117
Localisation: LIMOUSIN

MessagePosté le: 04-02-2007 11:50    Sujet du message: Connaissez vous bien la Sego....... ?? Répondre en citant

Evelyne Pathouot, ancienne attachée parlementaire de Ségolène Royal dans
les Deux-Sèvres, révèle dans un livre témoignage un peu plus de deux ans
de sa vie au quotidien (1995-1997) avec celle qui aspire aujourd'hui à
gouverner la France. Ségolène Royal, ombre et lumière *, sera en librairie
le 8 février. Le Figaro Magazine vous offre en exclusivité ces extraits.






Qui est Ségolène ? « Sujet tabou, explique sa collaboratrice. Elle a
verrouillé ses codes d’accès. Il fallait les décrypter, c’est pourquoi mon
livre n’est pas un pamphlet, mais un portrait, où je n’avance rien qui ne
soit vérifié ni vérifiable. Ségoliste convaincue au début, j’ai, peu à
peu,


découvert une personnalité dont j’ai préféré me séparer. En cette veille
d’élection présidentielle, avant que les électeurs ne la choisissent ou ne
la rejettent, j’entends qu’ils sachent qui elle est. Car il y a Dr Royal
et Miss Ségo. Nul ne pourra dire qu’il n’a pas été prévenu. »


Tout commence à l’automne 1995, à la mairie de Beauvoir-sur- Niort.
Employée d’une association – Ruravive –, Evelyne Pathouot vient expliquer
à Ségolène Royal certains problèmes de la région. Intéressée par ses
propos, la députée lui propose de l’embaucher. Evelyne commence « de
manière informelle » en décembre 1995. Rien n’a été défini sur le plan
juridique. Début janvier 1996, surprise...


Au moment d’établir mon contrat, Ségolène m’expliqua qu’elle ne serait
sans doute pas en mesure de me verser un salaire équivalent à celui que je
percevais avec Ruravive. Sur le moment, cela ne m’inquiéta pas outre
mesure. Elle avait sans doute épuisé son indemnité parlementaire et tout
rentrerait dans l’ordre quand les services de la questure de l’Assemblée
nationale débloqueraient des fonds. En attendant, Mme Royal avait une
solution de « dépannage » grâce à l’un de ses « camarades », trésorier
d’une association de type loi de 1901 : Poitou 93.


Cette structure me verserait un complément de salaire. Je pourrais ainsi
rester auprès d’elle, officiellement engagée à mi-temps. J’avais donc un
demi-emploi légal et un demiemploi


au statut moins... net.


Hormis la petite sensation désagréable d’avoir été un peu « baladée », je
m’accommodai de cette proposition un peu « limite » en me disant que
c’était une solution temporaire. Il est vrai que ce genre de « petits
arrangements entre amis » était encore assez courant à cette époque même
s’il était le plus souvent fustigé par ceux-là mêmes qui y avaient
recours. Il m’était revenu de contacter mon autre « demi-patron », le
trésorier de Poitou 93, une association créée dans la petite commune de
Melle, le 20 avril 1990, et présidée par Ségolène Royal. Ségoliste
convaincu, ce responsable d’association était cependant suffisamment
lucide pour être agacé par la manière dont on usait de lui comme d’un «
intendant des volontés royales ». Aux premiers mots échangés, je
m’aperçus, avec stupéfaction, qu’il ignorait tout de mon existence, tout
de la situation nouvellement créée et que Ségolène ne lui avait rien dit.
Je pris sur moi et, essayant de garder mon calme, je me décidai à
expliquer le plus fermement que je le pouvais : « Ségolène m’a assurée que
vous étiez disposé à prendre en charge la moitié de mon salaire. » Il
blêmit, se leva de son bureau et se mit à arpenter la pièce contenant mal
ce qui commençait de ressembler à une grosse colère. Au bout de quelques
minutes, il explosa : « Elle est folle, complètement folle ! Avec ses
histoires, on va tous finir en prison. »


Suite au refus de l’association, Ségolène propose à Evelyne de lui verser
le solde de son salaire de la main à la main. C’est à prendre ou à
laisser. Elle prend... La députée multiplie les poses de premières pierres
et les inaugurations. Elle n’a que peu de temps pour s’occuper du suivi
concret


des dossiers, car elle ne dispose d’aucun endroit pour travailler. Elle ne
possède pas de studio sur place et, plutôt que de descendre dans un hôtel,
préfère loger chez les militants.


On sortait du placard le service des jours de fête, on allait chercher à
la cave une bonne bouteille. Pour ne pas faire d’envieux, on conviait des
voisins ou des camarades de parti. A l’arrivée, l’addition était plutôt
salée pour des gens le plus souvent modestes. Mais de cela, Ségolène
n’avait pas la moindre idée. Elle s’imaginait que c’était l’ordinaire de
ses hôtes et c’est tout juste si elle ne s’attribuait pas le mérite de
l’apparente prospérité de sa circonscription où la poule au


pot n’était pas réservée au dimanche seulement. Et honneur à celui qui la
recevait trop bien ! Il aurait certainement droit à une nouvelle visite. A
cette époque, Ségolène n’aimait pas trop non plus s’embarrasser de
bagages. Elle voyageait avec le strict minimum. Aussi, quand il faisait
froid, elle n’hésitait pas à enfiler les charentaises du grand-père dès
que celui-ci était monté se coucher.


Et puis, elle profitait de ces agapes pour tenir réunion sur réunion.
Après son départ, la maison ressemblait souvent à un véritable champ de
bataille, mais elle, elle n’était pas peu fière d’assumer ce rôle d’élue
de proximité. Comme elle ne disposait pas de voiture et qu’elle ignorait


visiblement qu’on peut en louer une auprès d’établissements spécialisés –
c’est l’hypothèse basse que je préfère retenir –, un militant ou une
militante était réquisitionné pour lui servir


de chauffeur et la convoyer du matin jusqu’au soir.


Sitôt mon contrat signé, c’est à moi qu’échut cette mission qui allongeait
indéfiniment mes journées de travail « à mi-temps ». Avec deux problèmes
supplémentaires à la clé. D’abord, et au début du moins, Ségolène semblait
ignorer superbement qu’il est nécessaire de faire, de temps à autre, le
plein d’essence et que les stations préposées à cet effet ne distribuent
pas gratuitement


le précieux liquide qui sort de leurs pompes, comme le font avec l’eau les
fontaines Wallace de Paris. Il me faudra beaucoup de temps et de doigté
pour l’avertir de cette mauvaise nouvelle.


Tout se passait bien sauf... à la fin de chaque mois, car je devais lui
réclamer le complément de salaire qu’elle s’était engagée à me verser de
la main à la main. Je me retrouvais transformée en mendiante sollicitant
d’une bonne âme le secours financier dont elle a besoin pour nourrir les
siens.


C’était là une démarche profondément humiliante, dont je me serais
volontiers passée car elle me faisait sentir la précarité de mon statut et
ma totale dépendance à l’égard de ma « demi-employeuse ». Et, à chaque
fois, Ségolène Royal semblait presque étonnée de me voir exiger mon dû,
même si j’y mettais certaines formes.


Très vite, je découvris qu’elle entretenait des rapports plutôt singuliers
avec l’argent. A la manière de son mentor, François Mitterrand, elle
n’avait jamais de liquide sur elle. Parfois, avant de repartir pour Paris,
elle m’invitait à boire un verre au buffet de la gare. Comme deux amies de
longue date, nous discutions autour d’un Perrier jusqu’au moment où,
s’apercevant que l’heure avait tourné et qu’elle risquait de manquer son
train, elle se levait précipitamment, me faisait « au revoir » avec


un petit signe de la main et... me laissait régler l’addition.


Scène sur le vif, au bureau, dans la permanence. Nous étions au téléphone
et, pour la première fois, Ségolène me parlait d’un ton cassant, quasiment
méprisant. Selon l’expression consacrée, elle me passait un savon, au
motif que ma maladresse, pour ne pas dire mon incompétence, risquait fort
de priver notre fameux comité d’expansion de la manne européenne. Elle
s’était rendue à Bruxelles en toute confiance, assurée de pouvoir étudier
avant son départ le dossier contenant l’ensemble des pièces qu’elle devait
soumettre à ses interlocuteurs. Or, elle ne l’avait pas reçu suffisamment
tôt parce que j’avais omis de l’envoyer à temps. J’avais devant les yeux


le reçu de la poste prouvant que je lui avais bien fait parvenir à temps
le fameux dossier. J’avais même avancé sur mes deniers personnels l’envoi
du Chronopost. Je préférai néanmoins


laisser passer l’orage.


Pour la première fois, je venais de faire les frais de son interprétation
personnelle du divertissement pascalien. Car je l’apprendrai
ultérieurement, Ségolène était en « représentation


publique ». En effet, lors de ce fameux coup de téléphone passé depuis son
portable, elle se trouvait dans le TGV en compagnie de Jacques Delors.
Sans doute avait-elle voulu déclencher chez son compagnon de voyage une
réflexion admirative en lui exposant ses difficultés d’élue de terrain.
Entourée de maladroits et d’incompétents, elle était obligée de veiller au
moindre détail et de réparer les erreurs commises dans son dos. De quoi
éventuellement susciter les encouragements de son interlocuteur et
quelques sagaces conseils sur la manière dont elle devrait diriger son
équipe. Elle avait, je le suppose, choisi de s’affirmer de la sorte.


Elle me raccrocha donc quasiment au nez et je m’attendais à ce que sa
prochaine visite dans les Deux-Sèvres ne soit pas pour moi une véritable
partie de plaisir. Je me trompais lourdement.


Vingt minutes plus tard, le téléphone sonna à nouveau. C’était Ségolène
qui, cette fois, minaudait et bafouillait quelques excuses embarrassées.
Elle regrettait de s’être emportée et m’embrassait.


Il n’était plus question du fameux Chronopost. Elle me donnait
l’impression de se conduire comme une petite fille prise en faute qui
cherchait à se faire pardonner.


Du grand art ! Et je tombai dans le panneau. J’aurai d’ailleurs l’occasion
de constater qu’elle utilise volontiers cette « stratégie » pour désarmer
ses adversaires. Et elle sait merveilleusement


dissimuler cette tendance « colérique » en endossant, parfois
inconsciemment, le rôle de la faible créature égarée dans un univers
impitoyable d’hommes tous plus machistes les uns que les autres.


Elle est parfois une sorte de saint Sébastien criblé de flèches auquel le
sens de l’honneur ordonne qu’on le délivre de ses bourreaux. Cela lui
permet d’esquiver certains coups bas ou de placer ses adversaires en
position de faiblesse. S’ils la critiquent, ce n’est pas parce qu’elle a
tort ou parce qu’ils ont une autre vision de la société. Non, elle est, en
tant que femme, en tant que mère, en tant que Ségolène, la victime
d’odieuses machinations qu’on épargne à ses rivaux. Cette posture
victimaire ne se traduit pas exclusivement chez elle par « des cris et des
larmes ». Elle en joue pour éluder toutes les questions embarrassantes...


Au cours de l’été 1996, Evelyne est devenue assistante parlementaire en
titre, dépendant de l’Assemblée nationale, mais, pour engager une personne
supplémentaire, Ségolène médite de la faire rémunérer par EDF. La
stupéfaction du responsable juridique de l’entreprise mettra un terme à
cette velléité... Quelques mois plus tard, victime d’un accident
vasculaire cérébral, Evelyne est en congé de maladie. Ségolène Royal lui
garantit son paiement, quand arrive la fiche de paie de février 1997, où
figure cette mention : « Suspension de salaire ».


Je décidai de faxer tous les documents aux services administratifs de
l’Assemblée, et ses agents, particulièrement férus en matière de droit
social, s’aperçurent rapidement qu’il y avait irrégularité.


Devant la gravité des faits, Madame la députée fut convoquée pour
s’expliquer. C’était une affaire qui risquait de lui nuire politiquement
et Ségolène dut rendre des comptes. Cela me valut évidemment de sérieuses
réprimandes. Sitôt sortie de son entretien avec les services
administratifs du Palais- Bourbon, elle m’appela, folle de rage.


J’avais semé la zizanie et j’étais la dernière des idiotes car je ne
comprenais rien. Visiblement, la précarité éventuelle de ma situation
financière ne semblait plus l’émouvoir. Ainsi, quand je lui expliquai que
la suspension d’un mois de salaire était une véritable catastrophe, elle
me


rétorqua simplement : « Mais Evelyne, vous avez une pension alimentaire !
»


De tout ce que j’ai pu entendre de Ségolène durant toute la durée de notre
travail en commun, c’est probablement la phrase qui m’a le plus choquée.
Comment cette femme, estampillée militante de la cause des femmes et qui
prétend même aujourd’hui faire bouger les choses très vite


(comme d’habitude...) sur cette question si elle est élue présidente de la
République, pouvait-elle considérer une pension alimentaire comme un
privilège et non comme un droit ? Et puis, de quel droit se
permettait-elle de s’immiscer dans ma vie privée sous le fallacieux
prétexte de ne pas me payer mon salaire alors que, dans le même temps,
elle percevait mes indemnités journalières ? Visiblement impressionnée par
ma réaction, elle finit par changer de ton, adoptant celui de la petite
fille égarée dans un monde trop compliqué pour elle. Elle s’excusa en
m’expliquant qu’elle ignorait tout des démarches administratives et me
promit que tout allait s’arranger...


Mai 1997, Jacques Chirac dissout l’Assemblée nationale. Ségolène est
réélue. Lionel Jospin s’installe à Matignon, Ségolène devient ministre
déléguée, chargée de l’Enseignement scolaire,


sous la houlette de Claude Allègre. L’ambiance est assez tendue, car elle
propose à ses trois collaboratrices des contrats « Education nationale ».


Nous étions surprises, car nous ne comprenions pas, même avec la meilleure
volonté du monde, en quoi notre mission de propagande ségoliste à Melle
pouvait se rapprocher du service public de l’Education nationale. De plus,
ces contrats étaient pour le moins singuliers. N’y figuraient ni la date
de début d’engagement, ni la durée et l’intitulé du poste, et encore moins
le salaire. La légalité de ces contrats était incertaine car, même
ministre déléguée, Ségolène ne pouvait passer


outre certaines règles de recrutement de la fonction publique. Tout cela
me rappela ses promesses d’embauche par Poitou 93 ou EDF...


Les trois jeunes femmes refusent. Peu de temps auparavant, elles avaient
songé à alerter la presse sur les « curieuses conceptions du droit social
» de la nouvelle ministre.


Sentant la tension monter, Ségolène nous invita à déjeuner pour nous
narrer par le menu son installation rue de Grenelle. Elle tentait son jeu
de la séduction auquel j’avais déjà tellement


succombé...


Le patron du restaurant était très heureux de la recevoir. Madame la
ministre fut saluée comme il se devait et se conduisit avec une apparente
simplicité. Elle n’était pas en représentation mais avec des « ami(e)s de
longue date », qu’elle entendait régaler de bons plats et du récit de ses
nouvelles aventures parisiennes.


Je pensais que plus rien ne pourrait me surprendre venant de sa part,
quand soudain, elle proféra, avec une insouciance totale des propos qui,
dix ans plus tard, me paraissent toujours


inqualifiables. Alors qu’elle évoquait certaines de ses déclarations sur
la pédophilie dont la presse avait fait grand bruit et qui avaient assis
sa réputation de femme d’ordre et d’autorité, elle se félicita elle-même
d’avoir eu « la chance » – ce fut le terme qu’elle employa – d’avoir eu un
cas de pédophilie dans sa circonscription, « ce qui (lui donnait) de
l’avance sur Claude Allègre ». Le terme « chance » me semblait plutôt mal
approprié. Je ne voyais pas en quoi cela pouvait constituer pour une élue
une occasion de se réjouir, ni de l’« avance » sur un autre ministre.


Sa langue n’avait pas fourché. Elle avait tenu ces propos parce qu’elle y
croyait sincèrement, tout comme elle pensait qu’une pension alimentaire
pouvait aisément permettre à une employée à plein-temps de se contenter
d’un demi-salaire. Cette phrase, prononcée de manière anodine, opéra en
moi un véritable déclic. La séduction cessa définitivement d’opérer. Ce
fut le dérapage de trop. Dorénavant, il ne me restait de ma collaboration
avec Ségolène qu’une immense déception. Ma décision était prise, je ne
travaillerais plus jamais à ses côtés **.





* Editions Michalon, 204 p., 16 €.

** Evelyne Pathouot démissionne en 1997. L'année suivante, avec deux de
ses collègues, elle dépose une plainte aux prud'hommes pour récupérer des
salaires non versés. S'ensuivront dix années de procédure. Condamnée en
première instance, Ségolène Royal fait appel. Evelyne et ses collègues
contre-attaquent en déposant une plainte au pénal pour «travail
clandestin». Ségolène répond par le biais de deux plaintes pour «procédure
abusive» et «propos calomnieux», mais qui seront classées sans suite.


2002 : la procédure pour travail clandestin débouche sur un non-lieu et
une condamnation des anciennes employées de Ségolène Royal à une amende de
2 000 euros. Evelyne et ses collègues font appel.


2005 : l'amende est annulée. L'accusation de travail clandestin, quant à
elle, est rejetée. Insatisfaites de ce demi-succès, les trois plaignantes
se pourvoient en cassation.


Le 16 janvier 2007, succès : le jugement est annulé. Vu l'article 455 du
nouveau code de procédure civile, la cour «condamne Mme Royal aux dépens»
; et, vu l'article 700, la condamne «à payer à Mme Pathouot la somme de 1
250 euros».


C'est désormais à la Cour d'appel de Rennes de juger l'affaire
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musika



Inscrit le: 23 Mar 2005
Messages: 18472

MessagePosté le: 04-02-2007 11:56    Sujet du message: Répondre en citant

cela peut arriver, à tout le monde,
c'est vrai que quant on est candidat à la présidence de la Republique
cela fait mal.............c 'est pas très bon....
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gaillard



Inscrit le: 05 Juil 2006
Messages: 117
Localisation: LIMOUSIN

MessagePosté le: 04-02-2007 12:09    Sujet du message: Répondre en citant

musika a écrit:
cela peut arriver, à tout le monde,
...


Qu'est qui peut arriver à tout le monde ?????
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Zuti
Invité





MessagePosté le: 04-02-2007 12:44    Sujet du message: Répondre en citant

Pffffffffffffff...........pas le courage de tout lire............. Confused Confused Confused
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manany



Inscrit le: 11 Mai 2006
Messages: 6422
Localisation: puy de dome

MessagePosté le: 04-02-2007 14:06    Sujet du message: Répondre en citant

moi non plus trop long a lire............
_________________
Mets a profit le jour present (Horace)
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Z06



Inscrit le: 15 Déc 2006
Messages: 2054

MessagePosté le: 04-02-2007 14:19    Sujet du message: Répondre en citant



Ce sont des "affaires prudhomme", entre eux/elles......

Personnellement...cela n'a rien a faire ICI.

A moins que vous vouliez...faire de la politique.....et "tenter" de faire pencher la balance...pour ou contre S.R......
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gaillard



Inscrit le: 05 Juil 2006
Messages: 117
Localisation: LIMOUSIN

MessagePosté le: 04-02-2007 18:03    Sujet du message: Répondre en citant

Z06 a écrit:


Ce sont des "affaires prudhomme", entre eux/elles......

Personnellement...cela n'a rien a faire ICI.

A moins que vous vouliez...faire de la politique.....et "tenter" de faire pencher la balance...pour ou contre S.R......


je suis bien dans la rubrique politique ?? une candidate à la présidence de la république adopte des comportements méprisants à l'égard d'employées et ça vous choque pas ?
elle a fait tt le contraire de ce qu'elle défend et vous trouvez ça normal ?

je suis contre une menteuse...qui a triché trichera...et je n'ai pas le désir de voir mon pays "piloté" par une arriviste...

LES ELECTEURS ONT LE DROIT DE SAVOIR CE QUI EST CACHE ET SERA REVELE PROCHAINEMENT...AVANT DE DECIDER DE LEUR VOTE...
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musika



Inscrit le: 23 Mar 2005
Messages: 18472

MessagePosté le: 04-02-2007 18:26    Sujet du message: Répondre en citant

je te reconnais bien là Gaillard.
j'aime ta franchise. Wink
au moins quelqu'un qui assume. ses dires. Wink
non, faire pencher la balance pour ou contre, ça je n y crois pas ! Wink
S.G..........
il est tard ce soir, ............je vais réflélchir Wink
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anniec



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Messages: 2540
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MessagePosté le: 04-02-2007 18:39    Sujet du message: Répondre en citant

la (machine à perdre ) est en marche !!!!! anniec
_________________
la culture c'est ce qui reste quant on a tout oublié!
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Papy Lulu



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Messages: 313
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MessagePosté le: 04-02-2007 21:27    Sujet du message: Répondre en citant

Oeuvre de base classe...!!!Ces gens qui acceptent une mission et qui ensuite degueu.....sont des faux jetons.Si l'intéressée a été trop idiote pour rester 2 ans dans ce qu'elle décrit comme un" enfer" et a attendu 10 ans pour le faire connaitre nous ne pouvons rien pour elle!!!!!
_________________
Lorsque tu ne vois pas bien ce qu'il y a au loin..rien ne t'oblige à aller voir de pres (conseil d'un sage Berbère)
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Annick



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MessagePosté le: 05-02-2007 04:05    Sujet du message: Répondre en citant

Tout à fait d'accord avec ce qu'ont écrit Papy Lulu et Z06
Ce n'est qu'une affaire qui concerne les prudhommes, on s'en balance !
Rien qu'une affaire entre une employée et son employeur.

Et je n'ai lu que les premières lignes, pas envie de me farcir tout ce texte.

_________________

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campanule



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Messages: 6180

MessagePosté le: 05-02-2007 09:57    Sujet du message: Répondre en citant

Je suis d'accord avec toi Annick....qu'on attende les programmes des candidats avant de tirer à boulets rouges sur eux, quelqu'ils soient.
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gaillard



Inscrit le: 05 Juil 2006
Messages: 117
Localisation: LIMOUSIN

MessagePosté le: 05-02-2007 10:53    Sujet du message: Répondre en citant

quels programmes peut on attendre de politiques qui ménent les électeurs par le bout du nez depuis 19 ans (ps) 7 ans (rpr/ump) ???

j'ai la quasi certitude que l'électorat se comporte comme à l'hyper marché le jour des soldes...il n'écoute et ne voit plus rien aveuglé par la beauté du spectacle...

quand les caisses de l'état sont vides, on ne fait pas de promesses intenables...les politiques sont des experts en marketing...on vote plus sur le fond mais comme a Star Ac...

vous connaissez la SURENDETTEMENT !! et bien nous y sommes...reste plus qu'à faire passer les responsables en commission de désendettement...car la dette nous allons devoir la rembourser...j'espère que TOUS le monde paiera ....

ILS VA Y AVOIR DES LENDEMAINS DESENCHANTES....
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Annick



Inscrit le: 15 Aoû 2005
Messages: 14156
Localisation: Normandie et Bourgogne

MessagePosté le: 05-02-2007 12:18    Sujet du message: Répondre en citant

Gaillard, ce sont nous qui élisons ces hommes et ces femmes qui font notre monde politique, de quelque bord qu'ils soient .
Ne nous plaignons pas, nous sommes dans un pays démocratique

Nous n'avons que ce moyen pour exprimer notre mécontentement ou notre approbation.

Il y aura forcément un lendemain d'élection désanchanté pour une presque moitié de l'électorat.

Je pense que tu votes ?
Razz
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gaillard



Inscrit le: 05 Juil 2006
Messages: 117
Localisation: LIMOUSIN

MessagePosté le: 05-02-2007 14:44    Sujet du message: Répondre en citant

oui Annick je vote et j'assume mon choix électoral. ce que je ne ne supporte pas c'est les longues, trop longues gérémiades de ceux qui se sont faits "...." par leur candidat élu !! ts partis confondus...

les élections c n'est pas le loto, l'euromillion ou le pmu...les résultats sont là pendant cinq années....
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musika



Inscrit le: 23 Mar 2005
Messages: 18472

MessagePosté le: 05-02-2007 17:05    Sujet du message: Répondre en citant

les Etats UNIS SONT super endettés et tout le monde s'en sort bien

au moins on sait pourquoi on travaille, pour rembourser la dette.
ne soyons quand même pas trop pessimiste...



ce sont les electeurs, qui ont le dernier mot, même si on n est pas content
après leur vote, il faut faire avec.
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Annick



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MessagePosté le: 05-02-2007 17:45    Sujet du message: Répondre en citant

gaillard a écrit:
oui Annick je vote et j'assume mon choix électoral. ce que je ne ne supporte pas c'est les longues, trop longues gérémiades de ceux qui se sont faits "...." par leur candidat élu !! ts partis confondus...

les élections c n'est pas le loto, l'euromillion ou le pmu...les résultats sont là pendant cinq années....



C'est ramené à 5 années, ce qui est déjà une bonne chose, 7 ans c'était beaucoup trop long.
Tu sais, je crois que chacun d'entre nous pense faire le bon choix.

Tiens, ce soir à la télé, il y a Nicolas qui va nous regarder au fond des yeux.
Razz
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gaillard



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MessagePosté le: 05-02-2007 17:56    Sujet du message: Répondre en citant

pour séduire la femme se vêt de ses plus beaux atours....!!

l'homme use de son baratin ....!

c après la lune de miel que les choses se gâtent ... Laughing
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anniec



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MessagePosté le: 05-02-2007 18:25    Sujet du message: Répondre en citant

dans le fond, la politique c' est comme le mariage de belles promesse !!!!!!! Rolling Eyes
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Annick



Inscrit le: 15 Aoû 2005
Messages: 14156
Localisation: Normandie et Bourgogne

MessagePosté le: 05-02-2007 18:47    Sujet du message: Répondre en citant

Voilà AnnieC, c'est pareil, c'est un mariage et si on est pas content, 5 ans après on divorce ! Very Happy
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" Le bonheur ne court pas le monde; il faut vivre où l'on est heureux "
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gaillard



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Messages: 117
Localisation: LIMOUSIN

MessagePosté le: 05-02-2007 19:02    Sujet du message: Répondre en citant

il te faudra subir les assauts de l'élu jusqu'au terme du contrat...et 5 ans c long quand on aime plus...
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musika



Inscrit le: 23 Mar 2005
Messages: 18472

MessagePosté le: 05-02-2007 20:30    Sujet du message: Répondre en citant

seul sauvetage, la maladie..........ou la mort.... Wink
comme quoi, il ne faut pas tromper Wink
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Rominet1



Inscrit le: 09 Déc 2006
Messages: 93
Localisation: Touraine

MessagePosté le: 17-02-2007 23:51    Sujet du message: Quel débat ! Répondre en citant

Qu'est-ce que la politique ?

C'est tout ce qui nous divise. En lisant vos propos, je me remémore tous ces débats télévisés ou s'affrontent toujours deux clans, les un pour et les autres contre, souvent dans un tel chahut qu'à la fin du compte on repart "gros jean comme devant" sans en connaitre ni la finalité ni la conclusion.

Salut, je zappe
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musika



Inscrit le: 23 Mar 2005
Messages: 18472

MessagePosté le: 18-02-2007 14:35    Sujet du message: Répondre en citant

la politique, c est l art de gérer la socièté....

voilà QUIET........
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poete_musika..4 mains
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