Retraite Active Index du Forum Retraite Active
Ce forum s'adresse à tous les retraités et futurs retraités. Les membres de ce forum ont la possibilité de discuter de tous leurs centres d'intérêt que ceux-ci soient les voyages, les loisirs ou l'actualité, entre autres.
 
 FAQFAQ   RechercherRechercher   Groupes d'utilisateursGroupes d'utilisateurs   S'enregistrerS'enregistrer 
 ProfilProfil   Se connecter pour vérifier ses messages privésSe connecter pour vérifier ses messages privés   ConnexionConnexion 

La Poésie la plus sombre ou triste qui interpelle...

 
Poster un nouveau sujet   Répondre au sujet    Retraite Active Index du Forum -> litterature
Voir le sujet précédent :: Voir le sujet suivant  
Auteur Message
Jan Goure



Inscrit le: 18 Juil 2006
Messages: 1865

MessagePosté le: 02-04-2007 15:19    Sujet du message: La Poésie la plus sombre ou triste qui interpelle... Répondre en citant

A feuilleter la seule poésie Française déjà, on réalise vite la résonance en nous de tous ces poèmes qui expriment des non dit, des détresses, des désespoirs souvent…
Ces poètes là ont écrit avec leurs tripes, avec leurs cœurs blessés, avec une âme meurtrie même si un Espoir apparaît en filigrane dans leur œuvre !

Quand F. Villon écrit la « Ballade des pendus » il est au bout du rouleau…

« Frères humains, qui après nous vivez,
N'ayez les cœurs contre nous endurcis,
Car, si pitié de nous pauvres avez,
Dieu en aura plus tôt de vous mercis.
Vous nous voyez ci attachés, cinq, six :
Quant à la chair, que trop avons nourrie,
Elle est piéça dévorée et pourrie,
Et nous, les os, devenons cendre et poudre.
De notre mal personne ne s'en rie ;
Mais priez Dieu que tous nous veuille absoudre… »

Pas de comparaison avec le si joli « Printemps » de Ch D’Orléans, à la même époque ; Lui, il est bien dans sa cour, bien dans sa peau :

« Le temps a laissé son manteau
de vent, de froidure et de pluie
Et s’est vêtu de broderie
de soleil brillant, clair et beau …»

C’est joli, c’est clair, c’est frais : on prend plaisir à cette lecture, mais l’on est moins bouleversé et marqué à vie par le poème de Villon ?

Ronsard n’était pas euphorique non plus, dans ses odes ?
Ode à Cassandre :

« Donc, si vous m’en croyez mignonne
Tandis que votre âge fleuronne
En sa plus verte nouveauté
Cueillez, cueillez votre jeunesse
Comme à cette fleur la vieillesse
Fera ternir votre beauté… »

Incitation au Bonheur ? oui, car il passe si vite…
Paul Fort plus tard l’a dit aussi :

« Le bonheur est dans le pré
cours y vite, cours y vite
cours y vite, il a filé… »

Quand Malherbes vint, de quoi l’on se rappelle si bien,
Sinon de :
« Mais elle était du monde, où les plus belles choses
Ont le pire Destin
Et rose, elle a vécu ce que vivent les roses
L’espace d’un matin… »

Il n’est jusqu’à Lafontaine qui nous sert avec ses « deux pigeons » :

« Deux pigeons s’aimaient d’amour tendre… »
ça commence bien, mais l’un des deux s’ennuyait au logis
et cela finit très mal :

« Hélas ! quand reviendront de semblables moments ?
Faut-il que tant d’objets si doux et si charmants
Me laissent vivre au gré de mon âme inquiète
Ah ! si mon cœur osait encore se renflammer !
Ne sentirais-je plus ce charme qui m’arrête ?
Ais-je passé le temps d’aimer ? »

Plus tard, arriva la première grande poétesse : Marceline Desbordes-Valmore
Qu’est-ce qui nous interpelle le plus dans son œuvre ?
ce « Qu’en avez-vous fait ? »

« Vous aviez mon cœur
Moi, j’avais le vôtre
Un cœur pour un cœur
Bonheur pour bonheur !

Le vôtre est rendu ;
Je n’en ai plus d’autre
Le vôtre est rendu
Le mien est perdu… »

Et cela se termine on ne peut plus mal ?

« Savez-vous qu’un jour
L’homme est seul au monde
Savez-vous qu’un jour
Il revoit l’amour… »

Avec ce final :

« Et l’on vous dira :
‘Personne… elle est morte’
On vous le dira
Mais qui vous plaindra ? »

Et cette chanson détaillée par Julien Clerc sur un poème de M. D-Valmore :
: « Les séparés »

« N'écris pas, je suis triste et je voudrais m'éteindre
Les beaux étés sans toi, c'est l'amour sans flambeau
J'ai refermé mes bras qui ne peuvent t'atteindre
Et frapper à mon cœur, c'est frapper au tombeau
………………………………………………….
N'écris pas, n'apprenons qu'à mourir à nous-mêmes
Ne demande qu'à Dieu, qu'à toi si je t'aimais
Au fond de ton silence, écouter que tu m'aimes
C'est entendre le ciel sans y monter jamais
N'écris pas … »

Et on en arrive à ceux qui se sont voulus ‘Romantiques’…
Alphonse de Lamartine, certains l’ont dit larmoyant
Tellement étaient tristes ses poèmes ?
Dans « Le lac » dont nous avons tous récité les vers, il commence
par de la tristesse et de la résignation ?

« Ainsi toujours poussés vers de nouveau rivages
Dans la nuit éternelle emportés sans retour
Ne pourrons-nous jamais sur l’océan des âges
Jeter l’ancre un seul jour ? »

Cet « océan des âges » qui ne l’a jamais évoqué ?

Et cette invite à profiter sans perdre du temps
De tout ce qui est beau, de tout ce qui est bon :

« Aimons donc, aimons donc ! de l’heure fugitive
Hâtons nous, jouissons !
L’homme n’a point de port, le temps n’a point de rive
Il coule et nous passons ! »

Et dans « Le Vallon », poème à l’identique :

« Mon cœur lassé de tout, même de l’espérance
N’ira plus de ses vœux importuner le sort
Prêtez-moi seulement vallon de mon enfance
Un asile d’un jour pour attendre la mort… »

Fut-il si gai, Victor Hugo ? dans la « Tristesse d’Olympio »

« Que peu de temps suffit pour changer toutes choses
Nature au front serein, comme vous oubliez !
Et comme vous brisez dans vos métamorphoses
Les fils mystérieux où nos cœurs sont liés !
………………………………………………….

Car personne ici-bas ne termine et n’achève
Les pires des humains sont comme les meilleurs
Nous nous réveillons tous au même endroit du rêve
Tout commence en ce monde et se finit ailleurs »

Et ce qui est dédié à ‘Didine’ sa fille morte :



Demain, dés l'aube, à l'heure où blanchit la campagne,
Je partirais. Vois-tu, je sais que tu m'attends.
J'irais par la forêt, j'irais par la montagne.
Je ne puis demeurer loin de toi plus longtemps.

Je marcherais les yeux fixés sur mes pensées.
Sans rien voir au dehors, sans entendre aucun bruit,
Seul, inconnu, le dos courbé, les mains croisées,
Triste, et le jour pour moi serra comme la nuit.

Je ne regarderais ni l'or du soir qui tombe,
Ni les voiles au loin descendant vers Harfleur,
Et quand j'arriverais, je mettrai sur ta tombe
Un bouquet de houx vert et de bruyère en fleur

Arrivent ensuite Verlaine, Nerval, Baudelaire
de pire en pire et pourtant du meilleur !
à suivre...
Jan
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé Envoyer un e-mail
Annick



Inscrit le: 15 Aoû 2005
Messages: 14156
Localisation: Normandie et Bourgogne

MessagePosté le: 02-04-2007 16:00    Sujet du message: Répondre en citant

Bonjour Jan,

Je n'aime pas trop Villon et ce vieux français.
Je me souviens de Horus qui avait mis ce poème sur le forum sans indiquer qu'il était de François Villon, dont je connais le nom mais pas les écrits, et ma première pensée a été : "quel charabia !"
Razz

Charles Aznavour a chanté :
"Deux pigeons s'aimaient d'amour tendre
Mais l'un deux a quitté leur nid
Qu'ils sont longs les jours de l'attente
Longues sont les nuits sans toi"

Ronsard n'a pas mes faveurs non plus.

Victor Hugo me réconcilie avec la poésie et ceux qui suivront, très certainement.

Bisous, Jan. Wink

_________________

" Le bonheur ne court pas le monde; il faut vivre où l'on est heureux "
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
Jan Goure



Inscrit le: 18 Juil 2006
Messages: 1865

MessagePosté le: 02-04-2007 16:57    Sujet du message: Répondre en citant

Annick,

Loin des fables insipides de l'école, j'ai découvert à travers
une "vie de F Villon" ce qu'était la vraie poésie. J'avais 12 ans
un 'charabia' qui m'a emporté des siècles en arrière au temps
des 'escoliers' frondeurs, qui déplaçaient 'la borne du pet au Diable'
et j'ai eu une idée de ce qu'est l'amour...charnel, à travers la
"ballade de la grosse Margot" :
'Venste, gresle, gel j'ai mon pain cuit
Je suis paillard et la paillarde me suit..."
Je m'étonne que tu sois si révulsée à la lecture de
"La ballade des pendus" ... voila sans doute une
des frontières de la vraie poésie...
Les "deux pigeons" c'est du gnan gnan. Ch Aznavour
y a pioché pour en faire une chanson 'populaire' (sic)
Pour Ronsard, trop utilisé à l'école, je partage ton avis
Et Hugo n'est pas ma tasse de thé : trop grandiloquennt
des vers pompeux, un esprit supérieur qui ne trouve grâce
à mes yeux que quand il me touche sincèrement après le
décès accidentel de sa fille Léopoldine...
Le thème que j'aurais voulu voir débattre : parler du Bonheur
attire-t-il plus de lecteurs-Poètes et les marque-t-il
autant que les traversées du désert, la souffrance exprimée,
la résignation et la conclusion : profitez vite du bon, vite suivi par du mauvais...

Bisous Annick
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé Envoyer un e-mail
Annick



Inscrit le: 15 Aoû 2005
Messages: 14156
Localisation: Normandie et Bourgogne

MessagePosté le: 02-04-2007 18:50    Sujet du message: Répondre en citant

Jan,

Je pense aussi que c'est cela, la frontière de la vraie poésie.

Tu vois, je fais un peu une comparaison avec les vrais cinéphiles qui eux apprécient de très vieux films, allant même à trouver du plaisir à regarder des films muets, je n'aime pas (mis à part Chaplin).

Voilà pourquoi je n'aime pas lire Villon, le vieux français demande réflexion et ralentit la compréhension du texte.

Ronsard, bon c'était l'époque où l'on faisait sa cour avec des mots que je trouve désuets maintenant.

Je ne pense pas que parler du bonheur ou du malheur attire plus les lecteurs-poètes, ils en parlent peut-être mieux ou d'une autre façon à travers les vers.

A mon humble avis, je crois que ce sont les philosophes qui en parlent le mieux.

Les poètes ont écrit leurs douleurs personnelles, mais ils n'analysent pas la douleur ou le bonheur en général.

Mais je sais m'attarder sur de beaux poèmes, j'aime Hugo bien sûr, mais aussi Baudelaire, De Nerval, Verlaine...qui me semblent plus proches.


Et puis plus proches encore, Prévert et Aragon.

Et puis Bernard Dimey, que tu trouveras peut-être trop moderne.

Bisous à toi. Wink
_________________

" Le bonheur ne court pas le monde; il faut vivre où l'on est heureux "
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
Jan Goure



Inscrit le: 18 Juil 2006
Messages: 1865

MessagePosté le: 03-04-2007 13:43    Sujet du message: Répondre en citant

Annick,

Je t'ai lue attentivement; je savais déja que tu appréciais de
la bonne poésie, qu'elle soit gaie, qu'elle soit triste...
mais là n'est pas la question que j'ai voulu mettre en exergue :
De quoi se rappelle-t-on le plus dans ces poèmes lus ?
Pour ce qui me concerne, je me suis aperçu que c'était
de par mon spleen où mes propres souffrances
que je me mettais au diapason de leurs poèmes tristes
Certains vers que je n'ai jamais plus oubliés... Je vais essayer
de pousuivre ma démonstration qui m'est personnnelle et...
SGDG !

Bisous
Jan Rolling Eyes
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé Envoyer un e-mail
campanule



Inscrit le: 22 Aoû 2006
Messages: 6180

MessagePosté le: 03-04-2007 15:28    Sujet du message: Répondre en citant

Personnellement je pense que les poésies les plus tristes sont les plus lues et les plus retenues
Peut être est ce un état d'esprit.
J'aime également les poèmes plus légers qui me font rêver.
Je crois à la magie des mots.
Cependant, ceux que le préfère sont ceux qui décrivent la souffrance et le mal être du poète.
Peut être que je suis maso Exclamation


Dernière édition par campanule le 04-04-2007 14:04; édité 1 fois
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
Jan Goure



Inscrit le: 18 Juil 2006
Messages: 1865

MessagePosté le: 04-04-2007 13:48    Sujet du message: Répondre en citant

Non Campanule,
Pour moi, tu n'es pas 'maso' sinon je le suis bien plus que toi...
Cette relation avec la poésie, la vraie, je me répète un peu
a commencé par François Villon...au grand dam de notre Annick
Mdr ?
J'en ai gardé à vie, les vers de "la ballade de la grosse Margot"
parce que cela faisait fantasmer ma libido ?
mais aussi la terrible "ballade des pendus" dont les premiers
vers m'ont marqué comme au fer rouge :
"Frères humains qui après nous vivez
N'ayez contre le coeur endurci
Car si pitié de nous pauvres avez
Dieu en aura plutôt de vous mercy..."
Ce Mercy du vieux Français qui signifie pardon !

Vous ayant toutes deux Chères amies et lectrices intéressées
je vais continuer mes recherches en ce sens chez : Musset,
Rimbaud-Verlaine, les indissociables, G de Nerval et le maître
(pour moi ) Baudelaire...
Bisous à vous deux

Jan
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé Envoyer un e-mail
Annick



Inscrit le: 15 Aoû 2005
Messages: 14156
Localisation: Normandie et Bourgogne

MessagePosté le: 04-04-2007 15:37    Sujet du message: Répondre en citant

Hello Jan,

Contemporaine de F. Villon, j'aurais peut-être aimé .

Mais là, non vraiment pas !

Ou alors avec un dictionnaire de vieux français sur les genoux, mais là, toute la spontanéité de la lecture se perd .
Razz
_________________

" Le bonheur ne court pas le monde; il faut vivre où l'on est heureux "
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
musika



Inscrit le: 23 Mar 2005
Messages: 18472

MessagePosté le: 04-04-2007 17:02    Sujet du message: Répondre en citant

je ne sais pas .
_________________
poete_musika..4 mains
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
Jan Goure



Inscrit le: 18 Juil 2006
Messages: 1865

MessagePosté le: 04-04-2007 18:32    Sujet du message: Répondre en citant

"Soyez Bref !"
Devise du chef...
mdr !
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé Envoyer un e-mail
Annick



Inscrit le: 15 Aoû 2005
Messages: 14156
Localisation: Normandie et Bourgogne

MessagePosté le: 04-04-2007 20:01    Sujet du message: Répondre en citant

Very Happy Razz Very Happy Razz Very Happy Razz Mdr !!!
_________________

" Le bonheur ne court pas le monde; il faut vivre où l'on est heureux "
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
musika



Inscrit le: 23 Mar 2005
Messages: 18472

MessagePosté le: 04-04-2007 20:44    Sujet du message: Répondre en citant

mais, c 'est vrai JAN GOURE, dès fois, j'ai aucune idée,
qui me passe dans la tête.
alors,
je te mets un petit mot qui explique....ce que je pense,

voilà,
je ne sais pas Very Happy
_________________
poete_musika..4 mains
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
Jan Goure



Inscrit le: 18 Juil 2006
Messages: 1865

MessagePosté le: 05-04-2007 13:15    Sujet du message: Répondre en citant

Musika,

et moi je sais...
Je sais, qu' "t'as d'beaux yeux tu sais"
si c'est ceux de ton avatar... Tu sais bien
que je ne plaisante qu'avec ceux que j'aime bien !

Bisous

Jan
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé Envoyer un e-mail
Ninon



Inscrit le: 10 Oct 2006
Messages: 549
Localisation: Pyrénées-Orientales

MessagePosté le: 14-04-2007 04:21    Sujet du message: Répondre en citant

Personnellement j'aime bien Villon, mais beaucoup plus Ronsard, que je lis pour me faire plaisir, comme il m'arrive de relire Montaigne (je n'ai plus que les os, et ma chair décharnée...) ou de Vigny , mais c'est vrai que comme Annick, je n'éprouve pas autant d'émotion que quand je lis du Hugo, Beaudelaire, de Nerval, Rimbaud, De Musset, Desbordes-Valmore...Et j'en oubli, qui, comme eux sont plus proche de nous par le langage, et donc plus aptes à nous émouvoir...puisque entrant immédiatement dans le vif du sujet, sans besoin d'être décortiqué...

J'aime vois-tu, mais je ne me vois pas, par exemple apprendre, et réciter, un Villon, ou Vigny à mes enfants pour leur faire aimer la poésie. Very Happy

_________________
"Faut-il que je te dessine, mon sentiment tout en couleur ? Toi au centre, puis que je signe ; d’une flèche transperçant mon cœur ? Pour que tu comprennes enfin..."
(Jeannine Bartes/ Le non-dit)
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé
Jan Goure



Inscrit le: 18 Juil 2006
Messages: 1865

MessagePosté le: 14-04-2007 09:58    Sujet du message: Répondre en citant

Parfaitement défini, Ninon
On va souvent rechercher le bon sens : Boileau - Montaigne
Une philosophie Lafontaine, une relativité plus poétique Ronsard
prendre de la hauteur avec Vigny :"Grandeurs et servitudes" ou...
la mort du Loup !
Mais le coeur s'emballe, l'âme s'envole aux vraies poésies, car sortant des 'tripes' et d'une blessure profonde, comme chez ceux
que tu as cités...

Rolling Eyes Jan
Revenir en haut de page
Voir le profil de l'utilisateur Envoyer un message privé Envoyer un e-mail
Montrer les messages depuis:   
Poster un nouveau sujet   Répondre au sujet    Retraite Active Index du Forum -> litterature Toutes les heures sont au format GMT + 1 Heure
Page 1 sur 1

 
Sauter vers:  
Vous ne pouvez pas poster de nouveaux sujets dans ce forum
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Vous ne pouvez pas éditer vos messages dans ce forum
Vous ne pouvez pas supprimer vos messages dans ce forum
Vous ne pouvez pas voter dans les sondages de ce forum

Les cles du midi retraite Plan retraite


Powered by phpBB © 2001, 2005 phpBB Group
Traduction par : phpBB-fr.com