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Littérature classique

 
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campanule



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MessagePosté le: 24-09-2007 13:57    Sujet du message: Littérature classique Répondre en citant

Il y a sans doute des livres de la littérature classique qui vous ont marqués ou que vous avez aimés ?

Je me souviens de la lecture de Vipère au poing, d'Hervé Bazin, livre qui serait autobiographique ?

J'étais particulièrment frappée par la haine qu'entretenait cette marâtre immonde contre son fils, Jean, surnommé Brasse Bouillon.
Ce père : Monsieur Rezeau était complètement sous la dépendance de la terrible Folcoche.
J'ai lu le deuxième livre : la mort du petit cheval et il faudrait que je me trouve le troisième : le cri de la chouette.

Je suis allée voir l'adaptation cinématographique avec l'inoubliable Jacques Villeret et Catherine Frot mais je ne puis oublier l'interprétatiion magistrale d'Alice Sapritch en 1971 dans un téléfilm adapté par Pierre Cardinal .
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campanule



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MessagePosté le: 30-09-2007 12:12    Sujet du message: Répondre en citant

Bah, je continue

Le petit Prince de Saint Exupéry est l'œuvre la plus connue d'Antoine de Saint-Exupéry.
C'est un conte philosophique et poétique qui, sous l'apparence d'un conte pour enfants, aborde des thèmes profonds comme la vie et la mort, l'amour, l'amitié.

" C'est alors qu'apparut le renard.

- Bonjour, dit le renard.
- Bonjour, répondit poliment le petit prince, qui se retourna mais ne vit rien.
- Je suis là, dit la voix, sous le pommier.
- Qui es-tu ? dit le petit prince. Tu es bien joli...
- Je suis un renard, dit le renard.
- Viens jouer avec moi, lui proposa le petit prince. Je suis tellement triste...
- Je ne puis pas jouer avec toi, dit le renard. Je ne suis pas apprivoisé.
- Ah! pardon, fit le petit prince. Mais, après réflexion, il ajouta : · Qu'est-ce que signifie " apprivoiser " ?
· Tu n'es pas d'ici, dit le renard, que cherches-tu?
· Je cherche les hommes, dit le petit prince. Qu'est ce que signifie " apprivoiser " ?
- Les hommes, dit le renard, ils ont des fusils et ils chassent. C'est bien gênant! Ils élèvent aussi des poules. C'est leur seul intérêt. Tu cherches des poules ?
- Non, dit le petit prince. Je cherche des amis. Qu'est-ce que signifie " apprivoiser " ?
- C'est une chose trop oubliée, dit le renard. Ça signifie " créer des liens... "
- Créer des liens ?
- Bien sûr, dit le renard. Tu n'es encore pour moi , qu'un petit garçon tout semblable à cent mille petits garçons. Et je n'ai pas besoin de toi. Et tu n'as pas besoin de moi non plus. Je ne suis pour toi qu'un renard semblable à cent mille renards. Mais, si tu m'apprivoises, nous aurons besoin l'un de l'autre. Tu seras pour moi unique au monde. Je serai pour toi unique au monde...
- Je commence à comprendre, dit le petit prince. Il y a une fleur... je crois qu'elle m'a apprivoisé... "
http://actumonc.free.fr/livres/princerenard.htm



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campanule



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MessagePosté le: 30-09-2007 12:56    Sujet du message: Répondre en citant

La chartreuse de Parme de Stendhal
J'ai lu ce livre lorsque j'étais au lycée.
J'aimais y retrouver les aventures de Fabrice Del Dongo, de la duchesse Sanseverina et de la jolie Clélia Conti.
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Annick



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MessagePosté le: 30-09-2007 14:06    Sujet du message: Répondre en citant

Honte à moi, Campanule, j'ai "Le Petit Prince" chez moi et je ne l'ai pas encore lu.

Bazin, j'ai tout chez moi et dédicacé puisque j'ai eu le plaisir de le rencontrer.

Plus lointain dans le temps, Zola reste mon auteur préféré.
Il décrit de façon magistrale la dureté du monde paysan et ouvrier de cette époque, avec "La terre" et "Germinal"


De Victor Hugo, j'ai aimé avant tout "Les Misérables", bien sûr.

Et puis "Sans famille" d'Hector Malot.


En vérité, j'aimais beaucoup ce qui était triste. Sad
Mes goûts n'ont pas changé, le comique ne m'amuse pas.
Wink
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campanule



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MessagePosté le: 30-09-2007 16:52    Sujet du message: Répondre en citant

Annick, le petit Prince, je l'ai découvert avec mes enfants, c'est vrai que j'ai beaucoup aimé.
J'ai aussi apprécié Balzac : le Père Goriot en particulier.
Les Zola, j'ai tous les Rouquon-Macquart, inspirés par la comédie humaine de Balzac.
Mon préféré est Germinal.
Je suis une fille du Nord et je n'oublie pas mon Oncle, mort à 50 ans à la mine, coup de grisou.
Tu as rencontré Bazin ?
Quel personnage était-il ?
Je n'ai pas lu le dernier de la triologie : la cri de la chouette.
Bises Annick
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musika



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MessagePosté le: 30-09-2007 17:28    Sujet du message: Répondre en citant

j'ai honte de vous dire, que je n ai pas de préférence..
c'est un peu comme pour les films.....
je ne suis pas fidéle aux auteurs....

ma préférence, va quand même pour les écrivains du 20 eme siècle,
et j'ai un gros faible pour les auteur ANGLAIS Embarassed
je m acheterais bien, le livre de SEGOLENE, cela me tente...
mais pour l instant je n ose pas Wink
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Annick



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MessagePosté le: 30-09-2007 17:52    Sujet du message: Répondre en citant

campanule a écrit:
Tu as rencontré Bazin ?
Quel personnage était-il ?
Je n'ai pas lu le dernier de la triologie : la cri de la chouette.
Bises Annick



J'ai découvert Bazin vers mes 13- 14 ans et je me suis retrouvée dans Brasse-Bouillon. Sad
Ce livre a été un déclic chez moi et j'ai dévoré tous ses bouquins.

Je l'ai rencontré à un salon du livre près de Rouen, nous avons parlé de ce que nous avions en commun.
J'avais emporté tous mes livres de lui, il était baba de voir tout ce que j'avais et au salon, je lui ai acheté son dernier livre.

Pour la trilogie qui nous rapprochait, il m'a fait de très belles dédicaces.
Sur le dernier: "Le cri de la chouette", il aécrit : "Folcoche réaparaît et disparaît à tout jamais".

J'ai conservé un Paris Match où on le voit assis près du lit de sa mère en fin de vie, il la regardait, et je me suis toujours demandé à quoi il pouvait penser à ce moment là.

C'était lui, le plus détesté de la famille, qui a recueilli sa mère mourante chez lui.

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campanule



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MessagePosté le: 30-09-2007 18:40    Sujet du message: Répondre en citant

Tu as de la chance d'avoir pu le rencontrer.
As tu vu le téléfilm qui est passé à la télé ?
Je ne sais pas s'il je ne l'ai pas enregistré.

J'aime aussi beaucoup ce qu'il a écrit.
Je ne sais pas ce qu'il pensait de sa mère mais alors quelle peste.
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musika



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MessagePosté le: 30-09-2007 19:27    Sujet du message: Répondre en citant

C est toujours comme cela, les enfants maltraités adorent
leurs parents...
si Ervé Bazin racontait sa mere....c'est normal
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Annick



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MessagePosté le: 30-09-2007 19:44    Sujet du message: Répondre en citant

Oui, j'avais vu le téléfilm avec Alice Sapritch, elle y campait une remarquable Folcoche.

Un livre de Bazin, différent de tous les autres relatant plus des comportements familiaux :
"Un feu dévore un autre feu".
Un belle histoire d'amour qui se déroule dans un pays imaginaire, mais qui pourrait tout à fait être le Chili au moment de l'assasinat de Salvador Allende.

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campanule



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MessagePosté le: 02-10-2007 10:07    Sujet du message: Répondre en citant

Dans la littérature classique, il y a un livre que j'ai eu du mal à digérer, c'est Madame Bovary.
La pauvre Emma, elle passe son temps à s'ennuyer, c'est vrai qu'internet n'existait pas, mais je peux dire que j'ai eu du mal à le lire jusqu'au bout.
Mes enfant, idem.
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campanule



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MessagePosté le: 02-10-2007 10:20    Sujet du message: Répondre en citant

Un livre que j'ai étudié en terminale et que j'ai beaucoup aimé :
La peste de Camus
Nous sommes à Oran, durant les années 1940. Le docteur Rieux découvre avec étonnement que la ville est touchée par une terrible épidémie mortelle : la peste.
Les autorités prennent des mesures de sécurité et Oran se met en quarantaine : personne n'entre, personne n'en sort non plus...

Il y a un parallélisme entre la peste qui vient envahir la ville et le nazisme.

Mais il y développe aussi plein d'autres thèses comme celle de l'amitié.
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musika



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MessagePosté le: 02-10-2007 13:34    Sujet du message: Répondre en citant

oui Campanule, je me souviens d avoir lu ce livre là aussi.
je l ai lu avec du mal...d'ailleurs, j avais la volonté, mais j avais
du mal en tout.. Wink
la peste de CAMUS.
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campanule



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MessagePosté le: 09-10-2007 09:04    Sujet du message: Répondre en citant

Candide de Voltaire

Le jeune Candide, dont le nom traduit à la fois la naïveté et la crédulité vit dans le "meilleur des mondes possibles" chez son oncle, le baron de Thunder-ten-Tronckh.

Enfant naturel, Candide mène une existence heureuse dans cet univers idyllique : Le baron et la baronne de Thunder-ten-Tronckh possèdent en effet "le plus beau des châteaux". Candide est ébloui par la puissance de son oncle, et par les sophismes lénifiants du docteur Pangloss, le précepteur. Il admire également Cunégonde, la fille du baron. Tout bascule le jour des premiers ébats de Candide et de Cunégonde. La réaction du baron est brutale, Candide est banni et chassé de cet Eden. Il se retrouve dans "le vaste monde".

Candide va alors connaître :

le froid et la faim
la maladie
les catastrophes naturelles
la pauvreté
le fanatisme religieux
l'esclavage

Voltaire nous dépeint un monde où le mal est toujours présent.
Même l’innocent est entraîné dans le tourbillon. Le mal appelle le mal, le meurtre est une réponse à l’intolérance. Notre héros sera obligé de reconnaître : « Je suis le meilleur homme du monde et voilà trois hommes que je tue ».
Voltaire, plus proche du pessimisme, renonce pourtant à cette position intellectuelle. Avec Candide, il nous montre que l’innocence peut exister et surtout que le pessimisme nous pousse à l’inaction s’il n’existe aucune espérance d’améliorer notre sort.
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Annick



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MessagePosté le: 09-10-2007 10:00    Sujet du message: Répondre en citant

Merci Campanule.

Résumés par toi, on aurait presqu'envie de replonger dans nos classiques.

Je dis presque, car je n'aimais pas durant mes années de collège.
Very Happy
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campanule



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MessagePosté le: 11-10-2007 16:40    Sujet du message: Répondre en citant

Le grand Meaulnes d'Alain Fournier :

François, quinze ans, narrateur du récit, est le fils de M. et Mme Seurel, instituteurs de Sainte-Agathe, en Sologne.
Il fréquente le Cours Supérieur qui prépare au brevet d’instituteur. Un mois après la rentrée, un nouveau compagnon de dix-sept ans vient habiter chez eux.
http://www.tfmdistribution.fr/legrandmeaulnes/

Le prestige naturel de ce grand adolescent lui vaut d'être bientôt connu de tous les élèves comme "le Grand Meaulnes".
Partageant la même chambre, le nouveau venu et François Seurel, fils des directeurs, se lient d'amitié, Augustin exerçant sur le sensible François une véritable fascination.
J'ai lu ce livre, il y a très longtemps, je verrai le film avec plaisir.
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Annick



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MessagePosté le: 12-10-2007 10:31    Sujet du message: Répondre en citant

Merci Campanule,

Il me semble avoir vu le film.
Very Happy
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campanule



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MessagePosté le: 14-10-2007 15:50    Sujet du message: Répondre en citant

Le père Goriot de Balzac;

Rastignac est un jeune homme de petite noblesse. Il vient à Paris esperant y rencontrer la fortune. Mais il n'a ni l'argent, ni la connaissance de la société parisienne necessaires.

Une de ses cousines lointaines, Madame de Beauséant, une des dernières grandes dames, le prend sous son aile pour l' aider à appréhender ce monde qu'il ne connait pas.
Grâce aux femmes, il va apprendre les moeurs de cette société pervertie et en s'adaptant parviendra à en gravir les échelons.

Cependant dans ce monde déluré, un homme, le Père Goriot, est l'emblème même du désintêressement. Il se sacrifie pour ses filles, qui en retour ne lui offrent que le mépris.
Rastignac, touché par le devouement de ce père pour ses filles et voyant comment ces dernières le traitent, comprend cependant que malgré lui il devra s'adapter aux coutûmes de ces gens et agir comme eux pour parvenir au sommet.

J'ai adoré ce livre.
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Vieille Louve



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MessagePosté le: 14-10-2007 18:40    Sujet du message: Répondre en citant

ah! mes années de pension! je m'ennuyais tellement que j'étais assidue à la bibliothèque! en 7ème -je n'avais donc jamais fait d'anglais- je faisais rire les bibliothécaires en réclamant un auteur qui me passionnait: Mr chakes pé are....j'ai ADORE Mme Bovary! je partageais le même desespoir, le même ennui, jme sentais prête à faire tous les excès! Le Grand Meaulnes aussi, cette proximité de l'avenure...réelle...imaginée...? Balzac pour toutes ses descriptions si minutieuses, Zola pour cette misère que je ne faisais que pressentir...et pour les fastes dont je rêvais...mais aussi l'Iliade et l'Odyssée...les héros grecs...les tragédies...enfin, tout ce qui permet à une jeune fille, entre 10 et 14ans, de s'évader de sa morne réalité...ensuite, ce fut le temps de Sartre....
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campanule



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MessagePosté le: 15-10-2007 20:32    Sujet du message: Répondre en citant

Je me souviens avoir passé des nuits blanches à lire les cinq volumes des semailles et des moissons d'Henri Toyat.

Cette saga nous conduit de la première guerre mondiale jusqu'aux années cinquante.
C'est l'histoire d'une famille qui subit les troubles de l'histoire mais qui vit avec passion, qui rit, qui souffre et qui aime...
Ces personnages sont vivants, sensibles et on se met vite à les aimer aussi.

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Annick



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MessagePosté le: 15-10-2007 21:04    Sujet du message: Répondre en citant

Ahhh, Troyat !
Les semailles et les moissons, lus et relus.

Et "La lumière des Justes", et tous ses romans de l'époque de la Russie tsariste, quelle épopée !

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campanule



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MessagePosté le: 31-10-2007 12:51    Sujet du message: Répondre en citant

Jane Eyre de Charlotte Bronté.

La vie des soeurs Bronté n'a pas été facile.
J'ai eu l'occasion de visiter leur maison en Angleterre.

J'ai beaucoup aimé ce livre lorsque j'étais jeune, j'en ai vu une adaptation au cinéma.

Ce livre et une biographie de Charlotte.

Jane, orpheline va aller vivre chez une tante et les enfants de celle-ci la maltraitent.
Elle est envoyée dans un internat où les conditions de vie sont très dures.

Elle décide ensuite de trouver un poste d'institutrice auprès d'une famille.

Jane va tomber amoureuse du maître de maison et rêve de l'épouser mais......

[/b]
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Vieille Louve



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MessagePosté le: 31-10-2007 13:53    Sujet du message: Répondre en citant

j'adore les romancières anglaises! j'ai découvert il y a 5ou6 ans Jane Austen...la connais-tu? la description de l'Angleterre à l'époque victorienne, les moeurs, les paysages...c'est un régal!
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campanule



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MessagePosté le: 31-10-2007 17:22    Sujet du message: Répondre en citant

Non, je ne la connais pas.
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musika



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MessagePosté le: 31-10-2007 20:03    Sujet du message: Répondre en citant

bonjour Fidèle CAMPANULE, je ne passe pas souvent dans ta rubrique,
mais crois bien, que je ne t oublie pas...
tu sais, je cours, je cours........si jamais demain, j ai une heure..
je viens lire cette rubrique... Wink
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campanule



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MessagePosté le: 31-10-2007 20:57    Sujet du message: Répondre en citant

Merci Martine.
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campanule



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MessagePosté le: 02-11-2007 15:56    Sujet du message: Répondre en citant

Tristan et Iseut

Ce roman, je l'ai lu en une nuit.
J'avais 15 ans Very Happy
Tristan, jeune prince orphelin est élevé par son oncle


Ce livre relate l'histoire des amours tragiques de deux amants de Cornouailles.
Iseult et son neveu Tristan, que les lois humaines devraient séparer, liés par la puissance d'un philtre bu par mégarde, s'aimeront toute leur vie, malgré les épreuves, malgré l'éloignement, malgré leur propre remords.
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Amarange



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MessagePosté le: 02-11-2007 22:56    Sujet du message: Répondre en citant

moi j'ai lu "Le Rouge et le Noir " de Stendhal d'un trait : j'avais la grippe et confinée dans ma chambre , vers les 15 ans , je crois
je suis tombée éperdument amoureuse de Julien Sorel au point de me jurer que si un jour j'avais un fils , je l'appellerais Julien Rolling Eyes Rolling Eyes
quelques années plus tard mon mari en a décidé autrement Crying or Very sad
mais j'ai quand même donné ce nom à 1 de mes chiens Wink Wink

mais l'auteur qui m'a le plus marqué c'est sans aucun doute Hervé Bazin
Vipère au poing fut le détonnateur : qu'est ce que je détestais cette Folcoche !!!!!!!
j'ai vraiment vécu ce roman , sans raison particulière car atmosphère sereine chez moi ,

_________________

un jour à la fois
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campanule



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MessagePosté le: 02-11-2007 23:50    Sujet du message: Répondre en citant

J'étais comme toi Amarange dans ma jeunesse Very Happy Very Happy Very Happy maintenant avec mon grand âge, je continue à bouquiner mais moins qu'avant.....internet Crying or Very sad Wink
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Vieille Louve



Inscrit le: 22 Sep 2007
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MessagePosté le: 03-11-2007 08:23    Sujet du message: Répondre en citant

jviens de relire "très sage Héloïse" de Jeanne Bourin: la vie d'Héloïse et Abélard, l'amour porté à son extrême, la passion débarassée de la chair, et devenant "amour de Dieu" pour lui, et pour elle, attitude bien féminine, abnégation totale....on mesure le chemin à faire...
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HLJC



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Messages: 502
Localisation: Bordeaux

MessagePosté le: 03-11-2007 09:33    Sujet du message: Mon auteur préféré Répondre en citant

Je lis et relis StephanZweig. j'adore sa façon d'écrire .

Quelques titres: Amok , La confusion des Sentiments , le Joueur d'échec, Vingt-quatre heures de la vie d'une femme...l'Amour d'Erika Ewald.

Puis quelques nouvelles, Brûlant secret, la Pitié dangereus, La peur.

Son analyse psychologique des personnages est étonnante pour moi.


Michel
_________________


"Avoir toujours raison... c'est un grand tort"
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romane



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Localisation: DIJON

MessagePosté le: 04-11-2007 01:08    Sujet du message: Répondre en citant

J'adore égaleme,nt Stefan Zweig....sa vie, son courage, son oeuvre

j'ai lu sans discontinuer " vingt quatre heure de la vie d'une femme "

c'est court, aigu, et la pasion foudroyante....ET si bien écrit...

quel écrivain remarquable, adorant baudelaire, Verlaine, Rimbaud. Juif, il s'est donné la mort en 42 il avait quelque 50 ans....En pleine errance, fatigué, il était au brésil.....

@BIENTOT...................romane
_________________
Fais de ta vie un rêve, et d'un rêve une réalité.
St Exupéry


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emeraude50



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Messages: 1020
Localisation: nancy

MessagePosté le: 05-11-2007 16:19    Sujet du message: Répondre en citant

Tous les Zola et Hugo
en classique

actuellement, c'est moins recherché, polars et encore polars
_________________
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campanule



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MessagePosté le: 11-11-2007 15:30    Sujet du message: Répondre en citant

J'ai beaucoup aimé étudier Rabelais.

"Rire est le propre de l'homme"

C'était un humaniste et je me souviens de ses deux héros : Gargantua et Pantagruel.

Quelques citations qu'on le connait

L'appétit vient en mangeant ; la soif s'en va en buvant.»
François Rabelais

«Il y a plus de vieux ivrognes que de vieux médecins.»
- Gargantua

«La tête perdue, ne périt que la personne ; les couilles perdues, périrait toute nature humaine.»

«Ainsi sont toutes femmes, femmes.»

«Un malheur ne vient jamais seul.»

«Celui-là qui veut péter plus haut qu'il n'a le cul doit d’abord se faire un trou dans le dos.»

«Science sans conscience n'est que ruine de l'âme.»
c'était le sujet d'une dissertation au lycée.

«Tout vient à point à qui peut attendre.»

«Il n'y a qu'une antistrophe entre femme folle à la messe et femme molle à la fesse.»
Extrait de la Vie inestimable du grand Gargantu

La règle de l'abbaye de Thélème : "fais ce que voudras"
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