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serait-ce donc screugneu donc s'il fallait ah bon? mais non! quel sinon auraisje appris si celles des fonts de beurre après quoi...qui serait caressant couler si fort? ah la la! pourtant sérénissimus des jasacinés mais quoi? des ravés, des ravis, des radis, persistant turquoise exorcisant si peu...
Inscrit le: 16 Fév 2010 Messages: 9 Localisation: Berlin
Posté le: 18-02-2010 12:16 Sujet du message:
"Le plus clair de mon temps, je le passe à l'obscurcir ! "
Qui peut me dire d'où provient cette citation ? Je ne veux pas vous rendre la tâche trop facile, alors réfléchissez bien, vous avez certainement déjà lu ca quelque part
Inscrit le: 31 Jan 2010 Messages: 23645 Localisation: Est-Ouest
Posté le: 02-03-2010 20:43 Sujet du message:
L'écriture est le refuge immuable pour poser les mots du cœur, lorsque la voix ne peut retranscrire d’écho.
L’écriture, parle de la vie, sans un bruit, mais avec tous les sens que la plume et l’imagination lui prête.
Nul ne peut la souiller, la salir, l’écriture a elle seule présente toutes les vérités que l’auteur veut faire passer, avec tout le relief et l’authenticité qu’aucun discours n’aura jamais la justesse de transmettre.
Inscrit le: 31 Jan 2010 Messages: 23645 Localisation: Est-Ouest
Posté le: 03-03-2010 21:38 Sujet du message:
Soyons vigilants, ne nous laissons pas berner
Soyons méfiants dédaignons toute narration
Soyons prévoyants n’acceptons pas de nous fier
Soyons attentifs à toute manipulation
Soyons honnêtes refusons d’être manipuler
Soyons droits sauvons nous de toute corruption
Soyons arrogants, soyons fiers, de fouler au pied toute immoralité
Inscrit le: 31 Jan 2010 Messages: 23645 Localisation: Est-Ouest
Posté le: 04-03-2010 21:55 Sujet du message:
L’amitié n’a pas de prix
Et pourtant un ami à toutes les valeurs, celles venant du cœur
L’amitié sentiment noble entre deux ou plusieurs personnes
Petits et grands soucis se trouvent confiés entre amis
L’amitié vous apporte sincérité, affection, honnêteté, dévouement, droiture
Et pourtant, cette confiance peut se trouver salie, trahie
L’amitié perd toute assurance, et se change en défiance
La perception que vous aviez, se trouve alors déracinée
L’amitié, n’est plus alors que fourberie
Mais, un vrai ami, et quelqu’un de droit, de juste, de bon, en qui nous pourrons toujours donner notre confiance.
J’ai connu et connais des personnes ayant cette qualité ; cette droiture, cette bonté du cœur, que les sots ne pourront eux jamais avoir.
Inscrit le: 31 Jan 2010 Messages: 23645 Localisation: Est-Ouest
Posté le: 06-03-2010 22:19 Sujet du message:
Le monde animal renferme des trésors.
Les animaux sont dotés d’une certaine intelligence, bien que définis sans esprits.
Nombre de chiens sont dressés, chiens sauveteurs, et sauvent des vies.
Nombre d’autres sont éduqués à l’accompagnement aux personnes handicapés.
Des recherches révélèrent le bénéfice d’un animal de compagnie sur la santé.
Il est dit qu’un animal est bestial, il n’en est point.
L’homme est lui doté d’un esprit. Et pourtant,
Certains humains par leur personnalité s’abaissent au rang inférieur de l’animal.
En agissant jusqu’à se rendre méprisable,
A devenir - par des comportements, vils, bestiaux, violents, rustres, balourds,
Des êtres sans valeurs.
L’animal lui reste un animal dans toute sa beauté.
Parfois hélas, il devient agressif, enragé, violent, mais c’est un animal.
A la différence de l’homme.
Moralité : peut-on pardonner à l'homme, ou à l'animal?
A qui le premier?
Inscrit le: 31 Jan 2010 Messages: 23645 Localisation: Est-Ouest
Posté le: 09-03-2010 23:02 Sujet du message:
La nature à elle seule renferme tant de trésor, tant de beauté
Sa splendeur n’a d’égale que sa pureté
Comment l’humain peut-il se permettre de la souiller
De L’abîmer la polluer la détruire ainsi sans culpabilité
L’univers splendeur inestimable se trouve dénaturé
Le monde se trouve contaminé
Par les caprices de l’homme incontrôlable, irraisonné
Qui se veut sourd et aveugle à un tel joyau
En détruisant avec des œillères, et borné
Le diamant qu’il a à ses pieds.
Un jour l’homme subira sa bêtise
Alors il sera trop tard
Quelque part Il la subit déjà
Inconscient ne pensant qu’au rendement
Comment l’homme peut-il accepter de piétiner cette splendeur que « le Créateur » lui a offert
Inscrit le: 31 Jan 2010 Messages: 23645 Localisation: Est-Ouest
Posté le: 11-03-2010 21:32 Sujet du message:
" Les menteurs ne gagnent qu'une chose, c'est de ne pas être crus, même lorsqu'ils disent la vérité. "
Esope
Le mensonge, la pire des non réalité
Le pire des non sens
Dans celui-ci un abîme de non dit
De vraies fausses confidences et irréalité
De quoi s’y perdre à chercher à démêler la vérité
Aucune possibilité tout est enchevêtré
Mélangé, malaxé, à des fins de ne pas s’y retrouver
Inutile de chercher quelque authenticité
Inutile de se fatiguer, à deviner la réalité
Tout est dosé, millimétré, calibré
A des fins de perdre le sens de la véracité
Ne cherchez point en cet amalgame une clé
Vous vous y perdrez et vous fatiguerez
Inutilement la plus part du temps
Pourtant avec un minimum de perspicacité
De volonté, à force d'analyser, de disséquer
Vous trouverez
La clé qui démêlera le puzzle alors vous aurez gagné
Et triompherez
Vous aurez alors cette force en vous, celle de snober
De dédaignez
Le mensonge de bas en haut avec dédain, et fierté
Inscrit le: 31 Jan 2010 Messages: 23645 Localisation: Est-Ouest
Posté le: 13-03-2010 22:01 Sujet du message:
"Tout groupe humain prend sa richesse dans la communication, l'entraide et la solidarité visant à un but commun : l'épanouissement de chacun dans le respect des différences" [Françoise Dolto]
Nos différences forment un tout, et deviennent richesses
Cela si nous savons cultiver ces richesses
La nature à elle seule n’est que différence
D’un animal à l’autre, d’une fleur à l’autre
D’un arbre à l’autre, d’une montagne à l’autre
D’un pays à l’autre, d’une région à l’autre
D’une religion à l’autre
Et là, dans ces aspérités du monde se rencontrent splendeur et beauté
Dans leurs différences
Si nous savons cultiver nos inégalités, pour quelles deviennent concordantes
Nos cœurs s'enorgueillirons de savoir trouver en nos différences
Les plus grandes qualités, ainsi nait l’entraide et la solidarité
L’amour et la bonté, qui réchauffe le cœur de chacun
Comme le soleil réchauffe notre Planète
Ainsi est l’Univers, ainsi va la vie, sachons trouver
Au fond de nous les ressources pour ensoleiller notre existence
Et apporter de même à autrui un peu de ce soleil
Qui manque tant au monde d’aujourd’hui
Inscrit le: 31 Jan 2010 Messages: 23645 Localisation: Est-Ouest
Posté le: 16-03-2010 15:20 Sujet du message:
"Je connais une arme plus terrible et plus meurtrière que la calomnie, c'est la vérité"
[J. Crétineau-Joly]
La calomnie, sillonne ruelles et quartiers
En semant son venin empoisonné
En cherchant à déprécier
Celui ou celle qu’elle essaie de discréditer
Elle se donne un mal fou à réaliser
Ce chef d’œuvre d’impureté
De bouche à oreille la zébrure est tracée
Tel un corbeau en pleine envolée
Sans relâche en continuité
La calomnie essaiera de déshonorer
D’avilir, salir et endommager
Mais, le temps passe, les années défilent
Et ce fléau risque de s’épuiser
Par manque de crédibilité
Et cette poupée aux membres désarticulés
D’avoir trop irrité, contrarié
Va se casser
Alors Ouf, nous seront sauvés
Inscrit le: 31 Jan 2010 Messages: 23645 Localisation: Est-Ouest
Posté le: 20-03-2010 22:14 Sujet du message:
Les saisons
Chaque saison en une palette merveilleuse
Apporte ses plus belles parures
Multitude de tons offerts par la nature
Tableaux sublimes à jamais égalés
Douceur des tons, douceur de l’esprit
Tant de joyaux projetés dans la lumière
Le printemps
A lui seul renforce notre vitalité
Dans son écrin de verdure
L’hiver
Lui avait endormi cette énergie
L’été revigore, et stimule l’esprit
Plein d’entrain et de gaieté
Nous nous laissons baigner par sa chaleur
L’automne arrivant la nature retrouve son calme
Les feuilles jaunissent, tombent à la pelle
Dame nature se repose enfin
L’hiver reprend sa place, enveloppant
La nature de son grand manteau blanc
Et ainsi vont les saisons, au fil des ans, au fil du temps
Mais pour l’instant, réjouissons nous, c’est le printemps
Inscrit le: 31 Jan 2010 Messages: 23645 Localisation: Est-Ouest
Posté le: 22-03-2010 00:49 Sujet du message:
Mais non Lilas, c'est parce que depuis très jeune c''était mon point fort, tout simplement, c'est un réel plaisir pour moi - pas tous les jours il est sûr.
Mais j'adore les citations, si vous le voulez bien, nous pourrions essayer de continuer un peu.
La nuit là, est déjà bien avancée, le sommeil lui n'est pas au r-vous, ce moyen sera-t-il efficace...
La nuit est là depuis quelques heures déjà
Elle repose les corps de journées bien remplies
Elle libère l’esprit des tensions du jour
Nuit magique qui décline un espace de temps qui faiblit
Entre l’heure du coucher du soleil et l’aurore
L’obscurité se voudrait rassurante égale à un trésor
La lune dans le ciel est là qui reluit
L’obscurité se voudrait réconfort
Les rêves peuvent être doux ou tourmentés
Estompant les heures de notre existence
En un espace de temps qui semble si court
Puis surgissent les lueurs de l’aube, le jour perce à l’horizon
Les premières gouttes de rosées se déposent partout
Nous annonçant une nouvelle journée
De dur labeur, de joie, de peine
Et là toutes les palettes ensembles sont réunies
Pour créer un tableau pas toujours en harmonie
Avec ce que l’on voudrait que nous donne la vie
Et Voici une citation de Martin Luther King
« L'obscurité ne peut pas chasser l'obscurité ; seule la lumière le peut. La haine ne peut pas chasser la haine ; seul l'amour le peut"
Inscrit le: 24 Mar 2005 Messages: 6577 Localisation: Landes
Posté le: 22-03-2010 10:31 Sujet du message:
les noeuds sacrés de la vraie amitié, se forment
bien plus facilement sous un humble toit
et dans les cabanes des bergers
que dans les palais des rois.
Aristote _________________
on devrait bâtir les villes à la campagne, l'air y est plus pur
Dernière édition par lilas le 22-03-2010 12:46; édité 1 fois
mais, ma chère Lilas, je me suis toujours intéressée à la philosophie!...c'est même grâce à elle que j'ai eu une mention au bac!... ma phrase préférée?...celle que j'ai toujours eue en tête?...c'est celle de notre cher Socrate: " connais-toi toi-même! "...à méditer!
Inscrit le: 31 Jan 2010 Messages: 23645 Localisation: Est-Ouest
Posté le: 23-03-2010 15:06 Sujet du message:
L'affection maternelle est un sentiment plus fort que celui de la crainte, et plus profond que celui de l'amour, puisque cette affection l'emporte sur les deux dans le cœur d'une mère.
[Georges-Louis Leclerc de Buffon
Inscrit le: 31 Jan 2010 Messages: 23645 Localisation: Est-Ouest
Posté le: 27-03-2010 22:17 Sujet du message:
AUX TERMES DE L’EXISTENCE, LA VIE A-T-ELLE UN SENS
Le jour de ma naissance
Elle est dans tous les sens
Construit par mes sens
Dans une matière dense
Rythmée par les danses
Multiplicité de transhumance
Animé par les essences
J’ai pris conscience
D’un être de croyances
Qui n’était qu’obéissance
A partir de l’adolescence
Croyant à mon omnipotence
Qui n’était qu’une ignorance
Profitant de toutes mes essences
J’ai éclaté mes sens
J’ai réalisé sans aucune patience
Une totale inconscience
Exemple d’un monde en décadence
Jusqu’à une totale absence et une totale déliquescence
Croyant à mon omniscience
Perdu dans mes souffrances
D’un adulte sans aucun sens
J’ai réalisé une maturescence à partir d’une âme en errance
Et d’un corps vide de toute substance
Progressivité est l’arborescence
Esprit en effervescence
Chrysalide en changement d’essence
Harmonie est la quintescence d’une spiritualité naissance
Abandonnant mes fausses sciences non par pure coïncidence
Initié à la vraie connaissance j’ai pris le chemin de la Renaissance
Quittant l’objectivité existence
Qui n’aboutit qu’à la sénescence
Pour une subjective iniscence
Matière devient abstinence
Aux termes de l’existence
La vie prend un sens
Existence et iniscence
Ferme le cycle des sens
D B F
Ce texte n’est pas de moi. Je n’aurai jamais le talent de l’auteur
Chaque mot, chaque phrase ont un sens bien défini.
J’honore aujourd’hui l’auteur, Scientifique et Conférencier de talent, pour qui j’ai toujours éprouvé, Estime, Admiration, et Affection
Inscrit le: 31 Jan 2010 Messages: 23645 Localisation: Est-Ouest
Posté le: 06-04-2010 18:00 Sujet du message:
L’enfant
Durant Neuf Mois Père et Mère vivent l’attente
De l’enfant chéri tendrement désiré
Enfin, celle-ci n’est plus qu’imminente
La naissance du tout petit tant aimé
Est arrivée, plus d’impatience
En père et mère tant de fierté
De leur plus belle œuvre réalisée
Le temps pourtant ne peut être freiné
Bébé a grandi, n’acceptant plus d’être bercé
L’adolescence est là sous-jacente
La chrysalide est prête à percer
Pour faire place à une jeunesse toute en vitalité
Prête à révolutionner le monde entier
De ses idées les plus controversées
N’admettant pas qu’elles soient commentées
Critiquées, abîmées, écrasées
Là est la période transitoire avant l’âge Adulte
L’impatience n’accepte pas d’être freinée
Le jeune adulte bouillonne d’idée
Il arrive que ce bel âge soit perturbé
Le jeune en restera tourmenté
Et à jamais marqué
De la sortie de l’adolescence un adulte c’est forgé
Déterminé à ne rien laissé passer
Et assouvir le pouvoir extrême conféré
Par cette nouvelle maturité
Très vite parfois tout lui est donné
Bonheur richesse, abondance, et prospérité
Souvent pourtant à ces abondances il ne peut approcher
Il se sent injustement abandonné par une société
Si mal équilibré.
A la pauvreté parfois il est confronté
La raison n’est plus, rancœur, amertume sont manifestés
L’argent n’apporte pas le bonheur dure réalité
A concevoir dans un monde sans égalité
Pourtant, l’homme riche ne sera jamais comblé
Insatisfait à jamais, toujours en quête d’un monde doré
Qui n’est en rien la vie rêvé
Égoïste à souhait, il ne saura jamais donner
Il n’aura jamais d’humanité
Et pourtant là est une des clés
Du bonheur, des valeurs, et de la vérité
(Pas de sources - perso)
Dernière édition par Rosalia le 28-12-2010 23:09; édité 1 fois
Inscrit le: 31 Jan 2010 Messages: 23645 Localisation: Est-Ouest
Posté le: 27-04-2010 20:46 Sujet du message:
Les Sentiments
« Amour »
Bouleversant peut-être l’amour, à ne pas sous estimer
A lui seul, doucement il peut emporter
Deux être vers une merveilleuse destinée
Renfermant en son écrin tant de beauté
Des passions irraisonnées il peut créer
Dans les cœurs un sillon ineffaçable il peut tracer
Effaçant toute raison, et crédibilité
Pour ne laisser place qu’à l’être aimé
Idéalisé, adulé, adoré alors de manière insensé
Provoquant parfois des remous insoupçonnés
Effacées alors toute crédibilité, et réalité
Enfouies responsabilité, et matérialité
Passionnante, dévastatrice, irraisonnée
Peut devenir cette romance ayant si bien débutée
Liesse, laisse alors place à douleur, à cœur blessé
Immanquablement douce mélodie est brisée
Conditionnant à l’adversité, la cruauté, l’agressivité
Amour et Haine sont alors mêlés dans l’Hostilité
Deux sont déchirés, n’acceptant plus de partager
Affrontant l’autre avec véhémence, et combativité
Sentiment amoureux alors devient difficile à gérer
Amour est devenu Haine, un au cœur blessé
Triomphant parfois renaît cet amour des cendres
Amour et Haine étant de la même lignée
Surmontée sera alors l’adversité pour ne plus conjuguer que le verbe aimer
Inscrit le: 31 Jan 2010 Messages: 23645 Localisation: Est-Ouest
Posté le: 08-05-2010 16:11 Sujet du message:
Domination et colère ensemble ou divisées
Un masculin ou féminin éminent se croit tout puissant
Un n’est plus un mais se multiplie en écrasant
Décidé à ne pas se laisser compter
Dangereuse est dominance, sans relâche oppressante
De son esprit ne sort qu’agressivité, perversité
Déroutée elle n’est point, sans relâche angoissante
Décrétant de ne faire de sa proie qu’une bouchée
Déraisonnable à souhait, colérique, dérangeante
Déstabilisante, contrariante, sans répit, avec hargne agressant
De son pied foulant l’ennemi supposé
De son venin empoisonnant l’existence
De ses victimes, les défiant, les terrorisant
Déterminée, tyrannique, violente, étouffante
De valeurs n’a point, ni de raisonnement
Un jour pourtant sur son chemin trouvera
Un maître qui à son tour dominera, humiliera
Les victimes inconsciemment seront vengées
Libérées, du joug, des offenses, des humiliations
De cet être insensible, sans cœur, sans valeur, et sans joie
Qui par un égal cheminement gibier finira
(Perso)
Inscrit le: 31 Jan 2010 Messages: 23645 Localisation: Est-Ouest
Posté le: 14-05-2010 13:28 Sujet du message:
Guerres
Guerres devons-nous haïr ceux qui vous ont déclenchées
Ruelles, maisons, prés, jonchés de morts ou de blessés
Gisant là à jamais pour l’éternité où atrocement mutilés
Guerres, vous, cœurs durs, esprits malsains, cruels, insensés
Au sol, alignant jour après jour des corps en quantité
Aux épouses et mères arrachant des cris désespérées
Guerres à force de victimes, proches de la débilité
A jamais marquant les esprits horrifiés, traumatisés
A aucun moment ceux si ne pourront oublier
Guerres, éprises de férocité, d’atrocité
Au combien sanguinaire, et déséquilibrées
A vie esprits et corps dans leurs chairs, estropiés
Guerres de vous père, grands-pères et autres mutilés m’ont pudiquement parlée
A l’occasion de commémorations, en l’honneur des morts et blessés
Alors de vous je peux me permettre de venir un peu parler
Guerres, j’ai appris par eux, que toujours s’étaient vantés
Au combien de fois, certains qui n’y avaient pas participés
A oui j’appris à savoir les qualifier, les différencier, les juger
Ces rustres, ces lourdauds, ces gougnafiers, assoiffés
Avides, de récits mensongers
Qui ne sont que muflerie, gouaille, grossièreté
Guerres, pour parler de vous, ou savoir insulter
Je peux vous parler de ces mufles, une fois par l’un ayant été bafouée
Je les foule aux pieds, ces blancs-bec, ces couards, apeurés
Qui au premier mot coup de canon tiré
Comme des lapins effrayés, les poltrons, par lâcheté
Dans les trous seraient cachés
Guerre je ne voudrais jamais vous rencontrer
Quand à eux j’en trace le portrait,
Qui ne sauraient changer, méprisables, et sans ambition à souhait
Inscrit le: 31 Jan 2010 Messages: 23645 Localisation: Est-Ouest
Posté le: 27-05-2010 18:12 Sujet du message:
Un autre thème sur la Guerre et l'irresponsabilité malsaine, et vile
L’histoire nous enseigna que depuis des générations des peuples sont perpétuellement en guerre
Dans tout pays du monde des guerres sont déclenchées, par des esprits vides, vils et bas
Dans quelque pays du monde, fusent guerres dites de religion, ou pour une parcelle de terre
Dans quel état d’esprit, sans conscience aucune l’homme déclenche-t-il ces guerres
Dans un autre contexte, l’agressivité des rues prolifère, sangs versés, tueries sans merci
De cette nouvelle violence au quotidien on ne peut voir l’esprit d’une guerre
De quels vils instincts ces faux guerriers des rues, peuvent-ils être habités,
Pour mettre ainsi fin à des vies.
Des innocents dans les deux cas sont victimes de ces massacres de champs de batailles et de rues
Aussi loin que j’ai souvenance, bisaïeuls, aïeuls, et père montèrent au front
De cette époque qui n’est pas si loin nous devrons tous garder souvenirs
Ces hommes jeunes aux guerres furent appelés pour défendre le pays menacé
Ces soldats patriotes dans l’âme, conscients du danger, croyant à la victoire
Partirent aux fronts, croyant indiscutablement triompher de l’ennemi juré
Certains furent des appelés, d’autres des engagés volontaires
Ces vaillants soldats, qui furent de ceux qui échappèrent à la mort au champ d’honneur
Ces hommes au foyer rentrèrent, blessés physiquement, et moralement
Les engagés volontaires, parfois eux, ne furent pas compris dans les campagnes profondes
Ces hommes là, avec toute la fougue de leur jeunesse partirent au combat
Croyant fermement dissoudre l’ennemi - comme on leurs avaient fait croire - tout en vengeant leur pays
Soldats empreints de bravoure, de sens de l’honneur, hommes courageux
Ces valeureux guerriers souffrirent parfois de basses et viles infamies
De la part d’êtres jaloux, mesquins, et méprisables, n’ayant jamais su
De toutes leurs piètres et basses vies que médire sur autrui
De toutes leurs piètres vies, assouvissant leurs basses pulsions
Ces sots, étaient envieux, jaloux de la rente perçue par le guerrier à son retour
Ces blessés, et leurs infirmités ils caricaturaient parfois les blessures, envieux de la solde délivrée
Ces hypocrites, n’étaient pourtant que lâcheté, au combat eux n’avaient point été
Soldats de ma famille, combien je vous ai vu souffrir dans votre chair, et votre âme
Traumatisés par l’horreur de la guerre qu’à jamais vous avez gardé au fond de vous
Blessés physiquement, blessés au combien moralement par tant de déloyauté
Droits toujours vous vous êtes tenus, autant que vos infirmités purent y conférer
Droits devant les basses jalousies, de ces perfides et lâches personnages
Droits si je puis dire autant que vos blessures vous l’on consentit
Jusqu’au terme de votre vie, ou je vous ai vus, si altérés, et si seuls quelque part
Vous ne laissiez rien paraître pourtant, vous restiez seuls avec votre part de mystère
Vous donniez le change, masquant, dissimulant toute faiblesse
Mais moi je savais vos tourments, je les avais compris depuis si longtemps
Du rêve j’essayai un minimum vous apporter, rien je ne pouvais d’autre faire
Puisque, je ne pouvais transgresser vos choix derniers
Combien de fausses illusions je tentai alors de vous apporter
Un beau rêve m’avez-vous dit alors, Un beau rêve
Un rêve, je vous aurais donc apporté au terme de votre vie
Vous que la méchanceté d’autrui, à j’en suis certaine Blessé bien autrement que vos guerres et vos infirmités
Vous concernant, de Vous, j’arrive enfin à concevoir un coin de lumière
De cette grande obscurité, de vos blessures, Je n’ai pas toujours tout saisi.
Je vous rends pourtant hommage aujourd’hui
Et par la même, je tiens à rabaisser, ces pleutres, et ces abjects cancaniers
Qui de la guerre, ne surent que se vanter, d’avoir tondu des femmes de leur pays, en toute lâcheté
Inscrit le: 31 Jan 2010 Messages: 23645 Localisation: Est-Ouest
Posté le: 29-05-2010 22:51 Sujet du message:
Future maman son nouveau-né neuf mois elle attend, comblée d’allégresse
Pour bébé trousseau, berceau sont préparés dans une immense liesse
La future maman, prépare la layette de sa future progéniture, tout en délicatesse
Les heures, les jours doucement s’égrènent empreint d’une douce promesse
Dans l’attente de l’arrivée de l’enfant Roi, qui illuminera de sa présence
Le foyer de ces parents, réjouit du bonheur qui va leur être donnés
Père et mère vivent en osmose et se prennent à rêver
A échafauder mille et un rêve pour l’avenir de leur bébé
Enfin l’heure se présente ou Maman va mettre au monde son trésor tant espéré
Instants magiques, inoubliables, mémorables qui à jamais resteront en eux gravés
Bébé est enfin là, qui déjà à peine arrivé se met à pleurer, par un flash immortalisé
Tout petit être si fragile, qui fut tant désiré, adoré, chéri, aimé bien avant son arrivée
Le merveilleux rêve de la naissance d’un enfant dans ce foyer c’est enfin réalisé
Demain c’est la Fête des Mamans
Enfant ou pas enfant « Au fond de leur cœur, elles ont toutes l’instinct maternel, et sont toutes mamans au fond d’elles »
Bonne fête à toutes
(perso)
Inscrit le: 31 Jan 2010 Messages: 23645 Localisation: Est-Ouest
Posté le: 15-06-2010 22:56 Sujet du message:
Quelques lignes d’un livre
« La commère »
Elle n’avait pas son pareil, pour déverser ses classiques, ni n’avait son pareil pour chuchoter les critiques.
A sa fenêtre elle passait des heures, dès les premières heures du jour, au plus profond de la nuit.
Tapie qu’elle était derrière ses fenêtres sans volets. Seul, un voilage la dissimulait aux regards.
Elle épiait, et mimait à merveille les faits et gestes du petit bourg, de son éveil, à la nuit.
Ah quelle savait déverser ses tristes et macabres litanies sur certaines âmes, sur qui elle avait jeté son dévolu.
Elle jubilait lorsqu’elle avait pu épandre son venin, cancanant de l’un, ricanant sur l’autre.
Qu’il sentait fort, cet épandage, ce purin malsain, qu’elle divulguait, à qui elle pouvait.
Commère au fil du temps, elle était devenue, puisque jeunette, se penchant elle n’avait point.
Née avant guerre, elle n’avait pas désirée continuer ses études, l’Usine devint sa seconde vie.
Ouvrière modèle, elle s’acquittait de ce difficile et robotique métier, irréprochablement.
Un jour arriva ou son ambition, l’amena d’ouvrière à patronne de l’Entreprise, se jour là fut une consécration pour elle.
Alors elle n’avait pas encore gout, à médire sur quiconque. De cette vilaine tare, elle n’était pas encore habitée.
Sa jeunesse, elle l’avait vécue sans sorties, rêvant de se consacrer à la vie monastique.
Le destin ou elle, en voulurent autrement. Elle ne resta point vielle fille, et épouse devint.
Un jour sa vie chamboula, est-ce là que commença sa vie de commère.
Il était dit, que rien ne lui échapperait. Tout un chacun elle malmenait de sornettes
Telle un serpent à sonnette, son poison, ses diffamations elle laissait déverser
Au gré de qui voulait l’entendre. Tout un chacun y passait du notable, à l’épicier du coin.
Sans relâche, cette acariâtre, épandait son purin d’oreille à oreille de bouche en bouche.
Quelque part en crachant sa salive ainsi, elle lavait ses fautes passées, pas si lointaines.
Aigrie, agressive elle était devenue, le mal elle fit, consciemment, volontairement.
Sans trêve, indéfiniment. Puis, un jour arriva ou la vie la rattrapa, et sa hargne à l’eau finit par tomber.
Le destin la toucha de très près, en la chair de sa chair
La commère se tut, ne blasphéma plut, l’âge aussi le voulut.
Entre temps combien de personnes avait-elle touchées, abîmées, combien de vies avaient-elles détruites, par ses mauvaises pensées, ses mauvaises idées, ses manœuvres malsaines.
Par sa hargne, son agressivité, sa médisance non freinée
Une commère est une mauvaise fréquentation.
De son chemin détournons-nous si nous la croisons, changeons de trottoir, pour ne pas avoir à croiser son regard acide, son agressivité, sa langue acérée, toujours si bien aiguisés.
Inscrit le: 31 Jan 2010 Messages: 23645 Localisation: Est-Ouest
Posté le: 01-07-2010 18:09 Sujet du message:
"Une pensée pour les personnes âgées en cette période caniculaire"
Il fut décrété que les anciens le seraient de plus en plus jeune
Il est certes vrai, en relation avec cette « sage décision » que de jeunes
Que nous nous croyions, âgés nous sommes devenus, plutôt que prévu
Il aurait été sage de pouvoir nous consulter, nous nous serions abstenus
D’acquiescer sans protester, nous aurions trouvé une idée commune
Une idée lumineuse, afin d’éradiquer cette conception importune
Il fut annoncé, que de plus en plus vieux nous serions reconnus
Nos anciens me viennent en mémoire, et se rappellent à moi
Nos anciens, personnalités de ma région, ou parents
Nos anciens ne semblent pas en accord avec cette triste réalité
Nos anciens protestent et affirment avoir vécu très longtemps
Nos anciens j’ai en souvenir, certains fêtèrent leurs presque cent ans
Ils vivaient pour la plupart, dans leurs chez eux, ou avec leurs enfants
Ils vivaient longtemps, si rien ne les emportait avant
Ils étaient heureux de profiter de leurs chez eux si longuement
Ils subsistaient avec si peu, je pourrais dire allègrement
Il y eut ceux à qui la vie ne donna pas ce vieillissement
Ils vécurent malgré cela encore des années durant
Ils vécurent dans leurs chez eux, entourés de leurs enfants
Ils eurent cette possibilité de vivre en semi-paix, sans acharnement
Il n’existe plus d’enfants pour accueillir leurs parents
Il est possible que des vieux vivent chez eux, mais moins qu’auparavant
Il fut choisi que des maisons soient construites en hébergement
Convaincue je ne suis pas totalement de l’utilité de ces aménagements
Persuadée je ne suis point de croire à cette "bonne étoile"
Persuadée je ne suis pas de voir là un lieu de joie pour ces vieux
Dans leurs yeux, "malgré les déstressant", j’ai pu voir tristesse
Dans leurs yeux j’ai pu voir, crainte
Dans leurs yeux, j’ai pu voir, solitude
Dans leurs yeux j’ai pu lire, peur
Dans leurs paroles, malgré le « détresse » j’ai pu entendre
« Marre » "Énervé" etc....
De leurs mains, ils ne savent plus se servir assez pour manger
De leurs mains, ils ne savent plus se servir pour boire
Ils n’ont plus « de forces »
Dans leurs chez eux, ils seraient mieux.
Nous sommes en période de canicule
J’ai une pensée pour toutes ces personnes âgées
Dans leurs chambres sagement installées
Mon père y vécut, si peu ... contre ma volonté
J’eus et j’ai encore du mal à accepter
Tant d’irréalité, tant d’étrangeté
Si quelqu’un me relit, qu’il m’excuse, si j'ai pu l'assombrir
Inscrit le: 28 Juin 2010 Messages: 1256 Localisation: charente
Posté le: 08-07-2010 05:22 Sujet du message: avec philosophie
Bonjour Rosalia
Je viens découvrir cette rubrique . Il y a tant de sujets sur ce forum qu'il me faudra du temps pour tout découvrir.
J'avoue n'avoir fait que la "survoler " !
Dès mon retour d 'Alsace, je lirai sérieusement tes écrits et je te répondrai.
Maman fêtera ses 90 ans le 14 juillet. Née en 1920 ( père bavarois), cette date ne devait pas pas être anodine.
Belle journée
Aya
Inscrit le: 31 Jan 2010 Messages: 23645 Localisation: Est-Ouest
Posté le: 08-07-2010 10:55 Sujet du message:
Bonjour Aya
Te voilà reparti pour l’Alsace. Fête bien ta Maman, une mère est unique et irremplaçable.
Bon séjour à toi
En relation avec ces textes, ceux-ci devraient se trouver dans un autre contexte que « Jeux blagues humour rire et Délires ».
Car rien d’humoristiques dans ceux -ci. J’aurais pu les déplacer dans la rubrique « Poésie » par exemple. Par respect pour Coujou, je les laisse là.
La feuille de papier blanche face à moi, je laisse « échapper » une infime parcelle de ma vie.
La majeur partie restera au tréfonds de mon cœur.
Ces récits peuvent paraître triste, pour la plupart.
Je ne suis pas un être triste pourtant, ni torturé - cela n’a jamais été moi.
Je le suis, par définition, "face à la vie courante".
La vie, les beautés de la nature, les échanges tout cela est un acquis que la naissance nous a donnés, et que je voudrais apprécier au maximum.
La vie, avance trop vite, retenir le temps n’existe pas, le rendre meilleur, j’y pense chaque jour, la méthode je ne l’ai pas, trop enracinée, que je suis dans des liens que je prends soin de défricher chaque journée qui passe. Ceux-ci s’enchevêtrent de nouveau trop vite, et de nouveau, j’essaie de les résoudre. (Je précise, ce n'est pas moi qui emmêle ces liens).
Dans certains états d'âme, la beauté torture, et toute souffrance, même lumineuse, devient intolérable. [Fernand Ouellette]
Inscrit le: 28 Juin 2010 Messages: 1256 Localisation: charente
Posté le: 23-07-2010 06:06 Sujet du message: philosophie
Bonjour Rosalia, bonjour à tous
Tes écris :
Profonds, certains traduisent une réalité dure et quotidienne un peu partout dans le monde.
Il faudrait peut- être leur réserver une autre place, hors jeux ..blagues etc ...
Textes à méditer conviendrait mieux.
Mon préféré est " Le sens de la vie ".
Je continuerai à te lire et à méditer sur tes écris.
Belle journée
Aya
Inscrit le: 31 Jan 2010 Messages: 23645 Localisation: Est-Ouest
Posté le: 13-08-2010 13:58 Sujet du message:
Bonjour Aya,
En relation avec la place de mes écrits, tu as raison.
Au départ, j'ai suivi le jeu .... dans philosophie ...
Puis, j'aurais aimé ... que ces écrits soient placés ailleurs, que "blague rire et humour". Je ne sais ou?
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