Retraite Active

[Marie]

pour te répondre MUSICKA voila lex pos avant la rénovation du petit palais



octobre 1989-janvier 1990 / L’Art de Cartier

Paris, capitale des arts, abrite entre autres de grands joailliers. Cartier est l’un d’entre eux. Essentiellement grâce aux joyaux rachetés par la Maison et aux dessins conservés dans ses archives, le public a pu découvrir une longue histoire de création depuis 1870 jusqu’aux années 1950. Et le Petit Palais a pu manifester magistralement une dimension de sa vocation : la mise en valeur des métiers d’art français.


1998 / La Gloire d’Alexandrie

Alexandrie ! Une ville située au point de rencontre des civilisations égyptienne, grecque et romaine qui n’en finit pas de faire rêver ! Au-delà de la figure de Cléopâtre, c’est l’une des toutes premières métropoles de l’histoire, l’Alexandrie ptolémaïque (IVe siècle avant J.-C.), qui fut révélée. Sculptures monumentales, mosaïques raffinées, terres cuites délicates… plus de deux cents œuvres puissantes ont ainsi témoigné de la Gloire d’Alexandrie.



octobre 1999 - janvier 2000 / Brésil baroque


Pour clore le siècle et inaugurer le suivant, le Petit Palais a célébré le cinquième centenaire de la fondation de cet immense pays du continent latino-américain.
Entre les XVIe et XVIIIe siècles, d’importantes richesses ont favorisé l’essor de la création artistique. Celle-ci jaillit naturellement en style baroque, tout en abondance, en vitalité et en exubérance. En témoigne particulièrement l’œuvre sculpté de l’Aleijadinho, sorte de Michel-Ange brésilien dont le talent, à lui seul aurait suffi à justifier cette exposition.



avril 2000 - août 2000 / Soleils mexicains

La conscience du drame existentiel, personnel et collectif, entre eau et feu, entre vie et mort, semble avoir amené l’Homme mexicain à penser l’histoire, depuis la nuit des temps, en cycles solaires et destructeurs.

Peintures, sculptures, objets d’arts, photographies… quelque 250 œuvres ont donné à ressentir au public français toute l’originalité et la continuité de la culture mexicaine, depuis les sculptures pré-colombiennes jusqu’aux créations contemporaines des ateliers mexicains.



novembre 2000 - janvier 2001 / Chine, la gloire des empereurs

Après avoir accueilli la première exposition organisée à l’étranger par la République populaire de Chine en 1973, le Petit Palais a présenté une nouvelle facette de cette civilisation, cinq fois millénaire. Sauf exceptions, les 175 objets présentés avaient été découverts dans les 27 années précédentes et provenaient de trois provinces, le Shaanxi, le Henan et la Mongolie intérieure.

Ces découvertes, comme celle des soldats et des chevaux en terre cuite du tombeau de l’Empereur Quinshihuang, ont renouvelé des pans entiers des connaissances de l’art chinois. Dans la dernière salle, le public a aussi pu admirer les œuvres du grand peintre contemporain Zao Wou-ki, dont les dynamismes colorés suggèrent l’action du Souffle primordial, cher au taoïsme.



Et aussi : La peinture romantique anglaise (1972) ; Borobudur (1978) ; La collection Thyssen Bornemisza (1982) ; Au pays de Baal et d’Astarte (1983) ; Rembrandt (1986) ; De Greco à Picasso (1987) ; Fragonard et le dessin français au XVIIIè (1992) ; L’art Taïno (1994) ; La Cité Interdite (1996) ; Maroc, les Trésors du Royaume (1999).



voila tu es renseignée maintenant bisous



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