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Réflexions - Pensées Personnelles & Autres

 
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Rosalia



Inscrit le: 31 Jan 2010
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MessagePosté le: 02-02-2011 18:08    Sujet du message: Réflexions - Pensées Personnelles & Autres Répondre en citant

Bonsoir

Dans la rubrique "Jeux-Blagues-Humour- et délires" ; Coujou ouvrit
un topic "Avec philosophie"
Dans celui-ci il était possible d'exprimer des pensées personnelles etc ...

Sans penser plus loin, j'ai voulu exprimer des pensées dans ce topic là.
J'aurais aimé qu'il ne fut pas à la place ou il était alors ...
Pourtant j'ai continué d'écrire ces pensées, d'après comme elles venaient à mon esprit ; en relation avec des évènements vécus parfois.

Puis j'eus droit à quelques ... ironies "il le fallait bien" vu le topic ...
n'est-ce-pas ... et c'est alors que peu après je fus déconnectée du forum le 22 décembre 2010.
Ce jour je me permets de classer "mes pensées ici" car les écrire m'a pris beaucoup de temps, et j'espère que dans ce topic elles ne seront pas retirées , d'autant que certaines réflexions ont freiné mes écrits pour l'instant.
Veuillez comprendre que je classifie comme je le peux mes écrits ici ...

D'avance je vous en remercie, et j'espère ne pas être déconnectée pour cela, car je ne cherche pas le mal en faisant cela, je cherche seulement à essayer de préserver ce que j'appellerai moi "mon travail"
Il est un faite que j'ai écrit avec plaisir, même si cela ne fut pas compris par tous - et je tiens à mes écrits, que j'essaie d'isoler dans un petit coin bien "au chaud" je l'espère.
Auquel cas, je devrais écrire de nouveau un texte : par politesse pour Coujou ... si sa 1ère rubrique philosophie n'est pas partie, je l'éditerais alors en double dans sa rubrique et dans la mienne ici.

D'avance je vous remercie de votre éventuelle compréhension

Rosalia



PS : Il y a beaucoup de textes, j'ai essayé de n'en omettre aucun - en dernier lieu, je n'ai pas édite les textes écrits par vous autre qui êtes venus dans ce topic.
Pas pour dissimuler certains sujets (ce n'est pas mon genre - et mon idée 1ère était de tout copier) : seulement car cela me prendrait un temps infini.



Dernière édition par Rosalia le 25-01-2012 18:03; édité 2 fois
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Rosalia



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MessagePosté le: 02-02-2011 18:11    Sujet du message: Répondre en citant

Coujou
Posté le: 15-02-2010 18:23 Sujet du message: Avec philosophie
________________________________________
Bonjour.
Déces-du-bon sens
Avec phisolophie
_________________
La volonté permet de grimper sur les cimes ; sans volonté on reste au pied de la montagne.(Proverbe chinois)

Rosalia
Posté le: 16-02-2010 10:19 Sujet du message:
________________________________________
Bonjour,

Si comme j'ai cru le comprendre, ceci est un jeu,
Auquel cas, s-t-p comment se présente-t-il?
Merci!
_________________
"Les esprits médiocres condamnent d'ordinaire tout ce qui passe à leur portée".
La Rochefoucauld

Coujou
Posté le: 16-02-2010 22:18 Sujet du message:
________________________________________
Bonsoir Rosalia.
Ce n'est pas vraiment un jeux ;lecture et tu laisse faire à la couleur de ton
esprit.
Bonne soirée
_________________
] La volonté permet de grimper sur les cimes ; sans volonté on reste au pied de la montagne.(Proverbe chinois)
Rosalia

Posté le: 17-02-2010 10:43 Sujet du message:
________________________________________
« Si vous souhaitez un autre dîner à l’heure ou les phalènes s’envolent, passez ce soir après avoir terminé votre travail, quand vous voulez »

Phrase mythique, d’un film culte d’une grande finesse - et par la même inoubliable.
_________________
"Les esprits médiocres condamnent d'ordinaire tout ce qui passe à leur portée".
La Rochefoucauld
Rosalia

Rosalia Posté le: 18-02-2010 09:39 Sujet du message:
________________________________________
"Ce n'est pas humain d'aimer être seul"
Et,
"Ce n'est pas humain d'aimer ne pas avoir peur"
_________________
"Les esprits médiocres condamnent d'ordinaire tout ce qui passe à leur portée".
La Rochefoucauld

Rosalia
Posté le: 02-03-2010 20:43 Sujet du message:
________________________________________
L'écriture est le refuge immuable pour poser les mots du cœur, lorsque la voix ne peut retranscrire d’écho.
L’écriture, parle de la vie, sans un bruit, mais avec tous les sens que la plume et l’imagination lui prête.
Nul ne peut la souiller, la salir, l’écriture a elle seule présente toutes les vérités que l’auteur veut faire passer, avec tout le relief et l’authenticité qu’aucun discours n’aura jamais la justesse de transmettre.
_________________
"Les esprits médiocres condamnent d'ordinaire tout ce qui passe à leur portée".
La Rochefoucauld

Rosalia
Posté le: 03-03-2010 21:38 Sujet du message:
________________________________________
Soyons vigilants, ne nous laissons pas berner
Soyons méfiants dédaignons toute narration
Soyons prévoyants n’acceptons pas de nous fier
Soyons attentifs à toute manipulation
Soyons honnêtes refusons d’être manipuler
Soyons droits sauvons nous de toute corruption
Soyons arrogants, soyons fiers, de fouler au pied toute immoralité
Rosalia
_________________
"Les esprits médiocres condamnent d'ordinaire tout ce qui passe à leur portée".
La Rochefoucauld

Rosalia
Posté le: 04-03-2010 21:55 Sujet du message:
________________________________________
L’amitié n’a pas de prix
Et pourtant un ami à toutes les valeurs, celles venant du cœur
L’amitié sentiment noble entre deux ou plusieurs personnes
Petits et grands soucis se trouvent confiés entre amis
L’amitié vous apporte sincérité, affection, honnêteté, dévouement, droiture
Et pourtant, cette confiance peut se trouver salie, trahie
L’amitié perd toute assurance, et se change en défiance
La perception que vous aviez, se trouve alors déracinée
L’amitié, n’est plus alors que fourberie
Mais, un vrai ami, et quelqu’un de droit, de juste, de bon, en qui nous pourrons toujours donner notre confiance.
J’ai connu et connais des personnes ayant cette qualité ; cette droiture, cette bonté du cœur, que les sots ne pourront eux jamais avoir.
Rosalia
_________________
"Les esprits médiocres condamnent d'ordinaire tout ce qui passe à leur portée".
La Rochefoucauld

Rosalia
Posté le: 06-03-2010 22:19 Sujet du message:
________________________________________
Le monde animal renferme des trésors.
Les animaux sont dotés d’une certaine intelligence, bien que définis sans esprits.
Nombre de chiens sont dressés, chiens sauveteurs, et sauvent des vies.
Nombre d’autres sont éduqués à l’accompagnement aux personnes handicapés.
Des recherches révélèrent le bénéfice d’un animal de compagnie sur la santé.
Il est dit qu’un animal est bestial, il n’en est point.
L’homme est lui doté d’un esprit. Et pourtant,
Certains humains par leur personnalité s’abaissent au rang inférieur de l’animal.
En agissant jusqu’à se rendre méprisable,
A devenir - par des comportements, vils, bestiaux, violents, rustres, balourds,
Des êtres sans valeurs.
L’animal lui reste un animal dans toute sa beauté.
Parfois hélas, il devient agressif, enragé, violent, mais c’est un animal.
A la différence de l’homme.
Moralité : peut-on pardonner à l'homme, ou à l'animal?
A qui le premier?
Rosalia
_________________
"Les esprits médiocres condamnent d'ordinaire tout ce qui passe à leur portée".
La Rochefoucauld



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Rosalia



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MessagePosté le: 02-02-2011 18:14    Sujet du message: Répondre en citant

Rosalia
Posté le: 09-03-2010 23:02 Sujet du message: ________________________________________
La nature à elle seule renferme tant de trésor, tant de beauté



Sa splendeur n’a d’égale que sa pureté
Comment l’humain peut-il se permettre de la souiller
De L’abîmer la polluer la détruire ainsi sans culpabilité
L’univers splendeur inestimable se trouve dénaturé
Le monde se trouve contaminé
Par les caprices de l’homme incontrôlable, irraisonné
Qui se veut sourd et aveugle à un tel joyau
En détruisant avec des œillères, et borné
Le diamant qu’il a à ses pieds.
Un jour l’homme subira sa bêtise
Alors il sera trop tard
Quelque part Il la subit déjà
Inconscient ne pensant qu’au rendement













Comment l’homme peut-il accepter de piétiner cette splendeur que « le Créateur » lui a offert
Rosalia
_________________
"Les esprits médiocres condamnent d'ordinaire tout ce qui passe à leur portée".
La Rochefoucauld

Rosalia
Posté le: 11-03-2010 21:32 Sujet du message:
________________________________________
" Les menteurs ne gagnent qu'une chose, c'est de ne pas être crus, même lorsqu'ils disent la vérité. "
Esope
Le mensonge, la pire des non réalité
Le pire des non sens
Dans celui-ci un abîme de non dit
De vraies fausses confidences et irréalité
De quoi s’y perdre à chercher à démêler la vérité
Aucune possibilité tout est enchevêtré
Mélangé, malaxé, à des fins de ne pas s’y retrouver
Inutile de chercher quelque authenticité
Inutile de se fatiguer, à deviner la réalité
Tout est dosé, millimétré, calibré
A des fins de perdre le sens de la véracité
Ne cherchez point en cet amalgame une clé
Vous vous y perdrez et vous fatiguerez
Inutilement la plus part du temps
Pourtant avec un minimum de perspicacité
De volonté, à force d'analyser, de disséquer
Vous trouverez
La clé qui démêlera le puzzle alors vous aurez gagné
Et triompherez
Vous aurez alors cette force en vous, celle de snober
De dédaignez
Le mensonge de bas en haut avec dédain, et fierté
_________________
"Les esprits médiocres condamnent d'ordinaire tout ce qui passe à leur portée".
La Rochefoucauld
Rosalia

Posté le: 13-03-2010 22:01 Sujet du message:
________________________________________
"Tout groupe humain prend sa richesse dans la communication, l'entraide et la solidarité visant à un but commun : l'épanouissement de chacun dans le respect des différences" [Françoise Dolto]

Nos différences forment un tout, et deviennent richesses
Cela si nous savons cultiver ces richesses
La nature à elle seule n’est que différence
D’un animal à l’autre, d’une fleur à l’autre
D’un arbre à l’autre, d’une montagne à l’autre
D’un pays à l’autre, d’une région à l’autre
D’une religion à l’autre
Et là, dans ces aspérités du monde se rencontrent splendeur et beauté
Dans leurs différences
Si nous savons cultiver nos inégalités, pour quelles deviennent concordantes
Nos cœurs s'enorgueillirons de savoir trouver en nos différences
Les plus grandes qualités, ainsi nait l’entraide et la solidarité
L’amour et la bonté, qui réchauffe le cœur de chacun
Comme le soleil réchauffe notre Planète
Ainsi est l’Univers, ainsi va la vie, sachons trouver
Au fond de nous les ressources pour ensoleiller notre existence
Et apporter de même à autrui un peu de ce soleil
Qui manque tant au monde d’aujourd’hui

Rosalia
_________________
"Les esprits médiocres condamnent d'ordinaire tout ce qui passe à leur portée".
La Rochefoucauld

Rosalia
Posté le: 16-03-2010 15:20 Sujet du message:
________________________________________
"Je connais une arme plus terrible et plus meurtrière que la calomnie, c'est la vérité"
[J. Crétineau-Joly]

La calomnie, sillonne ruelles et quartiers
En semant son venin empoisonné
En cherchant à déprécier
Celui ou celle qu’elle essaie de discréditer
Elle se donne un mal fou à réaliser
Ce chef d’œuvre d’impureté
De bouche à oreille la zébrure est tracée
Tel un corbeau en pleine envolée
Sans relâche en continuité
La calomnie essaiera de déshonorer
D’avilir, salir et endommager
Mais, le temps passe, les années défilent
Et ce fléau risque de s’épuiser
Par manque de crédibilité
Et cette poupée aux membres désarticulés
D’avoir trop irrité, contrarié
Va se casser
Alors Ouf, nous seront sauvés

Rosalia
_________________
"Les esprits médiocres condamnent d'ordinaire tout ce qui passe à leur portée".
La Rochefoucauld



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MessagePosté le: 02-02-2011 18:25    Sujet du message: Répondre en citant

Rosalia
Posté le: 20-03-2010 22:14 Sujet du message:

Les saisons
Chaque saison en une palette merveilleuse
Apporte ses plus belles parures
Multitude de tons offerts par la nature
Tableaux sublimes à jamais égalés
Douceur des tons, douceur de l’esprit
Tant de joyaux projetés dans la lumière
Le printemps







A lui seul renforce notre vitalité
Dans son écrin de verdure

L’hiver



Lui avait endormi cette énergie
L’été revigore, et stimule l’esprit



Plein d’entrain et de gaieté
Nous nous laissons baigner par sa chaleur
L’automne arrivant la nature retrouve son calme
Les feuilles jaunissent, tombent à la pelle
Dame nature se repose enfin
L’hiver reprend sa place, enveloppant
La nature de son grand manteau blanc
Et ainsi vont les saisons, au fil des ans, au fil du temps



Mais pour l’instant, réjouissons nous, c’est le printemps
Rosalia

"Les esprits médiocres condamnent d'ordinaire tout ce qui passe à leur portée".
La Rochefoucauld

Rosalia
Posté le: 22-03-2010 00:49 Sujet du message:
________________________________________
La nuit là, est déjà bien avancée, le sommeil lui n'est pas au r-vous, ce moyen sera-t-il efficace...



La nuit est là depuis quelques heures déjà
Elle repose les corps de journées bien remplies
Elle libère l’esprit des tensions du jour
Nuit magique qui décline un espace de temps qui faiblit
Entre l’heure du coucher du soleil et l’aurore
L’obscurité se voudrait rassurante égale à un trésor
La lune dans le ciel est là qui reluit
L’obscurité se voudrait réconfort
Les rêves peuvent être doux ou tourmentés
Estompant les heures de notre existence
En un espace de temps qui semble si court
Puis surgissent les lueurs de l’aube, le jour perce à l’horizon
Les premières gouttes de rosées se déposent partout
Nous annonçant une nouvelle journée
De dur labeur, de joie, de peine
Et là toutes les palettes ensembles sont réunies
Pour créer un tableau pas toujours en harmonie
Avec ce que l’on voudrait que nous donne la vie


Rosalia

Et Voici une citation de Martin Luther King
« L'obscurité ne peut pas chasser l'obscurité ; seule la lumière le peut. La haine ne peut pas chasser la haine ; seul l'amour le peut"
_________________
"Les esprits médiocres condamnent d'ordinaire tout ce qui passe à leur portée".
La Rochefoucauld

Rosalia
Posté le: 23-03-2010 14:55 Sujet du message:
________________________________________
L'amitié est la forme spécifique de l'amour qui a pour objet un être que l'on apprécie et qui, d'un point de vue éthique, se conduit correctement.
[Francesco Alberoni
"Les esprits médiocres condamnent d'ordinaire tout ce qui passe à leur portée".
La Rochefoucauld

Rosalia
Posté le: 23-03-2010 15:06 Sujet du message:
________________________________________
L'affection maternelle est un sentiment plus fort que celui de la crainte, et plus profond que celui de l'amour, puisque cette affection l'emporte sur les deux dans le cœur d'une mère.
[Georges-Louis Leclerc de Buffon
_________________
"Les esprits médiocres condamnent d'ordinaire tout ce qui passe à leur portée".
La Rochefoucauld

Rosalia
Posté le: 27-03-2010 22:17 Sujet du message:
________________________________________
AUX TERMES DE L’EXISTENCE, LA VIE A-T-ELLE UN SENS

Le jour de ma naissance
Elle est dans tous les sens
Construit par mes sens
Dans une matière dense
Rythmée par les danses
Multiplicité de transhumance
Animé par les essences
J’ai pris conscience
D’un être de croyances
Qui n’était qu’obéissance

A partir de l’adolescence
Croyant à mon omnipotence
Qui n’était qu’une ignorance
Profitant de toutes mes essences
J’ai éclaté mes sens
J’ai réalisé sans aucune patience
Une totale inconscience
Exemple d’un monde en décadence
Jusqu’à une totale absence et une totale déliquescence
Croyant à mon omniscience

Perdu dans mes souffrances
D’un adulte sans aucun sens
J’ai réalisé une maturescence à partir d’une âme en errance
Et d’un corps vide de toute substance
Progressivité est l’arborescence
Esprit en effervescence
Chrysalide en changement d’essence
Harmonie est la quintescence d’une spiritualité naissance

Abandonnant mes fausses sciences non par pure coïncidence
Initié à la vraie connaissance j’ai pris le chemin de la Renaissance
Quittant l’objectivité existence
Qui n’aboutit qu’à la sénescence
Pour une subjective iniscence
Matière devient abstinence
Aux termes de l’existence
La vie prend un sens
Existence et iniscence
Ferme le cycle des sens
D B F
Ce texte n’est pas de moi. Je n’aurai jamais le talent de l’auteur
Chaque mot, chaque phrase ont un sens bien défini.
J’honore aujourd’hui l’auteur, Scientifique et Conférencier de talent, pour qui j’ai toujours éprouvé, Estime, Admiration, et Affection



"Les esprits médiocres condamnent d'ordinaire tout ce qui passe à leur portée".
La Rochefoucauld

Rosalia
Posté le: 06-04-2010 18:00 Sujet du message:
________________________________________
L’enfant
Durant Neuf Mois Père et Mère vivent l’attente
De l’enfant chéri tendrement désiré
Enfin, celle-ci n’est plus qu’imminente
La naissance du tout petit tant aimé
Est arrivée, plus d’impatience
En père et mère tant de fierté
De leur plus belle œuvre réalisée
Le temps pourtant ne peut être freiné
Bébé a grandi, n’acceptant plus d’être bercé
L’adolescence est là sous-jacente
La chrysalide est prête à percer
Pour faire place à une jeunesse toute en vitalité
Prête à révolutionner le monde entier
De ses idées les plus controversées
N’admettant pas qu’elles soient commentées
Critiquées, abîmées, écrasées
Là est la période transitoire avant l’âge Adulte
L’impatience n’accepte pas d’être freinée
Le jeune adulte bouillonne d’idée
Il arrive que ce bel âge soit perturbé
Le jeune en restera tourmenté
Et à jamais marqué
De la sortie de l’adolescence un adulte c’est forgé
Déterminé à ne rien laissé passer
Et assouvir le pouvoir extrême conféré
Par cette nouvelle maturité
Très vite parfois tout lui est donné
Bonheur richesse, abondance, et prospérité
Souvent pourtant à ces abondances il ne peut approcher
Il se sent injustement abandonné par une société
Si mal équilibré.
A la pauvreté parfois il est confronté
La raison n’est plus, rancœur, amertume sont manifestés
L’argent n’apporte pas le bonheur dure réalité
A concevoir dans un monde sans égalité
Pourtant, l’homme riche ne sera jamais comblé
Insatisfait à jamais, toujours en quête d’un monde doré
Qui n’est en rien la vie rêvé
Égoïste à souhait, il ne saura jamais donner
Il n’aura jamais d’humanité
Et pourtant là est une des clés
Du bonheur, des valeurs, et de la vérité
Rosalia



"Les esprits médiocres condamnent d'ordinaire tout ce qui passe à leur portée".
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MessagePosté le: 02-02-2011 18:28    Sujet du message: Répondre en citant

Rosalia
Posté le: 27-04-2010 20:46 Sujet du message:
Les Sentiments
« Amour »

Bouleversant peut-être l’amour, à ne pas sous estimer
A lui seul, doucement il peut emporter
Deux être vers une merveilleuse destinée
Renfermant en son écrin tant de beauté
Des passions irraisonnées il peut créer
Dans les cœurs un sillon ineffaçable il peut tracer
Effaçant toute raison, et crédibilité
Pour ne laisser place qu’à l’être aimé
Idéalisé, adulé, adoré alors de manière insensé
Provoquant parfois des remous insoupçonnés
Effacées alors toute crédibilité, et réalité
Enfouies responsabilité, et matérialité
Passionnante, dévastatrice, irraisonnée
Peut devenir cette romance ayant si bien débutée
Liesse, laisse alors place à douleur, à cœur blessé
Immanquablement douce mélodie est brisée
Conditionnant à l’adversité, la cruauté, l’agressivité
Amour et Haine sont alors mêlés dans l’Hostilité
Deux sont déchirés, n’acceptant plus de partager
Affrontant l’autre avec véhémence, et combativité
Sentiment amoureux alors devient difficile à gérer
Amour est devenu Haine, un au cœur blessé
Triomphant parfois renaît cet amour des cendres
Amour et Haine étant de la même lignée
Surmontée sera alors l’adversité pour ne plus conjuguer que le verbe aimer
Rosalia
_________________
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La Rochefoucauld

Rosalia

Posté le: 08-05-2010 16:11 Sujet du message:
________________________________________
Domination et colère ensemble ou divisées
Un masculin ou féminin éminent se croit tout puissant
Un n’est plus un mais se multiplie en écrasant
Décidé à ne pas se laisser compter
Dangereuse est dominance, sans relâche oppressante
De son esprit ne sort qu’agressivité, perversité
Déroutée elle n’est point, sans relâche angoissante
Décrétant de ne faire de sa proie qu’une bouchée
Déraisonnable à souhait, colérique, dérangeante
Déstabilisante, contrariante, sans répit, avec hargne agressant
De son pied foulant l’ennemi supposé
De son venin empoisonnant l’existence
De ses victimes, les défiant, les terrorisant
Déterminée, tyrannique, violente, étouffante
De valeurs n’a point, ni de raisonnement
Un jour pourtant sur son chemin trouvera
Un maître qui à son tour dominera, humiliera
Les victimes inconsciemment seront vengées
Libérées, du joug, des offenses, des humiliations
De cet être insensible, sans cœur, sans valeur, et sans joie
Qui par un égal cheminement gibier finira
Rosalia
_________________
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Rosalia
Posté le: 14-05-2010 13:28 Sujet du message:
Guerres
Guerres devons-nous haïr ceux qui vous ont déclenchées
Ruelles, maisons, prés, jonchés de morts ou de blessés
Gisant là à jamais pour l’éternité où atrocement mutilés
Guerres, vous, cœurs durs, esprits malsains, cruels, insensés
Au sol, alignant jour après jour des corps en quantité
Aux épouses et mères arrachant des cris désespérées
Guerres à force de victimes, proches de la débilité
A jamais marquant les esprits horrifiés, traumatisés
A aucun moment ceux si ne pourront oublier

Guerres, éprises de férocité, d’atrocité
Au combien sanguinaire, et déséquilibrées
A vie esprits et corps dans leurs chairs, estropiés
Guerres de vous père, grand-père et autres mutilés m’ont pudiquement parlée
A l’occasion de commémorations, en l’honneur des morts et blessés
Alors de vous je peux me permettre de venir un peu parler

Guerres, j’ai appris par eux, que toujours s’étaient vantés
Au combien de fois, certains qui n’y avaient pas participés
A oui j’appris à savoir les qualifier, les différencier, les juger
Ces rustres, ces lourdauds, ces gougnafiers, assoiffés
Avides, de récits mensongers
Qui ne sont que muflerie, gouaille, grossièreté
Guerres, pour parler de vous, ou savoir insulter

Je peux vous parler de ces mufles, une fois par l’un ayant été bafouée
Je les foule aux pieds, ces blancs-bec, ces couards, apeurés
Qui au premier mot coup de canon tiré
Comme des lapins effrayés, les poltrons, par lâcheté
Dans les trous seraient cachés
Guerre je ne voudrais jamais vous rencontrer

Quand à eux j’en trace le portrait,
Qui ne sauraient changer, méprisables, et sans ambition à souhait
_________________
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MessagePosté le: 02-02-2011 18:29    Sujet du message: Répondre en citant

Rosalia

Posté le: 27-05-2010 18:12 Sujet du message:
Un autre thème sur la Guerre et l'irresponsabilité malsaine, et vile

L’histoire nous enseigna que depuis des générations des peuples sont perpétuellement en guerre
Dans tout pays du monde des guerres sont déclenchées, par des esprits vides, vils et bas
Dans quelque pays du monde, fusent guerres dites de religion, ou pour une parcelle de terre
Dans quel état d’esprit, sans conscience aucune l’homme déclenche-t-il ces guerres
Dans un autre contexte, l’agressivité des rues prolifère, sangs versés, tueries sans merci
De cette nouvelle violence au quotidien on ne peut voir l’esprit d’une guerre
De quels vils instincts ces faux guerriers des rues, peuvent-ils être habités,
Pour mettre ainsi fin à des vies.
Des innocents dans les deux cas sont victimes de ces massacres de champs de batailles et de rues
Aussi loin que j’ai souvenance, bisaïeuls, aïeuls, et père montèrent au front
De cette époque qui n’est pas si loin nous devrons tous garder souvenirs
Ces hommes jeunes aux guerres furent appelés pour défendre le pays menacé
Ces soldats patriotes dans l’âme, conscients du danger, croyant à la victoire
Partirent aux fronts, croyant indiscutablement triompher de l’ennemi juré
Certains furent des appelés, d’autres des engagés volontaires
Ces vaillants soldats, qui furent de ceux qui échappèrent à la mort au champ d’honneur
Ces hommes au foyer rentrèrent, blessés physiquement, et moralement
Les engagés volontaires, parfois eux, ne furent pas compris dans les campagnes profondes
Ces hommes là, avec toute la fougue de leur jeunesse partirent au combat
Croyant fermement dissoudre l’ennemi - comme on leurs avaient fait croire - tout en vengeant leur pays
Soldats empreints de bravoure, de sens de l’honneur, hommes courageux
Ces valeureux guerriers souffrirent parfois de basses et viles infamies
De la part d’êtres jaloux, mesquins, et méprisables, n’ayant jamais su
De toutes leurs piètres et basses vies que médire sur autrui
De toutes leurs piètres vies, assouvissant leurs basses pulsions
Ces sots, étaient envieux, jaloux de la rente perçue par le guerrier à son retour
Ces blessés, et leurs infirmités ils caricaturaient parfois les blessures, envieux de la solde délivrée
Ces hypocrites, n’étaient pourtant que lâcheté, au combat eux n’avaient point été
Soldats de ma famille, combien je vous ai vu souffrir dans votre chair, et votre âme
Traumatisés par l’horreur de la guerre qu’à jamais vous avez gardé au fond de vous
Blessés physiquement, blessés au combien moralement par tant de déloyauté
Droits toujours vous vous êtes tenus, autant que vos infirmités purent y conférer
Droits devant les basses jalousies, de ces perfides et lâches personnages
Droits si je puis dire autant que vos blessures vous l’on consentit
Jusqu’au terme de votre vie, ou je vous ai vus, si altérés, et si seuls quelque part
Vous ne laissiez rien paraître pourtant, vous restiez seuls avec votre part de mystère
Vous donniez le change, masquant, dissimulant toute faiblesse
Mais moi je savais vos tourments, je les avais compris depuis si longtemps
Du rêve j’essayai un minimum vous apporter, rien je ne pouvais d’autre faire
Puisque, je ne pouvais transgresser vos choix derniers
Combien de fausses illusions je tentai alors de vous apporter
Un beau rêve m’avez-vous dit alors, Un beau rêve
Un rêve, je vous aurais donc apporté au terme de votre vie
Vous que la méchanceté d’autrui, à j’en suis certaine Blessé bien autrement que vos guerres et vos infirmités
Vous concernant, de Vous, j’arrive enfin à concevoir un coin de lumière
De cette grande obscurité, de vos blessures, Je n’ai pas toujours tout saisi.
Je vous rends pourtant hommage aujourd’hui
Et par la même, je tiens à rabaisser, ces pleutres, et ces abjects cancaniers
Qui de la guerre, ne surent que se vanter, d’avoir tondu des femmes de leur pays, en toute lâcheté
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MessagePosté le: 02-02-2011 18:32    Sujet du message: Répondre en citant

Rosalia

Posté le: 29-05-2010 22:51 Sujet du message:
________________________________________
Future maman son nouveau-né neuf mois elle attend, comblée d’allégresse
Pour bébé trousseau, berceau sont préparés dans une immense liesse
La future maman, prépare la layette de sa future progéniture, tout en délicatesse
Les heures, les jours doucement s’égrènent empreint d’une douce promesse
Dans l’attente de l’arrivée de l’enfant Roi, qui illuminera de sa présence
Le foyer de ces parents, réjouit du bonheur qui va leur être donnés
Père et mère vivent en osmose et se prennent à rêver
A échafauder mille et un rêve pour l’avenir de leur bébé
Enfin l’heure se présente ou Maman va mettre au monde son trésor tant espéré
Instants magiques, inoubliables, mémorables qui à jamais resteront en eux gravés
Bébé est enfin là, qui déjà à peine arrivé se met à pleurer, par un flash immortalisé
Tout petit être si fragile, qui fut tant désiré, adoré, chéri, aimé bien avant son arrivée
Le merveilleux rêve de la naissance d’un enfant dans ce foyer c’est enfin réalisé
Demain c’est la Fête des Mamans
Enfant ou pas enfant « Au fond de leur cœur, elles ont toutes l’instinct maternel, et sont toutes mamans au fond d’elles »
Bonne fête à toutes
Rosalia

http://www.youtube.com/watch?v=LOd_8Tt8FCg
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MessagePosté le: 02-02-2011 18:34    Sujet du message: Répondre en citant

Rosalia

Posté le: 15-06-2010 22:56 Sujet du message:
________________________________________
"Quelques lignes d’un "livre"

« La commère »

Elle n’avait pas son pareil, pour déverser ses classiques, ni n’avait son pareil pour chuchoter les critiques.
A sa fenêtre elle passait des heures, dès les premières heures du jour, au plus profond de la nuit.
Tapie qu’elle était derrière ses fenêtres sans volets. Seul, un voilage la dissimulait aux regards.
Elle épiait, et mimait à merveille les faits et gestes du petit bourg, de son éveil, à la nuit.
Ah quelle savait déverser ses tristes et macabres litanies sur certaines âmes, sur qui elle avait jeté son dévolu.
Elle jubilait lorsqu’elle avait pu épandre son venin, cancanant de l’un, ricanant sur l’autre.
Qu’il sentait fort, cet épandage, ce purin malsain, qu’elle divulguait, à qui elle pouvait.
Commère au fil du temps, elle était devenue, puisque jeunette, se penchant elle n’avait point.
Née avant guerre, elle n’avait pas désirée continuer ses études, l’Usine devint sa seconde vie.
Ouvrière modèle, elle s’acquittait de ce difficile et robotique métier, irréprochablement.
Un jour arriva ou son ambition, l’amena d’ouvrière à patronne de l’Entreprise, se jour là fut une consécration pour elle.
Alors elle n’avait pas encore gout, à médire sur quiconque. De cette vilaine tare, elle n’était pas encore habitée.
Sa jeunesse, elle l’avait vécue sans sorties, rêvant de se consacrer à la vie monastique.
Le destin ou elle, en voulurent autrement. Elle ne resta point vielle fille, et épouse devint.
Un jour sa vie chamboula, est-ce là que commença sa vie de commère.
Il était dit, que rien ne lui échapperait. Tout un chacun elle malmenait de sornettes
Telle un serpent à sonnette, son poison, ses diffamations elle laissait déverser
Au gré de qui voulait l’entendre. Tout un chacun y passait du notable, à l’épicier du coin.
Sans relâche, cette acariâtre, épandait son purin d’oreille à oreille de bouche en bouche.
Quelque part en crachant sa salive ainsi, elle lavait ses fautes passées, pas si lointaines.
Aigrie, agressive elle était devenue, le mal elle fit, consciemment, volontairement.
Sans trêve, indéfiniment. Puis, un jour arriva ou la vie la rattrapa, et sa hargne à l’eau finit par tomber.
Le destin la toucha de très près, en la chair de sa chair
La commère se tut, ne blasphéma plut, l’âge aussi le voulut.
Entre temps combien de personnes avait-elle touchées, abîmées, combien de vies avaient-elles détruites, par ses mauvaises pensées, ses mauvaises idées, ses manœuvres malsaines.
Par sa hargne, son agressivité, sa médisance non freinée
Une commère est une mauvaise fréquentation.
De son chemin détournons-nous si nous la croisons, changeons de trottoir, pour ne pas avoir à croiser son regard acide, son agressivité, sa langue acérée, toujours si bien aiguisés.

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MessagePosté le: 02-02-2011 18:35    Sujet du message: Répondre en citant

Rosalia

Posté le: 01-07-2010 18:09 Sujet du message:
________________________________________
"Une pensée pour les personnes âgées en cette période caniculaire"

Il fut décrété que les anciens le seraient de plus en plus jeune
Il est certes vrai, en relation avec cette « sage décision » que de jeunes
Que nous nous croyions, âgés nous sommes devenus, plutôt que prévu
Il aurait été sage de pouvoir nous consulter, nous nous serions abstenus
D’acquiescer sans protester, nous aurions trouvé une idée commune
Une idée lumineuse, afin d’éradiquer cette conception importune
Il fut annoncé, que de plus en plus vieux nous serions reconnus
Nos anciens me viennent en mémoire, et se rappellent à moi
Nos anciens, personnalités de ma région, ou parents
Nos anciens ne semblent pas en accord avec cette triste réalité
Nos anciens protestent et affirment avoir vécu très longtemps
Nos anciens j’ai en souvenir, certains fêtèrent leurs presque cent ans
Ils vivaient pour la plupart, dans leurs chez eux, ou avec leurs enfants
Ils vivaient longtemps, si rien ne les emportait avant
Ils étaient heureux de profiter de leurs chez eux si longuement
Ils subsistaient avec si peu, je pourrais dire allègrement
Il y eut ceux à qui la vie ne donna pas ce vieillissement
Ils vécurent malgré cela encore des années durant
Ils vécurent dans leurs chez eux, entourés de leurs enfants
Ils eurent cette possibilité de vivre en semi-paix, sans acharnement
Il n’existe plus d’enfants pour accueillir leurs parents
Il est possible que des vieux vivent chez eux, mais moins qu’auparavant
Il fut choisi que des maisons soient construites en hébergement
Convaincue je ne suis pas totalement de l’utilité de ces aménagements
Persuadée je ne suis point de croire à cette "bonne étoile"
Persuadée je ne suis pas de voir là un lieu de joie pour ces vieux
Dans leurs yeux, "malgré les déstressant", j’ai pu voir tristesse
Dans leurs yeux j’ai pu voir, crainte
Dans leurs yeux, j’ai pu voir, solitude
Dans leurs yeux j’ai pu lire, peur
Dans leurs paroles, malgré le « détresse » j’ai pu entendre
« Marre » "Énervé" etc....
De leurs mains, ils ne savent plus se servir assez pour manger
De leurs mains, ils ne savent plus se servir pour boire
Ils n’ont plus « de forces »
Dans leurs chez eux, ils seraient mieux.
Nous sommes en période de canicule
J’ai une pensée pour toutes ces personnes âgées
Dans leurs chambres sagement installées
Mon père y vécut, si peu ... contre ma volonté
J’eus et j’ai encore du mal à accepter
Tant d’irréalité, tant d’étrangeté
Si quelqu’un me relit, qu’il m’excuse, si j'ai pu l'assombrir

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MessagePosté le: 02-02-2011 18:38    Sujet du message: Répondre en citant

Rosalia

Posté le: 08-07-2010 10:55 Sujet du message:
En relation avec ces textes
Je ne suis pas un être triste pourtant, ni torturé - cela n’a jamais été moi.
Je le suis, par définition, "face à la vie courante".
La vie, les beautés de la nature, les échanges tout cela est un acquis que la naissance nous a donnés, et que je voudrais apprécier au maximum.
La vie, avance trop vite, retenir le temps n’existe pas, le rendre meilleur, j’y pense chaque jour, la méthode je ne l’ai pas, trop enracinée, que je suis dans des liens que je prends soin de défricher chaque journée qui passe. Ceux-ci s’enchevêtrent de nouveau trop vite, et de nouveau, j’essaie de les résoudre. (Je précise, ce n'est pas moi qui emmêle ces liens).
"Dans certains états d'âme, la beauté torture, et toute souffrance, même lumineuse, devient intolérable". [Fernand Ouellette]
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MessagePosté le: 02-02-2011 18:47    Sujet du message: Répondre en citant

Rosalia
Posté le: 13-08-2010 14:00 Sujet du message:
________________________________________
La montagne à elle seule apporte paix, sérénité, apaisement.
La nature environnante, n’est qu’enrichissement. A chaque détour d’un chemin le paysage change, majestueux. Digne de tout peintre de talent.
Les montagnards sont attachés à leurs racines, leurs terres, leurs villes et villages.
On pourrait les dire « chauvin ». Si par le mariage s’installe au « pays », gars ou fille d’un autre bourg, quelque part, il restera un peu "l’étranger" ; tant qu’il n’a pas fait ses preuves, et encore – mais pas pour tous.

Doucement il sera alors accepté, enfin, il deviendra "du pays , du coin ».
Du temps des anciens, cela était ainsi, aujourd’hui cela a grandement changé.
La montagne compte en son « sein » un monde ouvrier, et de façon moindre un monde agricole ….
Car en montagne nul ne peut planter, cultiver, maïs, blé, et autres céréales.
Le cheptel du monde agricole, ne se définit pas par des champs cultivables, mais par l’élevage de bétails, pour le lait, et la viande.
Ces agriculteurs, sont des personnes chaleureuses, sans histoires, au grand cœur.
Ils sont quelque part, un peu l’âme d’un pays.
Tellement heureux d’ouvrir leur porte à toute visite, offrant un café préparé pour la circonstance.
"Agriculteurs, hommes de cœur".
Mais existe comme partout, l’exception à la règle.
Dans ce coin retiré de montagne, une famille d’agriculteurs depuis des décennies.
Il n’existait pas de ferme dans les bourgs. Celles-ci n’existaient que dans les hameaux, ou les terres agricoles entouraient celles-ci.

L’exception pourtant était réelle.
Une Petite ferme dans le bourg … ses bêtes elles, paissaient dans les près proches de 1 ou 2 kms, sur les hauteurs du bourg.
C’était une autre époque … ou lui l’ancien faisait l’élevage de quelques bêtes à traire ... au bourg même.
Un peu rustre, terre à terre celui là ... Non importuniste pourtant.

Petite fille, élevée sur les bancs de l’école avec ses enfants à lui, elle eut l’interdiction d’entrer à leur ferme.
Pour des raisons compréhensives et bien définies.
Elle s’y éclipsa pourtant, quelques rares fois.
La vie s’écoulait paisible, sereine alors dans ce petit bourg de montagne.
Le maire de ce bourg (élu de longue date) était lié avec sa famille à elle.
Le grand-père de l’enfant, après une belle carrière au ministère des finances, termina Secrétaire de Mairie.
L’enfant était fière de son grand-père, et l'aimait beaucoup.
Chaque jour, à l’heure de la récré , elle montait lui dire bonjour …
Le secrétariat était à l’étage, les écoles au rez-de-chaussée.

Puis, la petite fille grandit, et fonda un foyer.
En montagne, les habitants rarement louent, ils construisent leur habitation très rapidement.
Durant quelques années, elle, habitat, le rez-de-chaussée de la maison du grand-père qui le voulait ainsi – sous-sol réaménagé en appartement.
Le grand-père décéda, elle, s’obligea à bâtir également.
Son paternel, par le Maire du village, trouva un terrain constructible, afin qu'elle, s’installe au pays.
Le terrain ne faisait pas encore parti d’une parcelle lotie.
La commune avait acheté la parcelle à un ancien agriculteur ; sur les hauteurs du bourg.
Sur ces terres là, fils de l’agriculteur -cité plus haut - se permettait de faire paitre ses bêtes, juste en dessous des terres de sa famille.
Sa pâture débordait un peu (sur les terres qui étaient devenues communales). Il n’y avait pas gravité, nul n’aurait jamais manifesté.
Enfin les fondations de la 1ère maison commencèrent, les bêtes ne purent plus « vivre » à cet endroit.
Le fils n’avait pas le caractère du père ... rusé, malin, aigri, et fourbe il était.
Double emploi il cumulait, employé d’usine, puis éleveur.
Ces bêtes ne pouvaient plus que paitre au dessus du futur lotissement – dans le pré familial - mais plus dans le terrain communal.
Aigri, jaloux, entêté il était.
Mécontent il fut de voir arriver ces futures habitations, en dessous des terres familiales.
La 1ère maison s’éleva, celle de la petite-fille nommée plus haut.
Arriva un jour, ou son époux s’aperçut que les bornes délimitant leur terrain, venaient d’être déplacées ….
Première déconvenue ...
Et pourtant, le travail de l’architecte, et des géomètres étaient juste.
Difficile à remettre les choses en ordre, face à un « borné » qui débordait les limites d’autrui. Difficile de remettre les bornes à leur juste place.
La maison était ravissante, l’aménagement autour, changeait jour après jour.
Arriva un printemps, ou, elle, se dut d’adopter le chien d’un cousin décédé.
Il était si doux, les enfants l’adoraient.
La malheureuse habitude du chien, s’échapper par période.
Elle, l’appelait, ou prenait sa voiture pour le chercher.
Vaincu, fatigué, n’ayant retrouvé son ancien habitat, il revenait toujours. Elle, n’aimait point l’attacher à l’extérieur des heures durant, car il en était malheureux
Un jour, le semi fermier construisit sur les terres familiales.
Sa maison : juste au dessus de la leurs.
Une simple route de 2 m séparait les terres du semi-fermier, des habitations futures, et de la sienne à elle.
Nounours - le chien - aurait lui pu trouver une copine en la chienne de ce drôle de voisin.
Cette pauvre bête était attachée jour et nuit, très très court, par une corde. Quelques moellons lui servaient de niche.
Un jour ... il fallut démêler la pauvre petite bête.
Elle n’avait de cesse d’aboyer, la nuit. Plus encore en hiver, n'ayant pas de vrai abri.
Nounours, ne rejoignait jamais la vieille chienne.
Elle ; l’aurait empêché.
Il était obéissant, sauf lorsqu’il partait à la recherche de son ancien chez lui.
Un soir, Nounours partit … ce mec cruel, avait menacé de lui faire « sa vie » - car il ne fallait pas qu'il approche de chez lui, encore moins de la vieille chienne.
Elle ; savait de quel côté le chercher, elle ne le trouva pas.
Il ne revint pas, elle prit peur.
Son paternel, lui annonça doucement – car elle attendait un bébé – que Nounours gisait à quelques encablures de sa maison.
Elle ; refusa son conseil de ne pas approcher son chien.
Un gros gourdin à côté de lui … Nounours dormait à jamais, du sang s’échappent de son museau.
Cette perte fut si difficile à admettre ….

Le fermier avait d'autres cordes à son arc ....
Dans ces bourgs de montagne, il s’avérait difficile - avant câblage - de capter les chaines télés.
La commune dans l’une de ses forêts, fit construire un socle pour solidifier le nouveau relais.
L’entrepreneur de maçonnerie, meilleur copain de son époux à elle, construisit le « pied » de ce futur relais.
Le relais était placé sur les hauteurs du bourg, à 2 kms, derrière la maison de ses parents à elle.
Là à l’orée des bois … une maison, des près, ceux loués à un cousin éloigné de l’agriculteur.
Ce relais ne lui convenait pas, trop proche à son avis des terres.
Il lui prit l’envie de semer une fois de plus sa zizanie.
Il se plaint à la commune que leur relais, « débordait » de 5 cm sur ces terres à lui...
Il fit déconstruire le socle …. Pour 5 cm d'après lui.
Il "s’embrouillait" avec tout un chacun.
Puis d’autres familles construisirent sur les terres alors enfin loties, près de chez elle.
Il refusa net, que ses enfants à lui, jouent avec ses enfants à elle, et ceux des nouveaux arrivants.
Il était connu loin « à la ronde » pour son humeur massacrante.
Il commit des tas d’autres « crasses » …
En parallèle de son emploi en usine, il continua l’élevage.
Il admettait de moins en moins ces constructions qui pour lui n’auraient pas du être.
Il n'admettrait jamais que le vieil agriculteur eut vendu ses terres à la commune, alors que lui les convoitait lui.
Son agressivité, sa bêtise, faisait légende … de loin en loin, de bourg en bourg, méjugé il était.
Un jour mal lui en pris l’idée, d’acheter d’énormes cloches pour ses bêtes.

Dans le nouveau lotissement, tous partaient à leurs emplois extérieurs.
Fils, ou fille d’agriculteurs, ils avaient opté pour un métier différent.
Un jour mal en prit à cet être étrange, abruptement d’attacher au cou de sa vingtaine de bêtes, d’énormes cloches …
Il n’habitait pourtant pas un hameau, mais dans le bourg.
Il n’en faisait qu’à sa guise.
Qui aurait osé lui dire quoi que ce fut …
Les derniers arrivants en date …. eurent droit régulièrement à des bêtes qui « passaient » la barrière, faisant leur saleté sous les balançoires des enfants.
Le comble de l’ignominie, et de la bassesse fut dépassé, lorsque cet être infâme, décréta que ses bêtes passeraient la quasi parti de la journée – ainsi que des nuits d’étés, proche de sa maison à elle, la 1ère arrivée … la cause de tout d’après lui.
Lui, installa le plus proche possible de chez elle - sur ces terres à lui – un bac de sel.
Ainsi ses bêtes des heures durant s’attroupaient là, à faire tinter leurs énormes cloches.
Les nuits également. Elle, la journée n’entendait que cela depuis son bureau …
Cela devint infernal à souhait.
Les W-End lorsque le voisinage était en repos, il tempérait, éloignait un peu les bêtes.
L’hiver, plus d’animaux en prés.
Il lançait alors son tracteur des heures durant, à quelques mètres des chambres de sa maison à elle.
Il la détestait, pour cause le Maire de la commune – ami de son paternel – lui avait vendu la 1ère parcelle.
Quand au chien, il n’avait de cesse d’aboyer.
Les voisins eux ne pouvaient l’entendre, car trop loin de l'endroit ou court attaché il était.
Le Maire vu son âge ne se représenta pas… C’est alors qu’il en profita - cloches. Ils les remit.
Un autre Maire, lui fit retirer.
Puis de nouveau un nouveau Maire ... il remit les cloches à ses bêtes.
En relation avec les autres « crasses » de cet être malsain, tel un mauvais lutin, elles étaient connues.
Dans les bourgs alors ; … qui aurait osé transgresser, d’autant les changements d’élus.
Elles, et son époux, en eurent assez au bout d’un temps.
Lui décida de déménager. Elle, serait bien restée, aurait trouvé sa solution.
Le nouveau venu (paraît-il) décréta qu’il ne le laisserait pas faire - cloches ...
A des kms à la ronde, lui est surnommé « le fou ».

Par une belle journée d’été, un concours agricole.
La ville donna un lieu de place choisie aux c-car … s’ils voulaient voir le concours.
Tôt ce matin, quelqu’un eut l’incorrection de frapper fort à la porte d’un c-car.
Il "faisait" la "police" faisant dégager ceux-ci ...
Ce fourbe était là, encore lui … à faire sa loi.
A 10 kms de son chez lui.
Lors du concours … les langues y allèrent bon train ….
Tous le connaissent le fourbe, le traitant de fou.
Être malsain, vil, et bas ….
Être spécial, lutin méchant, qui ne sait rien faire d’autre que le mal.
Qui ne se complait que dans le mal, les magouilles, et les coups bas.

"Comment de tels êtres peuvent-ils vivre heureux ainsi, je ne peux le concevoir, ni le comprendre" "Ni ne le concevrait jamais".
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MessagePosté le: 02-02-2011 18:54    Sujet du message: Répondre en citant

Rosalia
Posté le: 10-10-2010 10:53 Sujet du message:
________________________________________

Nous vivons dans une période de croissance.
Celle-ci voudrait-on nous faire entendre, et positive pour toute personne ayant la possibilité de vivre dans le modernisme.
De tout cela en découle, une vie accélérée … sans humanité, sans regard sur ce qui nous entoure.
Une vie de pollution également pour la planète.
Si les pays pauvres, pouvaient être aidés de façon raisonnable (si cela est, ils n’en profitent pas), ces gens eux sauraient tirer profit de l’aide apporter aux jardinages, aux puits etc …
Ces pays pauvre, ont un cœur, ils le font vivre d’une autre façon que nous sommes obligés de vivre nous.
Voici quelques liens d’un petit coin Ardéchois. Un petit nombre de personne (ce n’est point une secte) a compris que la vraie vie était ailleurs, et d’une autre façon.
J’ai vu le reportage dans son intégralité, d’autres personnes l’auront vu peut-être.
Des réservations, pour des constructions dans cette région, sont établies de longue date.
Et si c’était ces gens qui avaient raison. Bien sûr parfois il n’y a pas d’autre choix que de vivre en ville etc …
Certains eux, ont tout quitté … pour vivre en paix, et en phase avec la nature. La décroissance est ....
J’ai pu voir un autre reportage sur l’Australie, et sur la Nouvelle Zélande … des coins reculés de la ville, j’ai pu me rendre compte que les gens vivent heureux, en union avec la terre.
Nos ancêtres pour la plupart connurent cette vie là.
Entre eux, leur façon de vivre et celle que nous devons vivre, l’écart est trop grand.
Rosalia

http://www.la-ferme-des-enfants.com/
Un des liens, mais je n'en trouve pas en relation avec l'aspect du reportage.

http://www.la-ferme-des-enfants.com/hdb_hameau_presentation.html

http://video.symbiotopia.org/2007/02/14/chantier-solidaire-du-hameau-des-buis-en-ardeche/

http://www.tree2share.org/article-663-le-hameau-des-buis-ecovillage-un-village-bio-et-social-nl-construire-l-avenir-dans-le-respect-de-la-vie-.-nl-par-l-association-la-ferme-des-enfants-videos

http://www.dailymotion.com/video/xb9j33_village-bio-2_news
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Posté le: 10-10-2010 15:57 Sujet du message:
________________________________________
Et si un certain nombre de gens, se mettaient à vouloir vivre comme ci-dessous quel mal y aurait-il seraient-ils moins heureux?
Pour ma part je ne pense pas. Vivre près de la terre, oublier télévision et autres de la vie moderne.. etc...

http://yourtes.net/votremodele.html
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MessagePosté le: 02-02-2011 18:59    Sujet du message: Répondre en citant

Rosalia

Posté le: 20-10-2010 22:45 Sujet du message:
________________________________________
Le monde va mal, nos aspirations, nos rêves, nos illusions, nos espoirs, sont bien souvent piétinés.
Et si nous faisions un petit effort chaque jour, afin de trouver un aspect positif de nos vies … à travers ce monde si compliqué. Si nous cherchions le bonheur ailleurs, de temps à autre.

Le ciel impressionnant et zébré d’étoiles nous rappelle que le monde n’est que merveille.
Les gouttes d’eau frappant au carreau, la pluie qui ruisselle et forme des rigoles, le long de nos ruelles, l’eau en cascade qui s’écoule le long des rochers, et finie en torrent, tout cela est bonheur.
Dans le ciel, entre pluie et soleil après orage, l’arc en ciel aux merveilleuses couleurs nous ramène au mystère de l’Humanité.
L’orage finit, l’oiseau chante, dans le jardin, dans les arbres du parc, et de la forêt.
L’oiseau chante heureux, l’oiseau sait que la pluie n’est pas néfaste, mais qu’elle est bonheur.
La nature est si belle, elle n’apporte qu’apaisement, et adoucit tout être humain.
La nature, pour nous change de tons jour après jour.
Au printemps tout renait, les prés verdoient, et nous offrent les plus jolies fleurs, celles des champs.
Aux arbres naissent des bourgeons, puis de nouvelles feuilles.
Puis l’été arrive, la chaleur apporte la nonchalance, et le plaisir des vacances.
Les touristes affluent de partout sur les routes, à la recherche des plus beaux sites.
Dans les prés, les moissonneuses, sont à l’œuvre, préparant la saison d’hiver, des greniers et étables. Puis,
Enfin l’automne aux multiples couleurs, arrive, apportant apaisement, et repos.
La beauté de cette saison n’échappe à personne, la fraicheur des petits matins, la douceur des journées, tout est parfait : le bonheur.
Puis les premières gelées apparaissent, le vent active la tombée des feuilles.
Quel bonheur de pouvoir s’offrir une promenade dans une allée jonchée de feuilles aux multiples couleurs.
De toute part les arbres sont dépouillés, dénudés.
Le froid s’installe, la terre est blanche, et durcie par les gelées.
Certaines régions, peuvent apprécier, un magnifique tapis blanc qui la recouvre toute entière. Alors, si l’on écoute bien … on peut entendre « la paix ».
Dans les villages, ou les villes, une fumée s’échappe des toitures.
Dans les habitations une autre chaleur remplace celle de l’été.
Parfois c’est celle d’un bon feu de bois, qui crépite, réchauffe, et nous apporte un autre bonheur.
C’est si petit le bonheur, il faut savoir le rencontrer, dans chaque parcelle de vie.
Chaque jour, chaque minute. Ne le laissons pas passer. « Ramassons-le ».
Il illumine le monde, par les mystères et beauté de la nature, et des animaux.
Il est là, tout près, à la naissance de l’enfant qui parait
Tout petit, qui illumine le foyer de ses parents, à travers, ses pleurs, ses sourires, ses premiers pas, ses premiers mots. Il est là en l’enfant que nous avons créé à travers notre amour.
Il est là, tout près, dans l’être aimé.
Il est là, à travers nos parents. Ils illumineront nos vies, si nous savons le voir, les aimer, les entourer, s’ils le veulent bien.
Il est là, en notre famille, nos enfants, nos parents, nos amis.
Il est là, dans le beau sourire d’une personne âgée.
Il est là, autour de nous, dans notre voisinage, si nous avons le bonheur de vivre à la campagne.
Il est là, dans chaque sourire, de ceux que nous côtoyons. Il est là, dans chaque bonne action que nous pourrons faire, et qui nous apportera bonheur, et joie.
Il est là, tout près, en nos fidèles petits compagnons, car un animal peu nous apporter beaucoup.
Il est là dans notre couple, dans chaque geste, dans chaque phrase, chaque sourire, chaque souvenir bon ou mauvais partagés ensemble, dans chaque difficulté, qui deviendront notre force, pour le meilleur et pour le pire.
Ces petits bonheurs ne passons pas à côté, ils sont précieux, faisons les fructifier chaque jour, sachons les reconnaître, les faire grandir.
Aimons nous assez fort, pour en apprécier chaque instant.
Apportons à l’autre le maximum de nous.
Offrons à nos enfants, tout l’amour de parents qui débordent en nous pour eux.
Efforçons nous chaque jour, de penser à nos chers parents, et ne les laissons pas de côté.
Donnons leurs chaleur, soutient et amour, afin de les rassurer face à un changement qui n’est pas facile pour eux … l’arrivée de la vieillesse.
Essayons d’offrir un peu de notre cœur, à chaque fois que nous pouvons.
C’est tout cela le bonheur, c’est cela qui nous aidera à vivre meilleur, et heureux.
Rosalia
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MessagePosté le: 02-02-2011 21:43    Sujet du message: Répondre en citant

Rosalia

Posté le: 22-10-2010 12:56 Sujet du message:
________________________________________
Professionnellement parlant je me doute, qu’une personne ayant choisi un métier médical ou assimilé, doit mettre de la distance entre elle et chaque patient, sinon, elle ne pourrait continuer ce métier - étant minée alors par la souffrance des autres.
C’est pourquoi j’en reviens à une situation qui pourrait se trouver changée : Si des structures adaptées, pour aider des personnes voulant rester chez elles, pouvaient être étudiées !
Pas une structure comme on en voit actuellement, entre DMR et Aides soignants, non pas.
Une structure d’accompagnatrice (eurs) à la maison, rémunérées, non pas par le patient lui-même.
Les ¾ des personnes âgées aimeraient rester dans leurs chez elles.
Un remaniement immense pourrait être fait à ce niveau là.
J’ai connaissance de personnes ayant les moyens, qui payent-elles même ; des personnes à demeure, qui se relaient, jour et nuit auprès de la personne (auprès d'elles).
Je ne parle pas là de personnes en fin de vie.
Mais malgré tout, exemple : Personnes en chaises roulantes ou autres.
C’est là que le « bas blesse », elles doivent payer de leurs deniers.
Me concernant, j’ai côtoyé la souffrance très jeune, dès ma petite enfance, jour après jour - au quotidien.
Plus tard, en relation avec mes aïeuls, mes parents s’en occupèrent …. Jusqu’à leurs derniers souffles.
J’étais très jeune – trop je sais le concevoir - lorsque j’appris des diagnostiques d’importance, les concernant, eux non, ce qui j’estime fut un plus pour eux.
Je ne sais pourquoi, j’avais en moi, cette capacité, à encourager, apporter le moral, à ceux qui m’entouraient et souffraient - ceci n'est pas un faire-valoir, mais une situation que j'explique vaguement comme je le peux -
que ce soit moralement, ou physiquement par la maladie (ou autre).
Très jeune, lorsque je me rendais à mon emploi, ou le soir au retour, je passais 20 mn ou plus, auprès de l’une de mes aïeules, qui m’attendait. Je l’encourageais, lorsque son moral chutait.
J’en fis de même, avec mon aïeul, qui se trouva plus tard dans la même situation de santé. J’habitais alors en dessous de chez lui.
J’ai souvenance, qu’il aimait venir près de moi. Je lui apportai alors aide physique ; ou morale.



Je savais donner le change, car je les aimais, il y eut tant d’autres personnes de la famille, la liste serait longue.
J’avoue malgré cela, en relation avec ma jeunesse, j’aurais préféré ne pas connaître certains détails, qui me marquèrent à jamais.
Je n’avais pas choisi le métier des personnes en souffrance, mais je connus pourtant cette souffrance.
Les destins de chacun sont différents, bien heureusement.
Rosalia

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MessagePosté le: 02-02-2011 21:54    Sujet du message: Répondre en citant

Rosalia

Posté le: 24-11-2010 15:46 Sujet du message:
________________________________________

Enfance, et jeunesses sont si lointaines, et pourtant elles semblent à nos yeux encore si proches.
Enfance, enfants. Ceux d’entre nous dont l’enfance fut imprégnée de douceur, seront-ils plus forts, que ceux pour qui l’enfance fut synonyme de dureté.
Peut-être, mais cela n’est pas évident.
Certains dont l’enfance fut douce, plus tard oublieront leurs parents, d’autres ne pourront envers et contre tout jamais les oublier.
L’être est complexe, chaque personnalité est différente.
De notre jeunesse nous gardons tous le souvenir, des années, sixties, des bals populaires, des orchestres qui animaient nos soirées du W-E.
Samedi - et dimanche pour certains - nous nous faisions une joie ; après une semaine de travail bien remplie, de nous retrouver entre amis.
Entre amis, pour danser sur les musiques de nos groupes et chanteurs préférés.
Les danses de l’époque, étaient : slow, marche, valse, madison, rock, twist, jerk etc …
Ces bals, pour la plupart d’entre nous furent le déclenchement de rencontres qui nous amenèrent au mariage.
Les filles de ma génération, pour certaines, étaient romantiques.
Je faisais partie de ce groupe d’amies là. Était-ce un bien, ou un mal …
Rêve d’un amour fort et durable, d’un amour passion, d’enfant, et d’un foyer à chérir. Désuet, peut-être pour certains. Pour d’autre cela ne l’était pas.
Cela me fait sourire à me remémorer, les garçons de notre génération.
Il y avait les amis de villages, que nous connaissions bien, et d’autres, connus dans les bals populaires.
Ces jeunes gars, après une soirée bien arrosée, recherchaient, l’aventure d’un soir.
Mes amies et moi étions négatives à leurs bagatelles.
Ces jeunes, recherchaient également l’âme sœur, pour fréquentations sérieuses, en vu d’un futur mariage.
Je les trouvais moi, trop pressés, à se diriger vers le mariage : nul ne peut aimer tout le monde, ni se marier avec le premier venu.
La génération des années 1970, et celle des années antérieures, se marient plus tôt que la jeunesse actuelle. Un emploi fixe, était le facteur déclenchant, avec l’amour.
Ces gars, pour certains, nous leurs avions donné un nom, d’après leur style.
Je ne sais si cela était dans d’autres régions. Ce nom de « minet » me fait encore sourire.
Minets : Style BC-BG, coupe Stone, pantalon patte d’Eph , cheveux mi-longs, etc ..
Style années 1970
http://www.linternaute.com/femmes/luxe_mode/tendances/0802-annees-1970/1.shtml
Arrive un jour, ou notre romantisme nous amena au mariage.
Mariage en robe blanche, tout un symbole pour l’époque.
Dans les années 1970-1980, les filles de ma région, lorsque arrivait l’heure de la maternité, quittaient pour la plupart, leur emploi pour élever leurs enfants.
Par choix, pas par contrainte.
Nous organisions des réunions avec nos enfants, 1, à 2 fois par mois, chez l’une et l’autre.
Nous étions de vraies mamans poules.
La naissance de mes enfants fut mon plus grand bonheur. J’eus si peur de ne jamais en avoir ….
Je reportais sur eux tout l’amour que je n’avais pas connu.
Mes enfants - comme pour mes amies - étaient mes soleils, mes joyaux, ma joie, ma lumière, ils représentaient ce qu’il y avait de plus grand, de plus beau au monde pour moi.
Je garde en souvenir, que mes amies et moi, adorions les vacances, afin d’avoir nos enfants autour de nous.
Pour qui avait eu une enfance malheureuse, enfants, et foyer, apportaient bonheur, épanouissement, sérénité plus encore.
Ces douces années passèrent si vite, trop vite.
Pris que nous étions dans le tourbillon d’une vie, nous n’avions pas le temps d’y réagir alors.
Arriva l’adolescence de nos chers enfants. L’adolescence, période fragile pour la jeunesse.
Certains parents baissèrent les bras, d’autres non.
Puis vint le moment ou nos enfants formèrent eux aussi un foyer. Avec logiquement d’autres idées que les nôtres.
Enfants qui ont l’âge, ou nous parents étions si heureux avec eux petits, autour de nous.
Dans les années 1970, dans le Jura, l’habitude ancestrale était de construire sa propre maison.
Chacun - ou presque - était fier d’avoir son « chez lui ».
Pour ces propriétaires, il était difficile à la Noël d’offrir de nombreux jouaient à leur progéniture.
Au pied du sapin seulement un ou deux jouets, accompagnaient le repas de Noël.
Mon rêve impossible, était d’offrir une ribambelle de jouets à nos enfants.
Eux, n’en étaient pas plus malheureux pour autant, mais « leur maman » elle, en était peinée.
Plus tard, ce fut possible, mais l’enfance n’était plus.
Comme vous tous, de tout mon cœur j’ai essayé de donner le maximum d’amour à mes enfants chéris.

Bientôt Noël, à tous, je souhaite de beaux préparatifs.
J’ai une pensée pour ceux qui souffrent, ou qui ont perdu un être cher, et pour qui Noël la plus belle fête de l’année, et les jours qui la précédent seront plus difficiles à vivre.
Rosalia
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MessagePosté le: 02-02-2011 22:01    Sujet du message: Répondre en citant

Rosalia
Posté le: 10-12-2010 15:30 Sujet du message:
________________________________________
Bonjour à vous
Un jour suite à avoir vu ce qu’était un forum - par mon mari - j’en cherchai un pour moi.
Je trouvai enfin Retraite Active - après maintes recherches - qui me paraissait mieux que tout autre.
Lorsque que j’arrivai ici, j’étais bien démunie, cherchant une ouverture vers l’extérieur - même par le biais du net.
Le fait alors d’avoir perdu une personne chère (au sens propre du terme) m’avait fatiguée grandement physiquement, et moralement, durant de longs mois, plus même.
J’ajouterai, deux proches très chers à mon cœur ; étaient partis au loin peu avant - pour combien d’années, ou pour toujours, je ne savais et ne sais toujours pas.
D’autres maladies et deuils s’enclenchèrent, mois après mois.
Ainsi que la férocité d’un proche suite à l’appât du gain - férocité, qui m’use à égalité avec l’absence des êtres chers à mon cœur.
S’ajoutèrent à cela, une récidive de santé, et un problème de cœur, dus à trop de souffrance morale accumulée.
C’est les raisons pour lesquelles, je cherchais un exutoire, pour ne plus penser, pour essayer de moins souffrir.
D’autant que les problèmes de santé venus se greffer suite à tant de douleurs, et blessures morales, étaient stressants.
Voir un psy n’aurait servi à rien. Il me le fut déconseillé, j’arrivais à exprimer mes peines, et un psy ne m’aurait rendu, ni les proches disparus, ni la santé.
Je reconnais être différente de vous pour toutes ces raisons, que vous ne sauriez comprendre je me doute.
Je souligne que je ne viens pas ici pour marquer des points, je le viens pour m’évader un minimum du quotidien, et éviter de penser.
J’essaie de créer des choses, que j’ai choisi et qui pourrait faire plaisir à quelqu’un d’entre vous (je me trompe souvent peut-être) par la même je me fais plaisir.
Je viens à ce forum car je m’y suis attachée grandement - erreur ou pas, c’est ainsi – c’est les raisons pour lesquelles lorsque j’eus quelques problèmes de connexion, cela m’inquiéta grandement, à savoir : pouvoir revenir ou pas.
J’apprécie tout le monde ici. C’est pourquoi j’admets, ne pas toujours comprendre, lorsque un conflit est, cela me peine ... Bien heureusement ceci est rare.
Bientôt Noël, la plus belle fête de l’année. Enfant, j’adorais cette fête, et pourtant j’étais souvent déçue, lorsque nous comparions Noël avec d’autres.
Plus tard de même je ne compris pas, lorsqu’à Noël, l’une de mes meilleurs amies, et voisine, reçut en cadeau familiale, une voiture. Je n’en fus aucunement jalouse.
Ma pensée fut pourtant « Pourquoi pas mo »i. Les raisons qui me furent donnée (à ce : « pourquoi pas moi » ne me convainquirent pas). D’autant que je donnais alors mon salaire.
Plus tard, lorsque j’eus mes enfants, les premières années, il leurs fut offert d’après nos possibilités.
Car lorsque quelqu’un construisait sa maison, dans les années 1977, c’était un sacrifice quelque part.
Dans les chaussures, alors, n’arrivait qu’un ou deux cadeaux. Il était impossible de faire plus.
Pratiquement tous les foyers étaient à la même enseigne à cet effet.
Je ne sais si l’amour que je portais à mes enfants, aura suffit à combler le manque de nombreux jouets. Plus tard, ils purent avoir des cadeaux plus conséquents.
Mais l’essentiel c’est l’amour donné à nos enfants, un ou deux cadeaux, de jolis préparatifs, et une table de réveillon, et de Noël. Ce que je n’avais jamais reçu, je croyais leurs donner au centuple.
Mes enfants, furent les soleils de ma vie.
Deux raisons simples : Durant un temps, je crus ne jamais pouvoir donner la vie. L’autre, je reportais sur eux, tout l’amour que je n’avais pas connu.
Parfois une idée me venait, fugitivement, « si un jour quand ils seront grands, ils ne voulaient plus de moi ». Et pourtant, je n’avais pas d’exemple d’un tel genre autour de moi.
J’en arrive au but de ma visite à ce topic forum.
Décembre, le plus joli mois de l’année, apporté par Noël.
En ce moment, cela devrait être la joie en les cœurs, et cela le sera pour nombre de gens.
D’autres, n’auront pas cette chance : les sans abris, les personnes seules, les malades, et nos anciens d’autant si ils sont seuls et quasi abandonnés.
Décembre le plus joli mois de l’année apporté par Noël. Apporté également par 3 dates anniversaires dans ma famille.
En ce moment cela devrait être la joie dans mon cœur. Trop d’être chers, manquent à l’appel.
Un oiseau blessé, fatigue plus vite.
Décembre, le plus joli mois de l’année.
Dans 15 jours Noël, le bonheur des petits et des grands.
Je souhaite que tous ceux que j’aime, trouvent joie et bonheur, en cette fin d’année.
Je souhaite, pour tous ceux qui souffrent qu’un rayon de lumière leur arrive s’il est possible.
Les Miracles existent il est dit. Les Miracles existent-ils ?
Si oui … il serait tant car les années ont passé sur les meurtrissures, et « l’oiseau blessé » est bien fatigué.
Je souhaite à vous, que je ne connais pas, et que j’affectionne pourtant, de bien préparer cette fête, ainsi que de douces fêtes.
Les Actualités ne nous présentent pas que la joie, j’espère qu’il sera possible de comprendre qu’un forum doit refléter la joie, mais que comme l’Actualité, certains jours il n’est pas possible pour moi.

J’espère que l’Administrateur, ne m’en voudra pas pour ces quelques mots.
Rosalia
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MessagePosté le: 02-02-2011 22:04    Sujet du message: Répondre en citant

Rosalia
Posté le: 18-12-2010 11:40 Sujet du message:
________________________________________
Quelques belles citations.

"Quand le cœur est bon, tout peut se corriger" [Jean-Louis Baptiste Gresset]
"La bonté en parole amène la confiance La bonté en pensée amène la profondeur La bonté en donnant amène l'amour". [Lao-Tseu]
"La bonté fait du bien à celui qui donne et à celui qui reçoit". [William Shakespeare]
"La maladie est le plus écouté des médecins : à la bonté, au savoir on ne fait que promettre ; on obéit à la souffrance". [Marcel Proust]
"Le cœur n'a jamais de rides. Il n'a que des cicatrices" [Francis Carco]
"Écoute ton cœur. Il connaît toute chose, parce qu'il vient de l'Âme du Monde, et qu'un jour il y retournera" [Paulo Coelho]


Bientôt Noël, les enfants sont en joie, leurs parents sont heureux.
Tous nous aimons cette belle fête, elle adoucit les cœurs.
Que ce ne soit pas pour un jour, mais pour toujours.
Car être bien dans son cœur, n'est pas de se conforter dans l'aigreur, cela n'apporte pas de joie.
Mais, cela peut faire énormément de mal à autrui, c'est une des principales raisons, pour lesquelles il faut éradiquer à jamais cette aigreur, qui n'aidera même pas celui qui en est porteur à être heureux.
C'est compréhensif, quel bonheur dans l'aigreur, la hargne etc ...
Aucun, cela n'apporte qu'une chose un plaisir personnel qui fatigue celui qui subit cette hargne.
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Dernière édition par Rosalia le 18-12-2010 11:56; édité 2 fois

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MessagePosté le: 02-02-2011 22:07    Sujet du message: Répondre en citant

Rosalia
Posté le: 18-12-2010 21:15

Deux petites citations

"Si vous voulez connaître la lie des sentiments humains, penchez-vous sur les sentiments que nourrissent les femmes envers les autres femmes : vous frissonnerez d'horreur devant tant d'hypocrisie, de jalousie, de méchanceté, de bassesse". [Amélie Nothomb]
"Il y a deux choses qui abrègent la vie : la folie et la méchanceté". [Baltasar Gracian


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MessagePosté le: 19-03-2011 22:52    Sujet du message: Répondre en citant

Demain Dimanche 20 mars 2011 nous fêterons le Printemps

Un vent de renouveau nous arrive par cette douce journée de mars
Une douce journée ensoleillée nous ramène à un nouveau Printemps
Profitons de cette douce et belle saison pleine de grâce
Nourrissons-nous de celle-ci chaque jour, chaque instant
Car, Effectivement, cette saison tant aimée passera aussi vite qu'auparavant
Apprécions la beauté, l’élégance, de ces bouquets dans les prés épars
Nourrissons-nous chaque jour de ce printemps bienveillant
Arbres, ruisseaux, fleurs, bosquets, oiseaux, papillons nous remémorent sa présence
Avant l’arrivée de l’été si vite, comme un autre présent
Ainsi va la vie, ainsi passe le temps,
Ainsi vont les heures, d’un temps filant au gré du vent
Ainsi vont les heures s’échappant au gré du temps
Ainsi va chaque saison, ainsi passe chaque printemps

Oh combien nous allons l’apprécier ce nouveau Printemps
Chaque instant, comme un précieux présent

Rosalia





Dernière édition par Rosalia le 30-03-2011 15:59; édité 1 fois
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jemigeja



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MessagePosté le: 20-03-2011 10:56    Sujet du message: Répondre en citant

juste un peu de poésie, à peine décalée...

Le corbeau et le renard
en argot par Pierre Perret

Maître Corbeau sur un chêne mastard
Tenait un from'ton dans le clapoir.
Maître Renard reniflant qu'au balcon
Quelque sombre zonard débouchait les flacons
Lui dit: "Salut Corbac,
c'est vous que je cherchais.
A côté du costard que vous portez, mon cher,
La robe du soir du Paon est une serpillière.
De plus, quand vous chantez, il paraîtrait sans charre
Que les merles du coin en ont tous des cauchemars."
A ces mots le Corbeau plus fier que sa crémière,
Ouvrit grand comme un four son piège à ver de terre.
Et entonnant "Rigoletto" il laissa choir son calendo.
Le Renard le lui pique et dit: "Apprends mon gars
Que si tu ne veux point tomber dans la panade
N'esgourde point celui qui te passe la pommade ..."

Moralité:

On doit reconnaître en tout cas
Que grâce à Monsieur La Fontaine
Très peu de chanteurs d'opéra
Chantent aujourd'hui la bouche pleine.

Very Happy
_________________
Ne craignez jamais de vous faire des ennemis ; si vous n'en avez pas, c'est que vous n'avez rien fait.
(Clemenceau)
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MessagePosté le: 30-03-2011 16:00    Sujet du message: Répondre en citant

Je ne connaissais pas cette version là Jemi - maintenant, je sais ...

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MessagePosté le: 30-03-2011 16:02    Sujet du message: Répondre en citant

Réflexion sur une certaine Écologie Mentale

L’écologie Mentale
Si chacun cherchait en lui-même regardait en lui, il découvrirait « l’autre », ce double indispensable, ce guide invisible, ce parapet, celui qui permet de vivre, d’exister, de concevoir, de créer, et de conceptualiser, de se posséder soi-même, de réaliser la cohésion le tout, enfin de se satisfaire du rien, de réaliser le non-besoin

1ère partie

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jemigeja



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MessagePosté le: 30-03-2011 16:25    Sujet du message: Répondre en citant

Rosalia a écrit:
se satisfaire du rien, de réaliser le non-besoin


C'est en gros un des préceptes de LAO-TSEU, dans le Tao-Te-King, élément essentiel du taoïsme.

Ne pas confondre avec LAO DSUS, élément d'organisation du rangement.
Embarassed Embarassed Embarassed Embarassed
_________________
Ne craignez jamais de vous faire des ennemis ; si vous n'en avez pas, c'est que vous n'avez rien fait.
(Clemenceau)
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MessagePosté le: 29-05-2011 10:59    Sujet du message: Répondre en citant




Un enfant, c’est notre sang, il fait partie de nous
De la tendresse, de l’amour nous en avons donné au centuple à nos enfants.
Un enfant en nous faisant mères, nous apporta le plus beau des cadeaux qu’il soit au monde.
Qu’est-ce qu’une bonne mère, est-ce aller dans le sens de son enfant, de ses aspirations, de ses rêves.
Qui pourra répondre à tant de questions que se sont posées ces mères un jour ou l’autre.
Personne pas même leurs propres enfants.
J’ai essayé moi d’apporter à chacun de mes trois enfants selon ses propres besoins.
L’un dira-t-il un jour que j’y suis parvenue, à l’encontre l’autre soutiendra alors le contraire.
Mais leur changement d’attitude, vient d’un parcours de vie, pas de leur éducation.
La vie n’est point lisse, le cours de celle-ci ne l’est pas
Des relations différentes, sont nées à travers chacun de nos enfants, cela en fonction de leurs caractères qui ne se ressemblent en rien.
Aimer éperdument son enfant ne veut pas dire que l’on ne veut pas son bonheur
Le bonheur de mes enfants passe avant le mien.
Je ne désire qu’une chose, qu’ils soient heureux – envers et contre tout – et que nul ne leurs fassent de mal jamais.
Ils ne le méritent aucunement.

Rosalia

Aujourd’hui 29 mai 2011 jour de la fête des Mères

J’ai une pensée pour toutes les mamans.
Pour celles qui sont heureuses, pour celles qui souffrent
Ainsi que j’ai une pensée pour Maman partit trop tôt.

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MessagePosté le: 08-06-2011 16:27    Sujet du message: Répondre en citant

Mille vies en Une

Combien au tout début - loin des premiers balbutiements - la vie peut être belle
Enfoui embryon, fœtus bien au chaud dans une enveloppe tout de miel
Protégé à chaque instant, par une douce assistance maternelle
Dans l’attente d’un futur fait de merveilles, et exceptionnel

L’arrivée sur cette terre, fut moins belle, pouvant paraître pour certains cruelle
Au début, combien toute chose semble bénie du ciel
Douceur, chaleur, adoration, paternel et maternelle
Réalité ou illusion d’un avenir sécuritaire réel
L’enfance s’éloigne faisant place à l’adolescence, à la recherche de sensationnel
Combien à cet âge, la vie peut parfois paraître belle
Plus rien ne compte alors pour le jeune rebelle
Parti inconsciemment à la recherche d’un monde artificiel
La maturité arriva par la recherche d’une moitié existentielle
L’égoïsme alors présent, le mot parent banalisé devint impersonnel
Recherche d’un avenir constructif, et parfois bien cruel
Monde de souffrance, venant d’une vie bien irréelle
Par cette souffrance l’esprit se tourna vers l’intellectuel
De ces compétences naquit le spirituel
De cette souffrance, en lutte avec le conflictuel
Naquit une grande connaissance, éloignant du démentiel
Alors la vie doucement devint belle

A chaque pas, à chaque contour elle doit être belle
A la prochaine descente de l’échelle
Il faudra alors se tourner vers le spirituel, et vers le ciel
Afin de laisser ce monde artificiel,
En cherchant en ce monde l’essentiel
Afin que la vie chaque jour soit belle

Rosalia

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MessagePosté le: 29-08-2011 17:45    Sujet du message: Répondre en citant

Bonsoir

Je n'ai pas créé de nouveaux sujets,

J'ai reçu ce beau texte ....
Cet homme était prophète, bien sûr, cela ne veut pas dire qu'il est Dieu, mais bon ...

Je vous en fait profiter ...

Au cas ou cela vous dirait d'ajouter un commentaire : Qu'en pensez-vous

1. Les enfants
Une femme qui tenait un nouveau-né contre son sein dit : parle-nous des enfants.
Il dit :
Vos enfants ne sont pas vos enfants.
Ils sont les fils et les filles du désir de la Vie pour elle-même.
Ils passent par vous mais ne viennent pas de vous,
Et bien qu'ils soient avec vous, ils ne vous appartiennent pas.
Vous pouvez leur donner votre amour, mais pas vos pensées.
Car ils ont leurs propres pensées.
Vous pouvez loger leurs corps, mais pas leurs âmes.
Car leurs âmes habitent la maison de demain, que vous ne pouvez visiter, pas même en rêve.
Vous pouvez vous efforcer d'être semblables à eux, mais ne cherchez pas à les rendre semblables à vous,
Car la vie ne revient pas en arrière et ne s'attarde pas avec le passé.
Vous êtes les arcs à partir desquels vos enfants, telles des flèches vivantes, sont lancés.
L'Archer vise la cible sur la trajectoire de l'infini, et Il vous courbe de toutes ses forces afin que les flèches soient rapides et leur portée lointaine.
Puisse votre courbure dans la main de l'Archer être pour l'allégresse,
Car de même qu'Il chérit la flèche en son envol, Il aime l'arc aussi en sa stabilité.

Rudyard Kipling (1865-1936)

" Attention, ce message peut avoir plusieurs sens"

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Rosalia



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MessagePosté le: 08-09-2011 17:44    Sujet du message: Répondre en citant

Bonheur et Joie

Dans l’éternel Bonheur et Joie
Sont mêlés tels les deux parties d’une noix
Dans le paradis il n’y a pas de choix
Dieu ignore les aléas du moi
Il n’y a ni toi, ni moi, ni soi
Il n’y a que de la joie
Des plaisirs et des excès nait le pourquoi
Dans les désirs et les besoins Adam se noie
Du paradis il est chassé de surcroît
Par Dieu le père, Dieu le roi
Qui invente le jeu de l’oie
Il n’y a alors plus de joie.
Sur la terre à nouveau existe le choix
De la dualité naît le trois
Qui met la multitude en émoi
Par la naissance l’enfant devient roi
Il mange, il boit et il croît
Alors matérielle est la joie
Matière se confond avec la joie
Si Maternelle est la foi
Paternelle est la courroie
A sa mère l’enfant tient les doigts
Avec le père l’enfant se tient coi
Alors Maternelle est la joie
L’adolescence développe le pourquoi
Par l’alcool il fait sa crise de foie
Par sa taille il devient narquois
Par le langage il fait entendre sa voix
Sur tous les principes il s’asseoit
Seul l’amour développe sa joie
L’adulte se socialise et se soumet aux lois
De sa responsabilité il prendra du poids
Dans tous les instants il fait des choix
Il se sent coupable et dans les soucis il se noie
Par son travail et sa maison il se prend pour un roi
Il croît avoir trouvé un toit
Alors il perd progressivement sa joie
Par la souffrance il retrouve la voie
Par la maladie l’homme se nettoie
Par la douleur il découvre son sur-moi
Par la dépression il passe le détroit
Après un long chemin de croix
L’homme perd le bonheur mais retrouve sa joie
Alors l’esprit donne sa pleine voix
L’âme peut cheminer dans sa double voie
Le corps peut trouver son unité par le trois
Joie matérielle, rayonnante forme le soi
A nouveau l’homme aveugle voit
Au monde existentiel initiatique il croît
De la puissance divine il a la foi
Au monde d’ignorance il sursoit
Pour une nouvelle cité de la joie

Ce texte mérite que l'on s'y arrête, que l'on y réfléchisse.
Texte philosophique, au sens des plus justes.
Texte d'un Orateur, Philosophe, et Scientifique

« La foi est une ferme assurance des choses qu'on espère, une démonstration de celles qu'on ne voit pas »

Verset Biblique

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Rosalia



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MessagePosté le: 13-09-2011 09:47    Sujet du message: Répondre en citant

La rumeur

La rumeur coule et file si vite colportée

Exercices de commérages parfois vrais souvent faux, dans le seul but de détruire un être qui dérange.

Si certains à cause de la rumeur se sont suicidés, d’autres ont préféré porter plainte, avant que d’en arriver là. ( Je ne connais plus l’auteur).

Le suicide c’est la force de ceux qui n’en ont plus ( Je ne connais plus l’auteur).

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Gycé



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MessagePosté le: 18-10-2011 10:57    Sujet du message: A Ems Répondre en citant

Je lui avais promis ....A mon compagnons fidèle que si un jour il partait je lui rendrai hommage sur un site qu'à l'époque j'avais ......

J' ai tenu ma promesse ...............

A Ems


A toi mon ami, toi que j’ai aimé et respecté
A toi mon ami parti, dans le calme et la sérénité



Un matin d’avril 1989 tu as vu le jour et croisé mon regard,
Depuis ce jour nous savions toi et moi que notre vie allait changer.
Que nous allions passé quelques années de joie de bonheur partagé
Et c’est aussi un soir d’avril, que tu nous as quitté dans un dernier regard.


La vie pour toi fut un éternel chemin de découverte de bonheur et de joie
Cela a commencé par ton apprentissage, la dure loi de ce que tu peux faire,
Loi que tu as choisi de respecter pour que ton plaisir ne gâche pas ma joie
Et pourtant tu as toujours fais ce qui était permis et ce avec ton caractère.


Les balades, les promenades, en chemin et forêts furent pour toi et moi
Des instants de générosité partagée, de plaisir mutuel chaque fois renouvelé.
Et quand nous revenions, tous ensemble c’est à ce moment là qu’avec joie
Tu reprenais quelques forces, de ton repas qu’avec amour on avait préparé.


Tu étais force courage et volonté ainsi que douceur malice et gentillesse
Ta présence était synonyme de tranquillité confiance, quiétude et sécurité,
Tu as fait ton devoir jusqu’au bout vigilant et confiant malgré ta vieillesse,
Toi notre fidèle ami, qui nous a donné tant de joie de satisfaction et de gaieté.


Un matin d’avril 1989 tu as vu le jour et croisé mon regard
Et c’est un soir d’avril, que tu nous as quitté dans un dernier regard.


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Rosalia



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MessagePosté le: 25-01-2012 18:14    Sujet du message: Répondre en citant

Ems Doberman, impressionnant par sa carrure, mais qui devait être si gentil.

Chaque fois, que je vois un ami, (ou Maître d'un chien) je pense à Alain Delon et sa passion pour ces animaux si fidèles.

http://www.lepetitnicois.fr/node/45039

Votre ami est parti Gycé, je pense qu'il doit être difficile à remplacer.
Pour combler la solitude d'un animal tel que Ems pour exemple, il est possible de retrouver un autre compagnon, qui ne le remplacera jamais.

Mais, cela n'est pas facile du tout, je me doute bien.
Nous avons perdu Wolff que j'avais élevé au biberon, en octobre 2004
Je le jugeai irremplaçable.
Puis, cette race m'a manquée, et 8 mois plus tard, nous avons choisi d'adopter Wolff 2 de la même race.
Il ne remplace pas l'autre, il ne sera jamais lui, mais il mérite toute notre attention, car tout animal apporte beaucoup à l'homme - que ce soit : chien, chats, cheval parfois (je pense aux propriétaires de chevaux que je côtoie régulièrement) etc ...

Je viens juste de voir ce texte si bien écrit
Je vous remercie de l'avoir apposé ici Gycé

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Rosalia



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MessagePosté le: 25-01-2012 18:17    Sujet du message: Répondre en citant

Et alors le laboureur dit : Parlez-nous du travail



A propos du Travail...

Vous travaillez afin de marcher au rythme la terre et de l'âme de la terre.
Car être oisif est devenir étranger aux saisons, et s'écarter de la procession de la vie, qui marche avec majesté et en une fière soumission vers l'infini.
Quand vous travaillez, vous êtes une flûte dont le cœur transforme en musique le chuchotement des heures.
Qui parmi vous voudrait être un roseau muet et silencieux, alors que le monde entier chante à l'unisson ?
On vous a toujours dit que le travail est une malédiction et que le labeur est une malchance.
Mais je vous le dis, quand vous travaillez, vous accomplissez une part du rêve le plus ancien de la terre, qui vous fut assignée lorsque ce rêve naquit.
Et en vous gardant proche du travail, vous êtes dans le véritable amour de la vie.
Et aimer la vie par le labeur est devenir intime avec le plus profond secret de la vie.
Mais si dans votre souffrance, vous considérez la naissance comme une affliction, et le poids de la chair comme une malédiction inscrite sur votre front, alors je réponds que rien d'autre que la sueur de votre front peut laver ce qui y est inscrit.

On vous a dit aussi que la vie est obscurité, et dans votre lassitude vous répétez ce que disent les las.
Et je vous dis que la vie est en effet obscure sauf là où il y a élan,
Et tout élan est aveugle sauf là où il y a la connaissance.
Et toute connaissance est vaine sauf là où il y a le travail,
Et tout travail est futile sauf là où il y a l'amour ;

Et quand vous travaillez avec amour vous attachez votre être à votre être, et vous aux autres, et vous à Dieu.
Et que veut dire travailler avec amour ?
C'est tisser une étoffe avec un fil tiré de votre cœur, comme si votre bien-aimé devait porter cette étoffe.
C'est bâtir une maison avec affection, comme si votre bien-aimé devait résider dans cette maison.
C'est semer le grain avec tendresse, et récolter la moisson dans la joie, comme si votre bien-aimé devait en manger le fruit.
C'est insuffler dans toutes les choses que vous fabriquez l'essence de votre esprit.
Et savoir que tous les morts vénérables se tiennent près de vous et regardent.

Je vous ai souvent entendu dire, comme si vous parliez dans votre sommeil, "Celui qui travaille le marbre, et dévoile dans la pierre la forme de son âme, est plus noble que celui qui laboure la terre.
Et celui qui s'empare de l'arc-en-ciel pour l'étendre sur une toile à l'image d'un homme, vaut plus que celui qui fabrique des sandales pour nos pieds."
Mais je dis, non en mon sommeil, mais dans le plein éveil du milieu du jour, que le vent ne parle pas avec plus de tendresse au chêne géant qu'au moindre des brins de l'herbe ;
Et que seul est grand celui qui, par son propre amour, métamorphose la voix du vent en un chant plus doux.
Le travail est l'amour rendu visible.
Et si vous ne pouvez travailler avec amour mais seulement avec dégoût, il vaut mieux quitter votre travail et vous asseoir à la porte du temple et recevoir l'aumône de ceux qui travaillent dans la joie.
Car si vous faites le pain avec indifférence, vous faites un pain amer qui n'apaise qu'à moitié la faim de l'homme.
Et si vous pressez le raisin de mauvaise grâce, votre rancune distille un poison dans le vin.
Et si vous chantez comme les anges, mais n'aimez pas le chant, vous voilez aux oreilles de l'homme les voix du jour et les voix de la nuit.

Alors un homme riche dit : Parlez-nous du Don



Et il répondit
Le don du cœur est le véritable bien.
Que sont vos biens, sinon des choses que vous gardez et défendez, par crainte du besoin du lendemain ?
Et demain, qu'apportera demain au chien si prudent qu'en suivant les pèlerins vers la cité sacrée, il enterre des os sans repères dans le sable du désert ?
Qu'est-ce que craindre de connaître le besoin, sinon vivre dans le besoin ?
Redouter d'haleter de soif, alors que votre puits regorge à foison, n'est-ce pas jamais savoir boire jusqu'à plus soif ?
Il y a ceux qui donnent peu de leur abondance - et ils le donnent pour le plaisir d'en recevoir la reconnaissance mais leur désir caché corrompt leur don.
Et il y a ceux qui ont peu, et le donnent entièrement.
Ceux-ci croient en la vie et en la bonté de la vie, leur fond n'est jamais vide.
Il en est qui donnent avec joie, et cette joie est leur récompense.
Et il en est qui donnent avec peine, et cette peine est leur baptême.
Il en est aussi qui donnent sans souffrir d'une peine, ni quérir une joie, mais encore sans être conscients de cette vertu;
Ceux-là donnent à l'instar de ce myrte qui exhale sa fragrance là-bas, dans les airs de la vallée.
A travers le geste de leurs mains, Dieu nous parle et sourit à la terre du fond de leurs prunelles.
Il est bien de donner à qui quémande, mais il est mieux de donner sans qu'on vous le demande, par compréhension ;
Et celui qui a le cœur sur la main en quête de celui qui est giflé par la main du destin,
Eprouve dans sa recherche une joie encore plus sublime que lorsqu'il fait don de ses biens.
Sauriez-vous réellement conserver à jamais ne fût-ce qu'un seul de vos biens ?
Tout ce que vous possédez, un jour ou l'autre, sera cédé;
Donnez donc maintenant afin que la moisson de votre don soit la vôtre, et non pas celle de vos héritiers.
Vous dites souvent : "Je donnerais volontiers, mais seulement à ceux qui en sont dignes".
Ce n'est point ce que disent les arbres de vos vergers, ni les troupeaux de vos pâturages.
Ils donnent afin de vivre, car retenir c'est pire.
Celui qui a été digne de recevoir le don de rester en vie, le long de ses jours et de ses nuits, est aussi digne de recevoir tout autre don émanant de vous.
Et celui qui a mérité de boire à l'océan de la vie, mérite de remplir sa coupe à votre ruisseau.
Est-il un mérite encore plus grand que celui qui réside dans le courage et la confiance, dans la charité même, de recevoir ?
Au nom de qui pourriez-vous contraindre les gens à se déchirer la poitrine et à se dépouiller de leur dignité,
Afin de vous laisser voir la mise à nu de leurs valeurs et leur fierté sans pudeur ?
Veillez d'abord à mériter de donner, et d'être l'instrument du don.
Car en vérité c'est la vie qui donne à la vie - et vous qui croyez être la source du don, vous n'en êtes que témoins.
Quant à vous qui recevez - et vous tous vous recevez - que la reconnaissance ne vous pèse guère, sinon vous risqueriez d'imposer un joug à vous-même et à vos bienfaiteurs.
Elevez-vous plutôt ensemble, comme si leurs dons étaient des ailes;
Etre trop soucieux de vos dettes, c'est douter de leur générosité qui a la terre magnanime pour mère, et Dieu pour père".

Khalil Gibran



C'est par un proche que j'ai connu les textes et écrits de Khalil Gibran.


Sagesse Amérindienne
Quand le dernier arbre sera abattu,
la dernière rivière empoisonnée,
le dernier poisson capturé,
alors seulement l'homme blanc s'apercevra
que l'argent ne se mange pas."

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