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Trouvez vous ces nouvelles bonnes ???

 
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jemigeja



Inscrit le: 18 Juil 2010
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MessagePosté le: 08-05-2012 22:08    Sujet du message: Trouvez vous ces nouvelles bonnes ??? Répondre en citant

Bonjour

On parle déjà des premières mesures à prendre par le nouveau président :

- Blocage du prix des carburants pendant trois mois. Chic, juillet, aout septembre..les vacances. C'est la période où ils sont traditionnellement les plus chers. Bonne nouvelle ? A voir

Cette mesure est obtenue en rendant une taxe inversement proportionnelle au prix. Plus il augmente, plus la taxe diminue, et inversement. Je l'ai dit, c'est la période où le carburant est le plus cher. Donc la taxe sera au plus bas. Sauf que ces taxes ont été prévues dans le budget de l'état. Si elles sont moins importantes, ça va générer un manque à gagner. Moins de recettes dans un état couvert de dettes, comment on compense ? L'histoire ne le dit pas. Crying or Very sad

- la retraite à 60 ans : seulement pour ceux qui auront commencé à bosser entre 18 et 19 ans qui auront cotisé 41 ans, soit un quart de cette tranche d'âge à peu près, soit environ 150 000 personnes. Coût : un milliard d'euros la première année, mais ça augmente tous les ans, deux milliards la deuxième, cinq milliards la cinquième.

Comment on finance ? simple, on augmente à part égale les cotisations sociales salariales et patronales.

Résultat : sur les salaires : une ponction supplémentaire, soit une baisse du pouvoir d'achat. Comme le coût sera répercuté, des conséquences à l'effet domino. Augmentation des prix, inflation, baisse du pouvoir d'achat. Et baisse de la compétitivité, pour les petites entreprises moins de clients, et pour les grosses moins d'exportations. D'où chômage prévisible à terme.

Mes sources : Le jt d'antenne2 ce soir http://jt.france2.fr/20h/ Le sujet démarre à 17minutes 30.

En plus, si j'en crois le parisien : Le programme de François Hollande repose sur des hypothèses de croissance économique optimistes. Certes, comme le Fonds monétaire international (FMI), il mise sur une progression de l’activité économique limitée à 0,5% cette année. Le FMI est en désaccord, en revanche, avec les chiffres retenus pour les exercices suivants. On saura vendredi si la Commission européenne partage ce constat. Si d’aventure Bruxelles revoyait à la baisse ses prévisions de croissance pour l’Hexagone, la situation de François Hollande se compliquerait d’entrée de jeu.
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Finn



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MessagePosté le: 10-05-2012 01:13    Sujet du message: Répondre en citant

Ok, ok, mister Jemi... Finn à la solution ultime et définitive, tout le monde se met le cul par terre,
fait une prière au St Esprit et attend que ça tombe du ciel...

Je pense que c'est une solution qui doit te convenir, n'est-il pas Wink
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jemigeja



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MessagePosté le: 10-05-2012 07:40    Sujet du message: Répondre en citant

Il n'y a pas de plus mauvaise solution que sleepy2 l'inaction.

Je suis persuadé que des solutions existent, mais dans la situation actuelle, il est indispensable de commencer par les économies, et là, on commence par les dépenses, sans savoir si elles vont être finançables. C'est le contraire du bon sens... crybaby
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Finn



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MessagePosté le: 10-05-2012 16:18    Sujet du message: Pas de nouvelle, bonnes nouvelles... Répondre en citant

Pas de nouvelle, bonnes nouvelles et à propos de la dette des États...

Je revois ma copie et fais quelques modifications et ajouts...

Commençons par la fin. Étant donné qu'un État souverain, par définition, a le contrôle sur sa situation, il ne peut pas être contraint de rembourser ses dettes...

(...)

L’histoire économique moderne, fourmille de situations où l’on a vu des pays s’enfoncer dans la crise suite à leurs difficultés financières. Et malheureusement, ces crises financières, puis économiques ont souvent marqué des temps de retournement historiques. Concernant l’Europe, la France a souvent fait « défaut » dans son passé lointain : huit fois entre le XIVème et le XVIIIème siècle. C’était même là la technique favorite de nos monarques pour ne pas honorer leurs dettes ! Au cours du seul XIXème siècle, l’Espagne a fait sept fois défaut. La Grèce détient pour sa part un triste record : elle a été en défaut pendant plus de la moitié des années écoulées depuis son indépendance en 1830. Au début des années 1930, de nombreux États européens n’ont pu faire face à leur dette : l’Allemagne, l'Autriche, l'Espagne, la Grèce, la Hongrie, la Pologne, la Roumanie, la Turquie. La leçon de l’histoire, nous disent les professeurs américains Reinhart et Rogoff, est que les États n’hésitent pas à ne pas rembourser leurs créanciers lorsque leurs dettes sont devenues trop lourdes. Et lorsqu’elles sont remboursées, elles le sont souvent en « monnaie de singe », c’est-à-dire avec une monnaie dévaluée du fait de l’inflation. La planche à billets, depuis le XXème siècle, a remplacé le rognage des pièces d’argent.

Alors, un État peut-il être juridiquement en « faillite » ? Techniquement la réponse est sans ambiguité, NON ! Un État peut se trouver en cessation de paiements, en incapacité de rembourser sa dette et décider unilatéralement de ne pas honorer ses engagements, ne plus payer ses fonctionnaires et ses créanciers, mais il ne peut en aucune manière être mis en liquidation et disparaître comme ce serait le cas pour une entreprise.

Ne pouvant pas « liquider » un État, que faire ? Au 19ème siècle, les créanciers (les occidentaux) utilisaient la technique de la canonnière (relire Bel Ami, de Henry-René-Albert-Guy de Maupassant). De militaire, l’action devînt ensuite judiciaire : jusqu’au milieu des années 80 du siècle dernier, les créanciers impayés des États allaient faire valoir leurs droits devant les tribunaux (avec plus ou moins de succès compte tenu de l’existence des théories juridiques comme l’Immunité des États souverains qui empêchent un tribunal d’exécuter un jugement de saisie à l’encontre de cet État), souvent avec le soutien de leurs États. Sous la pression du FMI, l’idée fut de de promouvoir une approche contractuelle du problème : lorsqu’un État connait des difficultés graves, les créanciers de ce dernier et celui-ci s’assoient autour d’une table et discutent des conditions de renégociation et / ou restructuration de la dette. Tout comme pour les entreprises et les individus, on cherche d’abord une solution négociée. Mais ici, il n’y pas l’intervention d’un juge, sauf à considérer le FMI dans ce rôle. Mais pour arriver à un accord, encore faut-il que les créanciers s’entendent, selon des règles de majorités qui n’étaient pas claires. C’est pourquoi l’on a vu se développer des « clauses d’action collectives » dans les contrats d’émission des dettes souveraines qui permettent qu’une restructuration soit considérée comme acceptée par tous les créanciers dès lors que seule une majorité d’entre eux (75 % dans la plupart des cas) donne leur accord. On est passé d’une logique judiciaire à une logique contractuelle.

Mais au fait, qui sont les créanciers de l'État français ? Parmi les acheteurs qui détiennent actuellement la dette de l'État, 51 à 56 % sont des non-résidents, c'est-à-dire des personnes, françaises ou pas, domiciliées hors de France, mais leur identité et leur provenance géographique sont très difficiles à connaître. On sait juste que la plupart sont des investisseurs institutionnels, banques, assurances, ou organismes de placement de type fonds de pension... 14 % est détenu par les établissements de crédit considérés comme résidents et 21 % à des compagnies d'assurance considérées aussi comme résidentes. Qui dit fonds de pension, pense inévitablement aux États-Unis. Et qui est le créancier des États-Unis ? C'est la Chine. Le créancier de la Chine me direz-vous, peut-être est-ce Dieu, allez savoir... C'est donc ce dernier pays qui détient, actuellement, les cordons de la bourse mondiale.

Mais... Il semble que les trois plus gros pays étrangers détenteurs de dette Française sont : les îles Caïmans, le Luxembourg et le Royaume-Uni. Les deux premiers ont une fiscalité pour le moins avantageuse, mais à partir d'un certain pécule la fiscalité n'est plus guère un problème. En fait, c'est un peu plus compliqué que ça mais on se perdrait dans les détails.

Il est à remarquer au passage que l'anonymat des transactions favorise certaines dérives. Dès lors qu'il est mis un nom, un visage, en bref, dès lors qu'il y a une responsabilité, celà bouleverse la règle du jeu. C'est sans doute là un des gros problèmes de la finance dite ... sans visage.

« Le procès de la finance sans visage »... Est le titre d’un excellent dossier du magazine d'actualité économique Challenges. Savez-vous qui a dit : « les banques, je les ferme, les banquiers, je les enferme » ? Jean-Luc Mélenchon, du Front de Gauche ? Que nenni, c’est le très sympathique Vincent Auriol, qui, avant de devenir Président de la République Française de janvier 1947 à janvier 1954 est passé par le ministère de l’Économie en 1936. Il est vrai que c'était dans le cabinet du Front Populaire dirigé par Léon Blum.

Évidemment, tout ça ne sont que jeux d'écriture car tous les États sont interdépendants et leurs « dettes » sont comme le (non) lieu où nous sommes à cet instant, elles sont ... virtuelles ! Aucun pays n'est véritablement en mesure de rembourser sa dette, une dette qui est bien souvent rachetée et aussi ... mais bref !

Ce qui semble plus certain, c'est que le monde de la finance sait parfaitement qu'il doit marcher sur des oeufs. Une population qui descend dans la rue quand elle est trop pressurée, c'est difficilement contrôlable (voir en Grèce...). Les plans d'aide aux pays européens au bord de la faillite (virtuelle !) consistent donc en fait à racheter leur dette souveraine. D'une point de vue mathématique, c'est un système pervers qui ressemble fortement au mouvement perpétuel et à la quadrature du cercle... Concernant la quadrature de cette dernière, c'est un problème totalement impossible à résoudre. Ce qui et en toute logique, revient à dire qu'il n'en est pas un !


Dernière édition par Finn le 10-05-2012 23:14; édité 1 fois
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leon



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MessagePosté le: 10-05-2012 17:28    Sujet du message: Répondre en citant

Shocked

salut çà c'est dit, on reconnait l'homme, contestataire mais censé réaliste.
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faut y aller tant qu'on le peut, le temp passe vite.
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jemigeja



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MessagePosté le: 10-05-2012 18:06    Sujet du message: Répondre en citant

la dernière phrase de Finn m'a rappelé une devise Shaddok

S'il n'y a pas de solution, c'est qu'il n'y a pas de problème. Laughing Laughing
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Finn



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MessagePosté le: 10-05-2012 20:26    Sujet du message: Farpaitement ! Répondre en citant

Farpaitement ! Et c'est d'autant plus vrai que des problèmes - à croire qu'on se languit de n'en
avoir pas assez - on déborde d'imagination pour s'en créer de nouveaux. On a d'ailleurs tellement
besoin de problèmes, qu'on vient d'élire un nouveau penseur en chef chargé de la création d'encore
plus de problèmes. Ben oui, des fois qu'on y'en aurait pas pensé tout seul !

Je pense parfois que si Dieu existe et qu'il nous regarde, il doit être plié en deux à force de rigoler !!

- Faut rigoler, avant que le ciel nous tombe sur la tête,
faut ouigoler, faut ouigoler, pour empouêcher le ciel de tombouer !

>>> http://www.youtube.com/watch?v=cwFD8dM7Zgg
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jemigeja



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MessagePosté le: 11-05-2012 15:47    Sujet du message: Répondre en citant

Toujours dans le cadre des nouvelles pas très bonnes :

Vu sur francetv.fr

Bruxelles plus pessimiste que Hollande en matière de croissance et de déficit

Des chiffres de mauvaise augure. La Commission européenne européenne a publié ses prévisions de printemps vendredi 11 mai. Pour la France, elle table sur une croissance inférieure à celle prévue par le président élu, François Hollande, et sur un déficit public plus important en 2013. Comment interpréter ces chiffres ?

• Bruxelles prévoit 1,3% de croissance et 4,2% de déficit

Dans ses prévisions de printemps, elle prévoit sur une croissance en France de 1,3% en 2013. François Hollande estimait qu'elle s'établirait à 1,7%, soit le même niveau qu'en 2011. De son côté, le FMI avait tablé sur 1%.

La France devrait également connaître un dérapage de son déficit public en 2013, à 4,2% contre un objectif de 3% affiché par François Hollande. La dette publique devrait elle aussi continuer à augmenter, passant de 85,8% du PIB en 2011 à 90,5% cette année et 92,5% en 2013.

Par ailleurs, la lente amélioration de la situation économique du pays, après 0,5% de croissance attendue cette année (soit un chiffre conforme à ce qu'attend François Hollande), "devrait être insuffisante pour mettre fin à la détérioration du marché du travail", souligne la Commission. Celle-ci table sur un taux de chômage en hausse : après 9,7% en 2011, il devrait atteindre 10,2% en 2012 et se stabiliser à 10,3% en 2013.


Alors, chef, on fait quoi pour réduire le déficit ? On réduit les perspectives de dépenses ? Mais c'est qu'ils vont être déçus, les électeurs de gauche ; On augmente les impôts ? lesquels ? sur les entreprises ? Bonjour l'emploi ; Sur les contribuables ? bonjour le pouvoir d'achat !!!

Et le taux de chômage prévu en hausse ? c'était pas au programme, ça... On fait quoi ? on recrute des fonctionnaires et des emplois jeunes ? mais ça va augmenter le déficit, tout ça...

La réalité court parfois plus vite que les belles promesses...Dommage pour ceux qui croient au père Fran...non, pardon, Noël...
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leon



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MessagePosté le: 11-05-2012 18:43    Sujet du message: Répondre en citant

Shocked
Bizarre jemi, on sent de la rancoeur dans vos écrits, faut pas, maintenant faut accepter et faire avec pour 5 ans, mais surtout pour la france, pas pour l'homme qui va faire ce qu'il va pouvoir , surtout qu'il va etre contrecarré bétement par des gens bornés ou interressés et pas du tout constructif comme ce l'a été dans ce dernier quinquina, que meme le nouveau actuel en a profité grandement, regardons le pays et aidons autant que l'on peut a notre echelle, peut etre améliorerons nous nos problèmes.
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jemigeja



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MessagePosté le: 11-05-2012 19:28    Sujet du message: Répondre en citant

Non leon, aucune rancœur.


Le nouveau président a été élu démocratiquement, c'est incontestable.

Simplement, je constate que ces paroles ne sont pas en accord avec ses actes. Mais c'est un constat de fond, si il était de droite et apporte autant de contradictions, mon discours serait identique.

Je n'ai jamais adhéré à aucun parti. je me suis longtemps demandé pour qui j'allais voter. DSK était mon favori avant les tristes affaires, je pensais qu'il était le plus compétent.

Seulement, je dénonce les promesses démagogiques, et je les regrette. Le seul qui nous disait la vérité pendant la campagne, c'était Bayrou. Mais il ne représentait que lui même, hélas.

Aujourd'hui que voit-on ? le nouveau président qui vient de dire (vu au JT ce soir) qu'il savait déjà depuis quelques semaines que les chiffres étaient moins bons que ce sur quoi il avait bâti son programme. Mais il ne change rien. Il va (il le dit) augmenter les impôts. Il ajoute (à mi voix) - des plus riches et des grandes entreprises.

Comme je l'ai déjà écrit, les plus riches se barrent en courant, on l'a encore dit aux infos hier, et les grandes entreprises ont toutes des montages financiers pour échapper à l'impôt - voir l'émission d'Elise Lucet ce soir, j'ai vu la bande annonce. Alors qui va payer les promesses ??? la classe moyenne, comme toujours. Et il va plutôt augmenter les impôts que revenir sur ses promesses. Je préférerais quelqu'un qui dise franchement "je me suis trompé, je ne pourrais tout faire". celui là, j'aurais une profonde estime pour lui, mais existe-t-il ?


Nb : le quinquina, c'est un apéritif, le quinquennat un mandat présidentiel...Boit-il du quinquina pendant son quinquennat ? occasion5
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JONAS18



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MessagePosté le: 12-05-2012 03:30    Sujet du message: Répondre en citant

Bonjour Jeanmi,

Il n'est pas superflu de te rappeler un petit détail: Le président élu n'est pas encore en fonction. Il le sera mardi quand Nicolas lui aura cédé la place. Pour ma part je trouve ces deux hommes d'une grande dignité. L'ancien fait oublier ses bévues et le nouveau ne veut pas qu'il lui arrive les mêmes inconvénients. Je considère personnellement que Nicolas Sarkozy ne pouvait plus espérer un second mandat dès la fin de la première année catastrophique de son quinquennat. En revanche son activité exemplaire et ses décisions énergiques justifiaient son salaire mais aussi que l'on oublie ses réactions épidermiques enfantines. Il laissera une très bonne image dans notre histoire. En 2017 il aura 62 ans et tout sera, de nouveau, possible, surtout si nous subissons un échec socialiste que je ne souhaite pas malgré l'avantage qu'il procurerait à la concurrence.

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Vive la vie à la campagne.
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MessagePosté le: 12-05-2012 07:05    Sujet du message: Répondre en citant

Shocked
Laughing vous avez remarqué l'astuce ?
Le quinquina laisse un arriere gout amer tout comme le quinquenat qui lui le laisse plus longtemps. Wink
Justement j'ai voté blanc sur les deux tours car aucun ne me plaisait et surtout tous malgré une ou deux vrai possibilités n'on fait que des promesses douteuses ou mensongères et meme comme dirait Finn : Farpaitement Parfelues.
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jemigeja



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MessagePosté le: 12-05-2012 07:51    Sujet du message: Répondre en citant

hello1 hello1 hello1 hello1
Bravo pour l'astuce, bien vu en effet

hello1 hello1 hello1 hello1
Bravo pour l'incrédulité. Les promesses électorales, c'est comme les placements financiers. Plus c'est mirobolant moins c'est crédible...

Mais pourtant, il faut voter. Depuis des années je vote plus contre l'un que pour l'autre...
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MessagePosté le: 12-05-2012 09:45    Sujet du message: Répondre en citant

Bonjour

Notre Président - car il l'est encore, et le restera en titre.
Notre Président Nicolas Sarkozy, bien que non réélu.
Ne restera pas dans l'ombre.
C'est un homme Politique de grand talent.
En 2017 - il est fort possible qu'il revienne au Premier Plan.
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jemigeja



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Localisation: Bourgogne

MessagePosté le: 12-05-2012 14:59    Sujet du message: Répondre en citant

JONAS18 a écrit:
Bonjour Jeanmi,

Il n'est pas superflu de te rappeler un petit détail: Le président élu n'est pas encore en fonction. Il le sera mardi quand Nicolas lui aura cédé la place. Pour ma part je trouve ces deux hommes d'une grande dignité. L'ancien fait oublier ses bévues et le nouveau ne veut pas qu'il lui arrive les mêmes inconvénients. Je considère personnellement que Nicolas Sarkozy ne pouvait plus espérer un second mandat dès la fin de la première année catastrophique de son quinquennat. En revanche son activité exemplaire et ses décisions énergiques justifiaient son salaire mais aussi que l'on oublie ses réactions épidermiques enfantines. Il laissera une très bonne image dans notre histoire. En 2017 il aura 62 ans et tout sera, de nouveau, possible, surtout si nous subissons un échec socialiste que je ne souhaite pas malgré l'avantage qu'il procurerait à la concurrence.


Mon cher Jonas

Je sais que le nouveau président n'est pas encore en fonction. Mais je me base sur ses propos dont il est prolixe. Nous le jugerons à l'épreuve des faits, bien entendu, car pour l'instant ce ne sont que des paroles. Mais dans sa position, peut-il continuer à faire des promesses en l'air comme les candidats le font ?

Comme toi, je souhaite me tromper dans mes analyses. S'il me donne tort en réussissant à redresser le pays j'en serais le premier ravi.

D'ailleurs un échec ferait le lit du FN. MLP l'a bien compris, et ses déclarations sur les discussions possibles avec des élus UMP n'ont d'autre but, à mon avis, que de semer le doute afin de favoriser l'éclatement de ce parti, ce dont elle espère tirer les fruits en 2017. Ump éclaté et échec de la gauche lui ouvriraient un boulevard. Elle joue ce jeu à fond. Il ne faut surtout pas tomber dans ce piège, et critiquer l'UMP sur la seule base de ses propos à elle.
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