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Posté le: 10-07-2023 10:14 Sujet du message: Pétain. qui a résisté ?
C’est fou…les bouffons vont encore réveiller Pétain…Qui en Allemagne aurait l’idée d’invoquer Goebbels,Röhm ou même Ludendorff pour éponger les inquiétudes ?
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Les socialistes détestent qu' on leur rappelle que c' est la Chambre du Front Populaire qui a donné les pleins pouvoirs à Pétain.
Le post ci-dessous commence par une censure. Une présidente d' Assemblée régionale arrache des mains le micro d' un conseiller qui rappelait cette vérité. Ce post se termine egalement par une censure. Il est bloqué pour des raisons peu claires ( pression des socialistes du coin ? ).
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Le lien :
https://fontenayplateau.forum-actif.eu/t3060-socialisme-et-petainisme?highlight=socialisme
De Gaulle aussi a dit:" à Londres je n'ai trouvé que des juifs ou des Maurassiens".
Les communistes n'ont rejoint la Résistance que quand le pacte germano soviétique est tombé à l'eau en 1941.
Marchais a fait son STO en Allemagne nazie quand à Thorez il s'est réfugié en URSS
en attendant des jours meilleurs.
Il faudrait lui dire que les munichois Déat et Laval étaient de gauche en 1938/39, que Daladier était radical-socialiste.
la surreprésentation par rapport à leur poids politique des militants d’extrême droite, en particulier antisémites, parmi les fondateurs de la Résistance et les premiers soutiens du général de Gaulle.
A Londres avec de Gaulle
Selon Simon Epstein, à Londres en 1940, autour du général de Gaulle, on trouve une conjonction de Juifs sur-représentés par rapport à leur poids dans la population réelle et d’ancien maurrassiens et cagoulards, eux-mêmes en surnombre par rapport à leur poids politique d’avant-guerre.
source :
https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Un_paradoxe_fran%C3%A7ais
Sous Mitterrand, des dirigeants du PS avaient émis cette arnaque historique : « pendant l’Occupation, la gauche a résisté, la droite a collaboré ».
Or cela est faux.
Il y avait des résistants de gauche et de droite, des vichystes et/ou des collabos de gauche et de droite.
Ci-dessous une liste de gens de gauche qui furent au moins vichystes.
Il est à noter de plus que le journal collaborateur " La France socialiste " est publié à partir du 10 novembre 1941 sous la direction politique de René Château et de Georges Daudet, proche de l'ambassade d'Allemagne.
Le journal....... accueille alors essentiellement des hommes de gauche ralliés à la collaboration comme Eugène Frot, Gabriel Lafaye, Paul Rives, René de Marmande, Hubert Lagardelle, Claude Jamet, Pierre Hamp, Georges Daudet et René Saive.
L'équipe animatrice est formée de socialistes tentés par le Rassemblement national populaire (RNP) de Marcel Déat mais hostiles à Eugène Deloncle qui formeront le mouvement France-Europe : Francis Desphelippon, Roland Silly, Charles Pivert, Michel Brille, Jean Garchery et Louis Sellier.
On y trouve aussi les députés socialistes amis de Paul Faure : Roger Lefèvre, Alexandre Rauzy ou Fernand Roucayrol ou des intellectuels comme Félicien Challaye ou Claude Jamet.
A titre de confirmation, dans son livre " Un paradoxe français ", Simon Epstein avait déjà noté, à propos de la Collaboration (Page 314) : « Beaucoup d’hommes d’extrême droite ne seront pas collaborateurs mais résistants, tandis qu’une nuée d’antiracistes, d’antifascistes, d’humanitaires et de pacifistes de toutes écoles se retrouveront collaborationnistes ou même pro-nazis fanatiques ».
Il est à noter de plus que le journal collaborateur " La France socialiste " est publié à partir du 10 novembre 1941 sous la direction politique de René Château et de Georges Daudet, proche de l'ambassade d'Allemagne.
Le journal....... accueille alors essentiellement des hommes de gauche ralliés à la collaboration comme Eugène Frot, Gabriel Lafaye, Paul Rives, René de Marmande, Hubert Lagardelle, Claude Jamet, Pierre Hamp, Georges Daudet et René Saive.
L'équipe animatrice est formée de socialistes tentés par le Rassemblement national populaire (RNP) de Marcel Déat mais hostiles à Eugène Deloncle qui formeront le mouvement France-Europe : Francis Desphelippon, Roland Silly, Charles Pivert, Michel Brille, Jean Garchery et Louis Sellier.
On y trouve aussi les députés socialistes amis de Paul Faure : Roger Lefèvre, Alexandre Rauzy ou Fernand Roucayrol ou des intellectuels comme Félicien Challaye ou Claude Jamet.
A titre de confirmation, dans son livre " Un paradoxe français ", Simon Epstein avait déjà noté, à propos de la Collaboration (Page 314) : « Beaucoup d’hommes d’extrême droite ne seront pas collaborateurs mais résistants, tandis qu’une nuée d’antiracistes, d’antifascistes, d’humanitaires et de pacifistes de toutes écoles se retrouveront collaborationnistes ou même pro-nazis fanatiques ».
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