Retraite Active

[Ninon]

Bon c'est pas gai gai, mais je vous l'offre à la lecture avec plaisir ( euh...ce n'est pas du vécu, j'ai eu cette révélation en regardant une image

Désenchantement

Tu as semé dans mon âme
Les graines de la douleur
Je tente d’étouffer la flamme..
Mais il se consume, mon pauvre cœur
Puisque je n'ai plus rien à attendre
Pourquoi me torturer ainsi?
Le monde est grand, il peut s'étendre
Un seul être, ce n'est pas l'infini!
Je n’aurai jamais cru que je serai l’esclave
D’un amour capricieux, d’un traître à la fierté
Qui me tenant captive dans ta maudite enclave
Briserait tout mon être, s’aliénant mes pensées
C’est par elles, que je cours peu à peu vers l’abîme
Elles, qui me font espérer vainement un recours
J’ai beau résister, mais m’accroche à cet espoir infime
A cette bouée de leurre, qui se moque de mes jours…

J.B

J'en profite pour vous souhaiter tous mes meilleurs voeux, pour l'année 2007, qui arrive à grand pas
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"Faut-il que je te dessine, mon sentiment tout en couleur ? Toi au centre, puis que je signe ; d’une flèche transperçant mon cœur ? Pour que tu comprennes enfin..."
(Jeannine Bartes/ Le non-dit)

[Jan Goure]

Un poème plein de vérités...
Il est des êtres qui même sans le vouloir
font de vous un esclave et vous rendent
malheureux comme un chien qui se demande
pourquoi son maître n'est pas content...

Tu as su poétiser tout ça !

Meilleurs voeux de bonheur, santé, à toi et aux tiens

Jan

[isabelle]

que de vérités en ton poème chère Ninon, l'amour capricieux, la possession jusqu'à rendre l'autre complètement "marteau"... quelle horreur !

mille bisous à toi et meilleurs voeux

isa
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"C'est la nuit qu'il est beau de croire à la lumière"

[Ninon]

Isabelle, Jan, merci !.....Ben oui, ça doit exister ce genre de sequestration mentale ......Quelle horreur!
Voyez c'est sur cette photo que j'ai été inspirée. Excusez-moi, j'ai écris dedans



Gros bisous à vous deux, et tous mes meilleurs voeux pour 2007
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"Faut-il que je te dessine, mon sentiment tout en couleur ? Toi au centre, puis que je signe ; d’une flèche transperçant mon cœur ? Pour que tu comprennes enfin..."
(Jeannine Bartes/ Le non-dit)