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Je crois bien que j’ai gardé mon coeur d’enfant et je vais vous raconter l’histoire de la petite COCCINELLE !
Il était une fois dans une magnifique petite forêt, une adorable coccinelle qui se nommait BELLA ; Elle était belle comme le jour et sage comme une image.
Un jour BELLA se posa par mégarde dans la figure d’une vieille femme, qui n’aimait alors pas du tout que l’on vienne lui chatouiller le nez. La femme une méchante sorcière leva sa baguette , murmura quelques mots incompréhensible et transforma notre petite coccinelle en un vilain hanneton. Ca t’apprendra de te poser sur mon visage , petite insolente, te voila punie à jamais.
Mais madame , ma maman ne va plus me reconnaître, ni mes frères ni mes sœurs .Mon papa va me chasser de chez moi, pitié, je ne recommencerais plus, je vous le promet . Elle pleura toutes les larmes de son corps, demanda pardon à genoux, la sorcière avait à la place du coeur un gros calloux.
En se relevant , la coccinelle qui est devenue un hanneton, s’apperçoie que la femme avait disparue à coup de baguette magique . Le voila seul, triste abandonné, pleurant à chaudes larmes. Il s’engouffre dans la forêt par un petit sentier recouvert de mousse et de muguets .Il se pose sur une vieille racine prés d’un étang et essaye de se mirer dans l’eau Mon DIEU que je suis devenue vilaine , j’étais une magnifique petite coccinelle rouge à pois noirs et maintenant , un sale BOURDON . Mes copines ne vont pas me croire et vont toutes me tourner le dos.
Le pauvre BOURDON , le voila encore secoué par des sanglots. Vient à passer une biche avec ses petits faons . Le dernier des faons, le petit curieux , s’approche du coléoptère , lui lèche ses larmes et lui demande la cause de son immense chagrin. Qu’a cela ne tienne ! tu es un beau hanneton. Mois je veux bien être ton ami si tu veux de moi. Vole sur mon dos, depêche toi, ma mère doit s’impatienter, j’ai déjà du retard Les voila partie à la recherche de la biche qui ne se doute pas qu’elle a perdue son plus jeune fils en cours de route.
La biche ne voyant pas son fils revenir, rebrousse chemin . Ah le voila, mais qu’a-t-il donc sur son dos. ? deja prête à chasser ce bourdon , le petit s’écrit, non maman , non c’est mon ami . Il est gentil , nous sommes des copains tous les deux et il raconte à sa maman l’odyssé de COCCINELLE ;
Cette vieille sorcière dit la biche je la connais. Elle passe souvent par ici pour récolter des champignons
. Nous, nous sommes traqués par les chasseur,s les chiens et les braconniers ; dit la biche Nous avons tellement de mal à faire vivre notre famille, nous ne demandons rien à personne. Cette vilaine sorcière, vient faire la loi chez nous, ça ne se passera pas comme çà .
Le petit faon tombe de sommeil, il s’appuie contre un arbre et ferme les yeux. Le hanneton se pose sur son cou et tous les deux tombent dans les bras d’orphée. Avec la biche, il seront tous les deux en sécurité.
Le lendemain, de bonne heure tout est encore calme dans la forêt appart les oiseaux avec leurs chants mélodieux..Tiens qui ne voit on pas venir de loin, notre sorcière, à la cueillette de champignons.
La biche a eu une idée géniale ! Si on pouvait attraper la sorcière avec un filet Des filets il y en a bien pour le gibier, pourquoi pas pour les méchantes sorcières Aussitôt dit aussitôt fait. La sorcière PERCILA , est tombée dans un grand trou et dans sa chute a perdu sa baguette magique. Comment faire pour sortir de là ? La biche le faon et le hanneton se mettent à rire. Bonjour madame la sorcière, que la terre est basse, voulez vous un coup de main madame ? oui mais pas avant d’avoir changer notre hanneton dans son état normal . Ah c’est toi petite insolente mais pour ça il me faut ma baguette qui est restée la haut .Ah oui dit la biche, tu veux nous rouler, une fois en possession de ta baguette tu remontes et alors ?
Dis moi ce qu’il y a à faire dit la biche, je m’en occuperais ABRACADABRA et surtout tenir la baguette a l’envers murmure la sorcière d ans le trou.
Premier essai, ça ne marche pas - 2 eme essai non plus La biche en colère jette la baguette par terre de rage et la piétine. Tu veux nous rouler vieille sorcière, ça ne marchera pas avec nous . Elle la ramasse et oublie de la tourner à l’envers cette maudite baguette et subitement voila une magnifique COCCINELLE qui sautille sur le dos du petit faon .La mère et le fils émerveillés sautes de joie. , la sorcière crie à l’aide à l’aide sans sa baguette elle ne sortiras jamais de son trou.
Afin qu’on lui rende son bien, il a fallu qu’elle jure de ne plus jamais s’approcher de la coccinelle ni se promener dans la petite forêt chercher des champignons.
Le petit faon est triste il a perdu son compagnon . La coccinelle est parti chez sa maman, on va certainement la gronder, elle a été absente très longtemps . La maman lui avait pourtant dis de ne pas voler plus loin que le grillage. C’est toujours comme ça quand on n’écoute pas sa maman.
Et maintenant encore, la coccinelle va rendre visite régulièrement au petit faon dans la forêt.
C’est le grand amour ! line _________________ !
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Dernière édition par Line le 07-07-2007 22:45; édité 2 fois
Posté le: 08-07-2007 22:46 Sujet du message: carnet de line
MARIAGE GITAN !
Shot at 2007-07-08
Ce matin à la première heure , dans un terrain vague, une roulotte de gitans est venue s’installer. C’est LA MAMA, le PADRE et leur petite fille qui viennent d’arriver. Le reste du cortège va suivre dans l’immédiat. Ah les voilà ! ce sont les trois fils accompagnés de leurs épouses et des enfants .Trois grands chiens se mettent à courir dans toutes les directions.
Les oncles et tantes et cousins et cousines, tous font partie de la même famille.
Il y aura un grand rassemblement de gitans venus de tous pays , pour célébrer le mariage de Josette. Josette est la petite fille , élevée par la MAMA et le PADRE ! On prévoit trois cent personnes à ce mariage. qui doit être grandiose. La famille STEIN , des musiciens célèbres, violon , contrebasse, violoncelle, sont de la partie. Vous devriez les entendre jouer « les yeux noirs « à vous donner la chair de poule .
Pour les préparatifs, tous mettent la main à la pâte, sauf la future mariée. Josette est triste et malheureuse. On va la marier à un garçon qu’elle ne connaît même pas, c’est vrai, elle ne l’a jamais vu. C’est un arrangement que les parents ont fait , à la naissance de la petite Josette, il y a quinze ans. Les futurs beaux parents ont fait miroiter une certaine somme d’argent et le marché fût conclu .
,
Autour d’un feu de bois on chante on boit, on danse ! Les enfants jouent à colin-maillard tout le monde s’amuse, sauf la mariée.. Assise sur l’escalier de sa roulotte, elle pense à son prince charmant, qui subitement s’est transformé en un hideux crapaud.
De loin on entend des voitures arriver. Des cris, des coups de
klaxon , s’est le clan du futur marié, enfin les voilà. La fête peut commencer. !
La belle robe de mariée sur une chaise attend ?. Elle peut retourner prendre
place dans son carton d’origine, la mariée à disparu. Les rêves et les espérances de la MADRE, se sont envolés,. partis en fumée. Cette somme d’argent qu’on lui a proposé, elle ne la touchera pas. Elle ne gonflera pas le pécule, qu’elle a déjà emmagasiné et qui est plus que modeste.
Josette est recherché dans tous les coins et recoins, elle est introuvable. Le PADRE, ne se sent pas bien subitement et va s’allonger sur son lit . Personne encore n’a remarqué la disparition
de la jeune fille. à part ses frères .Le PADRE ,se plaint , il doit être au plus mal l ,Mon coeur doit être entrain de me lâcher, dit il. Ce mariage, ne pourra pas avoir lieu, alors que trois cent personnes se sont déplacées pour cet évènement. Personne ne sait, que cette crise cardiaque fût manigancée
Le PADRE a le souffle saccadé. . Il a rendez-vous avec la mort !! bien habillé, endimanché, chemise blanche et nœud papillon. Ses fils restent a côté de lui, pour lui fermer les paupières.
Personne ne saura rien . Une fois le mariage célebré et la famille dispersée, on pourra encore déclarer sa mort,. dit le fils aîné..
La nuit tombée , Josette rôde autour de la roulotte du PADRE. Il était le seul a ne pas vouloir de ce mariage . La jeune fille ne se doutant de rien, va au chevet de l ‘aïeul qui dort d’un sommeil profond..
Pépé, pépé , c’est moi Josette. Réveilles toi, je voudrais te parler, s’il te plait …….
Le PADRE ouvre les yeux. Le malaise à disparu on dirait ?
Quel stratagème ! que le grand-père a inventé afin que le mariage soit annulé..
Une bagarre a éclaté ! les deux clans sont entrain de s’affronter. C’est dangereux, car les gitans aiment jouer du couteau. Le fils aîné du PADRE a le sang chaud, et dans un moment d’égarement plante une lame dans le ventre de son adversaire Des cris ,des hurlements, se font entendre. Les premiers convives rebroussent chemin et désertent le terrain. L’alcool commence à faire son effet. Le mariage fût copieusement arrosé et il n’a même pas eu lieu encore.
C’est toujours le PADRE qui fait la loi dans cette tribu. C’est lui qui donne les ordres et tout le monde obéit. C’est comme cela chez les gitans, depuis la nuit des temps.
Sur l’escalier de la roulotte, le grand père, tient ce langage !
Mes amis, rentrez tous chez vous ! le mariage n’aura pas lieu . Le fiancé vient retrouver le PADRE pour le remercier de sa bonne décision , car lui était déjà engagé ailleurs et il a dejà une petite fille d’un an et une jeune fille qu’il aime.
La MADRE pleure après ses sous, qu’elle n’a pas pu mettre dans sa cagnotte. Elle a attendue jour par jour, pendant quinze ans, de pouvoir renflouer sa caisse ILLUSIONS PERDUES !
line _________________ !
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Dernière édition par Line le 08-07-2007 22:54; édité 1 fois
Posté le: 09-07-2007 23:44 Sujet du message: carnet de line
L’AVOCAT DU DIABLE !
Shot at 2007-07-09
Une belle petite plage du côté de SANARY s/mer, fait le bonheur de bien de vacanciers, tous les ans.
En retrait sur la corniche, un petit cabanon, habité par un ancien moine excommunié, depuis une vingtaine d’années. L’amour d’une femme lui a fait abandonner les ordres pour se retrouver maintenant sur cette plage. La femme ,Eve, l’a quitté quelques semaines plus tard et pour le moine impossible de revenir en arrière, les dés sont jetés. Les ponts avec le clergé coupés
Il fréquente le soir les marins dans les bistrots de la région et les belles demoiselles des tripots. Il gagne sa vie, en lisant dans les lignes de la main à ceux qui veulent connaître leurs avenirs.. Ce sont généralement les gens de la ville, qui lui demandent ses services. Les habitants eux l’appellent, l’avocat du diable !
Le père LUC, depuis des années, s’est penché sur la bouteille et très tôt le matin arpente la plage près du port.
Une habitante, ramasse des coquillages sur la plage. Une plage sans sable, mais des galets que le soleil a déjà bien réchauffés en ce mois d’août. De loin elle voit venir le père et vite
ramasse son panier, elle ne veut pas le croiser le sorcier, comme elle l’appelle.
C’est de sa faute, si l’église est à moitié vide le dimanche matin. La chorale manque de chanteurs et elle n’a même plus d’organiste. C’est lui l’avocat du diable qui leur a jeté un sort, c’est pas malheureux. Autrefois, la petite commune, était agréable à vivre et aujourd’hui tout le monde est méfiant, depuis que cet homme habite la région. Il fait remédier à tout ça !
La servante du curé est convaincue que tout ceci est la faute du moine, elle ne s’aperçoit pas que c’est son imagination qui vagabonde.
Les vacances d’été sont terminées. Les hôtels et les campings se vident. . Bouchons sans arrêt sur les autoroutes et les nationales en direction de LYON et PARIS. C’est aussi la
rentrée des classes prochainement.. Les magasins ferment tout doucement leurs portes une après l’autre. La saison morte vient de commencer.
A la prochaine réunion municipale la servante du cure a la parole. Madame Joséphine ! à vous.
Voilà à mon avis il faut faire le nécessaire pour évacuer l’avocat du diable qui cause bien des dégâts a notre commune.. Lesquels précisez ! Une épidémie de grippe s’est abattue sur notre région et ceci, c’est à cause de lui. En avez-vous les preuves ? Oui monsieur parfaitement. .
Mon mari et moi, nous avons longé la plage entre SANARY et OLIOULLES et nous l’avons vu allongé sur la plage, la bible à la main, tenir une messe noire.
Toute l’assemblée se met à rire. Il avait un coup dans le nez certainement.. Non mes amis, il y avait comme des feux follets autour de lui. C’est un mauvais présage. C’est lui je vous le dis !
A partir de ce jour, plus personne n’a revu le moine. Ni au port, ni dans aucun bistrot des alentours. S’était il endormi, l’a-t-on jeté à la mer, ou s’était il suicidé ? Mystère !
Les autorités ont visité son cabanon, il était vide. Il est parti une nuit sans laisser d’adresse.
La bonne du cure prétend, que le diable avait besoin de lui et qu’il est venu le chercher. Pour
Une affaire importante
Suite : Procès : avocat du diable Moine Luc _________________ !
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Dernière édition par Line le 09-07-2007 23:52; édité 1 fois
Posté le: 10-07-2007 22:48 Sujet du message: carnet de line
LA GOUVERNANTE !
Shot at 2007-07-10
En Irlande, dans la région de DUBLIN, une petite pension de famille, à la lisière de la forêt.
Cette pension est composée du gérant d’ une vieille gouvernante du nom de TANTE ADELE d’un portier et deux femmes de service. C’est une vieille bâtisse, comme vous en rencontrez souvent en IRLAND, mais très bien fréquentée Pour vous dire, lorsque SCHERLOCK-HOLMES et le Docteur WATTSON sont dans la région, c’est ici qu’ils viennent loger et ceci depuis des années.
SCHERLOCK aime s’entretenir avec tante ADELE ; ça l’amuse, car la gouvernante est très
curieuse. Il ne discute jamais avec elle les cas qu’il est entrain de demeler, mais par contre il lui apprend toutes les ficelles de la criminalité . TANTE ADELE est une bonne élève, très attentive Vous feriez un bon dedéctive ma brave ADELE, s’écrit le docteur WATTSON en souriant
On vient de sonner dans le corridor ! Je reviendrais ce soir pour une autre leçon, le patron m’appelle et ADELE, la voila partie.
Le patron est un infirme cloué dans une chaise roulante, assez âgé, hargnieux et généralement de mauvaise humeur.. Il est veuf depuis des années Il a un fils, qui mal grés ses trente ans .vie au crochet de son père et lui aide a dilapider son argent. Il habite un quartier infâme de LONDRES et fréquente la racaille de PICADILLY
Ses amis se sont des forains avec stands de tir et carrousels et ceci du mois de mars jusqu’en octobre. En hivers relâche et entretient du matériel, comme tous les ans. Le fils de la pension donne des coups de main à gauche et à droite Il éxerce aucun métier car il a un mal de chien de se lever le matin pour aller travailler.
Pas très loin de la pension se trouve une maisonnette pré fabriquée Comme ADELE est curieuse, elle se pose des questions Que peux abriter ce hangar ?
Ce sera sa première affaire !
Elle se souvient vaguement de la dispute qu’ils ont eus père et fils. Le fils voulait vendre cette partie hangar + terrain et le père en a fait une maladie. Cette baraque fait partie de mon patrimoine et tant que je vivrais personne ne touchera a celle-ci, même pas toi mon fils.
Le soir après 20 heures, elle met sa cape , son bonnet et se dirige directement vers la cabane sans oublier de décrocher la grosse vieille clé rouillée sur le tableau. . Elle a également une torche .pour s’éclairer car en cette saison , la nuit tombe de bonne heure. Le cœur battant elle ouvre la porte. Que c’est beau Alice au pays des merveilles Un coq, un petit cochon, une auto de police une voiture de pompier , tout le carrousel en pièce détaché ., mème une diligence. La vieille ADELE ouvre la porte, porte sa main sur son cœur et il en sort une poule
qui vient de pondre un œuf .
Le fils a dû se faire un argent de poche à l’insu de son père. Voyons plus loin .
Voici une porte ou peut elle bien mener ? ADELE n’a pas de clé, il va falloir forcer la serrure Elle est tellement curieuse qu’elle oublie les bonnes paroles de SCHERLOCK ; Ne jamais rien toucher sans gants pour ne pas effacer les empreintes . Et d’autres détails qu’elle a oublié son cœur bat la chamade !
Elle est loin a s’attendre qu’elle a été suivi par son professeur. SCHERLOCK se cache derrière le carrosse et attend la suite de l’inspection d’ ADELE
Justement SCHERLOCK est sur une vieille affaire qui n’a jamais été élucidé IL Y A BIEN DES ANNEES quatre jeunes filles ont disparues dans les alentours de LONDRES et n’ont jamais été retrouvées jusqu’à l’heure actuelle. ADELE ne peut lui être d’aucun secours Il l’a suivi ce soir pour s’amuser. Même pas son ami WATTSON est au courant , ou il se trouve. FILATURE ! se dit il .
A force d’insister, ADELE a réussi d’ouvrir la porte de ce débarras. Sous plusieurs meules de foin une trappe conduisant dans une galerie Subitement elle a peur que va-t-elle découvrir à présent . Elle se retourne laisse échapper un cri et tombe dans les bras de SCHERLOCK HOLMES ;
Eh oui mon cher WATTSON , j’ai trouvé ce que je cherchais, les corps des quatre jeunes filles disparues.
Voila pourquoi le père,cloué dans son fauteuil roulant, ne voulait pas vendre cette partie de sa propriété .
SCHERLOCK HOLMES doit une fière chandelle à la vieille ADELE, c’est grâce a elle,
qu’il sort encore vainqueur de cette affaire !
P.S. Avant que le père soit infirme il allait rendre visite à son fils à LONDRES et ramena une fille de joie à DUBLIN. . Il les tua toutes dans se hangar, pour les enterrer sous ces meules de foin. LINE _________________ !
Posté le: 12-07-2007 19:28 Sujet du message: carnet de line
Depuis la veille miniuit j'essayes de poster RA EN PANNE; jE VOUS METS JUSTE L HISTOIRE DU JOUR: lES AUTRES RUBRIQUES JE LES LAISSTOMBER POUR AUJOURD HUI;jE SUIS TROP FATIGEEee;j j' ESPERE QUE VOUS COMPRENDREZ;BISOU linE
ANE GRIS LE BERRICHON ET LE LIEVRE PASSE PARTOUT ;
Shot at 2007-07-11
Deux amis de longue date, se retrouve presque quotidiennement sur la route qui mène à la corniche de Monaco sur le chemin du palais du prince.. Il fait chaud, je dirais même très chaud.. sur cette terre asphaltée, le pauvre BERRICHON relui de sueur. Il a extrêmement soif et n’est pas disposé aujourd’hui aux papotages avec le lièvre. Celui-ci sort des bois du bas chemin, ou les rayons de soleil se font rares, mais lui le pauvre âne, tirant sa charrette avec cette canicule,il est au bout de ses forces il n’en peux plus.
Laisses moi dit l’âne à son copain, pas aujourd’hui sans une goutte d’eau je suis incapable de dire un mot. Fiches moi la paix.. Ne soit pas ingrat mon pauvre ami, j’ai quelque chose de très important à te signaler, ne veux tu pas le savoir. Oui d’accord dit l’âne, mais après tu dégages, nous reprendrons nos discutions demain, s’il fait mon lourd. De toute façon il faut se dépêcher, nous attendons un gros orage d’après la météo.
BERRICHON , regardes ce que je t’ai apporter, je l’ai trouvé sur la route. Tu as perdu ta queue pardi. Ma queue, l’âne se retourne pour voir, effectivement elle avait disparue. et ommence a se lamenter ? Que vais je devenir sans ma queue, elle était si belle, sans elle je suis fichu. . .Tu as de la chance que se soit moi qui_ l’ai trouvée , un autre l’aurait mit dans son cabanon. a la porte comme le chaperon rouge.
TIREZ LA CHEVILLETTE ET LA BOBINETTE CHERRA !!
Au fait à quoi te sert ta queue demande le lièvre, mais sa va de soit, à chasser les mouches voyons. LINE _________________ !
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Dernière édition par Line le 12-07-2007 19:47; édité 1 fois
J'espere ne pas vous avoir ennuyé de tro p avec mes bouts de choux, mais une grand mère c'est ça et les arrieres grands meres pires.bisous LINE _________________ !
Posté le: 13-07-2007 00:41 Sujet du message: carnet de line
AU CASINO à la roulette ! TRISTE SORT !
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Au CASINO d’une ville d’Allemagne dans la région badoise une foule immense pour ce samedi soir Toutes les tables sont occupées et les croupiers ont fort à faire aujourd’hui pour contenter tout ce monde .
LES TABLES que ce soit à la roulette ou au baccarat ainsi que les machines a sous, sont pris d’assaut On entendrais une mouche vole même les bruits des pas des nouveaux arrivants sont apaisés par une très grosse moquette . Tout est calme tout est silencieux. On entend que le bruit de la boule quant elle arrive sur le numéro gagnant Le croupier annonce
10 NOIR et IMPAIR faites vos jeux, rien ne va plus !
Un monsieur très chic en costume sobre a une chance inoui ce soir Il vient de gagner une très forte somme Le croupier a beau faire, tirer sur toutes ses ficelles le client est toujours plus fort que la banque Que faire ? Il demande conseil à son chef qui lui dit. interdisez lui la table, sinon il va nous faire sauter la banque ! Changez de mains changez de croupier.
Rien y fût. La chance accompagna ce monsieur, pendant des heures ce soir là..
Oui mais à force d’insister et de la taquiner, la voila qu’elle change d’avis. Cet immense tas de jetons qu’il avait gagné au paravent a disparu en moins d’une heure. Il lui reste trois misérables jetons,
il va les miser sur le 7 rouge et pair. Faites vos jeux, rien ne va plus. La boule tourne et tourne, quand va t’elle s’arrêter ! Le monsieur est nerveux, ce n’est pas avec les trois jetons qu’il va remonter la pente. Il vient de perdre une fortune ce soir et voila la chance l’a quitté
, le croupier annonce 8 NOIR ET IMPAIR
Le joueur repousse sa chaise, et quitte la table .D’un pas décidé il va jusqu'à la caisse, il lui reste un seul chèque dans son carnet Il va l’échanger contre une certaine somme en jetons. ,Toujours convaincu , que la chance allait de nouveau lui sourire. Hélas le destin en a décidé autrement.
Le client revient en salle de jeux, mais cette fois ci change de table. Il commence à jouer tout doucement en tâtonnant. D’abord avec quelques jetons et puis d’un seul coup, il mise le paquet . Hélas il a tout perdu ce soir, même son honneur car tout cet argent ne lui appartenait pas Cet argent était en partie à son chef qui l’avait prié de passer pour lui à la banque Que va-t-il dire demain en arrivant au bureau ?
Il quitte le casino comme un somnambule et va s’installer derrière le volant de sa voiture Il démarre, et roule droit devant lui. Tout cet argent ne lui sort pas de la tête et brusquement un moment d’inattention, la voiture est projeté contre un platane. Un poids lourd qui passait par la à ce moment s’est arrêter pour secourir, c’était déjà trop tard ! TRISTE SORT !
LINE
Posté le: 13-07-2007 21:59 Sujet du message: carnet de line
MADAME PICARD !
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Nous sommes vers la fin du mois de janvier Il fait très froid en Alsace cette année ci et la neige tombe en abondance .Une bourrasque vient de frapper les joues de madame PICARD qui a du mal à avancer, avec ses emplettes ce matin. Madame n’est pas très sûre sur ses jambes depuis sa fracture du col du fémur. il y a quelques mois. Pour les personnes seules et âgées la neige est féerique derrière les carreaux, mais pour se déplacer, quel calvaire
Madame PICARD est veuve depuis trois ans. Elle habitait la banlieue parisienne du temps de son défunt mari. La voila de retour dans son univers, son pays d’origine, le pays de ses racines .Si un jour elle doit quitter ses enfants pour d’autres cieux c’est ici qu’elle voudra être enterrée parmi ses proches.
La vieille dame va sur ses 80 ans, elle a encore l’œil vif et le moral. Elle adore rigoler et à la mort elle a tout son temps d’y penser. Malgré son handicap, elle a encore beaucoup de chose en vue. Prochainement elle sera arrière grand-mère de deux petits bouts de choux, ce qui la comble de bonheur. Les enfants c’est sa vie. .
La musique, un air d’autrefois, et les souvenirs remplissent sa journée. Ses idées trottent dans sa tête et le serin les accompagne de son chant mélodieux. Ils sont tous les deux elle et lui dans une cage dorée, mais ……
.Hélas on ne peut revenir en arrière Victor HUGO l’a dit ART DE DEVENIR GRAND PERE on ne peut pas être et avoir été.
Heureusement l’hiver touche à sa fin. Nous allons à la rencontre du SOLEIL et de la plus belle des saisons de l’année, le printemps. Avec ses merveilleuses fleurs de toute beauté qui
Embaument de leurs précieux parfum, c’est le renouveau. et tout refleuri.
Toutes les semaines madame PICARD se rend à l’ après-midi récréatif du 3e âge. Un orchestre joue d’anciennes mélodies et sur l’air d’une valse viennoise, dans les bras d’un monsieur âgé, elle oublie ses 80 ans et se laisse bercer, comme autrefois. Ne me dites pas qu’il n’y a pas de beaux restes.
Quelques mots sont échangés, quelques blagues racontées, du papotage. Une petite belote si vous voulez bien. Un café, une petite douceur et l’après midi se termine en beauté
Y a t’il une personne qui veuille bien raccompagner Madame PICARD jusqu’à sa porte ? Il commence à faire nuit dehors. Le cavalier, le danseur argentin, se précipite pour être le premier à rendre ce service. Il apprécie beaucoup la présence de Madame PICARD ; Je crois bien qu’il a un petit béguin. A notre âge c’est marrant. , mais ce sera toujours comme ça et ça restera jusqu’à la fin des temps. Ce fût encore un agréable après-midi, que nous avons tous passé ensemble. . Vivement la semaine prochaine, nous irons en excursion organisée en autocar et passerons notre journée en SUISSE.
Monsieur NICOLAS présente son bras à madame PICARD, laquelle tout heureuse d’être prise en considération, est toute rayonnante. Devant sa porte, c’est un petit baise main et la voilà, comme une jeune fille à monter les escaliers de l’immeuble. Juste le temps de refermer la porte pour se remettre à boiter comme avant. Un petit coucou avec la main, NICOLAS lui envoie un bécot discrètement. . Voila de quoi rêver pendant tout ce temps, jusqu’à la semaine prochaine
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Dernière édition par Line le 13-07-2007 22:19; édité 2 fois
Posté le: 14-07-2007 23:02 Sujet du message: carnet de line
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CASSE TETE
Notre cher ami VAREL ce matin dans les archives de la police départementale est entrain de rechercher un cas, qui n’a jamais été élucidé et qui s’est passé, il y a cinq ans. Sur un chemin tortueux en plein dans la broussaille, sur un flan d’une montagne un cycliste a été tué . Son corps fut trouvé par un chasseur et son chien qui gambadé sur les prés de la colline.
La mort fut instantanée, d’après le médecin légiste, la cause n’a jamais été trouvée. Ecoulement de sang par les narines et les oreilles à premier abord, constat d’un. traumatisme crânien.
VAREL secoue la tête. Il va falloir reprendre tout ça de A à Z, nous n’avons pas le choix.,dit il au brigadier. Pour demain je tiens à avoir tous les dossiers concernant cette affaire sur mon bureau. Nous aurons du pain sur la planche, il n’y a que la chance qui puisse nous sortir de là.
Procédons par étape. Comme il n’y a pas de témoins, ça va être très dur. Ca va être comme un nœud dans une ficelle, une fois qu’on a attrapé le bon bout ça ira tout seul .
Le même soir après souper. Mon cher VAREL, tu n’es pas bien bavard ce soir Veux tu sortir pour te changer les idées ? mais VAREL pense constamment au cadavre trouvé là-haut dans la montagne, il y a des années. Une chute mortelle, oui d’accord , mais on a retrouvé dans la poche du malheureux une lettre de menaces lui signifiant, qu’il avait intêret de se tenir à carreaux , s’il ne voulait pas d’embêtement dans les prochains temps.
Ma chère FREDERIQUE , je vais prendre une bonne douche et après une nuit de sommeil réparateur, je me sentirais d’aplomb, pour affronter ces gros dossiers qui m’attendent., sur mon bureau. demain matin
Le lendemain, VAREL demande à son chauffeur de le conduire au lieu de l’accident, pour avoir une idée des lieux. Sur le chemin on peut lire sur une pancarte « ASSOCIATION de maquettes d’avions téléguidés ( modèles réduits ) ouvert tous les jours pour les membres . de l’association. Buffet !
Venez chauffeur, je vous paye l’apéro, sait on jamais, peut être un petit indice, nous mettra sur la bonne voie.
A cette heure ci ce n’est pas la bousculade, quelques rares membres avec leurs maquettes sur les pelouses font des exercices avec leurs avions téléguidés. Quelques questions disperses à droite et à gauche, sans importance . Voici le gérant de la buvette . VAREL sort sa carte et commence à papoter . Vous souvenez vous de l’accident, qui s’est produit il y a cinq ans pas loin d’ici . Le gars qu’on a retrouvé mort dans la descente avant d’arriver au croisement du bourg.. Bien sur que je me rappelle, c’était un membre de notre association et quel membre . Un des premiers je vous dis, toujours présent pour les mettings, presque pas de concurrence.
A par Simon, le jaloux, qui s’est fait descendre un jour son avion par inadvertance , et qui menace tout le monde maintenant.
Que pensez vous de cette histoire mon brave. Oh mais que voulez vous l’affaire est classée depuis bien longtemps ,plus personne n’en parle .
Vous seriez venu à l’époque prendre des renseignements, j’aurais peut être pu vous aider, mais maintenant après toutes ces années Je ne me souviens plus que vaguement de cette histoire entre CHRETIEN ( le mort) et SIMON le jaloux . Lors d’un metting , SIMON s’est fait descendre son avion en plein vol par CHRETIEN et une bagarre a éclaté. SIMON a lancé des menaces de mort à ce moment là. Il était fou furieux et il a fallu l’évacuer de force du terrain. Que nous étions tous des lâches de se prendre à la maquette au lieu de prendre comme cible, le manipulateur. Que lui avec son petit avion puisse faire sauter tout le terrain d’aviation et les poursuivre dans un rayon de X kilomètres.
Voici , ça fait tilt chez VAREL. Des renseignements plus qu’il n’en faut pour ce matin.
Tout le reste va de soit! CHRETIEN attend son adversaire derrière un gros sapin avec son avion téléguidé Dans la descende il le traque et lui fait exploser la tête, donc la chute et le sang . Il ramasse ses débris d’avions, pour ne pas être reconnu et voila. Sans tous ces renseignements précieux de la part du gérant, serait toujours en souffrance.
Brigadier, nous touchons à la fin Il n’y a que le meurtrier qui est à cueillir et pas plus tard que cet après midi.
La chance lui a sourit aujourd’hui à VAREL !
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Posté le: 15-07-2007 23:56 Sujet du message: carnet de line
FREDERIQUE VAREL un couple parfait !
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Un ménage exemplaire entre les deux époux. VAREL pas toujours commode, mais FREDERIQUE est là, pour combler les lacunes. Pendant des jours entiers, VAREL est bourru et mal luné, mais sa femme à chaque fois arrive à redresser la situation. Elle a un chic pour mener son homme, elle fait ça à la perfection.
Ce soir VAREL rentre du boulot extenué par une interminable journée d’interrogatoires, A table il repousse son assiette, l’appétit lui fait défaut, il est vanné. VAREL une cuillerée de soupe et un peu de fromage, ne te feras pas de mal et après tu iras te reposer.
Le commissaire passe au salon s’installe confortablement dans son fauteuil favori, déploie son journal du soir et lit les faits divers.
Marcel MOULIN détective privé – filature en tous genres
S’adresser au 6, route du Rhin discrétion assurée.
Voila dit VAREL, c’est ce qu’il me faudrait, de temps en temps pour alléger un peu mon boulot, mon chef me parle constamment de perte de temps et d’argent. Moi je ne puis courir deux lièvres à la fois. Ah oui mon cher ami, comme je te comprends, plus maintenant. Il fût un temps tu savais ? N’est ce pas VAREL ?
Le commissaire la regarde tout ahuri et se mit à rire, qu’en sais tu ma fille ? Enfin tu as repris ton sourire dit FREDERIQUE, viens sortons sur le balcon, j’ai à te parler.
Voici, je n’irai pas par quatre chemins. Pour commencer je te dirai tout de suite que nous mettrons le prix qu’il faudra. Si nous voulons faire une bonne affaire ne soyons pas à 1000 Euros près.VAREL tu me suis ?
J’ai l’intention d’acheter une nouvelle voiture qu’en dis tu mon ami ? Si je pense à toutes les réparations à faire sur notre ancienne, une bonne occasion serait la bienvenue. J’en ai choisit une chez le garagiste du coin, pas mal VAREL. Nous devrions aller voir, ça n’engage à rien.
Le lendemain après le bureau, Monsieur et Madame VAREL, en contemplation devant le nouveau véhicule que FREDERIQUE a choisit. VAREL pose un tas de question : kilométrage, consommation, état des pneus, le prix lui semble correct. . Voila , il tient absolument à connaître la provenance de cette automobile En dehors de la carte grise, le vendeur ignore tout. Mais dit VAREL ça peut tout aussi bien être une auto volée, je ne marche pas.
C’est alors qu’il pense à son journal et à ce fait divers du détective de la route du RHIN. Laissez moi 24heures de réflexion et je viendrai vous signer mon accord.
Viens ma FREDERIQUE, je t’expliquerai en cours de route. Les voila partis faire une balade autour de l’étang. Le sac de Madame est rempli de pain sec pour les petits colverts, quel beau tableau. Le ciel commence à allumer ses petites lumières, une magnifique soirée d’été se présente.
Si demain je connais les origines de cette bagnole, j’achète même au prix fort et tiens toi bien FREDERIQUE, c’est moi qui paye. _________________ !
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Dernière édition par Line le 16-07-2007 00:12; édité 1 fois
Posté le: 16-07-2007 23:23 Sujet du message: carnet de line
LE PETIT CHIEN EN VITRINE !
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Dans la devanture d’un magasin animalier, un petit chien de quelques jours, dort paisiblement. Il est adorable, noir et blanc de race canine et attend un acquéreur., qui veuille bien prendre soin de lui. .C’est une fille , son non est VERMICELLE ;
VERMICELLE, dort les deux poings fermés et ne se doute pas que depuis plusieurs jours, le petit cœur du petit CHARLES bat plus fort en passant par là.. Malheureusement l’argent qu’il a dans sa tirelire, ne doit pas suffire pour un achat pareil. Il doit coûter cher ce petit chien
Se dit il., mais j’ai une petite idée. Il commence a parler tout doucement à la bête, tu es adorable et mignon mon petit chien. J’aimerais bien être ton ami, ton copain de jeux nous pourrions gambader tous les deux sur le pré derrière ma maison et si_ je demanderais gentiment la permission à maman , tu pourras coucher avec moi dans mon lit le soir..
A partir de ce jour la, le petit CHA RLES fait un détour sur le chemin de l’école, pour rendre
visite à son nouvel ami.. Tous les jours il se fait gronder soit par la maîtresse d’école ou par sa mère, parce qu’il arrive trop tard en classe, ou sa soupe refroidi dans l’assiette. .CHARLES que t’arrive t’il en ce moment. Toi qui était le premier en classe, sage discipliné bon élève, studieux tu es dans la lune.. Tu dors, tu es fatigué, dis moi ton problème.
Et c’est vrai .L’enfant tous les matins avant l’école fait des courses pour les personnes âgées du quartier, pour la petite pièce . Il a déjà bien récolté et bientôt le petit chien lui_appartiendra. ; Il a hâte de le serrer dans ses bras et de lui faire des bisou sur le nez ;Un beau jour il ose pousser la porte pour demander a la vendeuse le prix de cet animal en vitrine. Mon Dieu faut encore attendre un peu CHARLES ce n’est pas suffisent encore .Quelques jours passe et arrivé un beau jour au magasin animalier, le petit voit que le décorateur a tout changé. Les souris blanches sont dans un petit enclos dans un coin .Ensuite les hamster,, des cages pour les oiseaux , serins, perroquets et perruches et à la place de VERMICELLE. , des bocaux avec des poissons rouges.
Le petit chien a disparu. CHARLES va encore trouver la vendeuse, lui disant qu’elle a oublié de mettre son copain dans la vitrine. Ah non mon petit bonhomme, le chien a été acheté ce matin par un client, dont la petit(e fille habite au CANADA ; élevée par ses grands parents. A l’heure actuelle, il doit être la-haut en montrant( vers le ciel, dans ce grand boing pour faire route vers les ETATS-UNIS ;
Les genoux du petit garçon se mettent à trembler. Il voit rouge et tout( tourne en rond autour de lui_ .Pauvre bonhomme un si grand chagrin à cet âge. Maintenant qu’il a fini d’économiser et qu’il avait obtenu la somme pour payer le chien, le voilà parti, loin de lui.
Il fallait à l’enfant quelques jours pour se remettre. Une voisine à qui il s’est confié, lui a fait un cadeaux .. UNE TORTUE, son nom est HORTENSE
HORTENSE ;dit le petit(, comme tu es froide.
Mais je t’aime bien quand même. CHARLES est grand maintenant, mais il n’a pas s oublis sa petite VERMICELLE, de la vitrine. LINE _________________ !
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Dernière édition par Line le 16-07-2007 23:40; édité 1 fois
Posté le: 17-07-2007 23:09 Sujet du message: carnet de line
LE SOUFFRE DOULEURS !
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s Dans un beau parc, entouré de magnifiques parterres avec rosiers de toutes couleurs, une villa à perron en marbre de CARRARE ; A premier abord, ça fait penser au calme, au repos, aux vacances et pourtant.
La maison est habitée par un couple et six enfants… 3 garçons et 2 filles. de Madame en première noce .et 1 garçon pour monsieur.. Madame était veuve lorsqu’il se sont connu et monsieur un célibataire endurci , qui éleva tout seul , son gamin. Il l’a reconnu d’ailleurs à l’époque et ne voulait pas s’en séparer.. Pour monsieur tout va bien pour le meilleur du monde, mais les apparences sont des fois trompeuses.
Madame adorait ses enfants, mais uniquement les siens . Le garçon de son mari, elle l’exploitait du matin au soir. Vaisselle, scier du bois, laver le parterre, même se faufiler dans des endroits presque pas accessibles dans les combles sous les poutres et tuiles pour balayer.
Le gamin subissait ; il ne disait jamais rien à son père. Mais il savait lorsqu’il sera un peu plus grand, qu’il quitterait la maison, si belle qu’elle soit.
Son estomac gargouillait toute le journée de faim. Pour lui c’était les restes quand les autres n’en voulaient plus.. Madame haïssait ce pauvre garçon profondément. Lorsque son mari était présent, elle prenait même le garçon sur ses genoux, pour faire voir qu’elle était une bonne mère pour le petit.. Ca marchait, le papa y croyait fermement.
…
Ca ma rappelle un peut la « VIPERE AU POING » et la FOLCOCHE ;de HERVE BAZIN ;
;
Un beau jour en faisant les courses pour toute la famille à pied jusqu’au bourg, il rencontra une troupe d’artistes de cirque, venu de Russie, pour donner des spectacles.
Jusqu’à présent le gamin n’a rien dit à son père, pour ne pas brouiller le ménage, mais maintenant c’est le moment d’agir.. Il s’adressa au directeur qui_ spontanément l’embaucha
comme garçon d’écurie.
Il savait qu’il allait faire un immense chagrin de partir sans laisser d’adresse à son papa , mais maintenant c’était trop. Le pauvre n’en pouvait plus et pendant des années on était à la recherche de ce garçon. jusqu’au jour ou par un hasard, ADRIEN rencontra un homme de son pays. Celui-ci connaît son père et lui dit, qu’il est veuf, que sa femme est décédée, il y a un an.
ADRIEN fou de joie prend le téléphone. C’est le papa qui décroche, SEIGNEUR c’est mon fils. Maintenant ADRIEN révèle à son père, tout ce qui s’est passé pendant des années et lui demande pardon de l’avoir laissé dans l’angoisse, toutes ces années ç.
ADRIEN prend congé de la troupe en les remerciant du bon accueil.
A la maison , le revoyure fût chaleureuse, j’aime autant vous dire. Les enfants ont maintenant( un certaine âge et se sont dispersés à droite et à gauche. .
Le papa a gardé une certaine rancœur, qu’aucun des gosses n’a eu le courage de lui avouer la vérité.
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Posté le: 18-07-2007 21:30 Sujet du message: carnet de line
LE PETIT CHATON !
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Nous sommes deux jours avant NOEL , pas de neige cette année ci . Le soleil brille de tous ses rayons sur un marché de NOEL en Alsace , du jamais vu .
Devant la cathédrale de STRASBOURG ainsi que la place BROGLIE, les petites maisonnettes du père NOEL se sont mises en place offrant à la clientèles, décorations de sapin, jouets, vins chauds, et friandises, comme sucre d’orge, miel, confiserie et pain d’épices.
Un père NOEL avec son traîneau se promène accompagné du père fouettard dans les allées et propose des photos Les enfants sont émerveillés, ils sont là, bouche baie,en attendant devant les rennes, le premier clicher. JOSE et ELSA ont faussé compagnie à leur maman en se cachant derrière les grands sapins venus directement de nos VOSGES ; Ces pauvres forêts vont encore être mutilés cette année ci . Ces sapins garnissent notre chaumière pendant quelques jours et après vous les voyaient traîner dans la rue pendant des jours et des jours.
ELSA dit à son petit frère, regarde le chaton qui vient de me caresser la jambe avec sa queue .Il vient de se réfugier sous un stand de nougat et de BREEDELE ( petit gâteau sucré), essayes de l’attraper. Il est farouche ce chaton, il a peur dit le petit, il fait voir ses griffes. Pour la petite ELSA, le chat a froid et faim et surtout peur. Ca doit être un chat abandonné ? Si maman veut bien nous allons l’emmener à la maison, comment veux tu qu’on l’appelle ? MISTIGRIS, regarde il est d’un beau gris soyeux Ah mais le petit chat ne se laisse pas faire comme ça.
Voici une dame qui arrive avec un bambin de quatre à cinq ans, La maman a du mal a retenir son fils. Il fait des mains et des pieds, il hurle, il veut un hamburger, il a faim. La maman cède à ce caprice et le lui achète, ne te salie pas lui dit elle. A peine terminé la phrase, le hamburger roule parterre dans le sable. Ne le ramasse plus maintenant, il est sale., toute à l’heure on en achètera un autre. Viens voir le beau sapin que voilà elle l’entraîne vers une petite locomotive qui vend des marrons chauds. Partout des lumières des guirlandes et des chants de noël, c’est merveilleux .
Le petit JOSE se dit : Voila une bonne viande parterre, elle va ma servir à attraper le chaton. Effectivement rien que l’odeur, fait venir le chat tout seul. Il a faim le pauvre petit. Voila il se laisse caresser et suis les enfants sans se faire prier. Enfin la maman a retrouvé ses deux petits, a qui est ce chat demande t’elle ? à nous maman , nous l’avons trouvé sous un stand. Il grelottait de froid et de faim, pouvons nous l’emmener ? Mais êtes vous bien sur qu’il n’appartient à personne. Pas que pour NOEL des enfants pleurent la disparition de leur chaton, ce serait terrible. ELSA dit, laisser mourir une bête dans la rue, c’est terrible aussi. Oui dit la maman , toute réflexion faite, emmenons le .mais il faudra vous en occuper, j’ai assez de travail comme ce-ci.
Alors les enfants racontèrent comment et à l’aide de quoi, ils ont pu attraper le petit matou.
Ah oui dit la maman :
LE MALHEUR DE L UN FAIT TOUJOURS LE BONHEUR DE L’ A UTRE
LINE _________________ !
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Dernière édition par Line le 18-07-2007 21:40; édité 1 fois
Posté le: 19-07-2007 22:28 Sujet du message: carnet de line
LE DESTIN DUNE FEMME !
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Dans le sud-est de la France, dans une ville rue St Charles, existe un hôtel de passage insalubre , sale est très mal fréquenté
. Tout en haut( dans les combles, une dame seule habite dans un réduit de quelques mètres carrés, sans eau courante ,sans électricité ni chauffage . En hivers une bouillotte dans son lit, avec de l’eau chauffé sur un petit camping-gaz, lui tient compagnie.
Depuis des années, le patron de l’hôtel, lui a attribué ce débarras en contre---partie de quelques heures de ménage dans ses chambres. La pauvre est exploité par tous .Elle fait encore quelques heures par çi par ça, mais jamais déclaré par ses patrons . Avec ce tout petit revenu, elle peut se permettre de manger une fois par jour et encore, un bol de lait un morceaux de pain. . Un jour en discutant avec son patron de l’hôtel, elle a eu le malheur de dire, quelle ferait n’importe quoi pour un bol de café au lait et une tartine de beurre. .Pour quelqu’un qui n’a jamais souffert de la faim, ça ne veut rien dire.
Nous sommes en hivers, il commence déjà a faire sombre dans ce grenier de LAURETTE ;Un petit morceau de cierge trouvé dans la rue lui permet de s’éclairer un peu ce soir .Elle pourra peut être lire ce vieux magazine trouvé dans une chambre de l’hôtel, après le départ des hôtes.
Le patron derrière son comptoir a l’accueil, tourne en rond. Il ne peut oublier les mots de LAURETTE ; CAFE ET TARTINE ;On le voie longer le corridor et rentrer dans la cuisine ..Quelqu’un . frappe à la porte. LAURETTE le fais rentrer et ce qui se passa est noir sur blanc.
Le patron qui est marié et père de famille, a profité du malheur de cette dame . Comme si elle n’avait pas assez de soucis, la voila enceinte, mais que doit( elle faire maintenant.. Jamais elle ne pourra garder cet enfant.. Le patron ne veut rien savoir de ce petit être conçu par’ lui.,
En prétendant que ce n’est pas le sien, il lui ri même au nez., en lui disant qu’elle fasse sa valise, il a trouvé quelqu’un’ d’autre pour les ménages et( qu’il fallait qu’on libère la pièce..
Le déménagement était( vite fait. Ces quelques vêtements dans un cartons et quelques bricoles était toute la fortune de LAURETTE ;
Elle trouva une âme charitable, chez les sœurs des pauvres en attendant d’accoucher . Elle mis au monde une petite fille, du nom de VIOLETTE ; laquelle fût élevé dans un orphelinat .Espérons que ce bébé aura plus de chance dans la vie que sa pauvre maman., laquelle mourut quelques années après d’une congestion pulmonaire à l’âge de 34 ans..
Cet enfant qui n’a jamais connu son père, vit maintenant aux USA, marié à un bon père de famille, ouvrier spécialisé, qui gagne bien sa vie pour entretenir sa petite famille.
Souhaitons leurs bonne chance.
LINE
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Dernière édition par Line le 19-07-2007 22:43; édité 1 fois
Posté le: 20-07-2007 22:44 Sujet du message: carnet de line
L ETANG DE PECHE !
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Du côté de URMATT se situe un bel étang de pêche irrigué par l’eau de source qui descend des montagnes des VOSGES. Les truites FARIO et autres ainsi que des carpes font le bonheur des pêcheurs.
En ce dimanche matin, le 14 juillet un concours de pêche sera organisé au profit des personnes handicapées de notre département. Le soleil est au rendez-vous la broche est sur place pour accueillir un mouton .entier, lequel sera dégusté au déjeuné. Une journée au grand air entre les sapins, nous fera le plus grand bien et tous les pêcheurs rêvent d’avoir une bourriche pleine de truites arc en ciel le soir à la fermeture. La plus grosse pièce est primée dans la catégorie homme ou femme. Les apâts sont des vers, vers de lune ,asticots et autres. Les moulinets ne sont pas autorisés .Il y a trois service - HOMMES FEMMES ENFANTS ;
Au premier coup de sifflet une centaines de lignes de pêche se lèvent toutes en même temps Au deuxième coup attention au troisième c’est parti.
Ca saute de tous les côtes, la première truite est attrapée. Elle est belle celle –là elle doit faire plus de 1000 gr. Et encore et encore, on ne peut dejà plus les compter. C’est la pêche miraculeuse aujourd’hui. C’est grâce à la lune prétendent certains pêcheurs et qui en connaissant un rayon. Et d’autres disent qu’elles ont faim et n’on pas été nourri la veille. Allez savoir .
Nouveau coup de sifflet, sortez vos cannes de l’eau . Les plus grosses pièces vont à la pesée.
Autrefois on les pesées avant le nettoyage, maintenant il faut les préparer avant la pesée.(Des petits rigolos ont placé des plombs dans les poissons pour les alourdir) Chaque pêcheur trouve son compte, il y en a pour tous aujourd’hui. C’est la joie des enfants, on se chamaille pour un cm. On se bouscule et on atterrit dans la mare avec les poissons à la risée de tous.
Quelle belle journée de passée. Quoi attrapé en plus des truites ?un merveilleux coup de soleil, mais tant pis. Si c’était à refaire . Ce fût vraiment une journée magnifique hors du commun . La nature a remplacé le cinéma sans délier la bourse, c’était magnifique à tout point de vue.
Remettons ça à la prochaine fois, on fera pleins d’heureux. .pêcheurs ! LINE _________________ !
Posté le: 21-07-2007 23:17 Sujet du message: carnet de line
Le concours de chat !
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VAREL confortablement installé dans son fauteuil, son chat sur les genoux, est entrain de rêver de ses dossiers qui restent en souffrance sur son bureau. Entre autre, il y a quelques mois un chat qui s’est fait assassiner, pour le premier prix d’un concours de beauté. Ce dernier appartenait à la voisine de palier de VAREL, faut croire que le monde est petit, c’était un afghan pur d’une robe grise chinée superbe.
FREDERIQUE, te souviens tu de mistigri, le chat de notre voisine. ? Son dossier n’est pas liquidé et traîne toujours chez moi sur mon bureau Ne pourrais tu pas me faire quelques déclaration en ce qui concerne sa mort. Si je comprends bien il a été empoisonné par une personne jalouse qui convoitait le premier prix lors du concours des chats de race.
Frédérique commence à raconter tout ce qu’elle se souvient de cette matinée ou un représentant a frappé à la porte. Il vendait des boites de nourriture pour chats. La voisine ce jour là a pris le café chez nous et elle a même dit textuellement, vous la vendez bien chère cette nourriture. Nous nous sommes mis d’accord en prenant un carton de 12 boites à se partager. Le lendemain ce pauvre mistigri avait trépassé et on l’a retrouvé raide sur le carrelage de la salle de bain. Mais notre chat a nous, ceci ne lui a rien fait ? Non il ne les a pas reçu, elle sont toutes les 6 encore intactes dans la réserve au cas ou.. Heureusement ! Vas me chercher une boite, je veux la faire analyser. On verra bien ce que ça donne.
Il s’est avéré que dans la nourriture il y avait un poison foudroyant pouvant tuer un bœuf. La cause de la mort avait été établie, mais sans plus. La propriétaire du chat n’avait pas les moyens de poursuivre cette affaire et fautes de preuves, tout est reste en instance.
Des mois et des mois passèrent. Un dimanche après midi gris sans soleil, de temps en temps une bourrasque moche à ne pas mettre un chien dehors. Frédérique propose d’aller au concours de chats de race qui se tient dans la salle polyvalente du quartier. VAREL comme toujours est d’accord, faut bien passer son dimanche pardi.
Les plus beaux spécimens sont présentés. Subitement Frédérique sursaute, VAREL, c’est lui c’est lui, le vendeur de boites pour chats, je le reconnaît et j’en suis sur. Varel est déjà sur pied. Il va directement retrouver le speaker qui va sur le champs annuler ce concours.
VAREL va faire le nécessaire afin de pouvoir encore clôturer ce cas et liquider un autre dossier, avant son départ pour la retraite.
LINE
arnet de linearnet _________________ !
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Dernière édition par Line le 21-07-2007 23:22; édité 1 fois
Posté le: 22-07-2007 22:53 Sujet du message: carnet de line
LA NOCTAMBULE !
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Dans le quartier de la MADELEINE à PARIS, un immeuble de cinq étages du siècle dernier, est habité par le propriétaire et ses enfants. Tous les logements sont occupés par différentes familles, certaines venues de très loin et résident ici depuis fort longtemps. Une seule chambre au 3eme est libre dont les fenêtres donnent sur une cour intérieure Il fait très noir ce soir dans cette courette, aucune lumière n’est allumée. Pourtant de temps en temps on distingue une silhouette derrière les carreaux, les rideaux sont tirés. C’est une présence familière, oui c’est notre ami le commissaire VAREL, qui fait la garde avec une longue-vue depuis la fenêtre du logement inhabité.
Il parait, d’après les voisins, qu’il se passe des choses étranges dans cette cour Des va et vient de personnes étrangères n’habitant pas l’immeuble, jusqu’à l’aurore. VAREL veut en avoir le cœur net et a décidé de passer sa nuit à surveiller.
Voici la lumière, dans les étages d’en face, qui s’allume. Une porte entre ouverte laisse apparaître une femme en chemise de nuit qui s’aventure sur le palier. Elle descend doucement les escaliers elle tient dans sa main gauche une bougie allumée et dans sa main droite une paire de ciseaux.
L’horloge de l’église a sonné minuit ! Tout est calme dans cette nuit étoilée sauf le vent qui vient de se lever. De temps en temps une chouette hulule dans le clocher tout la haut. Une camionnette s’arrête, une dizaine de personnes en descendent pour s’introduire dans la maison d’en face. Tous ces gens sont de petite taille du genre asiatique Il fait bien trop noir pour distinguer convenablement. A mon avis ces gens sont des clandestins et viennent ici la nuit pour travailler se dit VAREL.
A force de regarder, les yeux commencent à lui faire mal Assis dans un fauteuil derrière les rideaux tirés, tout doucement il s’assoupit pour quelques secondes. VAREL ne verra pas la personne qui vient de tuer une des passagères de la camionnette Il la trouvera demain matin en quittant son lieu d’observation dans la cour, derrière des caisses vides.
Fou furieux le voila parti direction commissariat Il est d’une humeur massacrante. Le brigadier, il connaît ça c’est toujours pareil quand quelque chose va de travers. Faisons lui un bon café, ça le ravigotera. Chef est ce qu’il y a du nouveau ? Oui un cadavre ce matin dans la cour de la pace STE MADELEINE ;
Une petite chinoise a été tuée avec un objet pointu : perforation de l’intestin grêle. La morte a été trouvée sans papiers, inconnue des habitants de l’immeuble. La section qui est venue avec la camionnette est repartie avant 6 heures, comme tous les matins
Ce soir VAREL va les accueillir et les interroger une à une. Voila le programme de ce soir !
L’interrogatoire est vite terminé, les petites asiatiques ne parlent pas notre langue. Elles pleurent, elles sont effarouchées, elles ont toutes peur d’être à nouveau ramenées dans leur pays d’origine.
Il n’y a que le chauffeur et le convoyeur qui sont français et VAREL est entrain de leur sortir les vers du nez. Alors, mes lascars, mettez vous à table, si vous avez quelque chose à me dire. .Dépêchez vous ma patience a des limites si vous dépassez les bornes, vous verrez de quel bois je me chauffe. VAREL les embarque tous les deux au commissariat .Sergent mettez les au trou en attendant que la mémoire leur revienne J’ai d’autres chats et à fouetter ce matin .Il attrape son veston au porte manteau et le voila parti.
VAREL ce matin fait l’inspection des caves de la maison. Eh bien voilà. Je savais dit il que je ne viendrais pas pour des prunes ce matin. Un atelier de couture est là devant lui et la main d’œuvre, viendra ce soir comme tous les soirs, jusqu’au lendemain matin. Sous- vêtements faits en CHINE ou TAIWAN Ces pauvres femmes sont traitées comme du bétail comme un troupeau de moutons. Si elles ont le malheur de rouspéter on les extermine, comme on a fait avec la petite hier au soir
VAREL sait maintenant à quoi s’en tenir Ce n’est plus qu’une question d’heure et le commissaire connaîtra tout le filon de a à z .
Il est onze heures du soir, une lumière vient de s’allumer dans la cage des escaliers de l’immeuble voisin Une dame en chemise de nuit fait son apparition Dans la main gauche une bougie allumée, dans la main droite une paire de ciseaux Cette chère dame est noctambule , on ne peut pas lui en vouloir. _________________ !
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Dernière édition par Line le 22-07-2007 23:08; édité 1 fois
coucou line...je n arrive pas à dormir,
je viens lire tes histoires, et je ferme l ordinateur
je te fais un bisou.. _________________ poete_musika..4 mains
Posté le: 23-07-2007 22:54 Sujet du message: carnet de line
LE VITRIER !
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Encore un carreau de cassé, le vitrier qui passe ! Autrefois, oui autrefois, des vitriers passaient dans chaque bourg, chaque ruelle, sur leur dos, du vitrage pour remplacer toutes grandeur de fenêtre. C’est un métier qui ne nécessite pas beaucoup d’outils ,un couteau, des clous un marteau et du mastic.
Le vitrier passait régulièrement dans chaque foyer c’était un personnage connu dans le quartier. En général c’était toujours les mêmes carreaux à remplacer, ceux de la cour arrière le foot étant à l’époque le jeu favori des gamins. La nouvelle vitre n’était même pas encore posée, BANG ENCORE UN CARREAU DE CASSE ! Les gosses filaient à toute allure, qui va payer la pose du carreau ? Le pauvre vitrier, ne savait pas à qui s’adresser pour la facture . En général il la prenait à son compte pour ne pas perdre la clientèle. Mais par contre il y avait également des vitriers qui payaient les gosses à casser des vitres et tout ça pour la pose .
GERARD VITRIER de père en fils a hérité de la clientèle de son père , lequel pendant une trentaine d’années a fait vivre sa famille comme vitrier dans ce secteur. Pour lui c’était une très bonne affaire et il est heureux que son fils veuille bien prendre la succession Mais voila, le fils ce n’est pas le père et c’est bien dommage. Le père toujours bien luné, chantait sifflotait souriait en travaillant. On l’aimait bien dans les quartiers, il était agréable polie et le travail ne lui faisait pas peur. Ca se voyait qu’il aimait son métier. Son fils ce n’est pas pareil A commencer le matin au réveil .Malgrés le réveil, la maman qui vient le secouer et la radio qui marche, impossible de le faire sortir du lit . Il est grognon, mal polie et fénéant .Si seulement mon fils pouvait avoir la moitié de la gentillesse de son père.
Dans toutes ces années le travail a changé depuis. Plus besoin de courir sur place, il y a les ateliers. Il y a de la mains d’œuvres des apprentis Son père était déjà joyeux de bon matin et chantait, voila le vitrier qui passe, encore un carreaux de cassé .
La maison de GERARD marche de moins en moins ; Le nouveau patron ne fait rien pour remonter la pente. LE PERE voit ceci d’un mauvais œil et décide de reprendre l’affaire à son nom, malgrés son âge. Eh voila c’est miraculeux ! Le travail reprend, les commandes s’accumullent , la bonne marche de ce commerce est évidente. LE PERE A REPRIS LES RENNES
Le fils a été licencié par son père et le voila au chômage. GERARD a entrepris pas mal de métier, aucun ne lui convenait. Il n’est pas fait pour le manuel, il va essayer le commerce et les affaires
LE PERE chantait, le travail c’est la santé
LE FILS ne rien faire c’est la conserver LINE _________________ !
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Dernière édition par Line le 23-07-2007 23:36; édité 1 fois
coucou ma linette....toujours fidéle..j espère que tu vas bien
et qu'il fait beau en ALSACE...ce matin petit soleil en NORMANDIE.
TANT MIEUX...il etait temps..
Campanule va passer te faire un petit bonjour. bisou _________________ poete_musika..4 mains
Coucou Line je reviens apres une absence due à un changement de région et des difficultés pour retrouver internet. _________________ Lorsque tu ne vois pas bien ce qu'il y a au loin..rien ne t'oblige à aller voir de pres (conseil d'un sage Berbère)
Dans la devanture d’un collectionneur, sur une grande artère de la ville, un objet maya est exposé. Ca doit être un bijou, mais un bijou d’une beauté remarquable qui a une certaine influence sur une jeune femme qui passe tous les jours par ici .C’est incroyable, depuis qu’elle l’a vu, ce bijou sous forme de broche ne lui sort plus de la tête. Nuit et jour elle est obnibulée par cette rareté, mais elle a comme un pressentiment Cet objet a un pouvoir néfaste sur elle. C’est comme un oiseau de mauvaise augure, un objet maudit qu’on ne doit pas posséder.
Et pourtant ! Après longue réflexion, JEANETTE, se décide de pousser la porte de l’antiquaire. Bonjour Madame, Madame a-t-elle vu quelque chose dans la vitrine qui a attiré son attention ? Ah la pierre MAYA ? Franchement dit je n’ai pas l’intention de m’en défaire
Mais pour un si beau brin de femme, on peut faire une exception. Quel gros mensonge ! Depuis le temps qu’il veut s’en défaire. Il n’a jamais eu autant de tuiles que depuis qu’il est en possession de cet article. Pour le vendeur, ce n’est pas un porte bonheur, mais un porte malheur. Il faut s’en débarrasser au plus vite, même si on ne peut pas demander le prix fort.
Le vendeur retire la broche MAYA de la vitrine Le voila soulagé, il est enfin vendu cet objet de malheur. En voulant manipuler le mécanisme de la fermeture, l’aiguille lui est rentrée dans le pouce Aie.. Aie on dirait que cet objet riposte, on l’a dérangé. Il était pourtant bien dans cette vitrine sous les derniers rayons de soleil de la saison. Maintenant il est enfermé dans le noir dans une toute petite boite en carton sans lumière, sans air. « Je vais suffoquer, mais ça ne se passera pas comme ça » dit une petite voix fluette
JEANETTE une fois rentrée chez elle, cherche une belle place, pour exposer sa broche. Je crois qu’ici sur la cheminée, à côté de la photo des parents, serait l’idéal. JAENETTE est fière de son acquisition, elle reconnaît que le prix fût abordable. Elle est fatiguée, le fauteuil lui tend les bras et elle s’assoupie.
Quelques minutes après, le téléphone sonne C’est toi ma fille, tu devrais venir, ton père est au plus mal. Le médecin a parlé d’un mal sournois, il ne peux pas se prononcer. La voiture sort du garage JEANETTE se rend au chevet de son père.
Le collectionneur a passé une très mauvaise nuit. Souvenez vous qu’il s’était piqué avec la broche en la manipulant, avant de la mettre dans la petite boite en carton. Infection, fièvre trait rouge etc…
Depuis que JEANETTE est en possession de cet objet maudit, tout va de travers, mais elle ne pense pas que l’on pourrait attribuer ceci à la broche. Panne d’éléctricité, chute dans les escaliers, perte de son porte monnaie, début d’incendie, nuits d’insomnies sans fin.
Oui pourquoi avoir acheté cette broche ? Pour la poser sur la cheminée. Une broche c’est fait pour être porté
Un soir JEANETTE décide d’aller au cinéma. En partant elle oublie de fermer la porte à clé .En rentrant son logement a été visité par des cambrioleurs Ils ont tout raflé. ORDI TELE VIDEO BIBELOTS ainsi que la BROCHE MAYA.
Eh voila, la série de pépins et de malchance est terminée !
Dorénavant avant acquisition d’un article, JEANETTE regarde d’abord son utilité.
L’OISEAU DE MAUVAISE AUGURE S EST ENVOLE _________________ !
Shot at 2007-07-25
Commissaire VAREL ces derniers temps est chanceux dans tous les domaines. TRAVAIL AMOUR SANTE, au jeu peut être, il n’a pas misé encore. FREDERIQUE lui suggère de prendre un billet, soit LOTERIE NATIONALE OU LOTO peu importe. Pourquoi pas aujourd’hui puisque nous sommes le 13 est- ce un chiffre bénéfique ou un chiffre de malheur. ? Si je gagne ma chérie dit VAREL, je t’emmène au bout du monde. En JAMAIQUE, AU VENEZUELA, en POLYNESIE, là ou tu voudras, où la mer est d’un bleu azur et les routes parsemées de fleurs exotiques.
En rentrant le soir du bureau, le commissaire tient dans sa main ce fameux billet du loto, qu’il a encore vite acheté avant la fermeture du magasin. Je te le confie, tu regarderas demain dans le journal, peut être sait on jamais. L’espoir fait vivre !
Non non mon ami, gardes le, tu me feras la surprise, au cas où, mais n’y penses pas trop, tu ne seras pas déçu
Le lendemain au bureau, VAREL consulte la liste des gagnants. Il y regarde à plusieurs reprises. Effectivement il a gagné une somme assez rondelette, il n’en croit pas ses yeux. FABIEN, veux tu me lire ce qu’il y a de marqué, quels sont les numéros gagnants J’ai la tête qui me tourne a force de regarder. Mais patron, vous avez gagné quel veinard vous êtes. Votre épouse doit être heureuse, allez donc lui annoncer la bonne nouvelle. Tu as raison mon garçon, ne la faisons pas attendre encore longtemps Le commissaire jette son veston par dessus son épaule et quitte son bureau fier comme un coq.
Arrivé chez lui dans le vestibule, il fait raisonner son trousseau de clé, pour signaler son arrivée. Ma FREDERIQUE, nous avons gagné, et ceci grâce à toi. C’est toi qui m’as mis la puce à l’oreille à cause du 13 et ça a marché. VAREL tu es un brigand ! Tu me fais marcher, je n’en crois pas un mot. Eh bien vas chercher le journal et regardes par toi-même pour te convaincre. Le commissaire commence à fouiller dans toutes ses poches, le billet a disparu Ni dans la poche du manteau ni dans le veston ni dans le pantalon ni dans le porte feuille. Le commissaire est livide et il espère de tout cœur l’avoir laissé sur son bureau avant de partir.
Le lendemain, une heure plutôt, il prend son service. Il a beau chercher et mettre son bureau dans tous les sens, le fameux billet a disparu. Il est nerveux, largue des jurons à tort et a travers, rien à faire impossible de mettre la main dessus. Il est 8 heures, l’arrivée de FABIEN, qui n’est pas au courant du billet de loterie disparu. Chef vous avez déjà cherché vos sous ce matin ? Et le commissaire monte sur ses grands chevaux, il se met dans un état impossible. Comment faire pour le calmer ?
On frappe à la porte, c’est la femme de ménage, ce fameux billet en main, qu’elle a ramassé hier soir en faisant les bureaux. Il était resté sur la table et le vent, en ouvrant la fenêtre l’a balayé. Voila, tout est bien qui fini bien.
VAREL a tenu sa promesse. Le chien est déjà en pension chez la belle mère. L’avion pour la POLYNESIE décollera demain matin à 8 heures. VAREL EST HEUREUX !
rnet de li_ne _________________ !
Posté le: 26-07-2007 20:59 Sujet du message: carnet de line
VIEUX VESTIGES !
Shot at 2007-07-26
Il est 21 heures .MARINETTE dans son salon consulte le programme tété. Alors là, rien qui puisse attirer son attention et elle décide de prendre sa douche et au lit, sous la couette. Demain c’est un examen à l’UNI , elle est inscrite en droit, dernière année., c’est une très bonne élève.
Cette nuit là, elle pourrait jeter son réveil par la fenêtre, impossible de trouver le sommeil. Toutes les heures, elle se tourne et se retourne, tout est défait, même les taies d’oreillers. Ca ne peut continuer comme ça, il est 4 heures du matin, elle n’a pas fermé l’œil, alors debout.
C’est le crépuscule, tout est calme et noir dehors. En vitesse elle s’habille, prend son parapluie en passant et claque la porte derrière elle ; Il pleut par petite goutte et le premier coq vient de chanter. VENEZ MES POULETTES VENEZ MES POULETTES !
Elle longe le petit chemin le long d’une rivière., entre bois et champs et se trouve devant une vieille ruine. Elle ne m’est pas complètement étrangère, mais ou l’aurais je vu déjà, ce vieux château délabré. ? Elle contourne cette ruine et se trouve devant une porte ou il y a marqué ::ATTENTION , si tu rentre, tu ne pourras plus jamais ressortir. C’est comme tu veux .
MARINETTE a longtemps hésité et elle continue son chemin. Voila qu’elle aperçoit sur le bas coté dans le champ, une petite fleur bien mignonne, blanche et une vague ressemblance avec la narcisse. La fleur commence à lui parler, bonjour petite fille, moi c’est FLORIANE, tu peux m’appeler FLOR si tu veux, Tu est matinale ce matin, tu es tombée du lit ? et sous la pluie, fais attention ne prends pas froid, une pneumonie est vite attrapée.
Petite fleur peut tu me dire ou je suis ? FILLETTE tu es entre deux âges. . Une époque ancienne et la nouvelle. La vieille avec ses fiacres ses crinolines et la nouvelle avec ses mini jupes, ses cuissardes, son string . Que préfère tu ? La ruine est traître, elle m’a mis en retrait pour 500 ans dans ce prés, parce que j’avais désobéi. C’est comme NAPOLEON sur l’ile d’ELBE Pauvre FLO , tu es si jolie et tu sens bon, il n’y a pas de parfum, c’est mon CACHET, mon naturel.
VOILA qu’un envoyé de le ruine apparaît pour signaler, qu’elle ont le droit de rentrer toutes les deux, FLO était libérée en sortant avec une amie,mais il lfaut absolument rester dans l’ancienne époque jusqu’à la fin des temps. Ce soir elles ont contournés toutes les ficelles de cette ruine pour se débiner et retourner dans notre époque.. Malheureusement la petite FLO était fanée deux jours après et l’étudiante a beaucoup pleuré.
Dans la nuit même, la ruine a disparue, on ne sait ou . A-t-elle jamais existé ou est ce le fruit de notre imagination ?
Posté le: 27-07-2007 21:34 Sujet du message: carnert de lkine
ALLO DOCTEUR !
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Le téléphone résonne chez le véto allo docteur. Ici ST NICOLAS ; Je suis dans un drôle de pétrin, figurez vous mon renne vient de tomber malade. Il tousse, il a le nez tout rouge et des yeux larmoyants il est fiévreux. Je voulais lui prendre la température rectale et voilà qu’il a disparue satané thermomètre, impossible de remettre de nouveau la main dessus. Que dois-je faire ? Figurez vous docteur j’ai des millions de commandes, dans tous les coins du globe, Ces pauvres petits vont me tenir rigueur, si je ne passe pas les voir, comme tous les ans
Oui c’est vrai je ne suis plus très jeune, mon renne commence aussi à être fatigué. La preuve, il est là le pauvre a me regarder d’un œil bizarre et tristounet, qu’allons nous devenir tous les deux et personne pour prendre la relève C’est encore la faute à mère NICOLAS, qui ne voulait absolument pas d’enfant Elle disait, avec le travail que nous faisons toute l’année à préparer des commandes, il n’y a pas de place pour les gosses, à moins de les négliger.
ST NICOLAS, prenez votre renne et venez me voir au plus vite. J ai bien peur que ceci ne soit un début de truc de machin de binz bobinette de diarrhée enfin, je vous expliquerez en arrivant. Merci docteur à tout à l’heure.
Vingt minutes après chez le vétérinaire. Les deux battants de la porte d’entrée s’ouvrent pour laisser passer ST NICOLAS accompagné de son fidèle compagnon le renne. Les gens de la salle d’attente, commence à avoir peur à la vue de cette grande bestiole, mais qui est doux comme un agneau .ST NICOLAS les rassure, n’ayez crainte, il ne mord pas, il fait la grimace il est nerveux .ST NICOLAS le prend sur ses genoux pour le calmer, il est hyper tendu. A t’il mal on en sait rien, comme il ne parle pas notre langue, c’est un SCANDINAVE, allez savoir.
Voila, dit l’infirmière, c’est a votre tour ST NICOLAS laissez passer la grosse bébête, elle n’a pas de friandises encore.
Bonjour docteur, j’ai fait aussi vite que j’ai pu. Mon pauvre renne, il me fait pitié en le regardant. Calmez vous SAINT NICOLAS, je ne pense pas que ce soit tellement grave cette histoire. J’ai consulté tous mes ouvrages, je n’ai rien trouvé. Voyons voir, les amygdales, la gorge, le pouls,le cœur, les oreilles , tout est parfait. Il semble au médecin que le renne veuille lui dire quelque chose . Il baisse son oreille et voilà. Le renne lui souffle quelques mots, le docteur se met à rire. Le renne sort de derrière les bois le thermomètre perdu et le tend au vétérinaire .Plus besoin de chercher plus loin, le diagnostic « LA FLEMMINGITE .Le renne a demandé au médecin de lui faire un arrêt de travail pour le restant de l’année.
Le vétérinaire lui administra une grande piqûre. Aie aie aie !! Le renne se met à rouspéter. Tiens, ça t’apprendras à mentir la prochaine fois, lorsque tu n’auras pas envie de travailler.
ST NICOLAS est triste .Il regarde le renne dans les yeux et il lui dit mon cher GREGOIRE, tu m’as déçu aujourd’hui. Enfin vu l’âge que tu as, je te pardonne et je suis très heureux de savoir que tu es encore en bonne santé.
Ne me laisse pas tomber, ce sera ta dernière mission. L’année prochaine je te ramènerai dans les forêts de NORVEGE où tu trouveras toute ta famille réunie. Tu pourras vivre le restant de tes jours avec les tiens dans ton royaume de rennes en te prélassant dans ces magnifiques fiords.
Line vient d’écrire une lettre à l’été, pourquoi pas ? On écrit bien des lettres au père Noel, alors ;
Bien cher été 2007-07-28
Ton triste passage chez nous va bientôt être terminé pour cette année, surtout dans notre région.. Une fois que le vent s’aura installé et les premiers brouillard, l’automne te chassera et prendra ta place. Pourquoi nous avoir punie de la sorte. Aucun rayons de soleil ni de ciel bleu , c’est< lamentable pour les gens du nord. Tous ceux qui ont commandé leurs gîtes pour passer d’’agréables vacances, avec les enfants et( la belle mère au bord de l’eau.
Ma chère LINE, laisse moi te répondre. S’il te plait sans m’interroimpre,, je t’ai écouter. et j’ai rien dis. .
A qui la faute ? Que vont chercheer vos hommes dans les atmosphères, sur la lune, dans la galaxie. Parlis les étoiles. Tu sais la nature ne se laissera jamais regarder derrière les coulisses et sâches ce que tu trouverais serais épouventable, Il vaut mieux ne pas le savoir. La nature est la plus forte. et le restera toujours, jusqu’à la fin des temps. Voila tu peux, répondre j’ai terminé.
Ce n’est pas pour nous personellement, nous avons besoin de soleil, mais pour les arbres les prés, les récoltes et( surtout les enfants qui veulent inaugurer lez nouvelle» piscines., que le lapin de pâques à apporter en guise de chocolats et d’œuf s de^pâques. Le chocolat( fait grossir, beaucoup de parents élève leurs petits dans ce sens là et ils n’ont pas tort..
Avant les vacances scolaires, cher bété, fait nous une belle apparition , jette nous un petitb coup d’œil et le tour serait joué.. Tout le monde, vieux etr jeunes serait content et nous oublierons ta mauvaises humeur cette année ciLINE te fais de gros bisoius en attendant un merveilleux rayons de soleil et un temps plus clément.
Nous te faisons confiance, nous laissons nos parapluies à la mlaison pour prendre le tapis de plage et le bikini..
Ge grosses bises de la part de LINE ;
LINE _________________ !
aimer c'est donner !
Dernière édition par Line le 28-07-2007 22:32; édité 1 fois
Bonsoir Jacqueline...Salutations du soir
Bon courage.. _________________ Ne vous penchez pas trop sur votre passé,
vous risqueriez de tomber dans l'oubli
Posté le: 29-07-2007 21:53 Sujet du message: carnet( de line
ASCENSEUR MORTEL !
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Dans un quartier chic de la ville se trouve une tour de trente étages avec trois ascenseurs, dont un est mortel. Trois cadavres ont été découverts en espace de trois jours dans la cage d’ascenseur de l’un d’entre eux. Ces personnes sont mortes de morsures mortelles de serpent, provoqué par une personne mal intentionnée. C’est la panique ce matin dans cette résidence. Les gens, même ceux habitant dans la troisième partie de l’immeuble, préfèrent prendre les escaliers. La police a mit un écriteau sur les ascenseurs, attention aux serpents.
Ils peuvent se trouver n’importe où cachés dans un coin sans bouger, jusqu’au moment de s’en apercevoir et il est déjà trop tard. Les morsures sont très profondes et pratiquées par des serpents assez importants d’après la police. Le concierge ne sait où donner de la tête, tout ce monde a des questions à poser. Tenez, Monsieur Charles, voici justement le commissaire VAREL et son adjoint, c’est à lui de poser ces questions, moi je ne sais pas quoi vous dire.
C’est vous le surveillant de l’immeuble demande VAREL, j’aurais quelques questions à vous poser. Parmi tous ces locataires il y a-t-il une personne qui a habité quelques années dans les pays tropicaux à votre avis ? Ca doit être quelqu’un aimant les serpents en particulier.
Le concierge secoue la tête, il ignore, il ne voit pas qui ça pourrait être. Connaître tout ce monde, on lui demande beaucoup. Si vous voulez bien m’excuser, commissaire, j’ai encore pas mal de travail, oui on se verra en début d’après midi, vous pouvez disposer, monsieur, lui dit VAREL.
Tout en sillonnant le long corridor de l’immeuble, retiré dans un coin, VAREL aperçoit une grande corbeille ronde, certainement oubliée par une femme de ménage. Une corbeille à linge, mais qui peut également servir à tout autre chose. La main du commissaire est déjà prête à soulever le couvercle en rotin, quand une voix intérieure lui dit, surtout ne touches pas. Au moment même le couvercle se met à bouger et apparaît la tête noire et blanche d’un chat qui vient de faire ses petits. Alors si je m’attendais à ça dit VAREL. Ne touche pas dit il à Fabien, elle pense que tu veux lui prendre ses enfants, elle serait capable de te griffer la figure.
Pendant une dizaine de jours le commissaire a interrogé toutes les personnes habitant la tour Sans résultats aucun, jusqu’au jour où VAREL sonne a la porte du concierge.
Bonsoir monsieur, puis je vous déranger quelques minutes. Il s’aperçoit que ce dernier n’a nullement l’intention de lui ouvrir sa porte que signifie ceci ? VAREL pousse la porte et s’introduit de force, sans invitation. Les murs du corridor sont chargés de souvenirs d’Afrique, de statuettes en ébène, les murs vêtus de peau de gazelles et autour d’une branche d’arbre un cobra. C’est le concierge qui pendant des années a vécu sous les tropiques, lorsqu’il était jeune et c’est lui l’assassin des trois personnes de l’ascenseur. Tard dans la nuit il introduisait son serpent dans un ascenseur, attendait que la lumière rouge s’allume, pour monter ou descendre une personne et le récupérait quelques instants après. Hélas le mal était déjà fait !
Il ne restait plus qu’à VAREL de poser les menottes sur les poignets du criminel et sa brigade est venue le coffrer le soir même Il en voit encore VAREL avant sa retraite, des vertes et des pas mures. C’est FREDERIQUE qui attend sa dernière affaire pour pouvoir faire la grasse matinée.
LINE _________________ !
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Dernière édition par Line le 29-07-2007 22:22; édité 1 fois
Posté le: 30-07-2007 22:20 Sujet du message: carnet de line
Il est midi pille sur l’horloge de la PJ. Le commissaire VAREL
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qLA MAISON CLOSE !
Il est midi pille sur l’horloge de la PJ. Le commissaire VAREL a déjeuné sur place d’un petit sandwich accompagné d’une bière Le travail ne lui permet pas, d’aller jusqu’au restaurant du coin pour déjeuner. Devant lui sur son bureau une pille de dossiers, attendent d’être éclaircis.
Le brigadier de service aux communications téléphoniques s’adresse à VAREL Chef téléphone s’est pour vous. VAREL a une sainte horreur d’être dérangé lorsqu’il lit son journal et ceci est le cas aujourd’hui. Prenez note je rappellerais dés mon retour s’écrit VAREL, mais le brigadier à déjà passé la communication.
VAREL ne décroche pas C’est urgent, s’écrit le brigadier la dame à l’autre bout du fil commence à s’impatienter.
C’est madame IRENE, elle veut absolument vous parler, au sujet du client qui est venu pour la première fois leur rendre visite.
VAREL de mauvaise humeur décroche à contre cœur
Commissaire, je vous téléphone pour vous dire, que le tipe que vous cherchez, s’est présenté aujourd’hui. Il a payé trois fois le tarif, pour pouvoir garder la fille pendant une heure. Si vous venez tout de suite, vous pouvez le cueillir .
Bon s’écrit VAREL, j’arrive Occupez vous de lui, si jamais il envisage de partir avant mon arrivée A tout de suite Madame !
VAREL fou furieux chope son veston en sortant et claque la porte.
Voila, il y a trois semaines, une des demoiselles, a été tuée en plein jours, par un maniaque L’assassin est un client des filles de joies de Madame IRENE
.
Ce jour là, un homme d’une quarantaine d’années est venu pour la première fois. Les filles se sont présentées dans le salon capitonné de draps rouges, il a fait son choix et a disparu avec une de ces filles dans une pièce. Personne ne l’a vu repartir.
Une jeune femme, voisine de la morte, est venue ce soir la frapper à la porte pour emprunter du fard à joue MARIE- ANGE morte sur son lit, attachée , ligotée, baillonée, étouffée avec un oreiller, Mais c’est monstrueux s’écrie la fille en fondant en larmes. Quelle est cette bête sauvage qui a pu accomplir un acte pareil. Une fille si gentille !
On ne pensait plus revoir cet homme ni VAREL ni Madame IRENE. Voici qu’aujourd’hui il a réapparu, en demandant la même fille que la fois passée. Si vraiment c’est lui l’auteur de ce meurtre, comment aurait il l’audace de revenir, sur les lieux du crime. Même le commissaire VAREL est déconcerté Chaque fille chaque client est interrogé et passé au peigne fin pendant des heures. VAREL a déjà arpenté son bureau, maintes fois, sans résultat et qu’il a l’impression de perdre trop de temps avec ce nouveau client. Pourquoi se pencher uniquement sur ce nouveau venu, pourquoi pas un habitué ? Tant pis recommençons par le début
Les jours passes. VAREL n’est pas sorti de son impasse. . FREDERIQUE est furieuse. Faire réchauffer le repas à n’importe quelle heure du soir ou de la nuit vivement la retraite se dit elle car actuellement j’ai ma claque.
Un beau matin dans l’entrée de la maison close, VAREL rencontre un dandinet aux cheveux gominés
Bonjour commissaire ! Du nouveau dans cette affaire ? Tient qui c’est celui là ! demande VAREL à une fille qui passe dans le couloir Ca c’est DEDE, le jules à IRENE, il vient probablement chercher du pognon, comme d’habitude.
D’après lui nous les filles nous ne travaillons pas assez vite pour renflouer sa caisse. Mais nous travaillons pour IRENE et pas pour lui c’est ce qui le met dans une grande fureur.
C’est lui qui donne des ordres à IRENE, même qu’il l’a giflé il y a quelques jours, ce crétin. Il nous exploite toutes celui-là. Il nous considère comme du bétail, il ne l’emportera pas au paradis.
Allons lui dire quelques mots a ce malotru se dit VAREL et il se met à la recherche de ce fameux DEDE lequel est entrain de piquer un roupillon dans une de ces chambres Ce n’est pas le travail qui l’a esquinté à ce point, mais la nuit blanche à jouer au poker dans un troquet du quartier.
Qui se permet de réveiller DEDE pendant son sommeil bien mérité ? VAREL sans crier gare ouvre la porte et voila que commence cette longue séance de lavage de cerveau..
D’après les dires de DEDE, celui-ci était présent le jour du crime VAREL a bien enrégistré .Un moment donné , DEDE voulait rebrousser chemin,mais voyant que VAREL, le surveillait de prés, il n’y fut rien pour ne pas aggraver son cas..
Donnez moi votre emploi du temps de ce fameux matin de la mort de MARIE - ANGE. DEDE ne s’y attendait pas à cette question et sursauta laissant tomber la brosse à cheveux qu’il tenait dans ses mains. J’étais avec IRENE, elle pourra vous le confirmer. Toute la matinée, dit VAREL et DEDE se mit à bégailler. Pres presque !
Habillez vous dit VAREL je vous emmène au commissariat, nous serons plus à l’aise pour poursuivre notre conversation
Après des heures et des heures d’interrogatoires, DEDE avoue qu’il avait un petit penchant pour COLETTE à cause de ses cheveux blonds et ses yeux en forme d’amendes Qu’il s’était réfugié dans un placard en attendant que le client soit parti .Ce n’est pas lui qui a attaché la femme, ni baillionné. Il lui a simplement mis l’oreiller sur la bouche, pour l’empêcher de crier. Il ne voulait pas la tuer. Ca ne devait être qu’un avertissement, Il l’aimait mais il été très jaloux .
VAREL a bien fait de ne pas se laisser enduire en erreur par le nouveau venu Il y a bien commencement a tout.
Quelques années de taule pour DEDE ; Madame IRENE pourra renflouer sa caisse et les filles seront à l’abris du mac de leur patronne pendant longtemps.
LINE _________________ !
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Dernière édition par Line le 30-07-2007 22:59; édité 1 fois
Posté le: 31-07-2007 21:50 Sujet du message: carnet de line
VAREL ET L HOMME GRENOUILLE !
Shot at 2007-07-31
Nous sommes un samedi soir Une péniche vient d’accoster dans le bassin de commerce du PORT DU RHIN ; Les matelots ainsi que le mécano et le timonier sont de quartier libre ce soir. L e capitaine est le seul à bord devant la barre et son sextant. De temps en temps il ajuste ses lunettes en lisant tranquillement son journal . Et tout doucement voila, il s’endort. Brusquement, il a l’impression de naviguer, il n’en croit pas ses yeux.
A travers le hublot, il constate que la péniche est sortie du bassin Un bateau fantôme, on a du lui sectionner les amarres, et il navigue tout seul au grés du vent. Le capitaine prend son fusil sort de la cabine avec la bonne intention de corriger le fou qui l’a mit dans cette mauvaise posture. Hélas un violent coup de crosse va l’assommer et il tombera par dessus bord, dans le bassin. .
Un homme jeune et agile, grimpe et soulève les planches pour rentrer dans la soute. Il disparaît et au même moment le bateau prend l’eau de tous les côtés Il fait sombre ce soir là ! Aucun rayon de lune ne vient éclairer ce bâtiment en détresse. Une heure après le bateau est coulé.
Il est deux heures du matin. Les marins, dans un piteux état viennent rejoindre leur cabine respective. La péniche a bel et bien disparue !
VOILA VAREL qui rentre en action. On ne vole pas une péniche comme ça, pour en faire quoi ? La revendre ce n’est pas possible Il va s’occuper de cette affaire, dés le lendemain.
VAREL se promène tous les soirs le long des berges du bassin Rien de spéciale à signaler, le bateau reste introuvable. VAREL s’est aperçu que tous les soirs à la même heure, un homme grenouille venait à sa rencontre et le saluait poliment.. VAREL a l’intention de se retourner pour voir, ou il se dirige A sa grande stupéfaction, le type avait disparu , mais ou ? Voila un grand tuyau avec une grille en fer forgé Normalement cette grille devrait être cadenassée mais là elle est bel et bien ouverte.
Allons voir ça à l’intérieur se dit VAREL Voila notre VAREL est rentré dans les égouts de la ville Lui qui n’a peur de rien sauf des rats, le voila servi DES GROS DES MOYENS DES PETITS, en veux tu en voila avec leur cris strident à faire dresser les cheveux sur la tête.
Des couloirs de l’eau et les rats et même une autre présence, mais VAREL ne peux pas la définir. Voila un léger rayon de soleil, mais d’ou vient il ? Il redresse la tête et voit une échelle en acier et une ouverture. De ce pas il va se diriger sur cette issue, un ricanement et VAREL se fait harponner par l’inconnu du quai notre homme grenouille.
La blessure n’est que superficielle, sa main a été effleuré, mais rien de méchant VAREL fait semblant de tomber dans les pommes, pour tromper l’ennemi. L’homme s’enfouit, il pense avoir tué le commissaire. et VAREL rentre chez lui.
Le lendemain, une équipe de policier en civil se promène sur le quai du bassin de commerce. On dirait des touristes qui viennent tournés un court métrage pour la télé. Notre homme grenouille ne se doute de rien et il va s’introduire dans les égouts de la ville. Le voila fait, tout comme les rats. Il recherche VAREL, qui normalement devrait se trouver en bas de l’échelle ! il a disparu . Sur le point de repartir il se sens projeté contre le mur, les bras sur la tête, il est transporté dans le fourgon de la police. direction la prison.
LE LENDEMAIN / VAREL a sa petite idée.
Apres de courts interrogatoires, on saura que l’élément en question a travaillé sur LA PENICHE « ANNE « ; Notre capitaine l’a licencié pour transport de drogue dans sa cabine .et le marin s’était juré de lui faire son compte tôt ou tard..
Apres jugement , le tribunal, lui a attribué une prison à vie . LE BATIMENT FUT RETROUVE et le capitaine également. .
LINE _________________ !
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Dernière édition par Line le 31-07-2007 22:05; édité 1 fois
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