Retraite Active

[JONAS18]

Le pistolet à impulsion électrique, souvent appelé « Taser », du nom du principal fabricant, ou « stun gun » (en anglais), ou encore « choqueur », est une arme conçue pour maîtriser une personne tout en évitant à l’utilisateur de trop s’approcher.

Qualifié d’arme non létale par ceux qui le commercialisent, il envoie sur sa cible deux dards délivrant une forte décharge électrique. Il semblerait néanmoins qu’il présente un risque de provoquer la mort.




Bonjour à tous,

A qui faites-vous le plus confiance pour assurer la sécurité dans nos rues?
J'entendais, hier, Yves Cochet (vert gauche) qui se déclarait contre l'utilisation du pistolet à impulsion électrique. Pour ma part j'ai toujours défendu l'usage des armes non létales tout en sachant que le risque O n'existe pas.
Globalement la gauche n'y souscrit pas alors que la droite y est plutôt favorable. Le cas qui nous a été rapporté dans la presse ces derniers jours entrait dans les possibilités de légitime défense par usage d'armes mortelles par destination que sont les barres de fer ou les marteaux. En d'autres temps l'individu aurait probablement perdu la vie après l'usage d'une arme à feu.
Que faire pour maîtriser un individu armé et drogué quand on n'est pas un expert en arts martiaux ?
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Vive la vie à la campagne.
Jonas18

[jemigeja]

D'après ce que j'ai pu entendre sur le sujet, les policiers ont d'abord essayé le gaz lacrymogène, puis ensuite le tazer.
S'il a fallu deux tirs, c'est qu'effectivement l'individu était dangereux. S'ils n'avaient pas eu de tazer, ils auraient fait quoi ?
Le 9 mm est à mon avis beaucoup plus dangereux, pour la cible, et pour l'environnement. Combien de fois a-t-on entendu "blessé (ou tué) par une balle perdue"?
comme le dit Jonas, le risque zéro n'existe pas. Le bruit de la détonnation d'un coup de semonce ne suffit-il pas à provoquer une crise cardiaque chez une personne fragile ?
Je ne suis pas spécialiste, mais il me semble avoir déjà entendu ça...
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Ne craignez jamais de vous faire des ennemis ; si vous n'en avez pas, c'est que vous n'avez rien fait.
(Clemenceau)