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Actualités des régions.

 
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Rosalia



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MessagePosté le: 29-05-2012 13:50    Sujet du message: Actualités des régions. Répondre en citant

Incendie de Libourne : la fillette a succombé à ses blessures

Saïda, 5 ans, hospitalisée depuis dimanche dans un "état très grave" après l'incendie de son appartement à Libourne où ses deux jeunes frères ont péri, a succombé à ses blessures
Saïda, 5 ans, est décédée des suites de ses blessures (Stéphane Klein)

Une fillette âgée de 5 ans, hospitalisée depuis dimanche dans un "état très grave" après l'incendie de son appartement à Libourne où ses deux jeunes frères ont péri, a succombé à ses blessures.
"La petite fille est décédée hier (lundi soir) à 20 h 20", a indiqué le maire de Libourne, Philippe Buisson. "Elle était maintenue en vie de manière artificielle, le diagnostic était plus que pessimiste", a-t-il ajouté.
La gendarmerie de Libourne a confirmé le décès de la petite fille hospitalisée depuis dimanche au CHU de Bordeaux et dont le pronostic vital était engagé. La fillette avait été intoxiquée après avoir respiré des fumées.
L'incendie, dont l'origine est encore indéterminée, s'était déclenché dimanche vers 16 heures dans un appartement situé au 1er étage de la résidence Garderose, un immeuble de quatre étages dans la périphérie est de la ville.
Une cellule psychologique devrait être mise en place mardi matin au sein de l'école où étaient scolarisés les enfants, a précisé M. Buisson, qui a indiqué que les drapeaux de la ville étaient en berne.
Sud-Ouest


Le départ de ce feu n’est toujours pas vraiment élucidé
Pauvres enfants, partis si jeunes, pauvre famille.
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Rosalia



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MessagePosté le: 30-05-2012 09:09    Sujet du message: Répondre en citant

Landes : un mort et quatre blessés dans un suraccident (Nuit du lundi 28 au mardi 29 mai 2012

Une série d'incidents de la route déplorés dans la nuit de lundi à mardi a fait un mort et quatre blessés et entraîné de très grosses perturbations
Tout a commencé par un accident matériel on ne peut plus classique. Vers 0 h 15, dans la nuit de lundi à mardi, un poids lourd qui circulait sur la RN 10 dans le sens Espagne-France heurte une glissière en béton armé située sur un tronçon en travaux de la 2 x 2 voies, à hauteur d'Escource, dans le nord des Landes. Le semi-remorque est contraint de s'immobiliser sur la voie de droite. Le trafic est ralenti mais tout se passe sans encombre jusqu'à 1 heure du matin environ.
Les choses se compliquent gravement lorsque la cabine d'un camion portugais vient s'encastrer dans la remorque d'un autre poids lourd arrêté 800 mètres environ en amont de l'accident matériel, sur le tronçon Laharie Cap de Pin. Non seulement le choc est violent mais les véhicules s'embrasent. Cette fois la circulation est entièrement coupée. Le bouchon s'allonge. Trois heures et demie plus tard, le même scénario se répète en queue de bouchon du côté d'Onesse-et-Laharie, soit 15 kilomètres avant le premier accident.
Le bilan est très lourd. Une personne d'origine brésilienne est décédée dans la collision d'Escource et quatre autres ont été blessées. L'une d'entre elles a été très grièvement touchée aux membres inférieurs lors du choc d'Onesse-et-Laharie. Désincarcérée par les pompiers de Castets, Lesperon, Rion-des-Landes et Dax, puis prise en charge par les médecins urgentistes du Samu 40, ce ressortissant espagnol devra être amputé quelques minutes plus tard.


Pouvait-on l'éviter ?
Face à ce nouveau drame de la route, une question s'invite inévitablement. Était-il ou non possible d'éviter une telle issue ? La réponse est évidemment non. Mais en ce lendemain de week-end prolongé de Pentecôte il était en revanche possible de le redouter. « Il s'agit de périodes propices aux accidents durant lesquelles le moindre écart ne pardonne pas », témoignait ainsi hier le commandant de l'Escadron départemental de sécurité routière des Landes, Renaud Benne.
Sauf dérogations spécifiques, la loi impose en effet aux véhicules de transport de marchandises une interdiction générale de circuler sur l'ensemble du réseau routier du samedi 22 heures, au dimanche, même heure. Par expérience, les autorités savent parfaitement que la conséquence directe de la réouverture des grands axes est l'apport d'un lot très important de véhicules de fret, notamment sur l'A 63 et la RN 10 qui accueillent en moyenne 20 000 véhicules chaque jour, dont 10 000 camions.

Les autorités savent aussi très bien que cette « densité » exceptionnelle va de pair avec la constatation de nombreux comportements délictuels, au premier rang desquels l'augmentation des vitesses qui doit permettre de rattraper d'éventuels retards. La surveillance est renforcée mais les risques d'accidents, et plus encore de suraccidents, sont plus que jamais présents.
« La situation était d'autant plus propice à de tels incidents qu'il s'agissait d'une fin de Pentecôte qui est un week-end de fête particulièrement suivi du côté de l'Espagne et du Portugal », insistait le capitaine Renaud Benne. Les travaux actuellement en cours sur la RN 10 ne faisaient qu'ajouter au risque déjà existant…
35 gendarmes mobilisés
Outre quelques accidents matériels sans conséquence déplorés sur le tracé des différentes déviations mises en place dès le matin, la mobilisation immédiate de 35 gendarmes a permis d'éviter que le bilan vienne s'alourdir au cours de la journée. Un élément positif qui n'a pas pleinement convaincu le député et président du Conseil général des Landes davantage marqué par les fortes perturbations du trafic (lire par ailleurs).
« J'écris une lettre au préfet dans laquelle je m'étonne des itinéraires de déviation après ces deux accidents. Il faut être vigilant, que se passerait-il si ce type d'accidents se produit au mois d'août ? J'attire son attention sur ce fait, même si les travaux sur l'A 63 seront interrompus. J'ai l'impression que les itinéraires de délestage choisis ne sont pas à la hauteur des enjeux », estimait Henri Emmanuelli, hier après-midi.
Bonne réaction ou pas, ce nouvel accident mortel de la circulation porte à 11 le nombre de personnes décédées sur les routes landaises depuis le début de l'année 2012.
Sources S-Ouest

Les accidents routiers ne sont pas rares hélas.
De la rocade entourant Bordeaux à l’Espagne chaque jour circule un mur de camions, « pied à pied ». Aucune distance de sécurité respectée, quand à la vitesse dépassée, et les doublements bien qu’interdits, ils sont réguliers.
Les contrôles routiers sont fréquents - pour ne pas dire journaliers - mais cela ne ralenti hélas pas les chauffeurs. Ils paient l'amende, et puis repartent.
Je me trouve régulièrement sur la Rocade Bordeaux (l'accident eut lieu plus bas mais le trafique est le même). Il y a de quoi avoir peur. Respecter la vitesse réglementaire est normal, mais pas pour les routiers, qui y vont en appels de phares, et klaxonne.
J'eus un accident à une entrée de rocade en juillet 1999 lors d'un trafique intense - j'ai failli me faire écharper par trois camions - nous étions deux véhicules (l'autre a pris peur comme moi, et m'est rentrée dedans). Les routiers ... Bien sur ... qui allaient trop vite : comme toujours. La suite je la garde pour moi.
Une autre fois, c'était sur l'échangeur Mérignac, une voiture en travers, avec une CX j'ai "mordu" le parapet en auto-réflexe.
Depuis, je n'ai jamais peu conduire sur la rocade.
La fille d'exemples, serait longue. Je prends la rocade oui (mais mon mari au volant - ce qui ne veut pas dire que le danger ne soit pas).
Jemi ne dit pas que je raconte mon journal, ou ouvrez le secteur privé merci.




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Rosalia



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MessagePosté le: 06-06-2012 13:31    Sujet du message: Répondre en citant

Procès de M Kalane Bordeaux :

Accusé de cinq viols, dont trois sur le campus à Pessac en mai 2007 et présumé innocent, Malik Kalane, jugé depuis lundi à Bordeaux par la cour d'assises niait jusque-là tout en bloc.
Lundi, cependant, il avait indiqué qu'il était prêt à reconnaître certains faits. Hier, le président Éric Veyssière lui a demandé sur quels actes il entendait reconnaître sa culpabilité. «
Je vous le dirai demain », a répondu Malik Kalane. Ce qui a agacé l'avocate générale qui lui intimait de s'exprimer tout de suite. Mais l'avocat de Kalane, a précisé qu'il souhaitait s'entretenir avec son client avant que celui-ci ne fasse ses aveux.

À Pessac, le 13 mai 2007

L'après-midi d'hier a été consacrée à la première des trois victimes violées sur le campus de Pessac.
La jeune fille a accepté de témoigner sans demander le huis clos.
Sous le regard sans cesse en mouvement de Malik Kalane, elle a raconté l'horreur vécue le 13 mai 2007, après être descendue du tram à la station Doyen-Brus.
Mais aussi les conséquences de son agression, notamment la trithérapie préventive imposée à chaque victime de viol.

Mais si certains éléments désignent l'accusé, elle n'a pas clairement vu le visage de son agresseur et aucune trace d'ADN de Kalane n'a été trouvée. Et celui-ci se dit innocent de ce viol.
Malik Kalane, un Algérien de 34 ans, jugé depuis lundi pour cinq viols, dont trois commis sur le campus de Pessac, niait jusque-là tous les faits qui lui sont reprochés.
Ce mercredi matin, à la reprise de l'audience, le président Veyssière lui a donné la parole comme il l'avait souhaité la veille.
"Je reconnais les faits pour la fille de Paris", a-t-il simplement déclaré. Deux des cinq viols pour lesquels il est poursuivi et alors qu'il bénéficie de la présomption d'innocence, se sont déroulés en région parisienne en 2007 et 2008. Malik Kalane faisait allusion aux faits de 2008.

Il nie son implication dans les autres viols, même si son ADN a été retrouvé à plusieurs reprises. Malik Kalane, défendu par l'avocat parisien M Stéphane Amrane, encourt 20 ans de réclusion.

Le procès se poursuit jusqu'à vendredi. Sources S-O

Il faut espérer que de tels personnes puissent rester en prison très très longtemps Afin de ne plus nuire.
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Rosalia



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MessagePosté le: 08-06-2012 10:03    Sujet du message: Répondre en citant

Bordeaux : la virée nocturne tourne au véritable cauchemar

Un jeune homme de Cestas s'est retrouvé pris dans un piège après avoir convenu d'un rendez-vous sur Internet. Cinq individus l'ont entraîné dans un mauvais périple.
En surfant en fin de semaine dernière sur un site spécialisé, jamais ce jeune Cestadais n'aurait imaginé que son histoire finirait sur les bancs du tribunal correctionnel. Hier, c'est encore fortement choqué qu'il a dû affronter le regard de ceux avec qui il a passé la soirée et la nuit du 4 au 5 juin, séquestré dans sa voiture, poursuivis pour extorsion de fonds et vol en réunion.
Deux d'entre eux, Kamel Benakli, 21 ans et Luigi Cortana, 19 ans, en récidive légale, ont été condamnés à 28 mois de prison dont 8 mois fermes. Ils ont été placés sous mandat de dépôt et écroués à la maison d'arrêt de Gradignan après avoir quitté la salle d'audience dans un tumulte général.
Leurs comparses, inconnus jusqu'alors de la justice, ont écopé de 6 mois de prison avec sursis.
Un adolescent de 17 ans, présenté au tribunal pour enfants, a été placé en détention provisoire.
Tout est d'ailleurs parti de ce dernier. C'est lui qui a répondu au message du jeune Cestadais sur Internet.
Il avait utilisé un pseudo et se présentait comme majeur sur son profil. « Je lui ai proposé de le rencontrer », avoue la victime à la barre du tribunal. « On s'est vu sur un parking entre Talence et Pessac puis nous avons convenu de nous revoir. »
En rase campagne
La seconde rencontre est programmée pour samedi mais elle est finalement annulée et repoussée au lundi.
Cette fois, le jeune de 17 ans a servi d'appât. Il arrive avec celui qu'il présente comme son cousin. «
Il m'a demandé si je pouvais l'emmener à la gare mais nous avons dû faire un crochet par la place de la Victoire où ils m'ont proposé de les suivre dans un appartement.
Je suis resté à ma voiture puis ils sont revenus plus nombreux ».

Quatre hommes s'invitent à bord du coupé BMW et le jeune Cestadais, sous la menace d'un couteau, les emmène faire un tour dans Bordeaux, puis ils prennent la direction de Lormont, Artigues et Coutras.
En rase campagne, ils siphonnent un tracteur pour remplir le réservoir de la voiture, à sec. «
J'étais inquiet, l'un d'eux avait pris le volant et on a tourné jusqu'au petit matin.
Je ne pouvais pas m'échapper de ce traquenard. »
À l'ouverture des magasins, la bande des quatre l'entraîne rue Sainte-Catherine pour se faire offrir à manger dans un fast-food mais, surtout, leur acheter des vêtements de marque aux Galeries Lafayette.
Pendant qu'il fait plus de 500 euros d'achats avec son chéquier, le jeune Cestadais tente d'attirer discrètement l'attention de la caissière et d'un agent de sécurité. «
Je faisais le 17 avec mes doigts, je crois qu'un vigile a compris, il ne nous a plus lâchés. »

« Un pigeon »
L'agent de surveillance procède à un contrôle mais trois jeunes parviennent à passer les portes.
La police est prévenue.
Une patrouille intervient et les fuyards sont interpellés rue de la Devise.

Placés en garde à vue et entendus par les enquêteurs de la brigade criminelle de la Sûreté départementale, ils ont tenu une version totalement différente de celle de la victime. Kamel Benakli et Luigi Cortana, originaires de la région parisienne et arrivés récemment à Bordeaux, ont minimisé les faits. « Qu'est ce qui l'empêchait de partir ou de crier au secours ? », demande le premier au tribunal. «
Il ne s'est jamais interposé. »
Les prévenus expliquent qu'ils pensaient être tombés sur « un pigeon » et réfutent l'avoir menacé pour réaliser les achats et lui avoir « emprunté » la voiture.
Selon eux, « il a fait tout ça librement ».
Ce n'est pas l'avis de la vice-procureur Nathalie Mathieu qui parle de « pression psychologique même s'il n'y a pas eu de violences ».

La magistrate sera en partie suivie par le tribunal.

Sources S-O

De tels faits ne sont hélas pas rares.
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Rosalia



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MessagePosté le: 14-06-2012 18:32    Sujet du message: Répondre en citant

13 juin 2012 Abattue dans la rue

Abattue dans la rue à Bordeaux : le meurtrier présumé aurait agi par dépit amoureux

L'amant éconduit a tiré à plusieurs reprises sur son ex-compagne, mercredi matin, devant plusieurs témoins.
Hier matin 13 juin 2012 9 h 30, rue de Soissons à Bordeaux. Raymond est devant son ordinateur quand il entend un bruit détonnant. « Pas comme un choc entre deux voitures, plutôt une déflagration. » Suivie d'une deuxième qui le pousse à la fenêtre.
Là, il voit une femme coiffée d'un casque de moto poursuivie par un homme armé d'un fusil « au canon moins long que d'habitude ».
Un fusil à canon scié. « Elle devait le connaître », poursuit Raymond.
« Elle lui a dit ''Arrête, Arrête''.
Elle a été touchée par un autre tir et s'est effondrée.
J'ai ouvert la fenêtre, je lui ai demandé d'arrêter, il m'a dit de la fermer sans quoi il s'en prendrait à moi. Et il lui a retiré dessus, à bout portant, dans la visière. Tout ça sous ma fenêtre ! »
Riverains sous le choc
Comme d'autres riverains ayant vu ou entendu la scène, Raymond est encore sous le choc. Une autre habitante de la rue a entendu les bribes d'une dispute conjugale qui a tourné court. Anne-Marie qui réside au 35 rue de Soissons s'affairait dans sa maison fenêtres ouvertes. « J'ai cru qu'on tirait sur les murs de la maison. » Elle ne parvient pas à chasser de son esprit le bruit assourdissant et l'image de ce corps à terre.
Dominique, également riveraine, avait remarqué un peu plus tôt qu'une « voiture mal garée semblait attendre quelque chose ou quelqu'un. C'était lui ». « Il était vraiment froid, déterminé. Il avançait de façon mécanique », reprend Raymond. « Après, il a pris la fuite pendant que j'appelais les secours. »
Rapidement sur place, Samu et pompiers ont tout fait pour sauver la jeune femme et la préparer à un transport vers les urgences. En vain. Bérangère Lassalle, 32 ans, a succombé à ses blessures peu avant 11 heures. Munis d'un numéro de plaque d'immatriculation, les policiers sont allés faire des vérifications rue Blanqui, chez le propriétaire déclaré. Mais il venait de vendre sa voiture et la mutation de carte grise n'avait pas encore été effectuée. Reste que la présence policière a été mal ressentie par les habitants de la rue. L'un d'eux s'est rebellé et a été interpellé.
Repéré à grande vitesse sur la rocade en début d'après-midi lors d'un contrôle de CRS, David Thibert, 37 ans, qui bénéficie toujours de la présomption d'innocence à ce stade de la procédure, a été pris en chasse et interpellé en début d'après-midi à la sortie de Saint-Médard-en-Jalles. Depuis quelques mois, il entretenait une relation amoureuse décousue avec la victime. L'arme du crime a été retrouvée dans son véhicule. Il a été placé en garde à vue à la brigade criminelle de la sûreté départementale où il devait passer la nuit. Il devrait être présenté ce soir ou demain au parquet de Bordeaux qui pourrait ouvrir une information judiciaire pour assassinat.
C'est la deuxième fois que le jeune homme fait parler de lui en l'espace d'une semaine. Mardi et mercredi dernier, il avait malgré lui fait la une des journaux. Il est le propriétaire de Gadji, la chienne qui s'était perdue sur la rocade et le pont d'Aquitaine suite à un accident de voiture.

Bordeaux Sud-Ouest
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Rosalia



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MessagePosté le: 23-06-2012 17:02    Sujet du message: Répondre en citant

La Bactérie E COLI frappe de nouveau en France

Steaks suspects: Intermarché appelle à la vigilance dans le sud-ouest
Les magasins Intermarché et Netto ont appelé samedi les acheteurs de steaks hachés dans 16 départements du Sud-Ouest à la vigilance en raison d'un risque possible d'infection à la bactérie pathogène E.coli.



La date limite de consommation de ces steaks est largement dépassée (juqu'au 15 juin), mais le distributeur et le fabricant demandent aux personnes qui auraient conservé ces produits dans leur congélateur, "de ne pas les consommer et de les rapporter au point de vente où ils ont été achetés".

Il s'agit de steaks hachés vendus en barquette au rayon frais libre-service sous les marques Jean Rozé, Netto et Top Budget, indique dans un communiqué, diffusé via le service de presse d'Intermarché, la Société des viandes élaborées d'Estillac, basée dans le Lot-et-Garonne.

Les steaks étaient vendus sous la référence "steak haché frais 15% de matière grasse" et "steak haché frais 20% de matière grasse" avec une date limite de consommation comprise entre le 28 mai et le 15 juin 2012.

"Les magasins concernés, par principe de précaution, ont mis en place des affichettes afin d'Les Escherichia coli peuvent entraîner dans la semaine qui suit la consommation de produits contaminés, des diarrhées parfois sanglantes, des douleurs abdominales et des vomissements, accompagnés ou non de fièvre.

Ces symptômes peuvent être suivis (5% à 8% des cas) de complications rénales sévères, principalement chez les enfants, précise le communiqué.
informer les consommateurs", ajoute le texte.
Sources AFP

http://www.20minutes.fr/ledirect/959091/bacterie-ecoli-vigilance-sud-ouest-autour-steaks-haches
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Rosalia



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MessagePosté le: 26-06-2012 12:18    Sujet du message: Répondre en citant

26/06/2012

Eysines

Erane et Andy retrouvés morts dans la piscine de la maison où ils avaient disparu

Les corps de deux cousins âgés de 7 ans, Erane et Andy, disparus depuis samedi, ont été découverts mardi dans la piscine de la maison d'Eysines, non loin de Bordeaux, où leur absence avait été constatée, laissant ouvertes toutes les hypothèses sur leur mort, y compris la thèse criminelle.

"Nous avons découvert les corps des deux jeunes enfants dans la piscine de la maison où ils se trouvaient samedi en compagnie de leur famille" avant que leur disparition soit rapportée, a déclaré le procureur de la République de Bordeaux Claude Laplaud à la presse sur place.
Sur les causes du drame, "on peut tout imaginer", a-t-il dit. "

La thèse criminelle n'est pas exclue", a-t-il précisé, après avoir indiqué que la Direction interrégionale de la police judiciaire (DIPJ) était saisie et que les autopsies qui seront réalisées dans l'après-midi seraient déterminantes.

Grâce à ces autopsies, les enquêteurs pourront savoir si les deux enfants, qui ont été retrouvés vêtus, "sont morts par noyade". Elles permettront de déterminer s'ils ont été victimes d'un accident ou d'un acte criminel.

Selon le procureur, les corps des deux garçonnets ont été découverts vers 9H15 dans cette piscine qui n'était pas en service, à "l'eau saumâtre".

"La piscine apparemment avait été inspectée", a-t-il déclaré en évoquant des vérifications au moins visuelles, mais sans évoquer des recherches plus poussées.

"Je ne peux pas imaginer que la piscine n'ait pas été sondée.

C'est évident que l'enquête a dû commencer par cela", a déclaré la maire d'Eysines, Christine Bost, interrogée sur France 3 Aquitaine.

La piscine est entourée d'un grillage d'1,2 mètre de hauteur.

Un fonctionnaire de la police s'est présenté vers 9H15 mardi matin dans la maison où il devait prendre des photos.

C'est lui qui a découvert "les deux corps flottant sur le rebord de la piscine à deux mètres l'un de l'autre", selon le procureur, sans avoir été vus par les occupants de la maison, des connaissances de la tante d'un des enfants.

L'absence des enfants avait été remarquée samedi en fin d'après-midi, entre 17H00 et 18H00. Des voisins ont rapporté à l'AFP que dès 18H00 des proches des deux enfants, issus d'une famille franco-ivoirienne, avaient commencé à les chercher.

Une tante des enfants avait raconté à l'AFP dimanche qu'ils avaient été réprimandés, dans l'après-midi de samedi, pour avoir joué trop près de cette piscine, sans autre précision. Selon des proches cités par la police lundi, Erane et Andy avaient manifesté leur frustration de ne pouvoir se baigner, ce qui avait déclenché des recherches comprenant aussi le lac de Bordeaux.

De très importants moyens de recherche ont été déployés depuis samedi, comprenant notamment 200 policiers, la gendarmerie, des pompiers et des chiens pisteurs pour tenter de les retrouver.
Lundi soir, l'enquête semblait indiquer que les enfants avaient quitté la maison à pied, l'un des meilleurs chiens pisteurs de France ayant identifié leur trace olfactive.

Mais les enquêteurs avouaient aussi leur surprise face à l'absence de témoignages ou d'indices précis sur les éventuelles pérégrinations des deux garçons après leur disparition, ce qui pourrait être logique s'ils n'ont jamais quitté la maison.

Les proches, arrivés sur place mardi, semblaient abasourdis. "Je ne sais pas quoi dire", a déclaré à l'AFP, l'air perdu, le père du petit Andy, Marcel.

"C'est bizarre, c'est horrible, il n'y a pas de mots. Ce matin, on les retrouve dans la piscine, c'est vraiment bizarre", a déclaré à l'AFP Adja, une proche de la mère d'Andy.

Erane, originaire de Lorient (Morbihan), se trouvait de passage dans cette ville en banlieue de Bordeaux. Andy habitait Bruges, non loin d'Eysines, avec sa mère.

Sources AFP

Terrible Drame, pauvres gosses
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