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Vertus chrétiennes folles philo .DH. CHARITÉ. ART

 
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joseph1



Inscrit le: 15 Sep 2014
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MessagePosté le: 27-12-2021 17:47    Sujet du message: Vertus chrétiennes folles philo .DH. CHARITÉ. ART Répondre en citant

https://www.lerougeetlenoir.org/opinions/les-opinantes/declin-de-la-civilisation-occidentale-les-vertus-chretiennes-sont-devenues-folles

Faire du robot un sujet de droit brouillerait la notion d’humanité


notion de limite
https://www.causeur.fr/euthanasie-avortement-quand-le-droit-perd-ses-limites-257102


Ils veulent supprimer la frontière
entre l'homme et la femme, entre
l'Homme et l'animal, ils veulent
nous décerer

https://www.grasset.fr/livres/la-philosophie-devenue-folle-9782246811930

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Accueil La philosophie devenue folle
La philosophie devenue folle
Essais et documents
Parution :
19 Septembre 2018
La philosophie devenue folle
Jean-François Braunstein
Trois débats nous obsèdent : autour du genre, des droits de l’animal, de l’euthanasie. Et trois disciplines politiquement correctes traitent désormais de ces questions dans le monde universitaire : gender studies, animal studies, bioéthique.
Cependant, lorsqu’on lit les textes des fondateurs de ces disciplines, John Money, Judith Butler, Peter Singer, Donna Haraway et quelques autres, on s’aperçoit que, derrière les bons sentiments affichés, se font jour des conséquences absurdes sinon abjectes.
Si le genre n’est pas lié au sexe, pourquoi ne pas en changer tous les matins ? Si le corps est à la disposition de notre conscience, pourquoi ne pas le modifier à l’infini ? S’il n’y a pas de différence entre animaux et humains, pourquoi ne pas faire des expériences scientifiques sur les comateux plutôt que sur les animaux ? Pourquoi ne pas avoir de relations sexuelles avec son chien ? S’il est des vies dignes d’être vécues et d’autres qui ne le sont pas, pourquoi ne pas liquider les « infirmes », y compris les enfants « défectueux » ? Pourquoi ne pas nationaliser les organes des quasi-morts au profit d’humains plus prometteurs ?
Jean-François Braunstein a mené un travail considérable et novateur : il a lu les milliers de pages de ces penseurs célébrés dans le monde occidental ; il revient sur leurs idées, leurs contradictions, leur parcours personnel ; il analyse, souligne, contredit, déconstruit. L’erreur consiste à vouloir « effacer les limites » : entre les sexes, entre les animaux et les humains, entre les vivants et les morts. Il convient, au contraire, d’affronter ces limites qui nous constituent. Oui, parfois la philosophie devient folle, quand elle oublie l’homme.


https://lesalonbeige.fr/les-nouveaux-droits-de-lhomme-un-ordre-moral-renverse/




question des droits de l’homme est en train de subir une transformation radicale. Ces droits ont été pensés à l’origine pour souligner la commune nature humaine de tous les hommes et garantir les droits essentiels permettant à chacun de vivre dans la dignité. Or nous assistons à une mutation de la conception de l’individu avec la notion moderne d’identité. La notion d’universel a tendance à se déplacer. D’après Charles Taylor, avec la radicalisation de l’exigence d’égalité, on serait passé d’une conception de l’égale dignité fondée sur « un potentiel humain universel » à une conception d’égalité dans la différence fondée sur le potentiel, lui aussi universel, de former et de définir sa propre identité individuelle et culturelle. La reconnaissance ne se limiterait plus à ce qu’il y a de commun et donc d’abstrait dans tous les êtres humains, mais s’étendrait à l’identité unique de la personne, comme être humain et comme membre d’une communauté. Cette mutation des droits de l’homme pourrait aboutir à l’inscription, dans les droits de l’homme, d’une reconnaissance de droits à l’identité culturelle.

à compléter par :

Vous venez de publier un livre sur les droits de l’homme envisagés comme un “ordre moral renversé”. Qu’entendez-vous par là ?

Le titre de mon livre qui vient d’être publié chez L’Harmattan est “L’ordre moral renversé – Le naufrage des droits de l’homme en Europe“. Il s’agit d’une analyse approfondie des mécanismes d’évolution des droits de l’homme en France et en Europe, mettant en lumière leur transformation progressive en droits des individus à assouvir leurs désirs, compromettant les droits humains tels qu’ils étaient conçus à l’origine.

Dans cet ouvrage clair et concis, compréhensible par tous, je mène une analyse objective et factuelle sur les origines et les mécanismes des mutations sociétales en marche depuis la deuxième moitié du XXe siècle.

Les droits de l’homme ont profondément changé depuis la Déclaration universelle de 1948. Comme l’a écrit Grégor Puppinck, directeur du Centre européen pour le droit et la justice, « alors que les droits de l’homme de 1948 reflétaient des droits naturels, l’affirmation de l’individualisme a généré de nouveaux droits antinaturels ».[1]

Mais en 1948 le ver était déjà dans le fruit, et l’erreur a été répétée avec l’adoption de la Convention européenne des droits de l’homme en 1950. Quelle fut cette erreur ? Le refus de relier les droits de l’homme à une quelconque transcendance. Pourtant, plusieurs intellectuels et religieux avaient averti à l’époque, parmi lesquels le pape Pie XII, qui déclara en 1948 : « si l’Europe veut en sortir, ne lui faut-il pas rétablir, chez elle, le lien entre la religion et la civilisation ? […] (Sans) la reconnaissance expresse des droits de Dieu et de sa loi, tout au moins du droit naturel, fond solide sur lequel sont ancrés les droits de l’homme, […] comment ces droits et toutes les libertés pourront-ils assurer l’unité, l’ordre et la paix ? » [2].

N’étant plus tenu par une morale supérieure venant d’en haut, l’ordre moral a été littéralement renversé par l’apparition d’une nouvelle morale dictée par l’Individu, venant donc d’en bas. C’est que j’attends par “ordre moral renversé”.

Cette déconnexion entre les droits de l’homme et une loi morale transcendante n’est-elle pas au cœur même de la philosophie des droits de l’homme, dès 1789 ?

La déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 reconnaît l’existence d’une sagesse et vérité transcendante dans “l’Être Suprême”, sous les auspices duquel ont été solennellement déclarés « les droits naturels, inaliénables et sacrés de l’homme ». Je pense donc qu’il n’est pas juste de dire que les droits de l’homme de 1789 sont déconnectés de toute loi morale transcendante. Cela dit, 1789 a été une étape importante du relâchement du lien entre société et religion. L’idée même de “l’Être Suprême”, en renvoyant à une image d’un Dieu lointain et impersonnel, suggère que l’on cherche à évacuer Dieu hors de la sphère publique. Mais 1789 n’a été qu’une étape qui s’inscrit dans un long processus commencé bien avant. Dans son fameux ouvrage « Le pari bénédictin », Rod Dreher nous explique que la racine de la crise est le nominalisme, courant théologique du XIVe siècle selon lequel Dieu est une entité toute-puissante entièrement séparée de la Création. Après 1789, la déconnexion progressive entre le monde terrestre et le monde céleste s’est poursuivie, jusqu’à aboutir aujourd’hui au rejet pur et simple de ce dernier.

En sens inverse, ne pourrait-on pas considérer que les droits de l’homme pourraient offrir une version sécularisée de la loi naturelle ?

En 1948, plusieurs contributeurs à la Déclaration universelle des droits de l’homme, parmi lesquels le philosophe français Jacques Maritain et le Libanais Charles Malik, ont exercé une influence importante pour que les droits de l’homme s’inscrivent dans la loi naturelle. Si celle-ci n’est pas spécifiquement mentionnée dans la Déclaration, le préambule proclame que les droits se fondent sur la « reconnaissance de la dignité inhérente à tous les membres de la famille humaine ». La Déclaration n’établit pas les droits humains, elle ne fait que déclarer des droits préexistants inhérents à la nature humaine.

Cependant, l’absence d’ancrage à la loi naturelle est la source même de la dérive qui s’est produite par la suite.

L’absence de référence explicite à la loi naturelle dans la Déclaration universelle provient du fait que sa rédaction est le résultat d’un compromis entre plusieurs courants de pensée ayant des conceptions différentes de la dignité humaine. Il y a essentiellement deux approches : l’homme tient sa dignité de Dieu en tant qu’être créé à Son image ; l’homme est l’auteur et le maître de sa propre dignité. Comme la loi naturelle n’est pas mentionnée dans la Déclaration universelle, il est possible d’interpréter les droits de l’homme qui y sont énoncés en fonction de l’une ou l’autre conception. C’est cette absence d’ancrage à la loi naturelle qui a permis la perversion des droits de l’homme devenus des droits individuels : le droit à l’autodétermination, le droit de vivre la vie de son choix, le droit de disposer de son corps, et d’autres encore. Tous ces droits se basent sur un principe contraire à la loi naturelle, à savoir que chaque individu est source de ses propres valeurs. Dans la loi naturelle, il y a le mot “Loi” qui indique l’existence de limites établies par Dieu et inscrites par Lui dans le cœur de l’homme pour son bien et son bonheur. Mais c’est le propre de l’homme de soupçonner que Dieu a posé sa loi et fixé des limites dans le but de l’empêcher de s’épanouir en devenant « comme des dieux ».

Tout comme la Déclaration universelle de 1948, la Convention européenne des droits de l’homme de 1950 et la Charte des droits fondamentaux de l’Union européenne de 2000 ne se réfèrent à aucune morale transcendante, ni même à l’héritage chrétien de l’Europe. Si l’on peut comprendre que les rédacteurs de la Déclaration universelle aient omis toute référence à Dieu ou à une quelconque vérité transcendante dans l’intention de permettre son adoption par l’ensemble des pays d’horizons culturels très variés, l’omission de la référence à la religion chrétienne dans les actes fondateurs du Conseil de l’Europe et par l’Union européenne pose en revanche question, l’Europe étant indéniablement le « berceau du christianisme et de la moralechrétienne » comme exprimé par Winston Churchill dans son discours de Zurich en 1946.

Quel rôle ont joué les droits des “minorités”, notamment les droits LGBT, dans la subversion contemporaine des droits de l’homme ?

Les minorités ont en effet joué un rôle très important en gagnant la complicité des juges, en particulier ceux de la Cour européenne des droits de l’homme, qui en Europe donne le “La” en termes d’interprétation des droits fondamentaux.

Lorsque des individus ou groupes d’individus considèrent que leurs droits ne sont pas respectés, ils peuvent saisir la Cour européenne. Or, la Cour considère que la Convention est un « instrument vivant », comme elle l’a elle-même exprimé dans l’une de ses publications : « Ce qui fait la force de la Convention et la rend extraordi­nairement moderne, c’est l’interprétation que la Cour en fait : une interprétation dynamique, à la lumière des condi­tions de vie actuelles. Par sa jurisprudence, la Cour a élargi les droits énoncés par la Convention, si bien que ses dispo­sitions s’appliquent aujourd’hui à des situations totalement imprévisibles et inimaginables à l’époque de son adoption. »[3]. On est là à l’opposé de la loi naturelle.

La possibilité pour tout individu ou groupe d’individus de saisir en toute liberté la Cour européenne, combinée à la philosophie de la Cour Européenne que les droits et libertés de l’homme doivent être évolutifs et adaptés aux mœurs de notre temps, fait que les revendications des individus ou des minorités sont, si elles sont considérées justifiées par la Cour, élevées au rang de droits fondamentaux. Ces nouveaux droits étant inscrits sur les tables sacrées des droits de l’homme, leur remise en question n’est pas tolérée. De là découle le paradoxe suivant : le renforcement des droits des individus et des minorités a pour conséquence le non-respect de droits fondamentaux tels que la liberté de conscience ou la liberté d’expression, car la sacralisation de ces nouveaux droits s’accompagne d’une obligation pour tous de les reconnaître et d’une interdiction de les critiquer.


Dernière édition par joseph1 le 25-03-2024 13:23; édité 5 fois
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joseph1



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MessagePosté le: 06-09-2023 08:14    Sujet du message: Répondre en citant

La question des droits de l’Homme se transforme. Ces droits ont été pensés à l' origine pour protéger la commune nature de tous les Hommes et garantir les droits essentiels permettant à chacun de vivre dans la dignité.
La notion d’universel a cependant tendance à disparaître. On passe d’une conception de l’égale dignité de tout être humain à une conception fondée sur le potentiel de former et de définir sa propre identité et de la faire reconnaître comme droit de l'Homme. La reconnaissance ne se limiterait plus à ce qu’il y a de commun et donc d’abstrait dans tous les êtres humains, mais s’étendrait à l’identité de la personne, à ses désirs, cela comme individu membre d’une communauté. On va vers un droit des individus à assouvir leurs désirs. Cette mutation des droits de l’Homme entraîne la création de multiples droits pour tel ou tel groupe de personnes ou communauté.Ces nouveaux droits, droit au mariage gay, droit à l'enfant, droit de disposer de son corps se multiplient. On peut être ou non d'accord avec cela, mais en toute hypothèse ces nouveaux droits n' ont pas à être élevés au rang de droit de l' Homme car cela a pour conséquence de noyer les droits essentiels dans une sorte d 'inventaire à la Prévert, affaiblissant de ce fait la notion de droits humains tels qu’ils étaient conçus à l’origine.
On assiste à une forme de subversion des droits de l’Homme.
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joseph1



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MessagePosté le: 07-09-2023 14:06    Sujet du message: Répondre en citant

https://lintegral.over-blog.com/2018/02/droits-de-l-homme-et-dignite-humaine.html
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joseph1



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MessagePosté le: 15-09-2023 20:09    Sujet du message: Répondre en citant

https://www.grasset.fr/livre/la-religion-woke-9782246830313/
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joseph1



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MessagePosté le: 25-09-2023 10:39    Sujet du message: Répondre en citant

CHARITÉ

l’étranger était accueilli et respecté, rappelle l’abbé Arbez, « dans le cadre obligatoire d’une réciprocité ».

Exactement.
Et surtout accueillir par charité un « étranger », qui au sens biblique peut provenir d’une autre ville et n’est pas nécessairement quelqu’un issu d’un pays lointain ou culturellement différent est une chose, accueillir en masse des peuples constitués, avec leurs moeurs et leurs lois est tout simplement, sous un angle strictement pratique, une invasion.
Ce qui est la mise en place de risques de guerre.





Le pape est dans son rôle quand il considère les migrants comme des individus, mais c’est problématique quand il cultive une cécité volontaire sur la dimension collective du phénomène des migrations. Il s’interdit de ce fait d’en analyser les conséquences économiques, culturelles, sociales et religieuses. 
Tu accueilleras l' étranger dit l' évangile, mais il ne dit pas que tu dois te laisser submerger par le nombre et voir ta civilisation disparaître



ce Pape. Il parle un peu comme François Ruffin. Décevant. C'est donc bien vu dans le Christianisme que d'abandonner sa terre et ses proches.


message de Dieu Charité, c'est aimer son prochain (celui qui est proche de nous) par
Tu aimeras ton prochain comme toi- même
il faut donc d' abord s' aimer puis aimer celui qui est proche.
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joseph1



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MessagePosté le: 27-09-2023 17:11    Sujet du message: Répondre en citant

TOTALITARISME

Quel mot vous dérange ? Totalitarisme ? Il est défini comme la soumission de la totalité des pans de l'existence à une idéologie. Et bien comment appelez-vous la volonté de détruire les peuples, nations, cultures, races, sexes et espèces pour purifier le monde et imposer la grande égalité, l'aube nouvelle, l'humanité 2.0 où les individus ne se définiront que par leur statut socio-économique ?
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joseph1



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MessagePosté le: 04-11-2023 17:45    Sujet du message: Répondre en citant

Art contemporain

https://lesmoutonsenrages.fr/2023/11/04/le-tout-nouveau-projet-dart-public-de-vienne-dune-valeur-de-18-million-deuros-est-un-veritable-fiasco/comment-page-1/#comment-956915
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joseph1



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MessagePosté le: 11-11-2023 06:13    Sujet du message: Répondre en citant

CHARITÉ ET IMMIGRATION
.
Lorsque le Christ dit « J’étais un immigré, vous m'avez accueilli, j'étais un étranger, vous m'avez accueilli », il s'adresse à une personne qui, par charité, accueille un étranger. Dans l’Évangile, il n'y a jamais de déclaration politique. Jamais le Christ ne dit qu'un État ou un peuple doit laisser un autre peuple entrer sur son territoire.

C'est trop simple de dire que la France doit accueillir des immigrés. C’est qui, la France ? C'est l'argent des autres, donc, en fait, ce n'est pas chrétien de dire que les autres doivent accueillir des immigrés. Il n'y a pas d'injonction politique à ce que les dirigeants accueillent une population exogène au détriment de sa culture et de sa civilisation et de la sécurité de ses membres.

Le Christ appelle à la charité à titre individuel. Il y a une injonction personnelle à chaque chrétien de soigner l'étranger, le pauvre ou la personne qui est en situation de nécessité devant elle, et pour moi, la première des charités, aujourd'hui, c'est de secourir les Français qui sont dans la rue, les familles pauvres qui sont obligées d'aller au Secours populaire parce qu'ils n'ont plus à manger, les retraités qui coupent le chauffage l'hiver comme ma mère, par exemple. Que ce soient les impôts qui payent c'est-à-dire que ce soit les plus pauvres, les classes moyennes, ceux qui travaillent, qui paient pour les autres, c'est une injonction de communiste qui n'a rien à voir avec le christianisme.
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joseph1



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MessagePosté le: 24-12-2023 14:50    Sujet du message: Répondre en citant

Évangile et accueil de l' étranger.

« J’étais un étranger, et vous m’avez accueilli » (Mt 25,35).

L’Evangile s’adresse aux individus pour la conduite de leur vie : il n’est pas destiné aux Etats et n’est pas un programme politique ni un modèle de société. Le Christ lui-même nous l’indique : « Rendez à César ce qui est à César » (car) « Mon royaume n’est pas de ce monde » … Pendant des siècles l’Eglise a su guider et soutenir les individus. Aujourd’hui au contraire la volonté d’appliquer la lettre de l’Evangile au fonctionnement de la société conduit au suicide collectif. Comme l’avait constaté Chesterton, les idées chrétiennes sont devenues folles.



philo devenue fou

https://www.causeur.fr/euthanasie-gpa-antispecisme-genre-le-wokisme-en-a-encore-sous-le-pied-276358
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