Retraite Active

[Jan Goure]

« Mais où sont les neiges d’antan ? » dixit le Poète
Nous, c’est plutôt le soleil qui nous met en fête
Quand il éclaire les sous bois et les bosquets
Où les uns vont se perdre, d’autres s’y retrouver…
Quand il fait de la mer une glace si belle
Et un miroir brillant des neiges éternelles

Mais quand il n’est plus que ‘cagnard’
Marcheurs, coureurs, cyclistes : bagnards !
Dans un air devenu de la ouate brûlante
Chaleurs et suées pas très marrantes ?

Alors, je ne rêve plus que d’être l’ombre…
« Ombre, cent fois plus ombre que l’ombre… »
A la Desnos, n’étant plus que cette ombre
Qui je l’espère ne vous fera pas ombre !

Jan

A Musika, ci-devant, 'coureuse' à pied
Puisqu'elle n'aime que ce qui fait 'rigoler'...

[musika]

JAN..............ça va pas être coton.........
tout cela.............je reprends mon souffle, je relis .......tout haut......

j'aurai préféré que tu détournes les eaux.
pour refroidir cette ouate brulante...
bravo JAN.........
j'ai "planché"......... sur ton texte.....

et ce soir je file à la piscine,
pour me destresser

bye bye bye bye JAN GOURRE
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poete_musika..4 mains

[Jan Goure]

Ah ! tu nages aussi ?
Manque le vélo et c'est le triathlon...
Mdr

[mamiero]

]Musika tu es gatée là gros bisous.

[Jan Goure]

Mamiéro,

Gâtée ? non de la reconnaissance
à celle qui est partout et tient le site
comme Atlas la terre... avec des
charognards qui lui 'bouffent' le foie !

Eh ! mais non pas toi ...
Bisous

Jan

[mamiero]

Oui jan elle a du mérite ainsi q' Annick moi , je ne saurais pas le faire comme eux je t 'assure il faut beaucoup de patience gros bisous

[gergen59]

Ombre et lumière
Yin et Yang d'une vie ,
Semblable au ressac de l'océan,
Au vent qui va et vient ,
A l'ondée qui sur la terre ,
Gonfle les ruisseaux ,
Pour retourner ensuite
Dans le coeur de l'océan .

Ainsi la lumière ,
Ne peut vivre sans son ombre ,
Et l'ombre ainsi ne peut vivre sans sa lumière .
Peut on dissocier le ciel de la terre ,
Les étoiles de l'univers ,
L'homme du ventre de sa mère .
Comme un cordon sans fin ,
Voilà ou est la vie ;

Dans l'ombre et la lumière
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La vérité est au bout du chemin , ne t'arrête pas de marcher

[mamiero]

HOOOOOOOOOOOOOOOOO gégé enfin te voilà quel plaisir de te lire gros bisous tout pleins

[musika]

oui, c'est vrai................la lumière ne peut vivre sans son ombre......
c'est joliment bien dit tout cela..........

gergen est un sage comme d habitude.............
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poete_musika..4 mains

[Jan Goure]

Mamiero,
"Je sais que tu sais... que je sais que tu sais..."
qu'il faut beaucoup d'abnégation, à Musika comme à Marie
et...du sang froid pour "bien faire et laisser braire..."

Gergen
Eh ! oui, L'éternelle dualité...
et en ce qui nous concerne
Montaigne :

"L'homme (humain ) cet être ondoyant et divers..."

Salut l'Ami

Jan

[musika]

Jan goure............parle moi de MONTAIGNE........tu le vois comment...

avec tes mots s il te plait...........
merci à toi...............je ne le connais pas........donc tu vas m apprendre....
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poete_musika..4 mains

[Jan Goure]

Montaigne ?

Un penseur et un sage
Fidèle en amitié... de son amiLa Boétie, alors qu'on lui a demandé
pourquoi, il a répondu : "Parce que c'est lui, parce que c'est moi !"

Et dans ses "essais" qui fourmillent de vérités, j'en ai retenu quelques
unes :

"Vérité en deça - erreur au dela..."
et :
"On peut dire beaucoup de paroles dans un sens et dans l'autre..."

Je crois que tu seras d'accord ?

Il y a tellement plus... voir Google pour plus informé !

[Marie]

voila petite musicka MONTAIGNE et son ami LA BOETIE, comme je sais que tu n'aimes pas chercher sur le net voici un petit passage



Parce que c'était lui, parce que c'était moi."
[Montaigne, en parlant des raisons de son amitié pour La Boétie, plus de 25 ans après la mort de celui-ci]


Note sur Étienne de La Boétie:
Il écrivit le Discours sur la servitude volontaire, intitulé aussi Contr'un. Cette oeuvre d'un esprit aussi fin et lettré, écrite à 16 ans et corrigée à 22, le rendit célèbre par "l'appel à la liberté" (le mot est de Montaigne) qu'elle contient. On sait que Montaigne voua à La Boétie une véritable passion d'amitié, qu'il jugera lui-même excessive lorsque, en 1563, il subira l'expérience de la mort de cet être cher par-dessus tout. D'ailleurs, en 1571 (jusqu'à 1574 au plus tard), Montaigne se retira dans sa "librairie", à l'âge de 38 ans, pour se consacrer à la méditation, en mémoire de son ami. La lecture des philosophes stoïciens fut alors, on le pense, appropriée dans les deux sens du terme,


Les quelque 57 sentences ou phrases ont été peintes
par Montaigne sur les travées du plafond de
cette pièce du château qu'il appelait
sa "librairie".
















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un sourire éclaire votre journée

[musika]

merci tous les deux........c'est vrai que je n aime pas chercher sur google..... MARIE..

voilà j aime mieux entendre de votre bouche......
les vies des poetes.......j'aime savoir aussi ce que vous pensez d eux.....

donc MOMTAIGNE avait un ami..........

pourriez vous m en dire + sur leur amitié. cela avait l air important pour Montaigne...
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poete_musika..4 mains

[Marie]

je cherche pour toi !!!!!!



Michel de Montaigne fait la connaissance d'Etienne de la Boétie, magistrat comme lui . Cette amitié marquera Montaigne. Il est influencé par l'exigence morale de son ami, son stoïcisme, son engagement dans la réflexion politique. L'amitié de Montaigne et de la Boétie est encore évoquée aujourd'hui comme un symbole




Étienne de la Boétie naît le 1 novembre 1530 à Sarlat dans le Périgord. Son père est lieutenant d'un sénéchal du Périgord. Il fait ses études au collège de Guyenne (le plus brillant collège du Midi) puis étudie le droit à Orléans. L'école de droit est alors en même temps école de philosophie (en particulier averroïste) et constitue un foyer actif pour la diffusion de l'humanisme et même de la Réforme. À vingt-trois ans, la Boétie est conseiller au Parlement de Bordeaux. Il est le collègue de Montaigne à qui il inspire une amitié passionnée et est partisan des thèses modérées de Michel de l'Hospital. Poète, auteur de nombreux sonnets, de vers latins, de traductions de Xénophon et de Plutarque, il est surtout connu pour son Contr'un ou Discours sur la servitude volontaire qui, sans défendre de système politique particulier, constitue une très sévère critique contre la tyrannie. Il meurt le 18 août 1563, à l'âge de trente-trois ans. Le Contr'un n'est publié qu'après sa mort, en 1574 dans un recueil collectif d'inspiration protestante, Le réveil-matin des Français. Le texte fut réimprimé à chaque période de lutte pour la démocratie (en 1789, en 1835, en 1857 contre Napoléon III)"
Source : http://perso.wanadoo.fr/sos.philosophie/boetie.htm (pris sur le web le 9.6.2005)


cela te suffit!!!!!!!! bises



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un sourire éclaire votre journée

[Jan Goure]

On a souvent glosé sur cette amitié
Comme chaque fois que l'on prononce le mot : ami...

Et après ces échanges, je cite encore Montaigne :
"Il faut frotter sa cervelle à celle d'autrui
Du choc jaillira l'étincelle qui éclairera
notre lanterne !"

[Marie]

bonjour jan ,comme tu as raison on se glose souvent du mot ami.... avec des sous entendus.........commentaires oiseux........
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un sourire éclaire votre journée

[Jan Goure]

Bonjour Marie !

Heureux de te lire.
Oui, la langue Française est pleine de sous-entendus

'Mon ami' (e) mon 'petit ami'(e) mon 'copain' et ine ...
Pour un(e) ami(e) j'en viens à péciser : d'amitié...
pas de quiproquos ni d'ambiguïtés... ainsi en est-il
pour d'autres mots. Quand Montand chantait :
"Le chat de la voisine" ça faisait gloser aussi !

Bises... d'amitié ( précision ! )
Mdr ?

Jan

[Marie]

ok JAN, bisous d'amitié'(mdr)
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un sourire éclaire votre journée

[gergen59]

J'étais devant le jour ,
et la nuit m'est apparue
Une étoile m'à parlé
baignant dans un aura
rayonnant de ses mille feux,
jettant dans mon esprit
des mots sans concordance
érigeant des piliers
aux phrases inombrables
semant sur le terrain
de mes doutes ,de mes pensées
un chaos sitôt comblé
pour me donnner la paix
de cette mesure tant désirée.
Là ôu en quête d'un bonheur
quand viennent m'harceler
les chimères aux dards acérés ,
comme un bouclier,
le grand architecte
protant en son sein
nos vies et nos sentiers
renforce par son épée
mes pas égarés .
Dans ce désert parfois desséché,
comme un ruisseau ,
abreuvent mon âme ,
les traits de ses pensées,
sifflants dans l'air du temps
gouttes d'eau sur l'immensité des océans.
Rester sur les rives ,
de peur de trébucher
de se noyer dans le doute
et ne plus remonter,
Vers la clarté du jour,
là ,il faut oser
se lancer dans le vide
d'une foi assurée .


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La vérité est au bout du chemin , ne t'arrête pas de marcher

[Jan Goure]

Gergen,

Tu nous convies à un voyage dans les étoiles
Vers le ciel, tout là haut, mettre les voiles...
Avec "les piliers de la sagesse" trouver la paix
Car apparemment tu as trouvé 'ta' vérité

Jan

Des mots qui ne laissent pas indifférents...