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Marseille-Cassis... semi marathon mythique !

 
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Jan Goure



Inscrit le: 18 Juil 2006
Messages: 1865

MessagePosté le: 23-03-2007 17:30    Sujet du message: Marseille-Cassis... semi marathon mythique ! Répondre en citant

Marseille – Cassis…


Marseille – Cassis, semi marathon fort prisé dans tout le midi de la France, et même ailleurs.
De celui que je vais conter, qui est le plus mémorable… pour moi ( ! ) Je n’en dirais pas l’année…
Il se déroule tous les ans début octobre et il est souvent réussi de par l’été Indien, ce fut le cas cette fois là. A l’habitude nous avions fait un car pour vingt trois coureurs de notre club Lyonnais. Nos places étaient retenues dans un hôtel à Aubagne, cette fois là.

Nous étions six vieux vétérans 2 et 3, formant un groupe monolithique à l’habitude. Toujours en défense, car les plus jeunes, s’ils respectaient notre expérience faisaient bien sentir qu’ils étaient à un autre niveau ! J’étais le seul qui de par sa fonction d’entraîneur assurait le lien avec hommes ou femmes, plus jeunes, mais pas encore aguerris ou n’ayant pas atteint la plénitude de leurs moyens.

Cette fois je n’avais personne à m’occuper spécialement, et je m’en réjouissais. C’était trop
souvent la même rengaine : Je courais avec des ‘élèves’ donc pas à mon niveau et me revenaient des réflexions du genre
-L’entraîneur avec ses conseils il devrait courir lui même le marathon en moins de trois heures…

Cela, je le leur avais prouvé à Annecy cette année là, en passant sous les trois heures, cinq semaines après avoir couru celui de Lyon en 3h21 avec mon groupe… La forme, toujours là, bien qu’ils soient mes amis, j’avais l’intention de devancer le Jeannot et le Julot qui avaient frisé les 1h20 l’année précédente, moi en 1h25 avec Minou qui avait battu son temps à elle de onze minutes !

Le matin de bonne heure, après qu’on ait joué les mouches du coche auprès du chauffeur et des autres coureurs pour arriver longtemps en avance au Parc Borelly où l’on retirait les dossards. On avait essuyé des réflexions du genre :
-P… ! les ‘vieux’ ils sont pires que les cadets de la FFA…
De fait, dés le dossard retiré, nous avons été nous accrocher comme des berniques à leur rocher sur le filet qui coupait la route d’où serait donné le départ plus d’une heure après…

Nous étions encore huit mille coureurs cette année là, ils ont frisé les quinze mille depuis.
Et ceux qui arrivaient tranquillement un peu avant neuf heures avaient devant eux une marée
De coureurs sur des centaines et des centaines de rang… Au coup de canon, ils mettaient des minutes, selon leur rang pour passer ce qui était la ligne de départ…

[ Digression : Depuis quelques années, sur ces courses là, chaque coureur se voit attribuer une puce électronique mise dans la chaussure. Au passage de la ligne elle déclenche le temps et au passage de la ligne d’arrivée, cela donne le temps réel du coureur ]

A l’époque en se rapprochant des 9 heures, heure du départ, cela devenait une foire d’empoigne abominable : Il nous est arrivé de faire le coup de poing pour empêcher un ‘sagouin’ de vouloir nous faire lâcher prise, en disant :
-Les ‘vieux’ vous avez rien à f… à l’avant !

Ce matin là, je l’ai d’abord entendu crier, se fâcher et dire à la cantonade :
-Il y a des mains baladeuses, là dessous, c’est dégueu…

Peu après, elle a poussé un vrai cri, accompagné d’un :
-Salaud… fumier !
Et j’ai vu sa tête à quatre ou cinq têtes de moi… Mon esprit Saint Bernard qui date
du temps des ‘nous-z-otes’ [ ceux qui à mon école ne respectaient que leurs fantômes voilés et pas nos filles normalement habillées, en filles, elles ! ] et renforcé par l’esprit MNS donc sauveteur bénévole ce qui m’a fait lui crier :
-On est des ‘vieux’ ici, et on va te protéger ; glisses toi vers nous…
Gênés tout de même, et pas tous des salauds qui eux se gardaient bien de se faire connaître,
des coureurs l’ont aidée. Elle est arrivée, s’est placée devant moi : Je n’avais pas lâché le treillage de plastique pour autant, sinon on aurait été inexorablement phagocytés et renvoyés sur l’arrière…

J’avais Cico à gauche, Jeannot à droite, tout allait bien au début… J’ai à peu près vu qu’elle était jeune, surtout pour nous… qu’elle était grande et sèche comme le sont les marathoniennes, mais qu’elle avait un beau visage de brune et un joli sourire, quand tournée vers moi autant que faire se peut, elle m’a remercié, disant :
-Le dernier, il m’a carrément mis la main sous les fesses, et j’ai pas pu voir qui c’était !

Bon, j’ai vite appris qu’elle s’appelait Michèle D… du club de M… ( petite ville dont je tairais le nom, bien sûr ! ) qu’elle avait 27 ans, qu’elle voulait faire un temps et était venue
Dés huit heures, les autres étant moins pressés… Qu’elle avait ‘fait’ 1h16 l’année précédente et espérait faire mieux… Et nous les ‘anciens’ ( surtout moi ) on s’est racontés aussi !
Elle m’a dit :
-Un entraîneur, ça ne m’étonne pas… je suis bien tombée ( ? ) en me mettant à côté… Il y a un moment que je vous avais repérés et que je voulais vous demander de me protéger !

Mais l’heure tournait, la demi passée, c’est devenu infernal. Maintenant on était inexorablement collés les uns aux autres, et… elle était plaquée contre moi sans que je puisse
Laisser un creux entre elle et moi ! Que croyez vous qu’il arriva ?
Brassens l’a chanté : « La b… Papa, ça se commande pas ! » J’ai essayé de me contorsionner
Mais vers l’arrière pas moyen de gagner un centimètre…bigre ! elle aussi le ‘centimètre’ car collée au treillage à l’avant. Mais elle a compris les efforts louables que je faisais…
Je ne sais si c’est en rougissant qu’elle m’a dit sans se tourner vers moi :
-ça ne fait rien, c’est naturel… je me sens protégée !

Hum ! emboîtée, il eut fallu dire, malgré l’épaisseur des deux shorts ! Sincèrement,
A ce moment là, j’étais mort de honte ! Et je me traitais intérieurement de tous les noms :
Surtout que cela a empiré…
J’ai pensé :
-S’il y a d’autres filles à l’avant, ça doit être pareil ?

Mais ce n’était pas une excuse. Quoi qu’il en soit, clouée au pilori, cela n’avait absolument plus l’air de la gêner… tête quasiment collée de côté à la mienne, elle s’est encore racontée :
Les années de FFA, puis la coupure et depuis trois ans retour sur les courses de route où elle était de loin la plus douée du club. Ses courses, ses temps… je ne savais dire que :
–C’est bien…bravo ! tu as un sacré niveau…
Mon subconscient lui, pensait en latin : « c’est bonus » et ma morale pouvait toujours s’en offusquer, tiens ! Je fais partie des gémeaux : gémeau sage et gémeau fou… et là, une fois de plus c’était la bagarre !

Devant le filet, les ‘guignols’ officiels s’étaient tranquillement rassemblés, montés sur une estrade, de côté… ils n’avaient pas intérêt à être de face !
Neuf heures : boum !! le filet qui tombe… je lui ai servi de starting blocs, tellement elle a bondi par dessus ! Je l’ai vue quelques instants filer parmi les premiers. Nous on était rattrapés, portés par des coureurs plus rapides arrivant de l’arrière…

On remonte vite vers la D559, la route normale de Cassis, et presque de suite, ça monte, vers le col de la Gineste qui nous fait passer du niveau de la mer à + 365m en quelques petits kilomètres. C’ est un effort violent qui ne permet aucune récupération après un départ rapide. Je ne pensais qu’à me concentrer pour essayer de ne pas aller, ni trop vite ni de m’endormir. J’avais vu Jeannot partir sur ma droite. Julot à son habitude avait été le plus rapide, je l’avais vite perdu de vue…Cico et Jean, déjà V 3, je savais qu’ils étaient derrière et n’entraient pas dans notre petite ‘guéguerre’ feutrée car ‘entre amis’…

Je n’ai même pas réalisé quand mon ‘Jocrisse’, lui, s’était calmé… sans doute dés le départ, car l’afflux sanguin c’est dans les guiboles qu’il se concentre… et soudain, j’ai cru la voir !
A une centaine de coureurs devant moi. Cheveux noirs à ce que j’en voyais, tenue de son
Club où le violet prédomine… Et j’ai eu beau me dire :
-calmos… calmos…
Ce que je disais aux élèves d’habitude, et que je n’étais pas fichu de m’appliquer à moi-même ( ! ) j’ai gagné des places sur le tee shirt blanc et violet : je savais maintenant que ce n’était pas elle !

A environ un kilomètre du sommet de la Gineste, où cela devient un peu moins dur, j’ai rejoint cette brune qui m’avait fait cavaler… pour rien ! J’ai vu qu’elle en ‘bavait’, partie sans doute trop vite ! L’entraîneur en une fraction de seconde a réagi :
-Tu es trop crispée… desserre tes poings, baisse les bras… souples les bras, jusqu’aux doigts, comme si tu te préparais à jouer du piano…

Je crois qu’elle m’a jeté un regard noir… puis les mots sont entrés dans son cerveau, elle s’y est essayée… J’ai encore donné quelques conseils. Le col était là, nous l’avons dépassé. Je lui ai dit :
-Maintenant c’est plat longtemps avant la descente… je te laisse !
Et là elle a remercié à haute voix bien que trop essoufflée, je le voyais bien… mais elle n’était pas de mon club. Maintenant « chacun sa route, chacun son chemin… » je me le suis chanté en accélérant car l’ayant accompagné en ce dernier kilomètre, j’avais récupéré, moi.

Maintenant c’était du gâteau. Tout le long il y avait des groupes qui jouaient de la musique, et même au passage du camp militaire, la musique de la légion étrangère qui donne une aubade
A tous ces ‘petits’ forçats de la route…Quand on a attaqué la descente vers Cassis j’ai accéléré de plus en plus… Jouant sur mon poids j’ai appris à faire des bonds étirés qui donnent une vitesse que d’aucuns m’enviaient. Mais il ne faut pas se louper : pas de freins, une mauvaise réception et c’est une cabriole dangereuse assurée…

Je suis arrivé très vite sur Julot, mais j’ai crié son prénom trop fort… Il a failli tomber !

Je lui ai demandé :
-Et Jeannot ?
-Pas vu…
Le dernier coup de rein terrible est au bas de la côte. On arrive au local des pompiers. Ils sont là pour vous encourager… ils ont raison de le faire, car de suite après on quitte la route normale pour une montée très dure en direction de la calanque de Port Miou. La transition, longue descente puis côte brutale est terrible ! Le calvaire ne dure pas trop longtemps : cinq cent mère, peut-être 600, pas plus. Dés après l’impression de descendre vers la mer, puis retour vers le port… encore deux petits raidillons surprise auxquels je m’attendais. Puis c’est la longue ligne droite le long du port… j’ai donné tout ce qu’il me restait comme ‘jus’ espérant encore rejoindre Jeannot. Enfin le passage de la ligne :1h19’50’’ …
Je me moquais pas mal d’arriver après trois ou quatre cent coureurs, et d’apprendre comme je l’ai su plus tard que je n’étais que 3me Vétérans 2, car Julot est arrivé après moi en 1h21’ et le Jeannot encore plus loin en 1h23’. Furieux d’une douleur dans le mollet gauche à la descente. De toute façon quand on perd du temps, on se trouve toujours une raison…

Aller sur la place de la fontaine un peu plus haut que le port récupérer son sac, venir de l’autre côté de la pointe des rochers, et entrer dans l’eau à 21 ou 22° en tenue de coureur pour laver la sueur avant que de l’essorer et le mettre dans un sac de plastique. S’en débarrasser, mettre son maillot dans l’eau. Nager mais pas trop longtemps et sans quasiment se servir des jambes, sinon : bonjour les crampes ! Au triathlon on commence par la natation ce n’est pas pour rien…

Rhabillés, remontée le long du port de coureurs qui arrivent encore. Les copains s’enfilent deux bonnes bières, moi deux perrier-citron…
-Toi, tu regardes partout… tu voudrais bien ‘la’ revoir, hein ?
Oui, là ! bien qu’il y aurait eu de la gêne entre nous, au moins de mon côté !
Nous avons remonté les petites rues, la grande route, retrouvé le car, mangé sur le pouce le long d’un fossé herbeux. Et vogue la galère : la rentrée sur Lyon…

Une fois de plus, vanitas, vanitatum et omnia vanitas : nous avons fait des efforts exagérés… Pour le plaisir ? Voire disait Panurge… Pourquoi je me piquais au jeu de temps en temps et je relevais le défi vis à vis des ‘anciens’ de mon club. Eux, étaient encore moins sages que moi, car c’est à chaque course qu’ils donnaient leur maximum !
Et de Michèle que m’en reste-t-il ? vague souvenance d’un visage, et un sourire, vus de profil.
Mais bien plus nettement, la chaleur d’un corps de femme plaqué très fort sur le mien, et quand je l’évoque…quelque chose s’électrise encore en moi !

FIN

Dédié à Musika, notre Modo qui est aussi coureur à pied...

Jan
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Annick



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MessagePosté le: 23-03-2007 18:06    Sujet du message: Répondre en citant

8000 coureurs au coude à coude ! ça me rendrait dingue d'être dans une pareille foule ! Shocked

A la place de cette jeune femme, j'aurais fait passer devant moi le "malapris" qui était derrière ! Razz
M'enfin Jan, heureusement que tu n'étais pas danseur à l'opéra !
Razz
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" Le bonheur ne court pas le monde; il faut vivre où l'on est heureux "
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campanule



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MessagePosté le: 24-03-2007 15:26    Sujet du message: Répondre en citant

Bonjour Jan, je viendrai te lire un peu plus tard
amitiés
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musika



Inscrit le: 23 Mar 2005
Messages: 18472

MessagePosté le: 24-03-2007 15:28    Sujet du message: Répondre en citant

voilà j ai tout lu.
danseur d Opéra ANNICK, je t assure tout se voit chez un coureur
à pied, il est soit en short, soit en caleçon Wink

moi, je n ai jamais rien vu, ou subi de cette sorte............aucun copié, collé.

par contre,
je me souviens d'un départ......... Very Happy

un grand coup de pistolet..........on s'élance, hommes femmes, respectent la
parité, je peux vous le dire..........on ne connait à ce moment là, aucune
différence de sexe,..........c'est au plus fort la pouque...

bref, 10 minutes après le départ, 4 grands Costaux.........me tombent dessus, .........les 4 ensemble. s'allongent sur moi Very Happy ..........total, 3 côtes cassées, juste un pardon, je pense au passage.............et moi comme laissé pour compte.

plusieurs Mois, pour me remettre à courir.... Very Happy
et retrouver ma respiration Very Happy
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Annick



Inscrit le: 15 Aoû 2005
Messages: 14156
Localisation: Normandie et Bourgogne

MessagePosté le: 24-03-2007 16:10    Sujet du message: Répondre en citant

Ma pauvre Musika !

Que faisais-tu dans cette galère !
Razz

Ah les brutes !

Tu aurais mieux fait d'aller aux cours de danse de salon ! Very Happy
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Jan Goure



Inscrit le: 18 Juil 2006
Messages: 1865

MessagePosté le: 24-03-2007 17:41    Sujet du message: Répondre en citant

Annick,
Je vois que tu n'as absolument aucune idée de ces courses là !
Oui, c'était fou ! maintenant, avec une puce électronique dans le dossard ou la godasse, elle déclenche ton temps au passage de la ligne de départ et l'arrête sur la ligne d'arrivée...
Tu as lu en diagonale le début ? où tu n'arrives pas à te représenter
cette foire aux bestiaux de l'avant ? la malheureuse comment aurait-elle trouvé le, je dirais plutôt : les, malappris ? et pour se bouger d'un centimètre, c'était un problème...
Une amie m'avait raconté la même mésaventure arrivée lors de Marvejols Mende : 2.000 coureurs...

Ce qui t'est arrivé Musika ne m'étonne pas : il y a de tout pour faire un monde, et il y a hélas ! des gros c... dans toutes ces courses là !
Marjevols Mende justement, une petite vieille dame ( l'âge que j'ai aujourd'hui ) paumée avec sa voiture sort d'une petite route sur le parcours, un de ces 'gougnafiers' saute sur son capot et court sur le toit...
Je l'ai traité d'enfant de...sa mère et lui ai dit que si je le retrouvais à Mende... on peut citer tant d'annectodes...
Bon w end et bisous à vous
Jan
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Annick



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Messages: 14156
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MessagePosté le: 24-03-2007 23:05    Sujet du message: Répondre en citant

C'est tout à fait ce que je pensais, Jan, une foire aux bestiaux ! Razz

Hi hi, je suis bien contente de ne pas être une "courseuse" à pieds.

Tous ces corps en sueur les uns contre les autres , beurk !
_________________

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Dernière édition par Annick le 25-03-2007 17:08; édité 1 fois
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campanule



Inscrit le: 22 Aoû 2006
Messages: 6180

MessagePosté le: 25-03-2007 16:39    Sujet du message: Répondre en citant

Je viens de tout lire également.
Je ne fais pas de course à pied, mais c'est très physique Embarassed
mais c'est vrai que des gros c..., on en retrouve partout, même à travers le sport, c'est dommage.
Evil or Very Mad


Musika, j'admire ton courage.
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musika



Inscrit le: 23 Mar 2005
Messages: 18472

MessagePosté le: 25-03-2007 19:49    Sujet du message: Répondre en citant

pour la puce.............elle coute cher, donc peu utiliser.

nous étions 4 000 au départ de la course, ce jour....

il y a malgré tout une grande solidarité, chez les coureurs à pied.
souvent, ils vont rechercher, les derniers...


les premières places, sont souvent prises par les KENYaNS.

ce qui est triste,
c'est que..... dés qu'ils ne sont plus performant, on les renvoie dans leur
pays.........
sans gloire.
_________________
poete_musika..4 mains
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Jan Goure



Inscrit le: 18 Juil 2006
Messages: 1865

MessagePosté le: 26-03-2007 17:09    Sujet du message: Répondre en citant

Ceux là, nous les appelions les 'branches d'arbres' : taillés pour la course à pied, et qui ont de par les prix gagnés chez nous, cent mille fois plus
que s'ils étaient restés là bas ? Tout est relatif...
et comme pour le reste (!) on ne peut pas accueillir toutes les misères
du monde, il faudrait pour cela commencer par mettre au pas les
dirigeants, sportifs ou autres, qui s'en mettent plein les fouilles sur
leur dos !
"L'homme est un loup pour l'homme" comme Vigny on ne le dira jamais assez !

Bravo pour ta course

Bisous

Jan
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