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le CARNET DE LINE---histoire de Line
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Line



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MessagePosté le: 28-09-2006 07:03    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

conte


Le château hanté
Contes > Monstres et sorcières
Il était une fois un petit garçon qui avait 12 ans et qui s'appelait Maxime, mais on le surnommait Max. Il habitait dans une belle maison dans le village. Il y avait 3 000 personnes mais un peu plus loin il y avait un château hanté où une sorcière habitait.
Cette sorcière avait un animal de compagnie, c'était un moustique qui lui obéissait très bien. La sorcière était très méchante, elle envoyait son moustique piquer les gens du village toutes les nuits. Seul, Max ne sentait rien ; alors les gens du village lui demandèrent d'allez tuer le moustique de la sorcière. Un matin Max partit sans que sa mère le vit. Il prit la route du château.

En chemin, il rencontra un nain qui avait la jambe coincée sous un rocher. Max donna un coup de pied dans le rocher et le nain fut délivré. Pour le remercier de son courage le nain aida Max à aller au château. Max se balada et il trouva le château. Il entra et y passa la nuit. En pleine nuit il se réveilla brusquement car il entendit des bruits. Alors il se leva pour aller voir ce qu'il se passait et il vit des fantômes. Il se recoucha.

Le lendemain matin il se leva et vit la sorcière et son moustique. Il prit une lance et il la lança sur la sorcière et il prit une tapette et il écrasa le moustique. Quand il revint au village, tous les habitants étaient contents et le sacrèrent comme roi. Max trouva une femme et ils eurent beaucoup d'enfants.

Auteur : Déborah, Julie, Florian et Tristan, Ecole du Sacré-Coeur - Serrières (07) - Cycle 3 - CE2
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priska



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Messages: 1708
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MessagePosté le: 28-09-2006 07:40    Sujet du message: Répondre en citant

Bonjour Line !

Avec le pain et le lait, le matin, il y a le carnet de Line ! Tout chaud !
Merci Line, je te souhaite une bonne journée. Very Happy Very Happy Very Happy

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moregan



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MessagePosté le: 28-09-2006 16:30    Sujet du message: Répondre en citant

Merci pour tes joli contes ils me font retomber en enfance .
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mickael
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Messages: 893

MessagePosté le: 28-09-2006 20:20    Sujet du message: Répondre en citant

Bonjour Line,

Tu as gagner le post-it Razz
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Line



Inscrit le: 26 Juil 2005
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MessagePosté le: 29-09-2006 05:28    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

VAREL CELIBATAIRE !!

URL=http://imageshack.us][/URL]
La dernière rose blanche de mon jardin a laissé tomber sa tête ce matin. Encore hier je lui ai parlé, aujourd’hui elle m’a quitté cette nuit sans faire de bruit Elle était belle, pure rayonnante avec ses pétales d’un parfum subtil, jamais je ne l’oublierai.


C’est l’automne qui approche à grands pas La rosée du matin recouvre l’herbe des champs et les colchiques de toutes couleurs font leur apparition. Le soleil avec ses pâles rayons commence à bouder et nous quitte de bonne heure le soir. La nuit tombe de plus en plus vite, madame la lune ricane là haut dans un ciel étoilé.


La nature va tout doucement se reposer. Les récoltes et les moissons, ainsi que les vendanges sont terminées et les animaux vont se retirer pour hiberner, jusqu’à l’année prochaine. Bientôt un linceul blanc, recouvrira toute la plaine, pour la joie des enfants et des skieurs et un beau sapin décorera notre demeure.


Un homme seul, se promène à travers champs, il est rêveur. Cet homme n’est autre que le commissaire VAREL qui promène son chien. Ses pensées sont loin et il sursaute au moment même où quelqu'un l’accoste pour lui demander du feu. Mon brave, je suis désolé, je suis non fumeur.

Bon sang se dit VAREL, ce visage ne m’est pas inconnu, où ai-je vu ce bonhomme, sapristi, je commence à me faire vieux. Il essaye d’engager une conversation qui lui permettra peut être de l’identifier. Rien à faire et pourtant, il n’est pas tout à fait inconnu, dans sa mémoire.
Apres quelques phrases tout à fait banales, l’inconnu se retire en saluant.

VAREL, ne songe pas encore à rentrer. Il est seul depuis que FREDERIQUE avec la belle mère sont parties chez la parente. Le commissaire tout seul est perdu et il s’ennuie à mourir Il ne sait quoi faire de ses dix doigts, FREDERIQUE lui a répété bien souvent, occupes toi ! Le jour où je ne serai pas là !! Mais VAREL, sait tout, tout, pas la peine de le sermonner.


Viens mon bon chien, il se fait nuit, rentrons vite, tu dois avoir faim. En rentrant, entre les prospectus une lettre avec une enveloppe couleur mauve. Souvenez vous, ce sont les enveloppes du CORBEAU. Voilà, mais c’est vrai, le fumeur, c’était le corbeau, maintenant ça lui revient. Une deuxième lettre de FREDERQUE, lui annonçant son retour pour la fin de la semaine. Voila qu’il est content et heureux, il ne l’avouera pas, il est trop fier pour ça.

Enfin ma FREDERIQUE, te voilà. LINE
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MessagePosté le: 29-09-2006 05:59    Sujet du message: papotons Répondre en citant

MERCI MICKAEL SALUTATIONS LINE
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MessagePosté le: 29-09-2006 06:15    Sujet du message: CONTE Répondre en citant

CONTE GOOGLE


CONTE DU SAPIN L'enfant venait d'entamer le calendrier de l'avent… et déjà il louchait sur le jour suivant...

Amusée, sa maman lui dit : "Tristan, sois un peu patient et… mange un bonbon en attendant ...puis, tu iras te laver les dents"

Tristan fit donc comme le voulait sa maman… Il mangea le bonbon et se précipita dans la salle de bain, où il vit, grossièrement caché sous le lavabo un paquet joliment orné de rubans.

Pris de curiosité il pris le paquet et le soupesa regarda autour de lui et se mit à pleurer toutes les larmes de son corps. Maman l'avait entendu , Tristan fit un bond en arrière , vite vite il ne fallait surtout pas que maman voit cela…

Maman : « Mais pourquoi as-tu les yeux si rouges ?"

Tristan : « pour rien maman, je les ai juste frottés trop fort !..."

Trop fort ?!?!.. Pourtant ce matin, il avait évité le roquefort !!!

C'était des larmes de bonheur... dans la caisse, il y avait tous ses espoirs de Noël, mais il doit encore attendre si longtemps. Un petit chat , depuis si longtemps il en rêvait.

C'est alors que sortit de la baignoire un crocodile qui portait un attaché case. Il ouvrit l'attaché-case et là, sous les yeux éblouis de Tristan et de sa maman : un chat gris et blanc, avec une brosse à dents !

Le chat fila sous le sapin de Noël, mais une boule chût et blessa l'animal poilu.

Tristan accourut et le prit dans les bras lui rendit sa brosse à dents, qu'il avait perdue dans sa fuite sous le sapin et se brossa les dents, comme il avait vu Tristan le faire quelque temps auparavant... quand soudain le crocodile, se glissa sous le sapin et entonna un chant de Noël la main de Tristan dans la sienne, 'Jingle Bell, Jingle Bell..."

La fée clochette étonnée par le vacarme descendit de son perchoir, elle était nue, sans même son peignoir et devant le spectacle de Clochette nue, le crocodile stoppa net son chant de Noël la regarda et lui proposa de mettre un disque de James Brown.

Ils entamèrent alors une danse endiablée sous le regard dubitatif de Tristan qui se demandait s'il n'était pas en train de rêver.

Et au petit matin, La maman de Tristan le trouva endormi sous le sapin une mèche de cheveux de la fée clochette dépassait de dessous la couette.

Tiens, tiens... La maman avisa le crocodile qui poussait la balancelle accrochée au sapin, et sur laquelle le chat s'était installé et oscillait de plus en plus haut dans la pièce.

« Dites donc vous deux », qu'est ce qu'il s'est passé entre ces deux là cette nuit ?

Le crocodile chantonnant "sex machine" de James Brown montra de la queue une boite de préservatifs marquée « Offert par le Père Noël". et c'est à ce moment-là que la maman se rendit compte que Tristan avait 17 ans et non plus 7 comme quand elle s'était couchée la veille.

Alors la mère de Tristan constata avec horreur qu'elle n'avait non pas 37 mais 47 ans ... et s'enfila James Brown (enfin le disque) en boucle en pleurant dans le sapin et en se demandant ce qui avait bien pu se passer, pour qu'en une seule nuit s'évanouissent 10 années de sa vie...

Heureusement pour elle, son malheur fut court, le monde explosa et la maman se réveilla.

C'était le matin de Noël et le petit Tristan agitait devant elle, pour la réveiller, une de ces jolies boules multicolores aux sons tintinnabulants."

Quand tout à coup, je dit tout à coup, mais il n'y a aucune espèce de soudaineté, dans l'évènement qui va suivre, et il n'y a pas d'événement d'ailleurs, je vous dit ça seulement pour vous tenir honteusement en haleine, le petit Tristan lui dit:

" Bonjour Maman. Pourquoi le Père Noël a-t-il laissé un paquet dans la salle de bains ?"
FIN
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MessagePosté le: 30-09-2006 05:47    Sujet du message: Répondre en citant

mamiero a écrit:
[]Bonjour Line la premiére histoire me fait penser a Frankenstein Evil or Very Mad Twisted Evil toujours de belles histoires merçi Line en revenant je lirais le tout gros bisous a la semaine prochaine Wink Wink Wink

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MessagePosté le: 30-09-2006 05:48    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

UNE HISTOIRE MACABRE !

URL=http://imageshack.us][/URL]
Ca s’est passé , il y a très longtemps dans la capitale d’Autriche VIENNE à l’époque des becs de gaz , des réverbères, des fiacres, des crinolines, pour ces messieurs, frac et le chapeau haut de forme. L’air parfumé sentait le patchouli et la naphtaline, c’était au temps des montgolfières, du zeppelin et de la polka. Les gens se promenaient dans la grande artère qui traverse VIENNE, la Mariahilferstrasse, pour rejoindre le PALAIS de FRANZ JOSEPH ET SCHOENBRUNN ; En ce temps là, la calèche véhiculait la noble clientèle de la ville.


Un soir,sur le coup de minuit, un fiacre s’arrête devant l’église St ETIENNE ; Un homme vêtu d’une cape et d’un cylindre, dans la main droite une canne à pommeau doré et dans la main gauche, une mallette. Il presse le pas et à plusieurs reprises se retourne pour voir s’il n’a pas été suivi. L’horloge de l’église se met à sonner, les douze coups de minuit. Notre homme se cache derrière un arbre de l’allée et il attend. Il a rendez vous ce soir avec une jeune dame de la noble société, pourvu qu’elle ne lui pose pas de lapin. L’homme est nerveux et ne cesse de grignoter ses ongles, la patience n’est pas son fort. Un fiacre s’arrête, la jeune femme descend. Tout est calme et silencieux dans le noir, lorsque l’homme surgit de sa cachette et assène un coup de poignard dans le dos de la malheureuse. Elle tombe le visage dans la boue et le meurtrier, commence à la charcuter. Dans la même nuit une autre femme a été trouvée dans les mêmes circonstances. On les a dépouillé de leur coeur, une boucherie indescriptible.

Le quartier fût cerné ainsi que les petites ruelles mal éclairées. La police a eu ordre de ramasser tous les gens rencontrés après minuit dans ce secteur Une douzaine de cas analogues se sont produits dans un mois avant l’arrestation du meurtrier.

Un article dans le journal : perdu mallette noir, avec inscriptions LM, s’adresser au bureau du journal, forte récompense fût la perte du tueur.


Rien à signaler dit un policier, en rentrant de sa ronde, à part une mallette trouvée dans un souterrain de la ville. Je viens de lire dans la gazette de Vienne, un article sur cette fameuse mallette, dit un collègue. Surveillance autour de l’imprimerie du journal, et le tour fût joué.

Voyons voir dit le chef de patrouille, ce que contient cette mallette. Des instruments chirurgicaux, marteau, scie pince, ciseaux, tout pour accomplir une opération.

Le jour où le criminel vient prendre des nouvelles à la gazette, les policiers lui mettent les menottes et le conduise en prison. D’après lui un cœur arraché, continu à battre. Toutes les femmes qu’il a connues lui étaient infidèles. Il voulait, dans sa pauvre tête dérangée, une femme dont le cœur ne battait que pour lui. Sentence : PRISON OU HOPITAL PSYCHIATRIQUE ?


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MessagePosté le: 30-09-2006 06:15    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

Le petit chat désobéissant
Adapté d'un conte russe

Il y avait une fois un petit chat très gentil mais très désobéissant. Si on lui disait "Ne fais pas ça!", aussitôt il avait une envie ir-ré-sis-ti-ble de le faire!
Un jour il alla se promener dans le jardin et la petite fille qui était sa maîtresse lui dit :
- Reste près de la maison, sinon, tu vas te perdre.
Le portail du jardin était ouvert. Que fit le petit chat? Il avança près du portail... mit une patte dehors... puis une autre... et en trottinant, le voilà qui part fièrement vers le bois!
"Que de belles choses à voir ici, se dit-il, c'est plus amusant que de se promener dans le jardin. On dirait que je serais un tigre..." Prenant un air important, il redressa fièrement la tête et joua à marcher entre les arbres comme un tigre dans la jungle. Longtemps, il s'amusa, sans voir que la nuit tombait... Tout à coup, il se rendit compte qu'il faisait noir, que les petits oiseaux ne chantaient plus, et qu'il était perdu! Partout autour de lui, de grands arbres qui se ressemblaient. Comment retrouver le chemin de la maison? Il s'assit et se mit à pleurer. Au bout d'un moment, un petit lapin passa près de là et s'approcha du chaton.
- Pourquoi tu pleures? demanda le lapereau.
- Je suis perdu, répondit le petit chat.
- Qu'est-ce que tu vas faire, reprit le petit lapin, tu vas rester là toute la nuit?
A l'idée de rester là toute la nuit, le chaton se mit à pleurer de plus belle. Alors le petit lapin lui dit:
- Ne pleure plus, je t'emmène dans ma maison, mais il faut se dépêcher, maman doit m'attendre.
Les voilà partis tous les deux en courant. Arrivés au terrier, le lapereau dit au chaton :
- Qu'est-ce que tu cours vite et qu'est-ce que tu sautes bien! tu es le plus rapide de tous les petits lapins que je connais!
Puis il demanda à la maman lapin :
- Maman, j'ai trouvé un bébé lapin perdu dans le bois, je lui ai dit de venir avec moi.
- Tu as bien fait, dit la maman lapin. Mangez et allez vite vous coucher.
Le petit lapin s'installa devant une belle salade et commença à manger. Mais le chaton se remit à pleurer.
- Qu'est-ce que tu as? demanda le lapereau bien étonné. Tu n'aimes pas la salade?
- Non, gémit le petit chat, je n'en ai jamais mangé.
En entendant pleurer, la maman s'approcha et examina son jeune invité. Elle s'écria :
- Mais tu n'es pas un lapin !
Aussitôt, toute la famille fit le cercle autour de cette bête inconnue. La grand-mère, une vieille lapine pleine d'expèrience, dit au chaton :
- Je parie que tu grimpes aux arbres.
- Bien sûr que je grimpe aux arbres, répondit-il.
- Les lapins ne montent pas aux arbres, reprit la grand-mère, mais les écureuils, oui! Regardez, une longue queue, de petites oreilles... c'est un bébé écureuil.
- Un bébé écureuil, un bébé écureuil! Oh, qu'il est mignon! s'écrièrent tous les petits lapins.
- Viens avec moi, dit le papa lapin, je vais te ramener chez les tiens.
Il le conduisit auprès d'un arbre et appela :
- Hou, hou ! Monsieur casse-noisettes !
- oui, qu'est-ce que c'est? cria une voix en haut de l'arbre.
- Cest un bébé écureuil qui est perdu. Vous pouvez le rendre à sa famille?
- Bien sûr, Dites-lui de monter.
Le petit chat n'avait pas l'habitude de grimper aux arbres, il lui fallut du temps pour arriver jusqu'en haut du tronc. Là, au creux des branches, il se glissa dans la maison de monsieur casse-noisette. Très occupé à ranger ses provisions d'hiver, celui-ci fit à peine attention à lui.
- Ne te gênes pas, lui dit-il. Mange, demain nous chercherons tes parents.
Le petit chat avait très faim mais il se mit en colère en voyant qu'il n'y avait que des noisettes. D'un coup de patte, il les éparpilla.
- Mais, qu'est-ce que c'est que ces manières? s'écria monsieur casse-noisette, je vais t'apprendre à jeter la nourriture, moi!
Déjà, il levait la patte pour battre le chaton, mais il s'arrêta:
- Mais... tu n'es pas un écureuil! Qui es-tu?
- Je ne sais pas, dit en pleurant le chaton. Je ne sais pas qui je suis, mais j'ai faim.
- Allons, ne pleure pas, répondit l'écureuil. Qu'est-ce que tu veux? Des pommes de pin, des champignons séchés?
- Non, dit le chaton, je veux une souris.
- Une souris! s'écria l'écureuil.Pourquoi es-tu venu ici? Tu n'avais qu'à dire tout de suite que tu es un petit hérisson! Viens, je te ramène chez toi.
Ils descendirent tous les deux de l'arbre et l'écureuil emmena le petit chat chez madame Hérisson..
- Madame Hérisson, dit-il, voici un bébé hérisson qui s'était perdu dans les bois; je vous le ramène. Bonne nuit!
- Merci, monsieur Casse-Noisette, bonne nuit! répondit madame Hérisson qui était couchée près de ses enfants.
- Va vite manger, dit-elle au chaton, il reste une souris, puis viens te coucher.
Le petit chat croqua vite sa souris puis voulut se blottir contre les petits hérissons mais il se piqua très fort.
- Aïe! Vous m'avez fait mal, vous m'avez piqué, cria-t-il, en s'élançant hors du nid.
Maman hérisson examina le petit chat.
- Tu es une drôle de bête, lui dit-elle. En tout cas, tu n'es pas un hérisson.
Elle retourna tranquillement près de ses enfants, sans plus s'occuper du chaton qui se mit de nouveau à pleurer et à crier désespérement:
- Miaou! Miaou!
Au bout d'un moment, une chouette vint se poser près de lui et lui dit:
- En voilà du bruit pour un si petit chat!
- Un petit chat? Je suis un petit chat? demanda le chaton tout content.
- Bien sûr, tu habites dans la maison près du bois, de l'autre côté de la route, dit la chouette qui connaissait bien tous les environs.
- Oh, S'il te plaît, ramène moi à la maison, je suis perdu, supplia le petit chat.
- Suis-moi dit la chouette en s'envolant.
Le petit chat la suivit en courant. Ils traversèrent le bois, puis une route et arrivèrent près d'une maison.
- Tu es sûre que c'est ici? dit le chaton.
Mais déjà, la chouette était repartie vers le bois. Le petit chat examina le portail, le jardin, la maison et s'écria :
- Mais oui! Je suis chez moi!
Et il se mit à appeler de toutes ses forces:
- Miaou! Miaou! jusqu'à ce que la petite fille vienne le chercher. Bien au chaud dans ses bras, il se dit: "Je n'irai plus jamais me promener tout seul dans le bois."




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MessagePosté le: 01-10-2006 06:05    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

HISTOIRE VRAIE !


Ca c’est passé en Allemagne du nord il y- a quelques semaines, je vais essayer de vous la raconter.

Un monsieur en voiture, un dimanche matin est en chemin pour aller en forêt. Il aime se promener sur les chemins forestiers tout en contemplant ces majestueux arbres, surtout la canopée, dont le feuillage a déjà changé de couleur. Le vert tout doucement s’en va pour laisser la place au jaune au marron et au roux.


En chemin le conducteur remarque que son miroir d’intérieur s’est décollé. Il freine, se range sur le bas côté, sort un petit tube de colle de sa boite à gants et se met à réparer. Il n’a pas remarqué que sur le coté, le tube avait une fuite et en appuyant il s’en ai mis plein les mains. Une fois terminé il range ses affaires et repart. Hélas en cours de route, sa main s’est collée après son volant, rien à faire pour se libérer. Après maintes efforts le voyageur a dû se rendre à l’évidence et tout droit il a rouler au prochain poste de police.

Devant la porte du commissariat sur le parking, il a klaxonné à plusieurs reprises, pour se faire remarquer. Déjà la police voulait lui faire une contravention, lorsqu’on a vu que le conducteur était dans une mauvaise posture. Les gars du garage sont arrivés pour déboulonner le volant et c’est ainsi, le volant en main, que ce pauvre homme a été conduit à l’hôpital le plus proche.


Quelques heures après le conducteur sort de l’établissement lance son volant en l’air, il était décollé. Quel dimanche matin, allons boire un absinthe ça s’impose !


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Dernière édition par Line le 01-10-2006 06:33; édité 1 fois
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mamiero



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MessagePosté le: 01-10-2006 06:16    Sujet du message: Répondre en citant

[]bonjour Line voilà j 'ai lu mon retard avec plaisir comme toujours ,ma préférée " la petite souris " j adore je retourne en enfance grace a toi tres bon dimanche et gros bisous Wink
[/url]
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MessagePosté le: 01-10-2006 06:18    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

L UNION FAIT LA FORCE !


Réveillé de son petit somme par son propre ronflement, le petit cochon à la queue en tire bouchon, se décide enfin à partir.


Sur la route il rencontre le petit chaperon rouge qui va chez sa mère grand. Il est vrai que de nos jours les jeunes se couchent de plus en plus tard…

- - Si tu passes par le bois, méfie toi du grand méchant loup.

- - T’inquiètes pas, petit cochon, j’ai mis ma bombe lacrymogène dans mon petit panier à côté des confitures et des galettes

- - Mmmh, Comme tu es prévoyant maintenant !

Et leurs routes se séparent…

La nuit tombe si vite que le petit cochon se retrouve tout seul dans la forêt. Au détour d’un sentier, le grand méchant loup surgit brutalement :

- Mais c’est le petit cochon ! Comme je suis content de te voir. Tu me sembles si dodu, si tendre, si appétissant !

Le petit cochon prend un air détaché. Discrètement il déclenche le signal d’urgence de son portable.

Un peu plus loin dans la forêt, le petit chaperon rouge reçoit le message.

Prenant son courage à deux mains et s’assurant de la présence de sa bombe lacrymogène, il se précipite au secours du petit cochon blanc.

Le grand méchant loup, surpris de l’arrivée impromptue du petit chaperon rouge, s’écroule par terre d’une attaque de cataplexie… Trop d’émotion d’un coup… - Ah vous ne saviez pas que le grand méchant loup était narcoleptique...– Profitant de cette aubaine, le petit cochon et le chaperon rouge réalisent leur rêve le plus fou en ligotant le grand méchant loup.







La morale de Kant :
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mamiero



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MessagePosté le: 01-10-2006 06:24    Sujet du message: Répondre en citant

]Merçi Line quel bonheur de te lire de bon matin bon dimanche Wink
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musika



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MessagePosté le: 01-10-2006 06:40    Sujet du message: Répondre en citant

BONJOUR TOUT le monde,
c'est dimanche, nous sommes debout depuis un bon moment nous gardons PIERRE qui hurle de bonne heure. Very Happy voilà la vie de famille

bye bye
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poete_musika..4 mains
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mamiero



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MessagePosté le: 01-10-2006 06:51    Sujet du message: Répondre en citant

[]Bonjour Musika en plus c'est dimanche grace matinée NON ?? passe un bon dimanche quand méme bisous .bises a PIERRE .
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moregan



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MessagePosté le: 01-10-2006 09:36    Sujet du message: Répondre en citant

Bonjour à tous et à toutes , il fait un temps super et je vais en profiter pleinement .



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MessagePosté le: 02-10-2006 05:07    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

LE DIABLE ET LE TISSERAND !

URL=http://imageshack.us][/URL]
C’est une vieille histoire que l’on racontait autrefois dans les hameaux au coin du feu prés de l’âtre. Le bois grésillait, en lançant ses flammes. Des gens prétendent même qu’ils ont entendu le diable ricaner.


Dans un petit village en début du VAL DE VILLE, habitait un homme, qui avait du mal à nourrir sa famille. Sept enfants sont nés de ce mariage, plus sa femme et lui, ça faisait des bouches à ravitailler. Il était tisserand de métier et travaillait dans une petite usine de filature et de tissage. Comment faire pour gagner un peu plus et il a accepté, un travail de nuit, que lui seul était capable de faire (le mélange des couleurs pour le drap).

C’est comme ceci, tout seul dans une usine, à minuit des bruits de pas sur les dalles en pierres, se font entendrent par notre tisserand. .A force de se lamenter et de tirer le diable par la queue, il surgit brusquement. Quelle acoustique, dans ce grand hall, le diable avec sa jambe en bois, quand il fait résonner sa présence.

M’as-tu appelé mon ami, je suis à ton entière disposition. Vends moi ton âme et tous tes soucis seront envolés pour le restant de tes jours. Je suis un fervent croyant, un enfant de Dieu. Je vais à la messe tous les dimanches et mes sept enfants sont élevés dans une bonne famille catholique et deviendrons de bons paroissiens. Retire toi Satan. Ce soir là le diable est parti, pour revenir tous les soirs à la même heure à minuit !


Le pauvre homme ne savait plus quoi faire. Sa femme tous les jours le suppliait de ramener un peu plus d’argent à la maison, les enfants ont faim L’hiver approche, le bois, le charbon, les vêtements ça coûte cher et les souliers deviennent trop petits.

Le matin en rentrant à l’aube de l’usine, impossible de fermer l’œil, avec tous ces soucis en tête. Il faiblissait de jour en jour et pour l’amour de ses enfants et de sa femme, il est d’accord et propose au diable un marché. Oui il va le faire, à titre d’essai pour 8 jours. Ce soir à minuit lorsque Satan viendra, il le lui fera savoir. Voyons s’il est d’accord.

Le soir même notre tisserand devant son métier s’est endormi et il rêve de l’ange Gabriel qui a chassé le démon. Subitement il se réveille, des flammes tout autour de lui, l’usine brûle. Notre homme a juste le temps de se diriger vers la sortie, lorsque le plafond s’écroule, et il s’évanoui.

Il se réveille à l’hôpital, une légère intoxication a été constatée. A son chevet, un visiteur, un inconnu, c’est un notaire. Le patron de l’établissement est enterré sous les cendres et lègue à son employé la totalité de ses biens.

L’usine fût reconstruite, agrandie, et le diable ne fit plus jamais surface. Peut être a-t-il brûlé aussi ? Sait on jamais.


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MessagePosté le: 02-10-2006 05:27    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

L'Escargot et le Rosier
Conte d'Andersen


URL=http://imageshack.us][/URL]
Le jardin était entouré d'une haie de noisetiers et au-dehors s'étendaient des champs et des prés. Au milieu du jardin fleurissait un rosier, et sous le rosier vivait un escargot. Et qu'y avait-il dans l'escargot ? Eh bien, lui-même.
- Attendez un peu que mon temps arrive ! disait-il. Je ferai des choses bien plus grandioses que de fleurir, porter des noisettes ou donner du lait comme des vaches et des moutons.
- A vrai dire, j'attends de vous de grandes choses, approuva le rosier. Mais puis-je vous demander quand les ferez-vous ?
- Je prends mon temps, répondit l'escargot. Vous êtes toujours si pressé. Attendre est plus excitant.
Un an plus tard, l'escargot était presque au même endroit sous le rosier et se réchauffait au soleil. Le rosier eut beaucoup de boutons cette année-là, qui devinrent des fleurs toujours fraîches et toujours nouvelles. L'escargot s'avança.
- Tout est exactement comme l'année dernière. Aucun progrès nulle part. Le rosier a toujours ses roses, cela ne va pas plus loin.
L'été passa, l'automne aussi et le rosier avait toujours ses boutons et ses fleurs et il en eut j'usqu'à la première neige. Le temps devient froid et pluvieux. Le rosier se pencha et l'escargot se cacha sous la terre. Puis, une nouvelle année commença et réapparurent et les petites roses et l'escargot.
- Vous êtes déjà vieux, Monsieur le rosier, dit-il, vous devrez bientôt penser à dépérir. Vous avez déjà donné au monde tout ce que vous pouviez. Que cela ait servi à quelque chose est une autre question, je n'ai pas eu le temps d'y réfléchir. Mais il est évident que vous n'avez rien fait du tout pour votre épanouissement personnel sans quoi vous auriez produit bien mieux que cela. Vous mourrez bientôt et vous ne serez plus que branches nues.
- Vous m'effrayez, dit le rosier. Je n'y ai jamais réfléchi.
- Evidemment, vous ne vous livrez jamais à la réflexion. N'avez-vous jamais essayé de comprendre pourquoi vous fleurissiez et comment seulement cela se produit ? Pourquoi cela se passe ainsi et pas autrement ?
- Non, répondit le rosier. Je fleurissais joyeusement, car je ne pouvais pas faire autrement. De la terre montait en moi une force, et une force me venait aussi d'en haut, je sentais un bonheur toujours neuf, toujours grand, et c'est pourquoi je devais toujours fleurir. C'était ma vie, je ne pouvais pas faire autrement.
- Vous avez mené une vie bien facile, dit l'escargot.
- En effet, tout m'a été donné, acquiesça le rosier, mais vous avez reçu encore bien davantage ! Vous êtes de ces natures qui réfléchissent et méditent et vous avez un grand talent qui, un jour, étonnera le monde.
- Ce n'est absolument pas dans mes intentions, répondit l'escargot. Le monde ne m'intéresse pas. En quoi me concerne-t-il ? Je me suffis amplement.
- Mais nous tous, ne devrions-nous pas donner aux autres le meilleur de nous- mêmes ? Apporter ce que nous pouvons ? Je sais, je ne donne que mes roses, mais vous ? Que donnez-vous au monde?
- Ce que j'ai donné ? Ce que je lui donne ? Je crache sur le monde ! Il ne sert à rien ! Je me fiche de lui ! Vous, continuez à faire éclore vos roses, de toute façon vous ne savez pas mieux faire. Que le noisetier donne ses noisettes, les vaches et les brebis leur lait, ils ont tous leur public. Moi, je n'ai besoin que de moi.
Et l'escargot rentra dans sa coquille et la referma sur lui.
- C'est bien triste, regretta le rosier. Moi, j'ai beau faire, je ne peux pas rentrer en moi, il faut toujours que je forme des boutons et que je les fasse éclore. Les pétales tombent et le vent les emporte. J'ai vu pourtant une femme déposer une petite rose dans son missel, une autre de mes roses a trouvé sa place sur la poitrine d'une belle jeune fille et une autre reçut des baisers d'un enfant heureux. Cela m'a fait bien plaisir, un vrai bonheur. Voilà mes souvenirs, ma vie !
Et le rosier continua à fleurir dans l'innocence et l'escargot à somnoler dans sa petite maison, car le monde ne le concernait pas.
Des années et des décennies passèrent. L'escargot et le rosier devinrent poussière dans la poussière. Même la petite rose dans le missel se décomposa ... mais dans le jardin fleurirent de nouveaux rosiers et à leurs pieds grandirent de nouveaux escargots ; ils se recroquevillaient toujours dans leurs maisons et ils crachaient ... le monde ne les concernait pas. Allons-nous relire cette histoire une nouvelle fois ? ... Elle ne sera pas différente.
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mamiero



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MessagePosté le: 02-10-2006 07:20    Sujet du message: Répondre en citant

love7 love7 merçi Line tres jolie que j aime te lire.bises love1
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MessagePosté le: 03-10-2006 05:15    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

UNE GROSSE ERREUR !

=http://imageshack.us][/URL]

Ce matin un chef de rayons d’une des plus grandes parfumeries de la ville, a attrapé un jeune homme en flagrant délit, qui dérobait un parfum de grande marque. Le garçon à peine 18 ans, n’était pas à son coup d’essai, ses gestes furent brefs, bien placés sans tâtonnements aucun. Un coup de fil et les gorilles du magasin sont arrivés, ont emmené le voleur, enfermé dans une pièce et tabassé. Malheureusement pour eux, le malheureux après cette dérouillée resta inerte sur le sol et par la suite rendit l’âme. Que faire du cadavre ? Les voilà dans de beaux draps.

Le premier voulait lui mettre un poids au cou et l’immerger, le second le balancer par la fenêtre d’une tour de trente étages, et le troisième a pensé à la ligne du chemin de fer. Si le TGV lui passe dessus, impossible de le reconstituer. C’est la troisième hypothèse, qui fût adoptée et mise en pratique le soir même .Avait on le droit de le frapper à mort, certes non, un appel à VAREL, les aurait délivré de tous soucis. Quelle grosse erreur !


Le cadavre est enfermé dans cette chambre isolée en attendant la tombée de la nuit. Les gorilles, à l’instant même sont arrivés avec des couvertures pour emballer le corps et le transporter sur les rails loin de la ville, en pleine campagne .Il fait froid ce soir et très sombre. Ce dernier croissant de lune n’éclaire pas beaucoup, il vaut mieux, pour ces trois énergumènes .Ils ne risquent pas d’être vus par des cheminots et peut être par quelqu'un du bourg prochain qui vient, pour prendre un raccourci.

Monsieur et madame VAREL sont en plein sommeil sous leur couette. Les nuits sont fraîches et douces par rapport à la chaleur tropicale de l’été. Subitement le téléphone résonne, un grand ZUT et déjà VAREL, le combiné en main, se manifeste par un allo ?

CHEF, c’est XAVIER, nous avons trouvé un mendiant en faisant notre tournée, qui affirme ; que sur voie de la ligne STRASBOURG – METZ un cadavre est allongé. Nous l’avons délogé en attendant votre passage pour la suite. A tout de suite chef. Ca ne peut pas attendre demain ? Mais déjà le brigadier a raccroché.

Que se passe t’il ? FREDERIQUE vient de se réveiller. Rendors toi ma chérie, je serai vite de retour, juste quelques formalités

La nuit passa et VAREL n’était toujours pas de retour. Sa nouvelle voiture, lui joua des tours et il regrette amèrement sa vieille guimbarde. La vieille ne m’aurait jamais lâchée, voilà ce que c’est les nouvelles voitures. L’autre m’aurait servi encore pendant des années. Là j’ai beau pousser, les occupants de la voiture rouge m’ont bien semés. Heureusement ils ne savent pas qui est leur poursuivant. La police, inspecteur VAREL à mourir de rire. Mais ce que VAREL ne sait pas, que se sont les trois lascars de gorille qui ont tués le voleur.

A la prochaine station de service VAREL fait halte et les occupants de la voiture rouge également .Les deux voitures stationnent une à côté de l’autre sur le parking en attendant d’aller à la pompe, prendre de l’essence.

Moi dit un gars, tant qu’il n’y aura pas de passage de train pour moi ça ne sera pas terminé, je ne serai pas tranquille Pourquoi ? Le mec est mort, on ne risque rien, va savoir ? Et une dispute éclata entre les trois gars. VAREL était aux premières loges, il entendait tout. Un après l’autre se renvoyait la balle.

VAREL, après cette discorde, que pouvait il faire à lui tout seul ? Il sorti son calepin et marqua l’heure, la matricule du véhicule, l’endroit où il les a croisés pour la première fois et il rentre au bercail. Il est presque 8 heures, l’heure de bureau. Donnons un coup de fil à FREDERIQUE pour la rassurer et en avant pour embarquer le trio avec son équipe de 5 policiers.


Les trois tueurs se posent encore aujourd’hui la question, qui a bien pu les balancer ? Personne n’était au courant de tout cela. LE HASARD Voyez vous comme le hasard fait des fois bien les choses ! Le juge n’ y est pas allé de main morte. Ils étaient a trois pour tuer, et ils sont à trois pour purger leur peine. 10 années de réclusion.




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MessagePosté le: 03-10-2006 05:21    Sujet du message: carnet Répondre en citant

sup
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mamiero



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MessagePosté le: 03-10-2006 05:36    Sujet du message: Répondre en citant

[]Merçi Line bises. Wink Wink Wink
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MessagePosté le: 03-10-2006 05:40    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

Résuméconte libellule ! URL=http://imageshack.us][/URL]
Fio, son sourire, flotte et volette tout au fil de l’Histoire, de tombe en visage, de potence en caresse. Un jour, il s’incarne et Fio entre dans le temps. Une mamé caravanière, des parents braqueurs et vite disparus, une vie entre tableau noir et porte en fer qui s’ouvre au chantage et à la peinture comme à des plaisirs domestiques. Un jour, elle se voit enlevée par ses victimes, princesse raflée, portée dans un château hanté de masques curieux disposés autour d’un mort. De retour entre ses murs, elle y retrouve Zora, ex-mannequin, aventurière et misanthrope. Réapparaît alors ce Charles Folquet qui exécute son enlèvement sur ordre du mystérieux – et feu – Ambrose Abercombrie. Fio se laisse porter, modeler, moduler jusqu’à ce tout s’abolisse et Fio s’en retourne au fleuve pour s’y diluer doucement.
Martin Page nous conte l’histoire d’une note, d’une nuance ; d’un personnage verlainien qui ne « pèse ni ne pose », une plume balancée dans le froid. Fio ou celle que l’on a cru apercevoir.

Extrait
"C’est dans un tombeau égyptien de la XVIIIe dynastie que le sourire de Fio apparaît pour la première fois. Le 8 juin 1912, le jeune lord Dalhousie passa le cirque rocheux de Deir El-Bahari, site archéologique déjà connu et exploité, couvert de dizaines de tentes de toile blanche, agité par les va-et-vient incessants d’équipes hétéroclites, mélange d’amateurs éblouis, de brillants universitaires et de trafiquants. Sa bourse du British Museum, obtenue grâce au soutien de son professeur, le célèbre F.L. Griffith, était quasiment épuisée et les seuls trésors qu’il ramènerait en Angleterre seraient ceux achetés aux profanateurs de sépultures. Lord Dalhousie se passa la main sur les joues pour enlever la poussière accumulée par des jours de marche ; il regarda vers le nord, l’Angleterre, le comté de Cumbria, ses monts brumeux et verts, et ses lacs. Au moment où il prit la décision de rentrer, un de ses porteurs disparut, subitement happé par les profondeurs du désert ; le sable s’était dérobé sous ses pieds. Le porteur hurla jusqu’à ce que sa tête s’écrase sur une stèle dix mètres plus bas. Lord Dalhousie reprit espoir, ses yeux s’illuminèrent comme s’ils avaient gagné la capacité de refléter le soleil. Il descendit à l’aide d’une simple corde dans le gouffre qui se révéla être un hypogée. Levant sa lampe à huile, il découvrit une fresque représentant Nebamon, un dignitaire thébain, et sa femme ; sagement accroupie entre eux, leur fille, et sur son visage, la flammèche révéla le sourire d’une Fio pas encore née."





Épitaphe

L’Histoire est la condition du crime parfait. Pour exécuter un sourire, il faut vivre des siècles sans en avoir l’air, cacher sa respiration dans le crachotement d’une révolution, maquiller son couteau sous le manteau de cérémonies et de fêtes réjouissantes, déguiser sa passion secrète du meurtre sous des hymnes à la liberté et des odeurs de cigarettes. Et quand enfin, après des générations d’attente et d’embuscade, ce tueur allégorique porte le coup de poignard directement au cœur, personne ne voit l’arme, ni l’instant du crime, car il aura fallu des siècles pour les constituer. Le coup est imparable, non par sa rapidité, mais par sa lenteur. L’arme est invisible, car elle est diluée dans chacun des instants des siècles passés ; chaque seconde porte en contrebande une particule de métal brillant et tranchant ; l’extrême pointe du couteau siège au sein du moment ultime, celui qui transperce le cœur. Voir un tel meurtre nécessiterait un appareil photographique prenant et décomposant la scène sur des centaines d’années. Le passé massacre dans le présent, avec l’impunité du temps que l’on ne peut remonter, mais que l’on peut apprendre si on veut éviter les réalisations de ses blessures.
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MessagePosté le: 04-10-2006 05:37    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

LE BOURLINGUEUR !
URL=http://imageshack.us][/URL]


Venant de HAMBOURG de l’Allemagne du nord avec son yacht, il s’est installé dans la marina de SANARY S/MER. Le capitaine FRITZ de son nom est toujours piccobello, uniforme blanc et casquette et depuis son arrivée n’est jamais sorti de ce port de plaisance. Pour un bourlingueur c’est bizarre, je crois bien qu’il ne connaît pas les passages navigables.

Que fait ce bonhomme depuis des années au même endroit et surtout de quoi vit il ? D’après les commérages, il serait adepte et pratiquant d’une certaine secte et les initiés viennent chez lui pour prier et chercher du réconfort. Il se nomme soigneur et fait des miracles en apposant les mains sur les parties malades .Il est contre les opérations et la médecine en générale, même les médicaments. Les malades font la queue sur le quai avant de passer chez lui pour fixer un rendez-vous.

Une femme d’une trentaine d’années descend du bastingage et prétend que le bourlingueur a su la guérir d’une maladie incurable. MIRACLE Les gens applaudissent et chacun reprend espoir, qu’enfin ces maux vont le quitter à jamais, ces douleurs qui l’empêchent de dormir la nuit.

Ne croyez surtout pas que ce monsieur va vous soigner à l’œil, il n’est pas l’Armée du Salut. Une cinquantaine d’enveloppes à raison de l00 Euros, il y a de quoi vivre, sans frais, ni charges, ni impôts.

Ce cher capitaine, vous le trouvez sur toutes les terrasses de café du port et alentours Depuis des années, les gens le connaissaient, il y en a même qui prétendent que c’est la pire des crapules un menteur exploitant la bêtise des gens. Mais voila l’espoir fait vivre.


Notre FRITZ, prétend être docteur, mais quel docteur .En Allemagne il sont tous docteur docteur en droit – docteur en philosophie - QUEL DOCTEUR ?


Chaque malade reçoit une petite fiole d’eau, en guise de médicaments et il la paye très cher.

Prochainement, le bourlingueur va changer de port. Les gens commencent à jaser au sujet du guérisseur, qui n’a pas encore accompli de miracles.


Si vous ne le trouvez plus dans la MARINA, il a dû jeter l’ancre vers LE LAVANDOU pour se refaire une nouvelle clientèle.

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MessagePosté le: 04-10-2006 05:50    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

. L’hyène et le bouc
URL=http://imageshack.us][/URL]


Autrefois vivait dans un village un petit bouc têtu qui n’écoutait pas les conseils de sa mère. Un jour, il prend la route de la forêt. Sa mère lui dit : « Mon enfant, ne t’éloigne pas car dans la forêt il y a le lion, la panthère et l’hyène. Mais il fait la sourde oreille et continue sa promenade : il avance, avance, avance sans s’en rendre compte jusqu’au milieu de la grande forêt quand, tout à coup, il se trouve en face de l’hyène.

Il dit en chantant : « Ma mère m’a dit de ne pas aller en forêt, mon père m’a dit de ne pas aller en forêt, le lion !, le lion est en forêt ; la panthère !, la panthère est en forêt ; l’hyène !, l’hyène est en forêt. »

L’hyène dit en dansant à reculons : « Hiii, petit bouc, ne me fais pas rire ainsi ! » Elle continue à reculer en dansant. Notre bouc, de son côté, court à toute vitesse vers la maison.

L’hyène revient, le poursuit et quand elle est sur le point de le rattraper, notre bouc reprend son chant; l’hyène, de son côté, reprend sa danse en reculant. La même scène se répète plusieurs fois :

« Ma mère m’a dit de ne pas aller en forêt, mon père m’a dit de ne pas aller en forêt, le lion !, le lion est en forêt ; la panthère !, la panthère est en forêt ; l’hyène !, l’hyène est en forêt. »

« Hiii, petit bouc, ne me fais pas rire ainsi ! »

Notre petit bouc accélère sa course si bien qu’au moment où il franchit le seuil de sa cour, l’hyène ne réussit qu’à lui couper la queue.

Depuis ce jour, la queue du bouc ne peut ni chasser les mouches ni non plus couvrir son derrière.



Retour à la liste des contes

Retour aux Amis de la terre
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musika



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MessagePosté le: 04-10-2006 12:10    Sujet du message: Répondre en citant

bonjour ma linette............je viens te faire un petit calin ici.........
j espère que tu vas bien...l'automne arrive, couvre toi bien, c est la mauvaise époque, celle ou on attrappe froid.
allez bise ma line
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MessagePosté le: 05-10-2006 05:33    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

UN DIMANCHE MATIN D AUTOMNE !

URL=http://imageshack.us][/URL]
Un homme avec son chien traverse un champ de maïs fraîchement coupé pour rejoindre une petite clairière occupée par du gibier. La chasse n’est pas ouverte encore, pas de chasseurs et pourtant un coup de fusil résonne a proximité. Notre homme c’est notre commissaire avec son inséparable toutou. C’est peut être l’œuvre d’un braconnier, à la chasse d’un sanglier ou d’une biche. VAREL décide de rebrousser chemin, c’est trop dangereux, Un coup qui se perd et ma FREDERIQUE est veuve .Ce n’est pas de la peur se dit VAREL, c’est de la prudence


Arrivé chez lui, ce coup de feu, ne lui sort pas de la tête, il faut absolument en parler à son épouse. Le champ de maïs, le petit bois, la clairière, le coup de feu. Arrêtes VAREL, reprends ton souffle, tu me donnes le béribéri.

La semaine prochaine dit FREDERIQUE, je t’accompagnerai pour tes escapades, assez avec ces balivernes. Les longues marches tout seul ne te réussissent pas, par contre le chien en a bien profité. Regardes le dans sa corbeille il est fatigué, il est vanné. FREDERIQUE demande, d’où viennent ces pas de sang sur les dalles de la cuisine qui mènent à la litière du chien Effectivement à la cuisse droite une éraflure qui saigne en abondance .Mais oui dit VAREL en remettant son veston pour aller chez le vétérinaire, le coup de feu, était destiné au chien. Misère a celui qui touche à cet animal, il verra de quel bois je me chauffe.


Le véto est formel, il s’agit bien d’un coup de fusil tiré de quelques mètres. La blessure est heureusement superficielle, un désinfectant et un pansement et d’ici quelques jours ce sera terminé. VAREL est décidé de trouver le tireur, heureusement maladroit, pour le remettre au tribunal.

C’est comme ceci, vous verrez notre commissaire dans le même champ de maïs entrain de rechercher, une douille vide, tirée par cet individu. Qui est ce ? Certainement pas un chasseur. Les chasseurs respectent les chiens, Un braconnier, ne travaille pas avec un fusil, mais des colliers, qui ça peut bien être ce monstre, qui avec une hargne tire sur les petits chiens.

Voila à deux pas sur l’herbe, les rares rayons de soleil font briller le métal de la douille. C’est bien le calibre que VAREL a énoncé. Soudain au moment même où VAREL se baisse pour ramasser la pièce à conviction, surgit derrière lui un homme, un fusil en bandoulière. Que cherchez vous sur ma terre, c’est mon champ, vous n’avez pas le droit de passer ici. Le commissaire a vaguement l’impression que le bonhomme est venu chercher la même chose que lui, la douille. VAREL n’est pas né de la dernière pluie et pose son pied sur la pièce à conviction. qu’il ramasse une fois l e propriétaire du terrain parti..

Lundi matin de bonne heure, deux policiers sonnent à la porte d’une ferme. Le propriétaire est prié de les accompagner au commissariat pour une affaire urgente. C’est comme ceci, que VAREL fit le nécessaire pour livrer cet homme à la justice. Une grosse amande a été payée, pour l’association des animaux. Le chien des VAREL s’est bien remis, il courre de nouveau la campagne

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MessagePosté le: 05-10-2006 05:44    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

Sur la feuille

Créé et écrit par Niji Fuyuno
URL=http://imageshack.us][/URL]


J'ouvrais mes paupières comme le passant d'un balai d'herbes.

En mes prunelles, il y avait un chemin incliné, blanchatre, sinueux.
Et,
un lapin étourdi qui descendait cette pente.
Dans ses pattes, il tenait un panier de framboises.

Puis, il s'en alla.

Tiens,
au bord du chemin, sur les feuilles d'herbes, le lapin trouva des rosées.
Ses deux prunelles demandèrent à ces petites boules cristallines.

----- Qu'est-ce que c'est ?

Autour de lui, l'air commença à se colorer d'aurore.
Aube lui répondit.
----- C'est une rosée, nommée Éphémère, ami de framboise.

Le coeur du lapin eut des palpitations à cause de cette découverte limpide.
Le lapin dit.
----- Que je suis content !

Il a mis soigneusement des rosées à coté des framboises dans son panier.

Le brouillard étendait ses ailes de proche en proche.

Dans une ramure, un écureuil agita des branches promptement.
L'écureuil descendit en courant d'arbre et demanda au lapin.

----- Qu'est-ce que c'est ?
Là, les voici, dans ton panier, des boules rouges embaumées, et des boules qui se balancent en scintillant.........

Le lapin lui donna des framboises et des rosées nommées Éphémère.
L'écureuil était aux anges. Il courut çà et là, tout en joie, tout en épanouissement.
En assemblant des feuilles de chêne, l'écureuil en fit d'un endroit vert de jeux pour des framboises et des rosées.
D'abord, il les regardait. Mais petit à petit, il commençait à éprouver de l'ennui.........
Or donc,
il prit un peu de framboises.



Un renard le vit. Il s'approche de lui et dit.

----- Quelle est cette boule luisante ?

Éphémère souriait en frémissant inclinée sur la feuille de chêne.

L'écureuil, lui, était plongé dans ses framboises, en les mangeant avec ravissement.
Donc, il ne répondit rien.

Or, le renard pensait dans son coeur.

----- Qu'est-ce que c'est ???

Et,
il la toucha craintivement.
Au début, ses pattes soignaient très doucement, mais peu à peu ses pattes montraient sa violence contre Éphémère. Ses pattes cassèrent des rosées, les parsemèrent au loin, les dispersèrent.
Ils chassèrent Éphémère.



L'écureuil eut tant de tristesse, parce qu'Éphémère avait disparu.

L'écureuil se souvenait d'Éphémère.

Aube dit à l'écureuil.

----- Éphémère est monté au ciel avec la lumière du soleil. Ainsi, elle laissait mille de mots sur les feuilles de chêne.
Vois !

Le vent passa.

L'écureuil couva des yeux la feuille de chêne.
Le renard y comprit qu'il avait cassé une chose très importante.
Et, en même temps,
une compréhension de la perte pénétrait le coeur du renard.
Le renard recevait de l'écureuil la feuille luisante, spacieuse.

Moi, lapin, abaisse calmement mes paupières en retenant le ciel coloré de la pluie.
Je vais cajoler, errer,
puis,
je recommence à couler vers le passage, vers le jardin clair d'été miroitant.

Depuis lors,
le renard jamais ne tourmente l'écureuil.
Le renard devint un bon, sage liseur.
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MessagePosté le: 05-10-2006 17:36    Sujet du message: Répondre en citant

Bonjour Lyne je voudrais bien savoir ou tu trouves toutes ces belles histoires en tout cas merci
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moregan



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MessagePosté le: 05-10-2006 17:36    Sujet du message: Répondre en citant

Bonjour Lyne je voudrais bien savoir ou tu trouves toutes ces belles histoires en tout cas merci
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MessagePosté le: 06-10-2006 06:09    Sujet du message: carnet( de line Répondre en citant

ma petite Moregane bonjour. Tu veux savoir d 'ou sortent les histoires tous les jours. Disons la première est inventée par moi même et la seconde le conte je la trouve sur le net. bonne journee a toi et gros bisou LINE
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MessagePosté le: 06-10-2006 06:10    Sujet du message: carnet de li_ne Répondre en citant

UN CAUCHEMAR !


Le bureau de VAREL est transformé en infirmerie. A la place des dossiers de police vous trouverez des médicaments, des gouttes pour le nez, des tampons, mouchoirs en papiers, crème contre boutons de fièvre etc. Notre ami le commissaire est dans un état lamentable, fébrile et courbaturé, un refroidissement est entrain de s’annoncer. Vivement 18 heures, il ne demande pas plus que son lit.

Son épouse prend bien soin de lui. Un bon bain bien chaud et sous la couette, demain ça ira mieux mon gros. A peine la tête sur l’oreiller, le commissaire s’endort. Il s’étire, il sursaute, il rêve, d’une lave de fond qui l’emporte dans le pays des songes.

Sur une belle plage déserte inconnue, un vaisseau fantôme, a accosté, les voiles hissées. Une petite fille de 5 ans à peine, les cheveux au vent, vient vers lui, lui prend la main et veut l’entraîner dans l’écume des vagues, derrière les rochers. Cette petite fille, ce n’est pas la première fois qu’il la voit Qui est elle, que me veut elle ? Elle a des yeux étranges, on dirait, des agates en verres, fixes et sans vie. Brusquement la voila partie, VAREL a beau chercher, elle reste introuvable.


Voila un pêcheur qui passe, salue notre ami et lui propose du poisson frais D’après les habitants, ce bâtiment , une vieille galère, ne navigue que la nuit et ils sont convaincus qu’il se passe des choses étranges.. Ce coin parait il est plus dangereux que le triangle des Bermudes et aucun navire ne viendrait échouer par ici, sinon un bateau du diable

Voici notre petite fille qui revient et encore tire VAREL par la main pour le faire monter sur les récifs. Cette fois ci, il la suit, il veut a tout prix savoir ce qu’elle lui veut. Arrive tout en haut, l’enfant le pousse, la dernière pierre cède et VAREL fait une chute, heureusement dans l’eau. La petite fille a disparu, on l’apercevra de nouveau sur un champ de blé faire des galipettes avec un petit bouc .A chaque fois que VAREL, s’approche de plus près, l’enfant disparaît. La voila encore, à l’orée du petit bois, notre ami la suit, elle s’engouffre dans la forêt et brusquement le commissaire se met à crier …. Que t’arrive t’il mon gros ? FREDERIQUE le secoue violemment; réveilles toi, tu as fais un cauchemar. Tu es trempé chéri, tu fais de la fièvre. Je vais de ce pas téléphoner au médecin, pas que tu me fasses encore une pneumonie, à cet age la, c’est pas marrant. Tu garderas pendant quelques jours ton lit et ton ami FABIEN est capable de se débrouiller tout seul maintenant.

Apres une bonne infusion et un comprimé, VAREL se rendort. Fini le cauchemar, il est tranquille maintenant. Il est déjà sur la voie de la guérison. Terminé, cauchemar et fièvre, maintenant il se laisse dorloter par son épouse, avant de reprendre son service.



Un bateau désert sans matelots, pas de commandant aux commandes dans la cabine. Pas de mécanos dans les machines, ni de cuistots dans les cuisines. Ça ne peut être qu’un rêve !
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MessagePosté le: 06-10-2006 06:24    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

conte L'histoire du papillon rose et du papillon bleu
Contes > Noël
Il était une fois un délicat petit papillon rose dont les ailes étaient encore bien fragiles pour voler très haut. Papillon rose se lamentait :
- Quand donc pourrai-je voler vers le soleil ?

Un jour, il vit se poser près de lui, sur la branche d'un cerisier en fleurs, un superbe papillon bleu, aux grandes ailes déployées.

- Qu'as-tu petit papillon rose, tu sembles bien triste ?
- Oh oui ! répondit papillon rose. Je voudrais tant voler très haut !
- Eh bien, lui dit papillon bleu, accroche toi sur mon dos, et je vais te conduire là haut où tu aimerais voler !

Ainsi, papillon rose s'installa sur le dos de papillon bleu et tous deux s'envolèrent très haut dans le ciel, pour voler vers le Soleil et les petits-enfants qui écoutèrent cette courte histoire s'endormirent un sourire aux lèvres en rêvant du Père Noël !


Auteur : Mutty
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priska



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MessagePosté le: 06-10-2006 20:02    Sujet du message: Répondre en citant

Un coucou du soir ma Linette ! Il n'y a plus grand monde ici à cette heure-ci mais je suis si occupée que je ne peux guère venir plus tôt... Je suis fatiguée et un peu sur les nerfs, ça fait du bien de passer un moment dans tes histoires ! Je t'embrasse. Passe une bonne soirée et une bonne nuit ! Very Happy
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MessagePosté le: 07-10-2006 06:52    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

merci beaucoup ma Brisquette - Bonne journee a toi et a bientot bisou LINE
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MessagePosté le: 07-10-2006 06:54    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

LA FOIRE AU VILLAGE !


Ce matin même une vieille foire d’antan vient s’installer dans le village sur la place du marché. Que s’est beau, ces carrousels d’autrefois avec leurs chevaux de bois vernis, noirs et blancs. Des petits manèges que l’on ne voit plus guère, avec animaux de la ferme et balançoires font la joie des tous petits. L’orgue de barbarie joue une vieille complainte Les parents autour attendent patiemment la fin pour récupérer leur chérubin. Que de cris, que de larmes ? Pour les uns la peur de monter sur un petit cochon, ou des larmes de crocodile, parce que l’enfant ne veux descendre et veut refaire des tours.

Les balançoires et les montagnes russes, sont les plus demandés par les visiteurs. Les fêtes foraines à l’époque n’avait pas d’électricité, c’était des petits chevaux ou des bourricots, qui les faisaient marcher et les lumières aux becs de gaz. Les stands de tir sont décores avec de multiples fleurs en papier et par ci et par la une poupée en pain d’épice pour les tireurs, les plus adroits

Monsieur et Madame VAREL, sont de sortie ce soir et cheminent entre les stands de confiserie et de loteries. Elles sont divinement belles ces poupées, avec leur tête en porcelaine et leur chevelure abondante On ne sait vraiment pas laquelle choisir de ces deux, elles sont divinement belles, blonde ou brune ? Gagne d’abord ma FREDERIQUE, on verra après. File moi 10 Euros dit elle, je n’ai pas de monnaie, Essayons pour voir, si la chance me sourit ? Les trois premiers rouleaux ont passés, c’est dommage madame est perdante, essayez encore. Voila que les 10 Euros sont passés et toujours pas de poupée, je suis vraiment navré dit le vendeur. Vous l’auriez mérité. Enfin, ce n’est pas mon jour aujourd’hui, on n’y peut rien. VAREL lui c’est plutôt les stands de tir qui l’intéresse. Il est adroit est un bon tireur, avec un bon fusil évidemment. Au premier coup il s’est aperçu que le fusil a été traficoté, mais au deuxième coup la rose tomba .Il était heureux comme un roi de pouvoir l’offrir à sa femme. Veinard, tu as plus de chance que moi dit elle et lui répond, mais ma chérie, ta chance c’est bien moi.

Que veut tu que je t‘achète ma chérie. Une barbe à papa, une pomme d’amour, un sucre d’orge, un cœur en pain d’épice, un ballon rouge. Notre VAREL est heureux ce soir, il se revoie gamin avec ses parents endimanchés, à la main de sa grand-mère maternelle. Autrefois, ça sentait bon, le caramel, le nougat, les amandes grillées, la guimauve, la cannelle et la vanille. Vieux et jeunes tous trouvaient leur compte et leur bonheur. Pour les amoureux, une voyante tirait les cartes, on y croyait fermement hélas ça n’était pas toujours le cas. Peut importe, les foires d’antan étaient magiques on ne peut les oublier.



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MessagePosté le: 07-10-2006 07:35    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

conteJe suis heureuse de t'accueillir au Coin des Petits,
J'ai fait ce site en pensant à toi
URL=http://imageshack.us][/URL]
--------------------------------------------------------------------------------


Les Trois Petits Cochons



Il était une fois trois petits cochons qui vivaient avec leur maman dans une petite maison.

Un jour, La maman appela ses trois fils et leur dit qu'elle ne pouvait plus les élever
parce qu'elle était trop pauvre.

Je voudrais que vous partiez d'ici et construisiez votre maison, dit-elle, mais prenez garde qu'elle soit bien solide pour que le grand méchant loup ne puisse entrer et vous manger.








La maman embrassa ses trois petits cochons
et leur dit au revoir les larmes aux yeux
Ils s'en allèrent de chez eux construire leurs maisons.









Le premier petit cochon rencontra un homme portant une botte de paille. "Puis-je avoir un peu de paille pour construire ma maison ?"
demanda le petit cochon.

Et l'homme lui donna de la paille.









Le second petit cochon avait rencontré un homme qui portait un chargement de bois.
"Puis-je avoir quelques bouts de bois pour construire ma maison?"
demanda le petit cochon.

Et l'homme lui donna le bois.







Le troisième petit cochon,
lui avait rencontré un homme chargé de briques.
"S'il vous plaît, Monsieur, demanda le troisième petit cochon,
puis-je avoir quelques briques pour construire ma maison?





L'homme lui donna assez de briques pour bâtir une grande et solide maison avec une cheminée près de laquelle on pouvait s'asseoir.







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MessagePosté le: 08-10-2006 06:18    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

« HELGOLAND « ILE ALLEMANDE DE LA MER DU NORD !



Il y a des années vivaient sur cette petite île un couple sans enfants, dans une maisonnette située sur la plage Un merveilleux petit jardin, attirait l’attention des touristes, surtout un vieux puit, joliment décoré, avec du lierre et des géraniums de toutes couleurs. Le propriétaire de ce lopin de terre prétendait que ce puit était factice et ne servait que pour la décoration. Un jour un habitant du hameau vint rendre visite à Monsieur KARL


Demain de bonne heure, deux messieurs de la ville se présenteront chez toi. Ce sont deux puisatiers qui essaieront de mettre le puit en route, car des travaux vont être effectués sur l’île .Monsieur KARL rentra dans une grande colère et interdit à tous de pénétrer sur son terrain.
Même la voisine, qui venait quotidiennement papoter avec sa dame, a dû rebrousser chemin Que lui arrive t’il à ce KARL, lui qui d’habitude est la gentillesse même, et courtois comme pas deux.

La plantation de lin se fait fréquemment dans cette région. Quand le vent du nord se met à souffler les champs sont blancs comme neige, c’est l’hiver au mois d’août. La mairie a décidé de mettre ce puit en action pour l’arrosage de ce lin, qui est pratiquement le seul revenu de cette île. KARL secoue la tête, quel imbécile je suis, pourquoi n’ai-je pas acheté à l’époque cette propriété quand la ville me l’a proposé, j’aurais tous les droits à présent. Sa femme ne comprend absolument rien à toute cette histoire. Elle essuya les yeux avec son tablier et rentre dans la maison en pleurant à chaudes larmes.

Le lendemain, à sept heures, les puisatiers arrivent. Monsieur KARL les reçoit sur le pas de la porte. Vous pensez trouver de l’eau ici, inutile de creuser, ce puit ne marchera jamais. C’est ce que nous allons voir dit l’un et l’autre se met à débarrasser les géraniums. Au fait dit KARL, faites moi voir vos papiers, êtes vous en règle, avez vous le droit. Et comment donc, nous sommes assermentés. Nous partons aujourd’hui pour venir demain avec une excavatrice et tu verras comme l’eau jaillira d’ici quelques jours, on te le donne en mille.

Deux jours après, un fourgon de police vient arrêter KARL ; Les ouvriers ont trouvés des ossements dans ce fameux puit. C’était la première femme de KARL. Un soir d’hiver, le vent soufflait fort sur la plage, il l’a tué dans une crise d’hystérie et l’a jeté dans le puit. lequel fût bétonné, et rendu impraticable jusqu’à ce jour...
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MessagePosté le: 08-10-2006 06:35    Sujet du message: histoire Répondre en citant

histoire du perroquet



Un gars veut s'acheter un perroquet.
Il en voit à la vitrine d'une animalerie.
Il explique ce qu'il veut et le vendeur lui propose:
- Je peux vous proposer celui-ci:Il est bilingue français/anglais.
Il vaut 5000 FF.
- 5000 FF.ça semble raisonnable.
Qu'est-ce que vous avez d'autre?
- J'ai celui-ci:
il est trilingue français/anglais/allemand.
Je vous le fait à 10000 FF
- 10000 FF, c'est un prix normal pour un perroquet qui a ces qualités.
Il vous en reste?
- Oui il m'en reste un, mais celui-là vaut 20 000 FF!
- 20 000 FF!!!
Et qu'est-ce qu'il fait pour ce prix là?
- Ben rien.
En tous les cas, je ne l'ai jamais vu faire quoi que ce soit d'extraordinaire depuis qu'il est ici.
Il ne sait même pas parler!
- Ben alors pourquoi vous le vendez ce prix là?
- Parce que les deux autres l'appellent 'Chef'.
_________________GOOGLE
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priska



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MessagePosté le: 08-10-2006 18:57    Sujet du message: Répondre en citant



Line, si tu te mets aux blagues, on va rigoler !
Bonne nuit ma Grande, à demain !

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mamiero



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MessagePosté le: 08-10-2006 19:59    Sujet du message: Répondre en citant

HELGOLAND « ILE ALLEMANDE DE LA MER DU NORD ! ]Merçi Line pour tes belles histoires gros bisous Wink
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Annick



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MessagePosté le: 08-10-2006 23:29    Sujet du message: Répondre en citant

Coucou Liline, tu nous régales toujours avec tes histoires.

Gros bisous.
Very Happy
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" Le bonheur ne court pas le monde; il faut vivre où l'on est heureux "
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MessagePosté le: 09-10-2006 05:05    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

L AGNEAU !

SACRIFICE DE L AGNEAU NOIR ;
Dans les Vosges, a mi chemin de la route des crêtes, se trouve une bergerie avec 99 petites brebis blanches et une brebis noire. Elle est bien malheureuse, ce petit car elle a l’impression d’être rejetée par sa famille. Tous ses frères et sœurs se font bécoter par leurs mamans à longueur de journée et pour elle pas le moindre petit câlin .Le petit noirot le voila sur sa paille entrain de ruminer, la solitude lui pèse.

Enfin il a décidé d’aller à la recherche de son identité, il ne veut pas continuer à vivre dans l’ignorance .Lui aussi veut être bichonné, et pas par n’importe qui, mais par ses parents véritables. Quitte à remuer ciel et terre, à se renseigner à droite et à gauche sur son pédigré, il veut absolument savoir. Pour commencer il s’adresse au fermier. Hélas, c’est un homme débordé par le travail des champs, de la ferme, entretien de son tracteur et surtout l’élevage de ses brebis et la confection du fromage. Tu tombes mal, lui dit le fromager entrain de traire, je ne suis pas au courant de tes origines, je t’ai acheté sur le marché aux bêtes juste après ta naissance. Pour moi petit noirot, tu es indispensable. Tu me sers de point d’appui mon petit. 20 blancs et un noir, (toi) c’est comme une calculette, sinon avec tout ce blanc je n’en sort pas. Je t’en suis bien reconnaissant et te souhaite bonne chance pour tes recherches. Tiens va donc trouver cette hirondelle dans le coin de l’écurie elle vient de s’installer dans le même nid que l’année passée. Pour aller au marché ce n’est pas trop loin à vol d’oiseau. Peut être avec un peu de chance, pourra t’elle te donner un petit renseignement.

Hélas, l’hirondelle a déjà beaucoup de mal a nourrir ses petits, il ne lui reste pas beaucoup de temps pour les papotages Va trouver le vache dans l’étable ou même le cochon, sait on jamais. Mais ne pleure pas petit bouc, tu trouveras, sèches tes larmes, tu en auras encore besoin plus tard .Va plutôt dans la forêt trouver le sanglier, qui est noir comme toi, lui il saura certainement.

A l a tombée de la nuit notre petit héros se dirige sur le sentier de la forêt. Un petit rayon de lune à travers les sapins lui indique le chemin vers le domicile d’une grande famille de sangliers. Noirot grelotte, il a froid, il a peur également. Comment va-t-on l’accueillir, lui le petit orphelin, seul au monde, sans frères ni sœurs. Le sanglier male se met à rigoler. Tu t’es adressé à la mauvaise porte, chez nous se ne sont que des cochons ha ha ha. A ta place j’irais faire un grand voyage. Peut être ton papa était espagnol ou même plus loin, en traversant la mer. TUNISIEN, MAROCAIN, ALGERIEN ?

Le petit noirot est très fatigué maintenant. Il se met a tête appuyée contre un arbre et il s’endort. Il rêve d’une vieille grand-mère avec un panier au bras cherchant des champignons Il lui raconte ses soucis et la grand-mère, lui passe la main dans les poils, qui lui tombent dans les yeux. Si tu veux petit Noirot, je serai ta maman, moi aussi je suis seule, tu me tiendras compagnie.


Le lendemain, Noirot est réveillé par le fermier. Es tu là ma calculette, j’ai besoin de toi. Nous allons tondre nos bêtes 10 blanches et après c’est toi, tu as compris. C’est bien de rendre service, j’avais bien peur de ne plus te retrouver ce matin dans l’étable. Tu n’es pas seul à ne pas avoir de maman et de papa, tu sais il y a des blancs aussi .qui recherchent leurs parents.

LINE
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MessagePosté le: 09-10-2006 05:33    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

LE MOULIN DU CHAT [





par Karlis SKALBE
traduction: Inta GEILE et Jean-Pierre MOREAU


Conte de LETTONIE


Un vieillard dans un manteau de fourrure nue sortit du jardin givré et regarda derrière lui à travers des pommiers auprès desquels, par-dessus le rose du crépuscule, des paillettes de glace légères tressaillaient comme le feu quand il couve sous les cendres. L'épaisse rougeur du soleil couchant lui tomba au visage. C'était le visage d'un vieux furieux. Ses moustaches et sa barbe ressemblaient à de longues franges d'argent, pleines de grains de glace verts et bleus auxquels le soir ajoutait des rouges. C'était Vieux Froid, le maître banni, qui avait donné trop tôt sa maison à son fils. Il ne venait que pendant les grands froids, quand toutes les branches étaient ciselées dans la glace légère, et que le couchant, rouge comme l'éclat de la colère, cherchait sous les pommiers et devant la maison, le long des coins, son visage cramoisi. Le vieux sursaute, sa houppe blanche de cheveux gelés s'ébouriffe et il donne un coup de hache au coin du grenier "Ah, ah", s'écrie le rondin, et son coeur se brise. il est fendu ! Il se déchire, gémit comme une corde de kokle(1), et le chat s'arrête sur le sentier qui le mène de la maison à la grange où se trouve le grenier et, levant une patte, il écoute. "Ah, le vieux père du maître regimbe", se dit le chat lorsqu'il aperçoit Grand Froid qui s'en va en regardant derrière lui, une hache sur l'épaule. Et les pommiers, comme effrayés, se tiennent si douchement et sont si muets que nulle branche n'ose respirer.

- Il faut que j'aille au grenier, se dit le chat. La maîtresse gronde : chat, ne dors pars ! Vas-y, regarde ce que font les souris au grenier...

- Afin de ne pas subir une grande honte, il faudra que j'aille, se dit le chat.

Il lève une patte -il fait froid, il en lève une autre - il fait froid.

Après avoir dételé leurs chevaux, des bûcherons viennent à la maison, et se frottent leurs grosses mains que protègent des moufles ornés de croix.

- Va aux souris ! Ne traîne pas dans nos jambes...

Le chat s'écarte du sentier et s'assied dans la neige. "Aller aux souris, par un temps pareil, quand on n'a ni mitaines, ni chaussettes !" Et il tâche de glisser silencieusement dans la trace laissée par les bûcherons. Quand la porte va se refermer après la dernière chaussure gelée, le chat entre dans la chaumière et se roule en pelote mollement, doucement, près de la porte.

Tandis que les bûcherons tapent des pieds, le chat est déjà assis sur le poêle.

- Dis-moi, à quoi te servent tes pattes ? demande un grain de sel rouge resté là dès l'automne, lorsqu'on avait salé la viande, et qui dort sans bouger sur le poêle depuis la première neige. Cela ne fait pas longtemps que tu as couru dehors et maintenant tu te rapproches de mes côtes. Tiens, moi, ma tête me suffit, parce que je suis le sel de la terre.

- Et qu'est-ce qui peut déranger des torchons derrière le poêle, disent les torchons qui sèchent sur la ficelle. On travaille pendant la journée, et quand la table et la vaisselle sont essuyées, on se chauffe derrière le poêle jusqu'au matin. A Dieu ne plaise si un vagabond t'enroule autour de son pied et te traîne dehors par un temps pareil.

- J'aime fermer les yeux en hiver, chante une théière blanche sur le poêle, et elle souffle de la vapeur à travers ses narines. J'aime fermer les yeux et rêver. Je vois un pays où fleurit le théier et je vois l'habit bleu d'un roi où serpentent des dragons d'or. Je vois le vent de l'été les faire flotter. Le roi va à travers le jardin vers sa tonnelle d'albâtre. Là, douze dames l'attendent, douze roses-thé aux yeux obliques, ivres de rêves. Tous boivent du thé dans de petites tasses de porcelaine, sur lesquelles sont peintes de petites dames aux yeux obliques d'un or brun qui ne voient que des légendes. Puis le roi fait venir son conteur et lui fait dire des histoires de dragons et de héros. Et alors, quand le dragon à douze têtes enterre le héros dans le sable jusqu'à la poitrine, les douze dames cachent leur tête noire dans leurs petites mains jaunes, prennent une teinte pourpre et tressaillent jusqu'à ce que le héros coupe les douze têtes du dragon. Je pourrais dire beaucoup de contes, mais tous viennent de Chine. Chat, raconte-nous une histoire à ton tour!

Le chat fait le dos rond, se couche sur ses pattes gelées, ferme les yeux et réfléchit.

- Chat, chat, dis un conte, demande le petit Gigis en approchant sa joue de la nuque tremblante de l'animal. Quand Gigis est assis à côté de lui sur le poêle, le chat commence:

" Il était une fois, un chat qui avait un moulin. Il travaillait jour et nuit : miaou, miaou, miaou... On y moulait des noix et des amandes. C'était le bon vieux temps. Des houblons le long du mur étaient légèrement couverts de farine ; leurs vrilles tressaillaient éternellement au bruit du moulin. A travers la vieille vitre verte de la fenêtre, des nains regardaient si des clients arrivaient. Le meunier, lui, en manteau de fourrure blanc, allait et comptait les sacs -les sacs de noix et d'amandes. Le soir, dans toutes les fenêtres, des feux d'or brillaient. Le moulin bourdonnait, l'eau chantait et les filles du chat dansaient avec les jeunes voisins. Elles avaient de longs yeux d'or et leurs griffes étaient bien cachées dans leurs petites pattes roses. La plus grande joie éclatait à Noël. Alors, il y avait au moulin un sapin vert orné de noix d'or et de bougies étincelantes. Les nains étaient assis dans un coin, auprès des sacs de farine ; ils tenaient doucement dans leurs mains calleuses des pipes blanches en terre et, hochant la tête, ils disaient : "Oui, c'est quelque chose". Et quand une petite aiguille du sapin s'enflammait en crépitant, et qu'une volute bleue et duveteuse montait en portant un parfum doux comme un souvenir d'été, ils essuyaient doucement leurs yeux. C'étaient des petites bonshommes, et tout les touchait au coeur... Mais ce temps passa... Des prétendants vinrent chez les filles de notre chat qui voulait leur donner une grande dot. Il mit son moulin en gage à Matou Noir qui était bien riche et gardait le coffre du diable dans la cave d'un palais. Quand le chat eut marié toutes ses filles, il ne lui resta du moulin que son manteau blanc de meunier. Matou Noir vint avec le contrat de dettes et prit en gage la meule de noix et la meule d'amandes. Le chat ne pouvait pas payer la dette et Matou Noir prit le moulin. Cette nuit-là, il revint de la cave du palais avec le coffre que portaient six diables aux yeux écarquillés, -c'était tellement lourd ! Les bonshommes, les nains effrayés, se cachèrent dans de vieux terriers de souris et d'hermines, en jetant leurs sabots dans l'escalier. Mais la nuit dans le moulin il y eut un festin. Les diables dansèrent avec les sorcières et le matin, les houblons étaient pendus et brûlés -les sorcières, en s'envolant, les avaient enflammés de leur haleine brûlante. Le moulin maintenant avait l'air peu aimable. L'eau grondait, sourde et sombre, sous les deux ponts, et tous les gens honnêtes l'évitaient par un chemin détourné.

Le chat passa cette nuit dans un tas de foin. Le matin, en se lavant le visage, il se demanda où aller. "Est-ce que je suis sans parents ?" Il fit le dos rond. "Même les pierres se réunissent quand le torrent les emporte. J'irai chez mes parents." Et le chat se dirigea vers leur domaine. Son gendre y était le maître de la cave.

Par la fenêtre qui était envahie d'épaisses feuilles de bardane, le chat descendit dans la cave. Que de lait et de crème il y avait ! Le maître de la cave, lui, dans un tablier blanc, surveillait les pots à lait. La fille de notre chat avait aussi un tablier et elle l'aidait. Là où le maître de la cave mettait sa patte, elle mettait sa langue rouge. Ils avaient beaucoup de travail et ils allaient bien. Mais ils étaient si heureux qu'ils n'avaient besoin de personne. La fille reçut son père. Elle lui servit de la crème fraîche sur une feuille de bardane, s'assit près de lui , le poussa à manger et lui demanda comment il allait à la maison. Quand il eut raconté que Matou Noir avait pris le moulin, elle versa quelques larmes sur le logis heureux autour duquel tournaient, comme des houblons verts, ses souvenirs d'enfance. Mais le maître de la cave devint pensif et dit que le meunier pourrait épargner une somme d'argent pour ses vieux jours. Où ira-t-il maintenant ? Qu'il ne compte pas sur eux. Ils doivent penser aux enfants. (La femme du maître de la cave rougit et cacha son visage dans son tablier.) Ils ne voulaient pas mettre au monde des mendiants. Alors il y eut un silence, et notre chat s'étonna qu'ils eurent tout dit si vite. Ils n'avaient plus rien à dire, et le chat comprit qu'il devait partir. Il dit qu'il voudrait visiter encore d'autres parents. Maintenant, il avait le temps, il pouvait se promener."Oui, le temps est beau, on peut se promener et garder ses pattes blanches" ajouta le maître de la cave. Le maître et sa femme devinrent joyeux et raccompagnèrent sincèrement le chat par la fenêtre. Et, quand en s'en allant il s'en retourna, il vit derrière les fenêtres vertes de bardane leurs museaux blancs et heureux.

Oui, la route était bien sèche et propre comme un tissu blanchi ; des dents-de-lion rayonnaient comme des soleils au bord de la route, mais les pattes du chat étaient très lourdes. "Où aller ?" une patte en l'air, il s'arrêta sur une passerelle près d'un pâturage du domaine et se mit à réfléchir.

Les bêtes rentraient par là à la maison. Une vache rousse qui mugissait le fit tomber de la passerelle en lui donnant un coup de cornes, et le troupeau aurait pu l'écraser car les bêtes couraient en chancelant vers les auges pleines, les fleurs et les herbes cueillies à la hâte pendaient encore hors de leurs bouches. Mais le chat fit la culbute et s'écarta de la route. Là, un gros chien noir qui allait derrière les bêtes l'aperçut, il était excité, furieux ; il tirait une langue longue et rouge. Ses yeux reluisaient comme deux guêpes rousses. En hurlant, il se jeta sur le chat et celui-ci retira tout juste sa patte de ses dents. Il tomba à plat ventre et le chien furieux passa en coup de vent et partit dans l'avoine. Alors le chat prit la fuite. Effrayé, il ne voyait pas que le sang coulait de son pied blessé, mais quand il fut derrière la colline en sécurité, il ne pouvait déjà plus marcher. C'est en souffrant qu'il arriva à la vieille briquetterie ; là, sa fille était mariée à l'inspecteur des chats .
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mamiero



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MessagePosté le: 09-10-2006 14:19    Sujet du message: Répondre en citant

]pour toi Line ma conteuse d'histoires gros bisous soigne toi vite Crying or Very sad
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Marie



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MessagePosté le: 09-10-2006 14:42    Sujet du message: réponse Répondre en citant

en hommage pour toi ce petit livre que tous les enfants aiment reviens nous vite bisous
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MessagePosté le: 10-10-2006 06:05    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

LA FEE AUX PAPILLONS

URL=http://imageshack.us][/URL]
Il y a bien des années vivait une vieille dame dans un petit village au bord de mer. Tout le monde l’appelait OLGA, ou OLGA aux papillons. Toujours vêtue d’accessoires sous forme de papillons, soit colifichet broche collier, pendentif, même sur les chaussures en guise d’ornement deux petits papillons prêts à s’envoler. Les enfants l’adoraient et bien souvent on voyait Madame OLGA avec une ribambelle de gosse sur un prés à la ronde racontant son histoire. La dame était conteuse, elle avait une voix très douce et les enfants écoutaient l’histoire comme si ils l’entendaient pour la première fois, avec des yeux étincelants


Voici cette histoire ! Quelques mois avant ma naissance, mes parents partirent pour l’Afrique du nord, papa a était appelé là-bas pour son travail. Lorsque je viens au monde, ma grand-mère maternelle supplia son fils de revenir en France dans le midi. Un beau paquebot, un voilier nous ramena en métropole. Un bateau magnifique dont les voiles étaient des centaines de papillons de toutes les couleurs. Les enfants rigolaient. Il y en a un qui dit, mais ce n’était plus un navire, c’était un avion. Non non, le vaisseau ne s’élevait pas plus haut que pour éviter l’écume. Le plus âgée des papillons, disait et répétait souvent. Attention mes amis, pas que les petits pieds de la princesse se mouillent. Je viens de lui dessiner des petits papillons dessus.

Ma maman trouva ceci tellement joli, qu’elle prit bien soins de ne pas les perdre. Regardez les enfants, elle fait voir ses chaussures avec les deux modèles. Je les ai toujours et je les garderai en souvenir. Vous allez rigoler, mais ils me parlent et me disent que je suis belle, que je suis une fée, la fée des papillons. Revenez les enfants quand vous voudrez, j’aurais encore d’autres histoires à vous raconter. Elle leva la main et subitement comme un éclair, sur chaque gosse, un petit papillon se posa, bâti des ailes et s’envola, laissant derrière lui une traînée comme un filet d’or.


Au revoir les enfants et à très bientôt ! LA FEE OLGA LINE
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MessagePosté le: 10-10-2006 06:23    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

conte GOOGLE

URL=http://imageshack.us][/URL]

Le crapaud, le serpent
et la fourmi



assis sur son tr?de n鮵phar,
un crapaud bien gras et d骠 repu,
regardait du haut de son phare
travailler des fourmis bien fourbu.


" m'aideras-tu, cria une fourmi mutine
ou mes cris resteront-ils en sourdine.
Tu me vois porter mon fardeau,
mais que fais-tu pour soulager mon dos ?"


" Il est vrai que tu parais bien lasse,
mais que faire alors que moi je me pr鬡sse
je sais je mangerai ࠴a place. "
Et d'un coup, le glouton avala la glace.


" ce m飨ant crapaud est un voleur 騯nt鮼br /> mais je ne peux opposer que ma bonne volont鮼br /> je suis d飩d頠 ne plus m'en laisser compter ?
je t'aiderai, dit un serpent, c'est mon jour de bont頮


Le serpent connaissait son affaire,
il avait vu que la fourmi ne savait que faire.
Il lui fit fumer de bien 鴲anges bedeaux
et se mit ࠰arler du crapaud.


" je vois bien que ton sang gonfle tes tempes,
car ce crapaud te vole pour se remplir la hampe,
mais je te pr餩s le jour de la lib鲡tion
oui, petite fourmi, il faut passer ࠬ'action. "


" Si tu ne peux attaquer le crapaud,
tu peux essayer de le mettre ࠬ'eau.
Il ne reviendra pas tant il aura honte
pour s?n dira qu'il a eu son compte. "


le plan 鴡it ࠰rendre argent comptant.
Le jour venu, la fourmi l'ex飵ta dans les temps
incr餵le, le crapaud tangua un court instant
patatra, le m飨ant tomba dans l'鴡ng.


le serpent qui jusque lࠩtait rest頢ien cach鼢r /> se jeta sur le crapaud et eu un bon souper.
" petite fourmi, notre plan a march鼢r /> facilites ma cur饠et... tu ne seras pas croqu鮠"


ainsi donc, serpent, je n'鴡is qu'un ascenseur
tu t'es servi de moi pour prendre de la hauteur
te voilࠬe nouveau roi sur cette 
alors prends garde au suivant dans la file.


oh ! le serpent 鴡it bien trop rond,
pour vouloir 飯uter un long sermon.
Lui 鴡it s?'il aurait un grand destin
sans s'imaginer qu'il finirait dans un intestin.
_________________
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musika



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MessagePosté le: 10-10-2006 07:21    Sujet du message: Répondre en citant

SALUT MA LINETTE
j ai appris que tu étais souffrante,
si tu le permets, je vais prendre de tes
nouvelles...........et surtout tiens nous au courant
de tes jambes ok
bise
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