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le CARNET DE LINE---histoire de Line
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Line



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MessagePosté le: 12-11-2006 07:40    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

Le marchand de glace


Tout prés de chez moi, le palais de la glace, tenu par un italien fait quotidiennement son affaire ça s’appelle « LE VENITIEN « Quel régal une bonne glace en été par 35 degrés et plus . Il y en a de toutes sortes, vous avez l’embarras du choix.


VANILLE CHOCOLAT CAFE FRAISE NOUGAT CROQUANT CITRON PISTACHE RA1ISIN RHUM SPAGHETTI POIRE BELLE HELENE MANQUE KIWI FIGUE DATTE ORANGE MANDARINE BANANE NOIX AMANDE. On voudrais toutes les goûter, mais attention à la ligne .Celles que je préfère, se sont les parfums exotiques
CASSIS MYRTILLES FRAMBOISES POIRE PRUNES ABRICOTS PECHES ETC ;


Une portion de 3 boules de 5 boules de 7 boules et après la maxi portion je ne vous dis pas énorme. Avec ou sans chantilly, d’après le client .

Deux petites clientes font leur rentrée dans le magasin. Une fillette de 10 ans a peu prés poussant une petite dans une charrette. Chacune dans la main quelques pièces de monnaie pour l cornet chacune. La grande ne sais que prendre , mais la petite qui adore le citron, veut du citron. Elle n’a même pas sa glace encore, elle fait déjà semblant de lécher, elle est marante cette petite. Le patron l’aime bien c’est une petite voisine, elle vient presque tous les jours avec sa petite sœur.

La fillette dans sa charrette a peine sa glace en main commence à déguster. Que ce passe t’il, la gamine a eu un de ces frissons, elle en a les larmes aux yeux. Ce n’est pas bon demande le patron , pourquoi cette figure ? La grande tout de suite goûte la crème au citron et elle rigole


Monsieur dit elle, vous avez oublié le sucre dans votre glace ! LINE
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MessagePosté le: 12-11-2006 08:00    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

treffles a quatre feuilles


Créé par lestreflesa3feuilles le 22 oct 2006 | Dans :

Alors voilà,

Presqu’un mois après l’immense déception de ne pas avoir ce **** de CDI aux galeries Lafayette, une recherche de boulot plus que motivée ( à peu près une quinzaine de CV et lettre de motivation en une semaine, pas mal ???), d’innombrables recherches sur internet, petites annonces, candidatures spontanée… Mais le plus drôle dans tout cela c’est qu’en démarchant le centre commercial Grand Quartier de Rennes, une bonne femme m’accoste et me dit :

“Avez vous le temps de jouer à un petit jeu concours nananana ???”

Moi bonne conne (éreintée d’avoir galoper au moins deux bornes en jupe, bottes lacées, collant…) :

“Euh, ben oui !”

Je gratte son papier à la con et là ! Miracle !

“Vous avez gagné… un trèfle à quatre feuilles à faire pousser dans un tout petit pot !!! Génial, non ?”

Franchement que tirer comme conclusion de cette histoire, étant donné que je n’ai toujours PAS de boulot ??

Merci à mes autres feuilles.

Proverbe de la semaine : La vie est une tartine de vacherie, le tout c’est de savoir par quel bout la manger .
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MessagePosté le: 13-11-2006 07:31    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

UN PRISONNIER TEMOIGNE !


URL=http://imageshack.us][/URL]
Quel vacarme ce matin dans le bureau de VAREL. Le brigadier hurle de toutes ses forces. toi la sauterelle, tu vas accoucher et çà sur le champ. Ton voisin de cellule nous a averti que le soir après la consigne, tu racontes a qui veut, toute la séance du fric frac de la rue de Rivoli et que toi tu en es l’auteur. Vous avez beau me rentrer dans le caisson et me démolir la façade, je ne peux rien vous dire au sujet de cette affaire, vu que je n’étais pas présent ce jour la. Ah bon continu, ça m’intéresse, voyez ça, monsieur, n’était pas là le jour de cette horrible affaire. Trois personnes sont mortes ce jour là, pour quelques dizaine d’euros laissés dans un tiroir caisse, de la menue monnaie. A d’autre, mais pas à moi, c’est toi la tête de votre trio et partout où il y a à récolter, c’est toi le premier à te servir.

Le commissaire vient d’arriver et met fin à cet interrogatoire. Pour l’amour du ciel, brigadier, combien de fois dois-je le répéter, vos méthodes n’aboutissent à rien. Il faut être plus souple, moins nerveux dans vos gestes et plus calme. A quoi ça sert de brailler, si le prisonnier ne veux rien vous dire, qu’on le remette dans sa cellule et laissez le ruminer, il a tout son temps Le procès n’est pas pour tout de suite, je suppose. Je vous jure commissaire, allez allez du vent ! Et VAREL le pousse jusqu’à la porte

Faites moi venir son voisin, nous allons voir ce qu’il a à nous dire aujourd’hui. La sauterelle c’est un vaurien, mais celui-ci est encore pire .j’ai vaguement l’impression qu’il veut se débarrasser de lui. Peut être envie d’un jeune co-équipier dans sa cellule, question de passer le temps. On le voit souvent dans les couloirs avec un jeune délinquant et prendre sa défense contre qui que se soit. Nous avons jusqu’ici certainement fait fausse route, maintenant soyons plus vigilant. Laissons venir le jeune premier et promettons lui la liberté contre un aveu complet de tout ce qu’il sait sur cet énergumène. Nous verrons bien ou ça nous mènera


Au départ le jeune minet n’est pas très rassuré, il n’y croit pas trop à cette liberté achetée pour si peu. VAREL met tous les atouts de son côté et voila comme par miracle le gosse se met à parler. Oui il veut se débarrasser de la sauterelle pour avoir éventuellement le gamin comme compagnon de cellule. La sauterelle n’a jamais participé à ce vol à main armée et purge pour une faute qu’il n’a jamais commise. Le petit n’est pas rassuré, il a peur. VAREL lui promet solennellement que personne ne saura ce qui s’est passé dans son bureau ce matin même.

Apres quelques jours le gosse sera libéré. Pour les détenus, il sera placé dans un autre endroit où il a trouvé un travail à sa convenance.

Quelques mois après La sauterelle est libérée. Sur son dossier est écrit six mois d’incarcération pour des menus larcins, au crayon rouge. Jamais il ne saura que c’est grâce au jeune qu’il a pu quitter sa cellule, quelques mois plus tard.

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MessagePosté le: 13-11-2006 07:44    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

toiLes aventures du petit lapin google





Le petit lapin avait tellement sommeil
qu'il se mit à bâiller...

Et à bâiller, à bâiller, et à bâiller, - Hmmmmm! -

Il ouvrit la bouche toute grande, laissant voir ses dents bien blanches et sa petite langue rose.

Il bâilla et bâilla encore, tant et si bien que, soudain, une abeille entra dans sa bouche.

Il ferma sa bouche tout surpris croyant avoir avalé l'abeille...

- Hou...Hou...huhula un gros hibou. Il faut toujours mettre la patte devant sa bouche lorsque l'on bâille.

- Les lapins ne le font jamais, dit le petit lapin ensommeillé.

- Les lapins sont mal élevés ! dit le hibou avant de s'envoler.

Et le hibou s'envolat. Le petit lapin voulut rappeler le hibou. Il ouvrit la bouche, mais l'abeille s'était recroquevillée et dormait dans sa gorge. Seul un chuchotement sortit de la bouche du lapin.

- Que vais-je faire? chuchota-t-il à un écureuil qui passait par là.

-Tu n'as qu'à réveiller l'abeille, lui répondit l'écureuil.

- Oui, mais comment? Tout ce que je peux faire, c'est chuchoter! Et puis, j'ai sommeil, et je veux aller dormir, mais comment dormir avec une abeille dans la gorge...

Soudain, une marmotte aussi vieille que sage sortit de son terrier.

- Tout ce que je peux faire, c'est chuchoter, se plaignit le petit lapin à la marmotte.

- Et c'est tant mieux, dit la marmotte. Approche, petit lapin, je vais te dire à l'oreille comment réveiller une abeille...

- Tu feras le plus petit bruit possible, car une abeille n'est pas gênée par les gros bruits. C'est un insecte minuscule, et il est seulement importuné par les petits bruits.

- Par un chuchotement? demanda le lapin.

- Non, un tout petit bruit! dit la marmotte, et elle regagna son terrier.

- Un petit bruit, chuchota le lapin...

Et il se mit à faire des petits bruits. Il fit un bruit aussi faible que celui d'une aile d'oiseau qui fend l'air, mais l'abeille ne se réveilla pas.

Ensuite, le lapin fit le bruit de la neige qui tombe, mais l'abeille ne se réveilla pas davantage.

Alors, le lapin fit la bruit d'une coccinelle qui respire, puis celui d'une mouche qui éternue, celui de l'herbe qui frissonne au vent, et enfin...

Mais l'abeille ne se réveillait toujours pas.

Alors, le lapin se mit à songer à tous les petits bruits qu'il connaissait.

Il pensa à un bruit léger comme celui de la neige qui fond,
léger comme celui d'une fleur qui pousse,
léger comme un oeuf dans sa coquille, léger comme...

Soudain, il découvrit le petit bruit qu'il cherchait! Et le fit.

C'était comme le bruissement lointain que ferait une abeille dans un pommier en fleur, là-haut sur la montagne. C'était le bruissement d'une abeille qui butine une fleur de pommier pour en aspirer le suc.

Et l'abeille se réveilla!
Elle ne voulait pas rater un événement si important!
Vite, elle s'envola!

Alors, que fit le petit lapin? Le petit lapin qui avait tellement sommeil?

Il ferma la bouche,
il ferma les yeux,
il ferma les oreilles,
il replia ses pattes,
il remua son nez, et bientôt,

il dormit à poing fermés!!!

Mais notre petit lapin avait tout de même apprit une bonne leçon de prudence et surtout de politesse...











re du petit lapin
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musika



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MessagePosté le: 13-11-2006 08:22    Sujet du message: Répondre en citant

bonjour linette, je viens te faire le petit bisou du
matin.............

passe une bonne journée.
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poete_musika..4 mains
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MessagePosté le: 14-11-2006 07:50    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

merçi Musika, toi aussi je te fais la bise et bonne journee a toi egalement.
a plus tard LINE
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MessagePosté le: 14-11-2006 07:51    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

AU VOLEUR !



Notre cher ami, le commissaire VAREL, qui d’habitude est d’une convivialité excellente envers ses voisins, ce jour là, pris le mors aux dents . Son petit jardin, paisible et calme, ressemble plutôt à la grande ville, un jour de marché. VAREL braille comme un putois, on lui a encore fauché ses carottes et ses poireaux cette nuit. Le pauvre voisin de jardin en est pour ses frais, il se fait enguirlander comme du poisson pourri .Toi LIONEL, on ne te fauche jamais rien, c’est toujours sur moi que ça tombe . Mais naturellement VAREL le voleur lui il sait que mes légumes ne sont pas très beaux cette année, dit il en rigolant. Si tu en as besoin, sers toi chez moi, il y en a largement assez ;


Franchement, ce jardin commence à me peser . Je me donne un mal fou pour l’entretenir correctement et lorsque le jour de la récolte s’annonce, les légumes ont disparus, volatilisé du jour au lendemain. C’est une plaie, VAREL n’en revient pas. Le premier inconnu que je rencontre dans mes plates bandes je l’assomme à coup de pioche. Sale vermine, tous des fénéants, et pour jardiner il faut se baisser et bien souvent, surtout quand la terre est envahie par les mauvaises herbes.


VAREL rentre à la maison fort contrarié . Qu’à tu encore mon gros ! Voilà encore autre chose dit FREDERIQUE , pourtant tout allait bien ce matin, lorsque tu es parti . Ou as-tu passé ta matinée, pour être dans un état pareil ? Figures toi ma chérie , j’ai fait un tour dans notre jardin et j’ai vu avec stupéfaction que nous avions encore des visiteurs nocturnes pour nous barboter nos salades et légumes. FREDERIQUE se met à rigoler ! Mais tu trouve ceci rigolo ma chérie, c’est plutôt triste, c’est du vandalisme à outrance, trois fois par an c’est de trop.

Mon gros voilà ! J’ai complètement oublié de te le dire. Hier avec maman on a fait un tour dans le jardin, récolter des carottes des poireaux et des salades . Même qu’on a rencontré notre voisin LIONEL il te donne bien le bonjour. VAREL prend une chaise et respire profondément ; Le voisin, comment le voisin, celui-là je me le retient . Il m’a bien fait marcher ce matin en me proposant de ses carottes riquiqui . Attends vieux farceur !tu auras de mes nouvelles.
FREDERIQUE entraîne VAREL dans la cuisine. Elle soulève le couvercle de sa gamelle, que ça fleure bon dit le commissaire. Ce sont les poireaux du voleur, mon ami, je te souhaite un

BON APPETIT !

LINE!
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MessagePosté le: 14-11-2006 08:06    Sujet du message: papot Répondre en citant

Au secours! HISTOIRE DE LA CHEMINEE !

cria le premier petit cochon en courant
vers la maison de bois de son frère.
URL=http://imageshack.us][/URL]
A peine celui-ci eut-il refermé la porte
que le loup frappa.


Petits cochons, gentils petits cochons,
je peux entrer?


Non, non! Par le poil de nos mentons!

répondirent les deux frères.




Alors,je vais souffler, souffler, et votre maison s'envolera!







Le loup se gonfla les joues,
souffla, souffla de toutes ses forces,
et la maison de bois s'envola.






Au secours!
crièrent les deux petits cochons en courant
aussi vite que possible vers la maison de briques de leur frère.

Ici, vous ne risquez rien! leur dit-il.


Bientôt, la voix du loup résonna.
Petits cochons, gentils petits cochons, je peux entrer?

Non! non! Par le poil de nos mentons!






Alors, vous allez voir, hurla le loup,
je vais souffler sur votre maison, et je vais la démolir!
Il prit alors sa plus profonde respiration et souffla comme un fou.

Mais cette fois-ci, il ne réussit pas à mettre la maison par terre. Il se cogna la tête contre les murs et se blessa.
Puis il s'enfuit dans la forêt, hurlant de douleur.







Cela rendit le loup fou furieux.
Il était si furieux qu'il en devint tout bleu.
"Il faut absolument que j'attrape ces cochons"
se disait -t-il.






Quelques jours plus tard,
les petits cochons virent le loup arriver avec une grande échelle.

J'aurais dû y penser plus tôt!
dit-il en l'appuyant contre le mur de la maison. pour atteindre la cheminée.








Pendant ce temps,
le troisième petit cochon, qui était très rusé,
alluma un grand feu dans la cheminée et y posa un chaudron rempli d'eau.






Quand le loup descendit dans la cheminée, il tomba tout droit dedans.
Il poussa un hurlement qu'on entendit à des kilomètres à la ronde
et repartit comme il éait venu, par la cheminée.
On n'entendit plus jamais parler de lui.





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MessagePosté le: 15-11-2006 07:14    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

MAD.OLGA OU LA FEE AUX PAPILLONS !




Il y a bien des années vivait une vieille dame dans un petit village au bord de mer. Tout le monde l’appelait OLGA, ou OLGA aux papillons. Toujours vêtue d’accessoires sous forme de papillons, soit colifichet broche collier, pendentif, même sur les chaussures en guise d’ornement deux petits papillons prêts à s’envoler. Les enfants l’adoraient et bien souvent on voyait Madame OLGA avec une ribambelle de gosse sur un prés à la ronde racontant son histoire. La dame était conteuse, elle avait une voix très douce et les enfants écoutaient l’histoire comme si ils l’entendaient pour la première fois, avec des yeux étincelants


Voici cette histoire ! Quelques mois avant ma naissance, mes parents partirent pour l’Afrique du nord.. papa a était appelé là-bas pour son travail. Lorsque je viens au monde, ma grand-mère maternelle supplia son fils de revenir en France dans le midi. Un beau paquebot, un voilier nous ramena en métropole. Un bateau magnifique dont les voiles étaient des centaines de papillons de toutes les couleurs. Les enfants rigolaient. Il y en a un qui dit, mais ce n’était plus un navire, c’était un avion. Non non , le vaisseau s’élevait pas plus haut que pour éviter l’écume. Le plus âgée des papillons, disait et répétait souvent. Attention mes amis, pas que les petits pieds de la princesse se mouillent. Je viens de lui dessiner des petits papillons dessus.

Ma maman trouva ceci tellement joli, qu’elle prit bien soins de ne pas les perdre. Regardez les enfants, elle fait voir ses chaussures avec les deux modèles. Je les ai toujours et je les garderais en souvenir . Vous allez rigoler, mais ils me parlent et me disent que je suis belle, que je suis une fée, la fée des papillons. Revenez les enfants quand vous voudrez, j’aurais encore d’autres histoires à vous raconter. Elle leva la main et subitement comme un éclair, sur chaque gosse, un petit papillon se posa , bâti des ailes et s’envola., laissant derrière lui une traînée comme un filet d’or.

AU REVOIR LES ENFANTS A TRES BIENTOT


LA FEE DES PAPILLONS !
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MessagePosté le: 15-11-2006 07:58    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

l'histoire d'un hérisson qui rencontre une chauve souris et qui lui dit aussitôt "non non non je n'aime pas la raclette! Moi ce qui me plait avant tout dans la vie c’est péter dans mon bain", car effectivement, ce hérisson était un hérisson pétomane, de ceux que l'on rencontre fréquemment dans le Larzac, région où il vit en hivers entre deux tomes de Roquefort. La chauve-souris n'en croyant pas ses grandes oreilles lui répondit :

URL=http://imageshack.us][/URL]



"P'tain j't'ai déjà vu quelque part toi, mais où ?! A une réunion de pétomanes aquaphiles anonymes ? A une Larzac-party ? Non... Ah ! J'y suis ! Je t'ai déjà vu à une rave party!! "

Le hérisson, surpris, répondit: "Beuh non, j'me rappelle pas, je ne me souviens pas avoir été dans une rave party. On ne se serait pas plutôt rencontré au concert des compagnons de la chanson? Oui, c'est ça, je me rappelle maintenant, tu étais au concert, mais tu étais déguisé en tortue bleue, alors du coup je t'ai pas immédiatement reconnu. "

Heureux de se retrouver après tant d'années, le hérisson et la chauve-souris se dirigèrent vers "le village dans les nuages" où, comme chacun le sais, vivent les bisounours. Alors que le hérisson et la chauve souris entamaient une belle balade dans un champ de flageolet (ben oui ça a bien changé avec les années). Sans crier gare, surgit un aigle noir, qui ne dit mot consent pour leur piqueter leurs dents. Après cette interlude, le Hérisson et la Chauve souris se sont assis dans l'herbe verte. Regardant le ciel et ses étoiles, il parlèrent longuement de leur jeunesse. Des rencontres importantes pour eux. De leurs goûts et leurs couleurs. Plusieurs heures passèrent ainsi le regards perdu dans l'obscurité, lorsque un douce musique vint jusqu'à leurs oreilles, ces quelques notes venaient d'une souche creuse non loin de là. Le Hérisson dit à la chauve-souris :
- Tiens ? comme cette musique est étrange...
- Oui, elle semble sortir de terre par là bas. Viens, allons voir.
Doucement, l'hérisson et la chauve-souris se rapprochent de la souche creuse. L'hérisson passe le nez au dessus du trou et quelle ne fut pas sa surprise de voir voit un orchestre improvisé, les grillons aux violons, les cloportes au saxo, les mantes à la harpe et les fourmis qui croondent à qui mieux mieux. La mine compassée, ils jouaient une ode pour leur pote Hugues le scarabée qui souffrait d'un ulcère pas drôle. L'ombre piquante du hérisson surprit Berthe la blatte en plein solo.

"Non mais faut pas m'interrompre!," cria Berthe. "Parce que la flûte à bec, c'est pas une mince affaire, surtout que je vais bientôt tomber en panne de nano-roseau ! Allez, hop, pschitt, du balai...".
"Eh mais, fit le hérisson, tu crois pas que tu pourrais te bricoler un flûte avec un de mes piquants ?"

"Hmm, faut voir, est-ce que au moins tu as le piquant creux? Parce que sans ça, c'est pas la peine!" lui répondit Berthe, qui pour une blatte avait tout de même de grands pieds.

"J'en sais trop rien, répondit le hérisson, et j'ai pas trop envie de regarder pour l'instant."

Sur cet entre fait, la chauve-souris qui était restée à l'écart de la discussion tombe dans la souche, percute le grillon et ce retrouve les pattes en l'air au milieu de la petite troupe.
Chacun reste coi...
Le silence est lourd. Soudain Berthe la blatte, décidément la plus bavarde de l'orchestre, décide de rompre la pesanteur de ce silence "enchanté Mlle, vous jouez de quelle instrument? et comment vous appelez-vous?"

La chauve-souris pas encore remise de sa chute lui bredouilla quelques excuses sur son entré puis se présenta : "Je m'appelle..." S'étant cogné la tête à l'atterrissage, elle perdit la mémoire. Le hérisson profite de cette occasion inespérée, se saisit de la chauve souris grogui et, une main posée sur sa tête; la fait pivoter sur son axe telle une contrebasse :
"Je vous présente : the swinging flying ugly one, instrument rare à 2 ailes vibrophoniques, réglé sur ut mineur et avec lequel je vais vous jouer "Les flamandes" de Brel. On commence "Les F-f-fla les f-fla les flamandes d-d-dansent sans rien ddddire
Sans rien d-d-ddire aux d-d-ddddimanches so-so-sssonnants..."
Il fallut vite se rendre à l'évidence : la chauve-souris était b-b-bègue.
Or, quand ils avaient traversés le champs de flageolets, la chauve souris, cette coquine [ que nous appellerons Panipoile dorénavant ]en avait profité pour se farcir la panse de ces délicieux haricots.
La digestion ayant accompli son oeuvre, les pitits vents soutenant les paroles saccadées firent se tordre de rire les musicos médusés. Panipoile venait tout simplement d'inventer un nouvel instrument à vent(s) : le bégaphone.

Pendant ce temps là, Berthe avait toujours dans la tête son piquant creux.
Il faut dire que notre hérisson, ce héros de la pointe, lui avait planté malencontreusement une de ses érectiles protections dans le casque.
Or, les blattes ont la tête creuse, ça tombe bien.

La digestion de Panipoile ayant fait des ravages, toute la petite clique se tordit peu à peu de douleur olfactive et se tut... Berthe, au cerveau comme du Gruyère, rompit soudainement le lourd silence; une idée lumineuse lui avait traversé l'esprit - et chez elle c'était facile, indolore et inodore - : "et si on se faisait une petite virée à Bruxelles histoire de boire une bonne biere? ça vous tante les amis?

Une bierè après les flageolets ? Panipoile fut parcouru de grands frissons dans les dos. Comment allait-elle pouvoir supporter ça ? Elle préféra rerégler son GPS perso, son radar préféré qui avait été fort ébranlé... A défaut du bon bar à bière, elle pourrait indiquer la direction de Bruxelles. Les ressources insoupconnées de la nature vinrent à leur aide. La souche était en fait un vaisseau spécialement conçu pour fonctionner aux vents, saxo, tromblons et pets divers. Et c'est ainsi que Berthe et Panipoile s'envolèrent sur les alizés. À cet instant, au sol, un petit garçon tendit le doigt et s'écria "Oh, papy, regarde, c'est superman !". Mais non, répondit l'aïeul c'est mamie qui vole à notre secours avec sa bande de joyeux drilles" (papy était bigleux lui aussi et perdu dans le Larzac par dessus le marché). Erreur petits humanoïdes, les zicos ailés ne les virent pas, absorbés qu'ils étaient à suivre les infos du GPS, le gosier sec et donc pressés d'atteindre le plat pays Mais le Hérisson (que nous appelerons Hérisson ... c'est vrai il a toujours pas de nom ce pauvre hérisson) se dit : " Panipoile et moi, au début de l'histoire, on était heureux de se retrouver après tant d'années (rappelez-vous), et cette Berthe essaye de nous séparer. Elle s'immisce dans nos retrouvailles. Il faut que je fasse quelque chose pour arrêter ça". Alors sans hésiter, Hérisson le Hérisson colla un puissant direct du droit dans le fessier délicat de la brave Berthe qui alla valser du côté obscur sans même avoir eu le temps de réaliser ce qui s'était passé... Un immense sourire vint s'écraser sur le visage de Panipoile ragaillardie :
"et si on se débarrassait des musicos tant qu'on y est ???"
Elle aurait pu éviter de hurler car ces joyeux fêtards ne comptaient pas rater une bonne beuverie à la fête de la binouze. Du coup, elle enfila sa tenue en lycra rose, celle qui l'avait rendue célèbre durant la grande guerre du frigo et décida que personne de la troupe sauf elle ne boirait de la biere, pour cela elle decida que seul elle irait a bruxelle avec sont amis herisson.Pour cela elle enferma tout les musicos dans la cale, est grace a sont couteau suisse Mcguiver™ ,elle pirata le vaisseau afin qu'il s'ecrase sur la banquise pres du laboratoire du professeur schmol et avec les rouleau de papier toilette anarcha Herisson a elle et decola vers bruxelle sans penser que le professeur schmol n'etai pas allez sur la banquise par hasard.ET oui il c'est refugié la bas car c'est le seul endroit sur terre ou il n'y a pas de chauve sourie.Car il faut rapeller que le professeur schmol prepare dans son laboratoire des pinguoins mutant qui ont pour but de detruire toutes les chauve souries de la terre, car souvenez vous a l'age de 7 ans le jeune archibalde Schmol c'est fait violament agresser par un groupe de chauve souris qui lui on volé sont bioman,depuis il nourrit une haine sans fin envers celle ci,c'est pourquoi en ecoutant avec attention l'histoire de Berthe la blatte il décida de mettre debut a son plan diabolique en lachant c'est 18 pingouins dans la nature.Mais de leur coté Herisson et Panipoile n'etai pas au bout de leur peine car le papier toillette utilisé par les blattes est du treffle parfumé à la raclette. oui et la etais le vrai probleme car ce que ne savait pas panipoile,c'est que si herisson n'aime pas la raclette c'est qu'il y est alergique et meme reactif car une trop long exposition a l'odeur peut avoir des retombé sur son physique est sont humeur.d'ailleur il commence a engeuler panipoil car elle vole mal et que tout l'enerve,de sont coté elle,trouve que herisson devien plus lour voir plus gros.
pendant ce temps dans un champs a 200 metre plus bas un renard qui conversé avec une tortue bleu ce dit pour lui meme"tien je pense tellement à la raclette que j'en sens meme l'odeur". Panipoile, écoeurée par l'odeur, se bouchait le nez d'une aile et tournait donc en rond. Herisson eu la malencontreuse idée de se repeigner les piquants, l'équipage fut déséquilibré et se cassa la gueule. Il fallait bien une chute à un moment donnée. HISTOPIRE TROUVEE SUR GOOGLE
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MessagePosté le: 15-11-2006 08:17    Sujet du message: carnet Répondre en citant

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mamiero



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MessagePosté le: 15-11-2006 08:38    Sujet du message: Répondre en citant

]bonne journée Line.bisous]
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MessagePosté le: 16-11-2006 08:34    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

VOULEZ VOUS DANSER GRAND MERE !

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Oh oui, elle voudrait danser, tout comme autrefois, au rythme de la samba, de la bossa nova du charleston, ou endiablé du boggie .La pauvre, même les oreilles ne captent plus la totalité des sons, ce qui signifie des faux pas, dans les mesures. Les membres engourdis, n’en parlons pas, c’est comme si vous disiez au manche à balaie de danser. Quel spectacle. !

Voyez-vous, pour danser encore à 80 ans, il faut toujours avoir dansé sans interruption. C’est très dur de recommencer par la suite. Deux trois pas et le souffle vous manque Les petits doivent se dire, mon Dieu mémé, reste assise, ne vois tu pas que tu es ridicule. Il faut se faire une raison, tout a sa fin, même le petit pas de danse.

Autrefois j’adorais la musique et les chants en particuliers Les opérettes étaient mon dada et je ne me lassais pas d’entendre « LE PAYS DU SOURIRE ou LE ZAREWITCH « le soir jusqu’à une heure très avancée. Le moindre petit bruit, même en sourdine me faisait tressaillir Maintenant je suis sourde comme un pot, il faut déjà venir avec la grande caisse et encore.


Avec l’âge, tout vous tombe sur le paletot. Sans compter les douleurs qui vous envahissent nuit et jour, vous ressemblez chaque jour davantage à un pantin désarticulé. Surtout ne vous lamentez pas. C’est le sort de tout le monde et chacun a son petit fardeau à porter.

N’empêche, après tout ceci, j’aimerais bien encore aller au PETIT BAL DU SAMEDI SOIR retrouver mes vingt ans.


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MessagePosté le: 16-11-2006 08:54    Sujet du message: carnet Répondre en citant

bbbb
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mamiero



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MessagePosté le: 16-11-2006 09:16    Sujet du message: Répondre en citant

Ho que oui Line j aimerais encore pouvoir danser ,moi qui adorait ça he puis avec mon coeur ,plus de valses ,plus de rock, j 'ai le droit au tango et les slows ,mais je rage quand je suis a une féte de ne pouvoir etre ce que j étais !!!!! bisous Line][/URL
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MessagePosté le: 16-11-2006 09:28    Sujet du message: CARNET DE LINE Répondre en citant

L'ÉCUREUIL
(D'après un article paru en 1865)
L 'écureuil est le plus joli, le plus svelte, le plus gracieux de tous les rongeurs. Il n'est personne qui n'ait eu l'occasion d'admirer, dans ces cages tournantes où l'on a trop souvent la cruauté de l'enfermer, son œil vif, sa physionomie fine, la gentillesse de ses mouvements, l'élégance de cette longue queue en panache qu'il relève jusque par-dessus sa tête. Il a aussi cette originalité qu'il mène une vraie vie d'oiseau. Il choisit un grand arbre dans les plus hautes futaies, et il y vit en famille. Il saute de branche en branche, passe sur les arbres voisins, monte, descend, fait mille gambades avec une prestesse incroyable ; l'œil le plus exercé peut à peine le suivre dans ses évolutions, on pourrait dire dans son vol.

A son extrême légèreté, il joint beaucoup de malice pour se dérober à votre regard : s'il vous a vu, il aura soin de mettre toujours le tronc de l'arbre ou une grosse branche entre vous et lui ; changez de place, tournez, retournez autour de l'arbre, il tourne et retourne en même temps que vous. On peut se promener pendant plusieurs heures dans une forêt peuplée d'écureuils sans en apercevoir un seul, si l'on n'a pas pris la précaution de marcher en silence.

Les dehors séduisants, les qualités brillantes qui plaisent aux yeux, ne sont pas les seuls avantages de l'écureuil ; il se recommande encore par des qualités solides : il est excellent père de famille ; il montre le plus grand attachement pour sa femelle et ses petites ; il se fait brave, il devient téméraire pour les défendre.

L es chasseurs ont remarqué qu'ils tuaient beaucoup plus de mâles que de femelles : la raison en est que le mâle reste en arrière et s'expose pour couvrir la retraite des siens. La mère n'a pas moins de tendresse pour ses enfants. Dupont de Nemours raconte qu'en 1785, quand on abattit le parc de Versailles, on le trouva rempli d'une multitude d'écureuils dont à peine jusque-là on avait soupçonné l'existence. « Leur désolation fut affreuse, dit-il ; les mères couraient éplorées de côté et d'autre, à travers les arbres renversés, leurs petits dans les bras, ne sachant où les cacher. Les mâles bordaient l'abatis, se précipitant du côté où paraissaient les curieux, disant, avec leurs grimaces, toutes sortes d'injures, leur dernière ressource. »

N ous avons dit que les écureuils mènent une vie d'oiseau ; c'est aussi à la manière des oiseaux qu'ils font leur nid. Ils le placent au faîte d'un arbre élevé, souvent sur un vieux sapin. Ils commencent par apporter dans leur bouche du gazon sec, de la mousse, qu'ils déposent sur une grosse branche ou dans une enfourchure, puis des bûchettes qu'ils entrelacent, pressent, foulent à mesure. Quand le fond de la couche est fait, ils en élèvent les bords, et par-dessus mettent un toit ; ils n'y laissent qu'une ouverture vers le haut, à peine assez large pour passer. Ce petit édifice se confond tellement avec la ramure de l'arbre qu'il est presque impossible de l'apercevoir.

M ais ce n'est pas assez pour l'écureuil de se mettre à l'abri ; malgré sa vivacité, il n'est rien moins qu'étourdi et imprévoyant : il songe à s'assurer des vivres pour les temps de disette. Le creux d'un arbre, une fente de l'écorce, quelquefois un trou en terre, dans un lieu sec, lui servent de magasin ; il y entasse force glands, faînes ou noisettes.


Ses provisions dépassent même de beaucoup ses besoins. De la prudence à l'avarice, on sait qu'il n'y a qu'un pas. Une preuve que l'écureuil en amassant ainsi obéit surtout à la manie de thésauriser, c'est qu'en captivité, au milieu d'une abondance assurée, on l'a vu se livrer à ce même excès de prévoyance. Un naturaliste anglais, le docteur Jonathan Franklin qui, pendant un séjour en Amérique, avait plusieurs de ces animaux apprivoisés (de l'espèce appelée écureuil volant, Pteromis), raconte qu'au lieu de se contenter de la nourriture qu'ils pouvaient absorber, ils ne manquaient jamais d'emporter le superflu.
« Un jour, dit-il, ils s'amusèrent à cacher dans les faux plis de mon pantalon les noisettes que je leur avais données sur mes genoux pendant que j'étais assis. Au bout de quatre jours, je leur ouvris la porte de la cage, et les écureuils vinrent aussitôt examiner les faux plis de mon pantalon pour y retrouver les trésors qu'ils y avaient enfouis...

Un nid d'écureuils.
Dessin de Freeman.



« Mes amis s'amusèrent plus d'une fois à observer les écureuils tranquillement assis sur la corniche de la chambre jusqu'à ce que le thé fût servi. Ces animaux descendaient alors les uns après les autres, soit sur ma tête, soit sur ma table, et volaient des morceaux de sucre si habilement que nous pouvions rarement les attraper sur le fait. Nous fûmes souvent obligés de placer une soucoupe en guise de couvercle sur le sucrier, afin de conserver quelques morceaux pour nous-mêmes. Ils guettaient alors l'occasion d'enlever notre pain rôti et notre beurre, qu'ils portaient sur la corniche, puis ils rôdaient çà et là jusqu'à ce qu'ils crussent avoir trouvé une place sûre pour les y cacher. Cette opération exige quelques formalités : ils grattent alors avec leurs pieds de devant, poussent la nourriture dans le trou avec leur museau et marchent dessus, comme font les Arabes pour cacher le grain dans les silos.

« Un jour que l'on était en train de repeindre ma chambre, nous trouvâmes dix-huit morceaux de sucre, sans compter les rôties et les fragments de beurre, dans les recoins de la corniche. Naturellement les écureuils n'eurent point la permission de faire leur promenade du soir tout le temps que dura la restauration de mon logis ; mais, après trois semaines ou un mois d'emprisonnement, je leur donnai de nouveau congé. Nous nous divertîmes fort de voir leurs allées et venues continuelles, leur anxiété et leur désappointement, quand ils découvrirent que leurs provisions avaient disparu. Dès que le thé fut servi, ils recommencèrent à voler le sucre ; mais cette fois ils le cachèrent dans d'autres coins de la chambre, sous le tapis et derrière les livres. »






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MessagePosté le: 17-11-2006 07:25    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

NOEL APPROCHE !


Encore une année de passée, les grands jours de fêtes sont devant la porte. Le calendrier des petits sujets en chocolats est depuis quelques jours dans les devantures des pâtissiers et les gosses se lèchent les babines en passant.

Les ménagères sont prises par la fièvre des petits gâteaux de Noël. Que ça sent bon dans les cuisines, la vanille, la cannelle, la fleur d’oranger le citron, des raisins de Corinthe trempés dans du schnaps. Rien ne manquera, pour le réveillon, tout sera soigneusement préparé pour le 24 au soir.

Les magasins ont déjà sortis tous les jouets de la réserve, les vitrines et les rayons décorés avec goût. La foule se précipite déjà dans les rayons et ça n’ira qu’en s’accentuant au fur et à mesure de l’approche des fêtes
Une maman promène ses trois petits dans un magasin de jouets. Un petit d’un an dans un landau, les deux autres de trois et quatre ans la suivent en se tenant la main. Leurs yeux rayonnent en regardant toutes ces merveilleux joujoux que la pauvre maman ne pourra hélas pas acheter. Le papa au chômage, du retard à payer pour le loyer, des chaussures à acheter pour les petits et bien sûr il faut manger. Quelle misère, la mère sèche ses larmes, il ne faut surtout pas que les enfants la voient pleurer.


Une dame d’un certain âge a observé cette scène de loin. Elle adore les enfants et voudrait cette année ci faire un don pour une famille dans le besoin. Ces enfants sont bien nourris, correctement habillés et bien élevés .Elle est presque sûre, qu’ici elle est à la bonne adresse.

Elle voudrait faire un paquet pour mettre sous le sapin de ces enfants, pour la Sainte Nuit. Comment faire pour avoir cette adresse sans vexer la maman ?

Une tombola gratuite est organisée par le magasin. Les fiches sont à remplir avec adresse et à mettre dans un carton à la sortie .La dame fit des mains et des jambes pour avoir l’adresse de cette famille. Le chef de rayon, monta à la direction, pour avoir la permission de colporter l’adresse. Quand le chef a su qu’il s’agissait de la bonne cause, donna son accord.


Pour Noël le facteur apporta aux enfants un gros paquet de jouets et de friandises. La maman n’en revient pas, elle ne sait même pas qui remercier pour ce geste admirable.
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MessagePosté le: 17-11-2006 07:47    Sujet du message: rnet de line Répondre en citant

histoire de herisson


Hervé était un gentil petit hérisson qui habitait avec sa famille dans un champ au bord d'un bois.
Un jour, pendant que la famille faisait une promenade à la campagne, Hervé a remarqué quelque chose de bizarre qui tombait du ciel.
"Regarde Maman! C'est un oiseau?" a demandé Hervé d'une voix aiguë. "Ça va nous manger?"

"Mais non! Ne t'en fais pas." a dit sa mère, "C'est ton oncle Horace qui est venu passer ses vacances chez nous!"

Et quelques minutes plus tard le parachute de l'Oncle Horace a atterri doucement et Horace est sorti d'un trait "Bonjour tout le monde." a-t-il dit d'un ton jovial. "Me voici de retour!"




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mamiero



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MessagePosté le: 17-11-2006 07:52    Sujet du message: Répondre en citant

]hé bien ça fera des heureux gros bisous Line bonne journée
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MessagePosté le: 17-11-2006 07:56    Sujet du message: carnet Répondre en citant

sup
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MessagePosté le: 18-11-2006 08:20    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

LA PETITE FILLE !


Tous les jours à la même heure ,notre ami le commissaire VAREL, rencontre une petite fille sur le chemin de l’école. En passant, elle fait un gentil petit sourire tout en saluant Bonjour monsieur VAREL et de loin encore elle agite sa petite main pendant quelques instants, avant de tourner, le coin de rue. Mignonne petite fille se dit notre ami, elle est bien élevée, jolie et souriante.

Arrivé au bureau, le sergent lui propose de lui nettoyer son arme de service. Oh non mon brave, ça fait plus de 40 ans que je fais ceci, personne ne touchera à mon canon . Je ne serais là pour personne ce matin, je vais m’y mettre sur le champ. Cette vieille arme elle sera de nouveau comme neuve, une fois nettoyée et bien graissée. Elle l’a pratiquement accompagnée toutes ses années de service, et tenue en échecs pas mal de délinquants. Il la caresse du bout de ses doigts avant de la remettre dans son étui une fois terminé.


TOC TOC on frappe à la porte . Bon sang j’avais pourtant dis que je ne voulais pas être dérangé ce matin. La porte tout doucement s’ouvre et laisse apparaître un petit corps de gamine,les yeux en pleurs . C’est la petite Céline, de ce matin sur le chemin de l’école.
Que t’arrive t’il mon enfant demande VAREL, pourquoi ses larmes sur ton joli visage ?

A dix heures, je suis rentrée de l’école et monsieur Robert a enfermé ma maman dans la cave. Qui est-ce monsieur Robert. Mon deuxième papa dit elle. Ma maman a pleuré et crié et moi il m’a giflé et m’a mis à la porte Voila, je ne suis qu’une petite fille, je ne peux rien faire, mais vous monsieur l’inspecteur, vous êtes la police, vous êtes fort. Viens ma fille, nous allons voir ceci sur le champs. Ou habite tu ? dans la rue du parchemin, ce n’est pas loin d’içi .


VAREL sonne à la porte : La maman ouvre et en voyant sa fille elle dit, ou a tu passée ma fille. J’allais vous sortir de la cave, ou votre ami monsieur Robert vous avez enfermé. Céline crie la maman, tu es une menteuse, jamais de la vie on m’a enfermé dans une cave. VAREL ne sait pas quoi dire , cette petite fille une menteuse. Sa mère prétend que ce n’est pas la première fois et elle lance à la gamine des yeux à faire froid dans le dos.

Le commissaire s’excuse chez la mère. Il parlera avec la petite le lendemain sur le chemin de l’école.

Le matin à 7heures trente VAREL est déjà dans la rue de peur de louper cette petite .La voila qui arrive en criant, je n’ai pas menti hier monsieur le commissaire, même que j’ai vu hier soir quant maman a fait sa toilette qu’elle avait plein de bleus partout . Il l’a frappé comme il fait souvent avec un fouet et il lui interdit de sortir de la maison .Il ne veut pas que je reste avec elle .Il dit que j’ai un papa, je dois aller chez lu et si maman parle a quelqu’un, il la tue.

Ca nous allons le voir s’écrie VAREL. Toi tu vas à l’école ce matin et moi je m’occupe de ta maman. Arrivé rue du parchemin, tous les volets sont clos . Une petite loupiotte est allumée dans la cave. VAREL contourne la maison tout est fermé. Un simple coup de téléphone et une brigade vient libérer la pauvre maman des griffes de cet énergumène., lequel sera cueilli à son retour.

La maman a été brutalisé pendant des mois par cet individu. Elle disait que sa fille mentait, pour ne pas attirer l’attention de qui que ce soit.

La mère et sa fille se sont retiré dans un refuge pour célibataire .et le fameux Robert n’avais plus le droit de les approcher d’après le tribunal.

Tous les matins, vous voyez VAREL sur le chemin de l’école, avec une petite fille discutant j’usquau prochain coin de rue et se sépare. A demain monsieur VAREL, à demain Celine !



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MessagePosté le: 18-11-2006 08:37    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

L’histoire du premier zèbre à rayures blanches et noires
Il y a bien longtemps les zèbres étaient tout blancs.

Il y avait un petit zèbre qui n’aimait pas sa maman, parce qu’elle le grondait toujours. Ce zèbre était très curieux.
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Un jour que son frére avait fait une bêtise, sa maman le gronda à sa place. Il trouva cela injuste. Alors il décida de partir de son troupeau, pour découvrir le monde tout seul.

A la fin de la journée il était tellement fatigué qu’il s’endormit sur un banc à rayures noires. Il n’avait pas vu le panneau « PEINTURE FRAICHE » pendant la nuit, parce qu’il faisait sombre.

Le lendemain matin, quand il se releva il vit qu’il avait des rayures noires.

Il alla vite rejoindre son troupeau pour leur montrer ce qui lui était arrivé.

Quand il revint, il sauta dans les bras de sa maman. Même si elle le grondait toujours, il l’aimait beaucoup.

C’est depuis ce jour que les zèbres ont des rayures noires et blanches.


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Christophe CE1
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MessagePosté le: 18-11-2006 08:47    Sujet du message: carnet Répondre en citant

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MessagePosté le: 18-11-2006 09:13    Sujet du message: Répondre en citant

Coucou Line,

C'est un homme gentil l'inspecteur Varel.

Toujours levée tôt pour tes rubriques.

Gros bisous Line.

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priska



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MessagePosté le: 18-11-2006 09:33    Sujet du message: Répondre en citant

Ah, ben voilà pourquoi les zèbres... ! Mais... et les girafes ? Où se sont-elles endormies ?

Bises, Liline, passe une bonne journée !

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MessagePosté le: 19-11-2006 08:00    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

CARNAVAL DE VENISE !


VAREL, mon chéri, depuis le temps que tu me promets de m’emmener à VENISE. Bientôt se déroulera le fameux carnaval avec ses somptueux costumes, masques et colifichets et le moment serait bien choisi. Qu’en penses tu ? Il nous faudra déjà commander les billets dés maintenant, car après se sera trop tard. Si tu veux, je vais m’en occuper sur le champ et réserver dés aujourd’hui.


Aussitôt dit aussitôt fait, le gros nounours à FREDERIQUE est d’accord pour une fois. Ca fait des années qu’il n’a pas remis les pieds à Venise, depuis son aventure avec la belle italienne ROSITA. Cette divine créature pendant des semaines a joué avec son cœur et son portefeuille, mais elle était déjà promise à RENZO, depuis sa plus tendre enfance. Pour elle ce n’était qu’un jeu mais pour lui, il lui a fallu pas mal de temps pour oublier.

Voila, mais il a promis à sa femme de lui faire visiter VENISE et parole de VAREL, ils iront à VENISE. Il se souvient très bien du palais des doges, du pont des soupirs, du Rialto, du canal grande, de la place St Marc, du lagon, du vaporetto et surtout des gondoles au clair de lune.


LE GRAND JOUR EST ARRIVE. Monsieur et madame VAREL comme deux amoureux prennent le chemin pour l’aéroport de BALE direction VENISE. Le chien est resté à la maison, c’est belle maman qui s’en occupe. Ne dites pas toujours qu’une belle mère ça ne sert à rien, voilà la preuve. Enfin quelques jours de répit pour ce couple avide d’aventures.

En fin de soirée arrivée à VENISE. Un taxi les conduit à l’hôtel, située dans une petite ruelle de la rue St MARC, qui contourne l’église. Une grande table dressée les attends pour souper avec des pâtes de toutes sortes, des tagliatelles comme ils appellent ça, du jambon de Parme, du rôti, du poulet, des légumes, du fromage et des fruits . VAREL fait un grand sourire à la petite serveuse, il a très faim. Espérons qu’elle a compris, car VAREL ne parle pas italien. Viens ma chérie dit il prenons déjà place, après souper nous allons défaire nos valises et ensuite une petite croisière avec le vaporetto sur le canal grande. Ce fût une charmante soirée passée dans une taverne arrosée de CHIANTI et de LACRIMAS DE CHRISTI

FREDERIQUE ne se souvient plus d’avoir rigolé autant que ce soir là. VAREL était un peu hic. Il partait en avant et elle ne finissait pas de crier VAREL attends moi, pas si vite.


Le lendemain, après le petit déjeuner, visite de VENISE, UNE MERVEILLE ! Frédérique n’en revenait pas. Pour chaque nouvel endroit à visiter, VAREL avait droit à un bisou, ce qui ne lui déplaisait pas du tout. .

Un petit bateau les promenait dans la lagune, c’était une journée admirable, malheureusement en fin de soirée la pluie est tombée DES CORDES sans arrêts et toute la nuit.

Le lendemain encore de la pluie !
Le défilé de CARNAVAL sous la pluie et les parapluies était une catastrophe ce jour là Dommage pour ces beaux costumes, qui ne reflétaient plus leur juste valeur, abîmés par ce sale temps. Il parait d’après les habitants, ceci est fréquent à VENISE !


En fin de semaine, belle maman a eu une carte postale de ses enfants : Chère maman, viens nous chercher à l’aéroport de BALE, nous arrivons sur le coup de midi, bise à toi FREDERIQUE ET VAREL


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MessagePosté le: 19-11-2006 08:07    Sujet du message: Répondre en citant

Gros bisous Line bon dimanche, je suis a l 'avance je repasserais .]
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MessagePosté le: 19-11-2006 08:24    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

les douces lumieres d antan


DOUCE LUMIERE D'ANTAN

Extrait magazine n°44 : Décembre 2001 / Janvier 2002





Les chandeliers ࠰鴲ole lampant apparaissent vers 1860 et 飬aireront tous les foyers.

Leur chaude lumi貥 participe aujourd'hui aux ambiances de f괥.

Lampes 鱵ip饳 de r鳥rvoirs ࠰鴲ole en verre de couleur dites " toupies ", encastr饳 dans un pied avec leurs " chemin饳 " en verre (le verre de lampe). Leurs becs se mesurent " en lignes " dont d鰥ndent les dimensions des verres et des m裨es, quand il faut les remplacer. La hauteur de la flamme est r駬饠 par une cl頬at鲡le.




De l'huile au p鴲ole

Les lampes domestiques ont marqu頍 la premi貥 victoire sur l'obscurit鮠C'est dans les livres h颲eux que l'on trouve la plus ancienne mention d'un mode d'飬airage domestique. Les formes des lampes antiques variaient selon leur destination et la substance grasse, cire, huile de poisson ou huile v駩tale (olive, noix) qu'elles utilisaient. La mati貥 premi貥 des lampes 鴡it pour le commun l'argile, la base des lampes de terre cuite brute ou verniss饠; les riches avaient des lampes en m鴡l, fer, cuivre, bronze, et en m鴡ux pr飩eux, argent et or. De progr賠en progr賬 on arriva ࠬa m裨e de fibre v駩tale trempant dans un r飩pient, on 鴡it encore loin de l'appareil d'飬airage comme nous le concevons.

Jolie " Parisienne " en cuivre avec chemin饠et abat-jour incrust頤e cabochons entour饠d'une paire de lampes ࠨuile min鲡le en bronze, 鰯que fin XIXe.


La premi貥 mention de l'usage d'une huile min鲡le remonte ࠍ Pline l'Ancien qui 鶯que l'usage de cette huile sur la c?Adriatique. Les am鬩orations propres ࠣhaque pays, les id饳 nouvelles 鴡nt dans l'air, les progr賠en mati貥 d'飬airage, bien que tr賠 lents jusqu'ࠬa fin du XIXe si裬e, vont s'acc鬩rer avec les techniques nouvelles accessibles au plus grand nombre par le d鶥loppement industriel. Dans les premi貥s ann饳 du XXe si裬e, on trouve des publicit鳠pour des appareils d'飬airage (et de chauffage) fonctionnant non seulement au p鴲ole mais aussi au gaz, au benzol, luzol, radiol, aujourd'hui inconnus. Economie et s飵rit頩taient d骠 les arguments chocs pour promouvoir par exemple des becs amovibles? permettant d'obtenir " une lumi貥 parfaite et ࠢon compte " !

Quatre bougeoirs dont une paire en bronze argent頥t cisel頥t un en cuivre repouss鮠

Porte-cierge en bois sculpt頍 des ann饳 trente.

Paire de lampes en porcelaine d飯r饬 d'鰯que Napol鯮 III, avec un double bec dont le m飡nisme est surmont頤'un verre de lampe et d'un globe affinant la diffusion de la lumi貥.

Tr賠beau mod謥 de lampe associant l'鴡in et le verre souffl鮠Le renflement sph鲩que du verre, dit " matador ", assure un courant d'air qui am鬩ore la combustion. A ses c?, une gracieuse lampe en porcelaine 魡ill饠sur un pied en bronze ; un globe d鰯li donne une diffusion tr賠douce de la lumi貥.

Porte-cierge en bronze dor頍 dans l'esprit baroque, faisant sans doute ࠬ'origine partie d'une paire.




D飯uvertes ࠰etits pas

Il faut attendre 1784 pour que le physicien suisse, Aim頁rgand, prenne un brevet significatif dans l'histoire de l'飬airage artificiel. Il eut l'id饠du br? circulaire substituant aux m裨es plates ou roul饳 des m裨es cylindriques que l'air traversait de fa篮 ࠡctiver la combustion sur chacune des faces. Un tube de verre cylindrique (le verre de lampe) 鶩tait ࠬa flamme de vaciller. C'est ainsi que furent commercialis饳 successivement les lampes d'Argand puis celles de Quinquet, dont le nom est rest頍 pour une lampe ࠨuile dont le r鳥rvoir 鴡it plac頡u-dessus de la m裨e.

En 1800, Bertrand Carcel ajoute une pompe fonctionnant avec un syst譥 d'horlogerie pour alimenter r駵li貥ment la m裨e en huile. L'飬airement devient plus stable. La lampe de Franchot, en 1837, apporte encore un perfectionnement notable : l'ascension de l'huile se fait automatiquement sans qu'on ait besoin de la refouler ࠬ'aide d'un piston. Mais l'huile br? haute temp鲡ture et il faut avoir des m裨es qui se consument en mꭥ temps. Benjamin Franklin d飯uvre que deux m裨es c?ࠣ? l駨rement 飡rt饳 l'une de l'autre diffusent davantage de lumi貥 que deux lampes ࠵ne seule m裨e chacune. Autour de 1900, les qualit鳠techniques des lampes ࠰鴲ole sont ࠬeur maximum mais surtout leur esth鴩que atteint un grand raffinement.



La F饠鬥ctricit頢ouscule les habitudes

Humphrey Davis, en 1813, remarque le premier qu'en 飡rtant l駨rement deux crayons de charbon parcourus par un courant 鬥ctrique fourni par une pile, on obtenait un arc lumineux. Il faudra attendre 1849 pour trouver un appareil permettant d'utiliser ce ph鮯m讥 ࠤes fins pratiques. Le premier r駵lateur constitu頰ar un mouvement d'horlogerie rapprochant les deux 鬩ments de charbon au fur et ࠭esure de leur combustion est d?grand physicien Foucault ; Serrin le rendra pratique et les perfectionnements se succ餥ront pour obtenir la r駵lation de l'arc.

En 1880, apparala premi貥 lampe de Thomas Edison ࠩncandescence dans le vide, 鱵ip饠d'une monture ࠶is et de fils en carbure de tungst讥 en boucle. Elle est bas饠sur l'飨auffement des conducteurs sous l'action du courant qui arrive ࠬes porter ࠢlanc quand leur r鳩stance a une valeur convenable. La premi貥 utilisation commerciale de la lampe d'Edison se fit sur un bateau, le " Columbia ". L'installation qui consistait en 115 lampes, fonctionnera avec succ賠pendant 15 ans ! L'鬥ctricit頍 allait tr賠rapidement se substituer au p鴲ole, ࠬ'ac鴹l讥 et au gaz. On entrait dans l'貥 moderne.



Des ?uvres d'art

Beaucoup de ces tr賠belles lampes ࠰鴲ole du XIXe si裬e, si d飯ratives dans leurs parures de marbre, de cuivre, d'鴡in, leurs r鳥rvoirs ou " toupies " en verre de couleur, leurs porcelaines 魡ill饳, furent remis饳 au grenier quand l'鬥ctricit頣hassa les autres 鮥rgies. Pire?elles subirent le mꭥ sort que les bougeoirs.

Outrage suprꭥ, elles furent adapt饳 ࠬ'飬airage 鬥ctrique, perdant dans ce d鴯urnement tout leur int鲪t. ? l'鰯que de l'halog讥, si efficace mais dont la lumi貥 est si froide, bougeoirs et lampes ࠰鴲ole (d鳯doris頰our l'occasion et mꭥ parfum頠 la bergamote, pour 鬯igner les moustiques) reprennent du service comme 鬩ments de d飯r de la maison. Pourquoi ne pas les allumer et retrouver le charme de leur flamme vivante ?

Le soin apport頠 la fabrication, l'鬩gance des formes r鰯ndant ࠬeur fonction, enfin le choix de beaux mat鲩aux (verres color鳬 marbres polis, bronze dor驠ont fait des lampes ࠰鴲ole du XIXe si裬e des objets d'art tr賠recherch鳮

Toupie en verre ࠭ouvement de spirale et m飡nisme ࠤouble syst譥.

Paire de gracieuses lampes en bronze dor鬠XIXe si裬e.

Cuivre repouss鬠d'鰯que Napol鯮 III et verre spiral鮼/div>


Un grand merci ࠢ Broc'Antique " ࠃr飹-la-Chapelle (77) de nous avoir permis de photographier sa collection.

A. Stein








Tous ces conseils, et bien d'autres, vous attendent dans votre magasin Mr.Bricolage
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MessagePosté le: 19-11-2006 08:46    Sujet du message: carnet Répondre en citant

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MessagePosté le: 19-11-2006 12:18    Sujet du message: Répondre en citant

bonjour ma linette,
comment tu vas par ce froid..
strasbourg est il illuminé,
surtout tu me dis.............si jamais j ai envie de voir le ST NICOLAS un week...

bisou line passe une bonne journée avec RAYMOND Wink
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MessagePosté le: 19-11-2006 14:03    Sujet du message: CARNET DE LINE Répondre en citant

mA PETITE MUSIKA ; iL NE FAIT PAS ENCORE FROID CHEZ NOUS;pOUR L ILLUMINATION DE sTRASBOURG JE NE SAIS PAS; jE SUIS A 25 KILOMETRES DE STRASBOURG ACTUELLEMENT;jE ME RENSEIGNERAIS; BISOU line BON DIM
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MessagePosté le: 20-11-2006 07:42    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

LE GRAND PRIX D AMERIQUE !

URL=http://imageshack.us][/URL]
Dimanche à LONGCHAMP aura lieu le grand PRIX D’AMERIQUE comme tous les ans. Ces dames porteront des toilettes sublimes faites par de grands couturiers et des chapeaux fleuris à voilette vaporeuse. Les messieurs, un pantalon rayé, un frac ; un chapeau haut de forme exactement comme au début du siècle.

Vous pourrez voir une foule immense déambuler dans les allées de l’hippodrome et autour des manèges. Les casaques des chevaux et des jockeys sont multicolores et chaque écurie porte sa propre couleur. Du rouge du bleu du vert du violet du jaune uni croisé avec étoiles ou barré. Quel tumulte ! Les gens sont pressés de savoir s’ils vont gagner ou perdre dans cette course

Le parterre des pelouses est garni de vieux billets périmés que les gens jettent de rage après chaque course. Illusions perdues ! De temps en temps on est accosté par des personnes qui veulent vous vendre un bon tuyau. Le No 10 dans la 3eme, ma main au feu. Vous perdez la mise et le tuyau. C’est à vous de voir. Peut être exceptionnellement avec un peu de chance, vous gagnerez un bonus 3 à 2.80 E

Voila les chevaux sont alignés avec leurs sulkys, le départ est imminent. Le driver retient son cheval avec les rênes jusqu’au départ donné et les voila partis pour un ou deux tours de piste. Le public est là avec sa longue vue et acclame les cavaliers. Les propriétaires des écuries sont nerveux, il y a une grosse somme à gagner pour le vainqueur .Un baise main à droite, un baise main à gauche. Ses messieurs sont euphoriques et chacun espère que son privilégié va gagner.

Les gens hurlent, les gagnants et les perdants. Le 13 LE FOLICHON de l’écurie DUDULE est premier ; Il a gagne d’une courte tête sur BEAU REGARD de l’écurie MAISTRE et enfin le 3em GIBRALTAR de l’écurie BOBBY ; Les propriétaires feront la fêtes ce soir, c’est toujours eux les gagnants. Oh combien on juré, de ne plus jouer dans ce prix là, n’empêche que l’année prochaine vous les retrouverez tous de nouveau ici, comme chaque année.

On a beau dire, le jeu est un luxe qui revient très très cher à quelqu'un qui ne sait pas s’arrêter.


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MessagePosté le: 20-11-2006 08:02    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

Narrateur - Maman Guépard et ses quatre petits vivaient dans la plaine.












Maman Guépard chassait pour nourrir ses petits et le soir, elle chantait pour les garder hors de danger. Dans ses chansons, elle chantait pour chacun de ses enfants : Miko, Mimi, Coco et Charlie.

Un jour, Maman Guépard tomba malade. Elle était triste et elle s'inquiétait : qui s'occuperait de ses petits si elle ne se rétablissait pas? Au soleil, les jeunes guépards jouaient avec leurs amis, mais parfois ils se faisaient du souci pour leur maman. Ils parlaient à voix basse de leurs craintes.

Maman Guépard devint tellement malade qu'elle ne pouvait plus chanter. Quelquefois, Mimi Guépard n'allait pas à l'école. Elle restait à la maison pour prendre soin de sa maman. Peu de temps après, Maman Guépard mourut. Deux des petits allèrent vivre chez Grand-mère Guépard. Les deux autres petits allèrent vivre chez Tantine.

MUSIQUE (POUR ENFANTS)

Narrateur - Restez à l'écoute pour entendre un autre chapitre de cette histoire : Miko et Mimi s'installent chez Tantine

FERMETURE EN FONDU DE LA MUSIQUE

Narrateur - Miko et Mimi Guépard allèrent vivre chez Tantine. Tantine avait trois enfants et elle n'était pas riche. Il n'y avait donc pas toujours assez de nourriture pour nourrir tout le monde. Quelquefois, Mimi Guépard avait mal au ventre tellement elle avait faim.

Tous les enfants jouaient ensemble et s'amusaient. Mais parfois les frères et les soeurs qui vivaient chez Grand-mère Guépard manquaient à Mimi Guépard. De temps en temps, elle était triste.

Quand Mimi Guépard était triste, elle trouvait un coin tranquille. Elle chantait les chansons que sa maman chantait et elle se consolait.

Tous les enfants avaient des travaux à faire avant et après l'école. Certains jours, Mimi et Miko étaient très fatigués. Tantine se rendit compte qu'ils étaient fatigués et elle décida de demander de l'aide à son amie Lulu. Lulu apporta une couverture à Miko et elle prêta main-forte pour les travaux. Grâce à l'aide de Lulu, Tantine, Mimi, Miko et leurs cousins eurent la vie plus facile.

MUSIQUE

Narrateur - Dans quelques instants, nous allons apprendre comment vivent Coco et Charlie chez Grand-mère.

FERMETURE EN FONDU DE LA MUSIQUE

Les deux autres jeunes guépards, Coco et Charlie, allèrent vivre chez Grand-mère après la mort de leur maman. Grand-mère Guépard était âgée et elle savait beaucoup de choses, mais elle ne pouvait pas prendre soin des petits comme leur maman l'avait fait. Grand-mère avait besoin d'aide pour cueillir des noix et des fruits. Coco Guépard n'allait donc pas à l'école. Elle restait à la maison pour aider Grand-mère. Les amis qu'elle avait à l'école lui manquaient et elle n'aimait pas travailler toute la journée.

Un jour, Charlie Guépard revint de l'école en pleurant. Il se refugia derrière un buisson jusqu'à ce que sa grand-mère le convainquit de sortir de sa cachette. " Qu'est-ce qui ne va pas Charlie ", demanda-t-elle.

Charlie lui dit que les autres enfants le taquinaient et le frappaient. Il se sentait différent des autres. Il ne voulait plus retourner à l'école. Grand-mère dit à Charlie qu'elle parlerait à son professeur. Coco embrassa Charlie. Grand-mère prépara un bon repas pour Coco et Charlie. Ils s'endormirent le ventre plein en rêvant au lendemain.

MUSIQUE (BERCEUSE)

-FIN-
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MessagePosté le: 21-11-2006 08:16    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

LA SAVANE !


Tard le soir, une mère lionne promène ses petits dans la vaste savane du KENYA. La nuit tombe de bonne heure, le ciel est chargé de gros nuages noirs, ça sent la pluie. Depuis des mois aucune goutte d’eau n’est tombée sur cette région et les animaux en souffrent énormément. Le vent vient de se lever, le sable part de tous les côtés La mère lionne rebrousse chemin, les petits la suivent au pas, vite dans notre gîte les enfants, un gros orage se présente Elle est nerveuse, elle le sent venir de loin et tous les animaux, même ceux qui chassent abandonnent leur proie courent pour se réfugier dans leur tanière. Il n’y a que les charognards sur le haut des arbres qui guettent et se disputent un morceau de viande oublié par les fauves.


Voilà le premier éclair qui traverse la nuit, suivi d’un grondement énorme. L’orage se rapproche de plus en plus et les lionceaux se mettent à trembler de peur. C’est la première fois, qu’ils entendent, comme le ciel gronde et ouvre toutes ses vannes pour laisser tomber la pluie à grosses gouttes .Allez mes petits maintenant allez vous rafraîchir, vous verrez c’est un délice. Surtout ne vous aventurez pas, restez devant le rocher, que je puisse vous voir. Attention surtout aux charognards qui vous guettent nuit et jour, mes poupons.

Le plus petit des lionceaux, laisse ses frères pour grimper sur le rocher, le malheureux. A peine arrivé un groupe de ces volatiles le poursuivent et lui tombe dessus. Il a beau crier et pleurer, personne ne peut plus rien pour lui, même pas la maman. Celle-ci est occupée à faire rentrer ses petits dans la tanière et c’est seulement après qu’elle s’aperçoit que le plus petit de ses enfants n’est pas rentré. Elle se couche et pleure en attendant le retour de son dernier né. Malheureusement c’est trop tard, ce bébé ne viendra plus. Il faut se faire une raison, il y a encore toute une ribambelle à élever et qui ont besoin de leur maman.

La maman sèche ses larmes, La vie dans la savane est très dure et il faut écouter les anciens car là-bas c’est la loi du plus fort. Pour commencer, il faut savoir écouter !


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MessagePosté le: 21-11-2006 08:38    Sujet du message: histoire Répondre en citant

toire de phare



Aide GPS
C'est en France vous guide jusqu'au monuments présentés sur le site. Grâce à l'aide GPS téléchargez les fichiers de points d'intérêt (POI) pour les systèmes GPS les plus répendus. Accès à la page de download
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Histoire du Phare de Cordouan
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Phares 1360, le début de l'histoire de Cordouan

L'histoire du phare de Cordouan reste bien mystérieuse, et son nom même demeure encore une énigme. La tradition rapporte que ce nom lui fut donné parce que les négociants d'Espagne qui venaient charger des vins à bordeaux, en particulier ceux de la ville de Cordoue, demandèrent puis obtinrent qu'une tour soit construite à l'entrée de l'embouchure de la Gironde. Un phare primitif fut ainsi bâti vers 1360 sur les ordres du célèbre prince Noir (Edouard prince de Galles), chef de l'armée anglaise qui occupait alors la Guyenne.

De forme polygonale, il s'élevait à 16 mètres au-dessus du sol et était terminé par une plate-forme sur laquelle on allumait un feu de bois. Un ermite était chargé d'entretenir le feu, et il percevait pour sa peine un droit pour chaque navire qui entrait dans le fleuve.

Mais les assauts répétés de l'océan et du vent ne cessaient de détériorer l'édifice. Les gouverneurs successifs de la Guyenne s'inquiétèrent de cette situation, et sollicitèrent l'intervention du roi Henri II puis celle de Catherine de Médicis, en vain. Il fallut attendre le règne d'Henri III et l'année 1584 pour que la reconstruction fut décidée. La tour primitive allait ainsi peu à peu céder la place à un monument grandiose, sans égal à travers le monde.

Le XVIe siècle

Ancien horloger devenu architecte et ingénieur, Louis de Foix signe le 2 mars 1584 le contrat par lequel il s'engage à bâtir un nouveau fanal sur l'îlot de Cordouan. En 1585, après un an de travail avec 200 ouvriers, le premier talus est réalisé avec beaucoup de difficultés. Mais Louis de Foix se retrouve rapidement sans argent. Il se laisse cependant convaincre par les commissaires du roi Henri III de poursuivre les travaux, au besoin sur ses propres deniers, et même d'asseoir sur les fondations un édifice plus beau et plus grand que celui prévu à l'origine. Les commissaires royaux lui promettent une récompense particulière du roi.

En 1589, Henri III, le dernier roi Valois, meurt et Henri IV, le premier roi Bourbon, monte sur le trône. En 1591, le phare prend forme, et Louis de Foix lui donne peu à peu l'allure d'un temple dédié à la gloire des deux rois ainsi qu'au caractère catholique de la monarchie française. Mais les travaux sont une nouvelle fois interrompus par manque d'argent. Louis de Foix se rend alors à Paris où il plaide sa cause auprès d'Henri IV. Le 28 juin 1594, un nouveau contrat est signé. Il prévoit des extensions nouvelles ainsi qu'une plate-forme plus large.

XVIIe siècle

Le monument est pratiquement achevé lorsque Louis de Foix meurt en 1603 ou 1604. Son contremaître, François Beuscher, lui succède un temps et les travaux se terminent en 1611.

La construction aura durée plus de 25 ans, mais Louis de Foix laisse derrière lui le plus beau phare du monde.

En 1645, soit moins de 35 ans après l'achèvement du monument de Louis de Foix, le phare de Cordouan se trouve dans un état de péril tel que les gardiens refusent de s'aventurer jusqu'à la lanterne afin d'y allumer le feu. A l'époque, les réparations et l'entretien des phares étaient à la charge du roi, et le sort de Cordouan n'intéresse visiblement plus. Un sursaut se produit en 1663, et Colbert fait procéder à d'importants travaux de restauration. Mais au début du règne de Louis XV, l'état du phare laisse de nouveau beaucoup à désirer.

Le XVIIIe siècle à nos jours

En l'absence d'un feu régulier correctement entretenu, les naufrages se multiplient, et la colère des marins et des armateurs va grandissante. Devant les protestations, le phare de Cordouan est rattaché à la circonscription de Bordeaux en 1722.

En 1727, une nouvelle lanterne est installée et des travaux de consolidation sont entrepris. De 1739 à 1742, on construit une chaussée de débarquement, et en 1786, on décide de cercler de fer la partie haute de l'édifice qui menace de s'écrouler. La même année, un projet de surélévation du phare voit le jour. L'ingénieur Joseph Teulère, architecte de la ville de Bordeaux, est chargé des travaux. De 1786 à 1790, la tour s'élève ainsi de 60 pieds (20 mètres), et le phare prend sa forme actuelle.


Posté par Denis Rabusseau dans Aquitaine, Gironde, Phare de Cordouan, Phares à 23:28
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MessagePosté le: 22-11-2006 10:07    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

LE VALET !



La gouvernante a soixante dix ans bien sonné et au service depuis plus de cinquante ans chez la même famille. Monsieur et madame Chatterley d’origine anglaise, sont entièrement satisfait de ses services. La maison est vaste, mais bien entretenue par 3 bonnes , 1 majordome et madame Louise. Ce bâtiment n’a jamais eu d’électricité et a comme éclairage, soit la lampe de pétrole ou des bougies. Les tapisseries sont d’un rouge foncé ainsi que les tapis et les murs garnis de grands tableaux de maître et de miroirs. Un escalier conduit au premier et au second étage, les marches sont en partie rognées et la rampe branlante.

Cette maison a quelque chose de mystérieux Un air tout à fait particulier, flotte dans ces pièces, on dirait du souffre. Dans un laboratoire, Monsieur Chatterley, passe son temps à embaumer des coléoptères et des papillons. Tous ses bocaux sont rangés sur des étagères et personne n’a le droit d’y toucher, mal grès cette couche de poussière qui règne..

Il y a des années, une employée a été assassiné dans le vestibule de cette maison. Quelqu’un l’a poussé dans les escaliers , mais on a dû ranger le dossier, faute de preuve . Cette jeune personne en savait de trop sur cette famille .laquelle représente, le père, la mère, une fille qui est marié en Angleterre et un fils, dérangé mental, qui actuellement se trouve dans un hospice.

Monsieur, baratineur don juan et madame libertinage. même avec les garçons d’écuries


Notre ami VAREL, vient de reprendre ce dossier, il a l’intention de passer quelques jours en Normandie, ou cette maison est située. Le commissaire veut encore une dernière fois interroger toutes les personnes résidents dans ce domaine. Peut être que ces gens là se souviennent de quelque chose, qui leur a échappé à l’époque. sait on jamais.


Commissaire VAREL demande par l’intermédiaire de son brigadier, une entrevue pour la fin de la semaine chez ce couple en Normandie.

Arrivé sur place VAREL est courtoisement accueilli par le propriétaire. Il se fait très tard pour reprendre la route et on lui propose de dormir sur place. VAREL accepte. La chambre est correcte et propre, et tôt dans la matinée, il reprendra le chemin du retour. Hélas, rien de neuf n’a été signalé, mais en interrogeant le valet, VAREL avait une drôle d’appréhension. .Cet homme me ment se dit il, je veux en avoir le cœur net. Au milieu de la nuit, VAREL se lève et décide de contourner la maison . Celle-ci a plusieurs issues, une à l’arrière, à l’avant, à la cave et les portes de la terrasse. Tout d’un coup on entend du bruit, VAREL prend son revolver et descend les escaliers doucement. A mi chemin, VAREL est attrapé par les jambes, soulevé et aurait passer pardessus la balustrade si pas au même moment, une porte s’ouvre laissant passer Monsieur Chatterley. Ne bouges pas , ou je te fais sauter la cervelle .c’était toi le meurtrier de la jeune femme.


Le couple Chatterley était convaincu que le meurtrier était leur fils, le pauvre pour ça il l’on interné à l’époque, il y a quelques années déjà.. C’était le valet, qui avait fait des avances à la jeune fille, qui l’a repoussé.. De rage il l’a violemment poussé dans les escaliers. La fille est morte sur le coup, elle avait la colonne de brisée. La seule a le savoir était la gouvernante.,mais n’osait parler, le valet la menaçait de mort.


Une patrouille vint pour ramasser le meurtrier et le conduire en lieu sûr. VAREL retourna dans son foyer.

Cette fois ci le dossier est bien clos , l’assassin sous les verrous !


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MessagePosté le: 22-11-2006 10:32    Sujet du message: histoire Répondre en citant

La véritable histoire d’une montagne plus grande que l’Himalaya (Philippe Forêt)
Philippe Forêt, La véritable histoire d’une montagne plus grande que l’Himalaya, Bréal, 2004, 287 pages.




Avec La véritable histoire d’une montagne plus grande que l’Himalaya, les résultats scientifiques inattendus d’un voyage au Tibet (1906-1908) et la querelle du Transhimalaya de Philippe Forêt, la collection « D’autre part » des Editions Bréal continue d’entraîner les lecteurs sur des sentiers originaux de la géographie. Il y a plusieurs manières d’envisager cet ouvrage.

On peut ainsi le lire pour ce qu’il est, c’est-à-dire le récit d’une exploration, celle du géographe et explorateur suédois du début du XXe siècle Sven Hedin. C’est l’époque où il reste encore quelques blancs sur les cartes que des aventuriers cherchent à remplir. Dans ce but, Hedin part à la conquête du Tibet : il veut remonter aux sources de l’Indus et du Brahmapoutre. Cette épopée connaît à l’époque un retentissement exceptionnel, aussi bien dans le grand public que dans la petite communauté des géographes ; tous les éléments sont réunis pour assurer le retentissement de l’expédition : du suspense, des enjeux et des tensions diplomatiques, des rivalités de pouvoir et de personne...

On peut aussi le lire comme une controverse géographique majeure qui a déchiré la communauté scientifique de l’époque. En effet, Hedin à son retour affirme avoir parcouru et cartographié une chaîne de montagne plus haute que l’Himalaya et qu’il baptise aussitôt le Transhimalaya. Cette découverte ne va pas de soi, et les preuves présentées par l’explorateur sont ténues. La Royal Geography Society de Londres refuse ainsi d’accréditer cette découverte. Le Transhimalya est accepté par les journalistes, mais par la communauté scientifique, en dépit des nombreuses récompenses décernées à l’explorateur. Et pour cause : cette chaîne n’a jamais existée ! Erreur d’interprétation, faux délibéré, nul ne sait ce qui a poussé Sven Hedin sur cette voie-là. Au-delà, c’est la personnalité excentrique de Sven Hedin qui choque : on lui reproche ses frasques, ses agissements, ses déclarations répétées à la presse, et, plus tard, ses sympathies nationalistes pro-allemandes. La découverte du Transhimalaya est alors un prétexte pour assurer la renommée de son inventeur. L’ouvrage nous plonge au cœur de la constitution des savoirs géographiques, les modalités de leur découverte et les règles de leur diffusion. Derrière le conflit qui oppose Sven Hedin à la RGS se lit une opposition plus large du géographe solitaire face aux institutions de validation scientifique.

C’est pourquoi on peut enfin lire ce livre comme l’analyse d’un événement fondateur de la géographie. Selon Philippe Forêt, la querelle du Transhimalaya marque l’entrée de la discipline dans l’ère de la modernité. Suite à cette querelle, l’image du géographe et de sa science change : la discipline se fait plus rationnelle. Ses cercles sont mieux définis : les sociétés savantes sont préférées à la compagnie des journalistes. Enfin, les pratiques elles-mêmes de la discipline évoluent : pour imposer une découverte scientifique on ne cherche plus l’approbation du grand public mais la validation de ses travaux par ses pairs. Dans le même temps, le discours géographique évolue : l’heure n’est plus aux récits de découverte mais bel et bien à la description et aux analyses.
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MessagePosté le: 23-11-2006 07:32    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

LE VILLAGE ABANDONNE !


Autrefois dans le Jura, la haut dans les montagnes, de jolis petits villages, étaient habités par des fermiers. A défaut de voiture, on y accédait avec des chars à banc tirés par des ânes ou des chevaux Il faisait bon vivre tout près du ciel, en respirant ce bon air de montagne entre les blés, le bleuet, la marguerite et le coquelicot.

Sur la placette, la vieille fontaine desséchée, n’est plus fleurie depuis que les derniers habitants ont déserté le village. Les derniers pans de murs squelettiques dont les toits furent emportés par des bourrasques, ressemblent à une légende passée.


Les jeunes gens on quitté la maison manque de travail. Les personnes âgées sont restées pour mourir dans ces lieux, qui leur rappellent tant de souvenirs. Le dernier fermier est décédé, il y a trois mois et sa compagne de vingt ans plus jeune que lui, vie à ST CLAUDE dans une maison de retraite.



A une vingtaine de kilomètres en contrebas, un petit bourg. Il y a quelques mois, un samedi soir, dans l’unique café de la région, une dispute a éclaté entre deux ressortissants roumains L’un d’eux tira son couteau et l’enfonça dans le ventre de son rival. Les autorités ont été averties et à leur arrivée, il ne restait plus que le blessé sur place Tout le monde avait fuit devant la police.


VAREL a eu écho. Le petit village abandonné est là où se trouve sa maison natale, si elle existe toujours. Il veut bien aller dans cet endroit, qui lui rappelle pleins de souvenir pour mener une enquête .Il y a même un autre cas entre tous ces dossiers à liquider qui s’est passé il y a des années, lorsque le village était encore viable. Un jeune pâtre, travaillait chez un fermier, sans être déclaré. Il avait le gîte, la nourriture, le blanchissage en contrepartie de son travail. Du jour au lendemain, ce jeune garçon à disparu, c’est ce qu’a déclaré le fermier.

En vérité le pâtre a voulu traire une vache, d’un coup de sabot, elle l’a étalé parterre et il en est mort. Le paysan, la nuit, chargea le corps du malheureux sur une brouette et l’emmena au vieux cimetière du village abandonné. Personne ne viendra le chercher ici et entre ces vieilles pierres, ces restes de tombeaux, le pâtre fut enterré.


Par une belle journée ensoleillée, notre commissaire circule entre les tombes délaissées .Il lit tous les noms des personnes qui reposent ici et il se souvient bien notre VAREL de telle et telle personne qu’il connaissait autrefois. Voici une tombe, la pierre est presque intacte et pourtant il y a quelque chose qui intrigue le policier. Voila, soit la pierre n’est pas d’origine ou elle a été déplacé par la suite. La preuve, il manque un morceau de pierre sur le coin.

VAREL fait venir le croque-mort, demande la permission d’ouvrir la tombe et voila. On retrouve deux squelettes dans le cercueil. Celui du premier décédé et celui du pâtre.

Le ressortissant roumain fut également déniché par notre ami. Va-t-il écoper de toutes ces années de prison en France, ou va-t-on le renvoyer dans son pays. C’est au tribunal de prendre une décision.


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MessagePosté le: 23-11-2006 07:52    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

Les aventures de
"Pomme de pin"


sommaire activite




Nous avons lu en classe quelques épisodes de "Poil de Carotte" écrit par Jules Renard.
A partir de cette lecture, nous avons eu l'idée d'écrire nous aussi les aventures d'un petit personnage.



Les aventures de "Pomme de pin"

C'est l'histoire d'un petit garçon de 8 ans qu'on appelle " Pomme de pin " à cause de ses cheveux bruns en pétard.
Il habite avec ses parents, son grand frère Hugo et sa sœur Sarah, dans un vieux chalet, à Chubrika, un petit village de montagne.
Le meilleur ami de " Pomme de pin ", c'est son chien Sauveur, un husky noir et blanc. Comme le petit garçon est tête en l'air, Sauveur le suit partout.

" Pomme de pin " se perd dans la forêt.

Un jour de printemps, la mère de " Pomme de pin " lui demande d'aller chercher du muguet dans la forêt.
En cueillant les fleurs, le petit garçon ne fait plus attention à son chemin. Il rencontre des loups affamés. Mais son chien Sauveur arrive. Il montre ses crocs et grogne très fort. Les loups fuient à toute vitesse.
Quand " Pomme de pin " rentre au chalet, Sarah et Hugo se moquent de lui parce que son pantalon est déchiré.
Sa mère lui dit qu'il devra aller chercher tous les soirs, du muguet dans la forêt.

" Pomme de Pin " tombe dans la mare.

Un jour de décembre, " Pomme de Pin " sort de l'école et, comme il a très froid, il emprunte un chemin car il croit que c'est un raccourci.
Il court et glisse dans la mare gelée. Son chien saute dans l'eau pour le sauver. Il l'attrape par la capuche et le tire hors de l'eau.
De retour au chalet, son grand frère Hugo et sa sœur Sarah rient et se moquent de lui. Puis ses parents le punissent. Il doit copier 100 fois "je ne dois pas sauter dans l'eau en hiver".

Pomme de pin et l'avalanche.

Un jour ou il neigeait très fort, la maman de " Pomme de pin " lui demande de chercher du bois et des châtaignes.
Il va jusqu'au fin fond de la forêt.
Une fois son chariot rempli, il se retourne pour rentrer au chalet. Mais les traces de Pomme de pin sont effaçées à cause de la neige. La nuit arrive, il avance de deux pas et tombe dans un trou.
Il crie " à l'aide ! A l'aide ! "
Ses hurlements déclenchent une avalanche. La neige recouvre le trou.
Le chien Sauveur attrape une longue corde et s'en va dans la forêt pour trouver "Pomme de pin". Il flaire le petit garçon sous la neige. Sauveur renifle son meilleur ami. Il gratte la neige où est enfoui son ami, et lance la corde. Une fois sorti du trou, " Pomme de pin " remercie son chien.
Il retourne au chalet. Il se fait disputer par ses parents parce qu'il est en retard.

"Pomme de pin" se perd dans la forêt.

Un jour de printemps, la mère de Pomme de pin lui demande d 'aller chercher du bois. Dans la forêt, le petit garçon aperçoit un oiseau dans un arbre. Il décide de monter sur l'arbre pour l'attraper. Mais le chêne est creux et il tombe dans le trou ; et ce trou sert de wc aux animaux sauvages.
Il appelle son chien Sauveur.
L'animal creuse un tunnel sous les racines de l'arbre. Pomme de pin sort du piège.
Rentré chez lui, les ainés se moquent de lui parce qu'il sent mauvais.

"Pomme de pin" perd un mouton
Un jour la maman de Pomme de pin lui demande d 'aller surveiller le troupeau dans les alpages.
Arrivé en haut de la montagne, il voit un mouton s'échapper du troupeau. Le mouton avait soif alors il est allé boire à la source. Pomme de pin trébuche sur un caillou juste au moment d'attraper le mouton. Il tombe dans la source.
Le chien Sauveur arrive pour retrouver le mouton et Pomme de pin.
Lorsqu'il rentre à la maison, sa sœur et son frère se moquent de lui parce qu'il est plein de boue.
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MessagePosté le: 23-11-2006 07:52    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

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MessagePosté le: 23-11-2006 08:10    Sujet du message: carnet Répondre en citant


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MessagePosté le: 23-11-2006 10:14    Sujet du message: Répondre en citant

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MessagePosté le: 24-11-2006 07:27    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

LE CLOITRE !



En pleine campagne, au milieu d’un champ de lavande du côté de NIMES ,un cloître pour des prêtres retraités. Une vingtaine d’ ecclésiastiques , plus ou moins jeunes, sont venus ici passer leur dernier jour et se reposer dans ce havre de silence et de paix.

Je vais vous les présenter si vous permettez. Pour commencer le père LAURENT le doyen, responsable de la communauté. Le père ABEL, herboriste , passe son temps à la tisanerie, et dans son jardin à plantes officinales. Il prépare des lotions pour sirop contre la toux et deux fois par semaines il va les vendrent au marché du village. Le père BENOIT responsable de la cuisine et de la réserve. Le père GABRIEL, apiculteur, a une dizaine de ruches à surveiller, qui lui fournissent un délicieux miel . Le père JEAN , s’occupe spécialement du jardin des fleurs, pour orner l’autel de la chapelle. Les messes sont dites à tour de rôle. Le père ADRIEN et le père LUC sont responsable pour l’entretien de la maison.. Les autres prêtres peuvent être employés dans n’importe quel domaine, il y a beaucoup de travail dans ce lieu sacré. Excusez moi, j’ai oublié le père SIMON, lui il est tailleur. Il fait des raccommodages aux soutanes usées . La communauté est pauvre, des soutanes neuves ne sont envisagées que pour l’année prochaine. Le père RENE est viticulteur. Il s’occupe de ses ceps de vignes. en espérant tous les ans avoir une bonne récolte, pour pouvoir livrer toutes commandes.


En été, le cloître est ouvert au public. Dégustation du miel, tisane, visite , repos sur les bancs de ce jardin merveilleux . La rentrée d’argent est destinée au chauffage de l’église .


Il est 9 heures du matin, les premiers cars avec les touristes viennent se garer devant le lieux saint .Toutes les nationalités, se sont données rendez vous ce matin. Des belges, des suisses, même des japonais, font partis de cette foule qui se bouscule pour entrer. Le miel, le sirop,le savon, eau de Cologne, le vin, tous les produits fabriqués par les prêtres sont pris d’assauts. Les prêtres sont heureux, voila une bonne recette pour aujourd’hui.

Le cloître fait même restaurant. Une cuisine simple mais très bonne et copieuse. régale certains palais. Un petit kiosque présente des cartes postales, lesquelles sont écrites sur le champs et expédiées dans le monde entier., ainsi que des cartes et des vues générales du cloître.

Les chauffeurs des bus rassemblent leurs voyageurs. Le départ est éminent . Les prochains cars sont déjà visibles, Un petit coup de klaxon , on se doublent, fait signe de la main et s’est parti, vers une autre visite, dans le midi.

Pourquoi pas, pousser un peu plus loin et voir la mer !


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MessagePosté le: 24-11-2006 07:48    Sujet du message: histoire Répondre en citant

AUTEUR : Philippe Huneman, agr駩 de philosophie, enseignant en cin魡













La ville est sous la menace des attaques d'oiseaux, comme Tippi Hedren commence ࠳'en rendre compte. Elle va chercher l'institutrice, dans son 飯le, pour la pr鶥nir et lui demander de faire sortir les enfants. Arriv饠 avant l'heure de la sortie des cours, elle jette un coup d'?il dans la salle de classe, puis voyant les 鬨ves occup鳠ࠣhanter, elle va attendre dehors qu'ils aient termin鬠et fume une cigarette en attendant (ce qui aide ࠣomprendre, du point de vue du sc鮡rio, qu'elle veuille aller en dehors de l'飯le).

Tel est donc l'argument d'une sc讥 exemplaire de la pratique hitchcockienne, et que le mae a lui-mꭥ bri趥ment comment饠dans le Hitchcok-Truffaut. Le narratif ici est minimal : une femme seule, un pr页, puis des oiseaux. Le son est inutile. En ce sens, cette s鱵ence est plus simple que l'autre s鱵ence-paradigme dans l'?uvre d'Hitchcock, ࠳avoir la sc讥 de l'avion dans La mort aux trousses? (car lଠle suspense est mis en jeu par une phrase, dite par un passant montant dans l'autobus : "ils pulv鲩sent les cultures l࠯?n'y a rien").



La s鱵ence s'ouvre par la cam鲡 qui suit la femme sortant de l'飯le, descendant les marches, passant dans la cour, s'asseyant sur la barri貥? Derri貥 elle, au second plan sont montr鳠tous les 鬩ments importants : l'飯le, et ce jeu d'enfants appel頢cage ࠰oule" sur les barreaux duquel les enfants doivent grimper jusqu'au sommet. Dans ce dispositif ࠰rofondeur de champ, l'enjeu dramatique de la sc讥 est inscrit d'embl饮 A la fin, Tippi Hedren s'assoit sur une barri貥 et on voit dans son dos ࠳a droite la cage ࠰oule vide. La sc讥 se d鲯ule alors en plans altern鳬 sur le visage de Tippi Hedren fumant sa cigarette en attendant la sortie des 鬨ves, et sur la cage ࠰oule. D'abord un oiseau s'y est perch鮠 La deuxi譥 fois qu'on la voit il y a trois ou quatre oiseaux. La troisi譥 fois il y en a peut-괲e une dizaine. Puis un oiseau passe, de la gauche de Tippi Hedren ࠳a droite; elle le suit des yeux et nous voyons alors son visage tourner lentement vers la gauche derri貥 elle; enfin l'oiseau rejoint ses cong鮨res sur la "cage ࠰oule", au moment mꭥ o?pi Hedren d飯uvre avec surprise que celle-ci est quasiment noire d'oiseaux mena确ts? Cet oiseau, bien s?鮯ue la sc讥; il guide ࠬa fois le regard de la cam鲡 et celui de Tippi Hedren vers la r鶩lation finale : les oiseaux sont l஼/p>



Mais pr飩s魥nt, il fait se rejoindre deux instances dont l'飡rt constituait la mati貥 mꭥ de la sc讥 : ce que le spectateur sait et voit (les oiseaux arrivent), ce que le personnage voit (tout sauf les oiseaux). Le suspense hitchcockien, c'est cet 飡rt entre ce que je sais, et ce que je vois que le h鲯s voit. C'est pour cela qu'il a une dimension temporelle essentielle : j'attends que le personnage finisse par comprendre? Ici, on notera que la structure est duelle, puisque Tippi Hedren est pr飩s魥nt un personnage qui attend - mais elle attend autre chose que nous : elle attend la sortie des 鬨ves, nous attendons qu'elle voie ce que nous savons et avons vu. Lorsque notre attente sera r顬is饬 la sienne sera pulv鲩s饠: il lui faudra aller elle-mꭥ chercher les enfants dans l'飯le.



Travaill饠par cet 飡rt dans le visible, l'image a une structure complexe : non seulement s'opposent les premiers et arri貥-plan du plan initial, qui disposait les 鬩ments; mais aussi, elle se partage (lorsque le visage de Tippi Hedren est ࠬ'飲an) entre gauche et droite, gauche de Tippi Hedren o?trouve la cage ࠰oule mena确te qu'elle ne voit pas, droite de Tippi Hedren o?trouve l'飯le dont elle attend l'institutrice et les 鬨ves, en lui jetant de fr鱵ents coups d'o?il. Autrement dit, le clivage voir/ ne pas voir scinde aussi l'飲an en gauche/droite. Et lorsque notre regard et celui de Tippi Hedren se rejoignent sur la cage ࠰oule, toutes ces dimensions se confondent : non seulement le premier plan a rejoint l'arri貥-plan (Tippi Hedren a vu les oiseaux sur leur perchoir improvis马 mais les deux parties de l'飲an, gauche et droite, se confrontent : les oiseaux vont d飯ller de leur perchoir pour attaquer l'飯le. La sc讥 suivante sera donc issue d'une conflagration entre toutes les dimensions de l'image.





On pourrait imaginer une fa篮 faible de d飲ire la mꭥ sc讥 : Tippi Hedren assise, les oiseaux fondent sur elle et attaquent l'飯le, elle se sauve et va avertir les enfants. Si Hitchcock ne proc褥 pas ainsi, c'est qu'il s'agit moins pour lui de raconter une histoire effrayante, que de creuser la situation cin魡tographique fondamentale clivant le champ du visible en "ce que le h鲯s voit"/ "ce que le spectateur voit" - et donc la dimension temporelle d'attente qui en d飯ule. (Il y a ainsi deux types de films exclus par cet art : le film d'鰯uvante, o? monstres attaquent par surprise; le film qu'il appelle "whodunit", o?s'agit ࠬa mani貥 d'Agatha Christie de savoir qui a tu頭 de sorte que personnage et spectateur en sont au mꭥ point de leur savoir.) Le suspense hitchcockien consiste moins en une technique de manipulation du spectateur, qu'en une mani貥 d'assumer ceci, que le cin魡 est essentiellement un art du temps.



Dans cette mesure, ce n'est pas tant l'histoire qui se d鲯ule et qui imposerait une succession des images - que l'agencement des images qui commande l'histoire. Du fait que la s鱵ence de l'飯le s'est achev饠 lorsque s'est combl頬'飡rt dans le visible entre l'arri貥-plan et le premier plan du travelling initial, entre le "voir" du spectateur et le "voir" de l'h鲯ﮥ, une nouvelle s鱵ence peut commencer.



On comprend mieux alors la fonction de la cigarette de Tippi Hedren : action totalement anodine, qui nous d鴯urne de regarder en arri貥, mais aussi qui nous donne quelque chose ࠲egarder, et qui en quelque sorte nous emp꣨e de voir l'art proprement hitchcockien, la mise en sc讥 et l'agencement des plans. En ce sens, la cigarette de Tippi Hedren est parente de cette conversation entre Anthony Perkins et sa "m貥", dans Psychose, conversation tenue dans une chambre hors champ et que nous sommes pouss鳠 ࠳uivre pour son int鲪t dans l'intrigue, mais qui en r顬it頶ise ࠍ nous distraire de l'essentiel, ࠳avoir le mouvement de rotation de la cam鲡 qui la met en position de contre-plong饠totale afin de capter de haut la sortie de chambre des deux personnages, de telle sorte que le visage de la "m貥" nous reste invisible. Ici encore l'imp鲡tif de la mise en sc讥 (que constitue ici la n飥ssit頰our cette mise en sc讥 de se "faire oublier") commande l'intrigue.



S鱵ence paradigmatique du cin魡 hitchcockien, avions-nous dit : d'abord parce qu'elle est un bon mod謥 du fonctionnement du suspense, ensuite et surtout parce qu'elle montre bien comment la mise en sc讥 d'Hitchcock consiste ࠡrticuler images et rapports d'images sur les attentes et d鳩rs du spectateur, et ࠦaire toujours travailler les uns par les autres




































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musika



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MessagePosté le: 24-11-2006 07:54    Sujet du message: Répondre en citant

bonjour linette,
comment vas tu, ta santé, est elle bonne,
il y a longtemps que tu ne m as pas donné de nouvelles
.bisou à toi

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MessagePosté le: 24-11-2006 07:58    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

merci Musika pour ton message. Oui je vais relativement bien. Faut pas demander plus je me contente. gros bisou et bonne journee a toi LINE3
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musika



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MessagePosté le: 24-11-2006 07:59    Sujet du message: Répondre en citant

merci ma linette, tes jambes, et ton eczema........pas trop de souffrance
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MessagePosté le: 25-11-2006 08:41    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

UN DROLE DE VIOLON !



Comme tous les matins, notre ami VAREL prend son petit noir dans le café tabac du coin. Le temps est gris et maussade, aujourd’hui, nous sommes en automne. Le vent du nord fait voler les feuilles mortes et les passants sont tous très pressés , il pleut
Le bar est encore calme a cet heure-ci , la plus part des clients prennent leur dégustation. . sur le pouce au comptoir. Le commissaire est attablé et lit tranquillement sa gazette. Pas grand-chose ce matin, que du sport. c’est bien ! surtout le foot . VAREL suit tous ces match, c’est son dada, il est fanatique

Le commissaire lève la tête en entendant une discussion entre le patron et un client. Ce dernier a consommé et au moment de payer, ne trouve plus son portefeuille Il prétend l’avoir perdu ou on lui aurait volé Il n’est pas en mesure de régler sa note, mais il a l’intention de laisser son violon jusqu’au lendemain. Le patron refuse, il veut son argent, oh combien de fois déjà a-t-il été berné .Non et non ça ne marche plus. Débrouillez vous, faites ce que vous voulez, mais réglez, sinon j’appelle la police. Au fait c’est vrai, pas besoin d’appeler, la police est déjà sur place en désignant du doigt VAREL.


Le client s’approche de la table du commissaire et lui explique le cas. VAREL , le bon bougre règle cette adition pas très élevée, deux ou trois cafés. Le client pose son violon sur une chaise prés de la table de VAREL, tout en remerciant le commissaire de le dépanner jusqu’au lendemain matin. Il tire son chapeau, prend la porte et s’en va, mal grés la pluie, qui tombe à verse

Notre ami se lève, descend les escaliers pour aller aux toilettes quand subitement une grosse explosion se fait entendre. Le violon a sauté et avec la déflagration l’archer a été propulsé jusqu'àu plafonnier, ou il resta accroché. VAREL l’a échappé belle, la salle est devastée, les miroirs et les verres brisés, ainsi que quelques tables et chaises broyés.

C’est un attentat, pas contre le café, mais contre notre ami VAREL. Une chance inouie d’être allé aux toilettes quelques minutes avant. Cet étui de violon contenait à la place d’un instrument, une bombe réglée. Personne ne connaissait le client, il était venu aujourd’hui pour la première fois. Le chercher, mais ou, autant chercher une aiguille dans une meule de foin.

Patron apportez moi un Calvas ou un Cognac, pour me calmer. Je vais me reposer et je reviendrais plus tard pour faire le constat

Oui c’est vrai ,quel bol j’ai eu , ça n’a pas été pour cette fois ci. se dit VAREL .

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MessagePosté le: 25-11-2006 08:58    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

L'histoire de la culture du rosier en France

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La culture du rosier débuta véritablement en France avec l'introduction de R. gallica 'Officinalis', ramené au 13ème siècle par Thibault IV de la Terre Sainte, pays de la rose de Damas, elle-même hybride naturel soupçonné de R. gallica et R. moschata.

La forme remontante de la rose de Damas, R. x damascena 'Bifera' syn. 'Quatre Saisons' est à l'origine des premiers rosiers remontants de l'Occident.

C'est à partir de 'Officinalis' ou 'Rose des Apothicaires', de ses mutations et de ses semis spontanés que débutera la culture du rosier, d'abord pour ses vertus médicinales et ensuite pour sa beauté ornementale.

D'autres 'souches' de roses pour la multiplication et obtention de nouvelles variétés furent importées au 18ème siècle de Hollande et de Belgique, dont le commerce extérieur avec l'Orient permettra d'importer de nouvelles roses botaniques d'outre-mer.

En Hollande est née au 16ème siècle, à partir de plusieurs croisements de rosiers botaniques, la R. x centifolia ou 'Rose Chou' aux cent pétales, introduit à Grasse pour la fabrication de l'essence de rose. Etant presque stérile, elle a pourtant donné naissance à de multiples mutations comme le rosier mousseux, couvert de mousse verte au niveau de ses sépales et de la tige ou le rosier à feuilles de laitue, R. x centifolia 'Bullata'.

L'obtention des roses en France et leur diffusion dans le monde entier connut le succès grâce à la passion de l'Impératrice Joséphine, qui, dans son jardin de la Malmaison, posséda une très importante collection d'espèces botaniques et variétés horticoles de rosiers.

La "belle indienne" (née aux Antilles) était née Marie-Josèphe-Rose Tascher de la Pagerie. Son troisième prénom était-il prédestiné à lui faire aimer les roses ?

Elle réunit alors jusqu'à deux cent cinquante variétés, la quasi-totalité des roses connues à l'époque. Grace à elle, la France sera le pays de référence pour les roses tout au long du XIX siècle. Elle vécut sa passion en s'entourant d'éminents spécialistes dont le peintre Pierre-Joseph Redouté, qui immortalisa certains rosiers de sa collection.

Malgré l'état de guerre contre les Anglais, elle réussit à se procurer en Angleterre le rosier remontant R x paestana, plus connu sous le nom de 'Duchesse de Portland' syn. R. x portlandica, en l'honneur de la Seconde Duchesse de Portland, Lady Margaret Cavendish (1715-1785), qui le cultiva dans sa collection.

C'est à la fin du 18ème et à l'aube du 19ème siècle, que les premiers rosiéristes et obtenteurs de roses s'installèrent autour des collections de la bourgeoisie et des jardins du roi.

André Dupont (1756-1817), directeur du jardin du Luxembourg puis jardinier à la Malmaison, fut l'un des premiers jardiniers en France à produire des roses par semis. Sa collection comprenait environ 218 variétés.

Descemet débuta sa pépinière vers 1800 et fut le premier producteur de roses à grande échelle. Il abandonna ses rosiers quelques années plus tard pour émigrer en Russie où il occupa le poste de directeur botanique impérial d'Odessa.

Jean-Pierre Vibert deviendra le rosiériste le plus respecté pour son travail de croisements et de l'organisation de sa pépinière, achetée à Descemet en 1815.

Vibert s'occupa en particulier de la culture de variétés de Galliques, Mousseux, Portland et Noisette. Il effectua les premiers croisements avec les roses galliques et les rosiers de Chine. Toute nouvelle introduction de rosiers trouvés à l'étranger passa par sa pépinière. Ses pépinières ayant été ravagé par des larves de hannetons, il déménagea à Angers et céda en 1850 sa pépinière à son premier jardinier et collaborateur, Robert.

Jacques, directeur horticole du roi Louis-Philippe, sema en 1819 les premières graines envoyées par Bréon de l'île Bourbon, issus des hybridations spontanées de R. x damascena 'Bifera' et des rosiers de Chine introduits dans l'île, appelées de suite Rosiers de Bourbon.

Louis Noisette (1772-1842) lança en Europe le groupe des rosiers Noisette. Obtenus à partir de graines de 'Champney's Pink Cluster 'envoyés par son frère Philippe en Caroline du Sud, ceux-ci sont issus d'un croisement de R. moschata et 'Old Blush' effectué par son voisin américain, John Champney.

A cette époque, l'obtention de nouvelles variétés de rosiers s'effectuait en semant des graines récoltées au gré du hasard.

C'est l'anglais Bennet, éleveur du bétail converti en rosiériste, qui appliqua au 19ème siècle les lois de l'hérédité de son métier pour l'obtention des roses. Il inventa la fécondation artificielle en utilisant des géniteurs sélectionnés.

Des rosiéristes comme Hardy et Laffay, dont certaines obtentions sont encore sur le marché, se consacrèrent à partir de 1837 de plus en plus à l'obtention de rosiers remontants, appelés Hybrides Remontants, l'obtention des roses galliques non remontants étant en déclin.

En 1867, Jean-Baptiste Guillot créa avec 'La France' le premier groupe de roses modernes, appelés Hybrides de Thé, à partir des Roses Thé et des Hybrides Remontants.

La demande de rosiers français étant de plus en plus importante, la technique du greffage en écusson sur R. multiflora introduit en 1862, remplace de bouturage des Anciens.

Guillot fils obtiendra en 1875 'Pâquerette', la première variété des Polyanthas.

C'est à Lyon aussi que naîtra en 1900 dans les pépinières de Pernet-Ducher la première variété de couleur jaune orangée, 'Soleil d'Or', à partir de R. foetida, espèce botanique de couleur jaune. Il est à l'origine des Hybrides de Thé jaunes du 20ème siècle.

Le rosiériste orléanais René Barbier ramena au début du 20ème siècle d'Amérique les souches du rosier trouvé au Japon par le botaniste allemand Wichura, R. wichuraiana var. luciae. Les variétés de rosiers Lianes obtenus comme 'Albertine' ou 'Albéric Barbier' sont encore mondialement admirées par les amateurs de roses.

Gilbert Nabonnand installa sa pépinière sous le soleil de la Côte d'Azur et demeura l'obtenteur principal des Roses Thé en France. Avec un sens commercial très développé, il vendra ses rosiers auprès des riches Anglais installés le long de la Méditerranée.
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mamiero



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MessagePosté le: 25-11-2006 09:36    Sujet du message: Répondre en citant

]hé bien notre ami Varel a eu chaud gros bisous Line bon samedi .
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