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Posté le: 25-11-2006 10:37 Sujet du message: CARNET DE LINE
mAMIERO MERCI MA GRANDE pour le message. Je voulais simplement te dire pour ton bébé. ais patience . Moi à l'epoque lorsque j'ai eu ma premiere fille, le gynéco m'avait dit le 28 aout date de necessance Finalement elle est née le 27 septembre. J'avais honte de sortir dans la rue, les gens pensaieent que j'allais accoucher d'un éléphant. gros bisou bonne journée LINE _________________ !
Posté le: 26-11-2006 07:55 Sujet du message: carnet de line
MEURTRE DANS LE PRESBYTERE !
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Dans le presbytère de l’église Ste Jeanne d’Arc, une dame patronnesse fût lâchement assassinée. L’évêché fit appel à VAREL et à son chien REX. qui sont de vrais artistes et sollicités de tous cotés. La retraite du commissaire approche et avant son départ il va falloir trouver un remplaçant. C’est à VAREL de le former et lui apprendre toutes les ficelles du métier pour prendre la relève. Il est grandement temps, encore 8 mois. Le temps passe si vite.
Quelle brute a tué la gentille dame du nom de CLEMENTINE. C’est elle qui fleurissait l’église plusieurs jours par semaines. Elle cultivait des fleurs dans son jardin uniquement pour le décor de l’autel. Des roses des lys des pivoines. une immense quantité de fleurs de toutes sortes et couleurs, qu’elle rapportait dans son panier en osier.
Nous sommes au mois de mai, le mois de Marie. Les roses de mai sont à l’honneur pour célébrer la messe tous les soirs pendant le mois de mai.
Cette église est la première sur le sol français en venant d’Allemagne Le curé a jugé utile de laisser la porte ouverte durant la journée. Plusieurs personnes d’ici ou d’ailleurs viennent se recueillir sans oublier de mettre une petite pièce dans le tronc pour le chauffage en hiver ou le nouveau toit de la chapelle.
Pendant plusieurs jours de suite un homme vient chercher réconfort agenouillé dans les premiers rangs, devant l’autel. Il a les deux mains jointes devant les yeux. Il médite non il observe. Cet homme a du en étant gosse être serveur de messe. Il connaît tous les coins de l’église ainsi que ses habitudes. Il sait que derrière l’autel se trouve une porte ayant accès au presbytère. Il sait également que la nuit la porte du saint lieu est fermée de l’intérieur et la clé reste sur la porte. Cet homme est un pilleur de tronc, qui s’est laissé enfermé en se cachant dans le confessionnal.
Dans le presbytère se trouvent la dame patronnesse et le bedeau devant une mer de fleurs. Voulez vous que je vous aide à mettre les fleurs en place ? demande le bedeau Non j’ai encore le chemin de croix à fleurir et le reste de fleurs, on les mettra dans un seau pour l’autel demain. Je peux vous laisser seule, mais bien sur ; Que voulez vous qu’il m’arrive ? Alors bonne nuit et à demain. . Le bedeau laisse CLEMENTINE avec ses brassées de fleurs et rentre chez lui.
Le lendemain matin, c’est au curé d’ouvrir la porte du temple. Ah tiens donc on aura encore oublié d’éteindre la lumière hier au soir se dit il en rentrant dans le presbytère ? Oh seigneur Jésus, Parterre toutes les rose éparpillées et au beau milieu CLEMENTINE avec une large entaille sur le front La pauvre elle est décédée depuis des heures. C’est avec un tisonnier qu’elle a été frappée par le voleur le pilleur de tronc, de peur qu’elle puisse le reconnaître et donner son signalement à la police.
Lorsque VAREL vient voir le curé pour le constat, il est formel. Un cas analogue s’est passé il y a quelques années dans une église du centre de la ville. Nous n’avons jamais pu mettre la main sur le coupable. Avant de partir en retraite je ferais le nécessaire, nuit et jour afin de trouver cet être ignoble et je ne lâcherais pas prise avant qu’il soit mis hors de nuire.
Posté le: 26-11-2006 08:19 Sujet du message: carnet de line
COLOMBE GOOGLE
Notre histoire
Les habitants de Cons-Sainte-Colombe, les Saints-Colombiens
et les Saintes-Colombiennes - Coinards et Coinardes en patois
Savoyard - se sont souvent interrogés sur l´origine du nom de
leur village, ce qui a d´ailleurs fait l´objet de nombreuses
recherches et de plusieurs articles parus dans le Bulletin Municipal.
Cons, selon l´interprétation la plus couramment admise,
viendrait du bas latin cumba et se serait transformé au fil des
siècles en combs, comps, coms et cons en langage populaire
, et en combe en langue francaise, la combe étant en haut des
pentes une légère depression qui ne continue pas vers le bas.
Cela ressemble assez au site du village.
Pour ce qui est de " Sainte-Colombe " voici pour la toute petite histoire, deux légendes retrouvées :
" …J’ai toujours entendu dire que si le village s’appelait Sainte-Colombe, c’est parce que pendant les années tristes de la peste noire, alors que le Nant avait débordé, une colombe blanche est venue se poser sur le clocher en signe de la fin des malheurs. "
" … Il y a bien longtemps, il y avait de très gros éboulements dans la " DENT " juste au-dessus du village et qui menaçaient de recouvrir ces terres sur lesquelles les habitants vivaient si pauvrement. Le plus terrifiant, c’était un glissement de terrain, énorme, qui, petit à petit, chaque année, au printemps, à la fonte des neiges, avançait dangereusement suspendu au-dessus des têtes. Tout le monde avait peur. Cependant une colombe vint un jour faire son nid sur le clocher, juste au-dessous. C’est à ce moment que les habitants comprirent que le danger était définitivement éloigné. D’ailleurs le glissement s’arrêta. Cette masse menaçante n’est autre, aujourd’hui, que la " rocher de la Torche ". En souvenir de cet événement, on aurait appelé le village situé au pied de la Dent de Cons : Sainte Colombe ".
Mais la réalité est probablement toute autre. Le village tire
vraisemblablement son nom de la sainte Colombe, jeune
chrétienne venue d’Espagne et qui, sous l’empereur Aurélien,
subit le martyre aux portes de Sens, le 31 décembre 274, pour
affirmer sa foi et conserver sa virginité. Toute la Chrétienté
occidentale célébra sainte Colombe et son culte se
répandit rapidement en Gaule et en Espagne (Cathédrale
de Barcelone), mais également en Italie (Cathédrale de Rimini),
en Allemagne (Cologne) et en Angleterre.
En France, au Moyen Age, 60 autels lui étaient consacrés
et cinq grandes abbayes lui étaient dédiées. Aujourd’hui,
plus de 50 localités françaises portent son nom ainsi
que d’innombrables lieux-dits et fontaines _________________ !
Posté le: 27-11-2006 07:50 Sujet du message: dccarnet de line
LA NAISSANCE DU PETIT CHEVAL !
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Ce matin Petit Louis s’amuse avec son chien dans la cour de la ferme. De temps en temps il va jeter un coup d’œil dans l’écurie. Sa jument, la bonne bête, laquelle l’accompagne d’habitude à travers les champs, attend un heureux évènement. Elle est allongée sur la paille en douleurs. Les travaux viennent de commencer. Mon bijou n’ai pas peur, tout va bien se passer, je reste avec toi le temps qu’il faudra. Le cheval cligne des yeux, deux grosses larmes coulent sur ses joues. Il hennit, voila sa première contraction.
Papa, papa vite crie Petit Louis, le petit cheval est entrain de naître ! Dis moi que bijou ne va pas mourir.
Le père met ses gros sabots, tandis que la maman téléphone au vétérinaire du bourg, qui a promis d’arriver sur le champ
Petit Louis n’a pas le droit d’assister, vas mon fils aider ta maman à peler des pommes de terre. Je t’appellerai lorsque tout sera terminé pour voir le petit. Mais papa j’avais promis a bijou de rester avec lui ! Non, nous n’avons pas besoin de toi ici, va.
Petit Louis se cache derrière un pilier le cœur gros, le cheval le suit du regard, il est rassuré.
Le travail suit son cours. Lorsque le veto arrive, la poche a percé et deux petites pattes sont déjà à apercevoir. La jument hennit et pleure. Une autre convulsion et le nouveau-né s’étale sur la paille. Ca c’était une mère courageuse, c’est bien rare d’avoir des naissances pareilles.
Le gamin vient d’accourir. Il prend la tête de bijou et la sert fort contre lui. Bravo ma bonne bête, comme il est beau ton petit. C’est terminé, maintenant, tu vas pouvoir te reposer. Je prendrai bien soin de ton nouveau-né. Au fait comment vas tu l’appeler. Moi je te propose Lustucru. La mère fatiguée de cet accouchement ferme les yeux et s’endort.
Tout serait maintenant pour le meilleur du monde, si dans trois mois, le maquignon ne devait pas passer pour acheter le petit Lustucru. Rendez vous sur le marché à bestiaux du bourg comme tout les ans a la même époque. Le petit cheval sera vendu moyennant monnaie sonnante au plus offrant.
Le chagrin de petit Louis sera terrible. Son petit Lustucru, va le quitter pour toujours . Tout ça pour de l’argent ! Personne ne pense à l’état d’âme de la pauvre mère cheval qui sera séparé de son fils. . La vie prend souvent des mauvaises tournures et toujours lorsqu’on s’y
attend le moins
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Dernière édition par Line le 27-11-2006 08:07; édité 2 fois
Posté le: 27-11-2006 08:17 Sujet du message: CARNET DE LINE
La cathédrale Notre-Dame de Strasbourg est une cathédrale catholique romaine à Strasbourg. Elle est représentative de l'architecture gothique. C'est actuellement la plus haute de France après celle de Rouen (9 m de moins) : 142 m, mais elle est connue comme étant les plus grande¹. Trois cent trente marches séparent le sol de la cathédrale de sa terrasse. Elle est reconnaissable par sa seule tour et son clocher surmonté de sa flèche.
« Prodige du gigantesque et du délicat » selon Victor Hugo, la splendeur de la cathédrale est visible de très loin dans la plaine alsacienne et peut être aperçue d'aussi loin que les Vosges ou que de la Forêt Noire.
Sommaire [masquer]
1 Historique
1.1 Constructions plus anciennes
1.2 Construction de la cathédrale (1176-1439)
2 Frontispice
2.1 Le portail principal
2.2 Le portail de gauche
2.3 Le portail de droite
2.4 Les portails latéraux
3 Les maîtres d'œuvre
4 L’intérieur
4.1 La nef
4.2 Les transept
4.3 L’horloge astronomique
4.4 La crypte
4.5 Le chœur
4.6 La chaire
4.7 L’orgue
5 La flèche
5.1 La folie des grandeurs et la malédiction
5.2 Notre-Dame battue
5.3 Comparaison
6 La cathédrale illuminée
7 Les murs
8 Les statues
9 Légendes associées
10 Références
11 Galerie photos
12 Voir aussi
13 Liens externes
Historique [modifier]
Constructions plus anciennes [modifier]
Le site de la cathédrale de Strasbourg a été utilisé par plusieurs édifices religieux successifs à partir de l'occupation romaine. Le site était alors occupé par un sanctuaire romain jusqu'à l'édifice que nous connaissons aujourd'hui.
On sait qu'une cathédrale fut élevée par l'évêque saint Arbogast à la fin du VIIe siècle sur la base d'un temple dédié à la Vierge Marie mais il ne nous en reste rien.
Au VIIIe siècle, la première cathédrale fut remplacée par un édifice plus important qui sera terminé sous le règne de Charlemagne. Daté de 778, le testament de l'évêque Rémi (ou Remigius) atteste de sa volonté d'être inhumé dans la crypte. C'est certainement dans l'édifice qu'ont été prononcés les serments de Strasbourg. Les fouilles menées récemment révèlent que cette cathédrale carolingienne avait 3 nefs et 3 absides. Un poème décrit cette cathédrale ornée d'or et de pierreries par l'évêque Ratald (ou Rathold). La basilique est la proie des flammes à de multiples reprises en 873, 1002 et 1007.
En 1015, Werner de Habsbourg, évêque de Strasbourg, pose la première pierre d'une nouvelle cathédrale sur les ruines de la basilique carolingienne. Il construit donc une cathédrale romane. Celle-ci brûle en 1176 car à l'époque les nefs étaient couvertes d'une charpente en bois.
Après le sinistre, Heinrich von Hasenbourg, nouvel évêque de Strasbourg, décide la construction d'une nouvelle cathédrale. Il fallait que celle-ci soit plus belle que celle de Bâle qui venait d'être achevée. Le chantier de la nouvelle cathédrale commença sur les fondations de la construction précédente et ne s'achèvera que plusieurs siècles plus tard.
Construction de la cathédrale (1176-1439) [modifier]
Plan de la cathédrale Notre-Dame de Strasbourg
Schéma de la rosaceLa construction débute par le chœur et le transept Nord dans un style roman. Mais en 1225, une équipe venant de Chartres révolutionne la construction par l'apport du style gothique. Témoignage de la double influence française et allemande, l'utilisation pour les vitraux des couleurs rouge et bleu (typique d'une équipe française) et la présence marquée de vert (style allemand). Afin de trouver de l'argent pour terminer la nef, l'Église recourt aux indulgences en 1253.
Le grès des Vosges utilisé pour sa construction lui donne une couleur rose caractéristique.
Frontispice [modifier]
Il est richement orné. Les tympans de ses trois portails sont consacrés à la vie du Christ. Un double gable surmonte les portails. _________________ !
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Dernière édition par Line le 27-11-2006 08:24; édité 2 fois
Posté le: 28-11-2006 08:07 Sujet du message: carnet de line
LE LAVOIR !
Autrefois, dans chaque village il y avait un lavoir, qui est remplacé à l’heure actuelle, par la machine à laver. C était bien joli, quand le petit ruisseau traversait le petit bâtiment en bois, pour aller vagabonder, plus loin à travers champs. Ils étaient toujours bien fleuris, pour la grande joie, des villageois et les rendez-vous des amoureux, qui se retrouvaient le soir, derrière le lavoir
Ici, rien n’a changé, il n’est plus en fonction, mais il existe toujours, à l’endroit où nous sommes. Les cars avec les touristes s’arrêtent régulièrement pour prendre des photos. Quelque chose de pittoresque et agréable à voir, que l’on ne rencontre plus souvent. Les lavandières y passaient des journées entières, en chantant et leur linge était blanc comme neige. Ce dernier fût tapé et frotté, non brossé et ensuite rincé dans l’eau clair du petit ruisseau. Avec le bois, qui servait à taper, les femmes souvent se tapaient dessus, si par malheur l’une ou l’autre n’était pas à sa bonne place.
MATHURIN, le garçon boucher, 19 ans est sur le point de partir pour le régiment. Sa classe est conscrite cette année, et la fanfare du village, collecte chez les fermiers, pour passer une agréable journée, avant d’être incorporé. Un panier est à leur disposition, pour recevoir œufs fromage lapin et poulet. Samedi soir, un bal sera organisé et tous ces articles seront mis dans les lots gagnants. MATHURIN, fréquente la petite du coiffeur, elle a 17 ans. Ce soir à 20 heures rendez-vous derrière le lavoir. A cette heure ci la nuit est tombée, et le coin n’est nullement éclairé. La fille a peur, au moindre petit bruit, elle sursaute. Elle voit une silhouette un peut plus loin et elle appelle tout doucement MATHURIN, MATHURIN ; Le garçon boucher a encore une livraison à faire et sera certainement un peu en retard ce soir.
La silhouette est maintenant à deux pas de LOUISETTE lorsqu’elle s’aperçoit que ce n’est pas son fiancé. Déjà elle est sur le point de rebrousser chemin, voila que l’homme la prend par le bras et avec l’autre main, lui ferme la bouche pour l’empêcher de crier. Il l’emmène derrière un taillis, et disparaît avec elle dans la nuit.
Lorsque MATHURIN arrive, il n’y a plus personne qui l’attend. La petite a bel est bien disparue, derrière le lavoir, dans les haies de genévriers, qui longent le ruisseau ; Après avoir
cherché bien longtemps se soir là, il rentre chez lui le cœur gros.
Le lendemain matin, MATHURIN se précipite chez son coiffeur, qui lui dit textuellement que sa fille n’est pas rentrée de la nuit. Pauvre garçon, il est déboussolé et ne sais quoi penser ? Le temps passe, la petite ne revient pas, tous le village est aux aguets. Pas le moindre indice depuis ce fameux soir, MATHURIN est anéantie.
Et les jours passent. Le garçon essaye d’oublier, qu’a-t-il put se passer ?
Quelques semaines après, il part pour le régiment. LOUISETTE n’est toujours pas de retour. La police fait le nécessaire pour la retrouver hélas.
Il a toujours aimé se promener du côté du lavoir, maintenant il en a une sainte horreur. Il y a des jours il a bien envie de le démolir, mais à quoi sert tout ça. Il attend patiemment le bourgmestre, une lettre de ses parents, lui signalant que la petite a été retrouvée. Rien de rien.
Et le temps passe, des mois et des années. MATHURIN se marie à une jeune femme du voisinage. Il sera heureux papa d’ici la fin de l’année. Tous nos vœux pour le bébé et les futurs parents. Et voila, la vie continue.
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Posté le: 28-11-2006 08:19 Sujet du message: carnet de line
PETITES HISTOIRES !
L'histoire de Cédric
C'est l'histoire d'une toute petite chenille qui n'avait jamais faim.
Elle s'appellait Coquinette et vivait au fond des bois avec un jeune loup gris.
Ce matin là, elle se mit en route vers la vieille chapelle, car on lui avait dit qu'elle y trouverait un sac d'or.
Elle s'en allait en sautillant, bien décidée à ne pas revenir après la nuit.
Elle voulait faire une surprise au loup qui, lui, était resté à l'abri Seulement voilà, lorsqu'elle arriva les voleurs avaient déjà pris le sac d'or.
L'histoire de Marion
C'est l'histoire d'une toute petite fillette qui n'avait jamais sommeil.
Elle s'appellait Minette et vivait au fond des bois avec un immense loup gris.
Ce matin là, elle se mit en route vers la fontaine magique, car on lui avait dit qu'elle y trouverait un trésor mystérieux.
Elle s'en allait en dansant, bien décidée à ne pas revenir les mains vides.
Elle voulait faire une surprise au loup qui, lui, était resté au lit
Seulement voilà, lorsqu'elle arriva le trésor mystérieux n'était plus là.
L'histoire de Alex, Léo & Alizée
C'est l'histoire d'une toute petite souris qui n'avait jamais peur. Elle s'appellait Grisette et vivait au fond des bois avec un immense loup gris. Ce matin là, elle se mit en route vers le puits hanté, car on lui avait dit qu'elle y trouverait une valise de bonbons. Elle s'en allait en se dandinant, bien décidée à ne pas revenir après la nuit. Elle voulait faire une surprise au loup qui, lui, était resté... Seulement voilà, lorsqu'elle arriva, elle se fit manger par le loup
L'histoire de Didier
C'est l'histoire d'une toute petite fillette qui n'avait jamais sommeil.
Elle s'appellait Grisette et vivait au fond des bois avec un magnifique loup gris.
Ce matin là, elle se mit en route vers la fontaine magique, car on lui avait dit qu'elle y trouverait un trésor mystérieux.
Elle s'en allait en sautillant, bien décidée à ne pas revenir les mains vides.
Elle voulait faire une surprise au loup qui, lui, était resté à l'abri
Seulement voilà, lorsqu'elle arriva un gaz toxique la tua. _________________ !
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Posté le: 28-11-2006 08:34 Sujet du message: carnet( de line
Le loup et ses légendes
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Le loup, longtemps objet de terreur pour les hommes, est devenu légendaire et demeure aujourd'hui encore mystérieux. Cette peur et cette haine du loup se sont longtemps reflété dans des contes tels que «Le Petit Chaperon rouge». Le loup a inspiré un grand nombre de proverbes, de dictons, de locutions: «le loup dans la bergerie», «être connu comme le loup blanc», «les loups ne se mangent pas entre eux», etc. Sa trace se perpétue dans des noms de lieux: la rue de la Brèche-aux-Loups, à Paris, la Vallée-aux-Loups, le bois du Loup-Pendu, etc. Dans les campagnes, des récits de veillée retraçaient les méfaits du loup, mangeur de bétail et d'hommes. La terreur du loup atteignit son paroxysme avec l'affaire de la «bête du Gévaudan». Pourchassé à outrance au cours des derniers siècles, il a presque disparu dans de nombreuses régions du globe.
Les scientifiques qui ont étudié le comportement des loups, ont vécu très près de tanières qui abritent des louveteaux, sans être jamais attaqués. Ceux-ci ont pu même emporter les petits hors de la tanière sans être molestés d'aucune façon. Les parents réagissent alors en s'éloignant momentanément, puis reviennent pour transporter leur progéniture dans un endroit plus discret pouvant servir de tanière ou les conduire au lieu de repos et de rassemblement de la meute
Caractéristiques physiques
Le loup (canis lupus) ressemble étrangement aux chiens. Ses oreilles sont par contre plus courtes et ses yeux dorés obliques sont caractéristiques. Il a aussi la tête plus large et les épaules plus puissantes que le chien.
Les dimensions du loup sont variables: il mesure de 1,30 à 1,65 m de longueur, sans compter la queue (30 à 40 cm). La hauteur au garrot est de 65 à 90 cm, et le poids oscille entre 20 et 80 kg. Le pelage, gris fauve le plus souvent, varie selon les régions du blanc pur (dans l'Arctique) au brun, voire au noir.
Les loups des régions septentrionales de l'Amérique du Nord et de l'Eurasie sont de couleurs diverses. La même bande peut inclure des individus noirs, dont certains seront nuancés de gris brun ou de blanc. Le loup des régions densément boisées de l'est de l'Amérique du Nord a une couleur plus uniforme. Il est souvent d'un gris-brun poivre et sel comme les bergers allemands.
Régime alimentaire
Il chasse à la course, et en meutes, les grands mammifères, essentiellement les cervidés (élans, cerfs, chevreuils, etc.). Cependant, il se nourrit de petits mammifères comme les lapins, de rats ou encore grenouilles, d’escargots ou de fruits, et se montre souvent charognard.
Répartition géographique
Il y a 200 ans, le loup Canis lupus, aussi appelé loup gris, était le plus répandu de tous les mammifères. Cet animal occupait de vastes espaces de l'Amérique du Nord, de l'Europe et de l'Asie; les seuls endroits où il ne pouvait vivre étaient les déserts, les forêts tropicales humides et les sommets des hautes chaînes de montagnes.
Le loup habite encore de vastes étendues de l'hémisphère nord, mais son aire de distribution primitive s'est considérablement rétrécie par suite de la modification de l'habitat et des efforts des humains en vue de l'exterminer.
En Amérique du Nord, le loup est complètement disparu des provinces de l'Atlantique; il en est de même au Mexique, aux États-Unis (excepté au Minnesota, en Alaska et dans certains États de l'Ouest américain), ainsi que dans les régions fortement peuplées du sud du Canada. Sa présence est souvent signalée dans les régions peu habitées du Canada, du Labrador à la Colombie-Britannique, ainsi qu'au Yukon et dans les Territoires du Nord-Ouest (voir la carte).
Le loup roux C. rufus était autrefois commun dans le sud-est des États-Unis. Il a maintenant disparu à l'état sauvage. Grâce à un programme de reproduction en captivité, l'espèce est maintenant en voie d'être réintroduite dans l'aire qu'elle occupait autrefois (voir la carte).
La vie sociale
La vie sociale des loups a été beaucoup étudiée ces dernières années, notamment au Canada. La meute possède une structure sociale très hiérarchisée : Les loups communiquent entre eux par des moyens variés: mimiques de la face, mouvements des oreilles, poil hérissé, position de la queue, messages olfactifs et cris.
Ceux-ci peuvent être des glapissements, des gémissements, des aboiements. Le plus célèbre est le hurlement, véritable chant très mélodieux. On observe chez eux le phénomène d'inhibition décrit par Konrad Lorenz : quand deux loups se sont battus, le vaincu s'allonge devant le vainqueur, offrant sa gorge à ses crocs, et le vainqueur lui fait grâce.
Le loup dominant :
Le loup dominant tient sa queue haute, ses pattes droites et hérisse sa crinière. En sa présence, tout animal subordonné se blottit au sol, les oreilles rabattues ou, s'il est debout, se tient la queue entre les pattes et affiche une attitude craintive.
Méfiance :
Dans les régions où il est chassé ou piégé, le loup devient peureux et très méfiant. Mais, dans les régions éloignées comme l'archipel Arctique canadien, il ne manifeste que très peu de crainte et tolère même le voisinage de l'être humain. _________________ !
Posté le: 28-11-2006 16:06 Sujet du message: carnet de line
ADIEU PHILIPPE NOIRET
iL DISAIT LA VIE EST TROP COURTE ALORS VIVONS LA EN PREMIERE EN SORTANT SON ETUI A GROS CIGARES;
Philippe Noiret
Né le : 1er octobre 1930
Décédé le 23 Novembre 2006
Lieu : Lille Nord
Sa femme : 'Monique Chaumette (actrice)
Enfant: fréderique
1950, Philippe Noiret prend des cours d'Art dramatique.
1953, il entre au Théâtre National Populaire Philippe Noiret ira pendant dix ans, puis en 1955, il rencontre Agnès Varda qui lui offre un rôle dans le film "La pointe courte", Philippe Noiret reviendra au cinéma cinq ans plus tard dans "Zazie dans le metro" de Louis Malle
Philippe Noiret en 1966 fera le choix de se consacrer au cinéma et d'abandonner le théâtre .Avec une centaine de films. Philippe Noiret continue depuis 50 ans une brillante carrière internationale sous la direction de grands cinéastes
1976 César d'interprétation masculine pour Le vieux fusil de Robert Enrico
1990 César d'interprétation masculine pour La vie et rien d'autre de Bertrand Tavernier
Mai 2000 Gilles Jacob a remis à Philippe Noiret le "Trophée du meilleur ouvrier de France
2006 Décès de Philippe Noiret, des suites d'une longue maladie, selon son agence, Philippe Noiret était âgé de 76 ans. Après le réalisateur Robert Altman et Francis Girod, il y a quelques jours, c'est maintenant au tour de l'acteur français Philippe Noiret de s'éteindre à l'âge de 76 ans, laissant derrière lui un héritage de plus de 120 films
Posté le: 29-11-2006 08:38 Sujet du message: carnet de line
ALLO DOCTEUR !
Le téléphone résonne chez le véto allo docteur. Ici ST NICOLAS ; Je suis dans un drôle de pétrin, figurez vous mon renne vient de tomber malade. Il tousse, il a le nez tout rouge et des yeux larmoyants il est fiévreux. Je voulais lui prendre la température rectale et voilà qu’il a disparue satané thermomètre, impossible de remettre de nouveau la main dessus. Que dois-je faire ? Figurez vous docteur j’ai des millions de commandes, dans tous les coins du globe, Ces pauvres petits vont me tenir rigueur, si je ne passe pas les voir, comme tous les ans
Oui c’est vrai je ne suis plus très jeune, mon renne commence aussi à être fatigué. La preuve, il est là le pauvre a me regarder d’un œil bizarre et tristounet, qu’allons nous devenir tous les deux et personne pour prendre la relève C’est encore la faute à mère NICOLAS, qui ne voulait absolument pas d’enfant Elle disait, avec le travail que nous faisons toute l’année à préparer des commandes, il n’y a pas de place pour les gosses, à moins de les négliger.
ST NICOLAS, prenez votre renne et venez me voir au plus vite. J ai bien peur que ceci ne soit un début de truc de machin de binz bobinette de diarrhée enfin, je vous expliquerez en arrivant. Merci docteur à tout à l’heure.
Vingt minutes après chez le vétérinaire. Les deux battants de la porte d’entrée s’ouvrent pour laisser passer ST NICOLAS accompagné de son fidèle compagnon le renne. Les gens de la salle d’attente, commence à avoir peur à la vue de cette grande bestiole, mais qui est doux comme un agneau .ST NICOLAS les rassure, n’ayez crainte, il ne mord pas, il fait la grimace il est nerveux .ST NICOLAS le prend sur ses genoux pour le calmer, il est hyper tendu. A t’il mal on en sait rien, comme il ne parle pas notre langue, c’est un SCANDINAVE, allez savoir.
Voila, dit l’infirmière, c’est a votre tour ST NICOLAS laissez passer la grosse bébête, elle n’a pas de friandises encore.
Bonjour docteur, j’ai fait aussi vite que j’ai pu. Mon pauvre renne, il me fait pitié en le regardant. Calmez vous SAINT NICOLAS, je ne pense pas que ce soit tellement grave cette histoire. J’ai consulté tous mes ouvrages, je n’ai rien trouvé. Voyons voir, les amygdales, la gorge, le pouls,le cœur, les oreilles , tout est parfait. Il semble au médecin que le renne veuille lui dire quelque chose . Il baisse son oreille et voilà. Le renne lui souffle quelques mots, le docteur se met à rire. Le renne sort de derrière les bois le thermomètre perdu et le tend au vétérinaire .Plus besoin de chercher plus loin, le diagnostic « LA FLEMMINGITE .Le renne a demandé au médecin de lui faire un arrêt de travail pour le restant de l’année.
Le vétérinaire lui administra une grande piqûre. Aie aie aie !! Le renne se met à rouspéter. Tiens, ça t’apprendras à mentir la prochaine fois, lorsque tu n’auras pas envie de travailler.
ST NICOLAS est triste .Il regarde le renne dans les yeux et il lui dit mon cher GREGOIRE, tu m’as déçu aujourd’hui. Enfin vu l’âge que tu as, je te pardonne et je suis très heureux de savoir que tu es encore en bonne santé.
Ne me laisse pas tomber, ce sera ta dernière mission. L’année prochaine je te ramènerai dans les forêts de NORVEGE où tu trouveras toute ta famille réunie. Tu pourras vivre le restant de tes jours avec les tiens dans ton royaume de rennes en te prélassant dans ces magnifiques fiords.
Posté le: 29-11-2006 09:04 Sujet du message: papotons
histoBonjour à tous, et bonne visite :
Me Voici Mousse.,
Je suis la mascotte de ce site
Je suis né au Pays Bas dans un élevage d'oiseaux.
Je ne connais pas mes parents car j'ai été élevé à la main.
A deux mois, je me suis retrouvé dans une petite caisse de transport , et en route pour la France avec quelques cousins de la même espèce.
Nous avons patientés plusieurs semaines dans une cage d'une animalerie
Un jour un Monsieur et une Dame avec deux enfants sont venues me chercher et en voiture pendant plusieurs heures dans le noir.
Me voici à la Maison , tous le monde me regarde , me trouve beau...... je suis dans le sud est de la France .
je me retrouve vite seul la passion ne dure pas .....malheureusement....
Un mois passe, .....deux Mois .....et la un couple arrive .....me regarde , .....me prennent dans leurs mains,..... je n'ai pas eu peur... ( je n'ai pas mordu ) ....j'ai droit à une cacahouète .
Et .....je me retrouve de nouveau , dans une cage de transport , en route en TGV pour la région parisiènne .avec ma nouvelle Famille . ( la première n'avait pas su sans doute s'occupé de moi !!! )
J'ai eu droit à une bannane et une mandarine pendant mon voyage en train
j'ai été installé dans une grande cage d'appartement avec jouet , balançoire...
Une mangeoire pour les graines une pour les fruits et un distributeur d'eau.
j'ai un perchoir que mon maitre ma lui même fabriqué, ce perchoir sur roulette je l'utilise quand je le souhaite car la cage est toujours ouverte et est équipé d'un échelle pour ma sortie;
je me promene dans la maison ou je souhaite aller , en un mot je suis bien dans ma nouvelle maison.
j'ai le droit de resté sur les épaules et me faire grater la tête pour m'aidé dans ma toilette , j'aime la douche .
la nouvelle famille accepte toute les contraintes car je suis exigeant !!!
Alors si vous acheté un cousin il faut beaucoup réfléchir car nous demandons de beaucoup de temps do
nc pas d'achat sur un coup de tête .
merci.
Mousse le Perroquet
pour votre information:
Nous vivons en France, dans la région Iles de France
ire de perroquet ( père OK ) _________________ !
Posté le: 30-11-2006 09:13 Sujet du message: carnet de line
LES SALTIMBANQUES !
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Quelle foule, quelle cohue , ce soir sur la place du marché d’un petit bourg alsacien. Les saltimbanques se sont arrêtés pour une démonstration en public, avec leurs animaux . Un dresseur d’ours brun enchaîné, fait grimper sa bête féroce sur un tabouret. Applaudissement général . Un chien saute à travers un cercle en feu et une jeune fille danse avec une chèvre, comme ESMERALDA ; Un poney fait son entrée, se met sur les genoux et incline sa tête vers le public, pour les remercier du bon accueil. Les enfants battent dans leurs mains, en extase devant ce spectacle, Ils sont devenu très rares ces gens là, cette petite troupe qui voyage dans toute la France de ville en ville, Une fois terminé, un petit personnage, vient faire la quête chez les spectateurs. Et la même représentation se fera .quelques heures après. pendant un ou deux jours consécutif. Pas besoin de dresser une tente comme au cirque, ceci se fait sur la place, sous le ciel bleu.
Un python dans une corbeille dresse la tête et fait bouger le couvercle. Une petite fille laisse échapper un cri d’effroi et va se réfugier sous les jupes de sa mère. N’ai pas peur NINON, le serpent te fait rien , il est gentil dit la maman pour calmer sa fille. On peut le toucher demande t’elle, lui faire un câlin. Oh surtout pas, viens laissons le dormir,il est très fatigué .Un homme enduit de cirage, lanceur de flammes, émerveille son public Il met un liquide dans sa bouche, souffle dessus et crache le feu. Applaudissement général !
Et comme ceci, vous pouvez voir le lendemain, sur la route asphaltée entre les champs une carriole, tirée par deux bourricots trottant, cahin caha pour faire son spectacle dans le village voisin.
Autrefois, l’orgue de barbarie se faisait encore entendre. Un homme tournait la manivelle, sur son bras un petit ouistiti qui faisait la grimace, à la risée du public. Oui je dis bien autrefois, car on en voit plus à l’heure actuelle. et c’est bien dommage. Les enfants adoraient cette troupe, toujours la même, une grande famille venue d’une plaine hongroise . Comme musique, un violon qui pleurait en jouant les yeux noirs.
LINE _________________ !
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Dernière édition par Line le 30-11-2006 09:55; édité 1 fois
Posté le: 30-11-2006 09:53 Sujet du message: carnet
singe qui montre la lanterne magique
Messieurs les beaux esprits dont la prose et les vers
Sont d’un style pompeux et toujours admirable,
Mais que l’on n’entend point, écoutez cette fable,
Et tâchez de devenir clairs.
Un homme qui montrait la lanterne magique
Avait un singe dont les tours
Attiraient chez lui grand concours.
Jacqueau, c’était son nom, sur la corde élastique
Dansait et voltigeait au mieux,
Puis faisait le saut périlleux,
Et puis sur un cordon, sans que rien le soutienne,
Le corps droit, fixe, d’aplomb,
Notre Jacqueau fait tout du long
L’exercice à la prussienne.
Un jour qu’au cabaret son maître était resté
(C’était, je pense, un jour de fête),
Notre singe en liberté
V eut faire un coup de sa tête.
Il s’en va rassembler les divers animaux
Qu’il petit rencontrer dans la ville ;
Chiens, chats, poulets, dindons, pourceaux,
Arrivent bientôt à la file.
Entrez, entrez, messieurs, criait notre Jacqueau,
C’est ici, c’est ici qu’un spectacle nouveau
Vous charmera gratis.
Oui, messieurs, à la porte
On ne prend point d’argent ; je fais tout pour l’honneur.
A ces mots, chaque spectateur
Va se placer, et l’on apporte
La lanterne magique ; on ferme les volets,
Et par un discours fait exprès Jacqueau prépare l’auditoire.
Ce morceau vraiment oratoire
Fit bâiller, mais on applaudit.
Content de son succès, notre singe saisit
Un verre peint qu’il met dans sa lanterne.
Il sait comment on le gouverne,
Et crie, en le poussant : Est-il rien de pareil ?
Messieurs, vous voyez le soleil,
Ses rayons et toute sa gloire.
Voici présentement la lune, et puis l’histoire
D’Adam, d’Ève et des animaux ...
Voyez, messieurs, comme ils sont beaux !
Voyez la naissance du monde ;
Voyez ... Les spectateurs, dans une nuit profonde,
Écarquillaient leurs yeux et ne pouvaient rien voir,
L’appartement, le mur, tout était noir.
Ma foi, disait un chat, de toutes les merveilles
Dont il étourdit nos oreilles,
Le fait est que je ne vois rien.
Ni moi non plus, disait un chien.
Moi, disait un dindon, je vois bien quelque chose
Mais je ne sais pour quelle cause
Je ne distingue pas très bien.
Pendant tous ces discours, le Cicéron moderne
Parlait éloquemment, et ne se lassait point.
Il n’avait oublié qu’un point :
C’était d’éclairer sa lanterne.
par Jean-Pierre Clarisse de Florian Publié le 13 novembre 2006 -
_________________
[ _________________ !
Posté le: 30-11-2006 17:48 Sujet du message: carnet de line
le voila mon marché de Noel de STRASBOURG
Vous venez visiter Strasbourg ou souhaitez en savoir plus sur notre ville ? Vous cherchez un hôtel, un guide, ou d'autres infos pratiques pour organiser votre voyage ? Visitez le site de l'Office du Tourisme de Strasbourg, ou envoyez un courriel à info@ot-strasbourg.fr
URL=http://imageshack.us][/URL]
> Histoire, patrimoine et traditions
Pour Ermold le Noir (Ermoldus Nigellus) moine Aquitain exilé dans notre région à partir de 824, Strasbourg est “La ville des routes” en référence à son étymologie qui trouve son origine dans le terme germanique “Strateburgo”, mentionné pour la première fois au début du Ve siècle. De par sa situation géographique et son nom prédestiné, Strasbourg devient très tôt un carrefour européen incontournable. Au milieu du siècle dernier, Robert Schuman qualifie “Strasbourg Tribune de l’Europe” lorsque la ville accueille en 1949 les institutions européennes. La promotion de Strasbourg au rang de capitale de l’Europe, au lendemain de la Deuxième Guerre mondiale, est l’aboutissement d’une longue histoire intensément vécue par ses habitants.
> Marché de Noël
Strasbourg, Noël au coeur... Dès 1570, Strasbourg déploie son Marché de Noël autour de sa prestigieuse Cathédrale. Depuis lors, son rayonnement en Europe n’a fait que croître, grâce à sa tradition de commerce mais aussi à son esprit de tolérance et d’humanisme qui ont fait son histoire et son identité...
Le marché de Noël 2006 se tiendra du 25 novembre au 31 décembre.
Retrouvez un avant-goût du programme sur notre site :
www.noel-strasbourg.com
Pour tout renseignement sur l'organisation de votre séjour à Strasbourg, consultez le site de l'Office de Tourisme. _________________ !
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Dernière édition par Line le 30-11-2006 18:08; édité 1 fois
Posté le: 01-12-2006 08:11 Sujet du message: carnet de line
L’ HERITIER !
Pas loin d’ici, dans les Vosges du nord exactement, prés de la cascade du NIDECK, se trouve une mignonne petite résidence, appartenant à une dame, vivant seule avec son chien Une superbe bête, un caniche royal, d’une blancheur immaculée à poils longs et qui se nomme POULETTE. Sa patronne à longueur de journée la cajole, la coiffe, la bichonne et lui fait des câlins.
POULETTE a une armoire à elle avec tous ses vêtements. Même que madame GARNIER lui a payé une paire de lunette de soleil, des bottes en caoutchouc, pour ne pas se mouiller les papattes et plusieurs types de manteaux Sa brosse et son peigne, son recouverts d’un léger filet d’argent ainsi que sa timbale en porcelaine de Saxe. Toutes les deux font de longues promenades dans la forêt et profitent du bon air des sapins, lesquels sont magnifiques à cet endroit là.
Depuis que Madame GARNIER a perdu son mari dans un accident d’avion, elle vit seule et retirée. Elle n’a pas eu la chance d’avoir des enfants et il ne reste qu’elle d’une toute grande famille. Non j’allais oublier, il reste un neveu, le fils de sa sœur cadette, qui vient régulièrement la voir et pour cause. Il a confirmé son arrivée hier par téléphone. Viens POULETTE retournons à la maison, PHILIPPE, ne va pas tarder à arriver.
Effectivement, le neveu devant la maison sur un banc attend sagement l’arrivée de sa tante .Te voila mon garçon, nous allons avoir une sérieuse discussion et tâche de ne pas m’interrompre. Ce matin même un monsieur est venu me signaler que tu avais tant et tant de dettes et qu’il faut penser sérieusement à les rembourser. Attends je n’ai pas fini, Je les ai encore réglé, mais saches, que se sont les toutes dernières, tu m’entends, les dernières j’ai dit Mais ma tante, ce n’est qu’un acompte, le jour ou tu ne seras plus, la totalité de ta fortune me revient, puisque je suis ton héritier universel. Ah tu crois ça mon bonhomme, c’est ce que nous allons voir De rage le jeune homme s’en va, il n’a pas encore dit son dernier mot.
Le surlendemain de cet entretien, la voisine de Madame GARNIER est très inquiète. Depuis hier, les volets sont fermés et le chien n’arrête pas de pleurer. La voisine, qui est une fidèle amie au couple VAREL, téléphone, pour savoir, comment faire. Elle avait entendu madame GARNIER et son neveu, il y a deux jours et elle craint le pire pour sa voisine. Une demi-heure après, VAREL est sur place avec son compagnon le chien, lequel devra attendre sagement dans la voiture, le retour de son maître. Hélas il n’y a plus rien à faire, Madame GARNIER est morte, étranglée dans son lit. Les recherches commencent ! Il est exactement 9 heures
A lO heures, PHILIPPE se fait annoncer par la secrétaire, chez le notaire. Apres une longue conversation, ce dernier explique au jeune homme, que quelques jours après la donation, il y a eu rectification en faveur du caniche royal. Une immense somme d’argent a peu prés 800.000,- Euros, a été léguée par madame GARNIER, de son vivant saine d’esprit. Le jour de la mort du chien tous les biens reviennent, au cimetière des chiens, pour l’entretien.
Après cette tournure, PHILIPPE, plein de remords alla se rendre à la police de plein gré. Pour VAREL un cas très spécial et facile à élucider, grâce au bon voisinage.
Inscrit le: 09 Fév 2006 Messages: 1708 Localisation: Au bord de la mer
Posté le: 01-12-2006 22:25 Sujet du message:
Coucou Line ! J'ai eu un peu de temps ce soir pour rattrapper les histoires que je n'avais pas lues. J'aime bien le renne qui a la flemmingite ! Je le comprends. Avec l'âge, on n'a plus envie de se bouger !!!!
Bisous, Liline, porte-toi bien et ne va pas dépenser tous tes sous au marché de Noël ! _________________
Posté le: 02-12-2006 10:20 Sujet du message: carnet de line
UNE POUPEE EMPAILLEE !
A l’arrêt du tramway, place de l’homme de fer, une petite fille d’une dizaine d’année attend , le prochain tram. Il doit transporter comme tous les jours à cette heure ci. le commissaire VAREL, pour la pause de midi. Le voila qui arrive à grands pas, Monsieur VAREL, monsieur VAREL, crie la petite et agite un corps d’une poupée, dans l’autre petite main, la tête. Elle a perdu sa tête dit elle. VAREL c’est son ami, avec lui les petits problèmes sont vite dissipées. Le commissaire inspecte la poupée et dit .Il va falloir t’en séparer, je vais l’amener chez moi et te la réparer . Il manque le fil de fer recourbé pour attacher la tête, qu’en as-tu fait ?tu as du le perdre.Ca ne fait rien je me débrouillerais. Viens demain a la même heure, je te la rendrais .N’oublie pas de rentrer chez toi maintenant, il est l’heure du déjeuné. Ondine, attention en traversant, attends que le feu soit vert. A demain ma fille et il s’en va.
Pas de sieste aujourd’hui, il faut réparer cette poupée, comme je l’ai promis dit VAREL à FREDERIQUE ; Une pince et un tournevis vont faire l’affaire, pour remettre la petite tête en place. Oh que c’est dure, se dit-il, on dirait qu’on a coulé du béton dedans et il se met à gratter. Je n’ai pas le choix, il me faut la perceuse, pour attaquer ce petit corps . Il secoue mais rien ne bouge à part les bras et les jambes qui se balancent. VAREL a déjà fait un vaste trou et on aperçoit à l’intérieur de la poupée du coton et du papier.
Attention mon ami, tu as fait tomber quelque chose parterre à l’instant. FREDERIQUE se baisse et ramasse un objet qu’elle tend à son mari. VAREL n’en revient pas, il tient dans sa main une pierre précieuse .Vite regardons si il n’y en a pas d’autre camouflé à l’intérieur de cette poupée, il ne croyait pas si bien dire, car il en sorti une vingtaine. Une fortune pour un joaillier.
On sonne à la porte d’entrée chez les VAREL ! C’est ONDINE . Mais qui_ a-t-il encore , ta poupée n’est pas réparée . Je crois bien qu’il va falloir acheter une autre, celle-ci est cassée pour de bon. Monsieur VAREL, c’est mon grand frère qui m’envoie chercher la poupée. Il m’a promis de m’emmener en SUISSE cet après midi avec ma poupée pour la réparer.
Ah c’est comme ça dit VAREL, alors dis à ton frère, qu’il vienne la chercher lui-même chez moi, je l’attends.
Jusqu’à ce jour, le frère n’est pas venu récupérer la poupée, mais sa ne va pas tarder Comme il n’est plus en possession des pierres, il ne peut plus les restituer au propriétaire ou il va à la police et leur raconte l’histoire de la poupée. Au choix
ONDINE, pleure la perte de sa petite ALICE , mais elle va se contenter avec la toute nouvelle, qui est bien plus jolie .
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Dernière édition par Line le 02-12-2006 10:32; édité 2 fois
coucou ma linette,
je viens te faire un petit bisou, en passant..........
demain, je vais faire une grande randonnée, je ferai quelques photos,
et si il en a une belle, je te la mettrai rien que pour toi.
bonne journée linette................ _________________ poete_musika..4 mains
Posté le: 03-12-2006 07:58 Sujet du message: carnet de line
LES JOUETS !
Dans les grands magasins on commence tout doucement a sortir les jouets de la réserve. Bientôt nos devantures vont être a nouveau bien décorées avec toutes sortes de jouets.
Des poupées, des camions, des voitures de pompier, des garages et même des polichinelles. Bien entendu avec de belles guirlandes.
Les joujoux de l’année dernière sont tous bien emballés dans des caisses et n’attendent que d’être choisis pour un enfant cette année ci.
Un tambour en bois se lamente. Je suis ankilosé, a force de rester tous ces mois dans la même position. D’ailleurs nous sommes tous trop vieux. Nous ne risquons pas d’être selectionné comme les barbies. J’aimerais bien être a la place de ce KEN, mais hèlas !
Voila que le chef cherche un grand puzzle ( 2000) pièces – 1 poupée de collection – 1 locomotive – 1 ours en peluche – 1 dinette – 1 bt de perles et 1 tambour en bois.
Suzette une poupee en chiffon, toute ébouriffée, secoue le tambour en bois qui s’était a . nouveau rendormie . Debout tambour on t’appelle. Tu vas nous quitter cette année. Tu partiras avec la prochaine commande, j’en suis sure. Quelle chance tu as, de quoi te plaint tu. Moi j’aurais aime venir avec toi, pour jouer avec un enfant le soir du réveillon sous un beau sapin.. De grosses larmes lui coûllent sur les joues. Oh qu’elle est malheureuse la Suzette.
Tout d’un coup le chef revient et dit a l’employe, mettez donc cette petite poupée en chiffon avec , comme ça j’en serais débarrassé une fois pour toute. Mettez la avec le tambour et n’en faites qu’un seul lot.
Les voila réunis, la poupée et le tambour. ! Ce sera leur NOEL a eux.
Tous ces articles sont destinés a un orphelinat.. Pour des enfants qui n’ont ni mere ni pere.
Ils ont droit à leur Noel comme tout le monde. , avec un immense sapin.
joliment décoré.
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Posté le: 03-12-2006 08:14 Sujet du message:
Je te souhaite une bonne journée et du beau temps, Liline !
Merci pour tes histoires et tes photos du marché de Noël. Est-ce que tu y vas ? _________________
Posté le: 04-12-2006 07:37 Sujet du message: carnet de line
LE MARCHE DE NOEL !
Les voilà de retour, ces merveilleuses petites maisonnettes, pleine de délicieux nougats, caramels, sucre d’orge et friandises, qui garnissent comme tous les ans à la même époque, les places de notre ville. En venant de la place KLEBER et passant par la rue de L’Outre, vous sentez déjà la vanille, le citron, la mandarine et les amandes grillées émanant de la place Broglie. Mon dieu que de sapins, la moitié des Vosges a été dégarnie, à l’occasion de cette grande fête que dans chaque chaumière, brûle un sapin, joliment décoré le soir de NOEL.
Mais qui vient donc à notre rencontre, mais c’est le père NOEL. Je ne l’aurais même pas reconnu, s’il n’y avait pas ce grand traîneau et son fidèle renne. Qu’est ce qu’il est chic, tout moderne, je ne vous dis pas. DERNIER CRI ; Avez-vous déjà vu un père NOEL avec piercing et tatouages ? Ses longs cheveux gris ont disparus, pour pouvoir admirer maintenant sa boule rasée. Mon père NOEL à moi portait des grandes bottes noires, remplacées maintenant par des baskets. Plus de pantalon noir knickerbocker, se sont des jeans. Tout ce qui reste c’est son manteau pourpre et sa barbe blanche ainsi qu’un petit bonnet rouge à pompon blanc. PERE NOEL, laisse moi te dire, ton aïeul était plus joli que toi tu n’as plus le même charme, les enfants seront déçus. Ah voilà, j’ai compris ! Tu es un extra, tu donnes un coup de main à notre cher père NOEL pour cette année. C’est vrai le pauvre est surchargé et comme il ne peut pas être partout, c’est par un jeune qu’il se fait aider, maintenant j’y suis.
Mais en voila un autre qui fait photographe. Qui veut une photo avec le père NOEL, les enfants se précipitent et prennent une pose à coté d’un immense sapin de NOEL, qui brûle de tous ses feux Cet arbre est majestueux et comme ça sent bon comme les bonbons des VOSGES, le miel et le pin.
Les boules scintillent sur l’étalage et les étoiles brillent de toutes leurs forces.
Quoi de plus joli que des yeux d’enfants illuminés par des bougies, sous un beau sapin de NOEL ! LINE _________________ !
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Dernière édition par Line le 04-12-2006 07:49; édité 1 fois
Posté le: 05-12-2006 07:37 Sujet du message: carnet de line
LES OIES DU PERE MULLER !
Ce matin, dans l’enclos des oies, grand rassemblement. MATHILDE SOPHIE EMMA GUNEGONDE ET SALOME cinq belles oies gavées, sont dans tous leurs états. SOPHIE crie SALOME , la semaine dernière je t’ai prêté un cachet d’aspirine, aujourd’hui j’ai un mal de crâne fou, j’en aurais besoin. .Ecoutez les filles ne prêtez jamais rien à SOPHIE, car elle n’est pas fichu de vous le ramener Voyons, voyons les filles, crie l’ainée la MATHILDE arrétez de vous chamailler ,il y a des choses beaucoup plus importante qu’un cachet d’aspirine, c’est capital, il y va de notre vie à toutes. Connaissez vous au moins se qui va nous arriver encore avant NOEL. Quel triste sort on nous réserve, nous les oies. Mettez vous en queleuleu et marchons jusqu’au hangar derrière la mare aux canards. Les voilà parties, ces dames blanches en dandinant, la tête basse.
En arrivant MATHILDE prend la parole, elle lève l’aile et dit. Je jure que c’est la vérité, ce que je vais vous dire maintenant. En passant devant la cuisine j’ai entendu monsieur MULLER dire a sa femme, que dans le village on a commencé avec l’abattage des oies, quelle horreur. Voila ce que l’on nous réserve, la mort et pourquoi ? Parce que les hommes se régalent avec notre foie. Une délicatesse le foie gras, surtout mangé à NOEL vous vous rendez compte mes sœurs. Ce sera notre NOEL a nous,, le bûcher ou la guillotine si vous préférez. Tout le monde se lamente coin coin coin.
SOPHIE et moi-même avons élaboré un plan, voyons si vous êtes d’accord. Nous allons toutes les cinq nous évader cette nuit pour trouver refuge dans le vieux fort prés de la rivière. Une fois les fêtes passées,nous reviendront allègrement dans notre enclos, qu’en dites vous ? Plus rien ne pourra alors nous arriver après les guelletons, les gens se mettront tous au régime, il seront saturés. Ce sera la purée, les flocons d’avoine et les légumes., c’est bien fait pour eux. Pourquoi leur faut il du foie gras à ces morfales ?
Le père MULLER le lendemain de bonne heure va pour nourrir les bêtes. Vingt dieux l’enclos des oies est vide, dans la nuit un rôdeur est passé par là .Il se frotte les yeux, il n’a pas bu encore ce matin et pourtant, il a beau appeler rien ne bouge. Il court vers la maison MARIE MARIE n’as-tu rien entendu cette nuit ? on nous a raflé toutes nos oies , encore que je leur ai causé hier soir tard dans la soirée. Le gavage, tout ce boulot pour rien, si j’attrape le voleur,je lui fais une tête comme un comptoir à gaz, à celui-là.
Et voilà comme le temps passe, les jours de fêtes sont derrière nous.. MARIE , installé à la fenêtre de sa cuisine, admire le beau paysage de l’hivers, il neige. Tout est blanc comme un linceul. , l’eau de la mare est gelèe . MARIE regarde dans cette direction, c’est drôle on dirait que se sont nos oies à la queleuleu, qui viennent vers nous. Tu rêves ma pauvre marie ? tu ferais mieux de les oublier.
MARIE, toi aussi tu entends les coins coins, de nos oies, quel est ce tintamarre .Père MULLER ouvre grand la fenêtre, un cri de joie MARIE MARIEelles sont toutes revenues.
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Posté le: 05-12-2006 08:00 Sujet du message: carnet de line
conte de st Nicolas
Une visite de saint Nicolas
Clement Clarke Moore
T'was the night before Christmas, when all through the house
Not a creature was stirring, --not even a mouse;
The stockings were hung by the chimney with care,
In hopes that St. Nicholas soon would be there.
The children were nestled all snug in their beds,
While visions of sugar-plums danced in their heads;
And mamma in her 'kerchief, and I in my cap,
Had just settled down for a long winter's nap,
When out on the lawn there arose such a clatter,
I sprang from the bed to see what was the matter.
Away to the window I flew like a flash,
Tore open the shutters and threw up the sash.
The moon on the breast of the new-fallen snow
Gave the lustre of mid-day to objects below,
When, what to my wondering eyes should appear,
But a miniature sleigh, and eight tiny reindeer,
With a little old driver, so lively and quick,
I knew in a moment it must be St. Nick.
More rapid than eagles his coursers they came,
And he whistled, and shouted, and called them by name;
"Now, DASHER! now, DANCER! now, PRANCER and VIXEN!
On, COMET! on CUPID! on, DONDER and BLITZEN!
To the top of the porch! to the top of the wall!
Now dash away! dash away! dash away all!"
As dry leaves that before the wild hurricane fly,
When they meet with an obstacle, mount to the sky,
So up to the house-top the coursers they flew,
With the sleigh full of toys, and St. Nicholas too.
And then, in a twinkling, I heard on the roof
The prancing and pawing of each little hoof.
As I drew in my hand, and was turning around,
Down the chimney St. Nicholas came with a bound.
He was dressed all in fur, from his head to his foot,
And his clothes were all tarnished with ashes and soot;
A bundle of toys he had flung on his back,
And he looked like a peddler just opening his pack.
His eyes -- how they twinkled! his dimples how merry!
His cheeks were like roses, his nose like a cherry!
His droll little mouth was drawn up like a bow,
And the beard of his chin was as white as the snow;
The stump of a pipe he held tight in his teeth,
And the smoke it encircled his head like a wreath;
He had a broad face and a little round belly,
That shook, when he laughed like a bowlful of jelly.
He was chubby and plump, a right jolly old elf,
And I laughed when I saw him, in spite of myself;
A wink of his eye and a twist of his head,
Soon gave me to know I had nothing to dread;
He spoke not a word, but went straight to his work,
And filled all the stockings; then turned with a jerk,
And laying his finger aside of his nose,
And giving a nod, up the chimney he rose;
He sprang to his sleigh, to his team gave a whistle,
And away they all flew like the down of a thistle.
But I heard him exclaim, ere he drove out of sight,
"HAPPY CHRISTMAS TO ALL, AND TO ALL A GOOD-NIGHT." La nuit de Noël, dans toute la maison,
Nul être ne bougeait, pas même une souris ;
Les chaussettes pendaient, près de la cheminée,
Espérant la venue du bon Saint Nicolas ;
Les enfants se nichaient au creux des lits douillets,
Des rêves de bonbons dansaient dans leurs esprits ;
Maman sous son fichu, et moi sous mon bonnet,
Préparions nos cerveaux au long sommeil d'hiver,
Quand de notre pelouse monta un tel fracas
Que je sautai du lit voir ce qui se passait,
Volant à la fenêtre, aussi prompt que l'éclair,
Repoussant les volets, relevant le châssis.
La lune qui jouait sur la neige récente
Donnait à chaque objet le lustre de midi,
Quand à mes yeux ravis, devinez qui parut,
Un tout petit traîneau, huit rennes minuscules.
Un petit vieux gaillard les menait prestement,
Je reconnus saint Nick dès le premier moment.
Plus rapides que l'aigle bondissaient ses coursiers,
Il sifflait et criait, interpellant chacun :
Allez, Fougueux ! Danseur ! allez, Fringant ! Rusé !
Comète ! Cupidon ! vite, Elégant ! Éclair !
Sautez en haut du porche ! Et vite en haut du mur !
Galopez, galopez ! Filez à toute allure !
Comme les feuilles mortes que chasse l'ouragan
Rencontrant un obstacle, remontent vers le ciel,
En haut de la maison bondissaient les coursiers,
Leur traîneau plein de jouets, entraînant Nicolas.
Alors, en un éclair, j'entendis sur le toit
Piaffer allègrement chaque petit sabot.
Quand je rentrai la tête pour me retourner
Je vis saint Nick bondir hors de la cheminée.
Revêtu de fourrure de la tête aux pieds,
Son habit tout couvert de cendres et de suie,
Et un ballot de jouets jeté sur son épaule,
C'était un camelot prêt à ouvrir son sac.
Ses yeux, comme ils brillaient ! Ses pommettes joyeuses
Ses joues au teint fleuri et son nez en cerise !
Sa drôle de petite bouche tendue comme un arc,
La barbe à son menton, aussi blanche que neige ;
Il tenait une pipe serrée entre ses lèvres
Un cercle de fumée auréolait son front ;
Il avait large tête et petit ventre rond,
Qui tremblait à son rire, comme un bol de gelée.
Joufflu, dodu, tel un joyeux lutin :
Je ne pus m'empêcher de rire en le voyant ;
En un petit clin d'œil et un signe de tête,
Il m'assura bientôt que je ne craignais rien.
Sans prononcer un mot, il se mit à la tâche,
Et remplit tous les bas, puis se tourna soudain,
Un doigt le long du nez, pour un petit salut,
Avant de remonter dedans la cheminée.
Il reprit son traîneau, siffla son attelage,
Et tous s'évaporèrent, tels duvets d'un chardon,
Mais je l'entendis bien crier en s'éloignant :
JOYEUX NOËL A TOUS, ET A TOUS BONNE NUIT ! _________________ !
Posté le: 06-12-2006 07:46 Sujet du message: CARNET DE LINE
NOEL EN ALSACE !
Chez nous en Alsace, il fait encore relativement bon, malgré la saison bien avancée. NOEL est devant la porte avec ses traditions, les sapins, les guirlandes, les crèches et son merveilleux réveillon. Comme tous les ans le passage du père-Noel est attendu par les enfants avec impatience. Les lettres adressées à la maison du père fouettard, dans le grand nord, sont parties, il y a bien longtemps et certainement bien arrivées à destination. Le cercle polaire est envahi de paquets plus ou moins grands, avec des cadeaux et les rennes ne finissent pas de sélectionner et de charger les traîneaux. Il fait très froid dans cette région, les petits lutins au nez rouge, s’amuse à jeter des boules sur un grand bonhomme de neige. Il a un chapeau haute forme et une pipe. Celui qui arrive à viser la pipe a gagné.
Le doyen des lutins a trouvé un système pour accélérer le transport. Père Noel, j’ai une proposition à te faire. Tu engages ma troupe et mes deux cygnes, lesquels vont tirer une pirogue, avec le chargement, qu’en penses-tu ? De rivière en rivière, de fleuve en fleuve, se sera la grande vitesse, cette année ci. Mes trolls sont d accord pour faire des heures sup. Et ils ont promis que chaque enfant aura son paquet cette année ci, sans aucun oubli avec un merveilleux sapin richement garni.
BALTHAZAR, tu tombe à pique. Sais tu je me fais vieux à présent, mes rhumatismes ne me lâchent, mes jambes sont engourdies, je ne peux plus courir, comme dans le temps. J’accepte volontiers ton offrit, que je trouve formidable. Tous les petits enfants de la terre seront heureux, même ceux qui n’ont plus de père ni de mère. Le plus grand des sapins sera pour l’orphelinat ainsi qu’une grande corbeille de friandises, de mandarine, de noix et de petits gâteaux avec les cadeaux évidemment.
Han han han, ça travaille sec, les petits trolls ont froid. Voila madame père Noel qui amène une immense théière avec un chocolat bien chaud, c’est délicieux, il est la bienvenue, ça va les ravigoter. Les voila qui se mettent à chanter la la la la la la la la la la au boulot. Un de ces loustics entraine la femme dans une ronde folle. Tous se mettent à rire, car elle le prend sur ses bras pour finir la danse. Si vous travaillez bien, je vous invite pour le réveillon, il se passera chez nous deux jours plus tard. lorsque le travail se ra terminé. Je vous souhaite bon courage dit elle et à bientôt …. Bey et de la main envoie un petit bisou à la ronde.
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Dernière édition par Line le 06-12-2006 08:11; édité 2 fois
Il avait neigé sur Terre, toute la journée du 24 décembre. Aussi, quand arriva le soir, un manteau blanc recouvrait le sol.
En haut, le Père Noël qui était un peu frileux, regardait tout cela d'un air songeur. Il savait par expérience que la nuit allait être froide.
Il ne se trompait pas. Une bise glaciale se leva, gelant la neige et formant des cristaux étincelants sur le paysage blanc.
― Allons donc, se dit le bon vieux, c'est le moment de rajouter une doublure de laine à mon costume et de me préparer pour la tournée.
Il était 22 heures et les lutins chargeaient tous les jouets et les cadeaux dans l'immense traîneau. Dehors, les rennes se nourrissaient avant le départ de minuit.
La maison du Père Noël était sens dessus dessous. D'ailleurs plus la date de la grande nuit magique avait approché, plus le désordre avait augmenté. Il y avait des jouets partout. Il faut dire que le Père Noël craignait tellement d'en manquer qu'il préférait prendre ses précautions et en avoir trop que pas assez. On en trouvait jusque dans la penderie ! Pas facile dans ces conditions d'accéder aux vêtements. Le Père Noël écarta du pied quelques paquets, histoire d'y voir plus clair pour prendre son beau costume rouge, mais ce ne fut pas suffisant. Alors il retroussa ses manches et fit place nette en sortant tous les jouets qui encombraient l'armoire.
Peine perdue, pas de costume rouge en vue !
― Tiens donc ! Pourtant il me semblait l'avoir posé ici après ma tournée de l'an dernier… C'est ma mémoire qui doit me jouer des tours.
Il referma la penderie après avoir éloigné un paquet de friandises multicolores qui gênait encore, et partit chercher le costume rouge dans l'atelier de jouets.
Le bric à brac qui régnait dans cette pièce était impressionnant malgré le rangement qu'avaient commencé les lutins. On ne pouvait y marcher qu'en enjambant à droite et à gauche… Le Père Noël enjamba donc, déplaça, redressa et réussit à atteindre le placard qui servait de fourre-tout.
― Je serais étonné qu'il soit là-dedans, mais sait-on jamais…
Il n'y était pas !
Ça devenait gênant cette histoire, parce qu'à force, il était dix heures et quart ! Peut-être qu'en remplaçant le costume par un survêtement… Non ! Avait-on déjà vu un Père Noël en survêtement ? Si encore il avait été rouge, mais même pas, il était d'un bleu tout ce qu'il y avait de plus bleu ! ...
Pour lire la suite de ce conte...
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Dernière édition par Line le 06-12-2006 08:21; édité 1 fois
Posté le: 07-12-2006 07:37 Sujet du message: carnet de line
LE BUCHERON !
Papa, dit la petite marguerite, maman a dit que c’est aujourd’hui que tu vas nous apporter le sapin de noël. Le pauvre père est dans tous ses états, lui qui bichonne toute l’année durant ses conifères, il doit amputer ses arbres, ah ça jamais. Que reste t’il, une fois déboisé, des taillis, des ronces, la forêt aura disparu et où irons les familles Cerf, Sanglier, Renard, Ecureuil, s’abriter par ce grand froid et cet amas de neige. ?
Alors Antoine, tu n’as pas le coeur à l’ouvrage aujourd’hui, que t’arrive t’il ? Commence à abattre, tu es au rendement, regarde les autres, tu en as pas mal à rattraper. Antoine a le cœur gros quand il pense à sa forêt. Pour la coupe il est d’accord, pour les arbres malades, ou s’il n’y a pas assez de place il faut éclaircir, mais là c’est l’hécatombe pour NOEL.
ANTOINE secoue la tête, non et non. Il prend sa hache, la pose contre un tronc et dit à son copain. Dis au chef que je rentre, je ne suis pas bien, je n’ai envie de me retrouver avec une pneumonie pour les jours de fêtes, collé au lit et il s’en va.
La petite Marguerite, devant la maison est entrain de jouer dans un bac à sable. Papa tu es déjà là ? As-tu apporté le petit sapin ? Non mon ange, je donnerai à maman mon argent de poche, pour en acheter un place du marché, chez la concurrence. Moi je vais me coucher maintenant, j’ai du prendre froid, ma fille Lui qui respecte tous les arbres de la nature, il aurait dû couper un sapin, jamais de la vie. Sa vie c’est la forêt, les sapins, les champignons, le muguet, les animaux et ceci demande du respect.
Et c’est comme cela que passa NOEL dans cette demeure, chez le bûcheron. Après les fêtes ANTOINE revient au travail en pleine forêt. Sa forêt est méconnaissable, tout est vide dans ce secteur, plus le même charme. Heureusement que dans sa parcelle, rien n’a changé, il est heureux comme un roi. Ah les sapins petits et grands ils sont tous restés et inclinent doucement leurs branches, comme pour remercier le brave bûcheron de les avoir épargné de la coupe, cette année ci.
Un pâle rayon de soleil à travers les sapins, laisse entrevoir Madame soleil, qui fait un joli petit clin d’œil au bûcheron.
,
C'était la nuit avant Noël, dans la maison tout était calme. Pas un bruit, pas un cri, pas même une souris!
Les chaussettes bien sages pendues à la cheminée attendaient le Père Noël. Allait-il arriver?
Les enfants blottis dans leur lit bien au chaud rêvaient de friandises, de bonbons, de gâteaux.
Maman sous son fichu, et moi sous mon bonnet et vous prêts à dormir toute une longue nuit d'hiver.
Dehors, tout à coup, il se fit un grand bruit!
Je sautais de mon lit, courais à la fenêtre, j'écartais les volets, j'ouvrais grand la croisée.
La lune sous la neige brillait comme en plein jour.
Alors, parut à mon regard émerveillé, un minuscule traîneau et huit tout petits rennes conduits par un bonhomme si vif et si léger qu'en un instant je sus que c'était le Père Noël!
Plus rapides que des aigles, ses coursiers galopaient, lui il les appelait, il sifflait, il criait:
"Allez Fougueux, allez Danseur, Fringant et puis Renarde, En avant Comète! Cupidon en avant, Tonnerre, Éclair, allons, allons Au-dessus des porches, par delà les murs! Allez! Allez plus vite encore!"
Comme des feuilles mortes poussées par le vent, passant les obstacles, traversant le ciel, les coursiers volaient au-dessus des toits, tirant le traîneau rempli de jouets
Et, en un clin d'oeil, j'entendis sur le toit le bruit de leurs sabots qui caracolaient. L'instant qui suivit le Père Noël d'un bond descendait par la cheminée.
Il portait une fourrure de la tête aux pieds, couverte de cendres et de suie, et, sur son dos, il avait une hotte pleine de jouets comme un colporteur avec ses paquets.
Ses yeux scintillaient de bonheur, ses joues étaient roses, son nez rouge cerise, on voyait son petit sourire à travers sa barbe blanche comme neige.
Un tuyau de pipe entre les dents, un voile de fumée autour de la tête, un large visage, un petit ventre tout rond qui remuait quand il riait; il était joufflu et rebondi comme un vieux lutin. Je n'ai pu m'empêcher de rire en le voyant et d'un simple clin d'oeil, d'un signe de la tête il me fit savoir que je ne rêvais pas: c'était lui!
Puis, sans dire un mot, il se mit à l'ouvrage et remplit les chaussettes. Il se retourna, se frotta le nez et d'un petit geste repartit par la cheminée.
Une fois les cadeaux déposés, il siffla son attelage, puis reprit son traîneau et les voilà tous repartis plus légers encore que des plumes
Et dans l'air j'entendis avant qu'ils disparaissent:
Posté le: 08-12-2006 07:49 Sujet du message: carnet( de line
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Une partie de la VIE
Il y a bien longtemps, une fillette du nom de line et qui vivait heureuse
Au Port du Rhin à Strasbourg avec ses sœurs et son frère..
Malgré la guerre elle fût une enfant gatée par ses parents, choyée par les grands parents.
Elle avait tout pour être heureuse. Sa jeunesse, sa santé, son humour et pourtant.
A 18 ans elle fait la connaissance d’un beau marin et elle tombe amoureuse de lui.
Sans réfléchir davantage, elle se marie le 7 septembre 1946.
Quelques années plus tard naissent deux superbes filles du nom de Michèle et Danièle.
Les filles petites, c’était la plus belle partie de ma vie. Me voila arrivée à 77 ans, j’ai
Beaucoup de choses derrière moi, si s’était à refaire, je ne sais pas.
Maintenant je prends la vie comme elle vient. Il y a quand même de beaux restes’
et je me contente avec ce que j’ai. Surtout la santé, c’est le principal et après on verra.
Plus je vieillie et plus je pense à mes parents. Ça doit être chez tout le monde pareil. Papa
disait toujours : De Kopf hoch, wenn de Hals au nit gewaesche isch ., ce qui veux dire, la tête haute, même si le cou n’est pas lavé ! LINE _________________ !
bonjour ma linette,
nous sommes vendredi, et il y a encore une grande
tempête chez nous............
je te fais un grand bonjour, et un gros bisou.
ta musika _________________ poete_musika..4 mains
Posté le: 08-12-2006 08:36 Sujet du message: carnet de line
arnetEncore un souvenir pas triste, le Père Noël en a décidément vu de toutes les couleurs !!!
Mais n'en disons pas plus et découvrons ce qui lui est arrivé ce soir là...
Il avait neigé sur Terre, toute la journée du 24 décembre. Aussi, quand arriva le soir, un manteau blanc recouvrait le sol.
En haut, le Père Noël qui était un peu frileux, regardait tout cela d'un air songeur. Il savait par expérience que la nuit allait être froide.
Il ne se trompait pas. Une bise glaciale se leva, gelant la neige et formant des cristaux étincelants sur le paysage blanc.
― Allons donc, se dit le bon vieux, c'est le moment de rajouter une doublure de laine à mon costume et de me préparer pour la tournée.
Il était 22 heures et les lutins chargeaient tous les jouets et les cadeaux dans l'immense traîneau. Dehors, les rennes se nourrissaient avant le départ de minuit.
La maison du Père Noël était sens dessus dessous. D'ailleurs plus la date de la grande nuit magique avait approché, plus le désordre avait augmenté. Il y avait des jouets partout. Il faut dire que le Père Noël craignait tellement d'en manquer qu'il préférait prendre ses précautions et en avoir trop que pas assez. On en trouvait jusque dans la penderie ! Pas facile dans ces conditions d'accéder aux vêtements. Le Père Noël écarta du pied quelques paquets, histoire d'y voir plus clair pour prendre son beau costume rouge, mais ce ne fut pas suffisant. Alors il retroussa ses manches et fit place nette en sortant tous les jouets qui encombraient l'armoire.
Peine perdue, pas de costume rouge en vue !
― Tiens donc ! Pourtant il me semblait l'avoir posé ici après ma tournée de l'an dernier… C'est ma mémoire qui doit me jouer des tours.
Il referma la penderie après avoir éloigné un paquet de friandises multicolores qui gênait encore, et partit chercher le costume rouge dans l'atelier de jouets.
Le bric à brac qui régnait dans cette pièce était impressionnant malgré le rangement qu'avaient commencé les lutins. On ne pouvait y marcher qu'en enjambant à droite et à gauche… Le Père Noël enjamba donc, déplaça, redressa et réussit à atteindre le placard qui servait de fourre-tout.
― Je serais étonné qu'il soit là-dedans, mais sait-on jamais…
Il n'y était pas !
Ça devenait gênant cette histoire, parce qu'à force, il était dix heures et quart ! Peut-être qu'en remplaçant le costume par un survêtement… Non ! Avait-on déjà vu un Père Noël en survêtement ? Si encore il avait été rouge, mais même pas, il était d'un bleu tout ce qu'il _________________ !
Posté le: 09-12-2006 07:27 Sujet du message: carnet de line
LES ETRENNES !
Notre facteur est un homme merveilleux, il est gentil courtois et très minutieux dans son travail. Régulier comme une pendule, vous le voyez tous les matins à la même heure, tourner au coin de rue avec sa sacoche peine de nouvelles.
Ce matin on sonne à la porte de la famille MASERAN. Maman c’est le facteur s’écrit le petit Roland, il nous apporte un calendrier pour Noël. Entrez facteur , je vous ai préparé une enveloppe avec vos étrennes et vous prendrez un petit verre de cognac ? il fait si froid dehors . Le pauvre homme, dans chaque foyer on lui verse autre chose, quel mélange ? Bière, vin rouge, vin blanc, pastis, martini, schnaps ; amer-bière .Il n’oses pas refuser de peur de froisser quelqu’un, mais à un moment rien ne va plus. Il préfère rentrer chez lui et terminer sa tournée le lendemain Hic hic , les calendriers attendrons.
La femme du facteur adore son mari, mais pas de l’état où il se trouve. Elle le fait s’allonger sur le divan du salon, lui quitte ses chaussures et lui prépare un café bien fort. A peine la tête sur l’oreiller, notre préposé se met à ronfler et il rêve.
D’une belle petite usine de jouets en miniature et de ses ouvriers les petits nains, chacun vaquant à ses occupations. Cette équipe travaille vite, à la chaîne comme une fourmilière et plus rien ne peux les arrêter. La maison plus loin est celle du PERE NOEL ; La MERE NOEL est entrain de nettoyer le manteau de son mari, elle lui fait les poches et que trouve t’elle ?
Une invitation pour le PERE NOEL ; Les anges de nos campagnes,ont organisé un méting à la foire exposition dans une grande halle au WACKEN ; Un rassemblement pour la paix dans le monde et le PERE NOEL a été nommé Président d’honneur pour ce soir là. PERE NOEL à peine rentré chez lui se fait tirer les oreilles par son épouse. Ah parce que maintenant tu es invité par les anges, que manigances tu ? Ma pauvre MERE NOEL , moi à mon âge, serais tu jalouse par hasard.
Hier en passant devant la foire un ange a distribué ses invitations, que j’ai mis dans la poche sans regarder et voilà., mais comme je vois je suis nommé président. J’ai deux bonnes heures devant moi pour me rendre à STRASBOURG ; Avec les rennes pas possible, mais tu devrais me faire avancer l’hélicoptère . Ne veux tu pas m’accompagner, ça te feras une sortie .
Déjà on survole, La NORVEGE, le DANEMARK, l’ALLEMAGNE , la FRANCE et voila destination STRASBOURG
La place du WACKEN est noire de monde . Les anges accueillent le père noël comme il se doit et le portent sur la tribune.
La foule applaudit tellement fort, que notre cher facteur se réveille. Mais où suis-je ? dans ton lit pardi dit sa femme.
Retournes toi et dors, on en reparlera demain., car aujourd’hui tu es HS . _________________ !
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Dernière édition par Line le 09-12-2006 07:52; édité 1 fois
Au milieu du village, il y avait un puits. Un puits moussu et tranquille. Un bon vieux puits qui ressemblait à tant
d'autres : un de ces bons vieux puits, rond et grassouillet, paressant toute la
journée au soleil. Pourtant les légendes du lieu racontaient que ce puits si
inoffensif prenait vie les nuits d'équinoxe et qu'il se passait sur la place des
phénomènes bien étranges...
Personne ne l'approchait alors... Il semblait doté, à ces moments, de pouvoirs
maléfiques : des sorcières dansaient autour, en faisant une ronde infernale,
tournoyant de plus en plus vite, pour s'envoler ensuite, ivres de chants et
d'incantations bizarres...
Peu de personnes avaient assisté à ce spectacle et certaines ne s'en étaient
jamais remises. On murmurait que c'était la cause des pertes de mémoire de
Justin... Les chiens hurlaient ces nuits-là et on ne rencontrait âmes qui vivent
dans les ruelles du village. Les chats noirs disparaissaient tous mystérieuse-
ment pour ne rentrer qu'au petit matin. Ils longeaient les murs ensuite, la
conscience chargée de lourds péchés, semblait-il, pour aller dormir la
moustache repentante !
Pourtant l'eau que l'on y puisait était claire et douce sous la langue comme
si elle était protégée, par quelque chose ou quelqu'un, de tous ces maléfices.
GOOGLE _________________ !
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Dernière édition par Line le 09-12-2006 08:51; édité 1 fois
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