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le CARNET DE LINE---histoire de Line
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Line



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MessagePosté le: 09-12-2006 08:49    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant


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Zuti
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MessagePosté le: 09-12-2006 09:33    Sujet du message: Répondre en citant


Merci Line, ça m'a rappelé des bons moments, c'est tellement féérique Wink
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MessagePosté le: 09-12-2006 18:44    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

merci ma Zudinette pour ton message. Je te souhaite bon dimanche et a bientot bisou ta LINE
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MessagePosté le: 09-12-2006 18:47    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

a toi aussi MARIE merci pour ton message,je ne sais plus sur quelle rubrique . Bon dimanche bisou a bientôt LINE





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Dernière édition par Line le 09-12-2006 19:03; édité 2 fois
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MessagePosté le: 10-12-2006 08:15    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

PERE NOEL FAIT APPEL AU BON GENIE !


Il est 22 heures, le PERE NOEL dans son bureau fait encore sa comptabilité. De temps en temps, il remonte ses lunettes sur le nez, il est sur le point de s’endormir. Allons PERE NOEL, votre lit vous attend lui dit un ange, vous devriez vous reposer à votre âge. Ecoutez ce que j’ai à vous dire. Le vieux PERE NOEL, têtu comme une mule lui coupe la parole


Justement parce que je ne suis plus de première fraîcheur, j’ai mauvaise conscience. Admettons que j’aie oublié, un enfant malheureux, une personne âgée, ou un sans domicile fixe, je ne me le pardonnerais jamais. Moi dit le petit ange, j’ai la solution vous devriez m’écouter. Bon vas y dit le PERE NOEL, raconte mais abrège, je suis fatigué et j’ai bien envie de dormir pour récupérer.


Voila, j’ai rassemblé tout un régiment de bons génies ainsi que des anges, que vous allez envoyer sur la terre. Pas en avion par ce que les conditions atmosphériques ne sont pas des meilleures. Un génie va s’occuper du transfert, qui sera des plus simples. LA NEIGE va tomber sur tout le globe pendant quelques minutes et dans chaque flocon se trouvera un bon génie ou un ange. Ils auront la mission de rechercher vos oublis et une grosse cloche se mettra à sonner pour vous avertir. Le deuxième passage sera organisé par des anges et le tour sera joué. Si vous voulez en parler à votre dame avant, je veux bien mais il me faut une réponse avant demain midi. Mes fidèles sujets ont encore une autre proposition au cas où vous ne seriez pas d’accord.

Je m’incline dit le PERE NOEL, je reconnais que je n’ai plus une tâche facile pour superviser cette immense besogne, laissons partir ces éléments au plus vite.

Tard dans la nuit en pleine lune, dans un ciel étoilé, se fit la métamorphose .La neige tomba avec les génies et les anges se sont dispersés


Le premier coup de la grande cloche retentit. Ier oubli !

Devant la cathédrale de STRASBOURG avec sa maman une petite roumaine, certainement des émigrés, font la manche. Pas de toit, pas de gîte, pas de nourriture pas de chaleur par ce vilain froid hivernal. La pauvre petite est livide avec des mirettes larmoyantes, serrée bien fort contre les jupes de sa mère. Madame vous n’auriez pas un peu de menue monnaie pour acheter du lait pour ma fille, Dieu vous le rendra. . La dame est un ange et avec un bon génie vont trouver un accueil et du ravitaillement pour ces gens Première mission accomplie !

Pour NOEL tout sera fin prêt pour le 24 au soir. Grâce aux anges et aux bons génies, personne ne sera oublié pour fêter dignement cette grande fête sous un beau sapin décoré.

LINE
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MessagePosté le: 10-12-2006 09:02    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

HISTOIRE DE NOEL

URL=http://imageshack.us][/URL]
Jésus, le roi en exil

"En ce temps-là, le roi désigné par les Romains pour gouverner la Judée, s'appelait Hérode", dit Mathieu. "Il vivait dans un palais, à Jérusalem."

Très loin de là, en Orient, des mages étudiaient les étoiles. Un jour, l'un d'eux s'écria : "Regardez, une nouvelle étoile scintille dans le ciel !"
"Un nouveau roi vient de naître", répondit un autre.
"Suivons l'étoile, elle nous conduira jusqu'à lui !"

Les mages arrivèrent à Jérusalem et demandèrent à Hérode : "Où est le roi nouveau-né ?"
Hérode demanda aux savants Juifs où devait naître le Messie. Ils répondirent tous "A Bethléem !"

Le roi eut peur qu'un autre roi vint le remplacer, mais il cacha ses pensées aux mages et leur demanda de venir lui dire lorsqu'ils auraient trouvé l'enfant, prétendant qu'il voulait l'adorer lui aussi.
Jésus, le roi en exil

"En ce temps-là, le roi désigné par les Romains pour gouverner la Judée, s'appelait Hérode", dit Mathieu. "Il vivait dans un palais, à Jérusalem."

Très loin de là, en Orient, des mages étudiaient les étoiles. Un jour, l'un d'eux s'écria : "Regardez, une nouvelle étoile scintille dans le ciel !"
"Un nouveau roi vient de naître", répondit un autre.
"Suivons l'étoile, elle nous conduira jusqu'à lui !"

Les mages arrivèrent à Jérusalem et demandèrent à Hérode : "Où est le roi nouveau-né ?"
Hérode demanda aux savants Juifs où devait naître le Messie. Ils répondirent tous "A Bethléem !"

Le roi eut peur qu'un autre roi vint le remplacer, mais il cacha ses pensées aux mages et leur demanda de venir lui dire lorsqu'ils auraient trouvé l'enfant, prétendant qu'il voulait l'adorer lui aussi.


OGLE
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MessagePosté le: 10-12-2006 09:11    Sujet du message: carnet Répondre en citant

sup
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MessagePosté le: 11-12-2006 07:45    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

UN DROLE DE BONHOMME !

URL=http://imageshack.us][/URL]

Tout le monde l’appelle docteur, pourtant il n’a jamais exercé. A-t-il son doctorat, personne ne peut le dire. Il est marié à une femme riche, plus vieille que lui d’une dizaine d’année et c’est un ménage qui bat de l’aile. La quitter non, car il quittera également cette grosse fortune, il n’en est pas question. Depuis des mois et des mois, le docteur cherche un moyen de se libérer, pour pouvoir vivre amplement sa vie d’aventurier.


Sa vie jusqu’ici n’a pas été rose. Il a la quarantaine passée, aucun but, rien que de vivre au crochet de sa femme. Celle-ci le bichonne et exauce tous ses vœux et ils ne sont pas des moindres. AUTOS VOYAGES CASINOS RESTAURANTS etc.

Toutes les idées lui passent par la tête et il y a des jours, il se sent même capable de la tuer. A l’arme blanche, au revolver, la pendaison, le poison ? Le sèche cheveux dans la baignoire pour l’électrocuter.

Le docteur a passé une partie de sa vie dans une clinique d’aliénées, personne n’est au courant, même pas son épouse. Des nuits entières il se promène dans les ruelles de la ville, pour se débarrasser de sa hantise. Des maux de têtes lui donnent des visions atroces. Par exemple des mains sanguinolentes sur les murs des maisons et des étoiles de David. sur les capots des automobiles.

Ce soir a-t-il décidé de mettre son idée à exécution. Enfin il a trouvé somnifère et noyade en baignoire. Comme sa femme est actuellement un peu enrhumée, il va lui préparer après souper un breuvage. Infusion et narcotique. D’après lui, jusqu’ici tout colle, sauf que la femme de ménage qui est en très bons termes avec madame, a vu par la fenêtre de la terrasse la fiole des gouttes qui font dormir. Elle avertit tout de suite sa maîtresse, qui tombe des nues, mais prend toutes ses précautions et fait semblant. Elle se laisse traîner sur le dos de son mari jusque dans la salle de bain. Une baignoire pleine d’eau l’attend Elle plonge, pourvu que le bonhomme sorte avant qu’elle ne se noie. Effectivement, il sort met sa veste est va courir le guilledoux

Madame et la servante vont droit à la police faire une déclaration. Le soit disant docteur retournera à l’asile. Madame ne peut rien faire. Si un des deux époux perd la raison, l’autre ne peut demander le divorce, c’est la loi.

Pauvre docteur, c’est sa maladie qui a pris le dessus. On peut dire, que grâce à la femme de ménage, l’épouse l’a échappé belle. Il lui faudra des années et des années pour oublier ce cauchemar.
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musika



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MessagePosté le: 11-12-2006 07:50    Sujet du message: Répondre en citant

bonjour line
l histoire du père Noel, est tres mignonne, je vais la raconter à EVA,
je l aime vraiment beaucoup
je viens te saluer dans ta rubrique.............bonne journée à toi Very Happy
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MessagePosté le: 11-12-2006 08:01    Sujet du message: carnet Répondre en citant

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MessagePosté le: 11-12-2006 08:01    Sujet du message: carnet Répondre en citant

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MessagePosté le: 11-12-2006 08:30    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

Chemins de traverse

"Ce gars-là, une roulotte galope dans sa tête, et quand elle voyage, jamais ne s'arrête." M. Heyral

En itinérance de village en village, au pas du cheval, la Compagnie CREVECOEUR sortira pour vous de sa roulotte toute la magie de ses spectacles de contes et d'orgue de Barbarie.

Artistes ambulants du XXIe siècle, le conteur et les deux chanteurs se produiront en tous lieux : de l'école à la place du village, de la crèche au club des anciens, vous aurez la possibilité de programmer plusieurs spectacles ou animations à l'occasion du passage de la roulotte.

Tournée à programmer avec l'implication de structures inter-communales telles que pays, médiathèques départementales, académies, etc.

Depuis juin 2006, François sillonne les montagnes savoyardes avec Pipo, son cheval de trait. La Compagnie attellera la roulotte en 2007, mais vous pouvez dès maintenant nous contacter si vous désirez accueillir cette tournée dans votre région.
Durée possible : de l'arrivée de la roulotte en début d'après-midi au spectacle en soirée

Public : spectacles et/ou animations adaptés au différents lieux et publics
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MessagePosté le: 12-12-2006 08:00    Sujet du message: CARNET DE LINE Répondre en citant

LE SAPIN ET LE POINSETTIA !




Ce soir dans une grande pièce, un père de famille est entrain d’installer un beau sapin de NOEL, comme chaque année à la même époque. A sa droite se trouve un merveilleux POINSETTIA d’un rouge écarlate . La porte fut verrouillée, en attendant que la maman garnisse l’arbre de Noël de différent s petits sujets comme étoiles , boules, lune, bougies, cheveux d’anges et fil d’argent. LES ENFANTS SONT IMPATIENTS ;

Le sapin et le poinsettia, seul dans l’obscurité se mette raconter. Oh madame POINSETTIA, comme vous avez bonne mine cette année ci, votre nouvelle robe rouge vous va à ravir. Et votre feuillage, d’un vert chatoyant, sans ride, c’est tout à fait exceptionnel. L’année passée, je vous ai trouvé un peu fatiguée, mais cette année, chapeau madame, vous resplendissez.

La POINSETTIA toute émotionnée : Quel vieux farceur vous fêtes monsieur sapin.

Madame POINSETTIA baisse les yeux, vous me faites rougir monsieur sapin et elle devint plus rouge que sa collerette, arrêtez je suis gênée devant tous ces compliments., je n’ai pas l’habitude, personne ne m’en fait Mon mari n’étais pas fleur bleue et maintenant que je suis veuve, Je suis juste encore bonne à fleurir le décor, ou garnir un cache pot vide, pour mettre devant la cheminée.. Mais madame dit le sapin, mais c’est énorme. Tant qu’on a encore besoin de vous tout va bien. Une fois qu’on ne sert plus à rien, c’est là que l’on peux commencer à se lamenter. Comme moi par exemple, ma vie est bientôt terminée. Je ne sais pas combien de temps sa va durer, on m’a privé de mes racines, je vais trépasser bientôt. Monsieur Sapin, beau comme vous êtes, tout vert , aiguilles fraîches, vous n’y pensez pas. Vous avez encore l’allure d’un tout jeune sapin, svelte droit, et touffu avec des aiguilles reluisantes. Vous allez faire le bonheur de tous ces enfants le soir du réveillon, surtout ne pensez pas maintenant à votre destiné. Il faut vivre du jour au jour, quand on a un certain âge et profiter de chaque minute de chaque seconde qui se présente.

C’est dommage » dit madame POINSETTIA, j’aurais bien aimé passer ces jours de fêtes avec vous. Malheureusement je vais vous quitter demain. Je suis le cadeaux de NOEL pour la voisine de palier. , c’est une dame charmante et serviable durant toute l’année.

Alors disons nous adieu , passez de bonne fêtes Madame et le soir de NOEL lorsque les lumières brûleront, je penserais à vous. Merci monsieur sapin et bonne nuit !

• POINSETTIA se mit a pleurer de chaudes larmes. Monsieur sapin ouvre grands ses bras, c'est-à-dire ses branches, la serra fort contre son tronc, ou on entend battre son cœur la soulève. Et lui dit . AVEC VOUS MON ETOILE J AURAIS PU ETRE HEUREUX ; ADIEU line
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MessagePosté le: 12-12-2006 08:19    Sujet du message: histoire Répondre en citant

Le don de l'histoire de Noël

URL=http://imageshack.us][/URL]

La Nativité raconte l'histoire de la naissance d'un enfant et s'adresse directement au cœur humain. Aujourd'hui, même au milieu du tourbillon de la vie dans les grandes villes, la présence d'un petit enfant fait naître un sourire sur le visage des passants. Un bébé dans les bras de sa mère nous émeut, nous invite à l'émerveillement et nous redonne— ne serait-ce que pour un instant — un profond sentiment de respect envers la Création. Le premier «cadeau» de l'histoire de Noël est le don de reconnaissance.

Le second cadeau de l'histoire de Noël est inscrit dans l'imaginaire collectif. C'est l'espoir, exprimé par toutes les cultures humaines, à toutes les époques de l'histoire, que nos vies, notre monde, nos connaissances seront sauvés des ténèbres, de la destruction et de la mort. L'espérance d'un sauveur, d'une rédemption encourage le cœur humain. Pour les chrétiens, l'histoire de la Nativité exprime le merveilleux mystère de la vie et la foi en la Création.

L'histoire de Noël est racontée dans la Bible, dans les évangiles de saint Mathieu et de saint Luc. La crèche en est la représentation. La naissance de Jésus est au cœur du récit. Le nom de Jésus est une forme grecque du mot hébreu «Josué» qui signifie «Dieu est salut». Les chrétiens Lui ont donné le titre de Messie, «l'oint» tant espéré par la foi juive, celui qui redonnerait la foi en Dieu.

Jésus est né de la Vierge Marie. Ce détail de l'histoire signifie pour certains chrétiens que Jésus a une nature double, qu'il est à la fois humain et divin. Jésus est souvent appelé le second Adam dans les écrits chrétiens; ce titre souligne bien le lien de la création de l'homme «à l'image et à la ressemblance de Dieu». Le récit de la Nativité dans les évangiles mentionne deux visites au lieu de naissance de l'Enfant. La première est la visite des bergers, venus l'adorer en chantant. Ils Lui firent présent de leur adoration. La seconde visite est celle des trois Rois mages. Les présents qu'ils apportent, l'or, l'encens et la myrrhe, symbolisent le don du Christ enfant offert pour la rémission de l'humanité.

Jésus de Nazareth a été pendant près de vingt siècles la figure dominante de l'histoire de la culture occidentale, indépendamment de ce que chacun peut penser ou croire à son sujet. Si quelque puissant aimant nous permettait d'arracher à cette histoire tous les éclats de métal portant la trace de son nom, qu'en resterait-il? Sa naissance marque le début du calendrier de la plus grande partie de l'humanité, c'est par et sur son nom que jurent et prient des millions d'hommes.

PELIKAN, Jaroslav, Jésus au fil de l'histoire, sa place dans l'histoire de la culture, trad. par Catherine Malamoud, Paris Hachette, 1989, p.11
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MessagePosté le: 12-12-2006 08:21    Sujet du message: carnet Répondre en citant

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mamiero



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MessagePosté le: 12-12-2006 08:30    Sujet du message: Répondre en citant

gros bisous Line tres belles histoires .
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MessagePosté le: 12-12-2006 08:38    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

MAMIERO, merci ma grande pour ton message. Gros bisou et bonne journee a toi au b&ébé et toute ta famille . a bientôt LINE
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bosseplus



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MessagePosté le: 12-12-2006 08:48    Sujet du message: Répondre en citant

bonjour, je recherche une personne en
retraite pour invalidité pour comprendre ce statut
merci
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musika



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MessagePosté le: 12-12-2006 08:50    Sujet du message: Répondre en citant

ici bosseplus, tu ne vas pas trouver,
tu es dans la ligne des histoires de lNOTRE LINE.........

change de ligne............tu es dans les contes et légendes. Very Happy Very Happy Very Happy

bisou, je t ai mis un mot dans papotons...........
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MessagePosté le: 13-12-2006 07:48    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

LE VAGABOND !



Un jeune homme, allure négligé, vêtements sales et chaussures trouées, dans un super marché achète une boite de corned beef. A la caisse, une charmante demoiselle lui pose la question : voulez vous un litre de rouge ou un petit sapin. Vous êtes ce matin le centième client à passer et vous avez gagné, soit l’un ou l’autre. Mademoiselle dit le clochard, donnez moi le petit sapin, se sera le Noël pour mon chien, je le lui décorerai. La caissière est émue, il a un bon cœur ce pauvre se dit elle en lui passant ce petit sapin, et il s’en va.


Devant le magasin attaché prés des bicyclettes, un petit chien noir attend patiemment son maître. Quelle joie lorsqu’il le voit venir tire sur sa ficelle, se défait et d’un trait court à sa rencontre. Un hurlement, la première voiture qui a passé l’a projeté sur le trottoir, le petit chien pleure .D’après la position de sa patte, elle est fracturée, il faudrait un vétérinaire. Hélas l’homme ne peut se permettre, il est sans le sou, il n’a pas fait la manche encore aujourd’hui.

Le vagabond cherche une petite branche morte pour pouvoir ligoter la fracture avec la laisse .Mon pauvre HERCULE, vois tu nous n’avons pas de chance tout les deux. Va falloir que je me débrouille tout seul, sans mon associé, le temps que ta patte guérisse.

Derrière un pâté de maison, il y a un terrain de jeux pour les enfants. C’est ici tous les jours à la même heure, vous voyez cet homme avec son chien, sur un banc casser la croûte. Aujourd’hui, il est en train d’envelopper des noix dans du papier rouge brillant et découper des étoiles dans du papier alu, pour son petit sapin. Lorsqu’il sera orné et avec des petites bougies blanches, il sera magnifique.Le 24 au soir dans la nuit de Noël, il les allumera ici a cette place. C’est là, sur ce banc, qu’il a décidé de passer le réveillon avec son chien, un peu à l’abri de la foule.


Le soir du réveillon est arrivé. La neige nous a épargnés, il ne fait pas froid dehors. Le mendiant avec son chien boiteux est venu s’installer de bonne heure, à présent la nuit tombe vite. Le petit sapin est merveilleux, les bougies scintillent et les petites flammes sautent avec le vent. Le chien est allongé aux pied du maître, il est entrain de défaire son cadeau une paire de knack.

Une petite jeune fille vient de passer, elle a vendu toutes ses fleurs et ses billets de la loterie nationale. Elle s’installe sur le banc et commence à caresser le toutou. Pauvre bête, que lui est il arrivé ?il doit souffrir le pauvre chien . Vous permettez que je me repose, un instant, j’ai beaucoup marché et les pieds me font mal. Je ne suis pas pressé, je n’ai personne qui m’attend ce soir pour fêter. Il est petit votre sapin monsieur mais tellement adorable. Oui mademoiselle, c’est le cadeau de Noël d’HERCULE. .Restez avec nous si vous voulez, nous aussi, nous sommes seuls mon chien et moi.

Déjà on entend derrière les volets, les chants de Noël – DOUCE NUIT SAINTE NUIT

Et QUE LA PAIX SOIT SUR CE MONDE !

Le petit chien s’est endormi et le couple tient une longue conversation. C’est comme cela que passa la nuit de NOEL !
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MessagePosté le: 13-12-2006 08:22    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

ORIGINE ET HISTOIRE DE LA FÊTE DE NOËL.
Origine et histoire de l'Avent Origine et histoire de l' Épiphanie Origine et histoire du Carême Origine et histoire des Rameaux Origine et histoire du Jeudi saint Origine et histoire du Vendredi saint Origine et histoire de Pâques Origine et histoire de la Pentecôte Origine et histoire de l'Assomption Origine et histoire de la Toussaint

1. Quelle est l'origine de la fête de Noël ?
La fête pré chrétienne du 25 décembre à Rome

Des le premier siècle avant J-C, on célébrait à Rome le culte de Mithra, d'origine persane, importé à Rome par les légionnaires romains. Mithra était la divinité perse de la lumière. On fêtait le 25 décembre, pour le solstice d'hivers, la naissance de Mithra le soleil invaincu (Dies natalis solis invicti). On le fêtait par le sacrifice d'un jeune taureau.

En 274, l'empereur Aurélien déclare le culte de Mithra religion d'état et il fixe la célébration du solstice au 25 décembre

La fête du 25 décembre devient une fête chrétienne

La fête de Noël n'existait pas au début du christianisme. C'est seulement à partir du II° siècle que l'Église a cherché à déterminer dans l'année le jour de la naissance de Jésus sur lequel les évangiles ne disent rien. Des dates différentes ont été proposées : le 6 janvier, le 25 mars, le 10 avril ...

A Rome, l'Église a choisi le 25 décembre pour célébrer la naissance de Jésus, sans doute pour faire pièce à la fête païenne de la naissance de Mithra. Vers 330 ou 354, l'empereur Constantin décida de fixer la date de Noël au 25 décembre

En 354, le pape Libère instaura la célébration de la fête du 25 décembre. qui marque le début de l'année liturgique. Cette date a une valeur symbolique. En effet, en s'inspirant de Malachie 3/19 et Luc 1/78, on considérait la venue du Christ comme le lever du "Soleil de justice". La fête de Noël célèbre ainsi la naissance de Jésus soleil de justice.

La fête du 25 décembre est arrivée progressivement en orient et en Gaule : en 379 à Constantinople, au début du Vème siècle en Gaule, au cours du Vème à Jérusalem et à la fin du Vème en Égypte. Dans les Églises d'orient, au 4ème siècle, on célébrait, sous des formes diverses, le 6 janvier la fête de la manifestation de Dieu.

Voir Histoire de l'Épiphanie

2. Histoire de la fête de Noël jusqu'à la fin du Moyen Age
L'empereur Théodose en 425. codifie officiellement les cérémonies de la fête de Noël. La fête du 25 décembre est devenue exclusivement chrétienne. Clovis est baptisé dans la nuit de Noël 496. En 506, le concile d’ Agde en fait une fête d’obligation. En 529, l’empereur Justinien en fait un jour chômé.

La messe de minuit se célèbre dès le V° siècle, avec le pontificat de Grégoire le grand. Au VII° siècle, l'usage s' établi à Rome de célébrer 3 messes : la vigile au soir du 24 décembre, la messe de l'aurore et la messe du jour le 25 décembre.

La fête de Noël s'est répandu progressivement en Europe. Elle a été célébrée à la fin du V° siècle en Irlande, au VII° en Angleterre, au VIII° en Allemagne, au IX° dans les pays scandinaves, au IX° et X° dans les pays slaves.

lA partir du XII°, la célébration religieuse est accompagnée de drames liturgiques, les "mystères" qui mettent en scène l'adoration des bergers ou la procession des mages. Ces drames liturgiques se jouaient primitivement dans les églises, puis sur les parvis.

Messe de minuit http://www.culture.gouv.fr/culture/noel/franc/mesminu.htm

3. Histoire de la fête de Noël depuis la Renaissance
Les crèches d'église apparaissent en Italie au XV° et l'arbre de Noël en Allemagne au XVI°. Puis les crèches familiales, napolitaines puis provençales, se développent a partir du XVII°.

Au moment de la Réforme en1560, les protestants s'opposent à la crèche et préfèrent la tradition de l'arbre de Noël. Avec la contre réforme au XVII° , les représentations des drames liturgiques sont interdites parce qu'elles sont devenues trop profanes.

Au XIX°, le père Noël apparaît aux États-Unis. Il se répand en Europe après la deuxième guerre mondiale. A partir du XIX°, les organismes de charité offrent aux plus démunis le traditionnel repas de Noël. Actuellement, Noël tend à devenir principalement une fête de l'enfant et de la famille.
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MessagePosté le: 14-12-2006 07:58    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

UN PLATEAU DE FROMAGE !


Mon Dieu, quelle puanteur sous cette cloche. Toi l’alsacien le MUNSTER, débarrasse moi le plancher, mais c’est infect, je suffoque tellement tu pues. Le pauvre MUNSTER, les larmes aux yeux se retire pour laisser la place à différentes sortes de fromage de toutes les régions de France.

Voilà dit la tomme, enfin on respire. Cette satanée cloche ne sera levée qu’après le repas, juste avant le dessert. Si on compte le temps du trou normand entre chaque plat, il y en a encore pour un bout de temps et d’ici là, je serai dans les pommes. Ce n’est peut être pas à moi de te donner la réplique, je suis le gruyère SUISSE, donc ma place n’est pas avec vous, mais je vous le dis, ce MUNSTER qui vient tout droit des Vosges est un fromage des plus naturels,sans colorant et sans produit chimique. Au fait l’avez-vous au moins déjà goûté une fois. Donnez vous la peine et vous l’adopterez, croyez moi. C’est normal dit le chèvre du BERRY, vous êtes tous les deux presque de la même région, pas loin l’un de l’autre, vous vous donnez la main. C’est normal dit le gruyère, tu as a redire ?et sur un ton tellement désagréable, que le BERRICHON, se calma .Grandes discutions sous cette cloche entre tous ces laitages. Chaque région à une autre version pour le MUNSTER. Il y en a qui sont pour, d’autres non, ça c’est une affaire de goût, ça ne se discute pas.


A force de causer, les fromages sont fatigués et se la coule douce. Il sont prêts à s’endormir lorsque le garçon de salle vient les défaire de la satanée cloche

Le premier client, a qui on présente le plateau à l’air de chercher, mais bon sang que cherche t’il, se dit le serveur ? Il ne se doute pas que le MUNSTER s’est débiné.

Le client s’adresse à son voisin de table. Ca fait une heure que j’attends ce moment de pouvoir déguster du MUNSTER et voilà, il n’y en a pas dans toute la gamme. Pas de bon point pour ce plateau. ; TANT PIS prenons du camembert, mais j’aurais préféré, enfin !

Pas de Munster, alors je n’en prend pas - quoi pas de Munster, c’est un oubli

Garçon dites a votre chef que nous aimerions du Munster. Oui mais un qui coule et qui sent fort.

Le BERRICHON et le TOMME se bouchent le nez, en attendant qu’il soit distribué. Alors plus personne ne veut de Munster, alors moi je vais le finir, si vous ne voyez pas d’inconvénient.

Le PYRENEES, dit comment il n’y a plus de Munster, j’aurais bien aimé le goûter, pas de chance.

Les mauvaises langues, le BERRICHON ET LA TOMME sont retournés sous la cloche, personne n’en a voulu.
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musika



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MessagePosté le: 14-12-2006 08:00    Sujet du message: Répondre en citant

bonjour ma linette,
c'est l approche des fêtes,
j espère que tu vas avoir un grand brin de bonheur,
as tu vu le dernier de tes petits enfants......
le petit KIM

tu nous en parle plus.............
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mamiero



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MessagePosté le: 14-12-2006 08:02    Sujet du message: Répondre en citant

Tres bonne journée LINE gros bisous.
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MessagePosté le: 14-12-2006 08:09    Sujet du message: carnet Répondre en citant

MAMIERO A TOI AUSSI TRES BONNE JOURNEE; gROS BISOU line
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MessagePosté le: 14-12-2006 08:30    Sujet du message: CARNET DE LINE Répondre en citant

MERCI MUSIKA POUR TON MESSAGE; ma kim EST UNE FILLE (KIMERA) le garcon c'est VICTOR. Ce sont des gosses magnifiques et ils vont bien tous les deux. KIM habite la même maison que moi et le garçon plus loin (80 km environ. Je les adore bonne jouirnee et gros bisou ta LINE.
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MessagePosté le: 14-12-2006 08:48    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant




Sujet: histoire Aujourd’hui à 8:40

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L'ARBRE DE NOEL




Les Celtes considéraient le 24 décembre, comme le jour de la renaissance du Soleil. Ils avaient coutume d'associer un arbre à chaque mois lunaire, ils avaient dédié l'épicéa, qui était l'arbre de l'enfantement, à ce jour-là.
Au XIe siècle, les fidèles avaient coutume de présenter des scènes appelées Mystères, dont celle du Paradis. L'arbre du Paradis était souvent symbolisé par un sapin garni de pommes rouges.
C'est en 1521 que le sapin ou arbre de Noël ou encore arbre du Christ a été mentionné pour la première fois en Alsace. Il existe également des documents attestant d'une fête le 24 décembre
Au XIIe siècle la tradition du sapin apparait en Europe, en Alsace.
On parle alors de décorer les maisons avec des branches coupées 3 jours avant Noël.
Il était répandu en Alsace et dans la région de Bâle. Il représentait à l'origine l'Arbre d'Eden dans les mystères joués la veille de Noël sur les bords du Rhin. Pour le décorer, on attachait des pommes à ses branches.
Il existe également des documents attestant d'une fête le 24 décembre 1510 à Riga en Lettonie où des marchands dansaient outour d'un arbre décoré de roses artificielles avant de le brûler.
En 1546, on parle sérieusement d'arbres de Noël quand la ville de Sélestat en Alsace autorise à couper des arbres verts pour Noël, au cours de la nuit de la Saint Thomas, le 21 décembre.

Symbole de la vierge, les roses faisaient partie de la panoplie de décoration pour parer les sapins en Alsace au XVIe siècle, ainsi que des pommes, des confiseries et des petits gâteaux qui ressemblaient à des hosties.
Les pommes avaient également une valeur symbolique, car sur l'ancien calendrier des saints, le 24 décembre était réservé à Eve et Adam, canonisés par les Eglises orientales.
A l'époque l'église considérait l'arbre de Noël comme une pratique païenne et franc-maçonne.
Et ce fût le cas jusqu'au milieu du XXe siècle.
En fait, avant que la fête de Noel n'existe, il existait déjà un rite paien lors des fêtes du solstice d'hiver : on décorait un arbre, symbole de vie, avec des fruits, des fleurs, du blé.
Plus tard, on accrocha une étoile au sommet de l'arbre, symbole de l'étoile de Bethléem qui guida les Rois Mages. Dès lors il conquit peu à peu les communes protestantes d'Allemagne du nord et les grandes villes et occupa une place de choix dans les églises des deux religions.
Une gravure de 1806, représente un sapin décoré avec des petits personnages, des animaux, des oiseaux et des gâteaux découpés.
En 1560, au moment de la Réforme, les protestants se refusent à représenter la Nativité par une crèche comme les catholiques. Ils préfèrent développer la tradition du sapin de Noël, arbre qui symbolise le paradis d'Adam et Eve et la connaissance du bien et du mal.
La tradition du sapin de Noël se répand dans les pays d'Europe Protestante, en Allemagne et en Scandinavie.
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mamiero



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MessagePosté le: 14-12-2006 09:40    Sujet du message: Répondre en citant

en plus on s'instruit bisous Line.
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MessagePosté le: 15-12-2006 07:57    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

LA P’ TITE MARIE !





La petite Marie, n’est pas une petite fille comme vous présumez tous, mais un adorable petit canard. Marie est la petite copine à JEANNOT et elle vient régulièrement tous les jours le prendre à l’arrêt du bus ECOLE . A midi moins cinq minutes , vous pouvez voir, la volatile, se dandiner vers la halte, heureuse de retrouver, son ami de jeu. Que c’est long toute une matinée à attendre, elle s’ennuie toute seule, sans lui. Voila le car qui tourne au coin de la rue, le canard court, coin coin , tout essoufflé, il lui fait la fête au petit JEANNOT ;Tranquillement il prennent tous les deux le chemin de la maison ou le repas les attend.

P’TITE MARIE a le droit de manger à table, à condition de rester sur sa chaise, à côté de son ami. Elle adore monter sur la table et mettre son bec partout, maman en a une sainte horreur . Elle a intérêt de se tenir à carreaux, car sinon la porte de la cour, et dehors.


La MARIE , viens, il est l’heure, raccompagne moi à l’arrêt du bus, dépêche toi ; à cause de toi je vais être en retard. Voilà le car qui arrive. JEANNOT vite prend MARIE dans ses bras, un petit bécot sur le bec et le canard tout joyeux, se dandine vers la maison .


A 4 heures l’école est fini, JEANNOT n’a q’une idée en tête, après les devoirs et sa tartine, accompagner la p’tite MARIE à l’étang pour barbotter, elle adore ça. Le bus s’arrête, mais pas de MARIE à l’horizon . Le petit a beau appeler MARIE MARIE rien , ceci_ n’est jamais arrivé. Mon Dieu que lui est il arrivé à ce canard. ?

A deux heurs, sur le chemin du retour, elle s’est fait attraper par un jeune gars qui l’a vendu au restaurateur de la place. Pour NOEL , la volaille , garni en générale la table du réveillon. Comme, la dinde aux marrons , le canard à l’orange, le magret .est servi au clients pour les fêtes.

C’est vrai le canard a JEANNOT n’est pas dodu, il est plutôt svelte avec toutes ses promenades. Le patron désire le nourrir encore quelques jours, avant de l’abattre, ce maigrichon et l’enferme dans une caisse .en attendant la casserole.


JEANNOT pleure, ou peut elle avoir passer sa p’tite MARIE , ? Il n’a pas faim au souper, il ne peut dormir, la nuit d’attente est très très longue. Il espère de tout son cœur, la retrouver le lendemain dans la cour. Elle a peut être fugué, sait on jamais, ça arrive .Son petit canard si gentil si mignon, se laisse caresser, aime les câlins, pas farouche pour un brin, a disparu.

A l’école l’enfant est distrait, il ne participe pas comme a l’accoutumé. Le maître est préoccupé devant cette petite frimousse blafarde du gamin et en demande la cause. JEANNOT se met a parler.

VOILA vous connaissez tous la p’tite MARIE ? E h bien, elle a disparu. Les gosses se mettent à papoter. Elle va revenir t’en fais pas, elle est très intelligente, elle a dû s’égarer ;laisse lui le temps. Moi dit le petit LEON elle m’écoutait lorsque je l’appelé, mais elle écoutait tout le monde, ce n’est pas un canard sauvage ma MARIE ;

Voila ce que nous allons faire dit l’instituteur. Nous allons dans toute les fermes du village et appelons MARIE ; Si effectivement elle est quelque part, elle se manifestera.
Prenez vos livres les enfants, la récréation est terminée.


Dimanche matin, comme presque tous les dimanches, JEANNOT a le droit d’accompagner son papa faire un tiercé.. Tous les turfistes se donnent rendez-vous au restaurant de la place.
A un moment donné, JEANNOT est pris d’un besoin urgent et se dirige vers l’arrière cour .pour trouver les toilettes. A peine installé, le gamin entend un coin coin qui sort d’une caisse posé sur une table prés de la porte. MARIE MARIE , mais c’est ma petite MARIE Il ouvre le couvercle et le canard déploie ses ailes, avec des coins coins sans arrêt. Quelle joie de la part et d’autre, le gamin tremble de tout son corps tellement il est ému.


JEANNOT retourne dans le restaurant, suivi de sa copine , Eh BEBERT que fait elle ici cette bestiole . Le père de JEANNOT ne trouve aucune explication , pourquoi l’avoir enfermé dans cette caisse. Mon fils a pleuré toutes les larmes de son corps en s’imaginant avoir perdu
son canard de jeu et le voila enfermé chez toi, dans ta cour. Qu’est ce que ça signifie.

Alors le restaurateur avoue, d’avoir acheté au noir ce canard, pour le servir le soir du réveillon. HEUREUSEMENT, ce charmant volatile, fût épargnée, au bonheur du petit JEANNOT.



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MessagePosté le: 15-12-2006 08:18    Sujet du message: CARNET DE LINE Répondre en citant

HISTOIRE DES BREDELE



En alsacien, un Bredele est un petit gâteau sucré.


Une des traditions d’Alsace est de faire des petits gâteaux de Noël, des bredeles. Dans les familles alsaciennes, à partir de novembre, on confectionne diverses sortes de petits gâteaux. Ils sont conservés dans des boîtes en métal et un assortiment est sorti à toutes occasions : café, goûté, petit cadeau ...

Il se mange le plus souvent au dessert ou en goûter avec un grand verre de lait et se trouve sous forme amusante dans les différentes fêtes religieuses comme Pâques, la Saint-Nicolas ou Noël.

Il existe de nombreuses sortes de bredele : sablés au beurre, gâteaux aux amandes, noisettes ou noix, pain à l’anis, pain d’épice.
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mamiero



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MessagePosté le: 15-12-2006 08:20    Sujet du message: Répondre en citant


tres bonne journée LINE merci pour toutes ces belles histoires gros bisous.
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MessagePosté le: 16-12-2006 07:53    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

sup
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MessagePosté le: 16-12-2006 07:59    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

VAREL FAIT UNE ANGINE !

[url]url=http://www.hiboox.com/image.php?img=af993be8.gif][/

Notre commissaire a les yeux brillants, les pommettes rouges , il est fiévreux. Son thermomètre monte jusqu’à 40 et mal grés tout il ne veut pas consulter un médecin.

Il a de la peine à avaler la tisane que FREDERIQUE lui a préparer, sa gorges est rouge, c’est l’angine. Hier après-midi il a plu et il s’est fait arroser. Au lieu de rentrer et de se changer, il est resté avec des vêtements mouillés toute la journée et voila le résultat. Monsieur VAREL est une forte tête et même malade dans son lit, il ne se tient pas tranquille

Il a ramené de son bureau un dossier, qu’il veut absolument éclaircir dans l’état ou il est. FREDERIQUE est en colère, elle lui en a dit pour ses sous . La police vivra bien deux jours sans toi, mon pauvre VAREL, qu’est ce que tu t’imagines, tu n’es pas seul au monde . Si tu ne veux pas te soigner correctement, moi je file chez ma mère. Je reviendrais lorsque tu sera guérie et basta .


Comme le commissaire aime être bichonné et dorloté, il fait semblant de dormir. FREDERIQUE quitte la pièce du malade sur la pointe des pieds, et tout doucement ferme la porte.

VAREL penché sur son dossier, revit le drame de cette opératrice du téléphone des TAXI –URBAIN ; c’est LOUISETTE, 32 ans mariée à un camionneur routier, sans enfants, qui travaille exclusivement les nuits. Cette dernière est harcelé par téléphone, à longueur de journée, par un homme, qui prétend la suivre tous les matin, lorsqu’elle rejoint son domicile. Il lui a même communiqué la rue et le Nr, ou elle habite. LOUISETTE prend peur et elle va dire à son interlocuteur, qu’elle va s’adresser à la police, que ça n’a que trop duré.


Depuis ce jour là, LOUISETTE, n’a plus reprit son service au téléphone des TAXI. Que lui est il arrivée ? Ses collègues la cherchent dans tout le secteur, la ville et les faubourgs rien .

Le samedi matin, le mari de LOUISETTE est de retour avec son camion d’Espagne. Il a huit jours de libre et envisage d’emmener sa femme à la campagne se reposer. Arrivé chez lui, Madame, n’est pas là . Elle a du sortir faire des emplettes se dit il demain c’est dimanche. Le pauvre, il ne se doute pas ce qui a pu arriver a son épouse , pendant son absence.


On sonne à la porte d’entrée : deux chauffeurs de taxi viennent prendre des nouvelles de LOUISETTE ; Le mari n’en revient pas, comment sa femme a disparu, il n’arrête pas de poser des questions. De ce pas il va à la police faire sa déclaration et depuis aucun changement.


Pour le commissaire, il est temps de se reposer . Il les larmes qui coulent sur son visage, il tousse, il éternue, il ferait mieux de suivre les conseils de sa femme.

Il ferme son dossier et il s’endort profondément.
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MessagePosté le: 16-12-2006 08:14    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

URL=http://imageshack.us][/URL]

Les bougies de cire d?abeille affichaient de bien meilleures performances : elles fumaient moins, brûlaient en donnant plus de lumière, et surtout sans provoquer de mauvaise odeur. Dans ce cas là, la cire était fondue, filtrée pour en ôter les impuretés, puis on l?étendait au soleil en bandes minces afin de la blanchir et de lui faire perdre sa couleur jaune. Elle était alors fondue dans un chaudron et versée sur les mèches, suspendues à une sorte de cerceau de fer installé au-dessus. Les bougies, encore molles et tièdes, étaient mises en forme à l?aide de rouleaux de bois dur, qu?il fallait humidifier pour qu?elles n?y adhèrent pas.
Enfin, outre la lumière qu'elle procure, la bougie fut aussi utilisée pour mesurer le temps. Il suffisait de faire des graduations sur sa longueur. Aujourd'hui, l'électricité a bien sûr pris le dessus, mais les bougies sont toujours très présentes dans nos foyers: pour la décoration bien sur, mais aussi pour les grandes occasions comme les anniversaires voir les diners en amoureux.
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MessagePosté le: 17-12-2006 08:53    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

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LE BONHOMME DE NEIGE !



URL=http://imageshack.us][/URL]





Sur la placette, prés de l’église, un bonhomme de neige est installé sur un banc. Une ribambelle de gosses se pressent autour de lui pour l’admirer. Il est chic, vous devriez le voir. Il porte le chapeau claque, une carotte en guise de nez et des morceaux de charbon forment les yeux. Attendez les enfants, permettez que je me repose un instant, regardez comme je transpire, dit il en enlevant son couvre-chef et s’essuyant le front.

Tout le monde est perturbé avec le réchauffement du temps, même les ours en RUSSIE, ne peuvent pas hiberner le temps est trop clément. Je transpire, je suffoque, l’air est irrespirable, mon Dieu, que vais-je devenir, pauvre de moi.



Je sais j’ai fait une boulette. On m’avais proposé deux postes, un ici en ALSACE et l’autre en NORVEGE ; Moi qui voulait voir votre marché de NOEL, j’ai opté pour la France et voila ou j’en suis .Chez vous les enfants, aucun bonhomme de neige ne tiendra le coup, ni glissade, ni patinage. Les belles parties de boules de neige, vous y pensez les amis plus rien de tout ça. Je sens , je vais couler tout doucement, je me sens partir, allez donc chez le pharmacien, qu’il vous donne un fortifiant pour moi.



Le préparateur en pharmacie ne croit pas ses yeux. Une dizaine d’enfants se précipite sur le comptoir. Doucement dit il un après l’autre, ne parlez pas tous en même temps, je ne comprend absolument rien. Voila le pharmacien qui arrive, qui a-t-il les enfants ? Moi dit ce dernier, je n’ai rien à vous proposer, mais peut être le droguiste, pourra vous dépanner, avec une eau miracle quelconque. Allez voir la bas et passez lui le bonjour de ma part Attendez attendez,je crois bien que ceci fera l’affaire





Il y a quelques mois, j’ai acheté à ma femme une nouvelle cuisine et elle a estimé que le vieux congélateur ne faisait plus l’affaire. A l’époque, il m’avait coûté les yeux de la tête et pour ne pas le jeter, je l’ai entreposé dans la réserve, au cas ou. Si vous voulez je vous le cède, mais n’oubliez pas de retirer les clayettes et surtout son grand chapeau, comme ceci votre cher bonhomme de neige pourra se refaire une santé.



Arrivé sur la place, les enfants tout étonnés de ne plus retrouver leur bonhomme de neige, se mettent à sa recherche INUTILE DE CHERCHER, dit le petit ERIC ; Regardez cette eau, notre BONHOMME DE NEIGE a coulé. Peut être que la nouvelle lune va nous apporter un peu de neige. Le froid que nous avions avant guerre, ne reviendra plus, je m’en souviens comme si c’était hier ! Oh les belles glissades et les parties de traîneau et de boules de neiges .Des bottes en caoutchouc, un bonnet de laine, des gants et un cache-col, nous étions prêts à affronter ce froid sibérien .Nous étions des gosses heureux !





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MessagePosté le: 17-12-2006 09:04    Sujet du message: Répondre en citant

Lucien de Samosate
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Littérature gréco-
romaine

Lucien

Mythes

Enfers
Bienheureux

Ulysse
Hélène
Achille

Ecrivez-nous
Recherchez Histoire véritable II

1. Depuis ce moment, la vie que nous menions dans la baleine me devint insupportable ; ce séjour m'était odieux, et je cherchai quelque moyen d'en sortir. D'abord, nous pensâmes qu'il suffirait, pour nous échapper, de pratiquer un trou dans le côté droit, et nous commençâmes à creuser ; mais, après avoir poussé inutilement la fouille jusqu'à la profondeur de cinq stades, nous y renonçons, et nous nous décidons à mettre le feu à la forêt : c'était un moyen sûr de faire mourir la baleine ; et dans ce cas, il nous était facile de nous échapper. Nous commençons donc par mettre le feu aux parties voisines de la queue. Pendant sept jours et sept nuits, la baleine parut insensible à cette chaleur mais le huitième et le neuvième, nous nous apercevons qu'elle est malade : elle ouvrait la gueule avec moins de facilité, et, quand elle l'ouvrait, elle la refermait sur-le-champ. Le dixième jour et le onzième jour, elle se mourait ; déjà même elle sentait mauvais. Le douzième jour, nous nous apercevons, déjà même un peu tard, que, si on ne lui met pas promptement un bâillon pour l'empêcher de clore sa gueule tout à fait, nous courons risque de périr enfermés dans le cadavre. Nous étayons donc ses mâchoires avec d'énormes poutres, puis nous préparons notre navire, sur lequel nous chargeons une ample provision d'eau avec tous les objets nécessaires : Scintharus en devait être le pilote. Le lendemain la baleine mourut.

2. Nous tirons alors notre vaisseau, nous le faisons passer à travers les dents du monstre, et après l'y avoir suspendu, nous le faisons glisser doucement jusque sur la mer. Quant à nous, montés sur le dos de la baleine, nous offrons un sacrifice à Neptune, auprès du trophée, et nous demeurons là trois jours, à cause du calme qui régnait : le quatrième, nous mettons à la voile. Nous rencontrons et nous heurtons, chemin faisant, les nombreux cadavres de ceux qui avaient péri dans le combat naval ; et nous mesurons avec surprise l'énormité de leur taille. Après une navigation de quelques jours, secondée par un temps magnifique, le vent de Borée se met à souffler avec violence, et il survient un si grand froid que toute la mer se gèle jusqu'à la profondeur de quatre cents orgyies, en sorte que nous pouvons descendre et courir sur la glace. Mais comme le vent se soutenait toujours et devenait de plus en plus insupportable, nous prenons le parti, sur le conseil de Scintharus, de creuser dans la glace une grande caverne, où nous passons trente jours, allumant du feu et vivant de poissons. Pour les prendre, il suffisait de creuser. Cependant, les provisions venant à nous manquer, nous regagnons le navire ; nous le dégageons des glaces, nous déployons la voile et nous nous mettons à voguer doucement et légèrement, en glissant sur la glace. Le cinquième jour, la chaleur revient, la glace se fond, et la mer redevient une masse d'eau.

3. Nous avions déjà couru environ trois cents stades, quand nous sommes portés sur une petite île déserte : nous y renouvelons notre provision d'eau, qui commençait à manquer, nous tuons à coups de flèches deux taureaux sauvages et nous poursuivons notre traversée. Ces taureaux n'avaient point les cornes plantées sur la tête, mais sous les yeux, comme le voulait Momus. A quelque temps de là, nous entrons dans une mer, qui n'était pas d'eau, mais de lait. Au milieu s'élevait une île blanche, pleine de vignes. Cette île était un énorme fromage, parfaitement compacte, comme nous pûmes nous en convaincre dans la suite en en mangeant, et ayant vingt-cinq stades de circonférence. Les vignes étaient remplies de raisins ; mais au lieu de vin, on n'en exprimait que du lait. Vers le centre de cette île on avait bâti un temple, consacré à la néréide Galatée, ainsi que le portait l'inscription. Durant tout le séjour que nous fîmes en cet endroit, la terre même nous servit de nourriture, et le lait des grappes, de boisson. On nous dit que Tyro, fille de Salmonée, était reine de ce pays, récompense qu'elle reçut de Neptune, quand ce dieu la quitta.

4. Après être demeurés cinq jours dans cette île, nous levons l'ancre le sixième, avec une jolie brise et une mer tranquille. Le huitième jour, quand nous n'étions plus déjà dans des flots de lait, mais au milieu d'une eau saumâtre et azurée, nous apercevons un grand nombre d'hommes qui couraient sur les vagues : ils nous ressemblaient en tout, et par le corps et par la taille ; il n'y avait de différence que dans leurs pieds qui étaient de liège, d'où probablement leur nom de Phellopodes. Nous sommes fort étonnés de voir qu'au lieu d'enfoncer, ils se soutiennent sur l'eau et voyagent sans crainte. Quelques-uns nous abordent, nous saluent en grec, et nous disent qu'ils vont à Phello, leur patrie. Ils nous accompagnent même quelque temps, en glissant le long de notre navire ; mais ensuite ils changent de route et nous quittent, en nous souhaitant un heureux voyage. Bientôt nous découvrons plusieurs îles, et près de nous, à gauche, cette Phello, vers laquelle se hâtaient d'arriver nos voyageurs. C'est une ville bâtie sur un grand et rond morceau de liège. De loin et un peu plus sur la droite, nous apercevons cinq autres villes, très grandes et très élevées, d'où sortait un feu continuel.

5. Vers la proue, il y en avait une large, à fleur d'eau, à la distance de moins de cinq cents stades. Nous nous en approchons, et aussitôt une odeur extraordinaire, suave, parfumée, arrive jusqu'à nous ; on eût dit la senteur que l'historien Hérodote prétend exhalée par l'Arabie Heureus : c'était un mélange de rose, de narcisse, d'hyacinthe, de lis, de violette, de myrrh , de laurier, de fleur de vigne, qui venait caresser notre odorat. Ravis de ce doux parfum, nous espérons enfin le bonheur après tant de fatigues, et nous nous avançons vers l'île. En approchant, nous voyons de tous côtés des ports nombreux, vastes et sûrs, et des fleuves limpides descendant tranquillement vers la mer ; puis des prés, des forêts, des oiseaux mélodieux, chantant les uns près du rivage, une foule d'autres sur les rameaux : un air pur et léger environnait toute la contrée ; le souffle agréable des zéphyrs agitait doucement le feuillage, et en tirait des sons délicieux et prolongés, semblables à ceux d'une flûte oblique au milieu d'une solitude. A cette musique se mêlait le bruit de plusieurs voix, mais sans confusion, comme celui qu'on entend dans les festins, lorsqu'aux accords de la cithare et de la flûte se mêlent les louanges et les applaudissements des convives.

6. Enchantés de tous ces objets, nous nous dirigeons vers la terre : nous entrons au port et nous débarquons, laissant sur le navire Scintharus et deux de nos compagnons. Nous marchions à travers une prairie émaillée de fleurs, lorsque nous rencontrons des sentinelles et des garde-côtes. Ils nous enchaînent avec des guirlandes de roses (ils n'ont pas de liens plus forts), et nous conduisent au chef du pays. Dans le chemin, ils nous apprennent que nous sommes dans l'île des Bienheureux, gouvernée par le Crétois Rhadamanthe. On nous amène à son tribunal, et l'appel de notre cause est fixé au quatrième tour.

7. La première qui fut jugée avant la nôtre était celle d'Ajax, fils de Télamon. Il s'agissait de savoir s'il serait admis ou non parmi les héros. On l'accusait de s'être donné la mort dans un accès de fureur. Après un long débat, Rhadamanthe décida qu'on lui ferait boire de l'ellébore, qu'on le mettrait entre les mains du médecin Hippocrate de Gos, et que, quand il aurait recouvré la raison, on l'admettrait au banquet.

8. La seconde cause était une question d'amour : Thésée et Ménélas se disputaient au sujet d'Hélène ; chacun d'eux voulait la posséder. Rhadamanthe l'adjugea à Ménélas, à cause de tous les travaux et de tous les dangers auxquels l'avait exposé son mariage : d'ailleurs Thésée ne manquait pas de femmes, l'Amazone et les filles de Minos.

9. La troisième était une affaire de préséance, entre Alexandre, fils de Philippe, et le Carthaginois Annibal : le pas fut accordé au roi de Macédoine, et on lui éleva un trône auprès de Cyrus l'Ancien, roi de Perse.

10. Notre tour vient alors. Le juge nous demande pourquoi, vivants, nous sommes entrés dans cette région sacrée. Nous lui racontons nos aventures sans en rien omettre : il nous fait tenir à l'écart, délibère pendant longtemps, et prend l'avis des autres juges ; il avait, en effet, plusieurs assesseurs, entre autres Aristide le Juste d'Athènes. Enfin, il prononce un arrêt d'après lequel nous subirions, après notre mort, la peine de notre curiosité et de notre voyage, mais que, pour le moment, nous aurions le droit de demeurer dans l'île, de prendre part au festin des héros, et puis de partir. Il fixa en même temps à sept mois juste la durée de notre séjour.

11. Aussitôt, les guirlandes qui nous enchaînaient tombent d'elles-mêmes : libres, nous sommes conduits dans l'intérieur de la ville, au banquet des bienheureux. Cette ville est toute d'or, entourée d'un mur d'émeraude ; elle a sept portes, faites chacune d'un seul morceau de cinnamome : le pavé est d'ivoire dans la partie close par la muraille ; tous les temples des dieux sont bâtis de béryl, et sur leurs autels, faits d'une seule améthyste, on immole des hécatombes entières. Autour de la ville coule un fleuve de myrrhe magnifique ; il a cent coudées royales de largeur, et sa profondeur permet d'y nager aisément. Les bains de ce pays sont de vastes édifices de cristal, tout parfumés de cinnamome ; au lieu d'eau, les bassins sont remplis de rosée chaude.

12. Les vêtements des bienheureux sont faits de toiles d'araignée, fort ténues, couleur de pourpre ; du reste, ils n'ont pas de corps ; ils sont impalpables, sans chair, et n'offrent aux yeux qu'une forme et une apparence : cependant, malgré cette absence de corps, ils ne laissent pas de se tenir debout, de se remuer, de penser, de parler. En un mot, ils ressemblent à une âme dégagée de la matière et revêtue d'une effigie corporelle. Il faut donc les toucher, pour être sûr que ce n'est point un corps que l'on voit ; ce sont, en effet, des ombres qui marchent, et non pas des ombres noires. Personne, chez eux, ne vieillit : chacun y garde l'âge qu'il avait en arrivant. Jamais il ne fait nuit, quoique le jour n'y soit pas éclatant ; mais un crépuscule semblable à celui qui, le matin, précède le lever du soleil, enveloppe toute la contrée. Ils ne connaissent qu'une seule saison pour toute l'année : c'est un printemps éternel, avec un seul vent qui souffle, le Zéphyre.

13. La contrée est émaillée de fleurs de toute espèce, ombragée de bois touffus et délicieux. Les vignes y sont fécondes douze fois l'année, et s'y chargent chaque mois de leurs fruits. Les pêchers, les pommiers, et les autres arbres d'automne, produisent treize fois, en offrant une double récolte dans le mois consacré à Minerve. Au lieu de froment, les épis portent des pains tout prêts à manger, comme des champignons. Autour de la ville, on trouve trois cent soixante-cinq sources d'eau, autant de miel, cinq cents de myrrhe, mais celles-ci sont plus petites, sept fleuves de lait et huit de vin.

14. Le banquet se tient hors de la ville, dans un endroit qu'ils nomment Champ Elysée. C'est une prairie délicieuse, environnée d'arbres nombreux, épais, dont le feuillage ombrage les convives, couchés sur un tapis de fleurs. Les vents sont les ordonnateurs et les ministres du festin, sans en être les échansons : ce soin est superflu : de grands arbres du cristal le plus diaphane, rangés autour du banquet, portent des fruits, qui servent de coupes, de toute forme et de toute grandeur. Chaque convive, en arrivant au repas, cueille une ou deux de ces coupes, la place devant soi, et le vase se remplit aussitôt de vin : telle est leur manière de boire. En guise de couronnes, les rossignols et les autres oiseaux chanteurs font neiger de leurs becs sur la tête des convives des fleurs cueillies dans les prairies, et qu'ils répandent en gazouillant et en voltigeant. Quant aux parfums, des nuées épaisses, où se concentre la myrrhe des fontaines et du fleuve, demeurent suspendues au-dessus du banquet, et, doucement pressées par les vents, se résolvent en une pluie fine comme la rosée.

15. Pendant le repas, ils charment leurs loisirs avec de la musique et des chants, empruntés surtout aux poèmes d'Homère. Ce poète lui-même est assis à la table et partage le banquet, placé au-dessus d'Ulysse. Les choeurs sont composés de jeunes garçons et de jeunes filles : ils sont conduits et dirigés par Eunomus de Locres, Arion de Lesbos, Anacréon et Stésichore. Je l'ai vu là, en effet, réconcilié avec Hélène. Quand ces premiers chants ont cessé, vient un second choeur de cygnes, d'hirondelles, de rossignols ; et, pendant qu'ils chantent, la forêt tout entière, agitée par les vents, les accompagne de la flûte.
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MessagePosté le: 17-12-2006 10:23    Sujet du message: Répondre en citant

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MessagePosté le: 18-12-2006 08:14    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

DANS LE PARC D UNE MAISON D’ ALIENES !

[rl]url=http://www.hiboox.com/image.php?img=79f606ed.jpg][/u
Sur un banc dans un parc une jeune fille berçe un landau. Sur un coussin en dentelles blanc comme neige, se trouve un poupon en chiffons empaillé. La fille a les yeux baissés et murmure tout doucement, dors mon bébé joli, dors, maman est là. A peine quelqu’un s’approche, elle les injurie et prend place sur un banc plus loin, de peur qu’on puisse lui prendre son enfant. Cette pauvre fille est internée depuis des années dans cet asile A t’elle perdu la tête ou est elle dérangée de naissance ? Personne ne sait, elle est seule, jamais personne ne vient lui rendre visite. Elle doit être heureuse, elle vit dans un autre monde avec son poupon, le reste ne l’intéresse pas.


Une infirmière appelle « MADELEINE »c’est l’heure des médicaments ! Madeleine ne vient pas. Elle a dû prendre la fuite devant une ribambelle de garçons qui sont venus la déranger sur son banc. La voila maintenant qui sort du grand portail et va tout droit sur la chaussée avec son landau entre les voitures qui circulent à grande vitesse. Mon Dieu mais ou va-t-elle, elle ne le sait pas, elle va tout droit devant elle.

Elle est subitement fatiguée, s’allonge sur l’herbe d’un pré et s’endort.

A l’asile, grand branle-bas, tous les coins et recoins sont visités. La pauvre petite reste introuvable.

Pendant ce temps sur le chemin du pré un cycliste un peintre avec une blouse blanche circule et voit la jeune fille dans l’herbe. Cette dernière en voyant cette blouse blanche se croit a la clinique en présence d’un docteur. Les yeux hagards et ce poupon empaillé, le cycliste a tout compris, il faut la remettre à la police, elle a dû se perdre, cette petite.


Arrivé au commissariat, VAREL attend déjà depuis un moment. Il savait déjà car la clinique lui avait téléphoné.

Une heure après MADELEINE est de retour On ne pourra plus la laisser seule dans le parc dorénavant, il faudra la surveiller.

Elle avait tellement peur qu’on lui vole son bébé. De loin vous l’entendez déjà chanter dort mon bébé dort



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MessagePosté le: 18-12-2006 08:51    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

omment devenir une dinde



L'HISTOIRE
(conseil pour devenir une vraie dinde en fin de page)

Dans chaque être humain il y a :

Un cabot
Une dinde
Un porc
..


Il peut avoir d'autres animaux mais c'est en option

Nous allons parler aujourd'hui de la dinde car... Nous avons tous en nous une dinde qui dors. Ce stupide volatile fait surface aux moments les plus avides, les plus fausses paillettes, les plus débiles de notre vie.

Bien moins saint que notre cabot qui saute et fait le beau pour un su sucre... bien moins directe que notre porc "gros, gras, sans ambition, sans intérêt … La dinde, elle a des prétentions… (ça elle en a), elle croit avoir des avis (?), elle croit avoir du pouvoir… (la déjà ça sent la dinde), …

Nous allons pour cette histoire prendre une personne du sexe "femelle" … pourquoi ? je vous rassure de suite il y a autant de dinde chez les mâles que chez les femelles, mais j'ai un exemple très clair en tête et comme mon personnage est féminin je ne vais pas me compliquer la vie…

Il était une fois, une petite fille qui élevée par une "vraie maman" (fusion entre un être humain, une série d'appareil électroménagers, des romans arlequins et des vieux reste de l'empire colonial") et un "vrai papa" (fusion entre un être humain, une moissonneuse batteuse, un camion benne, un play-mobile, un portefeuille, un courant d'air et un poil dans la main à la maison) dans une vrai famille bien française (fusion entre des beaufs de tous genres) avait des rêves. …

TOTOCHE notre petite fille rêvait d'être admirée par son papa… d'être une jolie fille… d'avoir du pouvoir… d'avoir du pouvoir…. d'avoir du pouvoir… d'être un vrai homme aux yeux de son père adoré…

TOTOCHE pour cela se dit… pour avoir du pouvoir et être admiré il faut que je me marie (encore une qui a tout compris) elle trouve un spécimen mâle qui plait à son père "mais l'homme ne fait pas longtemps" l'admiration de son papa chéri… divorce... (mince raté) … …

TOTOCHE se dit je vais monter ma société …
Car TOTOCHE est futée… (comme deux pinceaux mal lavés)
TOTOCHE se rétame…
TOTOCHE a la haine…

TOTOCHE veut du pouvoir…

TOTOCHE va assister un grand homme (y plus que ça à faire) et devenir le truc indispensable du dit "grand homme*" (*à ses yeux bien sur).

TOTOCHE fait beaucoup beaucoup d'heures de présence (ça meuble sévère!),

TOTOCHE dit haut et fort qu'elle travaille beaucoup (le dire demande beaucoup d'énergie, non!)

TOTOCHE participe à des réunions (Le mot réunion dans sa bouche, c'est… Hou!… le top, des tops, c'est important dire je suis en réunion, non!)

TOTOCHE raconte les derniers popotins à son boss (il faut entretenir certains vilains défauts..)

TOTOCHE Ventile , TOTOCHE Disperse, TOTOCHE Zizanize, TOTOCHE Sournoise... car elle n'est pas assez intelligente pour machiaveliser

BREF A SES YEUX TOTOCHE est fière TOTOCHE a réussi sa vie…



COMMENT DEVENIR UNE DINDE
COMME TOTOCHE
Une vraie dinde est une dinde qui s'ignore, bête comme c'est pied, chasseuse comme un "HOMME", la dinde assure qu'elle assure… Bordélique depuis plusieurs vie (à mon avis), la dinde prouve au monde entier que le ridicule et la connerie ne tuent pas….

Comment faire sortir la dinde qui est en vous ou

Comment devenir une vraie dinde comme TOTOCHE ?

Être insignifiant(e)
Être insipide
Être stupide voir très stupide (ça aide)
Être ambitieux(se) mais n'avoir pas les moyens
Ne pas vraiment réfléchir à ces actes
Avoir un patron que le 3 et le 5 arrangent
Aimer les ragots
Aimer la chasse
Aimer tuer
Donner les réponses avant même de connaître les questions
Pauser par écrit des questions insidieuses (en pensant être fin) sans vérifier la véracité de ce qui est insinué … (On se sent bête !! Hein!…)
Être secrètement amoureuse du patron
Avoir peur de l'épouse du patron
Avoir l'air toujours débordé
Avoir l'air, les jours de grand vent de comprendre les phrases qui sont prononcées lors d'entretien
Être bien sûr... de mauvaise foi
Être bien sûr ...arriviste
Être bien sûr... opportuniste
Être bien moins intelligent(e) qu'on le pense
Être bien plus con(ne) que les autres le pense


Toute ressemblance avec un personnage, une situation réelle n'est que pure coïncidence
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MessagePosté le: 19-12-2006 07:46    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

VAREL ET LA BOHEMIENE !



Commissaire VAREL fait une visite éclair à PARIS. Il a été appelé pour une affaire délicate qui sera jugée dans les prochains temps. Entre deux séances VAREL prends un peu de repos sur un banc du jardin du Luxembourg. Les visiteurs sont très rares cet après-midi du mois d’automne et les chaises restent vides. .

Quelques pâles rayons de soleil viennent l’éblouir lorsqu’une bohémienne vient lui tenir compagnie et demande gentiment si elle pouvait lui lire les lignes de la main.


Depuis ce jour notre ami VAREL est préoccupé et taciturne Il est obsédé par la phrase suivante : « Il va vous arriver quelque chose de très désagréable prochainement, je ne voit pas quoi, mais se sera terrible.. « Sans cesse, nuit et jour il y pense et ça l’irrite au point qu’il se met en colère contre tout le monde, pour un oui pour un non .

FREDERIQUE ne sait plus avec son mari sur quel pied danser ; la nuit, les cauchemars ne le quittent pas. Il tombe sans fin dans des abîmes, il se noie, il se fait renverser par le train ou se fait mordre par un serpent venimeux dans ses rêves.

VAREL est à bout de nerfs et va consulter un spécialiste. Tous les narcotiques et tranquillisants, ne peuvent venir en aide dans ce cas, il est prêt à péter les plombs lorsqu’un jour,

Amené moi le détenu matricule 105, brigadier dans mon bureau . VAREL est encore irrité ce matin

Le commissaire a une drôle d’impression. Il lui semble que cette vilaine chose va lui arriver dans l’immédiat et il ne se trompe pas. Il a les joues rouges comme une écrevisse, le souffle court, des perles de sueur sur le front. Il s’attend à tout sauf à ça ;

Il a encore les moyens de crier, dehors tout le monde et voila la vilaine chose arrive, mais comment, je ne vous dis pas.

Une explosion de gaz naturel et tout le reste Il fallait bien que ça sorte, mais pas comme ça .Il y en a partout. Et maintenant quoi faire ? VAREL prend le combiné, téléphone à son épouse et lui demande des vêtements de rechange. Pourquoi faire demande t’elle ? Je t’expliquerais ce soir . C’est la vilaine chose qui vient de passer ce dont la bohémienne m’en a parlé

Enfin VAREL est calmé. Il s’est juré que plus jamais il ne voudra qu’on lui lise les lignes de la main. Il croyais devenir fou, ses derniers temps et d’ailleurs se dit il se ne sont que des bobards.
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MessagePosté le: 19-12-2006 07:56    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

ORIGINE ET HISTOIRE DES ÉTRENNES DU NOUVEL AN GOOGLE
(D'après « Lettre de Jacob Spon à Stoffel » paru en 1674
et « Le Mercure » de juillet et décembre 1735)
En parlant des étrennes, on ne peut se dispenser de remonter, non pas aux Grecs, mais du moins aux Romains, inventeurs de cet usage. Le premier endroit de l'histoire romaine nous apprenant cette coutume est de Symmachus, auteur ancien, qui nous rapporte qu'elle fut introduite sous l'autorité du roi Tatius Sabinus, qui reçut le premier la verbène (verveine) du bois sacré de la déesse Strénia, pour le bon augure de la nouvelle année ; soit qu'ils s'imaginassent quelque chose de divin dans la verbène, soit qu'ils faisaient allusion au nom de cette déesse Strénia, dans le bois de laquelle ils prenaient la verbène, avec le mot de strenuus, qui signifie vaillant et généreux : aussi
Tatius, roi des Sabins

le mot strena, qui signifie étrenne, se trouve quelquefois écrit strenua chez les Anciens, pour témoigner que c'était proprement aux personnes de valeur et de mérite qu'était destiné ce présent, et à ceux dont l'esprit tout divin promettait plus par la vigilance que par l'instinct d'un heureux augure.

Après ce temps-là, l'on vint à faire des présents de figues, de dattes et de miel, comme pour souhaiter aux amis qu'il n'arrivât rien que d'agréable et de doux pendant le reste de l'année. Ensuite les Romains, quittant leur première simplicité, et changeant leurs dieux de bois en des dieux d'or et d'argent, commencèrent à être aussi plus magnifiques en leurs présents, et à s'en envoyer ce jour-là de différentes sortes, et plus considérables ; mais ils s'envoyaient particulièrement des monnaies et médailles d'argent, trouvant qu'ils avaient été bien simples, dans les siècles précédents, de croire que le miel fût plus doux que l'argent, comme Ovide le fait agréablement dire à Janus.

Avec les présents, ils se souhaitaient mutuellement toute sorte de bonheur et de prospérité pour le reste de l'année, et se donnaient des témoignages réciproques d'amitié : et comme ils prenaient autant d'empire dans la religion que dans l'Etat, ils ne manquèrent pas d'établir des lois qui la concernaient, et firent de ce jour-là un jour de fête, qu'ils dédièrent et consacrèrent particulièrement au dieu Janus, qu'on représentait à deux visages, l'un devant et l'autre derrière, comme regardant l'année passée et la prochaine. On lui faisait ce jour des sacrifices, et le peuple allait en foule au mont Tarpée, où Janus avait quelqu'autel, tous habillés de robes neuves.

Néanmoins, quoique ce fût une fête, et même une fête solennelle, puisqu'elle était encore dédiée à Junon, qui avait tous les premiers jours de mois sous sa protection, le peuple ne demeurait pas sans rien faire ; chacun commençait à travailler à quelque chose de sa profession, afin de n'être pas paresseux le reste de l'année.

Enfin, l'usage des étrennes devint peu à peu si fréquent sous les empereurs, que tout le peuple allait souhaiter la bonne année à l'empereur, et chacun lui portait son présent d'argent, selon son pouvoir. Auguste en recevait en si
Le dieu Janus

grande quantité, qu'il avait accoutumé d'en acheter et dédier des idoles d'or et d'argent, comme étant généreux, et ne veillant pas appliquer à son profit particulier les libéralités de ses sujets.

Tibère, son successeur, qui était d'une humeur plus sombre et n'aimait pas les grandes compagnies, s'absentait exprès les premiers jours de l'année, pour éviter l'incommodité des visites du peuple, qui serait accouru en foule pour lui souhaiter la bonne année. Ces cérémonies occupaient même si fort le peuple, les six ou sept premiers jours de l'année, qu'il fut obligé de faire un édit par lequel il défendait les étrennes, passé le premier jour. Caligula, qui posséda l'empire immédiatement après Tibère, fit savoir au peuple, par un édit, qu'il recevrait les étrennes le jour des calendes de janvier, qui avaient été refusées par son prédécesseur ; et pour cet effet il se tint tout le jour dans le vestibule de son palais, où il recevait à pleines mains tout l'argent et les présents qui lui étaient offerts par le peuple.

Claude, qui lui succéda, abolit ce que son
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MessagePosté le: 20-12-2006 08:07    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

Le concours de chat !



VAREL confortablement installé dans son fauteuil, son chat sur les genoux, est entrain de rêver de ses dossiers qui restent en souffrance sur son bureau. Entre autre, il y a quelques mois un chat qui s’est fait assassiner, pour le premier prix d’un concours de beauté. Ce dernier appartenait à la voisine de palier de VAREL, faut croire que le monde est petit, c’était un afghan pur d’une robe grise chinée superbe.


FREDERIQUE, te souviens tu de mistigri, le chat de notre voisine. ? Son dossier n’est pas liquidé et traîne toujours chez moi sur mon bureau Ne pourrais tu pas me faire quelques déclaration en ce qui concerne sa mort. Si je comprends bien il a été empoisonné par une personne jalouse qui convoitait le premier prix lors du concours des chats de race.

Frédérique commence à raconter tout ce qu’elle se souvient de cette matinée ou un représentant a frappé à la porte. Il vendait des boites de nourriture pour chats. La voisine ce jour là a pris le café chez nous et elle a même dit textuellement, vous la vendez bien chère cette nourriture. Nous nous sommes mis d’accord en prenant un carton de 12 boites à se partager. Le lendemain ce pauvre mistigri avait trépassé et on l’a retrouvé raide sur le carrelage de la salle de bain. Mais notre chat a nous, ceci ne lui a rien fait ? Non il ne les a pas reçu, elle sont toutes les 6 encore intactes dans la réserve au cas ou.. Heureusement ! Vas me chercher une boite, je veux la faire analyser. On verra bien ce que ça donne.

Il s’est avéré que dans la nourriture il y avait un poison foudroyant pouvant tuer un bœuf. La cause de la mort avait été établie, mais sans plus. La propriétaire du chat n’avait pas les moyens de poursuivre cette affaire et fautes de preuves, tout est reste en instance.


Des mois et des mois passèrent. Un dimanche après midi gris sans soleil, de temps en temps une bourrasque moche à ne pas mettre un chien dehors. Frédérique propose d’aller au concours de chats de race qui se tient dans la salle polyvalente du quartier. VAREL comme toujours est d’accord, faut bien passer son dimanche pardi.

Les plus beaux spécimens sont présentés. Subitement Frédérique sursaute, VAREL, c’est lui c’est lui, le vendeur de boites pour chats, je le reconnaît et j’en suis sur. Varel est déjà sur pied. Il va directement retrouver le speaker qui va sur le champs annuler ce concours.

VAREL va faire le nécessaire afin de pouvoir encore clôturer ce cas et liquider un autre dossier, avant son départ pour la retraite.

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MessagePosté le: 20-12-2006 08:22    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

Père Fouettard : il est vraiment tout noir !Le Père Fouettard accompagne partout Saint-Nicolas, ou plutôt il le suit comme son ombre. Noir, il est vraiment tout noir le Père Fouettard ! Ses bottes, son manteau, son visage, son capuchon qui laisse dépasser de longues cornes, sa queue... Tout est noir ! Il est noir des pieds jusqu'à la tête, le Père Fouettard ! Comme Saint-Nicolas, il parcourt le monde entier le 6 décembre, mais lui, ce n'est pas pour donner des cadeaux et récompenser les enfants sages. Le Père Fouettard cherche les enfants désobéissants pour leur donner une grande correction avec un long fouet... qui lui aussi est noir ! Mais d'où vient-il ce Père Fouettard ? Il serait né très tard, à Metz en 1552, et ressemblerait un peu à Charles Quint qui avait envahi la ville. Les habitants, mécontents, et notamment les tanneurs de la ville, auraient confectionné un affreux mannequin, armé d'un fouet, pour représenter l'envahisseur qui poursuivait les enfants. Ils auraient organisé une énorme procession qui se serait achevée avec un grand bûcher dans lequel l'épouvantail aurait été jeté à la satisfaction générale. D'ailleurs l'année suivante, Metz est enfin libérée. Mais le sombre personnage au fouet ressuscite et il réapparaît lors du passage dans la ville de Saint-Nicolas. Depuis, on l'a appelé « Le Père Fouettard, le tanneur de fesses ». Selon les pays, son histoire est différente. Toujours est-il que le Père Fouettard a d'autres noms selon la région ou le pays qu'il traverse. En Bavière et en Autriche, on l'appelle « Krampus » (crochet en français), dans d'autres régions d'Allemagne « Ruprecht ». Pour tromper son ennemi et les enfants, Père Fouettard se change parfois en bouc et son corps se recouvre de poils noirs sous son long manteau noir. En Hollande, Saint-Nicolas est suivi par un certain « Pierre le Noir » appelé « Zwart Piet ». Lui est carrément horrible car il rassemble les enfants méchants et les jette dans la Mer Noire. Au Luxembourg, le Père Fouettard s'appelle « Housecker » et se balade avec des tiges de bois pour donner des fessées aux garnements. Parfois, le Père Fouettard ne peut pas se déplacer lui-même, il envoie donc à sa place une vieille femme affreuse à la voix chevrotante, une sorte de sorcière toute noire... Avec tout ça, ce n'est guère étonnant si certains enfants ont peur du noir !

Date de création : 25/10/06 12:13 URL=http://imageshack.us][/URL]
Auteur : Chris
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MessagePosté le: 21-12-2006 07:49    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

LE PETIT CHATON !

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Nous sommes deux jours avant NOEL , pas de neige cette année ci . Le soleil brille de tous ses rayons sur un marché de NOEL en Alsace , du jamais vu .

Devant la cathédrale de STRASBOURG ainsi que la place BROGLIE, les petites maisonnettes du père NOEL se sont mises en place offrant à la clientèles, décorations de sapin, jouets, vins chauds, et friandises, comme sucre d’orge, miel, confiserie et pain d’épices.

Un père NOEL avec son traîneau se promène accompagné du père fouettard dans les allées et propose des photos Les enfants sont émerveillés, ils sont là, bouche baie,en attendant devant les rennes, le premier clicher. JOSE et ELSA ont faussé compagnie à leur maman en se cachant derrière les grands sapins venus directement de nos VOSGES ; Ces pauvres forêts vont encore être mutilés cette année ci . Ces sapins garnissent notre chaumière pendant quelques jours et après vous les voyaient traîner dans la rue pendant des jours et des jours.


ELSA dit à son petit frère, regarde le chaton qui vient de me caresser la jambe avec sa queue .Il vient de se réfugier sous un stand de nougat et de BREEDELE ( petit gâteau sucré), essayes de l’attraper. Il est farouche ce chaton, il a peur dit le petit, il fait voir ses griffes. Pour la petite ELSA, le chat a froid et faim et surtout peur. Ca doit être un chat abandonné ? Si maman veut bien nous allons l’emmener à la maison, comment veux tu qu’on l’appelle ? MISTIGRIS, regarde il est d’un beau gris soyeux Ah mais le petit chat ne se laisse pas faire comme ça.


Voici une dame qui arrive avec un bambin de quatre à cinq ans, La maman a du mal a retenir son fils. Il fait des mains et des pieds, il hurle, il veut un hamburger, il a faim. La maman cède à ce caprice et le lui achète, ne te salie pas lui dit elle. A peine terminé la phrase, le hamburger roule parterre dans le sable. Ne le ramasse plus maintenant, il est sale., toute à l’heure on en achètera un autre. Viens voir le beau sapin que voilà elle l’entraîne vers une petite locomotive qui vend des marrons chauds. Partout des lumières des guirlandes et des chants de noël, c’est merveilleux .

Le petit JOSE se dit : Voila une bonne viande parterre, elle va ma servir à attraper le chaton. Effectivement rien que l’odeur, fait venir le chat tout seul. Il a faim le pauvre petit. Voila il se laisse caresser et suis les enfants sans se faire prier. Enfin la maman a retrouvé ses deux petits, a qui est ce chat demande t’elle ? à nous maman , nous l’avons trouvé sous un stand. Il grelottait de froid et de faim, pouvons nous l’emmener ? Mais êtes vous bien sur qu’il n’appartient à personne. Pas que pour NOEL des enfants pleurent la disparition de leur chaton, ce serait terrible. ELSA dit, laisser mourir une bête dans la rue, c’est terrible aussi. Oui dit la maman , toute réflexion faite, emmenons le .mais il faudra vous en occuper, j’ai assez de travail comme ce-ci.


Alors les enfants racontèrent comment et à l’aide de quoi, ils ont pu attraper le petit matou.

Ah oui dit la maman :
LE MALHEUR DE L UN FAIT TOUJOURS LE BONHEUR DE L’ A UTRE
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MessagePosté le: 21-12-2006 08:02    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

Le document de Paule-Andrée
Le pain d'épice a un petit quelque chose de magique. Traditionnellement, ce pain est fait à la mélasse et il est épicé au gingembre; depuis des siècles, il a figuré dans les contes populaires comme ? le petit bonhomme de pain d'épice ? et ? Hansel Gretell ?.
Déjà au 17e siècle, les foires en Angleterre offraient aux enfants des friandises de pain d'épice aux formes de bonhomme, de bonne femme, d'animaux et de saints enjolivés de dorure.

Au Moyen Âge, les belles dames du royaume attribuaient des figurines de pain d'épice, entre autres faveurs, aux chevaliers qui se distinguaient par leur courage.

Le pain d'鰩ce est consid鲩 depuis longtemps comme une friandise de No묮 ? Nuremberg, au d颵t du 17e si裬e, les familles allaient au ? Christkindmarkt ? acheter des décorations sculptées pour la Noël, des saucisses de spécialité et de fameux gâteaux de pain d'épice ? Lebkuchen ? de Nuremberg.

Aujourd'hui encore, on trouve dans les musées de l'Allemagne des moules qui étaient utilisés spécialement pour les diverses formes de biscuits de pain d'épice de la Saint-Nicolas.

En Amérique du Nord, à la fin du 19e siècle, le pain d'épice était déjà connu depuis des dizaines d'années. Les immigrants de diverses souches ethniques ont amené avec eux leurs propres variantes de sorte qu'aujourd'hui, le pain d'épice gaiement coloré fait partie des traditions de Noël autant en Amérique qu'outre-mer.

extrait DU COMPAGNON DE L'Amoureux de NOURRITURE, 2e édition
par Sharon Tyler Herbst, services éducatifs de Barron inc.



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Pain d'épice
La capitale du pain d'épice
Pain d'épice pur miel
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MessagePosté le: 22-12-2006 07:46    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

LE MARCHE AUX SAPINS DE NOEL !
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La place Broglie a comme tous les ans exposée des centaines de sapins, venus du fin fond des Vosges. Tous les ans a la même époque, la place est en fête et largement décorée de toutes sorte de lumières Un tout petit sapin s’adresse a sa maman. Maman j’ai peur, maman je grelotte de froid. La mère de ses grandes branches le sert contre son tronc et le rassure.

Mon tout petit, cache toi derrière moi. Personne ne t’as vu encore sur cette place,.d’ailleurs les acheteurs sont rares ce matin .
Le vendeur arrive avec un monsieur a longue barbe. On dirait le père fouétard, quelle ressemblance !
Oh quel joli spécimen dit-il en voyant le sapin mère. Mon choix est fait, c’est celui-ci que je prends

Le petit sapin caché lui fait une grosse bosse sur le cote. Ie père fouetard retourne le sapin dans tous les sens et en voyant cette grosse bosse s’écrit s’est bien dommage il y a comme un défaut .

Je prendrais quand même celui que j’ai vu au paravent.
.

La maman sapin et son petit sont seuls Eh bien on l’a échappé belle mon enfant, pour cette fois ci.
Viens sort mon chéri repose toi un peu maintenant de tes émotions.. A peine quelques minutes après, père Noel arrive avec sa dam .habillée toute en blanc avec un grand voile., pour la circonstance.
Oh qu’il est mignon ce petit, comme j’aimerais l’avoir pour décorer ma chambre le soir du réveillon.. Qu’a cela ne tienne. Le père Noel sort son porte-monnaie et l’achète. Ce sera ton cadeau de Noel. Et tous mes voeux.

Le petit sapin se met à trembler de toutes ses forces. Maman maman, je vais devoir te quitter
Viens avec moi. La dame en blanc refléchie.
Monsieur mettez moi une ficelle autour du grand sapin je l’offre au père Noel et voila le miracle est accompli. Le grand et le petit sapin sont réunis pour les fêtes .

Mon beau sapin, roi des forêts, que j’aime ta verdure !

Le pere Noel, avec son Christkindel le grand sapin et le petit tous en
choeur chantent …….. mon beau sapin LINE
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MessagePosté le: 22-12-2006 08:12    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

L'histoire du sapin de Noël
[28-12-2005] Par Jaroslava Gissubelova
Écoute 16kb/s ~ 32kb/s Le sapin de Noël qui orne les demeures tchèques depuis le 24 décembre jusqu'à la fête des Rois Mages est le plus jeune parmi les symboles de Noël dans notre pays. D'où, la coutume de décorer l'arbre de Noël nous est-elle venue, quelle est sa symbolique ? Retour sur cette histoire dans ces derniers chapitres de l'année 2005.
Il existe plusieurs légendes sur l'histoire de l'arbre de Noël. Les décorations faites à partir des conifères ont fait partie des célébrations du solstice d'hiver, longtemps avant l'avènement du christianisme. Les gens accrochaient des branches au-dessus de leurs portes, croyant que celles-ci protégeraient leur famille contre les sorcières, les fantômes, les mauvais esprits et les maladies. Selon l'une des légendes, l'arbre de Noël est une coutume chrétienne possédant ses racines au VIe siècle, déjà. Le moine irlandais, Colomban, qui aurait débarqué en France pour y convertir la population à la foi chrétienne, s'est aperçu que les gens honoraient, pendant le solstice, un vieux sapin. Il l'a fait décorer de torches allumées sous forme de croix pour y attirer les gens.
L'arbre de Noël moderne est une invention du XIXe siècle. Il y a 180 ans, on aurait beau eu le chercher dans les familles tchèques, habituées à installer les crèches de Noël. Dans notre pays, la coutume de dresser l'arbre de Noël est liée à Jan Karl Liebich, directeur du Théâtre des Etats. C'est d'Allemagne, son pays d'origine, qu'il a importé cette belle tradition à Prague. Pourtant, le fin fond de l'histoire était plus prosaïque, dit l'historienne Valburga Vavrinova :
« Karl Liebich avait une famille nombreuse et, aussi, de nombreux créanciers qui frappaient à sa porte juste avant Noël. En 1812, il a décidé d'organiser à leur intention une grande fête au château de Liben, où il habitait, et de montrer pour la première fois à ses invités un arbre de Noël richement décoré et illuminé. Mais avant de les inviter, il a tenu à expliquer que le sens de cette tradition consiste à poser les cadeaux sous le sapin. Ses amis riches l'ont compris et ont accroché sur cet arbre les lettres de change remboursées, avec une note : pour une année, uniquement. »
N'empêche que cette nouvelle idée connut du succès. Privilège, au départ, des couches aisées, l'arbre de Noël s'est peu à peu répandu dans presque toutes les familles, d'abord à Prague et dans les villes, et plus tard aussi à la campagne. Chose curieuse, à la campagne, l'arbre était accroché au-dessus de la table, au plafond, et dans le sens inverse - le tronc en haut et l'aiguille en bas. L'explication est la suivante : pendant toute l'année, une colombe, symbolisant le Saint-esprit et assurant la bénédiction à la maison était accrochée au-dessus de la table à laquelle toute la famille se réunissait. Et puisque l'Eglise catholique commençait à interpréter le sapin de Noël comme un symbole de la vie éternelle, puisqu'il reste vert pendant toute l'année, la colombe a été tout simplement remplacée par le sapin.
La coutume de décorer les demeures par un sapin de Noël s'est répandue à la deuxième moitié du XIXe siècle grâce à Vojta Naprstek, patriote, explorateur, grand mécène de la culture, fondateur du musée ethnographique dans sa maison natale, U Halanku, dans la Vieille-Ville de Prague. C'est ici que Vojta Naprstek a créé, en 1865, le Club américain des dames ouvert aux femmes de la bourgeoisie. Le Club américain des dames a eu le principal mérite à ce que l'arbre de Noël soit dressé dans les orphelinats, les hôpitaux et les foyers pour les plus démunis. La maison U Halanku, que Vojta Naprstek a transformée en un centre culturel où se donnaient rendez-vous les peintres, écrivains, journalistes, et politiciens, fut aussi à l'origine des célébrations du Nouvel An à Prague : Les soirées du 1er janvier, en présence de plusieurs centaines de personnalités, étaient un grand événement dont la presse de l'époque informait largement sur ses pages. Selon Milena Secka, actuelle présidente du Club américain des dames qui a renouvelé ses activités dans les années 1990, Vojta Naprstek a institué la tradition de célébrer le Jour de l'An dans le sens civique du mot.
La décoration de l'arbre de Noël a, elle-aussi, son histoire. Depuis les années 1880, l'arbre était orné par des décorations en verre. Avant cette date, les arbres ont été décorés avec des choses à manger : pommes, noix dorées, biscuits en pain d'épices aux formes de coeurs, de cloches, d'ange et d'étoiles, bonbons en formes de fruits et d'animaux. Les décorations ne pouvaient pas être mangées avant le 6 janvier, où l'on croyait que les Rois Mages arrivaient à Bethléem apportant leurs cadeaux. Ces sucreries faites à la maison ont été remplacées, depuis déjà la fin du XIXe siècle, par les figurines en chocolat industrielles. Les boîtes de friandises de Noël fabriquées par les chocolaterie Orion ont atteint leur perfection sous la Première république, lorsque la fierté de la création d'un Etat indépendant s'est reflétée aussi sur les formes des figurines en chocolat représentant les miniatures des produits made in Czechoslovakia, tels que les voitures Skoda, les chaussures Bata, etc... Ces boîtes de friandises ont acquis une réputation en France, en Allemagne et aux Etats-Unis où elles étaient exportées, de même que les décorations en verre. Les décorations avec les figurines de chocolat et les boules de verre sont utilisées jusqu'à présent, bien qu'elles subissent des tendances en ce qui concerne les formes et les couleurs. Cette année, par ex., c'était l'orange, couleur en vogue du Noël tchèque.
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MessagePosté le: 22-12-2006 08:48    Sujet du message: Répondre en citant

Bonjour Line,

Voilà de belles histoires de Noël et toujours bien illustrées.

J'ai bien aimé revoir le père Fouettard, quand j'étais petite, je le regardais toujours dans le vieux dictionnaire de ma grand-mère.
Il avait un martinet à la main, ça m'impressionnait.

Je te fais de gros bisous et te souhaite un bon Noël, il y a des bébés à gâter cette année.
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MessagePosté le: 23-12-2006 08:10    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

L’ALSACE SOUS LA NEIGE !


JOYEUX NOEL A VOUS TOUS AINSI QU A VOTRE FAMILLE;bisou line








Les Vosges, il faut les voir comme elles sont belles sous ce manteau blanc Ces grands sapins sont recouverts de neige poudreuse qui fait le bonheur de tous les skieurs. Tout la-haut au MARKSTEIN, le refuge est plein a craquer et les dortoirs sont archi bondés. Le gérant s’adresse à son personnel
ça me fait mal au coeur de renvoyer les gens, mais nous n’ avons plus de gîte, hélas.


C’est comme ceci, qu’un savant chercheur en physiologie se trouve en altitude, dans cette bourrasque de neige. On l’attend dans un endroit retiré dans la montagne et la neige et le brouillard ne lui permettent pas de continuer. Il doit participer a un colloque. Les travaux sont
ULTRA TOP SECRET !


Mon histoire est sordide !


Brusquement la nuit tombe ainsi qu’un épais brouillard se lève dans les champs. Les routes sont verglacées et les voitures ont tout le mal du monde pour circuler Chaque dixième voiture à peu prés atterie dans le fossé Notre brave chercheur a dû louper la sortie COLMAR ; Voila sur l’autoroute il faut continuer, pas question de faire autrement . Il se serre a droite et à la prochaine sortie quitte l’autoroute .pour s’arrêter un peu plus loin sur une ère pour consulter sa carte.

Tout en haut à la cime de la montagne, il a remarqué que des tremplins ont été posé à droite et a gauche A quoi peuvent ils bien servir ? D’après la situations pas aux sauts de ski
En arrivant, il va se renseigner Ceci lui donne à réfléchir

Les yeux commencent à lui faire mal, à force de fixer la neige sur la route et il prend par un petit sentier qui mène à la forêt. A cent mètres de là u n gros tronc d’arbre lui fraye le passage
Il ne l’avait pas vu, ni l’écriteau ? ACCES INTERDIT - SECTEUR PRIVE ;

Il quitte sa voiture Il contourne le tronc et d’un pas décidé va voir ou il peut bien se trouver.

Subitement des aboiements d e chien suivies d’un coup de fusil, le font trésaillir Deux malabars, certainement des vigiles, viennent le rejoindre sur le sentier. Qui êtes vous, que faites vous la. Mais messieurs, je n’ai pas à vous répondre, vous n’êtes pas de la police je présume. Rebroussez chemin Monsieur, sinon mes chiens vont se régaler ce soir Ca fait deux jours ils n’ont pas mangé et un doberman , il faut pas lui en promettre.

Oui je veux bien quitter ce sol privé, mais avant dites moi ou je trouve la D.I. ( dernière invention ). Mais monsieur vous y êtes la voila la D.I.

A deux pas de la se trouve une habitation faite en plusieurs baraquements Le docteur JUNG est introduit chez le directeur de cet organisme .Le voila sur place, il va pouvoir se reposer de son voyage mouvementé


Les présentations avec les collègues et la direction seront faites le soir même.


Le lendemain après le déjeuner colloque jusqu’à midi et l’après midi de 15 heures à 18
heures.

La directeur pris la parole Il commença à parler de ces tremplins et sur chaque tremplin un réacteur . à parler d’une arme secrète pour une nouvelle guerre . Ces réacteurs sont capables d’envoyer des bombes jusqu’à tant et tant de kilomètres à la ronde . La combustion sera faite D OXYGENE LIQUIDE ET D ALCOOL JUNG n’en crois pas ses yeux. A quoi s’était il engagé.

Tous ces chercheurs sont des criminels ! Ils savent tous de la production. Mais pour qui travaillent ils ? personne ne le sait . Peut être le directeur, il est Japonais lui.


Le professeur JUNG , sera gardé nuit et jour par les deux vigiles . Tous ces gens sont des prisonniers et n’ont pas le droit de communiquer. Et quelques mois passent


Un nouveau professeur est venu rejoindre ce groupe, comme JUNG il a débarqué en cherchant. Mais la les oiseaux chantaient dans la forêt, le soleil brillait, nous étions au mois de juin. Tout comme JUNG, il a été surpris par ce genre d’activité, quoique lui il était déjà au courant de cette affaire. Ce dernier était un policier en civil et portait sur lui une radio reliée au commissariat le plus proche



Un jour en plein travail, .le nouveau murmure a l’oreille de JUNG Allez vas y passe aux aveux, sinon le tribunal te condamnera à vie. JUNG ne dit rien , il avait bien compris le petit jeu de son interlocuteur. Au commissariat une brigade est sur le point de rendre visite à ces prisonniers et ses géoliers, On travaillaient bel et bien pour les japonais .Tous ont été libérés, sauf la direction -


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MessagePosté le: 23-12-2006 09:09    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

Vendredi 15 Décembre 2006
Les guirlandes de Noël

Pourquoi met-on des guirlandes dans le sapin?

Il n’y a guère d'explication à ce sujet...juste une jolie légende.




Photo © Kri


La veille de Noël, une vieille dame avait garni de boules un petit sapin. La nuit venue, une araignée vint y faire sa toile.

Une Elfe, qui passait par là, transforma les fils en rubans d'or.

Ainsi serait née la première guirlande.







publié par Kri dans: Chez Moi
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