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le CARNET DE LINE---histoire de Line
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priska



Inscrit le: 09 Fév 2006
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MessagePosté le: 07-01-2007 08:24    Sujet du message: Répondre en citant

Ah, Liline, la Liberté ! Il a bien raison ce petit chat ! Rien n'est meilleur que la liberté ! Merci de nous le rappeler...
Passe une bonne journée, Line Je te fais un gros bi. Very Happy

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MessagePosté le: 07-01-2007 08:54    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

histoire d 'orange


Antiquité
35-30 avant Jésus-Christ : fondation d'Arausio par les vétérans de la IIème légion "gallique".
La cité se dote au cours des siècles de monuments typiques de la civilisation urbaine romaine.
Beaucoup sont encore visibles aujourd'hui :
- le Théâtre Antique
- l'Arc-de-Triomphe
- les vestiges des temples de la colline et l'hémicycle
- les vestiges du mur d'enceinte (tours) et de l'aqueduc
- le mur ouest du forum
- les Cadastres gravés sur marbre (visibles au Musée Municipal).
77 après Jésus-Christ : rédaction des cadastres d'Orange sur l'ordre de l'empereur Vespasien.
460 après Jésus-Christ : St Eutrope, patron de la ville et évêque, donne son nom à la colline qui surplombe le Théâtre Antique.


Époque médiévale
793 : Guillaume au Cornet, Comte d'Orange, compagnon de Charlemagne, libère la ville de l'occupation sarrasine. A la fin de sa vie, Guillaume, abandonnant toutes les richesses de ce monde, entre au monastère. Après sa canonisation, ce monastère deviendra St-Guilhem-le-Désert.
1096 : Raimbaud II, comte d'Orange, participe à la Ière croisade et se signale par sa vaillance à Antioche et sur les murailles de Jérusalem. Une statue le représentant et datant du XIXème siècle est visible place de la République.
1150-1393 : les Princes des Baux règnent sur la Principauté d'Orange.
1163 : l'Empereur allemand Frédéric Barberousse élève Orange au rang de Principauté.
1184 : les Princes d'Orange battent monnaie.
1208 : consécration de la Cathédrale Notre-Dame de Nazareth en présence du prince Guillaume des Baux.
1348 : la peste noire fait disparaître près de la moitié de la population.
1365 : création de l'université d'Orange.
1393 : la Principauté passe à la famille de Châlon.
1471 : instauration d'un parlement de la Principauté.


La Renaissance
1530 : Philibert de Châlon meurt sans postérité. Son neveu, René de Nassau hérite de la principauté d'Orange. La puissante maison de Nassau aux multiples possessions en Allemagne et aux Pays-Bas régnera sur la Principauté jusqu'en 1702.
1544 : Guillaume 1er de Nassau, dit le Taciturne, Prince d'Orange et "Stathouder" de Hollande.
1562 : épisode marquant des guerres de religion à Orange : les catholiques lancent une expédition punitive contre les protestants.

Les Temps Modernes
1620 : Maurice de Nassau transforme le château des Princes en une puissante citadelle.
1665 : Guillaume III d'Orange. Il deviendra roi d'Angleterre en 1689.
1673 : destruction totale de la citadelle d'Orange sur ordre de Louis XIV. Ruines du château encore visibles sur la colline.
1702 : mort de Guillaume III de Nassau. La Principauté échoit au prince François Louis de Bourbon, de la maison de Conti.
1703 : prise de possession de la principauté par Louis XIV. Expulsion des protestants.
1713 : première annexion officielle de la Principauté au Royaume de France par le traité d'Utrecht.
1718 : restitution de la Principauté à Louis-Armand, Prince de Bourbon-Conti.
1720 : la peste frappe Orange et fait 550 victimes.
1731 : cession définitive de la Principauté rattachée à la province du Dauphiné sous Louis XV.
1757 : ouverture de la fabrique de cotonnades imprimées dites "indiennes" des frères Wetter.


La Révolution, l'Empire et la Restauration
1790 : Rodolphe d'Aymard, premier maire d'Orange, intervient à la tête de la Garde Nationale pour mettre fin aux émeutes des 10 et 11 juin 1790 à Avignon.
1793 : création du département de Vaucluse auquel Orange est attaché.
1794 : Le tribunal révolutionnaire sévit à Orange comme dans le reste de la France. 332 personnes sont exécutées.
1824 : Début des travaux de restauration du Théâtre Antique par Auguste Caristie, architecte des Monuments historiques.


Époque Contemporaine
1869 : premières représentations au Théâtre Antique sous le nom de "fêtes romaines" qui deviendront les Chorégies d'Orange.
1903 : Sarah Bernhardt joue Phèdre au Théâtre Antique.
1915 : mort du célèbre entomologiste Henri Fabre.
1924 : inondation de la ville : 1,50 m d'eau dans le centre ville.
1940 : aménagement de la base aérienne de Caritat.
1952 : visite de la reine Juliana de Hollande. La souveraine plante symboliquement un chêne sur la colline Saint- Eutrope.
1967 : installation de la Légion Étrangère. Le1er Régiment Étranger de Cavalerie prend ses quartiers sur la route d'Avignon.
1991 : aménagement d'un parvis devant la façade du Théâtre Antique, restauré en 1988.
2000 : restructuration du cours Aristide Briand.
2001 : création de la salle des fêtes.
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MessagePosté le: 08-01-2007 07:43    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

VICTOR LE CHIFFONIER !



La cloche de l’école retentit, il est midi. Les enfants se mettent en rangs pour quitter la salle. Devant l’école une gamine attend patiemment son petit frère et tous les deux prennent le chemin de la maison.

En court de route ils croisent VICTOR, connu sous le nom de chiffonnier. Vous l’entendez arriver de loin PEAU PEAU LAPIN PEAU chiffons ferraille ! Il trimbale une petite charrette avec ces vieilleries étale une couverture parterre, avec des gadgets, comme toupie, yoyo, serpentin, ou ballon. D’après le poids et la qualité des chiffons que les gosses lui apportent, ils peuvent choisir, entre les différents articles. Une heure après, VICTOR range ses affaires et change de secteur.

PETIT PIERRE est émerveillé par tous ces cadeaux et il aimerait bien posséder cette toupie rouge que voila. Allons dépêche toi dit la petite fille en tirant sur la main de son frère, nous allons nous faire gronder par maman, si nous arrivons trop tard à la maison. Rien à faire, PIERRE ne bougea pas d’un pas. Marguerite sans se retourner, partie toute seule laissant le gamin devant l’exposition de gadgets qui l’a tellement fasciné.

La maman sur le pas de la porte attend ses enfants avec impatience La soupe va refroidir et la viande brûler dans le four. Mais que font ils aujourd’hui d’habitude, ils ont déjà lavé leurs mains et sont à table a cette heure là.

Voilà Marguerite.Tu es seule ma fille, ou est ton petit frère ? La gamine explique à sa mère que le petit est resté avec VICTOR au coin de la rue. La maman sans hésiter va à sa rencontre. Arrivé au coin de la rue, tout est désert Ni VICTOR ni PETIT PIERRE ne sont là. La pauvre mère commence à trembler, ou à bien pu passer son fils. Peut être est il rentré maintenant, elle revient chez elle en courant. Rien à faire le petit a bel et bien disparu.


Une dame à sa fenêtre interpella Madame DURAND ; Vous cherchez quelque chose ? Oui dit elle mon fils et VICTOR. Votre fils je ne l’ai pas vu, mais VICTOR avec sa charrette, s’est dirigé vers la place de la gare à l’instant même. Mon DIEU, le petit a disparu ; il est tellement jeune, il n’a que 6 ans. Mon mari va rentrer d’une minute à l’autre, que vais-je lui dire ? S’il ne voit pas son fils. La pauvrette, elle pleure toutes les larmes de son corps, voila que son mari vient à sa rencontre. Il est déjà au courant de la disparition de son gamin. mais ou le chercher dites moi ou ?

Dans la soirée le gosse n’est toujours pas rentré. D’ailleurs va t’il retrouver son adresse. ça ne fait pas longtemps qu’ils habitent le quartier. Les parents vont de ce pas à la gendarmerie du coin, pour faire la déclaration Le petit est recherché par une centaine d’élément de la gendarmerie. Un hélicoptère survole la ville et une vedette fluviale sillonne le port. Le gosse reste introuvable, ainsi que notre ami VICTOR.


LE LENDEMAIN à l’ouverture de la Gendarmerie, VICTOR se présente avec PETIT PIERRE à la main. Voila monsieur le gendarme ce que j’ai trouvé ce matin, en dessous des chiffons dans ma petite carriole Un petit garçon endormi, son nom c’est PETIT PIERRE, mais il ne sait pas ou il habite Mais moi je sais dit le gendarme, nous allons tout de suite téléphoner à ses parents pour les tranquilliser. Grande fit la joie des retrouvailles et le petit raconta qu’elle était si belle cette toupie rouge, qu’il l’a suivie jusqu’au soir et quand il s’est senti fatigué, il s’est couché sur les chiffons, là ou VICTOR le trouva le lendemain. Et voila


TOUT EST BIEN QUI FINI BIEN ! LINE
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musika



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MessagePosté le: 08-01-2007 07:46    Sujet du message: Répondre en citant

bonjour ma linette,
victor le chiffonnier, voilà un bien joli prénom que j aime, et une bien
belle histoire.
quand j étais plus jeune, j aimai bien ce prénom qui sortait de l ordinaire.
oui,

je me souviens d'un victore........ Very Happy
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MessagePosté le: 08-01-2007 07:56    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

Origine, histoire, dictons du MOIS DE JANVIER
Romulus composa l'année de dix mois ; Numa Pompilus y ajouta ceux de janvier et février. Les calendes de janvier étaient particulièrement consacrées au dieu Janus, dont les deux visages regardaient l'année qui venait de finir et celle où l'on entrait. On offrait à ce dieu, dans le cours de la première journée, le gâteau nommé janual, des dattes, des figues et du miel ; les artistes et les artisans ébauchaient la matière de leurs ouvrages, persuadés que le travail de ce jour leur assurait une année favorable. On se visitait, on s'adressait des voeux, on se gardait de laisser échapper un propos de mauvais augure, on s'envoyait des présents ; le soir on se régalait en l'honneur de Janus.

O n pense que l'usage des souhaits d'étrennes vient des Romains. Tatius, roi des Sabins, et qui régnait dans Rome conjointement avec Romulus, considéra, dit-on, comme un bon augure le présent qu'on lui fit le premier jour de l'an de quelques branches coupées dans un bois consacré à Strenia ; il autorisa la coutume des présents faits à cette époque, et leur donna le nom de Streniae.

Avant la Révolution de 1789, et dans plusieurs provinces de France, les usages suivis le premier jour de l'an conservaient les traces de la fête du Gui que célébraient les anciens Druides. Les enfants du Vendomois couraient les rues dans ce jour solennel, et demandaient à ceux qu'ils rencontraient le Gui-l'an-neu. Dans la dernière nuit de l'année, le peuple du Maine parcourait également les rues en chantant des chansons dont le refrain était toujours : Donnez-nous le Gui-l'an-neu.

La Fête des Rois ou Epiphanie : ce dernier nom signifie apparition. C'est en effet le jour où le Christ commença de se faire connaître aux gentils, et où les quatre rois appelés Mages dans l'Ecriture vinrent l'adorer.

L'analogie qui existe entre les habitudes de cette fête et celle des Saturnales a fait penser que l'une était la continuation de l'autre. Les Saturnales se célébraient du 15 au 21 décembre.

D ans la Beauce, un souper splendide a lieu la veille des rois ; le président du repas est toujours la personne la plus respectée parmi les convives. Avant d'entamer le gâteau, on fait mettre sur la table un enfant ; c'est le plus jeune garçon de la famille. Quand la part est coupée, le président dit : Fébé (la fève). L'enfant qui s'est levé répond : Domine ; le président reprend : Pour qui ? L'enfant répond : Pour le bon Dieu . Cette part est mise en réserve, et on la donne au pauvre qui vient la demander. Voici quelques fragments des chansons naïves du pauvre qui attend et regarde à travers les fentes de la porte :

Honneur à la compagnie
De cette maison.
A l'entrée de votre table,
Nous vous saluons.
Nous sommes venus d'un pays étrange
Dedans ces lieux ;
C'est pour vous faire la demande
De la part à Dieu.

Il s'interrompt pour crier : La part à Dieu, s'il vous plaît ; et il termine le premier chant. Nous donnons encore ici le premier couplet du seconde chant :

Les Rois ! les Rois ! Dieu vous conserve,
A l'entrée de votre souper.
S'il y a quelque part de galette,
Je vous prie de nous la donner.
Puis nous accorderons nos voix,
Bergers, bergères ;
Puis nous accorderons nos voix
Sur nos hautbois.






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MessagePosté le: 09-01-2007 07:40    Sujet du message: <carnet de line Répondre en citant

UN BIJOU MAYA !



Dans la devanture d’un collectionneur, sur une grande artère de la ville, un objet maya est exposé. Ca doit être un bijou, mais un bijou d’une beauté remarquable qui a une certaine influence sur une jeune femme qui passe tous les jours par ici .C’est incroyable, depuis qu’elle l’a vu, ce bijou sous forme de broche ne lui sort plus de la tête. Nuit et jour elle est obnibulée par cette rareté, mais elle a comme un pressentiment Cet objet a un pouvoir néfaste sur elle. C’est comme un oiseau de mauvaise augure, un objet maudit qu’on ne doit pas posséder.

Et pourtant ! Après longue réflexion, JEANETTE, se décide de pousser la porte de l’antiquaire. Bonjour Madame, Madame a-t-elle vu quelque chose dans la vitrine qui a attiré son attention ? Ah la pierre MAYA ? Franchement dit je n’ai pas l’intention de m’en défaire
Mais pour un si beau brin de femme, on peut faire une exception. Quel gros mensonge ! Depuis le temps qu’il veut s’en défaire. Il n’a jamais eu autant de tuiles que depuis qu’il est en possession de cet article. Pour le vendeur, ce n’est pas un porte bonheur, mais un porte malheur. Il faut s’en débarrasser au plus vite, même si on ne peut pas demander le prix fort.

Le vendeur retire la broche MAYA de la vitrine Le voila soulagé, il est enfin vendu cet objet de malheur. En voulant manipuler le mécanisme de la fermeture, l’aiguille lui est rentrée dans le pouce Aie.. Aie on dirait que cet objet riposte, on l’a dérangé. Il était pourtant bien dans cette vitrine sous les derniers rayons de soleil de la saison. Maintenant il est enfermé dans le noir dans une toute petite boite en carton sans lumière, sans air. « Je vais suffoquer, mais ça ne se passera pas comme ça » dit une petite voix fluette


JEANETTE une fois rentrée chez elle, cherche une belle place, pour exposer sa broche. Je crois qu’ici sur la cheminée, à côté de la photo des parents, serait l’idéal. JAENETTE est fière de son acquisition, elle reconnaît que le prix fût abordable. Elle est fatiguée, le fauteuil lui tend les bras et elle s’assoupie.

Quelques minutes après, le téléphone sonne C’est toi ma fille, tu devrais venir, ton père est au plus mal. Le médecin a parlé d’un mal sournois, il ne peux pas se prononcer. La voiture sort du garage JEANETTE se rend au chevet de son père.



Le collectionneur a passé une très mauvaise nuit. Souvenez vous qu’il s’était piqué avec la broche en la manipulant, avant de la mettre dans la petite boite en carton. Infection, fièvre trait rouge etc…


Depuis que JEANETTE est en possession de cet objet maudit, tout va de travers, mais elle ne pense pas que l’on pourrait attribuer ceci à la broche. Panne d’éléctricité, chute dans les escaliers, perte de son porte monnaie, début d’incendie, nuits d’insomnies sans fin.


Oui pourquoi avoir acheté cette broche ? Pour la poser sur la cheminée. Une broche c’est fait pour être porté


Un soir JEANETTE décide d’aller au cinéma. En partant elle oublie de fermer la porte à clé .En rentrant son logement a été visité par des cambrioleurs Ils ont tout raflé. ORDI TELE VIDEO BIBELOTS ainsi que la BROCHE MAYA.


Eh voila, la série de pépins et de malchance est terminée !

Dorénavant avant acquisition d’un article, JEANETTE regarde d’abord son utilité.


L’OISEAU DE MAUVAISE AUGURE S EST ENVOLE LINE
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MessagePosté le: 09-01-2007 08:11    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

Entaille
À l’époque des Amérindiens, on pratiquait une incision sur le tronc de l’arbre avec un « tomahawk ». Un morceau d’écorce ou de bois servant de chalumeau y était ensuite inséré.

Avec l’arrivée des Français au pays, l'entaille se fit avec une petite hache. Une goutterelle en bois y était installée, permettant à l’eau d'érable d'être récupéré dans des récipients faits d’écorce de bouleau ou creusés dans une pièce de bois mou.

Vers 1885, la goutterelle en tôle remplace celle de bois et l’entaille se fait dorénavant à l’aide d’une gouge en acier. Vers 1890, les seaux de bois ou « baquets » suspendus à l’arbre par un clou font leur apparition et limitent les pertes.


D’abord deux révolutions technologiques : le chalumeau de bois à embout rond et le seau en fer blanc. Avec le chalumeau, plus nécessaire d’entailler l’érable avec une hache; on le perce avec une mèche montée sur un vilebrequin. Un petit coup de marteau enfonce le chalumeau. Il enfle au contact de la sève, ce qui rend le pourtour étanche. Très tôt, il est doté d’un petit crochet pour y pendre le seau. Les ferblantiers rivalisent d’ingéniosité pour la forme et l’empilage des seaux. Ils corrigent les effets du froid en leur donnant une forme ovale et plus étroite à la base. Vers 1920, le chalumeau est fabriqué en tôle. Puis, viennent ceux coulés en fer blanc et ensuite en aluminium, plus faciles à enfoncer dans l’arbre et capables de soutenir de plus grands seaux.

Récolte

Le nombre d’entailles était peu important et le temps des sucres était plutôt une affaire visant à procurer du sucre à la famille.

Un bon matin de printemps, on partait vers l’érablière qui était souvent à des kilomètres de la maison. Rendu sur les lieux, on se fabriquait un petit abri rudimentaire pour se protéger de la pluie et de la neige, on installait les goutterelles et les seaux et on attendait la coulée de l'eau d'érable.

La cueillette se faisait avec des moyens rudimentaires : un joug avec deux seaux, un traîneau avec un tonneau debout, ou tiré par un homme ou un chien vers l'évaporateur. Si le nombre d’entailles augmentait, un tonneau était placé sur un traîneau plus gros tiré par un ou deux boeufs.

De 1900 à 1940, les exploitations deviennent plus grandes. Le cheval remplace les boeufs pour tirer le traîneau. Une petite écurie près de la cabane sert d’abri aux chevaux. Lors de grosses coulées, il faut ramasser l’eau d'érable deux ou trois fois par jour. Plusieurs solutions pour éviter les débordements sont mises en application : grossir les seaux, cueillir plus souvent ou avec de plus gros tonneaux, remplacer le cheval par le tracteur et même installer des conduits métalliques dans l’érablière.

Évaporation

Après 1900, le lourd chaudron de fonte est remplacé par des casseroles plates placées sur des murets de pierre et un feu fermé sert à cet effet. Avec le siphon transvaseur, l’évaporateur moderne est né. Les fonderies Dominion & Grimm, Champion et autres en produisent en grand nombre. Au début, les évaporateurs ont quelques casseroles plates.






Ceux des années 1940 à nos jours sont mieux équipés : plusieurs casseroles plates, des thermomètres intégrés, un flotteur contrôlant le niveau et l’admission d’eau, une hotte pour faire sortir la vapeur, un brûleur au mazout remplaçant peu à peu le bois comme source de chaleur.






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MessagePosté le: 10-01-2007 07:49    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

TRISTE AFFAIRE DU CHEMIN SCHNOCKELOCH !


Grégoire, le fils de Madame Muller, a quitté l’hospice d’aliénés pour passer le Week-end avec ses parents. Grégoire est psychopathe et souffre d’une schizophrénie sévère. Il est en traitement dans ce centre depuis des années..

Madame Muller est anxieuse, elle n’ose pas le quitter des yeux ce pauvre garçon. Que va-t-il advenir de lui, le jour ou je ne serais plus. !. C’est une hantise, chez la pauvre dame, elle ne peut pas se défaire de ces idées qui lui passent par la tête.

Grégoire va fêter ses trente ans la semaine prochaine. Sa mère va lui faire un bon gâteau d’anniversaire qu’il pourra partager avec ses copains de l’asile . Grégoire est un être anxieux et taciturne. Pendant des heures il regarde par une petite lucarne qui donne dans une ruelle en se rognant ses ongles.

Au moindre petit bruit, il se retourne, il a peur. Il a constamment peur d’un personnage fictif ,
qui le poursuit nuit et jour. Maman , il est encore la….. Qui ça mon chéri ? Le vilain bon homme., qui vient toutes les nuits, dans ma chambre. Mais tu n’es pas a l’hospice maintenant, tu es à la maison. Madame Muller essaye de calmer son fils avec de bonnes paroles, en vain. Je l’aurai ce scélérat ! ne cessa t’il de répéter .

La pauvre mère est désespérée. Mon pauvre gamin. Je sais il est atteint d’une maladie incurable, mais je prie le ciel tous les soirs avant de dormir, de faire quelque chose pour lui.
Plongée dans ses idées, elle ne s’est pas aperçut que Grégoire a quitté la maison et déambule sur la rive du canal Il jette des cailloux dans l’eau en regardant des chalands qui passent.

Grégoire sursaute, on vient de lui taper sur l’épaule. Voila que ça recommence, il est encore là. Il se retourne c’est sa pauvre maman qui vient le chercher. Elle est dans tous ses états, elle a eu peur. Elle sait que son fils est attiré par l’eau, sa première idée fût le canal.

De retour à la maison madame Muller essaye d’occuper son fils par une partie de bataille. Apres le souper, la toilette, un peu de télé et surtout son calmant avant de dormir.
Passe une bonne nuit mon garçon et à demain. ! Elle éteint la lumière et ferme la porte doucement..

Le lendemainEn sortant sur le palier elle s’aperçoit que la porte d’entrée n’est pas verrouillée. Elle attrape s matin ! Madame Muller va réveiller son fils comme tous les matins de vacances Elle n’en croit pas ses yeux, le lit de Grégoire est vide …….Il prend sa mère par la main et la conduit jusqu’au coin de la rue. Parterre Elle cherche dans les toilettes, la salle de bain , dans la cuisine Grégoire est introuvable.
on châle et se met à courir dans la rue.

De loin elle voit arriver son fils en gesticulant. Je l’ai eu maman , je l’ai eu viens regarde gît un corps d’un petit jeune homme a peine 17 ans Un apprenti boulanger qui est venu faire livraison au restaurant du coin, assommé par une bûche, retrouvée sur le trottoir recouverte de sang, mort. !

La maman est anéantie. Elle , sa propre mère va aller a la police pour dénoncer son fils qu’elle horreur !


Grégoire est condamné a vie ! Il n’aura plus jamais le droit de quitter la clinique des aliénés même pas pour un Week-end !
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MessagePosté le: 10-01-2007 08:08    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

Votre Signe et Vous






L'astrologie... Un si grand mystère avec des définitions et des secrets à ne plus finir. Je vous propose une vue d'ensemble des douze signes du Zodiaque.



Chacun des signes regroupe quelques informations supplémentaires sur le caractère du signe. Ces informations renseignent plus profondément sur le caractère spécial du signe.



--------------------------------------------------------------------------------
À chaque mois un sujet sera d鴡illé voici quelques exemples des sujets qui seront abordés :
Achats
Alimentation
Amitié
Amour
Animaux familiers
Apparence
Argent
Caractère
Chance
Corps
Environnement
Famille
Fantasme
Forme
Foyer
Héros
Humour
Imagination
Jardinage
Mariage
Minceur
Mode
Occultisme
Passion
Rivalité
Secrets
Sexualité
Sociabilité
Stress
Succès
Travail
Vacances
etc...
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MessagePosté le: 10-01-2007 08:31    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

chers amis ! Ne ma cherchez pas aujourd'hui, jze suis prise toute la journeé. Gros bisou et a demain excusez moi.
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MessagePosté le: 11-01-2007 07:49    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

TOUTES MES CURES D’AMAIGRISSEMENT !

URL=http://imageshack.us][/URL]
Presque depuis que je suis au monde, je suis condamnée aux cures d’amaigrissement. Maman m’a mise au monde avec 4 kgr. J’etais vraiment potelée, autre fois on disait un bel enfant. Aujourd’hui on dit mon dieu qu’il est gros ce bebe. Ma foi on est comme on est.
Mal grés la restriction pendant la guerre je n’ai pas maigri. Je sors d’une famille d’obèse.
Papa disait toujours, les souris ne font pas de rats et les rats pas de souris . Il avait parfaitement raison. A 15 ans je voulais être comme tout le monde et j’ai commencé ma première cure d’amaigrissement. Pendant des mois et des mois, hélas sans succès.

Je me suis fais inscrire dans 1 équipe de gym, rien - gym aquatique rien
Sana séjour en clinique – pour apprendre a faire la cuisine – basse calorique rien –régime
dissocié rien régime sans hydrate de carbone ( Dr Hatkyns ) rien – Waywatcher rien
Alors dites moi que dois je faire ?

Je travaillais nuit et jour et je ne maigrissais pas, on me disais a chaque fois. Mais madame vous êtes stressée. Maintenant ça fais des années que je ne travaille plus, donc plus stressée et pourtant.

Allez savoir ce qui se passe dans mon corps . Mais je me suis fais une raison. Je suis encore coquette mais je ne me regarde plus dans le miroir . J’ai d’autres occupations actuellement qui me tiennent à cœur et dont je suis fière de pouvoir encore les réaliser.

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MessagePosté le: 11-01-2007 08:09    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

HISTOIRE DE VACANCES

URL=http://imageshack.us][/URL]

Histoire de vacances

Les congés payés sont un droit acquis par les travailleurs français le 7 juin 1936. Cette innovation sociale majeure pour l'époque est aujourd'hui une évidence. 70 ans après, de 15 jours de vacances aux frais de l'entreprise, nous sommes passés progressivement à 5 semaines. Petits rappels historiques.








La France a longtemps été en retard en matière de congés par rapport à ses voisins. Entre 1900 et 1930, les congés payés sont instaurés dans de nombreux pays : l'Allemagne, la Norvège, la Pologne mais aussi au Chili ou au Brésil. Aujourd'hui, la France est l'un des pays européen qui octroie le plus de jours de repos. Les congés payés n'ont cessé de s'allonger par l'action syndicale. De 2 semaines en 1936, ils passent à 5 en 1982. Retour sur 70 ans d'innovations sociales.

4 juin 1936 : victoire du Front Populaire aux élections législatives. Léon Blum forme le premier gouvernement socialiste français.

7 juin 1936 : signature des accords de Matignon entre le nouveau Président du conseil, Léon Blum, la Confédération générale du patronat français et la Confédération générale du travail. Le projet de loi sur les congés payés est annoncé.

20 juin 1936 : le Journal Officiel publie la loi instituant 15 jours de congés payés annuels et les semaines de 40 heures. Cette année-là, 600 000 personnes partent en vacances. Léo Lagrange négocie avec la compagnie de chemin de fer un billet populaire de congés annuel à tarif réduit dont 907 000 personnes bénéficient en 1937.

1956 : Renault est la première entreprise à offrir 3 semaines de congés payés à ses employés. La mesure se généralise avec la loi du 27 mars 1956.

1969 : la quatrième semaine de vacances est votée sous George Pompidou avec la loi du 27 mars.

1981 : Retour de la gauche au pouvoir. L'ordonnance du 13 janvier 1982 met en place la cinquième semaine de vacances.

Selon une étude de l'Organisation Internationale du Travail, 3,5 milliards de travailleurs partaient en vacances à la fin des années 80 et 4 milliards à la fin des années 90.

La France, numéro quatre. Parmi les pays les plus généreux figurent la Finlande (39 jours de congés payés par an), l'Autriche (38 jours) et la Grèce (37 jours). La France, avec 36 jours, se retrouve en quatrième position, ex aequo avec le Portugal, l'Espagne et la Suède.






Les vid鯳 de l'INA


> Préconisation de l'étalement des vacances (1966)
> Sur la route des vacances (1945)
> Les abonnés du mois d'Août (1971)
> La mode des maillots de bains : présentation du paréo transformable
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MessagePosté le: 12-01-2007 07:44    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

LES DOUZE MOIS DE L ANNEE !


Les douze mois se suivent, mais ne se rencontrent jamais. DECEMBRE a déjà pris ses cliques et ses claques, il est sur le point de partir. Son successeur JANVIER l’appelle ohé,mon frère , je me suis dépêché pour te saluer, mais te voila déjà parti, quel ingrat. tu fais . C’est pas chouette de me laisser tout seul avec ton bazar, comme le froid, la neige, le verglas, le givre et le vent. Tant pis je me débrouillerais tout seul, comme un grand en attendant que je puisse me retirer le 31 janvier.

Le mois de FEVRIER est devant la porte avec son temps mi-figue mi-raisin . Beaucoup de pluie et nos animaux qui ont hibernés, se réveillent.. La faim les faits sortir de leur trou, malheureusement, rien a ressuscité encore. C’est très dur de se rendormir encore une fois. à cette époque. Heureusement il n’y a que 28 jours avant le mois prochain. N’oubliez pas la St VALEBTIN !le 20 mardi gras BAL COSTUME .LA CHANDELEUR ET VIVENT LES CREPES !

Vive le mois de MARS, le mois du réveil et du renouveau .Le soleil fait de la figuration, légère , mais tout de même. Quelques rayons très légers viennent , nous réchauffer le cœur.. Les branches de l’osier sont ornées de petits chatons tout doux et le perce-neige incline sa tête sur la plate bande du jardin, pour nous saluer.. Les gens sont heureux, quel beau spectacle que ce mois de MARS


Nous voila au mois d’AVRIL ; CA c’est un mois lunatique en général très pluvieux. Il vient chez nous avec gabardine botte en caoutchouc et parapluie, mauvais signe. Un peu de patience encore alors là viendra le plus joli des mois de l’année. Le mois de MARIE .C’est fini pour avril , le 30 est arrivé ; .LE 8 DIMANCHE DE PÄQUES et le 9LUNDI


BONJOUR joli mois de MAI ; Nous t’attendions avec impatience quel beau ciel bleu azur tu nous a apporté. Nous t’en remercions du fond du cœur ainsi que pour les champs fleuris de marguerites et de coquelicots. Pour les morilles et le gazouillement des petits oiseaux dans les jardins et la forêt . Pour toute cette verdure dans les champs, l’air que nous respirons et notre joie de vivre. LA CEUILLETTE DU MUGUET


Mois de JUIN, nous apporte, les premiers vacanciers, de tous les coins du monde. Les trains et les avions ainsi que les grandes axes sont bondes de touristes. Oh que la vie est belle . Le repos après tous ces mois de travail, quel délice. .C’est le grand rush .C’est la cueillette de Aspérule odorante dans les sous bois ou prés des rivières .Macéré avec sucre et vin blanc un délicieux apéritif.

Mois de JUILLET, la grande chaleur. Chaque ruisseau, chaque lac, chaque étang, fleuve et mer sont pris d’assaut. Bain de soleil, baignade, thalasso, et surtout le dolce farniente. Visite basilique de musée, de zoo,et promenade sur les quais des ports.


Mois d’AOUT , Jardinage, récolte, GARDEN PARTIE, grill partie , concours de pêche sortie pédestre , bal public, veillée et le 14 JUILLET FETE NATIONALE avec feu d’artifice .

Mois d’ AOUT mois de fenaison . fêtes de villages ; DIFFERENTES FËTES SPORTIVES,associations culturelles, sorties des classes, voyages organises, fêtes de famille.
Cueillette de la myrtille

SEPTEMBRE. Mois des VENDANGES, en ALSACE ; Le riesling, le traminer, le gewurztraminer, le sylvaner, le tokay, le muscat, le Zwicker, l’Edelzwicker pour citer les plus connus. Abattage de bétail, conserves : fruits et légumes, confitures, Escargots cuisses de grenouilles, rillettes. Saucisses, foie gras , gratons et graisse d’oies.

OCTOBRE , le vent fait déja tomber quelques feuilles ainsi que noix et chataignes. Les champignons en foret demandent être ramassé. ainsi que le bois mort .Une deuxième cueillette de mures par beau temps.

NOVEMBRE ; Les premiers frimas, les journées plus courtes, manque de soleil. Pour les charbonniers et les livreurs de fuel, c’est la pleine saison. Tout le monde veut être livré en même temps. Le vent passe partout et c’est très désagréable, surtout s’il y a des nouveaux nés et des personnes agées .Rien ne vaut une bonne chaleur tempérée dans la chambrette, si dehors le vent fait rage.

VOILA A NOUVEAU le mois de DECEMBRE ; avec toutes ses préparations pour la grande fête de NOEL./ LES BREDELE , les PAINS D EPICES LES MAENNELE et son merveilleux SAPIN et sa CRECHE ..





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MessagePosté le: 12-01-2007 08:00    Sujet du message: carnet( de line Répondre en citant


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MessagePosté le: 12-01-2007 08:12    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

Origine, histoire, dictons du MOIS DE JANVIER
Romulus composa l'année de dix mois ; Numa Pompilus y ajouta ceux de janvier et février. Les calendes de janvier étaient particulièrement consacrées au dieu Janus, dont les deux visages regardaient l'année qui venait de finir et celle où l'on entrait. On offrait à ce dieu, dans le cours de la première journée, le gâteau nommé janual, des dattes, des figues et du miel ; les artistes et les artisans ébauchaient la matière de leurs ouvrages, persuadés que le travail de ce jour leur assurait une année favorable. On se visitait, on s'adressait des voeux, on se gardait de laisser échapper un propos de mauvais augure, on s'envoyait des présents ; le soir on se régalait en l'honneur de Janus.

On pense que l'usage des souhaits d'étrennes vient des Romains. Tatius, roi des Sabins, et qui régnait dans Rome conjointement avec Romulus, considéra, dit-on, comme un bon augure le présent qu'on lui fit le premier jour de l'an de quelques branches coupées dans un bois consacré à Strenia ; il autorisa la coutume des présents faits à cette époque, et leur donna le nom de Streniae.

Avant la Révolution de 1789, et dans plusieurs provinces de France, les usages suivis le premier jour de l'an conservaient les traces de la fête du Gui que célébraient les anciens Druides. Les enfants du Vendomois couraient les rues dans ce jour solennel, et demandaient à ceux qu'ils rencontraient le Gui-l'an-neu. Dans la dernière nuit de l'année, le peuple du Maine parcourait également les rues en chantant des chansons dont le refrain était toujours : Donnez-nous le Gui-l'an-neu.

La Fête des Rois ou Epiphanie : ce dernier nom signifie apparition. C'est en effet le jour où le Christ commença de se faire connaître aux gentils, et où les quatre rois appelés Mages dans l'Ecriture vinrent l'adorer.

L'analogie qui existe entre les habitudes de cette fête et celle des Saturnales a fait penser que l'une était la continuation de l'autre. Les Saturnales se célébraient du 15 au 21 décembre.

D ans la Beauce, un souper splendide a lieu la veille des rois ; le président du repas est toujours la personne la plus respectée parmi les convives. Avant d'entamer le gâteau, on fait mettre sur la table un enfant ; c'est le plus jeune garçon de la famille. Quand la part est coupée, le président dit : Fébé (la fève). L'enfant qui s'est levé répond : Domine ; le président reprend : Pour qui ? L'enfant répond : Pour le bon Dieu . Cette part est mise en réserve, et on la donne au pauvre qui vient la demander. Voici quelques fragments des chansons naïves du pauvre qui attend et regarde à travers les fentes de la porte :

Honneur à la compagnie
De cette maison.
A l'entrée de votre table,
Nous vous saluons.
Nous sommes venus d'un pays étrange
Dedans ces lieux ;
C'est pour vous faire la demande
De la part à Dieu.

Il s'interrompt pour crier : La part à Dieu, s'il vous plaît ; et il termine le premier
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MessagePosté le: 13-01-2007 08:22    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

LA MAIN ENSANGLANTEE ! ( ou cadavre en daube )



Nous sommes vendredi et comme tous les vendredi, le commissaire VAREL a invité son amie FREDERIQUE pour le souper. C’est lui-même qui met la main à la pâte et le voila devant son fourneau entrain de faire un bœuf en daube maison. C’est sa spécialité parait il, personne ne la fait mieux que lui, d’après ses collègues. VAREL est très fier de ce compliment , peut être ne sait il pas faire autre chose . A chaque invité , il propose cette fameuse DAUBE ; On sonne a la porte……… VAREL quitte son tablier, c’est certainement FREDERIQUE. Il regarde sa montre, il va être 19 heures . elle a de l’avance se dit il en ouvrant la porte.
Un jeune factionnaire, lui tend une enveloppe. Le commissaire est prié de passer d’urgence au commissariat . Un meurtre dans un sauna – coup de fil anonyme – victime lacérée – mort constatée à l’arrivée de la police.. Voiture N° 20

La soirée du commissaire, si bien organisée tombe encore à l’eau. Hier il a bouclé le dernier dossier et classé l’affaire en se disant ouf ! On va pouvoir respirer et voila aujourd’hui rebelote.

Apres le souper, le couple avait décidé d’aller au théâtre, même que le commissaire avait pris les billets il y a quelques jours.
L’ascenseur s’arrête sur le palier, la porte s’ouvre. c’est FREDERIQUE , toute joyeuse toute pimpante. A la vue du factionnaire, elle ne demande pas d’explications. ce n’est pas la première fois que ça arrive.

Je suis désolé FREDERIQUE, il faudra manger toute seule. Je vais me dépêcher et on se retrouvera devant le théâtre si tu veux bien. VAREL met sa veste et le voila parti en compagnie du policier.

FREDERIQUE est de mauvaise humeur. Je m’étais pourtant juré de ne plus fréquenter ni policier ni médecin. Je n’ai pas envie de manger seule toute ma vie, ni d’aller seule au théâtre. Elle levais trop bien, quelle allait passer sa soirée en solitaire. Elle ne touchera pas à la nourriture, tout ça lui a coupé l’appétit !

Pendant ce temps VAREL est arrivé sur le lieu du crime, le SAUNA Les policiers ont fort à faire pour dissiper les badauds, circulez circulez, il n’y a rien a voir.
La première chose qui a frappé le commissaire, c’est une empreinte de main ensanglantée sur le mur. C’est comme si on voulait donner une signature à cet acte horrible. Le corps de la victime a été lacéré d’innombrables coups de couteaux sur tout le corps. Non ce n’est pas un simple couteau, mais plutôt une lame de bistouri, qui a été retrouvé sous un drap de bain.

A cette heure ci, il n’y avait pas beaucoup de monde. La plupart des gens étaient dans les différents bassins ou en salle de massage. personne n’a rien vu ni entendu .

Le temps passa. Le commissaire, regarda sa montre. Il avait complètement oublié FREDERIQUE ; Elle a dû aller toute seule au théâtre, mais non c’est lui qui a les billets en poche. Pauvre fille, je la comprend se dit il. Quel métier ? Je n’aurais donc jamais une vie de famille ?
FREDERIQUE a dû rentrer chez elle. Ce soir, il ne téléphonera plus car elle risque d’être déjà couchée. Mais demain avant d’aller au bureau, il prendra de ses nouvelles.
En rentrant chez lui, le bœuf en daube est resté comme il l’avait laissé. Personne n’avait faim ni FREDERIQUE ni lui. C’est bien dommage, il avait pourtant l’air bien appétissant.


Pendant des jours, l’affaire suit son cours. Interrogatoire sur interrogatoire Tous les clients du Sauna qui étaient présents ce soir là sont convoqués – déclaration sur déclaration.


A l’autre bout de la ville une vielle usine délabrée. Quelques S.D.F y trouvent refuge. Il y a un va et vient toute la journée. Même des grosses cylindrées font halte dans la cour et ses occupants se dispersent dans ce grand bâtiment. . Ou vont-ils, que font ils, qui sont ils ?
Parmi eux des mauvais garçons de la pègre. Chacune des personnes a un sac de sport garni de sachets de drogue, qui va être livrée au détaillant. moyennant une forte somme d’argent . Chacun a intérêt à être réglo, sinon les gros moyens vont être pris


Voici l’équipe de DUDULE ! Une vieille traction. A bord quatre occupants. DUDULE le chef et trois malfrats ; A leur compte petits larcins vol à l’étalage - détournement de mineurs braquage de banque – recel etc. Actuellement acheminement de drogue vers les différents revendeurs de la ville. Revenu assez important, si travail bien fait.


L’équipe LA MENACE. Le boss LA MENACE et deux petits rigolos qui aiment jouer du couteau. Du vrai travail d’artiste net et sans bavure. Aucune trace de sang n’est visible après leur passage, du travail de joaillier avec garantie. Leur voiture est un véritable arsenal du revolver petit calibre au fusil mitrailleur.


Et enfin la ALFA SPOR du CALIF OMAR ! Cinq occupants, d’anciens condamnés. Plusieurs années de prison, pour différents délits. OMAR a payé très cher pour le nom de CALIF et en profite maintenant pour dominer. C’est lui qui dirige les trois équipes et tous marchent à la baguette. La galette est pour le CALIF et les autres se partageront le reste. Les associés sont des fainéants et se contente de la vie qu’ils mènent aux ordres du CALIF. Une vie assez mouvementée et dangereuse dans les bas-fonds d’une grande ville, toujours le doigt sur la gâchette.


Pendant ce temps, le commissaire VAREL attend le concierge d’un immeuble de l’avenue de la paix. VAREL aimerait avoir quelques renseignements sur la personne assassinée dans le sauna. Le concierge a été convoqué il y a trois jours et ne s’est pas présenté, VAREL n’aime pas ça, alors pas du tout. Il se décide d’aller le voir et cela sur le champ .A qui demander sinon au portier, les petites habitudes de ses locataires. L’assassiné du SAUNA habitait la maison au 2eme étage à droite, un respectable citoyen, ouvrier modèle dans une brasserie depuis des années et jamais de conflits avec la justice

Le commissaire est arrivé entre temps devant la porte du concierge, Il sonne, rien ne bouge, un deuxième coup de sonnette, toujours rien .VAREL déjà sur le point de se retourner aperçoit une tâche de sang sur le paillasson. Vite il sort son passe de sa poche du veston et s’introduit dans l’appartement. Avec les deux pieds il se retrouve dans une immense flaque de sang. Quelle boucherie ! Quelle horreur ! Murs, canapé rideaux, lit, le tout maculé de sang. Le corps du concierge vidé, se trouve allongé sur le lit, certainement depuis quelques jours.
VAREL se creuse la tête. Il ne voit pas le rapport entre ces deux crimes. Et pourtant. La méthode est exactement la même chez les deux victimes. Ca doit être le même assassin, corps lacérés avec une lame. Sur le mur à la tête du lit, une main sanguinolente est appliquée comme un cachet. Il n’y a pas d’empreintes, mais la grandeur de la main est exactement la même.


Dans la cour de l’ancienne usine ce soir là, le chauffeur de DUDULE va trouver un de ces S.D.F. pour lui demander s’il ne voulait pas faire un extra le lendemain. Il lui miroite une certaine somme d’argent et lui dit : Cet argent te fait tant et tant de bouteilles de bière et le travail n’est pas compliqué.
Il faut aller à la gare aux coffres des valises (départ) et ramener un sac de sport dans la cour de l’usine. .Ce que le chauffeur ne sait pas, c’est que le type est déjà indicateur chez la police.


Double emploi, double salaire. Le S.D.F. se frotte les mains ! Ce soir là il est suivi par l’équipe DUDULE et par la POLICE. La police fait une descente et ramasse tout sur son chemin. Tout ce qui se trouve dans l’enceinte de la gare est contrôlé, valises, sacs de sport, sacs a mains. Les trains repartent vides, les gens sont obligés de rester sur le quai jusqu’à nouvel ordre. Le S.D.F. pense qu’il n’était pas suspecté, alors que la police le filait silencieusement depuis des semaines.


La police a donné le go. L’attroupement se disperse, les gens se retirent Le seul à être embarqué, c’est le S.D.F. Son sac de sport contenait des centaines de petits paquets de drogue achetés en Belgique ! Expédiés clandestinement en France, pour la revente. Mais où sont- ils ces trafiquants ?
Qui sont ils. Tu vas parler .On va te délier la langue. Plus de vin, plus de bière et plus de cigarettes. D’ici quelques jours tu nous apporteras ton histoire sur un plateau. Garde mettez le en cellule, il aura tout le temps pour réfléchir. Le sac de sport est confisqué avec son contenu par la police. Il y en a pour des milliers et des milliers d’euros. OMAR va pouvoir le comptabiliser dans pertes et profits ! Mais la police ne sait toujours pas à qui appartient ce sac garni de drogue.

Le S.D.F. confortablement installé sur sa couche, fait travailler ses méninges. Ca fait des mois qu’il n’a pas vu de lit et la chaleur de la cellule le fait somnoler. Il entend vaguement la musique de la radio de son voisin et subitement il plonge dans un profond sommeil.

Le lendemain !

Un pâle rayon de soleil a travers les barreaux de la cellule, réveille le S.D.F. il va être 7 heures. Il regarde autour de lui, il a peur et se met à trembler comme une feuille morte.
Toute cette marchandise que la police a confisquée, c’est à lui de rembourser .Ou va t’il prendre tout cet argent pour régler cette dette à OMAR ?

J’ai tout intérêt a ne pas cracher le morceau se dit il. Tant que je suis en cabane, il ne peut rien m’arriver. Une fois dehors , si je n’ai pas les sous pour rembourser la drogue, ils vont me butter. VAREL pendant ce temps attend le bon vouloir de ce prisonnier pour lui révéler le nom de son chef. Le S.D.F. ne dira rien, car il veut rester en prison le temps qu’il faudra pour trouver une solution.


Trois jours après, il est 10 heures du matin ! VAREL a passé une très mauvaise nuit ! Il est resté sans nouvelles de FREDERIQUE depuis la fameuse soirée du Bœuf en daube. A chaque fois qu’il essaye de lui téléphoner, ça sonne occupé .Il est très inquiet, n’a-t-elle plus envie de le revoir ? Ce soir en quittant son bureau, il va faire un tour chez elle, il faut absolument qu’il sache a quoi s’en tenir. Ce n’est pas vrai, elle n’a pas pu le quitter comme ça.


Le CALIF, habite un grand hôtel particulier en plein centre de la ville, hôtel très renommé. Ce soir en sortant de sa voiture, il avait vaguement l’impression d’être suivi et même photographié par un inconnu qui se trouvait de l’autre côté de la chaussée. Il monte vite les deux marches, bouscule le chasseur et s’introduit dans la loge du portier.
Il se demande, est ce la police ou est-ce un chasseur de prime , ou même un détective privé .Alors adieux les belles femmes, les grosses voitures, la dolce
Le photographe, n’est autre que le commissaire VAREL, qui depuis 2 jours pose des questions aux employés de l’hôtel. LE CALIF et son chauffeur habitent sous le même toit. Le CALIF a une suite au 1er étage et son chauffeur une chambre mansardée tout en haut. Comme le CALIF est un être très peureux, le soir il va dormir dans la pièce du chauffeur et le chauffeur descend au premier, dormir dans la suite. LE CALIF ne sait pas que tout le monde est au courant. Le personnel ne dit rien car le CALIF est un client très large en pourboires .

On est vendredi, exactement 8 jours ont passé depuis la fameuse soirée du BŒUF EN DAUBE ! VAREL est installé dans sa cuisine devant une bière un bout de pain et un camembert. Il n’a pas faim, mais comme il n’a pas eu de temps de manger à midi, son estomac ne le laissera pas dormir cette nuit. D’ailleurs il a décidé d’aller se coucher après les informations, vu qu’il a sa claque pour aujourd’hui.

VAREL éteint la télé et débarrasse la table ! On sonne a la porte Ah non vous n’allez pas recommencer comme la semaine dernière ? Le commissaire ouvre la porte. Un cri de joie !
FREDERIQUE est revenue ! Sur le champ la grosse fatigue du jour a disparu. Il l’enlace et la fait tourbillonner. il est fou de joie. Ils sont là à papoter une bonne partie de la nuit et a l’aube il la ramènera chez elle.


Il est 8 heures, le commissaire est encore fatigué, mais c’est une bonne fatigue. Il s’est posé la question ? Pourquoi ne pas libérer le SDF et le faire suivre nuit et jour par quelques hommes de son service. C’est vrai il n’y a pas que lui qui le recherche. Avec tout cet argent qu’il doit pour la marchandises réquisitionnée, on va pas lui e faire de cadeau.

Oui parfaitement, VAREL va le libérer oui mais il va falloir qu’il change de look ! Et le commissaire lui a promis de prendre personnellement soin de lui. Même qu’il allait lui faire
Un BŒUF EN DAUBE maison . Le soir, s’il rentre a une heure convenable.


ACHILLE le SDF n’est pas très emballé de cette décision, mais il n’a pas le choix.


Le lendemain, le commissaire croise ACHILE dans la rue, bien lavé, coiffé, méconnaissable. VAREL continu son chemin, pour embrouiller les pistes. Deux heures après le SDF se trouvent dans les bureaux de la police.
Alors Achille, c’est ce soir que nous allons manger le BŒUF EN DAUBE, C’est comme vous voulez monsieur le commissaire, il n’y a pas de refus

Eh voila encore VAREL derrière ses fourneaux avec son tablier à grands carreaux et son lido, et ses gants, cadeaux de noël, de l’année dernière. Tout est parfait, assez mijoté, on va pouvoir mettre la table.

On sonne ! VAREL ouvre la porte, c’est un factionnaire qui amène son invité ! Ah ce n’est pas tout commissaire, il va falloir passer au bureau c’est très urgent. Appel téléphonique cadavre dans une bouche de métro. mrmrmrmrmrmrmr AC HILE tu manges seul , je serais de retour d’ici une heure et il s’en va avec le factionnaire .

Le SDF se sert une bonne assiette de BŒUF EN DAUBE et voila qui lui passe une idée part la tête de prendre un bon bain. On peut également manger dans la baignoire, sitôt dit sitôt fait ! BON APPETIT mon vieux se dit il.
On sonne a la porte, ça doit être le commissaire il a du oublier quelque chose ? ACHILE ne s’en occupe pas, il mange. Subitement son assiette de BŒUF lui tombe dans l’eau, on l’a poignardé par derrière dans le dos. On continu à le lacérer, aucun crie n’a échappé a ce pauvre bougre. L’eau de la baignoire a pris une couleur de sauce tomate avec ce sang et ce bœuf en daube. Un cadavre en daube à la stupéfaction du commissaire !


VAREL, ne voulant pas laisser le SDF tout seul est revenu plus vite qu’il ne pensait. A l’entrée de son immeuble il se trouve nez a nez avec le chauffeur du CALIF. Une seule idée lui a passé par la tête ACHILLE ? Il prend le chauffeur à la gorge et serre très fort, le met dans sa voiture et appelle du renfort. On ne peut constater que le décès du SDF et au mur le meurtrier n’avait pas oublié, d’apposer sa main sanguinolente


VAREL ce jour là s’était juré de ne plus jamais faire un BŒUF EN DAUBE !


IL FERA DU BŒUF À LA MODE _
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MessagePosté le: 13-01-2007 08:52    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

HISTOIRE DES MARMOTTES

* Retour au sommaire *

Les marmottes sont apparues entre 7 et 23 millions d'années (Miocène). Leur origine géographique reste encore mal définie. On pense que les marmottes sont originaires d'Amérique du Nord et auraient colonisé les steppes d'Asie puis l'Europe et passant par le détroit de Béhring.

Elles vivaient jusqu'en France et en Espagne à l'époque de la glaciation de Riss (de 300 000 à 130 000 ans) pour se retrouver abondamment en Europe de l'Ouest à la glaciation de Würm (de 80 000 à 20 000 ans), climat qui lui était plus propice , faisant qu'on a retrouvé des fossiles de marmottes de Belgique du Sud à la Hongrie et d'Espagne aux monts de Transylvanie. En France , des fossiles ont étés découverts dans de nombreux endroits (Bourgogne , Alsace , Ile de France , plaine Picarde et quelques départements de l'Ouest et Centre Ouest et évidemment les régions de haute altitude comme les Alpes , le Massif Central et les Pyrénées), attestant de la forte présence des marmottes



Le début de l'Holocène (environ 10 000 ans) et son réchauffement climatique ramena la forêt. Les marmottes partirent dans les montagnes (Tatras , Transylvanie , Alpes) et disparurent de nombreuses régions d'Europe (Slovénie , Quelques cantons Suisses , Pyrénées puis , plus tard , Vercors et Carpates méridionales). Sa population n'a cessé de décroître depuis , faisant même craindre , au début du 20ème siècle , à sa disparition de France. Cependant , depuis le 19ème siècle , de nombreuses opérations de réintroduction ont été menées (Slovénie , Suisse , Autriche , Allemagne , Ukraine , Italie , Roumanie). En France aussi , de nombreux repeuplements ont été tentés , avec succès dans les Pyrénées et dans le Massif Central , mais ont échoués dans le Jura et les Vosges. Dans les Alpes , l'espèce est en extension depuis 1964 et se porte de mieux en mieux , jouissant d'une image sympathique auprès du grand public (elle est utilisée dans la publicité , au cinéma ou est grosse pourvoyeuse de vente de cartes postales) et profitant aussi sans doute de ce que l'économie des régions montagnardes se fonde de plus en plus sur le tourisme et de moins en moins sur l'exploitation directe de ses ressources propres.



Dans ses rapports avec l'homme au fil du temps , il semble que la marmotte n'ait que peu servi de ressource alimentaire , peut-être un gibier d'appoint pour les hommes préhistoriques (de rares cas de représentations pariétales existent dans le sud ouest de la France). Il semble que la marmotte a été victime de la chasse et du braconnage dans les populations alpagistes jusqu'à la seconde guerre mondiale , sa graisse étant utilisée à des fins médicinales , et sa fourrure ayant une valeur commerciale. Même si cette pratique perdure de nos jours , elle s'est marginalisée considérablement. Il est arrivé que la marmotte soit utilisée comme animal de spectacle par les migrants Savoyards donnant son nom à la valise de ses "maîtres" , un usage du nom de la marmotte qui perdure encore de nos jours. La sociabilité extrême (pour un animal sauvage !) de la marmotte et sa bonne image sont maintenant utilisées dans l'industrie du tourisme , actvité humaine tout de même moins destructrice pour la marmotte que la chasse et le piégeage !







CLASSIFICATION ESPECES

* Retour au sommaire *

La marmotte est un mammifère de l'ordre des Rongeurs , appartenant à la famille des Sciuridés (cousins célèbres : Ecureuils,Chiens
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MessagePosté le: 13-01-2007 09:01    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

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MessagePosté le: 13-01-2007 21:04    Sujet du message: Répondre en citant

Bonsoir Line, Pauvre Varel, que d'aventures tragiques !

Je te fais un coucou que tu trouveras demain dimanche. Je te souhaite une bonne journée !

Un bisou. Prends soin de toi.

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MessagePosté le: 14-01-2007 07:41    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

UNE JEUNE FILLE SUR LE PONT DE L’ILL !



Penchée sur la balustrade du pont corbeau, une jeune fille regarde passer l’eau elle est pâle décoiffée le regard hagard .
Ill viens m’aider , je suis seule, désemparée, je n’a ni toit ni maison ; sans famille . Veux tu de moi ?

Oh que non ma fille, tu es trop jeune trop belle, et mon lit a moi est trop froid.
Vas trouver le Rhin, il est plus âgé que moi, il saura te donner un bon conseil .

Rhin vient a mon secours ! j’ai besoin de toi.. Le seul être avec lequel j’étais heureuse, m’a subitement abandonné . Les rayons de soleil ne me réchauffent plus , je grelotte. Et je n’entends plus les oiseaux chanter, dans les buissons et les branches.
Ah , moi je n’ai pas le temps à t’écouter fillette, avec tous ces bateaux et péniches a diriger.
Vas trouver mon amie, la cathédrale, elle saura bien prendre soins de toi.

Devant la cathédrale sur les marches la jeune fille est installée. Des deux mains elle tient sa tête. Elle somnole, elle rêve ….. Elle se réveille en sursaut, quelqu’un lui a caressé les cheveux. . La cathédrale lui parle . Comment a ton âge, jolie comme un cœur. Tu n’es pas seule regardes. Sur l’autre trottoir, ce jeune homme, lui aussi est seul comme toi. Va lui tendre la main , il sera heureux de t’accompagner.

Et c’est bien vraie. Ce charmant garçon qui errait dans la ville a subitement trouvé son âme sœur.
Voila que le soleil brillait a nouveau , les oiseaux recommençait a siffler pour ces deux être.
Désemparés

Ne jamais rien faire instinctivement, c’est la nuit qui porte conseil !


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MessagePosté le: 14-01-2007 08:30    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

Hibernation de l'ours

URL=http://imageshack.us][/URL]

Préhibernation

Le comportement de préhibernation se traduit par une réduction des déplacements puis le choix du site de tanière.
Avant l’entrée en tanière, les ours occupent le site pendant plusieurs jours en effectuant de petits déplacements (<1km).
Cette période de préhibernation peut varier entre 3 et 17 jours.
Des résultats similaires (4 à 20 jours) ont été observés sur les ours équipés d’émetteur dans les Pyrénées centrales.







Durée de l'hibernation


Au sein d’une population, il existe une grande variabilité entre individus dans la durée de la période d’hibernation, selon le statut reproducteur, le sexe, l’âge des individus, et l’état d’engraissement. Généralement les mâles adultes restent le moins longtemps en tanière, alors que les femelles accompagnées d’oursons nouveau-nés quittent la tanière tardivement.
Les dates de début et de fin d’hibernation dépendent également des conditions climatiques.





Comportement pendant l'hibernation


Pendant cette période, l’ours ne s’alimente généralement pas mais peut régulièrement sortir et effectuer des petits déplacements autour de la tanière (observations régulières effectuées dans les Pyrénées par les membres de l’équipe technique ours pendant 2 hivers consécutifs sur le même ours).
Des mâles adultes ont pu être observés durant tous les mois de l’hiver. Certains ours peuvent même avoir plusieurs tanières dans l’hiver, cas de l’ours Pyros dans les Pyrénées centrales pendant l’hiver 1998-99.

Dans les Pyrénées, les observations indirectes (indices de présence) et directes démontrent clairement une forte baisse d’activité hivernale de novembre - décembre à mars - avril, même si certains individus n’hibernent pas




Sortie d'hibernation


Sur le versant navarrais, exposé au sud, les premiers indices d’activité apparaissent fréquemment dès la mi-février.
La sortie de tanière la plus tardive observée en Pyrénées occidentales a fait suite à un hiver très enneigé et s’est déroulée le 28 avril 1978.
En 2004, le dernier indice d'ours a été identifié par l’équipe technique ours le 8 octobre et le premier indice d’ours de sortie de tanière fut observé le 20 mars 2005.
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MessagePosté le: 15-01-2007 08:10    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

LES PREMIERS FRIMAS !



Déjà les cimes des monts sont recouvertes d’un tapis blanc. L’étang est gelé et dort paisiblement, en partie sous une légère couche de glace. Madame CYGNE promène ses petits et fait la ronde dans ce merveilleux et féerique décor. Tout est calme et silencieux, on dirait une toute autre vie, là haut dans les montagnes.


Un petit bouqueton est à la recherche de nourriture. La vie est dure pour les animaux en hiver et la marmotte préfère hiberner dans son terrier, en attendant les jours meilleurs.
Durant l’été, les noix, les châtaignes, les amandes furent emmagasinés da ns les galeries, profondément sous terre. Ces chambres de réserves sont remplies à ras bord, pour permettrent aux bêtes de survivre sous cet amas de neige.


Le petit bouc, rentre bredouille. Alors mon petit chéri, demande la maman. Es tu rassasié maintenant. A tu trouvé encore quelques noix, pour calmer ta faim. ? Tu es un grand garçon maintenant, il va falloir te nourrir tout seul. A cet âge là, ma maman n’avait plus le temps de s’occuper de moi. J’avais déjà quelques petits frères et sœurs et papa allait à la cueillette des noisettes. toute la journée.

Va demander à l’écureuil CRICRI, de nous avancer quelques noisettes Sois poli et n’oublie surtout pas de le remercier. Dis lui que c’est maman qui t’envoie, lorsque j’aurais fait mon marché, je lui rendrai. Ne fais pas ton petit sot, vas y et reviens bien vite, tes petits frères ne vont pas tarder à se réveiller. Ils ont également faim et je ne saurais apaiser leurs larmes. Cette belle herbe fraîche, leur manque, et les ronces, la neige a tout ensevelie ce matin. Elle est tombée toute la nuit sans arrêt.


Le bouquetin revient, avec des noisettes plein sa gibecière. Alors dit la maman, Elle te passe le bonjour et maintenant elle va aussi s’allonger pour dormir, qu’il ne fallait plus la réveiller, pendant longtemps .Tout le monde dort déjà dans la maison à coté Ils ont bien chaud, le ventre plein et rêvent aux beaux rayons de soleil qui clignotent de l’œil, en attendant le printemps. Maman et si nous faisions pareil ? Non mon gamin, nous les boucs nous ne hibernons pas ce n’est pas dans nos habitudes ? Nous avons eu un bel été à nous dorer, nous passerons aussi l’hiver, à grelotter. Fait des cabrioles et des sauts, tu verras ça réchauffe.

Tout passe, même un hiver rigoureux ! LINE
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MessagePosté le: 15-01-2007 08:23    Sujet du message: histoire Répondre en citant

le bouquetin des Alpes

accueil | les auteurs | les galeries | les dossiers | les infos | les livres | les liens

URL=http://imageshack.us][/URL]


Optimis頰our une lecture sur un 飲an de 800x600

Menac鍊 d'extinction au d颵t du si裬e, le bouquetin des Alpes doit son salut ࠬa cr顴ion en 1922 du Parc National du Grand Paradis, en Italie, et du Parc National de la Vanoise en 1963 qui compte ࠰r鳥nt pr賠de 2000 individus.
Embl譥 du Parc National de la Vanoise, vous ne manquerez pas d'essayer de l'apercevoir lors de vos randonn饳 dans cette r駩on.

Quoi qu'en disent certains (que j'invite ࠭e contacter car la curiosit頭e d魡nge), le bouquetin est beaucoup plus facile ? approcher que son compagnon le chamois. Seulement.... il faut le m鲩ter, et surtout l'鴩 !


A premi貥 vue, le bouquetin n'est ni plus ni moins qu'une grosse ch趲e de montagne. Mais sacr魥nt agile et ࠬ'aise sur les pentes les plus escarp饳, il vous flanque le vertige rien qu'ࠬe regarder. C'est qu'il adore se balader sur les arr괥s rocheuses, entre 2.000 et 3.500 m贲es d'altitude. Remarquez, c'est l࠱u'il a la meilleure vue. Parce que l'animal voit bien, et que s'il vous laisse l'approcher, ce n'est pas que vous ayez d骯u頳a vigilance, mais plut?u'il sait qu'il lui suffira de quelques bonds pour se mettre hors de votre port饮


Pour l'approche, il vous faudra vous lever t?D'abord parce que vous aurez plus de chance de les voir, et aussi parce que cela peut vous prendre du temps de les rejoindre et qu'il vous faut pr鶯ir une bonne marge de balade.

Munis de vos jumelles, vous scruterez les arr괥s rocheuses sur lesquelles vous ne manquerez pas de remarquer sa silhouette se d飯upant sur le ciel. Lଠc'est pour le plus facile. Lorsque le bouquetin a d飩d頤'aller se pr鬡sser dans les 颯ulis ou contre les parois rocheuses, il devient tr賠difficile ࠤ鴥cter. Seul un ?il habitu鍊 peut l'y rep鲥r, surtout s'il ne bouge pas.

Une fois rep鲩, vous 鴵dierez la carte pour localiser sa position et trouver le meilleur chemin pour aller ࠳a rencontre. Ne sortez pas des sentiers pour aller droit sur lui. D'abord par ce que c'est souvent dangereux (n'oubliez pas que vous 괥s en montagne et qu'on ne rigole pas avec la s飵rit马 ensuite parce que vous d飯uvrirez bien vite que vous 괥s loin d'avoir son agilit頥t que ce serait bien dommage que vous vous cassiez la gu... figure, autant pour vous que pour votre mat鲩el photo, que je vous conseillerai de garder rang頢ien ࠬ'abri pendant la phase d'approche.

Vous aurez certainement beaucoup de d鴯urs ࠦaire pour arriver ? une position proche de celle du bouquetin rep鲩, mais dites-vous toujours qu'un chemin d鴯urn頥t s飵ris頶aut bien mieux qu'un chemin direct risqu鮠Pensez aussi qu'il est toujours plus facile de garder son 鱵ilibre en grimpant qu'en descendant, et qu'il vous faudra justement redescendre t?u tard. Montez doucement, et profitez du paysage qui s'offre ࠶ous au fur et ࠭esure de votre grimpette.


Lorsque vous arriverez ࠨauteur de votre sujet et que vous pourrez alors vous approcher, faites-le doucement, et si vous avez le sentiment de le d鲡nger, n'insistez pas. Si tout se passe bien, vous pourrez vous rapprocher peu ? peu, tout en vous gardant une distance de s飵rit頨on ne sait jamais). Mais faites tr賠attention si vos bouquetins 鶯luent sur une arr괥 ou sur un bord de falaise. Dites-vous toujours qu'ils ont une agilit頱ue vous ne poss餥z pas et soyez conscients de vos limites. Surtout pas d'imprudence. Le bouquetin vous laissera approcher jusqu'ࠣe qu'il vous juge trop pr賮 Mais comme il n'est relativement pas farouche, vous aurez toutes les chances d'arriver ࠢonne distance de lui tranquillement.

C'est au d颵t de l'automne qu'il vous montrera un pelage plus esth鴩que qu'au printemps, o?mue lui donne souvent une allure mit饠qui ne lui va pas tr賍 bien.
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MessagePosté le: 16-01-2007 07:50    Sujet du message: cfarnet de line Répondre en citant

Madame DOROTHEE !


Madame Dorothée est une dame qui a dépasser les 85 ans et qui vit encore seule dans le même logement du quartier depuis une cinquantaine d’années. Son mari est décédé d’un accident de travail depuis très longtemps. Son fils vit aux ETATS-UNIS et sa fille est mariée à JERUSALEM ; Ils ne viennent la voir que très rarement et on a même l’impression qu’elle ne se souvient plus d’eux.


Madame Dorothée avait autrefois la main sur le cœur . Sa principale occupation était rendre service aux gens du quartier. Si une maman avait le malheur de tomber malade, ou était entrain d’accoucher, eh bien c’est elle qui s’occupait des gosses . Elle les menait à la maternelle et leurs préparait les repas. Le jour du marché elle faisait les courses pour les personnes âgés et les emmenaient en promenade par beau temps, sinon elle jouait des jeux de société avec eux, pour passer le temps.

Cette dame a malheureusement avec l’âge, perdue sa mémoire. Cette vilaine maladie commençant par un A lui a prise toutes ses facultés. Comme une gangrène, elle l’a transportée dans un autre monde, celui qu’elle avait il y a plus de 70 ans, lorsqu’elle était gamine Elle a l’impression d’être avec sa mère, son père ses frères et sœurs et sa grand-mère maternelle et avec le chien cherchant des champignons dans la forêt.

Un jour elle a risqué de mettre le feu à la maison en jouant avec les allumettes, comme un enfant. Un brave voisin qui se trouvait sur le balcon a vu la fumée émanant de la cuisine. Il a enjambé le parapet et avec une couverture a éteint le feu qui se propageait déjà sur des torchons. C’est fini, Madame Dorothée ne pourra plus jamais rester seule. Il lui faut une compagnie constante, ou alors la placer en maison de retraite.

Une délégation des locataires a pris l’initiative d’aller trouver une aide sociale du quartier. Une enquête va être faite et Madame DOROTHEE sera placée dans un asile ou une maison de retraite. Les enfants vont être avertis et s’est eux qui décideront , ou leur mère passera le restant de sa vie. Pauvre dame, elle était si gentille et dévouée.


A quoi bon de repousser la mortalité chez certaines personnes, puisque la qualité fait défaut.


Elle ne se souvient plus de son code bancaire, ni de son chéquier, ni de sa banque , ni même de son argent. Les derniers 70 ans sont effacés dans sa mémoire. Il ,ne reste que sa très jeune enfance. Et après cela plus rien.



PAUVRE MADAME DOROTHEE !



Si vous connaissez un cas analogue, n’hésitez pas à le signaler, même à la police, qui fera le nécessaire. MERCI line
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MessagePosté le: 16-01-2007 08:24    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

Origine et variétés

Le poisson rouge (Carassius auratus) nous vient d'Asie (Chine, puis Japon), où il est élevé et selectionné depuis plus de mille ans ! Il est arrivé en Europe aux 17ème et 18ème siècles seulement. Il a pour origine la carpe commune asiatique, laquelle est bien terne : c'est donc par l'action de l'homme, et à travers une longue évolution, que le poisson rouge est devenu ce qu'il est.

Il existe aujourd'hui un nombre impressionnant de variétés différentes de poissons rouges, certaines étant même très étranges : têtes de lion (protubérances sur le sommet de la tête), télescope (yeux exorbités), shubukin (nageoire dorsales et caudales très allongées : sa grande taille impose de disposer d'un bassin), etc.



Photo : Christophe / licence CC BY-NC-SA

|| > A savoir avant de commencer ...

Le poisson rouge est un poisson d'eau tempérée : cela signifie qu'un chauffage n'est pas vraiment nécessaire, sauf si les températures sont vraiment très basses (<10°c) ou bien si elles fluctuent très rapidement : quand la température est basse, il devient alors léthargique.
Le poisson rouge commun préfère en principe des températures allant de 15°C à 20°C, mais il est adaptable à condition de l'habituer graduellement. Ainsi, l'été, même si ce n'est pas l'idéal, le poisson rouge peut survivre à des températures bien supérieures, alors qu'en hiver, il s'adaptera à des températures relativement basses en bassin (entre 5° et 10°C).
Les poissons rouges dits "queues de voile", eux, préfèrent toutefois des températures plus douces et ne devraient jamais passer l'hiver dehors : ils apprécient des températures allant de 21°C à 24°C (l'installation d'un tube de chauffage peut donc être nécessaire en hiver).

On a coutume de dire que le poisson rouge est relativement rustique. Il est vrai qu'il figure sans aucun doute parmi les poissons les plus tolérants. Mais cela ne signifie absolument pas qu'un simple bocal non filtré lui convienne, au contraire. Il grossit relativement vite et produit beaucoup de déchets organiques : c'est pourquoi le bocal à poissons rouges (ou "mini-aquarium") ne lui permet de vivre généralement que très peu de temps et dans des conditions détestables car :

l'oxygène vient rapidement à manquer dans un si faible volume.
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MessagePosté le: 16-01-2007 09:07    Sujet du message: Répondre en citant

Quand l' Etat comprendra qu'il faut mettre le paquet pour aider les Me Dorothée??? au lieu de construire des sous marin ?????
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Lorsque tu ne vois pas bien ce qu'il y a au loin..rien ne t'oblige à aller voir de pres (conseil d'un sage Berbère)
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MessagePosté le: 16-01-2007 09:13    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

BRAVO PAPA LULU C EST UNE BONNE CHOSE DE L AVOIR DITE; TRES BONNE JOURNEE A TOI ET GROS BISOUS;line
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MessagePosté le: 17-01-2007 07:43    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

UNE ALLERGIE !



Il y a bien des années , lorsque j’avais la joie de pouvoir garder mes petits enfants un jeudi et que je ne travaillais pas, j’étais aux anges .On chantaient , on rigolaient, nous faisions des jeux, des dessins, des cabanes, des promenades et un bon goûter .à 4 heures, avant l’arrivée des parents.

Je vais vous les présenter . Le garçon de ma fille aînée JOSE MANUEL à l’époque 7 ans et la fille de ma cadette 4 ans. Son nom CAMILLE ;

Tout était bien ,des enfants, sages obéissants, sauf une chose me chagrinait. Lorsque la petite arriva chez moi, elle était bien portante,une demie heure après, elle avait les yeux irritaient , le nez coulait, des démangeaisons. Une allergie, mais allez savoir de quoi ?

Nous sommes allés en DERMATO avec elle. On lui a fait tous les tests nécessaires.

POLEN GRAMMINEE POUSSIERE POUSSIERE MENAGERE SAVON CREME PRODUIT VAISSAILLE POUDRE A LINGE EAU DE TOILETTE rien aucune réaction..

Des semaines et des semaines passèrent . Je n’osais même plus demander la garde de la petite à ses parents, car c’était chez moi qu’elle attrapait la toux et les yeux larmoyants.. Que faire, on a tout contrôlé tout visité , rien .


La petite ne comprenait pas qu’elle n’avait pas le droit de rentrer dans le salon . Aucune pièce ne lui faisait une réaction sauf le salon. Pourtant , nettoyé, encaustiqué, carreaux lavés, coussins changés, livres relies, on ne savait pas à quoi attribuer cette maladie.

Un jour on m’a offert deux trophées, une tête de biche avec sa peau et une tête de sanglier. Moi personnellement je ne suis pas pour ces choses. Oui dans un pavillon de chasse ou un grand restaurant, mais en privé, je trouve c’est trop mastoc Les généreux donateurs, venaient de temps en temps pour vérifier, si nous l’avions bien exposé sur les murs du salon. enfin bref.

• Un jour en faisant la poussière, je me suis aperçue, que des petits vers sortaient, par les trous des narines. Ces bestioles étaient très mal naturalisées et se sont elles qui provoquèrent , l’allergie de la petite. Il en a fallu du temps pour s’en apercevoir. L e soir même tout était dans la poubelle. Je me pose encore aujourd’hui la question, nos amis étaient ils au courant de cette vermine ?


Depuis la petite est guérie, plus de nez qui coule ni démangeaisons, mais maintenant elle ne veux plus jouer avec mémé .

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MessagePosté le: 17-01-2007 07:50    Sujet du message: carnet Répondre en citant

URL=http://imageshack.us][/URL]

BLOCKQUOTE></BLOCKQUOTE></BLOCKQUOTE></BLOCKQUOTE>Cette histoire de la tortue est le fruit d'un long travail élaboré par Roger BOUR, chercheur au CNRS et spécialiste des reptiles au Muséum d'Histoire Naturelle de Paris, travail exposé en Septembre 1980 à l'Académie des Sciences de la Réunion.

[url=http://www.ac-reunion.fr/pedagogie/cotamarp/tortue/histortue.html#L'HISTOIRE de la TORTUE de BOURBON][/url]INTRODUCTION

Chacune des îles Mascareignes (La Réunion, Maurice, Rodrigues) possédaient une ou deux espèces de tortues terrestres qui lui étaient propres. Ces tortues appartiennent un genre particulier, Cylindrapis, dont on n'a pas pu encore préciser les affinités et qui a été entièrement exterminé. L'espèce de la Réunion, Cylindrapis borbonica, n'a été décrite que récemment et demeure mal connue, car ses vestiges rarissimes. Par contre, l'abondance de documents historiques permet de mieux comprendre certaines circonstances de sa funeste cohabitation avec l'Homme, et de suivre une agonie qui s'étendit sur plus de deux siècles.

[url=http://www.ac-reunion.fr/pedagogie/cotamarp/tortue/histortue.html#L'HISTOIRE de la TORTUE de BOURBON][/url]L'HOMME DECOUVRE LA TORTUE


Le 24 décembre 1611 l'amiral hollandais Pieter Wilhem VERHOOVEN, à bord du Middelburg, passe à proximité de notre île.
Le journal de bord nous apprend que:«cette île n'est pas habitée, mais on peut s'y procurer des vivres, des tortues, les poissons et les oiseaux y étant très abondants.»
Ainsi commence, après une longue préhistoire, l'histoire de la tortue terrestre de Bourbon (ancien nom de l'île de la Réunion), qui n'était encore que la tortue Mascarin. Comme le navire n'aborde pas, on peut en conclure que la réputation de la plus grande des Mascareignes comme lieu éventuel de rafraîchissement était déjà faîte. Les Portugais, qui la découvrirent en août 1500, ne paraissent guère s'y être intéressés, ou du moins se sont-ils montrés fort discret à propos de ses ressources. « Vivres », c'est ce que la tortue va désormais représenter pour l'Homme pendant plus de deux siècles, comme ses congénères de Maurice et de Rodrigues, jusqu'à son extinction définitive. Mais avant d'éxaminer les circonstances de cette agonie, nous allons d'abord essayer de faire revivre, pour quelques instants, cette tortue, à partir des témoignages des contemporains de son existence. Avertissement : certaines des citations suivantes sont en français de l'époque.
Grosseur, poids. Le premier caractère qui a frappé les navigateurs est la grosseur de l'animal :
«Nous y avons trouvé un nombre sonsidérable de grandes tortues terrestres, aussi grosses qu'un homme peut porter, et qui étaient un excellent manger.»(CASTELLON, 1613)
«Huit tortues de terre dont la moindre pesait plus de cent livres. » ( journal de bord du Le Navarre 1671)
« Une de ces tortues porte un homme sur son dos, et c'est tout ce qu'un homme peut faire que d'en porter une. » (DUBOIS 1672).
Les plus grandes tortues pesaient donc plus d'une cinquante de kilos.
Longueur. D'autres indications permettent d'en estimer la longueur (le pied mesure environ 33cm, l'empan 23cm) :
« Elles ont deux à trois pieds de long, un pied et demi de large ou environ et plus qu'un pied d'épaisseur. » (DUBOIS 1672)
« Elles mesures jusqu'à 10 ou 12 empan de tour. » (G.BORGHESI, 1703).
La carapace est donc large et plate, longue de 60 à 90 cm.
Aspect. Nous n'avons que peu de renseignements sur l'apparence de ces tortues :
« Elles ont le coup long et la tête faite comme les tortues d'Europe ; une grosse queue de quatre pieds. » (DUBOIS, 1671)
« Elles ont quatre pattes élevées d'un pied de terre. » ( CARPEAU du SAUSSAY, 1666)
Nous savons maintenant que les Tortues des Mascareignes avaient effectivement un grand cou, de longues pattes, que la queue des mâles était relativement longue, et qu'elles étaient légères par rapport à leurs dimensions. Par comparaison une Tortue adulte mâle d'Aldabra (île des Seychelles) peut mesurer 130 cm et peser 230 kg.
Abondance. Ces observateurs ont également été étonnés par l'abondance de ces animaux, même dans des lieux d'accès difficile :
« Il y a quantité de tortues de terre, et ce qui surprend, c'est que l'on trouve de ces tortues sur des montagnes où les hommes ne peuvent arriver qu'avec beaucoup de peine et avec grand risque. » (F.MARTIN, 1665)
«Les tortues de terre y sont si communes que ceux qui marchaient avec le plus d'empressement sont souvent obligés de s'arrêter par leur rencontre nombreuse et fréquente » (DELLON, 1671)
« Elles sont en si grande quantité par tous les endroits de l'île qu'une personne peut en tuer en un jour douze cents, ou pour mieux dire, autant qu'elle voudra. » (de LESPINAY, 1671).
Reproduction, croissance. Une particularité bien connue des tortues terrestre est leur longévité associée à une croissance lente ; les premiers visiteurs de Bourbon ne l'ignoraient pas comme ils savaient leur façon de se reproduire :
« Elles ont un temps pendant lequel elles font leur ponte, mais c'est le soleil qui couve leurs œufs... Les habitants ont remarqués que pendant plusieurs années on a de la peine à connaître si elles ont grossi.... On prétend qu'une tortue peut vivre jusqu'à 300 ans, mais comme il n'y a pas longtemps qu'on habite cette île, on n'en peut donner aucune certitude. » (LUILLIER, 1703)
Alimentation. Les renseignements dont on dispose sur la nourriture des tortues sont bien minces.
A bord des navires, certaines ne mangeaient « qu'un peu de pommes de palmiers ou lataniers, sans boire » (DUROT, 1705)
Le gouverneur de VILLERS, se rendant à la Plaine des Cafres (hauts de l'île à 1800 m d'altitude), observa :
« Le terrain est bon et uni jusqu'à une lieue et demie en deçà de la plaine, garni de beaux et grands arbres dont les feuilles qui en tombent servent de nourriture aux tortues que l'on trouve en grand nombre » (LA ROQUE, 1709).
La plupart des témoignages montrent que les Tortues étaient végétariennes, mais il est possible que certaines d'ente elles fussent, au moins partiellement carnivores.
Particularités éthologiques. Deux observateurs attentifs ont transmis des données originales sur le comportement des Tortues.
« Les oiseaux, tortues et autres animaux, deux ou trois jours auparavant, par un instinct sentant le mauvais temps (cyclone), se retirent dans des rochers ou cavernes d'où ils ne sortent point que le mauvais temps ne soit passé » (de LESPINAY, 1671)
Cette singulière réaction permet d'expliquer la présence, et même l'abondance d'ossements dans certaines grottes.
« Une chose assez digne de remarques est qu'elles sont chaque année quatre mois sans boire ni manger, et que pendant les huit autres elles font leur ponte et prennent de quoi se sustenter pour les quatre autres mois. » (LUILLIER, 1703)
Cette particularité sera l'une des causes de leur extinction.
[url=http://www.ac-reunion.fr/pedagogie/cotamarp/tortue/histortue.html#L'HISTOIRE de la TORTUE de BOURBON][/url]L'HOMME POUR ET CONTRE LA TORTUE


Nous avons ainsi une image de la tortue de Bourbon (La Réunion) dans son île jusqu'à l'arrivée de l'homme. Ce dernier ne voit dans la Tortue qu'un aliment. D'abord embarqué à bord des navires, elle va être littéralement massacrée lorsque les premiers colons s'installent.
Embarquement. Voyageurs et livres de bord sont précis :
« le vaisseaunous appretâmes les voiles, on fit provision d'eau, on envoya le trompette à terre, qui ramassa nos gens, et on mit environ cent tortues dans » (W.Y BONTEKOE, 1619)
« Le gouverneur donna ordre à ses gens qu'on allât chercher 200 tortues qu'on apporta le lendemain au soir » (LUILLIER, 1703)
La tortue présente un rare avantage : elle peut rester longtemps en vie, avec peu ou pas de nourriture ; plusieurs parvinrent même en Europe (le voyage durait alors de 4 à 6 mois).
« En étaient restées de vivantes dans nos vaisseaux plus de trois mois après notre départ de cette île, quoiqu'elles ne mangeassent point qu'un peu de pommes de palmiers ou lataniers, sans boire » (DUROT, 1705)
Tortues à six livres. Ces prélèvements sont somme toute justifiés, les chambres frigorifiques n'existant point à l'époque.
Les tortues devant être réservées aux besoins des navires, la Compagnie des Indes tient à avoir le monopole du commerce de ces reptiles.
L'idée en revient au gouverneur G.HEBERT qui suggéra, dans son rapport à la Compagnie en 1708 : « Il m'était venu une pensée, qui était d'en faire un commerce pour la Compagnie, à deux Ecus la pièce. Voyez s'il vous plait si cela sera de votre goust et donnez des ordres en conséquence ; mais jusqu'à ce temps là j'en deffendray la Traitte absolument... » (Un écu vaut trois livres, une livre vingt sols, un sol douze deniers)
La Tortue parmi les premiers habitants. Quant aux rapports directs entre les premiers habitants de Bourbon et la Tortue, voici ce que nous disent certains témoins :

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MessagePosté le: 17-01-2007 07:52    Sujet du message: Répondre en citant

moi je suis allergique a la chasse et aux chasseurs !sur ce bonjour !
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MessagePosté le: 17-01-2007 08:26    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

MA CHERE PETITE ANNICK _ BONJOUR _ cet article t'as certainement deplu. je te souhaite une bonne journee bisou LINE J'ai senti dans ton message une colère montée en toi.

Je radote peut êtr'e l'avais je deja écris? LINE
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MessagePosté le: 17-01-2007 08:33    Sujet du message: Répondre en citant

line regarde ! je ne suis pas annick mais anniec
mais voyons line, c'etait de L'HUMOUR !!!!!!!!!!!!!!! Laughing
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MessagePosté le: 17-01-2007 08:35    Sujet du message: papotons Répondre en citant

ANNIEK avec toutes mes excuses. gros bisou LINE
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MessagePosté le: 17-01-2007 08:54    Sujet du message: Répondre en citant

excuses acceptees !

maintenant je vais oeuvrer aux resto du coeur !
bisous anniec
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MessagePosté le: 18-01-2007 07:57    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

LE GRAND PRIX D AMERIQUE !


Dimanche à LONGCHAMP aura lieu le grand PRIX D’AMERIQUE comme tous les ans. Ces dames porteront des toilettes sublimes faites par de grands couturiers et des chapeaux fleuris à voilette vaporeuse. Les messieurs, un pantalon rayé, un frac ; un chapeau haut de forme exactement comme au début du siècle.

Vous pourrez voir une foule immense déambuler dans les allées de l’hippodrome et autour des manèges. Les casaques des chevaux et des jockeys sont multicolores et chaque écurie porte sa propre couleur. Du rouge du bleu du vert du violet du jaune uni croisé avec étoiles ou barré. Quel tumulte ! Les gens sont pressés de savoir s’ils vont gagner ou perdre dans cette course

Le parterre des pelouses est garni de vieux billets périmés que les gens jettent de rage après chaque course. Illusions perdues ! De temps en temps on est accosté par des personnes qui veulent vous vendre un bon tuyau. Le No 10 dans la 3eme, ma main au feu. Vous perdez la mise et le tuyau. C’est à vous de voir. Peut être exceptionnellement avec un peu de chance, vous gagnerez un bonus 3 à 2.80 E

Voila les chevaux sont alignés avec leurs sulkys, le départ est imminent. Le driver retient son cheval avec les rênes jusqu’au départ donné et les voila partis pour un ou deux tours de piste. Le public est là avec sa longue vue et acclame les cavaliers. Les propriétaires des écuries sont nerveux, il y a une grosse somme à gagner pour le vainqueur .Un baise main à droite, un baise main à gauche. Ses messieurs sont euphoriques et chacun espère que son privilégié va gagner.

Les gens hurlent, les gagnants et les perdants. Le 13 LE FOLICHON de l’écurie DUDULE est premier ; Il a gagne d’une courte tête sur BEAU REGARD de l’écurie MAISTRE et enfin le 3em GIBRALTAR de l’écurie BOBBY ; Les propriétaires feront la fêtes ce soir, c’est toujours eux les gagnants. Oh combien on juré, de ne plus jouer dans ce prix là, n’empêche que l’année prochaine vous les retrouverez tous de nouveau ici, comme chaque année.

On a beau dire, le jeu est un luxe qui revient très très cher à quelqu'un qui ne sait pas s’arrêter.


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MessagePosté le: 18-01-2007 08:23    Sujet du message: histoire Répondre en citant

Histoire de moutons
Histoire de mouton


Flou, flou, la lune est flou
Sa lumière s’étend comme le flot de l’eau
S’étire jusqu’à n’en plus finir
Flou, flou, la lune est flou
Plus de contour
La lune est une tache de peinture
Elle est tombée dans le ciel
Cette lune aux couleurs d’aquarelle
Flou, flou, elle est flou
C’est un coloriage, une image
Un mirage en arc-en-ciel
La lune m’est devenu essentiel
Je la touche du regard
Elle est là en illuminée
A se pavaner
Dans le noir
Flop, flop, la lune est flop
Goutte à goutte
Elle se dilapide
J’ai un doute
Sera-t-elle là demain ?

Un mouton





Balade dans les étoiles


C’est l’histoire d’un mouton qui voulait être pilote
Il rêvait de devenir astronaute
Pour quitter son maître-berger
Et s’envoler avec une fusée
La haut, il désirait se fiancée
Avec sa dulcinée
C’était la lune, il en était tombé follement amoureux
Le petit mouton voulait absolument atteindre les cieux
Il éprouvait tant de sentiment pour elle
Qu’il lui poussa des ailes !
Il attendit qu’il fasse nuit noir
Puis s’envola la voir…






Larme de mouton


Le petit mouton névrosé de chagrin
Aujourd’hui s’est mi au joint
La lune, il ne l’aime plus
elle a pris peu à peu des couleurs de papier d’alu
Et semble bien fade à côté du soleil
Petit mouton serait-il homosexuel ?
Tout est il que ce soir il se shoute encore
La fera-t-il cette overdose-de-la-mort ?
Le matin lorsqu’il s’éveille
Le soleil lui envoi des rayons rouge et vermeille
Sa lumière l’ébloui
Petit mouton se sen tout attendri
Et à la fois empli d’une immense tristesse
Ses pleurs s’enlacent, se lassent, se tressent
De grosses larmes coulent sur son pelage
Tantôt de désespoir tantôt de rage
Quand viens le soir, petit mouton se shoute encore
Cette fois il l’a fait son overdose-de-la-mort.


Rêvons que,
Notre mouton
Est à présent un ange de coton
Qu’il est nuage à volonté
Et n’a plus besoin ni d’ailes ni de came pour planer



© Plane Aéro
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anniec



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MessagePosté le: 18-01-2007 08:35    Sujet du message: Répondre en citant

le matin, avoir une telle imagination! je reste baba! bonne journee ! il faut dire ,qu' avec le temps que l'on a ici ce matin !pas de quoi en faire un poeme bisous anniec Very Happy
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MessagePosté le: 18-01-2007 10:08    Sujet du message: Re: carnet de line Répondre en citant

Line a écrit:
UNE ALLERGIE !



Il y a bien des années , lorsque j’avais la joie de pouvoir garder mes petits enfants un jeudi et que je ne travaillais pas, j’étais aux anges .On chantaient , on rigolaient, nous faisions des jeux, des dessins, des cabanes, des promenades et un bon goûter .à 4 heures, avant l’arrivée des parents.

Je vais vous les présenter . Le garçon de ma fille aînée JOSE MANUEL à l’époque 7 ans et la fille de ma cadette 4 ans. Son nom CAMILLE ;

Tout était bien ,des enfants, sages obéissants, sauf une chose me chagrinait. Lorsque la petite arriva chez moi, elle était bien portante,une demie heure après, elle avait les yeux irritaient , le nez coulait, des démangeaisons. Une allergie, mais allez savoir de quoi ?

Nous sommes allés en DERMATO avec elle. On lui a fait tous les tests nécessaires.

POLEN GRAMMINEE POUSSIERE POUSSIERE MENAGERE SAVON CREME PRODUIT VAISSAILLE POUDRE A LINGE EAU DE TOILETTE rien aucune réaction..

Des semaines et des semaines passèrent . Je n’osais même plus demander la garde de la petite à ses parents, car c’était chez moi qu’elle attrapait la toux et les yeux larmoyants.. Que faire, on a tout contrôlé tout visité , rien .


La petite ne comprenait pas qu’elle n’avait pas le droit de rentrer dans le salon . Aucune pièce ne lui faisait une réaction sauf le salon. Pourtant , nettoyé, encaustiqué, carreaux lavés, coussins changés, livres relies, on ne savait pas à quoi attribuer cette maladie.

Un jour on m’a offert deux trophées, une tête de biche avec sa peau et une tête de sanglier. Moi personnellement je ne suis pas pour ces choses. Oui dans un pavillon de chasse ou un grand restaurant, mais en privé, je trouve c’est trop mastoc Les généreux donateurs, venaient de temps en temps pour vérifier, si nous l’avions bien exposé sur les murs du salon. enfin bref.

• Un jour en faisant la poussière, je me suis aperçue, que des petits vers sortaient, par les trous des narines. Ces bestioles étaient très mal naturalisées et se sont elles qui provoquèrent , l’allergie de la petite. Il en a fallu du temps pour s’en apercevoir. L e soir même tout était dans la poubelle. Je me pose encore aujourd’hui la question, nos amis étaient ils au courant de cette vermine ?


Depuis la petite est guérie, plus de nez qui coule ni démangeaisons, mais maintenant elle ne veux plus jouer avec mémé .

LINE


les allergies ,c'est affreux dans une maison ,ma petite fille la plus jeune passait sa vie depuis sa naissance à faire de l'allergie.Mon fils a fait des travaux dans sa maison achetée d'occasion ,et bien il s'est rendu compte que la salle de bain avait une évacuation de la baignoire défectueuse celà s'écoulait dans l'isolation ,donc moisissure.Il a tout cassé ,tout refait propre la petite n'a plus rien ,cette année pas une crise.Il faut vraiment parfois peu de chose.je suis désolée pour ta petite qui ne veut plus jouer tu n'y est pour rien.
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Z06



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MessagePosté le: 18-01-2007 15:21    Sujet du message: Répondre en citant

Oui cela est difficile surtout pour les enfants ..

mais qui cherche trouve !

Bravo....à ceux qui ont trouvés et redonné une bonne santé aux enfants.
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MessagePosté le: 19-01-2007 07:39    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

la suite de VAREL A UNE ANGINE !


LOUISETTE !




Louisette, l’opératrice du taxi, a disparu depuis des mois. Le dossier est toujours en suspens et traîne sur le bureau de VAREL qui n’a pas trouvé encore d’indice et ne sait par où commencer.

D’après ses collègues, elle s’est fait harceler par un inconnu, qui ne finissait pas de lui téléphoner nuit et jour. Un jour les nerfs de LOUISETTE ont craqué et elle s’est confiée à une amie, laquelle n’a pas hésité à trouver notre commissaire, pour l’en informer. On ne sait pas grand chose et toute la brigade est mise sur cette affaire. Hélas on patauge depuis des semaines sans résultats. On ne sait absolument rien de la disparition de cette pauvre dame.
FABIEN, ne finit pas de se renseigner du côté du mari. Celui-ci va toute les semaines avec son grand camion, livrer de la marchandise en Espagne et ne rentre qu’en fin de semaine. En France, on n’a rien à lui reprocher, comment est-ce en Espagne ? FABIEN est convaincu qu’il file le tendre amour, une double vie quoi. Ce n’est peut être pas la mauvaise solution, mais pour l’instant tout est ambigu dans sa tête et ceci demande encore quelques jours de réflexion

VAREL aurait cherché encore très longtemps, s’il n’y avait pas eu l’histoire de l’accident sur l’autoroute de NARBONNE ; Le chauffeur, le mari de LOUISETTE est resté coincé dans sa cabine. Une partie du volant lui est rentré dans le crâne, le cerveau endommagé et une perte abondante de sang .Il meurt pendant le transfert à l’hôpital.

Les gendarmes ont fouillés la sacoche du défunt pour connaître son identité, lorsqu’ils sont tombés sur deux adresses. L’adresse de LOUISETTE et une autre d’Espagne ; ainsi que deux photos de femmes différentes. UNE BLONDE, UNE BRUNE ; l’idée de FABIEN commence à prendre forme.
Pendant plusieurs jours, FABIEN interroge les voisins de LOUISETTE ainsi que les commerçants. L’hôtelier est convaincu, que les gens du voyage qui se sont installés il y a des semaines sur la placette, ont quelque chose a voir avec la disparition de LOUISETTE ; Il aurait même vu de ses propres yeux que le mari remettait au chef une grosse liasse d’argent dans la petite salle avoisinante.

Le lendemain FABIEN et VAREL sont à la recherche de cette troupe, laquelle a déjà traversé quelques départements.
D’après les dires d’un gamin interrogé, les gens avec leur roulotte, se trouvent dans le village à côté. La lumière commence à se faire dans cette histoire.

Tout le monde est convoqué à la police pour question de papier et interrogatoire sur l’affaire en cours. LOUISETTE a été séquestré par ces gens là contre une importante somme, que son mari leur avait remis. Depuis des mois elle est allongée sur un grabat, mal nourrie et dans le noir.

Le soir même, elle était libre. Il fallait l’hospitaliser pendant quelques semaines pour la remonter.

Elle demande à VAREL des explications. Une vilaine tâche l’attend, il faudra aussi qu’il lui parle de la mort de son mari et de tout le reste.

LINE
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MessagePosté le: 19-01-2007 08:07    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

histoire de moulin a vent



Moulin chinois

Les moulins chinois, introduits entre le Xème et le XIIIème siècle sont eux aussi à axe vertical. Nés dans une région maritime, ils comportent huit voiles verticales (voiles de jonque lattées) articulées. Un cordage retient face au vent la face descendante et lâche la pale montante qui vire complètement pour se placer dans la direction du vent : c’est aussi la différence de poussée qui fait tourner ce moulin. Ce type de moulin est mentionné en 1219 et dessiné par Nieuhoff en 1656.

Moulin à trépied

La première mention du moulin à vent à pivot (ou à trépied) date de 1180 dans un acte d’Alexandre de Liéville qui donne à l’Abbaye de St-Sauveur-le-Vicomte une terre près d’un moulin à vent, situé probablement à Montmartin, en Basse-Normandie. Il est signalé dès le Xème siècle dans la région de Tarragone en Espagne. Son origine est inconnue. Il comporte quatre ailes montée sur une charpente en équilibre sur un pivot centrale. Son orientation au vent est manuelle. Son usage se développe au début du XIIIème pour atteindre la Pologne et la Suède au XIVème. Les premières représentations figurées se trouvent dans le rentier d’Audenarde et le psautier de St-Vaast d’Arras vers 1270.

La grande innovation réside dans le fait que ce type de moulin utilise la portance d’un profil (aussi rudimentaire soit-il), et non plus une différence de traînée. La question de son orientation face au vent reste cependant posée (nécessité d’une orientation manuelle).

Sa réalisation est l’œuvre du charpentier de moulin, frère du charpentier de marine, maître de " l’art du trait " et de l’équilibre des formes qui transmettent des forces dans les trois dimensions. Les charpentiers, soutenus leur patron Saint Joseph, grande figure chrétienne (le 19 Mars est un jour férié en Espagne) vont constituer une élite artisanale entretenant des relations proches avec les élites intellectuelles de la franc-maçonnerie. Mais c’est une autre histoire…

Globalement, le rendement est limité par la transmission de puissance, réalisée avec des engrenages en bois (lanterne à fuseaux et rouet) d’un rendement faible (plus de 60% de pertes pour 30 kW disponibles sur l’arbre moteur, donc seulement 12 kW utiles). Le matériau est ici une limite à la technologie, un facteur bloquant.

Le moulin à vent se développe car le centre de gravité de la civilisation monte vers le Nord, où les techniques hydrauliques développées par les Romains ne sont plus utilisables (cf " le plat pays qui est le mien " de Jacques Brel…).

Moulin à tour

Le moulin à vent à tour date du XVème : la tête
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MessagePosté le: 19-01-2007 08:25    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

moulins a vent



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MessagePosté le: 20-01-2007 08:10    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

LA MAISON DE RETRAITE !



Une maison de retraite située dans un immense parc dans la région de Strasbourg, ferme ses volets. Il est 17 heures. Il commence à faire nuit, Un brouillard très épais vient de se lever.

Les pensionnaires de tous les âges sont entrain de papoter dans le réfectoire. Ou est Madame BLUM, je ne l’ai pas vue de la journée. Ah dit madame LEBRUN ! la directrice est venue la chercher tout à l’heure pour l’amener a son bureau. Il parait , qu’elle a volé le dentier de sa voisine. On a retrouvé dans sa chambre, plein d’articles ne lui appartenant pas, comme un appareil auditif, du parfum, du rouge a lèvre s et des bijoux. Les cancans vont bon train.

Un nouveau locataire vient d’arriver. Un homme bizarre ! Ces dames lui font un brin de causette, il ne répond pas. Mais c’est un rustre se disent elles. Nous allons l’ignorer et le laisser seul dans son coin. Nous ne pouvons pas l’obliger à nous répondre, s’il ne veut pas.
L’homme est replié sur lui-même, c’est un drôle de personnage .

Attends Cunégonde ! ou vas-tu ? je t’accompagne. Non non reste là . Je vais à la drague et comme tu es plus belle que moi, je n’aurai aucune chance. Ces deux dames vont toutes les deux sur leurs 85 printemps.. Bien maquillée, , Cunégonde a endossé sa robe du dimanche, sans ôter sa chemise de nuit qui dépasse d’un demie mètre sa robe. Elle est chouette ,elle a même oublié d’enlever ses bigoudis mais par contre elle a mis du vernis sur les ongles, un rouge écarlate, géranium. C’est parfait !.




C’est l’heure du souper. Tous les soirs des assiettes sont échangées car chacune de ses dames veut la portion la plus grande. Mais enfin ne touchez pas, ceci est a moi, s’est ma serviette. Les infirmières ont du mal a calmer ces dames et a leur administrer leur médicaments. Même ces derniers ne sont pas pris dans les règles de l’art, car soit, ils sont échangés ou double prise ou pas du tout.

La première nuit le nouveau locataire est très agitée. Il se promène dans le couloir la moitié de la nuit. Il fait un potin du diable, il a une jambe en bois, de quoi réveiller toute la maison.
Il se met sur une chaise et attend , Qu’attend t’il, ? Que le jour se lève ? Non.. Il attend l’infirmière de garde, pour lui signaler qu’il a fait pipi dans son lit.

Au petit déjeuner, ces dames sont affamées. Vivement le café au lait , tartines beurrées confitures, les commérages vont bon train. Le nouveau comme disent les dames est installé tout seul a une table prés de la fenêtre, c’est bien comme ça, au moins , là il ne nous embêtera pas.

Le vieux pensionnaire a les larmes au yeux ! Il a élevé 4 enfants et tous les 4 d’un commun accord ils ont décidé de le mettre en pension. Depuis que sa femme est décédée, se sont les enfants qui ont pris les commandes. C’est comme ça ,qu’il a attéri dans cet établissement , parmi ces mégères. Fini les copains dans le café de la poste pour l’apéro et la partie de belote. .Fini la partie de boules lyonnaises et les challenges. ll était le meilleur tireur de la région parait-il .

D’un pas décidé, il se dirige vers la porte. Dans sa chambre il commence a faire sa valise. Il veut revenir dans la maison ou il a vécu pendant des années avec sa chère femme. Son beau jardin, ses légumes, ses fruits ses fleurs. Tout lui manque ! La valise terminée, il la cache en dessous de son lit. Ce soir, lorsque tout le monde dormira, il fera la belle .

Le pauvre, il ignore que la porte d’entrée de l’asile est fermée a clé . Quelle déception ! Il avait tout si bien organisé. Le voila à nouveau à la case départ., Quoi faire ? Il revient dans sa chambre et se couche.

Le lendemain matin, le père MAX a le vertige. Il n’est pas bien, il a dû s’enrhumer hier soir dans ce couloir , en voulant s’évader.
Il ne se présente pas pour le petit déjeuner. L’infirmière vient pour le chercher. Elle tire les rideaux et quelques rayons de soleil viennent caresser le visage du père MAX Elle le trouve bien pâle ce matin et va à la recherche du médecin de service.

Le patient est transporté de toute urgence à l’hôpital le plus proche diagnostic PNEUMONIE.

Son état de santé va à la dérive. Les enfants sont prévenus. Votre père est entre la vie et la mort. . A son âge si le cœur tient bon , nous allons lui administrer des antibiotiques puissants. Attendons demain pour nous prononcer.
MAX ouvre les yeux, ses enfants tous les quatre se tiennent autour du lit. Il hallucine cherche sa femme , de grosses gouttes de sueui perlent sur son front.

Le lendemain la fièvre est tombée, état satisfaisant disent les médecins. Quinze jours après le patient est sauvé. Quelques jours de convalescence et son plus jeune fils viendra le chercher pour l’amener chez lui , pour y vivre le restant de ses jours.

Il pourra à nouveau voir ses copains, faire ses parties de boules, boire son apéro et jouer à la belote,s’occuper de son beau jardin ,contempler ses arbres, ses fleurs et regarder voler les oiseaux..
C’est l’environnement qui donne des forces aux personnes âgées. De grâce ne les mettez pas à l’asile !





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MessagePosté le: 20-01-2007 08:27    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

HISTOIRE ET TRADITIONSURL=http://imageshack.us][/URL]
Le mimosa: Une belle histoire d;amour...
Mandelieu-La Napoule, au pied de l'Esterel et au bord de la Grande Bleue, a connu une v鲩table renaissance ࠬa fin du XIXe si裬e, bien que le site de la Napoule ait 鴩 habit頤賠l'Antiquit頇recque et Romaine. Le village s餵isait de nombreux voyageurs qui pouvaient d飯uvrir la C?d'Azur ࠰artir de 1864, gr⣥ ࠬa liaison ferroviaire Paris-Cannes. Son doux climat, son cadre unique, sa beaut頮aturelle repr鳥ntaient d'extraordinaires attraits auxquels s'ajoutaient le Champ de Courses, le Golf ainsi que le Polo cr驳 juste ࠣette 鰯que plus d'un si裬e apr賠cette renaissance, ࠬ'aube du troisi譥 mill鮡ire, Mandelieu-La Napoule a su pr鳥rver son charme proven硬 et chaleureux. En mʭe temps, les voyageurs avides de d飯uvertes seront plus que satisfaits par la diversit頤es activit鳠de cette station baln顩re.

Le magnifique massif de l'Esterel pour des promenades inoubliables, les pittoresques bords de la Siagne pour des parties de pʣhe, le Massif de Tanneron pour la d飯uverte d'une v駩tation unique, deux parcours de 18 trous pour les passionn鳠de golf, des plages de sables fins et de petites criques isol饳 pour les amateurs, six ports (une des plus grande capacit頰ortuaire de la C?d'Azur) pour les plaisanciers ... ne sont que quelques exemples des possibilit鳠de d鴥nte offerte par Mandelieu-La Napoule.

" L'histoire du mimosa c'est l'histoire d'amour avec Cannes ! Dans le langage des fleurs ...Ie mimosa c'est la s飵rit鮦quot;

Dans une r鰬ique de Naﳬ Marcel Pagnol 飲it : "Les grands-m貥s, c'est comme le mimosa : c'est doux et c'est frais, mais c'est fragile ..." J'adore Pagnol que j'ai personnellement connu !!! S'il 鴡it encore parmi nous aujourd'hui, je voudrais lui dire que ce n'est plus tr賠vrai pour nos mamies qui restent alertes fort longtemps et nous procurent d'immenses joies.

C'est encore moins vrai pour le mimosa qui, gr⣥ aux diff鲥nts traitements que lui donnent les professionnels mimosistes, se conserve 鰡noui dans des vases, dans des appartements surchauff鳬 pendant plusieurs jours pour le plaisir de tous les amoureux des fleurs et de la nature !

Le po败 Beaune ne disait-il pas : "Rien n'est plus d鬩cieux que les environs de Cannes !

C'est mieux que la Provence et mieux que l'Italie !

Transf鲥z les plus riants paysages de la Suisse au bord d'une mer transparente, mʬez ࠬeurs pins s飵laires, des vignes, des oliviers, des orangers, du Mimosa. Eclairez-les d'un soleil plus doux que celui de Naples et vous aurez le Golfe de Mandelieu - la Napoule". Mandelieu-La Napoule vit surtout depuis la Belle Epoque une histoire d'amour avec le Mimosa. Originaire d'Australie, il a trouv頡u milieu du si裬e dernier sa terre de pr餩lection ࠍandelieu-La Napoule et sur les massifs environnants de l'Esterel. Depuis, la ville est la capitale du Mimosa.

Le Mimosa, dont le vrai nom botanique est "Acacia", comporte plus de 600 vari鴩s. Sur le littoral m餩terran饮, on cultive surtout les vari鴩s : "Gaulois", "Mirandole", "Floribunda" et, dans un registre plus imag鬠"Toison d'or", "Quatre saisons" et "Clair de lune".

Le parfum qui se d駡ge de cette fleur magnifique constitue une senteur inoubliable convoit饠par les parfumeurs et notamment ceux de Grasse. Ces petites boules dor饳 飬airent tous les jardins de la ville et les collines environnantes. Elles ressemblent ࠤe multiples petits soleils complices. Mimosa rime avec tradition mais aussi 飯nomie puisque les quelques cent Mimosistes du Pays envoient de janvier ࠭ars, 8 millions de bouquets dans le monde entier afin de donner ࠴ous un peu de ce soleil en hiver ! C'est l'occasion aussi d'animations diverses se d鲯ulant dans toute la ville : Exposition sur l'histoire du Mimosa, tournoi de Golf, plusieurs concours : bouquets, dessins, vitrines, photos, etc ...

La Municipalit頤e Mandelieu-La-Napoule, organisatrice y associe les communes avoisinantes de la C?d'Azur et du Var. L'int鲊t pour les touristes et visiteurs en est renforc頣ar ils d飯uvrent ࠴ravers cette manifestation tout le charme et toutes les attractions d'une r駩on riche en soleil, chaleureuse et conviviale.



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MessagePosté le: 20-01-2007 08:34    Sujet du message: carnet Répondre en citant

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MessagePosté le: 21-01-2007 12:47    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

Ce matin pas d'histoire, veuillez m'en excuser. Les pilles de ma souri s etaient vides et comme en ALSACE les magasins sont fermes un dimanche.Un voisin charitable m'a depanné. merci


Rattrapons vit(e le temps perdu



UN HOMME DECHIQUETTE !


Dans la gare de CAGNE S /:mer le TGV s’arrête Il est huit heures du soir. , par un beau mois d’août les touristes se dirigent vers la sortie.

VAREL VAREL mon vieux que fais tu içi ? Un voyageur lui tape sur l’épaule. Tu vois le monde est bien petit. A PARIS on ne se rencontre jamais. Il faut faire 500 bornes pour se revoir. Viens au buffet de la gare nous allons boire un pot ça fait un bail on ne s’est pas vu. D’accord mais en vitesse, FREDERIQUE m’attend au camping, nous avons loué un camping car pour trois semaines je suis en congé depuis aujourd’hui. Mais c’est formidable lui dit son pote, la vie est belle !

Arrivé chez FREDERIQUE , VAREL sent qu’il y a de l’eau dans le gaz . Qui y a-t-il ma chérie, ça ne va pas comme tu veux ? Frédérique ne dit rien, elle lui présente simplement
Un pli qui vient d’arriver il y a une dizaine de minutes.



ENQUETE CONFIE PAR LE PARQUET A LA BRIGADE CRIMINELLE –
Comme VAREL en est le chef, il fait absolument qu’il soit présent le temps de l’instruction.

VAREL a juste le temps de prendre une douche, se changer, revenir à la gare et retourner à 22 heures avec le train à PARIS

Le lendemain arrivé à PARIS Au bureau le brigadier a déjà prépare le café et son journal.. Bonjour CHEF, mais le chef ne répond pas, il est de mauvaise humeur. , depuis que FREDERIQUE , lui a refusé un bisou hier soir avant de partir.

On a appris de source policière et pompier, qu’un homme a été retrouvé déchiqueté à proximité d’un bâtiment qui contient un distributeur de billets de banques

Le distributeur a résisté, il y a juste la grille qui a été légèrement endommagée. Cet attentat a été commis par un seul homme.

Un périmètre de sécurité à été établi autour du bâtiment. VAREL quitte son bureau pour aller voir ça de prés.

A PARIS le service ANTI TERRORISTE dit que ceci ne les concernait pas !

L’auteur de l’explosion a payé de sa propre personne.

A part le grillage, personne n’a été lésé dans cette histoire.



L’affaire va être classée. PAUVRE VAREL , il reprendra le train à midi pour CAGNES S/MER ; ou FREDERIQUE ne l’attend pas de si tôt. Elle sera, se faire bronzer sur la plage en attendant le retour de VAREL LINE
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MessagePosté le: 21-01-2007 13:19    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

La Suisse, une histoire d'eau
Notre été à la montagne
Les 52 plus belles aventures dans les montagnes suisses. Et bien plus encore.
En savoir plus...
La Suisse est le château d'eau de l`Europe par excellence: les plus grands fleuves d'Europe prennent leur source en Suisse. Lacs, fleuves, ruisseaux, chutes d'eau: du bonheur à l'état pur, sur et dans l'eau. C'est avec plaisir que nous vous présentons les points forts et les bons plans pour cet été!

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Les lacs de Suisse constituent des destinations d'excursions des plus prisées.Rivières
Rien de plus rafraîchissant qu'une baignade dans une rivière.Mauvais temps
Et si, parfois, l'eau arrive d'en haut, ne désespérez pas ! Cascades
La Suisse possède des cascades spectaculaires.Bisses
Se promener sur des sentiers romantiques et découvrir l'héritage des Walser.Gorges
Les plus hautes montagnes sont entaillées de profondes gorges.


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MessagePosté le: 22-01-2007 07:46    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

CHEZ LE VETERINAIRE !

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Dans une salle d’attente d ‘un vétérinaire, toutes les chaises sont occupées par des patients et leurs maîtres. L’assistante ne sait plus par ou commencer, avec tous ces malades. Ca grogne, ça gémis ça glapis .ça hurle , tous sont souffrants ..

Une paysanne, tient sur ses genoux un beau coq . Quelle belle bête dit la voisine, Que lui arrive t’il est il malade ? Ah figurez vous c’est en courant après une poule, qu’il s’est blessé l’ergot. Il doit souffrir le pauvre, pas moyen de l’approcher. Regardez mes mains, tous ça ce sont des coups de becs , en voulant lui faire des pansements.

Une autre dame tient un petit porcelet à la laisse. Tiens toi tranquille CHARLY, ne gigote pas comme ça .Charly avec ses pattes de devant se frotte la panse Ah tu as mal, je te l’avais dit petit glouton, maintenant tu as une indigestion Si tu n’es pas sage, le docteur va t’envoyer à l’hôpital. Sois sage mon petit lapin. Je ne suis pas un lapin je suis un cochon na ! Mon pauvre cochonou !dit la dame ., ne sois pas tristounet vas !

Une petite fille tiens un bocal avec un poisson rouge Son petit tablier est mouillé du haut en bas. Le poisson ne cesse de faire des saltos et éclabousse son entourage. Arrête GLOUGLOU, tu me donne le tournis Le petit poisson doit être dérangé, non mais ça ne va pas la tête. Le poisson a fait le dernier saut et s’est tué en tombant par terre La petite fille est triste et se met à pleurer, L’assistante arrive avec un petit chiot dans les bras. Voila de quoi te calmer ma mignonne. Si tu veux bien l’adopter, je te le donne. Son nom c’est CEZAR et il a un mois., c’est un tout petit bébé chien encore . Il commence déjà à te lécher les mains se sera un chien fidèle .

Une oie blanche de temps en temps sort son cou d’un panier posé parterre .Elle a une drôle de maladie. Ses pontes se font de plus en plus rares, mais par contre les oeufs sont gros comme un œuf d’autruche. Mais comment arrive t’elle a les sortir, demande un monsieur, Ah mais s’est qu’elle hurle de douleur la pauvre . Hein CATHERINE ! ça fait mal.


Et la MINOUCHE , notre chat siamois, va bientôt accoucher, c’est la dernière échographie aujourd’hui. Le jour de la délivrance est proche. Elle ne peut presque plus marcher. Elle traîne son ventre presque parterre et son souffle est court. Le docteur pense qu’elle n’en a plus pour longtemps et c’est vrai . Quelques minutes plus tard., elle cherche un coin., ferme les yeux et commence a miauler . Le travail vient de commencer. On vient de mettre la chatte sur un brancard et la voila partie en salle d’accouchement. La naissance est éminente, l’ouverture est là.


Et voila notre ami HECTOR, le buldogue qui ne cesse de tousser. Il a une méchante toux, probablement une bronchite qui l’empêche de dormir la nuit. Avec quelques gouttes des frictions et des cataplasmes sinapisés, que le vétérinaire lui a prescrit, ça ira mieux demain. Il n’a pas le droit accompagner son maître à la chasse tant qu’il n’est pas guéri. Faudra garder la chambre et le panier encore quelques jours.



Tout doucement la salle d’attente se vide L’assistante est épuisée. Vivement le weeck- end, le repos, les vacances , la retraite et puis et puis et puis



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MessagePosté le: 22-01-2007 08:16    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

Le roi du poulailler (petite histoire de volatiles)


Il fût une époque où je m’étais auto-persuadée que ma carrière professionnelle se jouerait dans le marketing des produits cosmétiques. Comme je suis du genre plutôt obstiné comme nénette, j’ai obtenu gain de cause pendant un temps, avant de (vite fait) mettre les voiles ailleurs.

Le truc marrant, dans ce type de boîte, c’est que c’est plein à craquer de greluches. Des gentilles, des vilaines, des grandes, des grosses, des moches, des petites, des blondes, des brunes, des vieilles, des connes, des binoclardes, des gravures de mode, des sacs à patates… mais bel et bien des greluches.
Ca, y’a pas à dire, niveau pouffiasseries, on est servi. Et je dis ça en toute amitié, je peux parfois faire preuve moi-même d’un degré de « pouffitude* » qui m’étonne au plus haut point.
(*NDLR : Pouffitude : nom commun féminin. Contraction des mots ‘pouffiasse’ et ‘attitude’. Se dit d’une personne qui aime « faire la fille » jusqu’à un niveau parfois exagéré).

Travailler avec des filles, c’est sympa. On assiste à un défilé de mode permanent (Ex : « Oh, t’as les derniers escarpins Mellow Yellow, ils sont trôôôôô bôôôôô »), y’a toujours quelqu’un pour nous tuyauter sur la date des soldes ou le dernier Spa à la mode, et on n’a plus besoin de chuchoter pour demander « quelqu’un aurait un Tampax ? ». Ca ricane, ça papote, ça ragote. Un vrai poulailler à l’heure de ponte.

Oui, mais…et les hommes dans tout ça ? Parce qu’il y en a toujours quelques uns qui sont venus se perdre (volontairement parfois) dans le tas, à leurs risques et périls. Là, si on schématise, deux types de spécimens se dégagent. Deux portraits radicalement opposés : l'homme invisible, et le playboy à deux escudos.

Le premier a généralement le sex-appeal d’un moule à gaufres. S’il a à la base autant confiance en lui qu’un adolescent acnéique à la veille de sa première boum, le fait d’être entouré de filles qui piaillent en parlant string, gloss et cellulite ne le rendra pas nécessairement plus à l’aise dans ses Converses. Voir même, ça lui foutra légèrement les pétoches, je dirais.
Il longe donc les murs en silence, genre courant d’air, et vous finissez par confondre son costard trois pièces avec le papier peint. (Ex : « – T’as pas vu Jérôme ? – Si, il est là, près de la photocopieuse. – Ah oui, pardon… »).





A l’inverse, si l’homme en question a plutôt la testostérone en ébullition au milieu de toutes ces minettes, il ne manquera pas de vous effectuer régulièrement la parade érotique du mâle en milieu tempéré. Par exemple, il débarque au milieu du bureau dans sa belle chemise Armani bien ajustée, fait son petit numéro de coq, lance des regards coquins et des sourires Colgate en rafales tout en racontant sa dernière réunion clientèle.

Une fois qu’il est bien certain d’avoir capté l’attention de tout son auditoire féminin (et qu’on a définitivement perdu le fil de nos calculs de pourcentages de parts de marché), il considère que sa mission est remplie, et il s’en retourne donc joyeusement vers son bureau, l’ego regonflé à bloc. Non sans avoir ponctué sa sortie d’une petite phrase destinée à bien montrer à son public que quand même, il en a dans le falzard, question virilité (Ex : « Bon allez, j’vais pisser un coup, et je monte voir ‘Boudina’ à la compta pour me faire rembourser mes notes de frais ».). La classe internationale, en quelque sorte.

Ah non, vraiment, on dira ce qu'on voudra : l'ambiance poulailler au boulot, c'est toute une culture à gérer. Prenez-en de la graine, mes petits poussins...


Posté par Katia_ à 10:51 - Vide-poches - Commentaires [39] - Rétroliens [
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MessagePosté le: 23-01-2007 07:46    Sujet du message: carnet de line Répondre en citant

MARIAGE GITAN !



Ce matin à la première heure , dans un terrain vague, une roulotte de gitans est venue s’installer. C’est LA MAMA, le PADRE et leur petite fille qui viennent d’arriver. Le reste du cortège va suivre dans l’immédiat. Ah les voilà ! ce sont les trois fils accompagnés de leurs épouses et des enfants .Trois grands chiens se mettent à courir dans toutes les directions.
Les oncles et tantes et cousins et cousines, tous font partie de la même famille.

Il y aura un grand rassemblement de gitans venus de tous pays , pour célébrer le mariage de Josette. Josette est la petite fille , élevée par la MAMA et le PADRE ! On prévoit trois cent personnes à ce mariage. qui doit être grandiose. La famille STEIN , des musiciens célèbres, violon , contrebasse, violoncelle, sont de la partie. Vous devriez les entendre jouer « les yeux noirs « à vous donner la chair de poule .



Pour les préparatifs, tous mettent la main à la pâte, sauf la future mariée. Josette est triste et malheureuse. On va la marier à un garçon qu’elle ne connaît même pas, c’est vrai, elle ne l’a jamais vu. C’est un arrangement que les parents ont fait , à la naissance de la petite Josette, il y a quinze ans. Les futurs beaux parents ont fait miroiter une certaine somme d’argent et le marché fût conclu .
,

Autour d’un feu de bois on chante on boit, on danse ! Les enfants jouent à colin-maillard tout le monde s’amuse, sauf la mariée.. Assise sur l’escalier de sa roulotte, elle pense à son prince charmant, qui subitement s’est transformé en un hideux crapaud.


De loin on entend des voitures arriver. Des cris, des coups de
klaxon , s’est le clan du futur marié, enfin les voilà. La fête peut commencer. !
La belle robe de mariée sur une chaise attend ?. Elle peut retourner prendre
place dans son carton d’origine, la mariée à disparu. Les rêves et les espérances de la MADRE, se sont envolés,. partis en fumée. Cette somme d’argent qu’on lui a proposé, elle ne la touchera pas. Elle ne gonflera pas le pécule, qu’elle a déjà emmagasiné et qui est plus que modeste.


Josette est recherché dans tous les coins et recoins, elle est introuvable. Le PADRE, ne se sent pas bien subitement et va s’allonger sur son lit . Personne encore n’a remarqué la disparition
de la jeune fille. à part ses frères .Le PADRE ,se plaint , il doit être au plus mal l ,Mon coeur doit être entrain de me lâcher, dit il. Ce mariage, ne pourra pas avoir lieu, alors que trois cent personnes se sont déplacées pour cet évènement. Personne ne sait, que cette crise cardiaque fût manigancée

Le PADRE a le souffle saccadé. . Il a rendez-vous avec la mort !! bien habillé, endimanché, chemise blanche et nœud papillon. Ses fils restent a côté de lui, pour lui fermer les paupières.
Personne ne saura rien . Une fois le mariage célebré et la famille dispersée, on pourra encore déclarer sa mort,. dit le fils aîné..

La nuit tombée , Josette rôde autour de la roulotte du PADRE. Il était le seul a ne pas vouloir de ce mariage . La jeune fille ne se doutant de rien, va au chevet de l ‘aïeul qui dort d’un sommeil profond..
Pépé, pépé , c’est moi Josette. Réveilles toi, je voudrais te parler, s’il te plait …….
Le PADRE ouvre les yeux. Le malaise à disparu on dirait ?

Quel stratagème ! que le grand-père a inventé afin que le mariage soit annulé..


Une bagarre a éclaté ! les deux clans sont entrain de s’affronter. C’est dangereux, car les gitans aiment jouer du couteau. Le fils aîné du PADRE a le sang chaud, et dans un moment d’égarement plante une lame dans le ventre de son adversaire Des cris ,des hurlements, se font entendre. Les premiers convives rebroussent chemin et désertent le terrain. L’alcool commence à faire son effet. Le mariage fût copieusement arrosé et il n’a même pas eu lieu encore.

C’est toujours le PADRE qui fait la loi dans cette tribu. C’est lui qui donne les ordres et tout le monde obéit. C’est comme cela chez les gitans, depuis la nuit des temps.


Sur l’escalier de la roulotte, le grand père, tient ce langage !
Mes amis, rentrez tous chez vous ! le mariage n’aura pas lieu . Le fiancé vient retrouver le PADRE pour le remercier de sa bonne décision , car lui était déjà engagé ailleurs et il a dejà une petite fille d’un an et une jeune fille qu’il aime.


La MADRE pleure après ses sous, qu’elle n’a pas pu mettre dans sa cagnotte. Elle a attendue jour par jour, pendant quinze ans, de pouvoir renflouer sa caisse ILLUSIONS PERDUES !





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