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Posté le: 23-01-2007 08:23 Sujet du message: carnet de line
CHAT
L’ouïe [modifier]
Son ouïe est particulièrement sensible dans les hautes fréquences : il perçoit des ultrasons jusqu’à 30 000 Hz alors que l’oreille humaine est limitée à 20 000 Hz. Son pavillon en cornet peut être orienté grâce à vingt-sept muscles, ce qui lui permet de pivoter chaque oreille indépendamment pour localiser avec précision la source d’un bruit et sa distance.
La vue [modifier]
Gros plan sur l’œil d’un chat
Yeux brillants d’un chatLa vue est son sens primordial. Son champ de vision est également plus étendu que celui des humains : 187° contre 125°, ce qui reste cependant loin du record absolu du monde animal. L’intensité lumineuse influence la forme de la pupille : allongée en fente étroite en pleine lumière, elle se dilate en un cercle parfait à la pénombre. Contrairement à une idée répandue, il est incapable de voir dans le noir complet. Il est toutefois beaucoup plus performant que nous dans la pénombre. La nuit, l’aspect brillant des yeux est dû à une couche de cellules de la rétine, appelée tapetum lucidum, qui agit comme un miroir et renvoie la lumière perçue, ce qui la fait passer une seconde fois dans la rétine et multiplie ainsi par deux son acuité visuelle dans l’obscurité.
En revanche, le chat ne perçoit pas les couleurs ni même les mouvements de la même façon que nous : il semblerait (cela est encore discuté) qu’il ne perçoive pas la couleur rouge et que, d’une manière générale, il distingue très mal les détails. Sa vision est granuleuse sur les images fixes alors qu’un objet en mouvement lui apparaît plus nettement (par exemple une proie en mouvement).
Une particularité de l’œil du chat est qu’outre les paupières inférieure et supérieure, il est protégé par une troisième paupière, la membrane nictitante. Celle-ci se ferme à partir du bord inférieur du coin interne de l’œil vers l’extérieur. Quand elle ne se referme pas complètement, c’est souvent le signe d’un problème de santé chez le chat (troubles digestifs, parasitisme le plus souvent ou entérite).
L’odorat [modifier]
Son odorat est quarante fois plus performant que celui de l’humain et a une grande importance dans la vie sociale du félin pour délimiter son territoire. Par ailleurs, c’est son odorat développé qui lui permet de détecter la nourriture avariée et empoisonnée. Il possède vingt millions de terminaux olfactifs, contre cinq millions chez les humains.
Le goût [modifier]
Le sens du goût est développé chez le chat, moins que chez l’humain cependant : chez le chat, on compte près de 2000 bourgeons gustatifs alors que l’homme en possède 9000, soit 4,5 fois plus. Contrairement au chien, le sens gustatif du chat est localisé à l’extrémité de la langue, ce qui lui permet de goûter sans avaler. Il est sensible à l’amer, à l’acide et au salé, mais non au sucré.
Le toucher [modifier]
Son sens du toucher est également bien développé. Ses vibrisses (« moustaches ») lui indiquent la proximité d’obstacles, même dans l’obscurité totale, en lui permettant de détecter les variations de pression de l’air. Celles-ci lui permettent aussi de mesurer la largeur d’un passage. Les coussinets garnissant ses pattes sont très sensibles aux vibrations et sa peau est constellée de cellules tactiles extrêmement sensibles.
Autres sens [modifier]
L’organe de Jacobson est un véritable sixième sens. Comme le chien ou le cheval, le chat est capable de goûter les odeurs à l’aide de son organe voméro-nasal. Il retrousse ses babines pour permettre aux odeurs de remonter par deux petits conduits situés derrière les incisives jusqu’à deux sacs remplis de fluide dans les cavités nasales chargées de concentrer les odeurs.
Son organe vestibulaire est également particulièrement développé, lui conférant un sens de l’équilibre remarquable. Ceci explique l’étonnante faculté qu’ont les chats de se retourner rapidement pour retomber sur leurs pattes lors d’une chute.
Il peut également sauter à une hauteur cinq fois supérieure _________________ !
aimer c'est donner !
Dernière édition par Line le 23-01-2007 08:42; édité 2 fois
Posté le: 24-01-2007 08:01 Sujet du message: carnet de line
merci pôur le post ANNIEC ; bonjour les amis en Alsace de la neige jusqu'au cou. Bonne journee
FILOU !
Notre Filou a encore fait des siennes pendant que VAREL et FABIEN se sont promenés à PARIS. Notre bonne FREDERIQUE a eu la gentillesse de s’occuper du chat et de FILOU pendant l’absence de FABIEN et pendant une belle journée de promenade dans le parc tout a commencé.
FILOU est tombé amoureux d’une belle petite caniche noire avec de grands yeux en forme de perles. A eux deux ils ont profité de l’inattention de leur maître pour aller conter fleurette derrière un buisson .Quelle surprise en les voyant revenir de leur escapade, mais le mal était fait. si mal il y a.
Le soir même de la rentrée de PARIS, VAREL va apprendre la bonne nouvelle. Chéri, j’ai une surprise pour toi, devine un peu, ce que nous aurons prochainement. Un petit chien
Comment un chien, je me suis séparé de filou le cœur gros, à cause du chat et toi tu reviens avec un autre, non mais ça ne va plus ? Bon sang, tu as le chic de me mettre dans tous mes états. La propriétaire de la femelle a dit que tu as droit à un petit chiot de la nichée, si tout allait bien. C’est une prime pour l’accouplement. Un chiot de race ça va chercher dans les mille euros. Il est temps que ta retraite arrive car tu commences à te faire vieux et grognon.
Le chat a entendu que l’on parlait de FILOU et d’un saut vient se réfugier sur les genoux de VAREL Il réclame des câlins à n’en pas finir et il est jaloux par-dessus le marché .Quelle bestiole. Toi la vieille mémére dit VAREL au chat, tu ne pouvais pas te tenir à carreaux avec FILOU au lieu de lui cracher dessus. S’il est parti chez FABIEN c’est bien à cause de toi, vieille crapule. Enfin.
S’adressant à FREDERIQUE, toi ma beauté, sache que d’un nouveau chien dans la maison, il n’en est pas question. Si vraiment un chien arrive, moi je dormirais sur les grabats de la police, tiens toi le pour dit.
Apres plusieurs semaines. L’accouchement s’est bien passé et FREDERIQUE est allée chercher son dû. Un adorable petit chiot noir à collier et pattes blanches le premier des quatre de la nichée FREDERIQUE a pu choisir et c’était tout de suite le coup de foudre .Rentrons maintenant, et courage pour affronter le père VAREL se dit elle.
Tout se passa très bien. Une fois que VAREL avait vu ce petit chiot, ce grand soit disant glaçon a fondu comme du beurre au soleil. Le jour d’après, c’est lui qui le nourrissait avec un petit biberon de lait toutes les trois heures, nuit et jours.
Maintenant vous trouverez notre commissaire parterre au milieu du salon sur le tapis avec une pelote de laine rouge entrain de jouer avec chien et chat Surtout ne les dérangez pas.
PAROLE D HOMME JE NE VEUX PLUS DE CHIEN ! LINE _________________ !
Posté le: 24-01-2007 08:17 Sujet du message: carnet de line
histoire du papillon
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L'histoire du papillon rose et du papillon bleu
Contes > Noël
Il était une fois un délicat petit papillon rose dont les ailes étaient encore bien fragiles pour voler très haut. Papillon rose se lamentait :
- Quand donc pourrai-je voler vers le soleil ?
Un jour, il vit se poser près de lui, sur la branche d'un cerisier en fleurs, un superbe papillon bleu, aux grandes ailes déployées.
- Qu'as-tu petit papillon rose, tu sembles bien triste ?
- Oh oui ! répondit papillon rose. Je voudrais tant voler très haut !
- Eh bien, lui dit papillon bleu, accroche toi sur mon dos, et je vais te conduire là haut où tu aimerais voler !
Ainsi, papillon rose s'installa sur le dos de papillon bleu et tous deux s'envolèrent très haut dans le ciel, pour voler vers le Soleil et les petits-enfants qui écoutèrent cette courte histoire s'endormirent un sourire aux lèvres en rêvant du Père Noël !
Auteur : Mutty
Tu aimes dessiner et écrire ? Propose tes textes, tes dessins, tes blagues, tes productions de l'école... Après lecture, les meilleurs sont publiés sur le site _________________ !
Posté le: 25-01-2007 07:51 Sujet du message: carnet de line
SALADE DE FRUITS !
Nous sommes dimanche, un merveilleux dimanche de printemps. Les premières fleurs du jardin font leur apparition à travers le gazon et un soleil magnifique envoie ses rayons à la ronde.
Nous avons des invitées aujourd’hui et la ménagère a prévue une bonne salade de fruits comme dessert, bien sucrée et nappée d’un bon KIRSCH d’Alsace. Les ingrédients sont :
CERISES, FRAISES, MYRTILLES, GROSEILLES, MIRABELLES, QUETSCHES, FRAMBOISES, POMMES, POIRES, BANANES, RAISINS, sucre et schnaps .Tous ces fruits sont réunis et exposés sur la table du jardin Approchez votre oreille, vous entendez ? Ils sont entrain de communiquer
Ah non dit la framboise à la pomme, je ne veux pas de toi comme voisin dans cette salade. Tu te rends compte du désastre. Moi la douce, la frêle, la subtile framboise, me faire écraser par un lourdaud de pomme comme toi, tu n’y penses pas. C’est comme la poire, elle est peut être fondante, mais pardon, il faut la supporter. Colle toi contre la paroi du saladier et fiche nous la paix. La pomme rouge de colère, se retire et attend la suite des évènements.
La FRAISE à la CERISE, quel toupet, la pauvre pomme, se faire sonner les cloches par une FRAMBOISE, mais elle se prend pour qui celle-la. Tout ça à cause de son parfum, de sa classe, elle est fière et hautaine. Je ne veux pas d’une voisine pareille. Toi la cerise reste avec moi.
LA MYRTILLE ET LA GROSEILLE font bon ménage aussi ? AINSI que la MIRABELLE ET LA QUETSCH reste la BANANE et le RAISIN qui vont essayer de s’entendre.
LA POIRE est entrain de calmer la pomme en lui promettant de ne pas l’abandonner dans un moment pareil. Laisse moi t’aider la pomme, tu sais c’est l’UNION QUI FAIT LA FORCE !
LA FRAMBOISE, resta toute seule. Elle pleura toutes les larmes de son corps, trop tard, fallait y penser avant.
Et c’est comme ce-ci que la fière FRAMBOISE se retrouva toute seule dans la salade de fruits sans personne pour l’accompagner, avant d’être ingurgitée par les invités.
Posté le: 25-01-2007 08:10 Sujet du message: carnet de line
CHATEAU DE CRISTAL
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Château de Comper
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Le château de Comper se situe au nord de la forêt de Paimpont à trois kilomètres à l'est du bourg de Concoret.
Le mot Comper viendrait comme Quimper de Kemper qui signifie « confluent ». Effectivement, le site est extrêmement lié à l'eau puisqu'il est entouré par une série d'étangs. Comper aurait appartenu à Salomon, roi de Bretagne (IXe siècle) mais le château n'entre véritablement dans l'histoire qu'avec les barons de Gaël-Montfort, dont le premier a été Raoul, compagnon de Guillaume le Conquérant avec lequel il a combattu à Hastings.
Dès le XIIIe siècle, Comper est considéré comme l'une des plus fortes positions de Haute Bretagne. Il a été le théâtre de nombreux combats et de sièges. Il est passé aux mains de plusieurs familles :
En 1370, il est ravagé par Bertrand du Guesclin.
Au début du XVe siècle, il devient le fief des Laval. En 1467, le comte Guy XIV de Laval y fait rédiger la "charte des usements et coutumes de Brécilien" qui divise la forêt en parcelles ou breils et indique les droits et obligations des usagers de la forêt dans chacune de ces parcelles.
Au XVIe siècle, Comper passe aux mains des Rieux puis à celles des Coligny.
L'épisode le plus célèbre de l'histoire de Comper se déroule pendant les guerres de la Ligue entre les partisans du roi de France et les catholiques (ligueurs). Les hommes du duc de Mercœur finissent par perdre la place à la fin de 1595, après une longue résistance.
En représailles, trois ans plus tard, Henri IV fait démanteler Comper.
Le château passe ensuite aux mains des la Trémoille.
Le 28 janvier 1790, un parti révolutionnaire brûle la moitié ouest du logis central, qui a été reconstruit au XIXe siècle par Armand de Charette dont les initiales figurent sur l'une des nombreuses cheminées du château.
Le château, à l'origine à peu près carré, se composait de quatre tours d'angle, reliées entre elles par de hautes murailles. À la porte d'entrée : une herse et un pont-levis. Aujourd'hui, un chemin enjambe les douves asséchées par le manque de pluie et le domaine est passé de l'histoire à la légende puisque le château abrite les expositions du Centre arthurien. Le Grand Etang est associé au lac de la fée Viviane qui cache aux yeux des curieux le château de cristal construit par Merlin pour sa belle élève.
Le domaine est privé, mais l'accès à la cour et aux abords de l'étang est possible moyennant un modeste péage, un peu plus élevé si l'on désire visiter les expositions du Centre arthurien.
Posté le: 26-01-2007 07:56 Sujet du message: carnet de line
L’ALSACE SOUS LA NEIGE !
Les Vosges, il faut les voir comme elles sont belles sous ce manteau blanc Ces grands sapins sont recouverts de neige poudreuse qui fait le bonheur de tous les skieurs. Tout la-haut au MARKSTEIN, le refuge est plein a craquer et les dortoirs sont archi bondés. Le gérant s’adresse à son personnel
ça me fait mal au coeur de renvoyer les gens, mais nous n’ avons plus de gîte, hélas.
C’est comme ceci, qu’un savant chercheur en physiologie se trouve en altitude, dans cette bourrasque de neige. On l’attend dans un endroit retiré dans la montagne et la neige et le brouillard ne lui permettent pas de continuer. Il doit participer a un colloque. Les travaux sont
ULTRA TOP SECRET !
Mon histoire est sordide !
Brusquement la nuit tombe ainsi qu’un épais brouillard se lève dans les champs. Les routes sont verglacées et les voitures ont tout le mal du monde pour circuler Chaque dixième voiture à peu prés attérie dans le fossé Notre brave chercheur a dû louper la sortie COLMAR ; Voila sur l’autoroute il faut continuer, pas question de faire autrement . Il se serre a droite et à la prochaine sortie quitte l’autoroute .pour s’arrêter un peu plus loin sur une ère pour consulter sa carte.
Tout en haut à la cime de la montagne, il a remarqué que des tremplins ont été posé à droite et a gauche A quoi peuvent ils bien servir ? D’après la situations pas aux sauts de ski
En arrivant, il va se renseigner Ceci lui donne à réfléchir
Les yeux commencent à lui faire mal, à force de fixer la neige sur la route et il prend par un petit sentier qui mène à la forêt. A cent mètres de là u n gros tronc d’arbre lui fraye le passage
Il ne l’avait pas vu, ni l’écriteau ? ACCES INTERDIT - SECTEUR PRIVE ;
Il quitte sa voiture Il contourne le tronc et d’un pas décidé va voir ou il peut bien se trouver.
Subitement des aboiements d e chien suivies d’un coup de fusil, le font tréssaillir Deux malabars, certainement des vigiles, viennent le rejoindre sur le sentier. Qui êtes vous, que faites vous la. Mais messieurs, je n’ai pas à vous répondre, vous n’êtes pas de la police je présume. Rebroussez chemin Monsieur, sinon mes chiens vont se régaler ce soir Ca fait deux jours ils n’ont pas mangé et un doberman , il faut pas lui en promettre.
Oui je veux bien quitter ce sol privé, mais avant dites moi ou je trouve la D.I. ( dernière invention ). Mais monsieur vous y êtes la voila la D.I.
A deux pas de la se trouve une habitation faite en plusieurs baraquements Le docteur JUNG est introduit chez le directeur de cet organisme .Le voila sur place, il va pouvoir se reposer de son voyage mouvementé
Les présentations avec les collègues et la direction seront faites le soir même.
Le lendemain après le déjeuner colloque jusqu’à midi et l’après midi de 15 heures à 18
heures.
La directeur pris la parole Il commença à parler de ces tremplins et sur chaque tremplin un réacteur . à parler d’une arme secrète pour une nouvelle guerre . Ces réacteurs sont capables d’envoyer des bombes jusqu’à tant et tant de kilomètres à la ronde . La combustion sera faite D OXYGENE LIQUIDE ET D ALCOOL JUNG n’en crois pas ses yeux. A quoi s’était il engagé.
Tous ces chercheurs sont des criminels ! Ils savent tous de la production. Mais pour qui travaillent ils ? personne ne le sait . Peut être le directeur, il est Japonais lui.
Le professeur JUNG , sera gardé nuit et jour par les deux vigiles . Tous ces gens sont des prisonniers et n’ont pas le droit de communiquer. Et quelques mois passent
Un nouveau professeur est venu rejoindre ce groupe, comme JUNG il a débarqué en cherchant. Mais la les oiseaux chantaient dans la forêt, le soleil brillait, nous étions au mois de juin. Tout comme JUNG, il a été surpris par ce genre d’activité, quoique lui il était déjà au courant de cette affaire. Ce dernier était un policier en civil et portait sur lui une radio reliée au commissariat le plus proche
Un jour en plein travail, .le nouveau murmure a l’oreille de JUNG Allez vas y passe aux aveux, sinon le tribunal te condamnera à vie. JUNG ne dit rien , il avait bien compris le petit jeu de son interlocuteur. Au commissariat une brigade est sur le point de rendre visite à ces prisonniers et ses géoliers, On travaillaient bel et bien pour les japonais .Tous ont été libérés, sauf la direction -
Posté le: 26-01-2007 08:21 Sujet du message: carnet de line
Un petit livre à découvrir avec la véritable histoire de la bête à bon Dieu
Ce n’est pas vraiment l’époque pour parler des coccinelles ! Détrompez-vous c’est une époque où les coccinelles adultes hibernent, et il n’est pas rare de découvrir parfois plusieurs milliers d’exemplaires formant des agglomérats rassemblés dans les interstices d’un vieux mur de jardin. Il faut dire qu’un certain nombre d’espèces de coccinelles hibernent à l’état adulte chez nous et qu’elles ont l’habitude de se rassembler pour passer la mauvaise saison ensemble.
Ce ne sont pas forcément ces habitudes là qui ont donné le statut bien particulier à cet insecte connu de tous. Depuis la nuit des temps les hommes se sont appropriés la coccinelle et lui ont accordé des vertus de porte-bonheur. N’est-elle pas capable d’annoncer le temps qu’il fera lorsqu’elle s’envole ou bout du doigt ? Mais il existe bien une histoire qui aurait donné le nom de bête à bon Dieu et qui remonterait au Xe siècle. Suite à l’assassinat à Paris d’un homme, son apprenti est soupçonné et condamné à mort malgré ses protestations. Condamné à avoir le coup tranché il y avait foule ce jour là pour assister à cette exécution. Lorsque le bourreau lève sa hanche, il aperçoit une coccinelle posée sur le coup du jeune homme. A première vue le bourreau ne pouvait se décider à trancher le cou du jeune homme, il enleva donc la coccinelle très délicatement et lorsqu’il relève sa hache quelle n’est pas sa surprise de constater que la coccinelle était de retour sur le cou de ce pauvre jeune homme. Le bourreau eut beau insister, mais la coccinelle était obstinée, au point que le roi d’alors (Robert le Pieux) intervint et souligna que la coccinelle accomplissait là une mission divine et qu’il s’agissait d’un miracle. On gracia le jeune homme, et quelques jours plus tard le véritable coupable fut découvert. Dès lors les gens de Paris parlaient de la « beste du bon Dieu » et plus personne ne pensait à écraser ce petit insecte sans que cela apparaisse comme un sacrilège. L’histoire est sympathique et ce n’est pas la seule chose que vous allez découvrir dans ce petit ouvrage consacré à la coccinelle. En fait il s’agit avant tout du portrait de la coccinelle à 7 points (Coccinellea septempunctata), mais l’ouvrage est plein de petits détails et renseignements sur ces Coléoptères à première vue bien connus de tous.
L’une des particularités des coccinelles est de se nourrir de pucerons. En effet que cela soit au stade larvaire ou au stade adulte, la coccinelle est un prédateur très efficace. En fait depuis fort longtemps les scientifiques savaient cela et des essais de lutte biologique contre les pucerons ont été entrepris au XIXe siècle déjà. Aujourd’hui vos pouvez soit élever des coccinelles dans votre jardin en favorisant et attirant ces insectes. Le plus difficile étant de leur faire comprendre qu’ils peuvent rester chez vous. L’autre stratégie consiste à acheter des coccinelles pour les installer dans votre jardin, ce qui est possible en France dans un certain nombre de coopératives agricoles. Malheureusement il ne s’agit pas d’une espèce européenne, mais asiatique et il me semble que l’on a déjà suffisamment de peine à protége la faune locale sans introduire des concurrents d’autres continents.
Pour terminer sur une note moins zoologique, je vous rappelle l’importance de la coccinelle dans la bande dessinée, la plus célèbre étant celle imaginée par Gotlib dans sa célèbre série Rubrique–à-brac, capable de jouer au yo-yo ou de sauter à la corde mais le plus souvent écoeurée par l’humour assez décadent de son auteur.
Philippe Huet, La Coccinelle ou la véritable histoire de la bête à bon Dieu. 2004 Editions de Terran 96 pages. Frs 28.50 (distribué en Suisse par la Librairie du Lac, 9 av de-la-Harpe, 1006 Lausanne)
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Posté le: 27-01-2007 07:34 Sujet du message: carnet de line
UN DRAME !
Un peu en dehors de la ville, il y a des années, ont été construits des logements pour familles nombreuses. Des grandes pièces, merveilleusement bien situées, avec loggia et balcon, cuisine, salle à manger, salon et différentes chambres.
Une famille de 12 enfants et les parents sont logés dans le rez de chaussée du numéro 33. Madame BRAUN est une maman exemplaire, le mari, un monstre d’égoïsme et un goujat .Les enfants hélas n’ont pas de respect pour leur père, ils l’appellent, le vieux ou l’ivrogne. La maman a beau leur expliquer que c’est leur père, mais rien n’y fait. Tant qu’il lève la main sur toi, nous l’appellerons ainsi ; il a de la chance d’être notre père, sinon il y a belle lurette .nous l’aurions signalé à la police.
Ca fait des mois déjà que madame BRAUN se promène avec des bleus ou un œil au beurre noir. Son mari a la main leste et pour un oui ou un non lui envoi des gifles à tort et à travers.
Le soir en rentrant, fou furieux, après quelques apéros ingurgités à la hâte, s’en prend à son épouse, laquelle va se réfugier dans une remise dans le jardin. Oh combien de nuits a-t-elle déjà passé dans cet endroit sur une botte de foin. Elle a peur, pas de son mari, mais elle ne voudrait en aucun cas, que les enfants sachent, quel être odieux est leur père.
Le petit PIERRE, qui va avoir 8 ans dit à sa maman en lui passant la main sur un grand bleu de la joue, t’a-t-il encore battu celui-là. Lorsque je serai grand je lui ferai pareil sinon plus. et le gamin se mit a pleurer.
Dans un coin de la remise un baquet à ras avec de l’eau pour arroser les plantes. Les plantes attendront, elle a trop mal à son poignet pour arroser. C’est en lui tirant sur les mains pour la jeter dehors, qu’elle s’est fait mal. Elle ferme les yeux et s’endort aussitôt.
Quelques minutes après elle sursaute. Le mari vient de lui envoyer un paquet d’eau dans la figure. Il vacille, il tombe juste à côté du baquet. La pauvre femme n’en peut plus, elle lui prend la tête et lui met dans l’eau. Il va se noyer, mais elle n’attend pas qu’il se redresse et court vers ses enfants. Le mari n’a pas la force de se relever et meurt noyé dans cette cuvette.
Les enfants vont être pris en charge par’ l’assistance et Madame BRAUN ira en prison, en attendant le verdict.
Oh combien de ces cas dans le monde. ?
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Dernière édition par Line le 27-01-2007 07:48; édité 1 fois
Posté le: 27-01-2007 08:15 Sujet du message: CARNET DE LINE
histoire de chine
Les moeurs en Chine
Tout savoir sur les moeurs en Chine avec Bonjourshanghai
1) Quelque chose que vous devez connaître sur les Chinois, le crachat.
Les Chinois, plus les hommes que les femmes, mais il y en a quand même, se raclent la gorge bien profond, en faisant un bruit pas possible avant de cracher , peu importe où ils se trouvent, souvent dans la rue, mais à Beijing, nous avons vu faire dans des resto', bien sûr pas trop chics, mais pas des resto' pourris non plus!
Mais c'était il y a des années.
En fait, le crachat est dans les moeurs Chinoises pour deux raisons: les hommes politiques et la médecine Chinoise.
Les hommes politiques, même les plus haut placés, Mao, Deng Xiaoping, avaient généralement à leurs pieds un vase en porcelaine et ne se gênaient pas pour se racler la gorge bien profond et envoyer le reste dans le vase!
Cette image du crachat était plus que tolérée parmi les "Grands", alors pourquoi le commun des mortels n'en ferait pas autant?!
De plus, dans la médecine Chinoise, fondée sur d'antiques conceptions philosophiques, il est recommandé ne rien garder à l'intérieur de soi car cela n'est pas bon pour le corps. En effet, l'élimination immédiate est considérée comme très importante, même si elle doit être fait en public, car toute substance peut contrarier le fonctionnement de l'organisme!
D'où les pets, les rots et le crachat, qui s'en trouvent justifiés.
Les usages sont bien encrés dans les moeurs de la population Chinoise, mais avec les Jeux Olympiques de 2008 et l'exposition Universelle de Shanghai en 2010, le gouvernement a voulu redonner une bonne image de la Chine.
C'est surtout à Shanghai où les premières mesures ont été prises.
Toute tenue incorrecte est passible d'une amende de 1000 yuans, par exemple cracher, mais aussi : parler trop fort, manger bruyamment, jurer en public, brûler les files d'attentes, et d'exhiber son nombril ! C'est vrai que de nombreux Chinois ont tendance à relever le maillot de corps et montrer le bas de leur ventre.
Egalement de se promener en pyjamas sur Nanjing Road le dimanche matin!
Pas beaucoup de monde respecte cela, mais nous avons remarqué que cela se faisait de moins en moins de cracher dans les rues et que c'est surtout les personnes d'un certain âge qui le font.
Cette politique a l'air de bien marcher. _________________ !
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Dernière édition par Line le 27-01-2007 08:22; édité 2 fois
tu as raison linette, je suis allée en CHINE......
les hommes se raclent violemment la gorge.
et moi je suis tres sensible.........j ai vite mal au coeur.
j'ai eu des hauts de coeur terribles.......
à m en rendre malade.
alors là c est vrai............rien que dit penser.........tout me revient de l estomac :D
bonjour etichou
merci etichou pour ton message. Tu as raison , tous les hommes ne sont pas comme ca heureusement, sinon nous les femmes on pourrait se pendre. Bonne journee a toi bisou LINE _________________ !
Posté le: 28-01-2007 07:40 Sujet du message: carnet de line
CARNAVAL DE VENISE !
VAREL, mon chéri, depuis le temps que tu me promets de m’emmener à VENISE. Bientôt se déroulera le fameux carnaval avec ses somptueux costumes, masques et colifichets et le moment serait bien choisi. Qu’en penses tu ? Il nous faudra déjà commander les billets dés maintenant, car après se sera trop tard. Si tu veux, je vais m’en occuper sur le champ et réserver dés aujourd’hui.
Aussitôt dit aussitôt fait, le gros nounours à FREDERIQUE est d’accord pour une fois. Ca fait des années qu’il n’a pas remis les pieds à Venise, depuis son aventure avec la belle italienne ROSITA. Cette divine créature pendant des semaines a joué avec son cœur et son portefeuille, mais elle était déjà promise à RENZO, depuis sa plus tendre enfance. Pour elle ce n’était qu’un jeu mais pour lui, il lui a fallu pas mal de temps pour oublier.
Voila, mais il a promis à sa femme de lui faire visiter VENISE et parole de VAREL, ils iront à VENISE. Il se souvient très bien du palais des doges, du pont des soupirs, du Rialto, du canal grande, de la place St Marc, du lagon, du vaporetto et surtout des gondoles au clair de lune.
LE GRAND JOUR EST ARRIVE. Monsieur et madame VAREL comme deux amoureux prennent le chemin pour l’aéroport de BALE direction VENISE. Le chien est resté à la maison, c’est belle maman qui s’en occupe. Ne dites pas toujours qu’une belle mère ça ne sert à rien, voilà la preuve. Enfin quelques jours de répit pour ce couple avide d’aventures.
En fin de soirée arrivée à VENISE. Un taxi les conduit à l’hôtel, située dans une petite ruelle de la rue St MARC, qui contourne l’église. Une grande table dressée les attends pour souper avec des pâtes de toutes sortes, des tagliatelles comme ils appellent ça, du jambon de Parme, du rôti, du poulet, des légumes, du fromage et des fruits . VAREL fait un grand sourire à la petite serveuse, il a très faim. Espérons qu’elle a compris, car VAREL ne parle pas italien. Viens ma chérie dit il prenons déjà place, après souper nous allons défaire nos valises et ensuite une petite croisière avec le vaporetto sur le canal grande. Ce fût une charmante soirée passée dans une taverne arrosée de CHIANTI et de LACRIMAS DE CHRISTI
FREDERIQUE ne se souvient plus d’avoir rigolé autant que ce soir là. VAREL était un peu hic. Il partait en avant et elle ne finissait pas de crier VAREL attends moi, pas si vite.
Le lendemain, après le petit déjeuner, visite de VENISE, UNE MERVEILLE ! Frédérique n’en revenait pas. Pour chaque nouvel endroit à visiter, VAREL avait droit à un bisou, ce qui ne lui déplaisait pas du tout. .
Un petit bateau les promenait dans la lagune, c’était une journée admirable, malheureusement en fin de soirée la pluie est tombée DES CORDES sans arrêts et toute la nuit.
Le lendemain encore de la pluie !
Le défilé de CARNAVAL sous la pluie et les parapluies était une catastrophe ce jour là Dommage pour ces beaux costumes, qui ne reflétaient plus leur juste valeur, abîmés par ce sale temps. Il parait d’après les habitants, ceci est fréquent à VENISE !
En fin de semaine, belle maman a eu une carte postale de ses enfants : Chère maman, viens nous chercher à l’aéroport de BALE, nous arrivons sur le coup de midi, bise à toi FREDERIQUE ET VAREL
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Posté le: 28-01-2007 08:18 Sujet du message: carnet de line
Histoire
Vers 570 - Des populations du Nord de l'actuelle Italie, fuyant les Lombards, se réfugient sur Torcello et les îles de la lagune de Venise.
Vers 700 - Les communautés de la lagune, de plus en plus organisées, élisent le premier doge. La cité, quoique attachée à son indépendance, appartient à la sphère d'influence byzantine.
IXe siècle - La flotte commerciale et militaire vénitienne est la plus puissante de l'Adriatique. La basilique San Marco est érigée pour renfermer les cendres de saint Marc, patron de la cité.
991 - Pietro Orseolo est élu doge. Habile diplomate, il obtient pour Venise la protection et les faveurs de l'Empire byzantin. Forts de cette protection, les marchands vénitiens, qui rechignent à s'aventurer vers l'ouest de l'Europe et ses grandes puissances (Pise, Gênes.), font d'une large portion de l'est de la Méditerranée leur bastion commercial.
XI-XIIe siècle - La Sérénissime - maintenant une grande puissance consciente de sa grandeur - participe aux croisades, soutient l'Empire byzantin contre les Normands et affirme son rôle en Europe, toutes choses dont elle tire des avantages commerciaux. Venise affine sa forme de gouvernement en donnant des contre-pouvoirs au doge.
1203 -Prouvant leur absence de philanthropie, les autorités vénitiennes font détourner la quatrième croisade vers Constantinople (Istanbul), où elles souhaitent étendre leur influence. La ville est mise à sac et une part de l'Empire byzantin passe sous le contrôle de la Sérénissime, qui place un empereur latin à Constantinople. Venise en profite pour asseoir sa base en Crête.
1261 - Aidés des Génois - ennemis jurés de Venise -, les Byzantins renversent l'empereur latin de Constantinople. C'est un premier revers pour Venise, jusqu'alors reine incontestée du commerce à l'est de la Méditerranée.
XIVe siècle - Malgré une guerre contre Gênes, Venise étend son pouvoir sur la terre ferme italienne, de la Lombardie au Frioul.
1453 - Chute de Constantinople et de l'Empire byzantin sous les coups de l'Empire turco-ottoman du sultan Mehmet II. Venise commence à perdre un à un ses comptoirs d'Orient.
1499 - Le navigateur portugais Vasco de Gama rentre à Lisbonne après avoir atteint l'Inde via le cap de Bonne-Espérance. Mauvaise nouvelle pour Venise : la découverte de cette route commerciale scelle la fin d'une importante part du trafic maritime marchand en Méditerranée.
1571 - Bataille de Lepante : victoire de Venise, coalisée à plusieurs nations européennes, contre les Turcs.
1576 - Epidémie de peste.
XVIIe siècle - Début du déclin de la Sérénissime : érosion de son hégémonie maritime, concurrence européenne et ottomane. La société vénitienne se désagrège également de l'intérieur (corruption, langueur.).
1683 - Venise prend part à l'expédition navale contre les Ottomans. La victoire est de courte durée : les Turcs reprennent les terres perdues dans les années qui suivent.
1797 - Bonaparte, dans son avancée en Europe, prend Venise et l'offre à l'Autriche.
1846 - Venise est reliée à Milan par train.
1866 - Venise est intégrée à l'Italie.
1920 - La région du Veneto s'industrialise (création du port de Marghera) en même temps que la vocation touristique de Venise se précise.
1966 - Grande inondation.
1969-1996 - Une centaine de monuments et près de 900 ouvres d'art sont restaurés sous l'égide de l'Unesco.
1996 - Incendie de La Fenice, l'historique salle de théâtre et de ballet de la ville.
1998 - Le maire Massimo Cacciari se lie avec les Verts.
2002 - La ville se lance dans une série de projets titanesques : construction d'un quatrième pont sur le Grand Canal, aéroport aggrandi, projet de métro sous-marin.
2003 - Venise fête un double anniversaire : la biennale d'art a 50 ans et la mostra 60 ans.
Posté le: 29-01-2007 07:48 Sujet du message: carnet de line
L AMOUR SUR LE PRE !
L’amour se trouve partout, parfaitement, même dans les prés, C’est un amour entre un hongre avec une robe tachetée blanc et noir et une vache laitière race blanche. Ces deux spécimens sont dans deux enclos séparés par des fils de fer barbelé et pour ces bêtes c’est le grand amour. Vous devriez voir, les yeux doux que la vache fait a son amoureux et le cheval en revanche lui lèche le cou.. Le soleil brille de toutes ses forces un ciel radieux, les oiseaux chantent, c’est le paradis..
La vie est belle quand on est amoureux, mais se dit la vache il y a un hic. Les gens vont se mettrent à jaser, mon chéri n’est pas de ma race. On va me montrer du doigt , n’y a-t-il pas assez de taureau chez nous, faut il que se soit un cheval, Tu n’as pas honte MARGUERITE ? TU ES LE DESHONNEUR DE LA FAMILLE ;C’est ainsi que sa mère lui a parlé en sortant de l’étable ce matin
Subitement MARGUERITE se met à pleurer. TARZAN c’est le nom du cheval, a un mal fou pour la consoler. Vois tu ma belle, nous sommes heureux tous les deux sur ce pré et ceci pour toute la saison . Profites de chaque seconde, ne penses pas à plus tard. vois tu, la vie est belle, lui dit il en l’embrassant dans le cou. Oh ma MARGUERITE, souris moi, je ne veux pas te voir dans cet état là et surtout ne te tracasse pas. Pour être heureux vivons cachés.
Cet amour durant tout le temps de l’été . Un beau matin , MARGUERITE est impatiente de voir son amoureux. Hélas, il ne viendra pas brouter sur le pré a coté de sa bien-aimée. Son maître a acheté un morceau de terre à un kilomètre d’ici, un superbe pâturage, ou il ira dorénavant. MARGUERITE est bien malheureuse, mais le temps guéri tout et surtout elle espère de tout son cœur de le revoir un jour.
Des années passèrent, MARGUERITE se fait vieille, elle ne donne plus de lait, mais va toujours brouter sur le même pré que naguère, elle était si heureuse avec TARZAN ;Un beau matin, un vieux cheval boiteux se trouve dans l’enclos voisin. C’est à sa robe tachetée qu’elle l’a reconnu. Elle a beau l’appeler, TARZAN TARZAN , le cheval après toutes ces années est devenu sourd et ses yeux ont presque perdu la vue. TARZAN ne peut ni_ la voir ni l’entendre, il est de l’autre côté du terrain et se repose.
Tous les meuh meuh de MARGUERITE ne servent à rien .Laissons le dormir se dit elle, peut être demain viendra il plus prés et il m’entendra.
LA vieille MARGUERITE est tellement heureuse. Elle attendait désespérément depuis très longtemps ce moment là. Elle voulait absolument le retrouver encore une fois avant de mourir.
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Posté le: 30-01-2007 07:42 Sujet du message: carnet de line
ANNIVERSAIRE !
Ah VAREL, mon ami, j’ai vu cet après midi, une petite robe aux galeries Lafayette, je ne te dis pas. Une merveille ! Si tu veux ma chérie, je te l’achète, comme c’est bientôt ton anniversaire. Je ne savais vraiment pas ce qui te ferait plaisir cette année et depuis des jours je me creuse la tête, ça tombe bien.
Oui mon grand, avec plaisir, mais il faudra que tu m’accompagnes pour l’acquérir, moi je ne sais jamais pour la longueur avec mes vilaines jambes. Ah oui si j’étais une star à la perfection ! Eh bien pour moi FREDERIQUE tu es la plus belle des stars.
Le samedi, comme VAREL ne travaille pas, il accompagne son épouse en ville faire des achats, entre autre cette belle robe. C’est un modèle unique, espérons que sa place est toujours dans la vitrine et que la taille est la bonne. Dépêche toi mon gros, elle va me filer sous le nez. Mais chérie, il n’est pas 2 heures, le magasin est encore fermé. Arrivé sur place, le liftier est entrain de lever le rideau de fer, c’est l’heure d’ouverture.
FREDERIQUE file entre les rayons, VAREL a du mal à suivre, toute essoufflée demande à la vendeuse cette petite merveille .Vite dans la cabine d’essayage, elle tire le rideaux et brusquement laisse échapper un cri. Une femme déshabillée gît dans son propre sang, allongée sur les dalles, devant un grand miroir. C’est affreux à voir ! Elle a été poignardée et elle est morte sur le coup. VAREL viens vite, je crois qu’on a besoin de toi ici s’écrie t’elle en sortant. Les badauds viennent déjà se ruer vers la porte, attention laissez passer crie VAREL, chercher moi le chef de rayon et le directeur.
FREDERIQUE, va jusqu’à la cafétéria et attends moi. Après le constat je te rejoindrai, pour l’instant je suis occupé.
Le directeur et le chef de service arrivent tous les deux presque en même temps. Le directeur porte de grosses lunettes à double foyer, il n’a pas l’air très commode. VAREL se présente, commissaire police judiciaire section etc. etc. Le directeur est poussé par notre ami dans la cabine, il en ressort il est livide de même que le chef de service;
Notre ami VAREL se baisse, ouvre la main de la morte, retire un billet tapé sur machine, qu’elle a garde dans son poing.
Sois à midi dans la cabine s’essayage, je viendrais te retrouver. JEAN
Le corps de toute urgence a été transféré à la morgue, après le constat du médecin légiste. La vente du grand magasin se poursuit comme si de rien n’était. Une femme de ménage se charge du nettoyage et les essayages reprennent. FREDERIQUE n’a plus le cœur d’essayer tant pis pour la belle robe, ce sera pour une autre fois. D’ici mon anniversaire je trouverai bien autre chose, mais pas aujourd’hui, j’ai les pieds qui flanchent.
VAREL accompagne le directeur dans son bureau. Connaissez vous bien la victime. ? Depuis quand travaille elle pour votre entreprise ? Son nom, son adresse, son âge. Tous les renseignements demandés sont fournis. Mais le directeur se tient bien de faire allusion à ses avances. Mademoiselle à dit a une collègue, qu’il était moche bête et vieux, mais elle avait peur pour son job. Au cas ou elle est licencié, elle ne se gênerais pas de raconter à qui voudras, pourquoi elle et pas une autre.
Sur le coup de midi, la petite vendeuse, la MARIE du rayon parfumerie, se cache dans la cabine d’essayage et attends son ami Jean. Voila que le directeur arrive par une petite porte donnant dans la cabine et de rage plante un stylet dans la région cardiaque de la petite. Comme il est venu il retourne dans son bureau, sans être vu. Ce n’était pas JEAN, mais le vieux directeur qui avait écrit ce mot sur la machine. Témoins les fautes de frappes sur la vieille machine à écrire, dont on ne voulait pas se séparer. Une vieille UNDERWOOD, elle fait encore l’affaire disait il. JEAN ce jour la avait pris une journée de libre, ce qui laissait le champ libre pour le directeur.
VAREL a compris vite fait bien fait en combinant bien que le meurtrier ne pouvait être que le directeur. MARIE était sur le point d’avertir sa bourgeoise, dont il avait une frousse terrible, des agissements de son mari. C’est de cette façon qu’il lui a cloué le bec.
Posté le: 30-01-2007 08:03 Sujet du message: carnet de line
CROC BLANC
L'histoire [modifier]
L'histoire commence avant la naissance de Croc-Blanc, un chien loup. Le roman suit la meute d'où il vient et ses premières semaines de vie sauvage, sa lutte pour la vie; manger ou être mangé. Puis il fait l'expérience de la vie chez les Indiens d'Amérique; son maître se nommant Castor-Gris. Il rencontre d'autres chiens et devient ennemi avec eux, Lip-lip étant son rival. Mais Croc-Blanc, fier et puissant, subit la méchanceté des hommes blancs; en réaction, il deviendra un combattant féroce. L'histoire devient alors plus sombre puisqu'il est vendu à Beauty Smith pour devenir une bête de combat. Il gagnera chaque duel féroce jusqu'au jour où il devra se battre avec un bouledogue, Cherokee. Sur le point de perdre, deux hommes arrêtent alors le combat: Weedon Scott, un ingénieur des mines, et son ami Matt. Il est donc recueilli et sauvé des mauvais traitements de ce "dieu fou". Enfin, grâce à la patience de ses nouveaux maîtres, il découvrira "l'amour" entre un loup et son maître. L'histoire se finit quand Croc-Blanc fonde sa famille avec une chienne nommée Collie.
Analyse [modifier]
La focalisation majeure du livre est celle des animaux, et principalement le point de vue de Croc-Blanc.
L'histoire fait écho à celle d'une nouvelle de London, l'Appel de la forêt (The Call of the Wild), dans lequel un chien de compagnie connaît un retour à l'état sauvage symétrique à celui de Croc-blanc.
Adaptations au cinéma [modifier]
1973 : Croc-blanc (Zanna Bianca) de Lucio Fulci avec Franco Nero, Virna Lisi et Fernando Rey
1974 : Le Retour de Croc-blanc (Il Ritorno di Zanna Bianca) de Lucio Fulci avec Franco Nero, Virna Lisi et John Steiner
1975 : Croc-blanc et les chercheurs d'or (Zanna Bianca e il cacciatore solitario) de Alfonso Brescia avec Robert Woods, Ignazio Spalla et Malisa Longo
1991 : Croc-blanc (White Fang) de Randal Kleiser avec Klaus Maria Brandauer, Ethan Hawke et Seymour Cassel
Liens externes [modifier]
White Fang sur gutenberg.org
Récupérée de « http://fr.wikipedia.org/wiki/Croc-Blanc »
Catégories: Roman américain • Roman paru en 1910 _________________ !
Posté le: 31-01-2007 07:44 Sujet du message: carnet de line
LA STATION DU TRAMWAY !
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C’est à la station du tramway place de la bourse, que notre ami VAREL a cru apercevoir par la vitre du tram, ce vaurien d’ ABSALON. Comme un flash devant les yeux et plus rien. Il semblait pourtant à VAREL, que ce coquin était monté avec les derniers voyageurs, eh bien non. Il a disparu comme par enchantement ou alors, lui aussi a remarqué la présence de VAREL.
Le commissaire veut avoir le cœur net et file directement au tribunal pour se renseigner. Effectivement, ABSALON est toujours en prison entrain de purger sa peine, mais il a droit de temps en temps pour bonne conduite à un week-end de liberté.
Le commissaire se souvient parfaitement des dernières paroles d’ABSALON en quittant son bureau, il y a trois ans, il lui avait lancé :
ATTENTION VAREL, je n’ai pas encore dis mon dernier mot. Je vous préviens, faites votre prière, votre heure a bientôt sonné.
Depuis ce jour de menaces ABSALON était en prison, mais maintenant qu’il est libre, que va-t-il arriver. Faudra prendre les mesures nécessaires pour surveiller ses moindres déplacements. Quelques hommes de la brigade sont chargés de le suivre nuit et jour et VAREL veut un rapport tous les soirs.
Les policiers travaillent avec acharnement et quelques jours après, les premiers rapports sont sur le bureau du chef. En quittant la prison un samedi après midi, il se rend dans un troquet où ses potes jouent au poker. Le soir il se fait conduire dans une maison close, là il passe la soirée. Pour dormir un de ses copains lui a filé la clé d’un entrepôt de cercueils. Comme c’est dimanche personne ne viendra le déranger et en partant il met la clé sous le paillasson. Le dimanche soir à 18 heures retour en prison.
La semaine terminée, tout le monde est content de voir arriver le vendredi soir, mais pas notre commissaire. Il est hyper nerveux et scié à la base, FREDERIQUE ne comprend pas ce comportement, mais VAREL a peur il ne veut pas l’avouer. FREDERIQUE est trop jeune pour être veuve, voila ce qu’il vous répondra
Des semaines passent sans rien à signaler, jusqu’au jour où ABSALON a été trouvé par un employé des services MORTUAIRES, allongé dans un cercueil, le couvercle fermé. Ce dernier devait pas mal de sous à différents potes du poker et ils ont décidés de lui faire une farce Malheureusement, ABSALON est mort étouffé .VAREL malgré sa peur bleue, ne voulait pas de ça, n’empêche qu’il a une épine du pied maintenant.
Le dossier ABSALON sera définitivement bouclé. LINE _________________ !
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Posté le: 31-01-2007 08:04 Sujet du message: histoire
LA FARCE ET LE DINDON
Mis à jour le :15 décembre 2004. Auteur : Olivier Cyran.
On ne connaîtra sans doute jamais le nombre de déplacements que SOS Médecins a dû effectuer en urgence le soir du 21 novembre, combien il a fallu traiter de patients frappés d’apoplexie, de surchauffe cardiaque ou de toute autre pathologie imputable à une surprise trop brutale. En tout cas, les veinards qui en ont réchappé ne regretteront pas d’avoir regardé le « 20 heures » de France 2 ce jour-là. Entre deux tranches d’info standard, un reportage sortait en effet très vigoureusement du lot : le correspondant de la chaîne à Tokyo y relatait le suicide collectif de cent quarante-sept collégiens japonais qui n’en pouvaient plus d’attendre la sortie d’un jeu vidéo intitulé « mort ou vif ». Oh j’y crois pas ! s’exclame le téléspectateur interloqué. Enfoncé, l’Ordre du temple solaire et son voyage de groupe pour Sirius. Cent quarante-sept gamins disent adieu à cette vallée de larmes pour le simple motif que leur play-station n’a pas été ravitaillée dans les délais. Mais pas le temps d’y réfléchir, sinon on perd le fil, or le reportage n’est pas fini. Sur fond d’images montrant une salle de jeux remplie d’ados scotchés à leurs manettes, le journaliste précise d’une voix sombre que les cent quarante-sept « otaku » (fans de jeux) se sont donné la mort en « gobant des poches de silicone ». Du silicone ! La pâte pour prothèses mammaires, le regonfle-nibard qui équipe les héroïnes industrielles serait donc la version tendance de la ciguë socratique et des boîtes de cachetons, voilà ce que nous apprenait France 2 le soir du 21 novembre. « Pourquoi pas », finit par se dire le téléspectateur après avoir repris son souffle et éteint son fou rire, un peu plus résigné que la veille à vivre entouré d’un monde de dingues. Sauf qu’il y a quand même un truc qui cloche : à aucun moment le journaliste n’a montré une trace du massacre. Pas la moindre image des lieux du drame, des ambulances aux sirènes hurlantes ou des familles en pleurs. Pas la moindre interview de policier ou de témoin. Pas même une déclaration publique d’un responsable de la boîte dont le produit a provoqué l’impatience auto-homicide de cent quarante-sept consommateurs à peine pubères. Pour une info aussi énorme, c’est tout de même bizarre.
Bizarre ? Pas du tout, puisque toute l’histoire était du flan. Le correspondant de France 2 n’a fait que broder sur un article publié dans Libération le 1er novembre, qui reprenait lui-même (et presque mot pour mot) une petite couillonnade mise en ligne sur un site d’adeptes de jeux vidéo, Xbox Mag. Aucun des journalistes impliqués dans la médiatisation de cette « info » ne s’est posé de question ou n’en a posé à quiconque. Aucun de ces professionnels du vrai ne s’est même dit : ça m’a l’air gros, faudrait peut-être vérifier sur ce coup-là... Il aura donc suffi d’une vanne destinée à faire rigoler quelques initiés pour que l’autocuiseur médiatique tourne aussitôt à plein régime. « L’affaire est assez incroyable pour nous. On en rit (beaucoup), mais en même temps c’est tristement grave pour l’état du journalisme », commentaient trois jours plus tard les animateurs du site, en jurant qu’ils n’avaient eu « aucune volonté de désinformer qui que ce soit ou de lancer une fausse rumeur sur Internet. » Comme si c’était à la farce de s’excuser pour le dindon... Au moins, l’une et l’autre auront trouvé là une occasion de se connaître. « Le journaliste de Libération ayant rédigé l’article en question nous a appelés de Tokyo pour nous expliquer qu’il avait commis une erreur. Il a vu cette “info” dans un journal anglophone et n’a pas pris le temps de la vérifier. Fatigue ? Il ne sait pas, mais le fait est qu’il est conscient de l’erreur commise, et du tort que cela causera à Libération et à la profession dans son ensemble. » En quoi le journaliste se plante encore une fois : la « profession dans son ensemble » survit très bien à ses boulettes. Elle est sortie intacte du RER D, elle digérera aussi les poches de silicone. Et même en redemandera. D’ailleurs, Libération s’est déjà tiré d’affaire : le 24 novembre, le quotidien a publié un erratum sur son site internet (mais pas dans ses pages papier) où figure tout juste une référence rapide à la « blague » de Xbox Mag. De son côté, France 2 a fait son mea-culpa le 29 novembre au cours du JT. Mais pour se dédouaner sur le champ : le baratin diffusé une semaine plus tôt serait de la faute des fourbes « journaux japonais anglophones », ce qui fait tout de même plus sérieux qu’une blague sur Internet. Quant à ces Japonais dont on a prétendu qu’ils se suicidaient à n’importe quel âge, n’importe comment et sous n’importe quel prétexte, tant pis pour eux : si ce genre de stéréotype peut passer la rampe, c’est que ces « fourmis » de Japonais l’ont sûrement un peu cherché...
Publié dans le n°18 de CQFD, décembre 2004. _________________ !
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Posté le: 01-02-2007 07:39 Sujet du message: carnet de line
LA NAISSANCE DU PErtit cheval
Ce matin Petit Louis s’amuse avec son chien dans la cour de la ferme. De temps en temps il va jeter un coup d’œil dans l’écurie. Sa jument, la bonne bête, laquelle l’accompagne d’habitude à travers les champs, attend un heureux évènement. Elle est allongée sur la paille en douleurs. Les travaux viennent de commencer. Mon bijou n’ai pas peur, tout va bien se passer, je reste avec toi le temps qu’il faudra. Le cheval cligne des yeux, deux grosses larmes coulent sur ses joues. Il hennit, voila sa première contraction.
Papa, papa vite crie Petit Louis, le petit cheval est entrain de naître ! Dis moi que bijou ne va pas mourir.
Le père met ses gros sabots, tandis que la maman téléphone au vétérinaire du bourg, qui a promis d’arriver sur le champ
Petit Louis n’a pas le droit d’assister, vas mon fils aider ta maman à peler des pommes de terre. Je t’appellerai lorsque tout sera terminé pour voir le petit. Mais papa j’avais promis a bijou de rester avec lui ! Non, nous n’avons pas besoin de toi ici, va.
Petit Louis se cache derrière un pilier le cœur gros, le cheval le suit du regard, il est rassuré.
Le travail suit son cours. Lorsque le veto arrive, la poche a percé et deux petites pattes sont déjà à apercevoir. La jument hennit et pleure. Une autre convulsion et le nouveau-né s’étale sur la paille. Ca c’était une mère courageuse, c’est bien rare d’avoir des naissances pareilles.
Le gamin vient d’accourir. Il prend la tête de bijou et la sert fort contre lui. Bravo ma bonne bête, comme il est beau ton petit. C’est terminé, maintenant, tu vas pouvoir te reposer. Je prendrai bien soin de ton nouveau-né. Au fait comment vas tu l’appeler. Moi je te propose Lustucru. La mère fatiguée de cet accouchement ferme les yeux et s’endort.
Tout serait maintenant pour le meilleur du monde, si dans trois mois, le maquignon ne devait pas passer pour acheter le petit Lustucru. Rendez vous sur le marché à bestiaux du bourg comme tout les ans a la même époque. Le petit cheval sera vendu moyennant monnaie sonnante au plus offrant.
Le chagrin de petit Louis sera terrible. Son petit Lustucru, va le quitter pour toujours . Tout ça pour de l’argent ! Personne ne pense à l’état d’âme de la pauvre mère cheval qui sera séparé de son fils. . La vie prend souvent des mauvaises tournures et toujours lorsqu’on s’y
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Posté le: 01-02-2007 07:52 Sujet du message: carnet de line
L'histoire de l'îlot du Mont-Saint-Michel débute par une légende : en 708, Auber, évêque d'Avranches, reçoit de l'archange Saint-Michel l'ordre de lui construire un lieu de culte. Se croyant fou, l'évêque attend d'autres apparitions miraculeuses pour faire construire un oratoire, puis une petite église à l'emplacement actuel de l'abbaye du Mont-Saint-Michel.
Posté le: 02-02-2007 07:31 Sujet du message: carnet de line
LA CASSE DE VOITURES !
Pas loin de chez moi, un cimetiere de voitures, « la casse « . Comme je fais parler les animaux , je fais parler les choses, Les carcasses de vieilles voitures par éxemple .
En regardant ce tas de ferrailles on se dit : Oh que d’argent ! - ses voitures un jour ont toutes été belles. Vous trouvez tout par ici. . des CITROEN, des PEUGEOT des RENAULT des vieux . MATHIS , des ALPHA ROMEO, des vieilles BUGATTI, ainsi que differentes pieces de rechange
qui font le bonheur des collectionneurs.
Oh, la D.S. ne voudrais tu pas te pousser un peu. Avec ton pare chocs, tu me blesse les côtes dit une vieille DAUPHINE écrasée par le poids de tout ce tas. Moi aussi j’étais belle, il fût un temps. Je transportais du beau monde à l’époque, même jusqu’en Italie je roulais. J’avais un peu de mal a monter le ST GOTHARD en Suisse, mais j’etais jeune, j’avais des forces.
Moi j’étais TAXI , Mon proprietaire était satisfait, je fournissais un bon boulot. Nuit et jour je transportais des clients a droite et a gauche. Même les nuits, les gens qui allaient au CASINOl laissant un bon pourboire , ceux qui avaient gagné. Je n’étais jamais malade et maintenant me voila dans cet état. Je suis une pauvre CITROEN fichue –
Ne vous plaignez pas, la vie est comme on la prend. Moi je suis contente dit une vieille BUGATTI, je suis la plus vieille de toutes ces carcasses et je ne me plaint pas. Même que cet après midi j’ai rancard avec monsieur MATHIS, pour une petites causette, peut être un tête a tête au clair de lune, sait on jamais ?
Voila que la DAUPHINE se manifeste. Moi j’étais la voiture la plus économique. Pas beaucoup de litres d’essence pour 100 kilomètres . Eh voila, avec ou sans, je ne marche plus. Quel malheur.
C’est comme partout et pour tout le monde. On ne peut pas être et avoir été ! Dit la R 8, prenons la vie comme elle vient, ça nous épargnera bien du chagrin.
Eh voila le triste sort des belles voitures étincèllantes d autrefois !
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Posté le: 02-02-2007 09:19 Sujet du message: carnet de line
LAPIN ou Chat, il faut choisir
Une question cruciale vient troubler toutes les certitudes en matière d'astrologie chinoise au moment où les Asiatiques sont tout à leurs préparatifs de leur nouvel an : lapin ou chat ? Pour les uns, cette fête se place sous le signe du doux rongeur aux grandes oreilles, voire de son cousin le lièvre. Pour les autres, on entre en revanche dans l'année du discret félin. Ainsi Whiskas a choisi son camp. Celui du chat évidemment. La marque de nourriture pour matous lance une campagne de promotion sur ce thème, avec force messages publicitaires. Outre des avantages en nature, les maîtres attentionnés ressortiront des magasins munis de prospectus leur expliquant les caractéristiques de ce signe astrologique.
Pas si différents
La logique est purement commerciale. Whiskas souhaite en effet profiter de l'incontestable engouement pour ce qui vient d'Orient. Mais l'argument est-il encore valable si le lapin l'emporte et est désigné comme le véritable emblème de cette année naissante ? "Il ne nous appartient pas de dire le droit en matière d'astrologie chinoise. Mais nous ne faisons pas de contresens majeur ni de faute de goût", explique-t-on avec confiance du côté de la marque. En l'occurrence, le fabricant de pâtées a presque raison. Car, chat ou lapin, tout est question de géographie.
"À vrai dire, c'est l'année du lapin. Mais dans certains pays chauds, comme le Vietnam, où le lapin est rare, on parle de l'année du chat", élucide Nguyen Ngoc-Rao (*), spécialiste de l'astrologie chinoise. Il fait d'ailleurs le parallèle avec le buffle qui se fait bœuf en Chine.
Et si les deux animaux rois de 1999 n'ont guère de parenté, cela ne change rien à l'affaire. "Ils ne sont pas si différents. Chat et lapin retombent toujours sur leurs pattes", constate Nguyen Ngoc-Rao (*). Et d'annoncer pour cette année du chat-lapin une période plus calme après les folies et les bagarres des mois passés.
Toutefois, malgré ces explications, un esprit mal tourné sera tenté de désigner un vainqueur. Le chat, en effet, peut se délecter de "pâtée au lapin".
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(*) Auteur entre autres de "Astrologie chinoise : votre horoscope pour 1999" (Éd. Marabout). _________________ !
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Posté le: 03-02-2007 07:50 Sujet du message: CARNET DE LINE
L ECOLE MATERNELLE !
Les petits de l’école maternelle se promènent se tenant à une corde . Un enfant entraîne l’autre et on ne risque pas de les perdre. Les premiers rayons de soleil incitent à la promenade et la maîtresse chante « dans la forêt lointaine, on entend le coucou, du haut de son grand chêne, il répond au hibou » et les petits chantent coucou coucou de leurs petites voies fluettes.
La petite SARAH veut attraper un joli papillon , hélas il s’envole et le bout de chou tombe sur ses genoux. Elle pleure, la maîtresse la prend dans ses bras, mais elle réclame sa maman. Viens mon petit cœur nous allons faire un beau bouquet de fleurs pour ta maman. Les autres enfants font pareil. Que c’est mignon ses petites menottes avec ces fleurs, qui n’ont presque pas de tiges ni de feuilles, adorable . Voici une belle occupation pour ses petites têtes blondes en attendant l’heure du goûter.
De retour à l’école les petits quittent leurs manteaux dans le vestibule . Chaque porte manteau a une image. Soit une pomme un raisin un oiseau un poisson ou un ballon. La maîtresse cherche la petite CHLOE , mais ou est elle cette petite fille. Elle ouvre la porte des toilettes, la gamine s’est endormie sur la petite cuvette. Ses pauvres petits pieds sont tellement fatigués à force de marcher dans les sentiers du bois joli, que ses yeux se sont fermés. CHLOE , viens vite, ta maman ne va pas tarder a venir, elle l’entraîne dans la classe en lui proposant de faire un beau dessin .
La cloche sonne, les enfants rejoignent leurs parents dans le préau de l’école. Ils ont encore tellement a raconter, la journée était longue pour certains.
Une bonne fatigue les envahie, pas besoin de les bercer ce soir. Bonne nuit maman bonne nuit papa et le grand nounours avec ses rêves est déjà là. Bonne nuit mon petit cœur et à demain .LE MARCHAND DE SABLE vient de passer et les emmènent dans le pays des songes avec beaucoup d’étoiles de fleurs et un merveilleux arc en ciel de toutes les couleurs.
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Posté le: 03-02-2007 08:09 Sujet du message: carnet de line
L'histoire du cerf-volant
(par Anna Kurtycz) URL=http://imageshack.us][/URL]
Le jour de la naissance de Gru, tout le monde a dit qu'elle avait la peau verte et les cheveux verts les plus beaux du monde. Comme Gru venait d'une famille verte, cela a fait très plaisir à tout un chacun. Le jour de la naissance de Rod, tout le monde aadmiré ses yeux oranges et ses mains oranges. Comme Rod venait d'une famille orange, cela a fait très plaisir à tout un chacun. Et même s'ils étaient de couleur différente, Gru et Rod devinrent les meilleurs amis du monde.
Comme ils étaient voisins, ils se voyaient très souvent. Ils allaient à la même école et leurs familles faisaient beaucoup de pique-niques ensemble. Rod et Gru habitaient l'un en face de l'autre dans la ville des Cent Couleurs.
Ils aimaient faire beaucoup de choses ensemble, comme jouer au ballon, lire, regarder les nuages, chanter et dessiner.
Ils étaient très heureux parce qu'ils pouvaient se faire confiance et compter l'un sur l'autre. Parce que la vie était pleine de belles couleurs quand ils étaient ensemble. C'est toujours agréable d'avoir un meilleur ami.
Mais, un jour, un homme orange de la ville se fâcha très fort d'un homme vert et lui hurla dessus, puis il décida que tous les gens verts étaient ses ennemis. Sa colère était tellement puissante qu'elle soulevad'autres colères et quelques mois après, beaucoup de gens oranges se battaient contre les gens verts dans les rues, dans les banques, dans les parcs. Les enfants n'étaient pas d'accord avec ces conflits. Ils étaient heureux d'avoir des amis de toutes lescouleurs. Mais c'était difficile de faire quelque chose pour arranger la situation. Les enfants étaient enfermés à la maison car c'était dangereux dehors. La tension entre les gens oranges et les gens verts devint si forte qu'ils décidèrent qu'ils ne pouvaient plus vivre ensemble. Alors ils coupèrent la Ville des Cent Couleurs en deux et construisirent un grand mur entre les deux, juste dans la rue de Gru et Rod.
Beaucoup de gens furent obligés de quitter leurs maisons pour aller de l'autre côté de laville. Beaucoup perdirent leur travail et leurs amis à cause de cette décision.
Gru était très triste. Le mur était si haut et si gris, la ville n'était plus que verte et son meilleur ami était de l'autre côté… ses parents étaient très tristes aussi. Ils aimaient beaucoup leurs voisins et les autres gens oranges de la ville et voilà qu'ils étaient séparés de force.
Tout comme les autres enfants, Gru était souvent dehors et regardait les oiseaux qui volaient d'une ville à une autre. Si seulement nous pouvions voler, pensait-elle, nous pourrions traverser le mur et jouer avec nos amis de l'autre côté … Un jour, Gru eut une merveilleuse idée. Pourquoi ne pas construire un cerf-volant pour communiquer avec Rod de l'autre côté du mur ? Même si elle ne pouvait pas voler, elle pourrait dire à son ami combien elle l'aimait et ils pourraient jouer ensemble dans le ciel.
Gru construisit alors un grand cerf-volant bleu et écrivit bonjour dessus. Tous les jours, après l'école, elle allait dehors pour faire voler son cerf-volant et les autres enfants commencèrent à faire la même chose. Trois jours après, Gru n'avait toujours pas de réponse de Rod. Même si beaucoup d'enfants verts faisaient comme elle, elle était un peu déçue. Quand son père s'en aperçut, il lui dit d'être patiente. Peut-être Rod était-il en train de construire un cerf-volant merveilleux pour lui faire une surprise. Alors Gru continua à faire voler son cerf-volant tout au long de la semaine. _________________ !
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Dernière édition par Line le 03-02-2007 08:17; édité 2 fois
Posté le: 04-02-2007 07:40 Sujet du message: carnet de line
MISTINGUETT
Mistinguett est une petite chatte blanche persane. Elle revient du vétérinaire avec sa maîtresse, bientôt elle sera maman de deux petits chats. Le docteur est formel, ce sera pour cette nuit ou demain dans la journée. Toute la maison est sur le qui vive, oh la pauvrette elle vous regarde avec de grands yeux. Tout le monde est impatient, il faudra veiller cette nuit, pour ne pas la laisser seule dans les souffrances. A chaque petit miaulement, sa maîtresse accourt, toujours rien. Elle a les nerfs à fleur de peau, elle est fatiguée à force d’attendre.
CLAIRETTE s’est installée dans un fauteuil prés de la corbeille du chat. Prés de l’âtre de la cheminée, il fait bon et le craquement du bois la fait sursauter. Après quelques minutes, la dame ferme les yeux et tombe dans un profond sommeil.
Subitement elle se redresse. Oh elle a dû dormir pendant des heures et quelque chose l’a réveillé. Elle ouvre les yeux, devant elle se tient sa chatte, dans sa bouche une espèce de coton blanc, non c’est un petit chat, le deuxième traîne parterre. La maîtresse n’arrête pas de lui faire des compliments. Vous devriez voir comment elle se pavane sur le tapis du salon, elle est très fière de sa progéniture. Ce sera certainement une très bonne maman.
Cet instant, tellement attendu est passé, plus de peur que de mal. MISTINGUETT ne fini pas de réclamer des câlins. Elle s’allonge dans sa corbeille, les petits entrain de téter, et tous se reposent enfin. Eh oui c’est la vie !
Posté le: 04-02-2007 07:59 Sujet du message: histoire de line
Les médias et le canard boiteux
Rien ne va plus au pays du Soleil-Levant. La semaine dernière, la chaîne de TV NHK était obligée de présenter ses excuses au public pour avoir diffusé un documentaire truqué sur le Népal. Ce reportage sur le royaume inconnu de l’Himalaya contenait des « exagérations » (dixit ses auteurs). Doux euphémisme ! Une avalanche de sable avait ainsi été déclenchée intentionnellement par l’équipe de tournage pour simples convenances. Le documentaire prétendait qu’il n’avait pas plu depuis trois mois dans la région de Moustang pour les seuls besoins de son argumentaire. Bref, trucages et simulations étaient si nombreux que le président de la chaîne lui-même a pris la décision qui s’imposait. En guise de sanction, il a concédé une diminution de 10% de son salaire !
Cette semaine, le feuilleton médiatique s’emballe un peu plus. Cette fois, c’est le gouvernement de Tokyo qui s’énerve contre les médias. Toujours à l’affût d’une information inédite, les voilà qui se sont mis à pourchasser, caméra au poing, un canard transpercé d’une flèche. L’histoire fait grand bruit. Depuis sa découverte, début février, dans une rivière du nord de la capitale, le palmipède transpercé est devenu la star de la TV. (Cela ne vous rappelle pas, ici, un Noël passé, une certaine baleine prisonnière des glaces ?) Les autorités ont bien tenté, ces derniers jours, d’interrompre cette malsaine chasse à l’image, en capturant le canard blessé dans un filet de 8 mètres de long, mais peine perdue. L’intervention intempestive des médias, hélicoptères et lumières stroboscopiques à l’appui, a empêché le sauvetage. Pauvre petit canard boiteux. Au moins ne finira-t-il pas en canard laqué !
Magali Jauffret. _________________ !
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Dernière édition par Line le 04-02-2007 08:22; édité 1 fois
Posté le: 05-02-2007 07:48 Sujet du message: carnet de line
LE GREEN !
URL=http://imageshack.us][/URL]
Oh quel beau terrain ! .Il se situe au sud de STRASBOURG le long du Rhin. C’est un havre de calme et de paix, en dehors de la ville. Il est méticuleusement entretenu, une propreté exemplaire et appartient à un club de golf. Les membres passent des journées entières sur ce terrain avec leurs familles en été, ce sont des parties de plaisir.
Notre commissaire VAREL prend souvent cette direction pour chercher sa belle-mère le dimanche et dit a chaque fois à FREDERIQUE, je crois bien je vais me faire inscrire. Autrefois VAREL était un adepte du golf mais depuis, le temps lui manquait. Mais maintenant prés de la retraite, ce serait agréable de passer quelques heures par jour dans le bon air et en bonne compagnie. La belote est jouée, par les jours de pluie et la restauration sur place est assurée.
Mais VAREL dit FREDERIQUE, depuis le temps que tu me rabâches les oreilles. Vas y une fois pour toutes, tu n’as que ça à faire. C’est très bien et de temps en temps je t’accompagnerai, j’emmènerai mon tricot ou ma broderie. Ceci me fera du bien également, toute une journée de dolce farniente VAREL une très bonne idée, un peu d’exercice ne te ferais pas de mal. Aussitôt dit aussitôt fait.
Le premier soir VAREL est resté le dernier sur place. Il attend FREDERIQUE qui doit passer le chercher avec la voiture. Il est entrain de plier bagage lorsqu’il aperçoit des cannes au milieu d’un terrain. Un joueur aurait il oublié de prendre son barda ou le charger dans sa voiture ? Il amène tout ça au responsable et pour VAREL l’affaire est classée.
Plusieurs jours après, ces cannes n’ont pas été réclamées, c’est bizarre. Ceci prouve que le membre n’est pas venu sur le terrain.
Nous sommes mercredi et un membre du club emmène ses deux fils passer la journée sur le green. Les gosses ont comme mission de récupérer les balles perdues. En fouillant sous les taillis, oh bonne mère, voilà une main d’homme enfouie sous les feuilles .Les gamins traumatisés se mettent à courir vers leur père, qui est en pleine conversation avec le commissaire VAREL. Ce dernier s’écrie, voila pourquoi, le matériel n’a pas été récupéré, la preuve est là.
VAREL se met à fouiller dans les poches du mort. Il sort entre autre une liste d’élection municipale, ou la victime s’est représentée sous le nom de Raoul FIX ainsi qu’un certain Yves REALINI, qui est bizarrement aussi membre de ce club
Avant l’arrivée de la police, VAREL a déjà jeté les dés.
La victime a été frappée à la tête, avec une grosse pierre, lui défonçant le crâne, il en est mort sur le champ. En l’éliminant Yves REALIN I reste seul sur la liste d’élection et sortira vainqueur.
Un membre, se souvient qu’une dame lui a demandé d’aller voir Monsieur FIX, pour lui dire qu’elle l’attendait derrière les bosquets. Ce n’était pas une dame, mais monsieur REALINI, déguisé en femme. car on retrouva une perruque et une paire de gant maculé avec du sang de la victime.
VAREL donna tous les indices à la police, qui le jour même arrêta monsieur REALIN I pour assassinat sur la personne de Monsieur FIX.
Line _________________ !
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Dernière édition par Line le 05-02-2007 09:05; édité 2 fois
Posté le: 05-02-2007 08:09 Sujet du message: carnet de line
LE TREFLE A QUATRE FEUILLES
URL=http://imageshack.us][/URL]
Histoire du Trèfle en quatre atouts ! ]
Christine Barbace. Inra
Trifolium : autrement dit, le trèfle à trois feuilles, est très répandu dans nos prés, nos chemins ou nos jardins. Il se décline en une quantité de variétés et se retrouve sous pratiquement tous types de climats. Mais l’intérêt de cette plante ne se limite pas à la beauté des paysages... Riche en protéine, il nourrit le bétail. Fixateur d’azote, il régénère les sols. Plante médicinale, il calme les bronchites et apaise la bile. Toujours en mouvement, il prédit le mauvais temps...
Premier atout pour le trèfle, plante légumineuse à fleurs de type fabacées : il est riche en protéine. Il est donc souvent utilisé dans la composition de l’alimentation des ruminants. Qu’il soit appelé blanc, rouge, violet, des prés, commun... le trèfle est aussi un très bon
fixateur d’azote, et contribue par conséquent à l’amélioration du sol. Les météorologues amateurs peuvent également troquer leur grenouille contre un carré de trèfle ! Une observation a démontré que, lorsque les feuilles se redressent, le mauvais temps arrive ; et que si la plante se replie sur elle-même, il y a menace de tempête. Sur les 12 000 variétés répertoriées, seul le trèfle rouge est non seulement cultivé pour l’alimentation du bétail mais aussi exploité pour ses vertus médicinales. Grâce à ses propriétés, cette plante agit à la fois sur la circulation du sang, la sécrétion de la bile, calme les bronchites, intervient dans les traitements de l’eczéma et du psoriasis. Des études scientifiques récentes tendraient même à prouver que le trèfle rouge, qui a une activité de type oestrogénique, serait susceptible d’être utilisé afin de palier certains inconvénients de la ménopause. Il pourrait notamment faire augmenter le taux du bon cholestérol et ralentirait sensiblement la perte de la masse osseuse chez la femme. De l’évocation de cette plante à l’Irlande, il n’y a qu’un pas. Saint Patrick, un des saints patrons de ce pays, se serait servi du trèfle, qui poussait en abondance sur cette île, pour présenter le mystère de la Trinité à ceux qu’il entendait évangéliser. C’est ainsi qu’il en devint tout naturellement le symbole et que le 17 mars, il est, entre autre, de tradition d’offrir du trèfle. Mais à combien de feuilles ? Amusez-vous à l’effeuiller, ce trèfle : trois fois, c’est banal - quatre fois, cela relève déjà de l’exploit ! mais si vous en trouvez un, sachez que la première feuille est pour l’espoir, la seconde pour la foi, la troisième pour l’amour et la quatrième, bien sûr, pour la chance. Certains disent même que l’on pourrait effeuiller le trèfle jusqu’à sept fois... trèfle de plaisanterie... ira le chercher qui voudra !
Christine Barbace. Pour la Mission Agrobiosciences
Accéder à la fiche presse info de l’Inra Les trèfles de l’Inra au festival des jardins de Chaumont-sur-Loire- _________________ !
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Dernière édition par Line le 05-02-2007 08:34; édité 3 fois
Posté le: 06-02-2007 07:51 Sujet du message: carnet de line
LE JARDIN SECRET D UNE GRAND MERE !
Arrivée à un certain âge, la grand-mère est fatiguée. Sa vue est brouillée, les yeux larmoyants. Les oreilles, mal entendantes ; mal comprenant, la santé laisse à désirer .Que lui reste t’il pour meubler toutes ces heures de solitudes, des souvenirs. Il y a très longtemps une jeune femme et un homme s’aimaient à la folie Cet amour fût un rêve ! Depuis ce temps là de nombreuses années ont passées. Grand-mère maintenant a des cheveux blancs et une tête pleine de souvenirs d’autrefois., mais elle n’a rien oublié. Toute sa vie passe devant t’elle comme un livre d’image.
A cet époque, les Vosges étaient belles sous un manteau immaculé de neige. Il neigeait ce jour là en abondance, impossible de rouler sur ces chemins ;. mais le couple était heureux . Une vieille baraque de jardin était leur havre et la neige servait de réfrigérateur pour chambrer le champagne. Grand-mère se souvient du moindre détail.
Un jour de printemps, tout a fait exceptionnel avec des fleurs partout à la ronde, le jeune homme s’écrie : là sous ce pommier en fleurs je voudrais m’allonger dans l’herbe et crier au monde entier oh combien je suis heureux et comme je t’aime. Cette phrase n’a plus quittée grand-mère depuis et elle revient constamment dans sa tête, plusieurs fois par jour.
Après c’était la séparation hélas. L’homme a été muté en Afrique du nord et ils ne se sont plus jamais revu. Vit il encore ou est il décédé, elle ne sais pas, mais ce qu’elle sait qu’elle ne le reverra plus jamais. et qu’elle l’aimera toujours Il revient tous les soirs dans ses rêves et grand-mère se réveille en sanglots .
Les souvenirs ce sont tout ce qui reste de cett amour merveilleux entre deux êtres, il y a de très nombreuses années.
Grand-mère se trouve bien dans son fauteuil Elle ferme les yeux, chut elle ne veux pas être dérangée.
Posté le: 06-02-2007 08:14 Sujet du message: carnet de line
Histoire d'une libellule
Au fond d’un vieux marécage vivaient quelques larves qui ne pouvaient comprendre pourquoi nul du groupe ne revenait après avoir rampé le long des tiges de lys jusqu’à la surface de l’eau. Elles se promirent l’une à l’autre que la prochaine qui serait appelée à monter reviendrait dire aux autres ce qui lui était arrivé.
Bientôt, l’une se sentit poussée de façon irrésistible à gagner la surface ; elle se reposa au sommet d’une feuille de lys et subit une magnifique transformation qui fit d’elle une libellule avec de forts jolies ailes. Elle essaya en vain de tenir sa promesse. Volant d’un bout à l’autre du marais, elle voyait bien ses amies en bas. Alors, elle comprit que même si elles avaient pu la voir, elles n’auraient pas reconnu comme une des leurs une créature si radieuse.
Le fait que nous ne pouvons voir nos amis et communiquer avec eux après la transformation que nous appelons la mort n’est pas une preuve qu’ils ont cessé d’exister.
Walter Dudley Cavert
Bonheur pour tous Beaux textes _________________ !
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Dernière édition par Line le 06-02-2007 08:27; édité 1 fois
comme c'est vrai ma line, ce que tu viens de nous conter...
je trouve vraiment, que c est beau..
tu as raison,
tu as raison de mettre cela.... aucune preuve...
Posté le: 07-02-2007 08:04 Sujet du message: carnet de line
LINE ET LES MOUSTIQUES !
[URL=http://imageshack.us][/URL
Un orage après les grosses chaleurs, c’est bien beau, mais quelle plaie ces moustiques. Je suis encore méconnaissable. Je ressemble à QUASIMODO dans son plus beau rôle de notre DAME DE PARIS. Une grosse boule sur le front une autre sur le nez, un œil de travers, la bouche je ne vous dis pas. Quelle horreur !
J’ai déjà dévalisé mon pharmacien pour trouver un remède efficace, malheureusement aucun ne fait effet sur moi. Je dois avoir du sang comme du malaga, allez savoir ? Vous les voyez ces bestioles trinquer à ma santé et se bidonner en me regardant me gratter toute la sainte nuit.
Autrefois je voulais toujours accompagner mon papa à la pêche La bonne friture du Rhin
Maman n’aimait pas trop, à cause des taons, des frelons et des moustiques, lesquels à l’époque me dévorés déjà.. Mais papa lui était d’un autre avis. Plus tard elle sera immunisée par toutes ces piqûres et elle n’aura plus de réaction. Mais tout ça ça n’a rien donné, je souffre le martyre actuellement, surtout dans les endroits marécageux.
Je veux bien essayer tous les remèdes miracles de nos grand-mères, si vous voulez me les envoyer. Pas trop compliqué les amis, je ne voudrais pas passer ma journée, dans une tisanerie à faire des mixtures abracadabrantes, comme au temps des sorcières. La vieille LINE vous salue et vous dis Bey bey……..
LINE _________________ !
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