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Posté le: 29-04-2007 11:50 Sujet du message: réponse
bon dimanche ma line je vois que tu reprends tes bonnes habitudes,notre musicka a l'air d'etre heureuse de son voyage avec guitout il est vrai que guitout et lucette dont des gens charmants tout comme zuti!!!!!!! bises ma line _________________
Posté le: 29-04-2007 20:50 Sujet du message: carnet de line
UNE PETITE HISTOIRE D’APRES « LA CARPE ET LES CARPILLONS «
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Comme tous les matins, madame la carpe tient un long serment à ses petits. Vous voyez, la vieille sorcière de BROCHET a encore mangé, tous les petits de Madame la TANCHE ; Elle pleure à longueur de journée, rien ne peut plus la consoler. Ces pauvres petits, ils n’ont pourtant pas fait de mal à personne.. Encore la semaine dernière j’ai parlé à son mari, lui disant , si elle n’avait pas honte de s’attaquer à plus petit qu’elle .Il m’avait pourtant promis de lui souffler un mot. Et pourquoi, j’ai l’impression qu’il a peur d’elle et que dans leur ménage, c’est elle qui porte le pantalon..
Alors mes petits soyez bien sages en attendant mon retour, j’espère ne pas attendre trop longtemps devant le magasin VENDEUR D ASTICOTS ; Je préfère les acheter, que de vous les laisser chercher, c’est beaucoup plus sur et je suis sûre que vous allez manger à votre faim.
Une fois la maman partie , le plus petit et le plus gâté,de tous ces petits poissons, trouve que l’eau ,un peu plus loin de la rive est beaucoup plus claire et plus douce,. En longeant la rive l’eau sent la vase et a un petit goût de quelque chose, qu’on ne peut pas définir. .Malgrè les bonnes paroles de maman,, le petit ne peut s’empêcher de tremper sa petite queue un peu plus loin. FLOC FLOC , que c’est bon par içi . Il fait trempette et toujours un peu plus loin.et i_l oublie tout. LE SERMENT DE MAMAN et la SORCIERE DE BROCHET
Madame la sorcière redresse ses lunettes, elle n’ est pas pressée, elle prend tout son temps. Et attend le moment voulu, pour en faire son affaire et guette derrière un gros rocher.
.
déja elle se régale., en pensant à son hors-d’oeuvre de petit goujon , qu’elle va pouvoir se mettre sous la dent à midi.. Comme elle est très égoïste, elle ne va pas attendre l’arrivée du père pour déjeuner, de peur de faire le partage et elle va manger toute seule. OH LA VILAINE !
Le jour viendra ou elle sera attrapée par un pêcheur et dévorée elle-même et ce sera tant pis pour elle.
De loin le petit poisson entend sa maman rassembler ses petits , elle est de retour. A table mes enfants, vous devez avoir faim. Regardez les beaux asticots que j’ai acheté à l’étalage du marché. N’oubliez pas de vous laver les nageoires.. COCO et ta serviette ?
Et c’est comme ceci que le petit poisson a échappé à la vieille sorcière de BROCHET, Elle attend encore maintenant, avec un ventre creux. CE N EST PAS TOUJOURS LES PLUS GRANDS ET LES PLUS FORTS QUI SONT GAGANTS ;
LINE _________________ !
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Dernière édition par Line le 29-04-2007 21:08; édité 2 fois
Posté le: 30-04-2007 20:26 Sujet du message: carnet de line
CHEZ LE VETERINAIRE !
Dans une salle d’attente d ‘un vétérinaire, toutes les chaises sont occupées par des patients et leurs maîtres. L’assistante ne sait plus par ou commencer, avec tous ces malades. Ca grogne, ça gémis ça glapis .ça hurle , tous sont souffrants ..
Une paysanne, tient sur ses genoux un beau coq . Quelle belle bête dit la voisine, Que lui arrive t’il est il malade ? Ah figurez vous c’est en courant après une poule, qu’il s’est blessé l’ergot. Il doit souffrir le pauvre, pas moyen de l’approcher. Regardez mes mains, tous ça ce sont des coups de becs , en voulant lui faire des pansements.
Une autre dame tient un petit porcelet à la laisse. Tiens toi tranquille CHARLY, ne gigote pas comme ça .Charly avec ses pattes de devant se frotte la panse Ah tu as mal, je te l’avais dit petit glouton, maintenant tu as une indigestion Si tu n’es pas sage, le docteur va t’envoyer à l’hôpital. Sois sage mon petit lapin. Je ne suis pas un lapin je suis un cochon na ! Mon pauvre cochonou !dit la dame ., ne sois pas tristounet vas !
Une petite fille tiens un bocal avec un poisson rouge Son petit tablier est mouillé du haut en bas. Le poisson ne cesse de faire des saltos et éclabousse son entourage. Arrête GLOUGLOU, tu me donne le tournis Le petit poisson doit être dérangé, non mais ça ne va pas la tête. Le poisson a fait le dernier saut et s’est tué en tombant par terre La petite fille est triste et se met à pleurer, L’assistante arrive avec un petit chiot dans les bras. Voila de quoi te calmer ma mignonne. Si tu veux bien l’adopter, je te le donne. Son nom c’est CEZAR et il a un mois., c’est un tout petit bébé chien encore . Il commence déjà à te lécher les mains se sera un chien fidèle .
Une oie blanche de temps en temps sort son cou d’un panier posé parterre .Elle a une drôle de maladie. Ses pontes se font de plus en plus rares, mais par contre les oeufs sont gros comme un œuf d’autruche. Mais comment arrive t’elle a les sortir, demande un monsieur, Ah mais s’est qu’elle hurle de douleur la pauvre . Hein CATHERINE ! ça fait mal.
Et la MINOUCHE , notre chat siamois, va bientôt accoucher, c’est la dernière échographie aujourd’hui. Le jour de la délivrance est proche. Elle ne peut presque plus marcher. Elle traîne son ventre presque parterre et son souffle est court. Le docteur pense qu’elle n’en a plus pour longtemps et c’est vrai . Quelques minutes plus tard., elle cherche un coin., ferme les yeux et commence a miauler . Le travail vient de commencer. On vient de mettre la chatte sur un brancard et la voila partie en salle d’accouchement. La naissance est éminente, l’ouverture est là.
Et voila notre ami HECTOR, le buldogue qui ne cesse de tousser. Il a une méchante toux, probablement une bronchite qui l’empêche de dormir la nuit. Avec quelques gouttes des frictions et des cataplasmes sinapisés, que le vétérinaire lui a prescrit, ça ira mieux demain. Il n’a pas le droit accompagner son maître à la chasse tant qu’il n’est pas guéri. Faudra garder la chambre et le panier encore quelques jours.
Tout doucement la salle d’attente se vide L’assistante est épuisée. Vivement le weeck- end, le repos, les vacances , la retraite et puis et puis et puis
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Dernière édition par Line le 01-05-2007 11:43; édité 1 fois
bonsoir ma linette, va vite te coucher, il se fait tard
ce soir, et demain, tu seras en mille morceaux
bisou de MUSIKA _________________ poete_musika..4 mains
Posté le: 01-05-2007 21:18 Sujet du message: carnet de line
LE LELLEKOENIG
Un bateau vapeur qui naviguait sur le RHIN
Le Lellekoenig , URL=http://imageshack.us][/URL]
ce qui veut dire LA LANGUE DU ROI !
Je me souviens, c’était avant la guerre’ en l’année 1936 que nous embarquions sur ce bateau pour faire une petite croisière. Le tournant du RHIN était le trajet – retour le soir’ à 20heuresIl ne fallait surtout pas louper ce départ sinon on couchait à la belle étoile. Pour nous les gosses, c’était l’AMERIQUE. Ce voyage nos parents nous l’avaient promis depuis belle lurette . Si vous n’êtes pas sages, nous n’irons pas avec le bateau au tournant( du RHIN.
Notre père avait emmené tout son attirail pour la pêche et nous avions une belle journée ensoleillée devant nous. Voila que maman regarde vers le ciel. De petits nuages se présentent
mais pas de quoi s’alarmer’. Le soleil va les chasser et ils se dissiperont. Nous étions installés sur une couverture posée sur l’herbe et nous avions de quoi manger avec nous pour pickniker.
Voila que papa a sa première touche. Une belle perche du RHIN. Vite un ver à l’hameçon, il jette sa ligne dans la même direction et voila une autre touche, mais plus forte cette fois ci.Ca doit être’ un brochet qui va a la chasse , Il a failli m’emporter mon fil avec toute la canne.
Le » soir papa a posé tous ses poissons, un a côté de l’autre . Regarde maman. Il y a de quoi faire une bonne matelote’. Une carpe, une perche, une anguille’, des ablettes,un petit brochet-. La pêche miraculeuse’ –
Nous les gosses nous avons fais un beau bouquet de marguerites, pour notre maman . C’était ses fleurs préférées.
Voila une très belle journée de passée au grande air. Retour sur le bateau . La grande roue se mettait en route’ en voila des vagues – LE RHIN nous portait – on flottait c’était merveilleux. Pour nous les gosses, quelle expédition, à l’époque et maintenant, que de beaux souvenirs .
Fait le 27.août 2005 _________________ !
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Dernière édition par Line le 01-05-2007 21:45; édité 2 fois
Déja de bon matin le carrousel LA CHENILLE , a déballé ses tréteaux sur la place du village. Dimanche prochain se sera la grande kermesse annuelle organisé par le patronat de l’église et les bénéfices seront versé pour la nouvelle couverture du toit de la chapelle. .Espérons de tout cœur que le soleil sera au rendez-vous et que la pluie ne viendra pas nous gâcher cette journée tant attendue..
Les camions sont déchargés et tout le monde est à la besogne.. XAVIER dit le patron à un jeune homme, demain ce sera toi qui encaissera les billets des tours de manège. Non chef, excusez moi, mais demain c’est mon jour de repos, je ne serais pas disponible. Mes parents m’attendent à la maison pour une petite fête de famille. Nous fêtons les quatre vingt ans de ma grand-mère., elle serait malheureuse si je ne venais pas, moi le cadet de la famille.
*Non mon garçon, demain sera pour moi le plus gros chiffre d’affaire de l’année et j’ai besoin de toi. Veux tu travailler ou non sinon, je te remplace sur le champ. Chacun reste sur sa position et pendant quelques minutes , un va et viens interminable. Le patron est hors de lui et rouge comme pivoine de colère. Un petit morveux qui ose répondre à son supérieur, ou a-t-on vu ça, de mon temps des coups de pieds au cul et voila..
Le manège est déjà très avance et commence à prendre forme, mais il manque l’âme de ce beau et tare spécimen de piano mécanique. On pourrait( presque prétendre, que c’est le seul encore dans ce genre à fonctionner. Le patron est le seul a le faire tourner, il en est très fier d’ailleurs. Ces cartes trouées et pliées et repliées font la musique dans cet instrument. C’est encore un des rares dans le monde.. Il a été hérité de père en fils et toujours très bien entretenu..
Passes moi le tournevis dit le patron à XAVIER ,mais celui la en colère, comme s’il n’entendait pas, continu son chemin. Le patron hors de lui va le chercher lui-même et fou et plein de rage, plante cet outil, dans le cou du gamin. Le sang se met à gicler en abondance,impossible de faire arrêter cette hémorragie. Le coup fût porté sur la carotide et tous les garrots ne servent plus à rien. Le petit est mort sur le champ. Le patron paniqué, prend le corps et le met dans le mécanisme du caroussel. Personne ne viendra touché içi à part lui-même. Le manège restera sur place pour l’hivers, c’est la dernière étape de cette année. D’ici là il aura le temps de se retourner..
Le lendemain, il va faire une déclaration à la police. Le gamin est introuvable, ni au boulot, ni dans sa famille. Des semaines, passent jusqu’au jour ou le patron pris de remords va trouver notre ami commissaire et cracher le morceau.. Le petit est sorti de son trou, iol est déjà dans un état avancé mais connaissable Pauvre petit, il n’avait que 22 ans et adorait la vie..
Le juge n’ est pas allé de mains mortes. 20 années de réclusion. Ferme et une grosse somme d
’argent, pour les parents pourla perte de leur fils adoré. ;
Ca ne lui arrive pas souvent, mais cette fois ci VAREL en avait les larmes aux yeux pendant lo verdict.. QUEL GACHI CE PAUVRE PETIT !
Il me semble que tu retrouves ta forme et nous sommes bien contents.
Tu as été bien soignée, bientôt il n'y paraîtra plus de tous ces ennuis que tu as subis.
Gros bisous. _________________
" Le bonheur ne court pas le monde; il faut vivre où l'on est heureux "
Posté le: 03-05-2007 11:30 Sujet du message: réponse
bonjour ma line je vois que tu commence a aller mieux je te fais de gros bisous et merci pour tes belles histoires celle ci est un pêu triste!!!!!!! _________________
Posté le: 03-05-2007 12:44 Sujet du message: carnet de line
LA FAMILLE LEBLANC !
La famille LEBLANC est une vieille famille habitant depuis 1889 quelques part, au fin fond du CREUSOT. Le vieil arrière grand-père a eu la délicate attention d’ouvrir une BONNETERIE dans le petit village, ce fût a l’époque une joie pour tous.,la prochaine ville est a trois heures d’ici . Autrefois il fallait y aller à pieds ,pas de moyen de locomotion en ce temps là.. Pour acheter un simple bouton ou du fil à repriser, faire tout ce trajet, c’était trop.
Ce magasin existe toujours, il est géré par une arrière arrière petite fille. .Pas pour faire des affaires, mais c’est une question sentimentale. Personne ne peut s’en séparer. Les locaux sont un peu délabrés depuis ce temps, mais vous trouverez encore des vieilleries qui peuvent servirent.
Comme à l’époque les murs sont montées avec des tiroirs qui contiennent différents articles, comme caoutchouc pour les culottes, boutons, fil a coudre de toute sorte de couleur, boules à repriser, aiguille à tricoter etc.
Dans un grand carton des journaux et des magazines de tricots d’ avant 1900 . C’était la mode, les falbalas et les frivolités.. Des guêtres et des gants, ainsi que des lavallières se trouvent dans une boite tout en haut. Il fallait l’échèlle à l’époque pour grimper la-haut, quel sport a longueur de journée. Le seuls clients sont les comédiens, les accessoires de leurs costumes pour la scène est toujours à trouver ici en cherchant bien.
Un jour un monsieur distingué, avec costard et tout et tout serviette en main, est venu arpenter le sol de ce vieil immeuble.. C’était un responsable de l’immobilier, siégeant, dans la ville voisine Tout le quartier va être rasé jusqu’à la dernière pierre . Des building vont s’élever pour des bureaux, de compagnie d’assurances et autres.
La pauvre petite BONNETERI8E , qui a tellement servie toutes ces années, va être démolie. ;Demain viendront les grands camion avec leur boule dévastatrice et d’un grand coup à la base des bâtiments raseront les maisons jusqu’au sol .
LE PROGRES ET TOUJOURS LE PROGRET ; Qui en profitera, certainement pas la classe ouvrière. Qui pourra se payer un loyer de luxe dans un building ;dites le moi .Heureusement qu’il y a des H.L.M. pour héberger les petits., leur donner un toit un chez soit.,un peut de bien être.
Oh combien de gens vont être délogés, des gens qui ne peuvent pas payer un grand loyer. Que de larmes ce jour là. Et la BONNETERIE ; Adieu tous ces cols de chemises ces guêtres et ces rubans. Heureusement( que maintenant il y a des autos et des bus pour aller au SUPER MARCHE de la ville la plus proche, les per pédès c’est fini.
La plus a pleurer, c’était la petite commerçante de la vieille BO9NNETERIE de son arrière grand-père . Mais tout passe, c’est le début, c’est un renouveau ,la fin d’une époque passé depuis longtemps., mais la belle époque
LINE _________________ !
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Dernière édition par Line le 03-05-2007 12:56; édité 1 fois
Posté le: 05-05-2007 00:10 Sujet du message: carnet de line
CES DAMES BOUTONS !
Maintenant que la BONNETERIE est démolie, il fallait bien logés tous ces articles de la réserve et en particulier, dans le grenier de la petite commerçante. Tous ces boutons sont restés dans leur boite d’origine dans un grand carton . Les boutons dans le noir, figurez vous se mettent à papoter.
Il y a différents types de boutons. Boutons en verre – des blancs , des rouges, des bleus des jaunes des noires à pression ronds longs, de tous les modèles.
Madame BOUTON ROUGE, je ne cesse de bailler à longueur de journée,j’ai très mal dormi cette nuit. Il n’y a pas d’air là-haut, nous étions quand même mieux dans notre vieille demeure., MADAME BLEU est( du même avis. On nous faisait de temps en temps un peu de toilette, mais là nous sommes à l’abandon pour des années. Je dis bien pour des années, jusqu’au jour ou on nous mettra toute la smala sur la décharge publique et voilà.
MADAME NACRE, pour moi se serait vraiment dommage. Je n’étais pas bon marché à l’époque et même maintenant , je suis encore dans le vent. Quel gâchis . Vous autres vous êtes des boutons communs, mais moi le nacrè, le bouton de luxe, atterir avec les détritus, mais c’est insensé . MADAME NOIRE , faites ce que vous voulez, mais moi je m’en fou, aujourd’hui on ne port(e plus le deuil, même pas pour aller au cimetière, alors , on n’achete plus de noir Foutu pour foutu, un mois de plus un de moins, mon temps est( fait.
MADAME BOUTONS PRESSIONS ;
Exceptionnellement , il y pas tellement longtemps on est venu acheter six boutons de ma gamme . La preuve est là, on pense encore à moi et ça fait chaud au cœur.. l faut dire, qu’autrefois on était mieux traité qu’aujourd’hui. Avec< le fer à repasser, c’était chaud , c’était doux et maintenant on est compressé dans un truc métallique UN REPASSE LINGE on appelle ça. A vous écraser toute votre carcasse., j’en ai une sainte horreur.Mais que voulez vous, il faut faire avec, nous n’avons pas le choix.
Moi dit MADAME BOUTON LONG ; Je n’étais pas sollicité sauvent. La mode change et on vous mets au rancard .
Le dernier rayon de soleil qui traversait entre les failles d’un carton déchiré, se meurt la journée se termine .. Je vous dis bonne nuit les amis et à demain.je n’en peux plus, mes yeux se ferment tous seuls.
Bonne nuit, ces DAMES BOUTONS FAITES DE BEAUX RËVES et à demain..
chere petite Pryska. Je ne suis pas passee mais je suis passee la nuit d 'avant. Laissez moi s.v;pl le temps d ecrire, sinon pas d'histoires. gros bisou il est exacxtement 2.37 du matin.Je ne vous oublie pas. gros bisou votre LINE _________________ !
bonjour ma linette,
je vois que tu es toujours presente sur le forum...
comment tu vas, ne crois pas que je t oublie, mais j ai tellement de
boulot,
fais une bise à RAYMOND...........
et porte toi bien......musika _________________ poete_musika..4 mains
Posté le: 05-05-2007 22:13 Sujet du message: carnet de line
L HABIT NE FAIT PAS LE MOINE !
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Oh que non ne vous fiez jamais aux apparences, car ils sont souvent trompeurs..
Un client du bar chez GEGENE , fréquente l’établissement depuis quelques jours. Tout le monde pense que c’est un baron ou un comte d’après son allure et sa prestance. Qu’est ce qu’il est chic Gourmette en or , collier, costard de grands couturiers, parfumé à outrance.Ca c’est un homme considéré par son entourage. Il a un savoir vivre exemplaire et tout le monde aime sa compagnie. Et pourtant !
Il est trompeur, voleur , bandit des grands chemins, qui eu cru .Il a une façon de dérouter les gens. Il est calme , posé, Il a beaucoup voyagé, il a vécu et sais raconter .Quand lui a la parole tout le monde se tait et écoute. MARTIN c’est son nom et monsieur MARTIN c’est quelqu’un..
Un seul homme dans la ville le connaît bien , c’est son logeur, car il doit le loyer de quelques mois. Pas de travail, des emprunts a droite à gauche et fréquente les plus belles veuves de la région. Il promet mont et merveille, le mariage à qui veut bien, mais ne tient jamais parole.
Il choisi ses femmes entre 50 et 60 ans, Il est courtois et les dames sont fières, de pouvoir sortir avec lui. Il y en a entre autres qui pensent au mariage et qui dilapide un argent fou avec lui. Le restaurant, les voyages, le casino, les couturiers, les orfèvres.. Avant de découvrir le pot au rose, ces charmantes dames sont aux anges et seraient capables de lui permettre d’engloutir, toute leur fortune. ; Mais comme ce n’est pas toujours dimanche.
Voilà encore une qui vient de le mettre à la porte comme un malpropre. Il commence à avoir l’habitude mais tout de même. Il commence à vendre ses bijoux, pour avoir quelques sous .,il faut bien se nourrir. .Pas chez FOUQUET ? MAIS CHEZ MAC DO pour changer. Un peu de changement s’impose.. Monsieur MARTIN cherche la prochaine proie. Beau comme il est , il n’aura pas de mal à trouver.. Qu’elles sont bêtes ces femmes, elles pensent toutes avoir trouvé le gros lot avec ses belles paroles et sa manière de faire.
Monsieur MARTIN change de ville On commence à le connaître dans la région et ces belles se font plus rares. Il commence a avoir les tempes grisonnantes et malgrè les bons soins corporels, l’âge se fait sentir .Il commence à avoir le dos voûté et ses cheveux se font plus rares. Une légère calvitie se fait voir, son teint est plus terne.
Bientôt monsieur MARTIN, il va falloir changer de train de vie . Le bellâtre que vous étiez est sur le point de disparaître.
Va t’i commencer à travailler, certes pas, du fric frac , peut être ou trouvera il quand même une écervelée, qui veuille bien prendre soin de lui .
Au revoir monsieur MARTIN ; Chez GEGENE, on ne l’a plus jamais revu depuis le jour, ou le logeur a déballé sur son compte.
Personne n’y croyait, mais c’est comme ça. Ne faites pas confiance à tout le monde et jugez les gens d’après leur valeur interne et pas externe.
LINE _________________ !
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Dernière édition par Line le 05-05-2007 22:27; édité 2 fois
Inscrit le: 06 Jan 2007 Messages: 2202 Localisation: belgique (hainaut)
Posté le: 05-05-2007 22:24 Sujet du message:
bonsoir Line c'est avec plaisir qu'on lit tes histoires
tu viens toujours aussi tard sur le forum comme je peux voir
tu as encore des difficultés pour trouver le sommeil?
bonne nuit quand même et à demain
prends soin de toi surtout _________________
un jour à la fois
Inscrit le: 09 Fév 2006 Messages: 1708 Localisation: Au bord de la mer
Posté le: 06-05-2007 09:21 Sujet du message:
Bonjour Line,
Aujourd'hui, tu nous donnes de bons conseils... Ne t'en fais pas, les dames du forum de RA sont plus malignes que tous les Monsieur Martin du monde ! On ne se fera pas prendre par de belles paroles
Mon fils, dit une maman à son gamin de l6 ans, tu seras seul pendant la fin de semaine, papa et moi allons rendre visite à tante ODILE à LIMOGES ; Comme tu ne veux pas nous accompagner, j’espère que tout sera en ordre lorsque je rentrerais.. Pas comme d’habitude, de la vaisselle qui traîne dans tout les coins et le lit défait. JEROME, tu es grand maintenant, on peut te faire confiance.. Le soir ne traîne pas dans les rues avec tes potes, reste à la maison faire tes devoirs et regarder la télé, si tu t’ennui Oui maman dit JEROME , compte sur moi..
Le lendemain en classe JEROME annonce la bonne nouvelle à ses copains ; oh mais , ça va être la fête ;la java, la bamboula.. Chaque un de nous apporte de quoi boire et à manger ainsi que vos CD. Nous inviterons quelques filles de notre classe et nous passerons un agréable moment. .Mais il faut que je vous dise, tenez vous à carreaux, car ma mère n’aime pas le désordre..
Ainsi dit , ainsi fait, c’est le grand soir, les amis arrivent chargés de boisson non alcoolisé, comme COCA FANTA et autres ainsi que des SANDWICH et( des HAMBU7RGER ;C’est parti nous pouvons commencer. LE PICK-UP pas trop fort les amis, sinon les voisins se plaindront chez mes parents.
La soirée bat son plein, tout le monde rigole, tout le monde est gai, lorsque un jeune tombe brusquement à terre et se cogne la tête sur le rebord du canapé. Mon dieu quoi faire pour ne pas faire découvrir le pot aux roses. Nous ne pouvons pas chercher de médecin, il ne faut pas que mes parents sachent. Nous voila dans de beaux draps. Une compresse sur la tempe du garçon, ça va peut être l’aider, mais rien y fût. Quelques minutes après, le gamin était inerte et sans vie, . son cœur avait arrêter de battre.. Mon DIEU , mon DIEU , quoi faire maintenant. Descendons le dans la cave dit un, l’autre, mettons le dans une brouette et conduisons le dans la forêt( la plus proche .Cette proposition fût acceptée par tous les gars. On le conduisit à l’orée du bois sous les taillis le recouvrant de branches sêches en l’abandonnant dans la nature en pleine nuit. C’est la PANIQUE , les gosses sont affollés.et chacun rentre chez lui le cœur gros, d’avoir perdu un bon copain.
LE LENDEMAIN, les militaires du GENIE font leur exercice sur le terrain vague à l’orée du bois. Ils sont obligés de ramper sous les taillis à plat ventre. Et le caporal laisse un cri de frayeur. OH MICHEL , par içi, regardes ce que j’ai découverts sous les feuilles mortes. On aperçoit un pied avec chaussure. D’après la taille de la godasse ce type et petit , c’est un 35 ou un 36.Je m’y connais je suis en civil dans la chaussure.. Le cadavre est vite détéré et on s’aperçoit, que c’est un tout jeune môme. Va avertir le sergent, j’ai la tremblote dans les guibolles. Il préviendra l’officier de service, qui appellera les autorités et la police pour le constat..
Et c’est comme ça, de bon heure le matin, que notre cher ami le commissaire VAREL se trouva sur les lieux ..Le médecin légiste . a constaté une mort naturelle. ARRET CARDIAQUE ;
Une longue affaire est en cours.. Pas de témoin , comment ce corps à t’il atterri dans ce champs de manoeuvre .Peut être que la suite de cette histoire, nous le dira ;
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Dernière édition par Line le 06-05-2007 22:14; édité 1 fois
Posté le: 07-05-2007 21:18 Sujet du message: carnet de line
LES NUGGETS !
Dans un SUPER MARCHE de la ville, sur un étalage, deux paquets de NUGGETS, l’un normal, l’autre BIO se disent les quatre vérités.
Si c’est pas honteux, 1.50 E. de plus que moi tu te fais payer. La même matière première,la même préparation, les mêmes ingrédients, mais ou va-t-on ? je me le demande .
Attention moi je suis BIO, ça veux tout dire. Les gosses en raffolent . Ils en demandent tous les jours. A la volaille , au poissons , à la sauce tomates ; à la béchamel, naturels bien frits et croquants. . Mais les NUGGET5S BIO , nous les normales aussi nous faisons tout ça, nous n’en demandons pas plus. pour autant..
Dans nos laboratoires, tout est stérile, dit un paquet de BIO . Toute cette installation il faut aussi la payer. SI je calcule, le prix de revient, je suis encore dans les normes., le bénéfice, ne dois pas être extraordinaire. Tu me fais marrer dit l’autre, nous les normales, nous voulons vivre aussi. Vous êtes des voleurs. Comment avez-vous fais votre compte, lorsque le BIO n’existé pas, sur quoi vous basiez vous, pour voler les consommateurs.
Moi à la place du client, j’achèterais du poisson frais et je me ferais mes NUGGETS moi-même. Avec du cabillaud, ou un poisson tout a fait e commun j’aurais le même résultat et ma bourse ne serait pas allégée. . Quel travail , tu ne te rends pas compte de toute cette manipulation . A mais attention, le travail il ne faut pas le compter, d’ailleurs tu crois peut être que nous on chôme. , on bossent comme toi. Je ne suis pas sûre, mais nous sommes peut être encore mieux payé que toi, car ton patron est un grippe sous, il n’en aura jamais assez.
A partir d’aujourd’hui Madame, je ne vous adresserais plus la parole dit le BIO, je demande à l’instant même qu’on me change de rayon Non mais, avec vous aucune discussion n’est possible, vous montez tout de suite sur vos grands chevaux. Vous n’aimez pas la vérité Madame BIO. Regardez tous ces articles, même les BIO, ils se tiennent convenablement, il n’y a que vous pour faire un cirque pareil. Vous voulez partir à côté de moi et bien partez, bon débarras et du vent.
Le paquet de BIO veux s’excuser, rien à faire. Nous nous avons du caractère, nous ne nous laissons pas acheter par n’importe qui, sachez le. La prochaine fois pesez vos parolesAarrogante comme vous êtes. Laissez moi vous dire, vous êtes rouge de colère, eh bien ce n’est que la vérité qui blaise.
Une fois les deux paquets de NUGGETS séparées, le calme revient dans cet établissement .Heureusement personne n’a rien entendu, sinon quelle réclame pour les NUGGET5S ; l
Posté le: 08-05-2007 21:27 Sujet du message: carnet de line
UN PETIT BEBE GORILLE !
Dans la jungle, une maman gorille a accouché d’un merveilleux petit GORILLE du nom de SAMBA SAMBA est un adorable,petit singe seulement il est espiègle et ne veux jamais écouter sa maman.
Un beau jour maman GORILLE, lui tient ce langage ; wouah wouah, gnom gnom , ce qui veux dire, Maman va chercher de la nourriture, reste bien sagement installé sur cet arbre, car ici tous les dangers te guettent, à commencer par’ les lions, les tigres, les panthères et autres. .Même les indigènes, qui seraient heureux de pouvoir offrir un petit être comme toi, à leurs enfants comme jouet.. Pour l’ amour du ciel écoute moi, je voudrais te retrouver à mon retour. à moins que papa veuille bien .t’emmener dans ces expéditions..
PAPA , dit le gros singe, papa, c’est bien beau, va le retrouver le père biologique dans tous ces malabars de singes costauds et forts de cette forêt . Enfin puisque ma femme le dit, je veux bien le croire. BINGO est un singe bon et juste, il ne ferait pas de mal à une mouche..
Maman crie le bébé, il y a un gros ver de terre à me regarder avec de grands yeux et même à me tirer la langue , que dois je faire ? Tiens toi tranquille surtout ne bouge pas c’est un serpent, il partira tout seul.
Voila mon petit ange, tu as bien compris sois sage et elle partie de branches en branches, vers un arbre de baies, bien grosses et fraîches. Ma famille va pouvoir se régaler, nous en aurons pour deux jours au moins..
Maman singe, du nom de DOUDOU se dépêche . Elle n’a pas trop confiance en son lascar.. Qui sait tout ce qui peut arriver pendant son absence, elle est mal à l’aise, une peur bleue la prend subitement.
Comme elle est venue, en sautant de branches en branches, elle reprend le chemin du retour.
Déjà de loin elle aperçoit la branche sur laquelle son bébé devais l’attendre . Doux JESUS , le bébé à disparue. Les larmes aux yeux elle se mis à chercher dans tous les coins de la forêt.
Subitement elle voie venir de loin un petit éléphant, avec sur son dos, son enfant, rigolant de toutes ses dents. Maman maman, je suis là. JUMBO a chassé les vilains qui voulaient me faire du mal. C’est extrêmement gentil à vous d’avoir prie soin de mon petit trésor. Pour votre peine, je vous invite dans mon humble demeure, à déguster ces jolies baies que je viens de chercher.. Nous mangeons à 18 heures, soyez à l’heure.
JUMBO est parti, agitant sa queue et sa trompe en guise d au revoir..
AH si PAPA savait( ça, c’est comme ça qu’il a fait la garde . La prochaine fois je t’emmène sur mon dos et je serais tranquille..
Dans la forêt on ne rencontre pas seulement des braves JUMBO il y a aussi des bêtes féroces., qui avaleraient d’un trait un petit bébé singe pour le petit déjeuner.
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Dernière édition par Line le 08-05-2007 21:40; édité 2 fois
Posté le: 09-05-2007 21:41 Sujet du message: carnet de line
ET VIVE LA MARINE !
URL=http://imageshack.us][/URL]
En ce beau jour ensoleillé d’août .les rues de la ville sont presque désertes, c’est la saison des vacances .Quelques touristes et estivants se faufilent sur le passage,ignorant les feux rouges. Un malheur est si vite arrivé.
Devant l’arrêt du bus, notre copain VAREL attend patiemment sa correspondance. Est il dans la lune, ou a-t-il déjà l’affaire SCHMIDT, qui va se dérouler vendredi prochain ,en tête ? Pour la troisième fois, quelqu’un l’appelle. Oh l’ ALSACO , sans résultat. On lui frappe sur l’épaule, il sursaute. Bon sang, le BRETON, si je m’attendais. comme ça de bon matin. Que fais tu içi à cette heure çi. ?
Ce sont deux copains qui ont fait leurs service militaire dans la marine, il y a très très longtemps.Ca fait un bail, tu l’as dit. Ca s’arrose, Viens chez moi, c’est tout prés, nous allons boire une bonne bouteille de GEWURTZ, en cet honneur.
Te souviens tu de la NANA, du bar TEMPICO ; Tu voulais à l’époque te foutre à l’eau pour elle. quand elle s’est barrée. Tu étais un drôle de mataf . Marin sur un grand bâtiment, en pleine mer ne sachant pas nager., tu faisais la risée de tout le navire.. Tu étais jeune, tu t’en foutais. Tu n’avais pas besoin de savoir nager, la plupart du temps, tu le passais en taule, pour insolence envers un supérieur. C’est moi qui te ravitaillais en cibiches et bouquins. Elle était belle la vie à cette époque, nous étions jeunes et nous avions toute la vie devant nous.
Les voilà tous les deux arrivés chez les VAREL.
Ne me dis pas que cet ascenseur est encore en panne. La deuxième fois cette semaine je me tape les quatre étages. Encore quand on est pas chargé ca va, mais les gens avec leurs provisions, après le marché, c’est plutôt pénible. Il faudra de toute urgence que je place un mot chez le concierge, sinon je ne paye pas de loyer en attendant. Et basta..
Enfin arrivés là-haut nos deux amis soufflent, comme des boeufs dans les écuries .Il n’y a pas
à dire, mais en ce temps là, nous avions de l’endurance. Tous les soirs la bamboula et pendant la journée les quarts. On couraient de bâbord à tribord, dans les soutes dans les cales, on grimpaient sur les mats . Enfin on ne peut pas être et avoir été.
Dis te souviens tu te siouviens tu ? et quelle rigolade. Les deux faisaient un bruit infernal..
L’appartement est désert . C’est vrai, elle me l’a dit ma femme. Elle a rendez-vous chez son coiffeur. C’est bien ainsi, car il y- a des trucs, je ne lui en ai jamais parlé .Elle n’a pas besoin de tout savoir, car elle en ferais un monde .
Après la deuxième bouteilles de blanc, les esprits se mettent à chauffer. A vive voix on chantent POUR ETRE DANS L INFANTERIE DE LA MARINE IL FAUT AVOIR DE LA POITRINE Ils étaient tous les deux fusiliers marins jeunes et de bons vivants à l’époque.;
FREDERIQUE en rentrant a failli tomber à la renverse. Que signifie ce spectacle ? Les deux marins bien partis, Inutile de vous excuser, vous allez vous tenir à carreaux, ou je vous mets à la porte tous les deux .
VAREL commence à devenir lucide. Je sais ma chérie, j’ai fais une boulette . J’aurais dû l’amener chez GEGENE mais j’étais tellement content de le retrouver, après toutes ces années, le BRETON ; Viens je te fais un bisou. Vas t’en tu sent le pinard, j’ai horreur. Heureusement que c’est la première fois que je te vois dans cet état, sinon je ne serais pas Madame VAREL à l’heure actuelle.
Après une œillade, le BRETON ,se lève, fait ses adieux, et tout rentre dans l’ordre.Pour VAREL que de souvenirs, il est heureux comme un roi.. J’étais quand même beau gosse à cette époque là.
Posté le: 10-05-2007 22:23 Sujet du message: carnet de line
EAU PARFUMEE !
Au stand des galeries Lafayette une jeune femme très élégante est entrain de choisir une eau de toilette. Quelque chose de gai, de jeune de frais qui va bien avec son personnage, surtout pas un parfum lourd par cette chaleur.
La petite vendeuse se donne vraiment du mal à présenter toute la gamme de fioles de son présentoir, mais la cliente n’arrive pas à se décider .Ses yeux se pose sur un petit flacon d’une couleur sombre et demande à le sentir. La vendeuse se retourne pour voir si personne ne l’observe avant de souffler à l’oreille de sa cliente. Surtout pas celui-là madame, oh que non, c’est un produit du diable. Combien d’accident sont déjà arrivés à des personnes qui ont acheté ce produit Si ma patronne m’entend, je perds ma place sur le champ ! Elle prétend que ce sont des commérages.
Un jour une voisine en a acheté, elle est laborantine. Quelques gouttes sur une plaque de verre pour en connaître la formule, mais tout était brouillé, le tout illisible. Elle a donné ce flacon à sa cousine, laquelle a fait une chute mortelle dans les escaliers. Un autre cas - Une dame a trouvé dans le carton de la fiole un petit billet lui disant que dorénavant tout ce qui lui était interdit jusqu’à présent est toléré maintenant depuis qu’elle possède ce parfum. Devant la barrière d’un train elle fait halte avec sa voiture. Les feux rouges et verts se succèdent, elle démarre et c’est la catastrophe. Je pourrais vous en citer des exemples et tout ceci dû a ce satané parfum. Je vous en conjure ne l’achetez pas madame.
Voici la patronne qui arrive. Puis je me permettre de vous aider à faire votre choix. Ah je vois vous vous intéressez au « NUIT DE CHINE «, il est unique, gai frais vaporeux. Je vous le conseille vivement, il va bien avec vous. La vendeuse par contre essaie de l’en dissuader et fais des mains et des jambes derrière le dos de sa patronne. Mon employée va certainement vous le déconseiller, comme elle le fait depuis des mois, mais moi je vous dis ; là vous faites une bonne affaire. !
Apres le départ de la patronne, la vendeuse raconte, que le diable en personne est venu la trouver pour lui dire que c’est lui-même qui fabrique cette essence avec des herbes rares trouvées tout là-haut dans les montagnes et ou lui seul a accès. Ne riez pas Madame j’en ai la preuve. Le diable est boiteux, même qu’il a laissé ses empreintes brûlées sur les dalles de notre maison.
Plusieurs jours après, la pauvre vendeuse se trouve derrière les barreaux d’une maison de repos. Ses nerfs sont ébranlés, la fatigue, le stress, elle en aura pour des mois à se remettre. Comme c’est un bon élément la patronne va se débarrasser de « NUIT DE CHINE « dans sa
gamme de parfum et lui réservera sa place derrière le présentoir.
D’après les médecins, elle a pété les plombs en faisant un mauvais rêve, la pauvrette. _________________ !
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Dernière édition par Line le 10-05-2007 22:40; édité 1 fois
Posté le: 11-05-2007 21:39 Sujet du message: carnet de line
ENCORE ET TOUJOURS VAREL !
Demain inspection de la prison, par une délégation de l’assemblée nationale, entre autre un ministre . Aucun nom ne sera divulgué, par sécurité. Le directeur fait venir VAREL dans son bureau, pour lui dire qu’il a été désigné d’office pour conduire cette délegation et que toutes mesures sont prises. Mon cher ami, étiez vous déjà au courant, de cette visite ?
Non pas spécialement, mais vous savait bien, es ragôts et les racontarts, ça va vite dans une petite ville comme la notre. Ah VAREL, je croyais à votre âge que vous aviez outrepassé, ce genre de nouvelles éclairs.
Prenez avec vous vos meilleurs éléments et placez les a votre convenance dans la file des visiteurs. Je compte sur vous, comme d’habitude, je veux vous m’entendez bien , une sécurité parfaite.à toute épreuve. Le déjeuner sera pris, dans une caserne, ( messe d’officiers), laquelle vous sera révélée en dernière minute. Au revoir VAREL
LINE
Posté le: 13-05-2007 00:01 Sujet du message: carnet( de line
LE TRIBUNAL !
L’AUDIENCE A COMMENCEE !
Quelques jours après !
VAREL devant le grand jury- doit s’expliquer au sujet du prisonnier ici présent.. Monsieur VAREL venez à la barre. Levez la main et dites , je le jure .
Un prisonnier enchaiîné aux mains et aux pieds, entre deux malabars de policier., attend qu’on veuille l’interroger..
C’est une » affaire qui s’est passée, il y- a quelques mois dans une villa isolée de la ville. Une résidence enfouie dans les bois, avec un immense jardin autour.. Le propriétaire, un artiste peintre , vient là pour s’inspirer et pour le calme absolu de cet endroit. Lieu désert et de loin on ne peut voir le domaine, construit en plein dans la végétation.
Un beau jour le peintre décida d’engager une jeune femme pour ces travaux de bureau. .Le peintre célibataire, cherche une compagnie pour ses fins de semaines. Il trouve en la personne d e Julie LATOUR cherchant un emploi. La place est tres bien payée, et c’est pour ceci que la fille décide d’aller travailler dans cet endroit isolé.
Un beau jour la voila qui arrive avec sa voiture , dans le chemin principal, devant la port(e d’entrée. Elle sonne, personne ne répond. Allons faire un petit tour dans le parc, se dit elle en attendant. Prés du lac , elle aperçoit un Monsieur, un chat( dans les bras, se promenant entre les roseaux.
Le peintre vient de la voir et lui fait signe d’approcher. Il se présente LUCAS BLANC ,les présentations sont faites. Après la visite e la maison, autour d’une tasse de cafe,ils font plus connaissance.
La jeune femme voudrais prendre un bain, u’à cela ne tienne. Pendant ce temps dit le peintre , je vais tirer un lapin pour ce soir et il s’en va fusil à l’épàule.
Dans sa salle de bain, la jeune fille, hésite à se déshabiller . Elle crois avoir vu une silhouette devant la fenêtre entrain d’épier, tout ce qu’elle fait..
Elle sort sur le perron et que voit elle du sang, du sang et toujours du sang. Le peintre avait sçn fusil, alors c’est lui_qui a tirer. A quelques pas de là le petit miinet que nous avons vu tout a l’heure, repose sur les dalles ;,mort.
,
La jeune fille s’enfuit, aussi vite que ses jambes l’emportent. A deux kilomètre une petit maisonnette. Un homme se tient sur le pas de la port(e. La jeune femme lui raconte son histoire . Il »st gentil ce monsieur, elle a tout de suite confiance en lui. Ils se tiennent d’amitié et( deviennent des amis., mais pas pour longtemps. Le voisin voulait à tout prix le départ de la fille. En lui faisant peur.
Aujourd’hui le chat, demain le chien, le canari. La fille perd la tête et( va trouver le peintre en lui disant que c’est un meurtrier. Celui là tombe des nus. Lorsque qu’il apprend que la fille va quitter la maison.
Un beau matin de bon heure, dans le parc elle rencontre le voisin, les mains pleines de sang .Ils vient de tuer trois pigeons voyageurs. Et c’est( alors qu’elle a compris, qui était le meurtrier..
Le voisin et l’artiste étaient il y a quelques mois très liés. Un soir après avoir bien arrosé le peintre dit au voisin. Un jour tu hériteras de ma résidence. , je me sens vieillir.
Le voisin de peur de ne plus être le préféré, voulait également tuer la jeune femme ; Heureusement5 que le peintre était sur ses gardes pour l’en empêcher. Il lui tirant deux balles dans les jambes, et téléphona à la police..
Une demie heure après, notre commissaire était sur place.
Après l’hôpital le meurtrier fût incacréré . Il pourra tourner en rond en attendant le verdict du jury.
Et voila la déposition de notre ami VAREL, lors de son interrogation devant( k TRIBUNAL ;
La jeune femme est( devenue méfiante, elle ne fait plus confiance à n’importe qui..
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Posté le: 13-05-2007 14:38 Sujet du message:
Hello Line !
Un gros bisou à toi avec mes remerciements pour les belles histoires que tu nous raconte !
J'aimerais bien, comme Amarange, que tu nous donnes aussi quelques nouvelles de ta santé (juste deux lignes. On n'est pas indiscrètes, mais on s'intéresse beaucoup à toi ! ) _________________
Je vais tout de suite te rassurer. Ca va mieux mais c est toujours pas ca. J ai encore chope un microbe STAPHILO DORE ) avant de rentrer' chez moi. Et mon souffle ne va pas tres fprt. Je pompe a longueuèr de journee.
Il parait quE mon coeur bat la chamade. En tout cas tros vite.
Posté le: 13-05-2007 21:30 Sujet du message: carnet de line
URL=http://imageshack.us][img]hUN BEAU PARTERRE DE FLEURS !
bleu azur, sans nuage des rayons de soleil plein feux sur un parterre de fleurs. La tulipe, le myosotis, la jacinthe et la pervenche se sont donnés rendez-vous ce matin pour une Une grande nouvelle vient de nous être annoncée. Je sais qu’il fera très beau ce jour la avec du soleil partout, même dans nos cœurs.
Un ciel d’un sortie printanière. Puis je me joindre à vous dit la petite primevère mauve et blanche, elle est adorable avec sa mini jupe dentelée. Mais oui dit la tulipe, plus on est de fou et plus on rigole n’est ce pas Monsieur crocus. Le crocus fait une révérence et laisse passer la petite fleur à peine éclose. Mais tu es mignonne comme un coeur, tu as quel âge toi ? J’ai un jour monsieur. On entend un peu plus loin, le coeur c’est moi. Je suis le coeur de Marie. Oh excusez moi Madame, je ne vous ai pas vu, quel étourdi je suis.
Vous ne trouvez pas que c’est moi la plus belle des fleurs ici présentes ? Oui vous êtes la plus prétentieuse et imbue de votre propre personne, Mademoiselle la ROSE.
La petite pervenche bleue rigole, et laisse tomber doucement sa tête sur la plate bande. Voila qui est bien dit Monsieur crocus .Qu’est ce qu’elle est hautaine cette rose ? Nous devrions lui donner une leçon ?
Aussitôt dit aussitôt fait. Toutes les fleurs se sont rassemblées autour de la rose comme si on voulait l’étouffer. AU SECOURS AU SECOURS cria la rose, vous m’empêchez de respirer. Vous fripez mes beaux pétales de velours, comment osez vous ? Arrière, arrière. Les fleurs s’étaient données la main et le cercle se referma sur la rose en mauvaise posture. La belle rose commençait à laisser tomber sa tête et deux grosses larmes tombèrent de son coeur d’artichaut. Laissons la maintenant dit la pervenche, elle a eu ce qu’elle méritait. Je ne voudrais pas être à sa place. Au grand jamais dans ce beau jardin elle ne trouvera un ami
fidèle.
Une narcisse, blanche à cœur jaune embaume ce parterre de fleurs du printemps. Le soleil brille et les fleurettes se mettent à chanter accompagnées par les oiseaux des jardins. Les clochettes tintent et la grenouille coasse. Tout revit, tout fleurit, c’est le printemps, le renouve
Les cloches carillonnent, JOSE EST REVENU
_________________
[ttp://img442.imageshack.us/img442/5905/visua7ol1.jpg[/img][/URL] _________________ !
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Dernière édition par Line le 13-05-2007 21:59; édité 2 fois
Posté le: 14-05-2007 05:37 Sujet du message: c&rnet de line
LA FORET
La forêt a mis son manteau du dimanche
Le feuillage a subitement changé de couleur
L’automne a dégarni pas mal de branches
Quelques pâles rayons de soleil, pour notre bonheur.
A l’orée du bois, un faon se promène
La mousse et le champignons, font parti du décor
Le vent nous chante sa complainte
De la naissance, de la vie, de la mort
Profitons de ce moment de liberté
Regardons l’oiseau qui s’envole et disparaît
Remercions le ciel pour chaque main tendue
La vie est belle, elle vaut la peine d’être vécue. LINE _________________ !
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On ne se fera pas prendre par de belles paroles 
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