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Posté le: 16-06-2007 23:33 Sujet du message: carnet de line
DISPARUTION D UNE JEUNE FILLE !
Oui cette histoire est une histoire partiellement vraie et se passe dans une grande ville du nord en France ;
Un couple avec trois enfants, commerçants est un couple sans histoires, comme des milliers d’autres. .Les gosses font la joie des parents, la fille 15 ans les garçons l’un 12 ans l’autre 10 La fille est réellement décidé de faire plus tard vétérinaire, les garçons pour l’instant n’ont rien en vu.
La fille ramène un très bon bulletin tous les trimestres., les parents en sont fiers. Elle est studieuse, sérieuse, polie est bien éduquée. Son nom est MARTINE .et elle est première de sa classe.
Martine à un ami, qui_ régulièrement le soir la prend à l’école,. ses parents n’en savent rien. C’est un frontalier qui vient de Belgique, travaille en France dans la métallurgie et a quelques années de plus que la jeune fille.
Un soir comme a l’accoutumé, les parents attendent leur fille, elle devrait être rendue depuis belle lurette. Ils commence tous les deux à s’inquiéter car’ elle n’est jamais rentrée aussi tard , elle ne vient pas et ne rentrera plus jamais. La petite a disparue, Ses copines de classe l’ont vu prendre le chemin de la maison accompagnée, comme tous les soirs de son ami..
Un voisin l’ aurait vu monter dans une voiture de luxe bleu ciel, direction centre ville.., en passant par là .
La mère pense devenir folle., elle ne s’est jamais remise. Elle va à l’église prie tous les saints qu’on lui rende sa fille son enfant . Elle va voir des diseuses de bonne aventure ave leur boule en cristal, cartes de jeux, marc de café. . La dernière, lui dit. Je vois votre fille sous un pont de chemin de fer, enfouie sous des gravillons pas loin d’içi. La police laissa contrôler tous les ponts sans résultats. Mais ou est elle cette petite, ce n’est pas une fugue, elle ne l’a jamais fait. Les moindres petits secrets, elle les confiait à ses parents, leur faisait confiance, elles les adorais. .
On se demande n’a-t-elle pas été kidnappée et enfermée derrière une devanture, dans le
quartier du sexe ? en BELGIQUE OU HOLLANDE ?
Plusieurs années ont passées depuis, la jeune fille ne s’est jamais manifestée. La maman vie toujours sur les nerfs, mais a elle le droit d’oublier ses deux garçons à cause de sa fille. Elle commence à se faire une raison. Le papa fait tout pour l’aider à passer ce cape difficile. Nous aussi tes fils et moi avons besoin de toi, soit courageuse, tu vas tomber malade.
Plus de trente ans ont passés depuis. Le dossier de la recherche de police et depuis longtemps clos.. Nous ne saurons jamais rien sur cette affaire de cette jeune fille, disparue .
LINE
COUCOU CHERS AMIS BISOU ET5 A DEMAIN _________________ !
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Dernière édition par Line le 16-06-2007 23:49; édité 1 fois
COMME JE N AI PAS ECRIS D HISTOIRE AUJOURD HUI JE M EN EXCUSES; TOUJOURS FATiGUEE LE REPOS S IMPOSE ) je vais vous raconter une anecdote, qui m'est arrivée cette semaine.
Comme vous savez bien, j'ai le matin un infirmier JOELLE , qui passe tous les matins à la maison., me donner mes médicaments car j'en ai une flopee. Il me fait prendre la douche, il me soigne et me pense mes jambes Comme j'ai aussi mal aux jambes il me met une crème, surtout( sur les talons.
Cette semaine Joelle me pose la question, et les talons. Comme je suis malentendante j'ai compris et l étalon. Je répondd'une voix ferme, eh bien celui là il est sur le marché faire des courses pour midi.Plus on devient vieux plus on devient bête. Bon dimanche bisou LINE _________________ !
Posté le: 17-06-2007 10:33 Sujet du message: réponse
bonjour ma LINE j'espère que tu continues a allermieux, ton infirmier a du bien rire avec ton étalon, bonne journée et gros bisous soignes toi bien!!!! _________________
Posté le: 17-06-2007 22:47 Sujet du message: carnet de linE
DANS LE PARC D UNE MAISON D’ ALIENES !
Sur un banc dans un parc une jeune fille berçe un landau. Sur un coussin en dentelles blanc comme neige, se trouve un poupon en chiffons empaillé. La fille a les yeux baissés et murmure tout doucement, dors mon bébé joli, dors, maman est là. A peine quelqu’un s’approche, elle les injurie et prend place sur un banc plus loin, de peur qu’on puisse lui prendre son enfant. Cette pauvre fille est internée depuis des années dans cet asile A t’elle perdu la tête ou est elle dérangée de naissance ? Personne ne sait, elle est seule, jamais personne ne vient lui rendre visite. Elle doit être heureuse, elle vit dans un autre monde avec son poupon, le reste ne l’intéresse pas.
Une infirmière appelle « MADELEINE »c’est l’heure des médicaments ! Madeleine ne vient pas. Elle a dû prendre la fuite devant une ribambelle de garçons qui sont venus la déranger sur son banc. La voila maintenant qui sort du grand portail et va tout droit sur la chaussée avec son landau entre les voitures qui circulent à grande vitesse. Mon Dieu mais ou va-t-elle, elle ne le sait pas, elle va tout droit devant elle.
Elle est subitement fatiguée, s’allonge sur l’herbe d’un pré et s’endort.
A l’asile, grand branle-bas, tous les coins et recoins sont visités. La pauvre petite reste introuvable.
Pendant ce temps sur le chemin du pré un cycliste un peintre avec une blouse blanche circule et voit la jeune fille dans l’herbe. Cette dernière en voyant cette blouse blanche se croit a la clinique en présence d’un docteur. Les yeux hagards et ce poupon empaillé, le cycliste a tout compris, il faut la remettre à la police, elle a dû se perdre, cette petite.
Arrivé au commissariat, VAREL attend déjà depuis un moment. Il savait déjà car la clinique lui avait téléphoné.
Une heure après MADELEINE est de retour On ne pourra plus la laisser seule dans le parc dorénavant, il faudra la surveiller.
Elle avait tellement peur qu’on lui vole son bébé. De loin vous l’entendez déjà chanter dort mon bébé dort
dormez bien sur vos deux oreilles moi je n arrive pas bisou line
LINE _________________ !
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Dernière édition par Line le 17-06-2007 23:04; édité 1 fois
bonne nuit les petites.Pour moi c est deja termine.Deux heures et je n'ai plus sommeil, pourtant j'étais fatiguée en meciuchant. Grosses bises LINE a demain
[
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VOICI L HISTOIRE !
[]Notre cher ami VAREL ce matin dans les archives de la police départementale est entrain de rechercher un cas, qui n’a jamais été élucidé et qui s’est passé, il y a cinq ans. Sur un chemin tortueux en plein dans la broussaille, sur un flan d’une montagne un cycliste a été tué . Son corps fut trouvé par un chasseur et son chien qui gambadé sur les prés de la colline[]La mort fut instantanée, d’après le médecin légiste, la cause n’a jamais été trouvée. Ecoulement de sang par les narines et les oreilles à premier abord, constat d’un. traumatisme crânien.[/]VAREL secoue la tête. Il va falloir reprendre tout ça de A à Z, nous n’avons pas le choix.,dit il au brigadier. Pour demain je tiens à avoir tous les dossiers concernant cette affaire sur mon bureau. Nous aurons du pain sur la planche, il n’y a que la chance qui puisse nous sortir de là.[/
par étape. Comme il n’y a pas de témoins, ça va être très dur. Ca va être comme un nœud dans une ficelle, une fois qu’on a attrapé le bon bout ça ira tout seul . ]
]Le même soir après souper. Mon cher VAREL, tu n’es pas bien bavard ce soir Veux tu sortir pour te changer les idées ? mais VAREL pense constamment au cadavre trouvé là-haut dans la montagne, il y a des années. Une chute mortelle, oui d’accord , mais on a retrouvé dans la poche du malheureux une lettre de menaces lui signifiant, qu’il avait intêret de se tenir à carreaux , s’il ne voulait pas d’embêtement dans les prochains temps. ]Ma chère FREDERIQUE , je vais prendre une bonne douche et après une nuit de sommeil réparateur, je me sentirais d’aplomb, pour affronter ces gros dossiers qui m’attendent., sur mon bureau. demain matin[/
Le lendemain, VAREL demande à son chauffeur de le conduire au lieu de l’accident, pour avoir une idée des lieux. Sur le chemin on peut lire sur une pancarte « ASSOCIATION de maquettes d’avions téléguidés ( modèles réduits ) ouvert tous les jours pour les membres . de l’association. Buffet
[] Venez chauffeur, je vous paye l’apéro, sait on jamais, peut être un petit indice, nous mettra sur la bonne voie.[/
]A cette heure ci ce n’est pas la bousculade, quelques rares membres avec leurs maquettes sur les pelouses font des exercices avec leurs avions téléguidés. Quelques questions disperses à droite et à gauche, sans importance . Voici le gérant de la buvette . VAREL sort sa carte et commence à papoter . Vous souvenez vous de l’accident, qui s’est produit il y a cinq ans pas loin d’ici . Le gars qu’on a retrouvé mort dans la descente avant d’arriver au croisement du bourg.. Bien sur que je me rappelle, c’était un membre de notre association et quel membre . Un des premiers je vous dis, toujours présent pour les mettings, presque pas de concurrence
]A par Simon, le jaloux, qui s’est fait descendre un our son avion par inadvertance , et qui menace tout le monde maintenant.[/
]Que pensez vous de cette histoire mon brave. Oh mais que voulez vous l’affaire est classée depuis bien longtemps ,plus personne n’en parle .
[Vous seriez venu à l’époque prendre des renseignements, j’aurais peut être pu vous aider, mais maintenant après toutes ces années Je ne me souviens plus que vaguement de cette histoire entre CHRETIEN ( le mort) et SIMON le jaloux . Lors d’un metting , SIMON s’est fait descendre son avion en plein vol par CHRETIEN et une bagarre a éclaté. SIMON a lancé des menaces de mort à ce moment là. Il était fou furieux et il a fallu l’évacuer de force du terrain. Que nous étions tous des lâches de se prendre à la maquette au lieu de prendre comme cible, le manipulateur. Que lui avec son petit avion puisse faire sauter tout le terrain d’aviation et les poursuivre dans un rayon de X kilomètres. Voici , ça fait tilt chez VAREL. Des renseignements plus qu’il n’en faut pour ce matin.
Tout le reste va de soit! CHRETIEN attend son adversaire derrière un gros sapin avec son avion téléguidé Dans la descende il le traque et lui fait exploser la tête, donc la chute et le sang . Il ramasse ses débris d’avions, pour ne pas être reconnu et voila. Sans tous ces renseignements précieux de la part du gérant, le dossier serait toujours en souffrance. ]Brigadier, nous touchons à la fin Il n’y a que le meurtrier qui est à cueillir et pas plus tard que cet après midi
a chance lui a sourit
LINE
aujourd’hui à VAREL _________________ !
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Dernière édition par Line le 19-06-2007 08:21; édité 1 fois
Inscrit le: 06 Jan 2007 Messages: 2202 Localisation: belgique (hainaut)
Posté le: 19-06-2007 19:21 Sujet du message:
merci Line pour tes histoires
moi qui me plains d'avoir des nuits agitées et écourtées .....
les tiennes sont vraiment très réduites
tu ne te sens pas fatiguée de dormir si peu?
bises _________________
un jour à la fois
Posté le: 19-06-2007 22:32 Sujet du message: carnet de line
La révolte des joujoux
URL=http://imageshack.us][/URL]
On vient d'éteindre la lumière,
Bébé succombe à son sommeil.
Mais les joujoux, très en colère,
Dans le placard tiennent conseil
-
Les joujoux font grève, ils en ont assez
D'être tracassés et fracassés.
Le ballon qu'on crève, la poupée qu'on bat,
Sont lassés des jeux et des combats.
- Le pompier n'a plus d'échelle.
Le tambour est plein de trous.
Le cheval n'a plus de selle.
L'auto n'a plus de roues.
- Mais ils se soulèvent contre cet enfant,
Il va voir comment on se défend.
- Le chef a dit "marchons en ordre
Vers celui qui nous démolit !
Pour le griffer et pour le mordre,
Nous grimperons au draps du lit."
- Mais l'enfant sommeille, tendre et gracieux
comme un chérubin tombé des cieux.
Devant ces merveilles, les joujoux surpris
Se sont arrêtés, tout attendris
- Le pompier dit "tout de même
Un bébé c'est bien gentil"
Le tambour dit "moi, je l'aime"
Alors ils sont repartis.
- Quand l'enfant s'éveille
Vers huit heures et quart,
Les joujoux sont tous
Dans leur placard...
Je tiens cette chanson d'un vieux vinyl de Lisette Jambel : "Lisette Jambel chante pour les enfants"
_________________
Je poste le soir maintenant. Bonne nuit bisou LINE _________________ !
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Dernière édition par Line le 19-06-2007 22:47; édité 1 fois
Posté le: 20-06-2007 22:05 Sujet du message: carnet de line
LE MANIAQUE DES TRONCS !
Sur la vieille pendule dans la cuisine de FREDERIQUE il est 20 heures passé. VAREL a du retard ce soir, ce qui lui arrive souvent ces derniers jours. Le chat et le chien derrière la porte attendent comme tous les soirs son arrivée avec impatience. Ils se sont déjà habitués l’un à l’autre et comme deux vieux copains à tour de rôle viennent chercher des câlins chez le commissaire installé dans son vieux fauteuil, le soir devant la télé. .
Le voilà ce cher VAREL tant attendu. Il quitte ses chaussures dans le vestibule et voilà ! Les charentaises ont encore disparu. Bon sang de bon sang où sont mes schlapp. Lequel de vous deux les a planqués ?
Bonsoir FREDERIQUE as-tu vu ces deux brigands qui d’un commun accord se cachent dans un coin et font la sourde oreille ? Ne venez surtout pas mendier, lorsque nous passerons à table ! Comme vous êtes gourmands tous les deux, vous n’aurez rien tant que vous ne me rendrez pas mes savates. Voila votre punition.
Oh FREDERIQUE ça sent bon chez toi dans la cuisine. Je parie que nos deux lascars auraient aimé. Les voila qui arrivent chacun une charentaise dans la gueule, unique !
VAREL as tu lu le journal aujourd’hui ? Un maniaque des troncs d’églises a pillé à Nancy, c’est peut être le même que celui prés de la frontière ? Sait on jamais ! Il s’est fait dénoncé par le curé qui l’a confessé. La police est venu sur place pour l’arrêter Après interrogatoire, parait il que le voleur a déjà manoeuvré dans plusieurs villes de France et ceci pendant des mois et des mois.
Je n’ai pas eu le temps de lire aujourd’hui, même pas eu le temps pour aller manger à midi. Donne moi ça, je le lirai après souper, pour l’instant j’ai très faim et tous les deux passent à table. A peine commencé le téléphone sonne !
C’est le brigadier de service. Il vient d’avoir une communication de la police de Nancy, comme quoi le voleur va être transféré demain matin à Strasbourg. Ce sera VAREL qui devra s’occuper de son cas. Encore un dossier en plus, ça ne finira donc jamais. Il ne sait plus par où commencer, vivement le jeune homme, la relève, pour qu’il puisse enfin respirer.
Le lendemain de bonne heure VAREL est dans son bureau et attend le fourgon avec le prisonnier. Tiens donc les voila, faites entrer dit VAREL. La première des choses qui frappe le commissaire se sont les doigts du voleur, jaunis par la nicotine. Un très gros fumeur pardi ! Cigarettes et briquet confisqués sur le champ. Vous n’avez pas le droit ! Comment ! Moi j’ai tous les droits ici réplique VAREL. Pour commencer tu vas gentiment me raconter ton emploi du temps à NANCY. .Si tu te mets a table t’en auras une de cigarette, mais pas avant.
La matinée passe, VAREL n’est pas plus avancé. Il fait miroiter son paquet de clopes et il sait pertinemment que s’il y a aveux, ce sera grâce à la cigarette. Et il avait raison ;
C’était bien lui qui a tué la dame patronnesse en l’église Jeanne d’Arc du port. Il a fait des aveux complets et son jugement sera imminent. La prison l’attend pour quelques années.
LINE _________________ !
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Dernière édition par Line le 21-06-2007 09:39; édité 1 fois
Posté le: 21-06-2007 22:08 Sujet du message: carnet de Line
LE SOUFFRE DOULEURS !
s Dans un beau parc, entouré de magnifiques parterres avec rosiers de toutes couleurs, une villa à perron en marbre de CARRARE ; A premier abord, ça fait penser au calme, au repos, aux vacances et pourtant.
La maison est habitée par un couple et six enfants… 3 garçons et 2 filles. de Madame en première noce .et 1 garçon pour monsieur.. Madame était veuve lorsqu’il se sont connu et monsieur un célibataire endurci , qui éleva tout seul , son gamin. Il l’a reconnu d’ailleurs à l’époque et ne voulait pas s’en séparer.. Pour monsieur tout va bien pour le meilleur du monde, mais les apparences sont des fois trompeuses.
Madame adorait ses enfants, mais uniquement les siens . Le garçon de son mari, elle l’exploitait du matin au soir. Vaisselle, scier du bois, laver le parterre, même se faufiler dans des endroits presque pas accessibles dans les combles sous les poutres et tuiles pour balayer.
Le gamin subissait ; il ne disait jamais rien à son père. Mais il savait lorsqu’il sera un peu plus grand, qu’il quitterait la maison, si belle qu’elle soit.
Son estomac gargouillait toute le journée de faim. Pour lui c’était les restes quand les autres n’en voulaient plus.. Madame haïssait ce pauvre garçon profondément. Lorsque son mari était présent, elle prenait même le garçon sur ses genoux, pour faire voir qu’elle était une bonne mère pour le petit.. Ca marchait, le papa y croyait fermement.
…
Ca ma rappelle un peut la « VIPERE AU POING » et la FOLCOCHE ;de HERVE BAZIN ;
;
Un beau jour en faisant les courses pour toute la famille à pied jusqu’au bourg, il rencontra une troupe d’artistes de cirque, venu de Russie, pour donner des spectacles.
Jusqu’à présent le gamin n’a rien dit à son père, pour ne pas brouiller le ménage, mais maintenant c’est le moment d’agir.. Il s’adressa au directeur qui_ spontanément l’embaucha
comme garçon d’écurie.
Il savait qu’il allait faire un immense chagrin de partir sans laisser d’adresse à son papa , mais maintenant c’était trop. Le pauvre n’en pouvait plus et pendant des années on était à la recherche de ce garçon. jusqu’au jour ou par un hasard, ADRIEN rencontra un homme de son pays. Celui-ci connaît son père et lui dit, qu’il est veuf, que sa femme est décédée, il y a un an.
ADRIEN fou de joie prend le téléphone. C’est le papa qui décroche, SEIGNEUR c’est mon fils. Maintenant ADRIEN révèle à son père, tout ce qui s’est passé pendant des années et lui demande pardon de l’avoir laissé dans l’angoisse, toutes ces années ç.
ADRIEN prend congé de la troupe en les remerciant du bon accueil.
A la maison , le revoyure fût chaleureuse, j’aime autant vous dire. Les enfants ont maintenant( un certaine âge et se sont dispersés à droite et à gauche. .
Le papa a gardé une certaine rancœur, qu’aucun des gosses n’a eu le courage de lui avouer la vérité.
LINE ; _________________ !
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Dernière édition par Line le 21-06-2007 22:17; édité 1 fois
Posté le: 22-06-2007 22:15 Sujet du message: carnet de line
EXPOSITION DE TOILES - LE VERNISSAGE !
Dans la grande salle de l’Aubette, place Kléber à STRASBOURG, ce soir vernissage, des toiles du peintre Strasbourgeois N. BIALECK, PAYSAGISTE, dont les couleurs sont un vrai régal, pour les yeux. Le vernissage bat son plein, car les amateurs sont nombreux à
admirer ces chefs d’œuvres. Monsieur et Madame VAREL font partis du jury ce soir et avec l’avis du public, choisiront le plus beau tableau, qui sera exposé pendant un an dans le musée NOTRE DAME – Château de ROHAN.
Le comité est entrain de déguster le champagne et les petits fours, lorsque une sonnette d’alarme retentie. Les pompiers sont sur place au cas où, pour évacuer la salle, mais il n’est pas question de feu. Un voleur vient de décrocher une œuvre de BIALECK dans une salle avoisinante et a pris la fuite, direction place Broglie, ou il s’est perdu entre les piétons. C’est une œuvre du nom de « LA GLORIETTE DU PARADIS » 1m sur 0,50 m avec cadre doré.
Le voleur portait une blouse blanche et un chapeau en feutre noir. Tout le monde le prenait pour un artiste, qui changeait de place le tableau, pour lui donner plus de valeur, plus prés de la fenêtre. En fin de compte c’était un copain qui prenait la réception en attendant de pouvoir en toute tranquillité se mêler à la foule.
Quel gâchis, la soirée avait si bien commencée. VAREL va demain faire un compte rendu à la police judiciaire. La compagnie d’assurance va également se mettre en route pour retrouver cette toile, qui était assurée pour la coquette somme de ? D’Euros. Pourvu que le voleur ne sorte pas cette toile en dehors du département, sinon les formalités seront longues.
VAREL est furieux ! Devant mes yeux il a fallu que ça arrive, je n’en reviens pas dit il à FREDERIQUE ; Viens rentrons dit elle dernière, le mal est fait ; tu n’y changeras rien.
La suite de cet évènement dans une prochaine histoire. La retrouvaille du tableau BIALECK si vraiment on le retrouve un jour……
LINE _________________ !
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Dernière édition par Line le 22-06-2007 22:43; édité 1 fois
bonjour ma linette,
je viens te voir, ici, ne crois pas que je t oublie....
mais ces 15 jours ont été bien remplis............réunion sur réunion..
et les 15 jours qui arrivent seront pareil.......
je vais remplacer une collègue..........alors imagine,....
je te fais un bisou, porte toi bien..............et surtout prends soin de
toi, n en fait pas trop............deux gros bisous, je te fais...
Posté le: 23-06-2007 13:59 Sujet du message: REPONSE
boçnjour ma fille.jecommencais à désespérer,sans nouvelles de toi, depuis un bail. Moi aussi je te fais de gros bisou.Ma santé va mieux,uil n'y a que le sommeil. Je confons la nuit et de jour. Je poste en général la nuit, ça me permet de triouver loa nuit pas si longue.
J'espère t'ent(endre bientôt.GROS GROS BISOU TA LINE _________________ !
Posté le: 23-06-2007 22:10 Sujet du message: carnet de line
VAREL FAIT UN TOUR AUX PUCES
Shot at 1969-12-31
uelques semaines aprés
On est lundi matin. Un beau soleil sur Paris incite les promeneur à flâner dans
la capitale. Il est dix heures et pas maL de touristes longent les rives de la seine.
Ses ponts, fraîchement dorés, brillent comme du feu se reflétant dans l’eau, c’est un régal pour les yeux.
VAREL vient d’arriver’ avec le train gare de l’Est. Une séance l’attend cet apes midi, au tribunal de grande instance, pour une vieille histoire, de contre bande . Un taxi le conduit. Jusqu’au pont de l’ Alma, ou beaucoup de bateaux de plaisance sont amarrés., le drapeau au vent.
Comment tuer sa matinée, il vient de copieusement déjeuner et décide de faire quelques pas jusqu’aux puces, installées sur le bord de Seine. .Des vieux bouquins , des tableaux de reproduction et des vieilleries sont présentés. Les passants fouillent et fouillent pour trouver leur bonheur, dans ce bric à brac .étalé sur le trottoir.
Notre ami_ VAREL, consulte sa montre . Il est presque onze heures. et trop tôt pour l’apéro et le dîner. Allons voir ces croûtes exposées sur les étalages qui, représentent, des moulins à vent, des fleurs, des paysages. Parmi tous ,il y en a un qui le fascine tout particulièrement. Ou l’ai-je déjà vu celui-là ?Il a beau se creuser les méninges. Sacré VAREL se dit il à soit même, tu te fais vieux maintenant et pourtant, il sait qu’il sait., et ceci l’énerve.
.
En tournant ce tableau entre la corde et le cadre un vieux morceaux de journal est resté accroché. VAREL le retire et on peut lire .Prochainement vernissage des œuvres de notre peintre alsacien BIALECK dans les salles de l’AUBETTE, place KLEBER à STRASBOURG ; Mais je le savais crie VAREL , je l’avais sur le bout( de la langue..
Apres l’expertise, il s’est avéré que le tableau était( l’original. Le tribunal a tout de suite mis la main dessus. Le voleur a été pris , quelques jours après.
VAREL se frotte les mains. Encore un dossier de clos. Je crois bien, qu’a cette cadence, il va falloir que je rempile pour liquider toutes ces affaires. Enfin on verra, d’ici là encore quelques mois.
Le soir en rentrant, dans le train qui le ramène à STRASBOURG , il pense à toute sa carrière passée dans la police. Avec son flair, il faut( dire il était né pour..
Les bruit monotones des rails , le fatiguent. Il ferme les yeux et il s’endort ;l
STRASBOURG STRASBOURG , tout le monde descend. LINE _________________ !
Posté le: 24-06-2007 23:05 Sujet du message: carnet de line
L AVEUGLE !
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Au carrefour, devant l’école LE GRAND, un aveugle essaye de passer entre la file d’automobiles qui se présente. Les klaxons l’avertissent qu’il ne faut pas bouger, il s’arrête sur le champ. Dépaysé, il ne sait que faire et attend patiemment qu’on vienne le libérer de sa fâcheuse posture. Une petite fille d’une dizaine d’année prend soin de lui. Elle lui prend la main et lui dit, viens je vais te guider pour traverser la route. Tu es gentille toi et comment t’appelles tu ? Lyly, répond la petite, il est midi, je sors de l’école en face. Je te vois tous les jours sur mon chemin. Et toi comment t’appelle tu ? L’aveugle hésite un moment et il répond, mon nom c’est MAX
MAX propose à la petite d’aller acheter du raisin chez l’épicier du quartier. Tu aimes le gros raisin, tu sais le dattier, il est extra. On va se payer une grosse grappe chacun et on va se régaler. Non ma maman a dit qu’il ne fallait aller avec personne sur le chemin de l’école et rentrer aussitôt l’école terminée. Tu vas m’accompagner et lorsque tu auras mangé, tu rentreras chez toi. Oh ce bon raisin, j’en ai déjà l’eau à la bouche, et la petite fille sans hésiter encore, l’accompagna.
Tu sais LYLY, je viens de déménager et je ne connais pas bien encore mon chemin par cœur. Là où j’habitais, rien qu’avec ma canne blanche je circulais partout. Je viens de me commander un chien, un compagnon pour me guider, mais il y a quelques mois d’attente.
Chez l’épicier : Bonjour Monsieur VAREL, ce sera quoi aujourd’hui. Ma femme m’a prié de lui ramener un kilo de farine pour faire ses crêpes pour midi. L’épicier prend VAREL au bras et lui souffle à l’oreille pardessus le comptoir Regardez l’aveugle qui vient de rentrer avec la petite fille. Tous les jours à la même heure il vient acheter du raisin et ceci toujours avec une autre gamine .J’ai même vaguement l’impression qu’il n’est pas aveugle, d’après son expression quand il fixe les petites filles.
C’est simple dit VAREL, en lui rendant la monnaie, tâchez de mettre un euros en moins. Vous verrez bien sa réaction, je vais me mettre derrière ce rideau et attendons la suite.
Effectivement, miracle, la vue a changée, il manquait un euros sur le comptoir et l’aveugle s’est mis à râler. Voyou, tricheur, épicier de mes deux. VAREL a bien suivi la marche de cette histoire et il est entièrement d’accord avec l’épicier. Cet aveugle c’est un faux. C’est un malhonnête qui court après les petites filles.
VAREL, sans hésiter saisit le téléphone et prie brigadier d’envoyer un fourgon chercher cet individu. Comment peut-on faire une chose pareille, arrêtez de vous lamenter, regardez vous. maintenant vous êtes un gastéropode rampant sur le ventre., un mollusque Vous me dégoûtez, emmenez moi cette ordure, il m’a coupé l’appétit.
Viens ma petite fille, je vais te ramener chez ta maman, elle doit t’attendre avec le repas Cette fois ci c’était l’épicier qui avait du flair. Lui aussi ferait un bon policier. !
Ne suis plus jamais quelqu’un dans la rue, surtout quelqu’un que tu ne connais pas. AU REVOIR LILY LINE _________________ !
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Dernière édition par Line le 24-06-2007 23:22; édité 1 fois
Posté le: 25-06-2007 23:01 Sujet du message: carnet de LINE
L AMOUR SUR LE PRE !
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L’amour se trouve partout, parfaitement, même dans les prés, C’est un amour entre un hongre avec une robe tachetée blanc et noir et une vache laitière race blanche. Ces deux spécimens sont dans deux enclos séparés par du fil de fer barbelé et pour ces bêtes c’est le grand amour. Vous devriez voir, les yeux doux que la vache fait à son amoureux et le cheval en revanche lui lèche le cou. Le soleil brille de toutes ses forces un ciel radieux, les oiseaux chantent, c’est le paradis.
La vie est belle quand on est amoureux, mais se dit la vache il y a un hic. Les gens vont se mettrent à jaser, mon chéri n’est pas de ma race. On va me montrer du doigt, n’y a-t-il pas assez de taureau chez nous, faut il que se soit un cheval, Tu n’as pas honte MARGUERITE ? TU ES LE DESHONNEUR DE LA FAMILLE ; C’est ainsi que sa mère lui a parlé en sortant de l’étable ce matin
Subitement MARGUERITE se met à pleurer. TARZAN c’est le nom du cheval, a un mal fou pour la consoler. Vois tu ma belle, nous sommes heureux tous les deux sur ce pré et ceci pour toute la saison. Profites de chaque seconde, ne penses pas à plus tard. Vois tu, la vie est belle, lui dit il en l’embrassant dans le cou. Oh ma MARGUERITE, souris moi, je ne veux pas te voir dans cet état là et surtout ne te tracasse pas. Pour être heureux vivons cachés.
Cet amour durant tout le temps de l’été. Un beau matin, MARGUERITE est impatiente de voir son amoureux. Hélas, il ne viendra pas brouter sur le pré à coté de sa bien-aimée. Son maître a acheté un morceau de terre à un kilomètre d’ici, un superbe pâturage, ou il ira dorénavant. MARGUERITE est bien malheureuse, mais le temps guéri tout et surtout elle espère de tout son cœur le revoir un jour.
Des années passèrent, MARGUERITE se fait vieille, elle ne donne plus de lait, mais va toujours brouter sur le même pré que naguère, elle était si heureuse avec TARZAN ;Un beau matin, un vieux cheval boiteux se trouve dans l’enclos voisin. C’est à sa robe tachetée qu’elle l’a reconnu. Elle a beau l’appeler, TARZAN TARZAN, le cheval après toutes ces années est devenu sourd et ses yeux ont presque perdu la vue. TARZAN ne peut ni_ la voir ni l’entendre, il est de l’autre côté du terrain et se repose.
Tous les meuh meuh de MARGUERITE ne servent à rien .Laissons le dormir se dit elle, peut être demain viendra il plus prés et il m’entendra.
LA vieille MARGUERITE est tellement heureuse. Elle attendait désespérément depuis très longtemps ce moment là. Elle voulait absolument le retrouver encore une fois avant de mourir.
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Posté le: 26-06-2007 21:37 Sujet du message: carnet de line
LA GARDEN PARTIE !
Shot at 2007-06-26
Souvenez vous, chers amis, FREDERIQUE a dû abandonner sa belle robe vue en vitrine que son mari voulait lui offrir pour son anniversaire. Enfin, on ne peut pas tout avoir dans la vie et elle s’est fait une raison. Sur ce, VAREL lui a promis une superbe garden-partie digne d’une marquise pour le samedi soir, avec toutes les fantaisies : lampions, cotillons, confettis, feu d’artifice ( en miniature ) et un buffet richement garni avec petits salés, petits sucrés, viandes froides, mayonnaise de toutes couleurs, gâteaux , petits fours et vin à gogo . Un orchestre avec trois musiciens, accordéon, guitare électrique et jazz , qui jouent des airs anciens et modernes comme le techno et le rap, sans oublier les marches militaires, VAREL , les aiment bien., comme au défilé du 14juillet avec la police.
Cette fête a lieu derrière la maison de VAREL dans le jardin et la pelouse tous les habitants de la rue ainsi que la famille et amis sont cordialement invités .Petit à petit des groupes se forment dans les allées et le portillon ne cesse d’ouvrir pour laisser passer les convives FREDERIQUE supervise la bonne marche et son mari tient la buvette. Un stand d’apéritifs, de bière pression, eaux minérales, jus de fruits schnaps et autres. Avec tout ça, une énorme sangria dans une bassine attend les amateurs. L’orchestre attaque par un bossa nova et les plus jeunes se mettent à danser sur l’herbe légèrement humide, par la rosée.
Tous ont délaissés le bar pour se ravitailler et VAREL tout seul derrière son bar, s’ennuie. Encore un petit coup de sangria, en attendant la cohue. Non il n’est pas seul, il y a au moins une dizaine d’abeilles qui tournent autour du pot. Il a beau les chasser, elles reviennent plus nombreuses encore.
Toute la rue des sapins a collecté. Avec cet argent on a acheté un beau fauteuil à l’épouse de VAREL. Celui-ci est entreposé chez VAREL au bar, en attendant le moment de lui offrir.
Je ne vous ai même jamais dit comment VAREL s’appelait avec son prénom, c’est VICTOR son nom. VV si vous voulez. Commissaire VV c’est marrant.
VV ne finit pas de chasser les guêpes qui tournent autour de la sangria. Il prend la bassine et la pose sur le fauteuil, tout en mettant pardessus un petit tablier de sa femme. Le voila tranquille, elles se dispersent on dirait.
Le commissaire se lamente, mon dieu que je suis fatigué, rester debout comme ça pendant des heures, c’est pénible. Mais voyons où avais je la tête, il y a le fauteuil, fait demi tour et avec le cul plouf dans la sangria. Il jure, il appelle tous les saints, bon sang de …….. Voila la bourgeoise qui arrive en se bidonnant. Elle a suivi ce spectacle de loin, elle rigole, elle n’en peu plus. Hihihi hahaha mon pauvre ami. Mais ça colle nom d’une pipe ! Tout en se frottant le derrière, VAREL se dépêche d’aller changer de pantalon .avant d’être la risée de toute la rue des sapins. Fais vite mon gros, je garde le bar en attendant. Te souviens tu des quelques pas appris à l’école de danse il n’y a pas tellement longtemps ? A ton retour, invite moi à danser un slow, c’est ce qu’il y a de plus facile, mais je te préviens, sans me monter sur les orteils.
Comme FREDERIQUE est une bonne danseuse, elle est sollicitée par tous les messieurs de la soirée. V.V. ne demande pas mieux, comme ça je n’ai pas besoin de quitter le bar dit il je n’ai personne pour me remplacer. Attends mon gros, une autre occasion se présentera, tu ne perds rien pour attendre, coquin.
Et cette admirable soirée se termina tard dans la nuit, avec un beau clair de lune. Laisse tout ça ma chérie, je me lève demain matin de bonne heure pour ranger avant le café. Surtout demain ne touches a rien, c’est donc ton anniversaire. FAIS LA GRASSE MATINEE ! LINE _________________ !
Posté le: 27-06-2007 23:36 Sujet du message: carnet de line
LE PETIT CHIEN EN VITRINE !
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Dans la devanture d’un magasin animalier, un petit chien de quelques jours, dort paisiblement. Il est adorable, noir et blanc de race canine et attend un acquéreur., qui veuille bien prendre soin de lui. .C’est une fille , son non est VERMICELLE ;
VERMICELLE, dort les deux poings fermés et ne se doute pas que depuis plusieurs jours, le petit cœur du petit CHARLES bat plus fort en passant par là.. Malheureusement l’argent qu’il a dans sa tirelire, ne doit pas suffire pour un achat pareil. Il doit coûter cher ce petit chien
Se dit il., mais j’ai une petite idée. Il commence a parler tout doucement à la bête, tu es adorable et mignon mon petit chien. J’aimerais bien être ton ami, ton copain de jeux nous pourrions gambader tous les deux sur le pré derrière ma maison et si_ je demanderais gentiment la permission à maman , tu pourras coucher avec moi dans mon lit le soir..
A partir de ce jour la, le petit CHA RLES fait un détour sur le chemin de l’école, pour rendre
visite à son nouvel ami.. Tous les jours il se fait gronder soit par la maîtresse d’école ou par sa mère, parce qu’il arrive trop tard en classe, ou sa soupe refroidi dans l’assiette. .CHARLES que t’arrive t’il en ce moment. Toi qui était le premier en classe, sage discipliné bon élève, studieux tu es dans la lune.. Tu dors, tu es fatigué, dis moi ton problème.
Et c’est vrai .L’enfant tous les matins avant l’école fait des courses pour les personnes âgées du quartier, pour la petite pièce . Il a déjà bien récolté et bientôt le petit chien lui_appartiendra. ; Il a hâte de le serrer dans ses bras et de lui faire des bisou sur le nez ;Un beau jour il ose pousser la porte pour demander a la vendeuse le prix de cet animal en vitrine. Mon Dieu faut encore attendre un peu CHARLES ce n’est pas suffisent encore .Quelques jours passe et arrivé un beau jour au magasin animalier, le petit voit que le décorateur a tout changé. Les souris blanches sont dans un petit enclos dans un coin .Ensuite les hamster,, des cages pour les oiseaux , serins, perroquets et perruches et à la place de VERMICELLE. , des bocaux avec des poissons rouges.
Le petit chien a disparu. CHARLES va encore trouver la vendeuse, lui disant qu’elle a oublié de mettre son copain dans la vitrine. Ah non mon petit bonhomme, le chien a été acheté ce matin par un client, dont la petit(e fille habite au CANADA ; élevée par ses grands parents. A l’heure actuelle, il doit être la-haut en montrant( vers le ciel, dans ce grand boing pour faire route vers les ETATS-UNIS ;
Les genoux du petit garçon se mettent à trembler. Il voit rouge et tout( tourne en rond autour de lui_ .Pauvre bonhomme un si grand chagrin à cet âge. Maintenant qu’il a fini d’économiser et qu’il avait obtenu la somme pour payer le chien, le voilà parti, loin de lui.
Il fallait à l’enfant quelques jours pour se remettre. Une voisine à qui il s’est confié, lui a fait un cadeaux .. UNE TORTUE, son nom est HORTENSE
HORTENSE ;dit le petit(, comme tu es froide.
Mais je t’aime bien quand même. CHARLES est grand maintenant, mais il n’a pas s oublis sa petite VERMICELLE, de la vitrine. LINE _________________ !
Posté le: 28-06-2007 23:21 Sujet du message: carnet de line
UN DIMANCHE MATIN A L ORANGERIE !
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OH que le soleil brille ce matin dimanche sur STRASBOURG ;Les plus beaux coins ombragés vous les trouvez à L ORANGERIE, sous ses énormes peupliers et platanes de la grande allée.. C’est vraiment un coin paradisiaque ou les jeunes pères de famille, poussent le landau avec leur progéniture ,pendant que les dames préparent le repas de midi..
Tous les bancs sont déjà occupés, surtout ceux autour du lac, ou le canotage va bon train. Aucune barque n’est plus libre et les gens font la queue pour pouvoir se promener sur ce lac., parmi les saules pleureurs et les nénuphars . Les amoureux, en passant par le petit pont en profite à l’abris des promeneurs pour se bécoter.. Un bon moment la barque reste immobile sur l’eau avant de repartir direction la grotte.. Quelle merveilleuse journée, le soleil est de la partie et il commence tout doucement à chauffer.
I l ne fait pas très chaud encore, aussi les personnes âgées en profitent, pour aller au zoo, apporter des croûtons de vieux pain pour les animaux dans leurs réserves. Les enclos sont remplis de différents animaux. LYNX GIRAFE SINGE CHAMOIS CIGOGNES ainsi que RENARDS, FOUINES et beaucoup d’autres. La matinée ne suffit pas pour faire tous le tour de ces allées dans ce parc enchanteur.; Les cages des perroquets, avec toutes ses couleurs, est une merveille, ainsi que les fleurs dans les allées du pavillon JOSEPHINE qui reçoit multiples expositions à longueur d’années. La fille aux oies sur son socle en granit, sourit aux passants. Tous les dimanches un air de fêtes, pour petits et grands. C’est la sortie des ânons,, qui ne sont pas toujours dociles avec un petit coup de baguette, permettent de se faire monter par un gosse. Et en avant la musique, c’est la grande rigolade.
Le marchand de glace fait déjà son beurre ainsi que la confiserie. .
Tout le monde est content, tout le monde en a pour ses sous. Les cygnes sur le lac font la danse, il ne manque que la musique de TCHAIKOWSKY, on se croit à l’OPERA Profitons de cet instant charmeur ;On est comme dans un rêve tellement c’est beau. !
Cet hiver il ne nous restera que des souvenirs . ! LINE _________________ !
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Dernière édition par Line le 28-06-2007 23:30; édité 1 fois
Il faut que j'aille me reposer maintenant, je ne suis pas entierement retablie encore.Je suis souhaite une tres bonne nuit , bisou et a demain LINE _________________ !
coucou linette,
j ai vu ton petit mot, dans papotons,
je ne t oublie pas..........ne t inquiète pas......
c'est vrai que je me fais assez rare...en ce moment........mais je ne
t oublie pas,
je te fais mille gros bisou,
et porte toi bien...........prends soin de toi surtout.....n'en fait pas trop,
et, demande à RAYMOND d'assumer tout dans la maison,.
qu'il te fasse des bons petits plats,.......
merci Musika pour ton message. Tu parles de bons petits plats, moi qui n'ai pas droit au sel.Le meilleur plat sans sel est une horreur'est vous degoute rien qu'a y penser. Je n'ai plus jamais faim.Tout est fade et degeulasse.
Moi aussi_ je t'embrasse bien fort a plus tard ta LINE _________________ !
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Posté le: 29-06-2007 21:03 Sujet du message:
Coucou Linette !
On ne se voit pas beaucoup en ce moment... Je viens très peu et toi, tu dois te reposer.
La nourriture sans sel, c'est très dur ! Est-ce que tu penses à mettre beaucoup d'herbes parfumées pour donner un peu de goût ? (basilic, persil, coriandre, ail si tu l'aimes, et aussi herbes de provence : thym, romarin, sauge...) Moi, je dois limiter le sel et ça m'aide beaucoup.
Je te souhaite la meilleure santé possible et je te fais un gros bisou _________________
Posté le: 29-06-2007 22:04 Sujet du message: carnet dze line
FREDERIQUE A DES PROBLEMES !
Shot at 2007-06-29
Cette bonne FREDERIQUE, qui d’habitude est la sagesse même, n’est pas dans son assiette aujourd’hui. Elle se sent délaissée et mal aimée par son mari, qui rentre actuellement à des heures impossibles La télévision ne peut plus l’intéresser et la lecture non plus, elle est là dans le noir le soir entrain de ruminer, que faire ?
Les derniers rayons de soleil pour la saison nous invitent à la promenade aujourd’hui. FREDERIQUE, va faire quelques pas et prendre l’air, profitons en, peut être que demain le soleil nous fera déjà défaut. Les terrasses des cafés sont encore envahies par les touristes et elle décide de se joindre a eux. Elle va à une petite table dans la première rangée qui est la seule à être inoccupée et prend place. Un petit noir va me faire du bien se dit elle, j’ai tout mon temps, puisque VAREL ne rentre pas à midi pour déjeuner.
Un monsieur entre deux âges, demande gentiment pouvoir s’installer à côté d’elle. Ils se mettent à raconter du beau temps pour la saison, des prix des légumes sur le marché, de tout et de rien. Ce monsieur a l’air très gentil et courtois, c’est un bel homme se dit FREDERIQUE, restons encore un peu, ça meuble le temps.
Le monsieur commence à faire des confidences. Sa solitude, son veuvage, ses enfants à l’étranger. FREDERIQUE consulte la montre. Mon Dieu, il va être sept heures quoi dire à VAREL ou j’ai passé ma journée. Il va falloir qu’elle trouve un pieux mensonge pour s’excuser. Le repas du soir n’est pas prêt, la table n’est pas mise, le ménage du vite fait bien fait et encore. Ceci est bien la première fois, mais tout de même. Bon elle aura rencontré chez le boucher une camarades d’école, plus revue depuis, qui l’a gentiment invité chez elle passer la journée. Voila ce qu’elle va dire.
Le voisin de table au moment de se séparer demande, allons nous nous revoir madame ?
Oh monsieur je ne pense pas, mais sachez, ça a été un plaisir pour moi, cette discussion.
A tout hasard, madame, je serais là la semaine prochaine , mardi à 14 heures, je vous attends, si vous ne venez pas tant pis pour moi. Un petit signe de la main et il part.
FREDERIQUE ira-t-elle à ce rancard ? Vous le saurez bientôt LINE _________________ !
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Posté le: 30-06-2007 22:57 Sujet du message: carnet de line
LE PETIT PATRE ! et la TRANCHUMANCE !
Shot at 2007-06-30
Les voila , les voila ils arrivent. Une foule immense rassemblée sur les deux cotes de la route. Tous le village est reuni pour acceuillir, les bergers et leurs troupeaux.
Les bêtes sont joliment décorées avec des coiffes de toutes les couleurs..De loin on entend le
Tintement des campènes, que les bêtes portent aux cous . Comme tous les ans, les troupeaux redescendent dans leurs écuries, il commence tout doucement a faire froid là-haut .
Dans la montagne les premiers frimas sont apparus et bientôt la neige recouvrira les cîmes ..
Les gens sont joyeux, on rigole, on s’amuse . et avec la musique, la fête bat son plein.
Avec les bergers se trouvait un petit pâtre .a peine âgé de quinze ans,.Tous les soirs au clair de lune, il laissait vagabonder son imagination. Au village, il y a une petite amie qui lui a promis de l’attendre . Il cherche parmi la foule, toc toc, son coeur bat la chamade. Rien il ne la voie pas. .
Sa maman le reçoit , les bras ouverts sur le pas de la porte. Une fois toutes ses bêtes dans
l’étable, il fait sa toilette, mange un bout et se couche. Le pauvre petit pâtre est extrèmement fatigué. Et sur le champ il s’endort.
Et voila en rêve, sa petite amie lui est apparue ! Pourtant il ne l’avait pas vu parmi. tous ces gens qui stationnaient sur les bas côtes des routes . Comment a-t-il pu se coucher sans la chercher ? Il fait un cauchemar. Il se voie la-haut dans les montagnes sur un pic a la recherche d’un agneau et tomber brusquement dans un ravin .Il se reveille plein de sueur…………… ouf ce n’etait qu’un rêve.
Le lendemain, au petit dejeuner, sa maman lui apprend que la famille de la petite a demenagé. Destination inconnu. Mais …. Que la petite jeune fille est restee travailler dans le bar-tabac du village. Comme elle était de service, elle n’a pas pu aller a sa rencontre lorsque le troupeau est revenue.
Tout le reste ça va de soit ……………… LINE _________________ !
Posté le: 01-07-2007 23:35 Sujet du message: car'ne(t de line
LE DALMATIEN DU CAFE DU RHIN !
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DIABLOTIN c’est son nom, une superbe bête de trois ans, l’’orgeuill de son maître. Tous les deux s’adorent, si vous voyez le patron, le chien n’est pas loin et vice versa..
Un beau jour Monsieur MARIO tomba malade. Le dalmatien ne le quitta pas d’une semelle. Nuit et jour il veilla à son chevet , impossible de le faire partir .Les yeux doux qu’il lancait à MARIO furent de la baume au cœur pour le restaurateur.. Un beau jour il se remit tout doucement, ses yeux brillait à nouveau et ce fût la première sortie avec sa bête. C’était un plaisir à les voir tous les deux gambader sur l’herbe du champ voisin.
Pendant des semaines tout allait bien, jusqu’au jour ou MARIO fût une rechute . Le chien lui prit la main et l’accompagna jusqu’au lit, il savait pertinemment qu’il fallait à nouveau faire la garde .Mais tous ses bons soins ne servirent à rien, MARIO trépassa..
Le lendemain, le dalmatien a quitté son café et son entourage, pour aller errer dans les caniveaux à la recherche d’un vieil os… Tous les chiens rôdant furent attrapés, le chien du café resta introuvable., jusqu’au jour ou la police vint chez Madame MARIO , lui signaler que le chien à été trouvé au cimetière, sur la tombe de son mari..
Avec le commis de cuisine, le chien a été ramené à la maison et gardé sous surveillance. Mal gré tous les efforts pris, le chien arriva à se débiner et retourna sur la tombe , ou il ne laissa approcher personne, en montrant ses crocs.
On vient de rentrer dans le bar par la porte de derrière. C’est la police. avec un pli en main de la municipalité. Madame il faut tuer votre chien, il creuse toutes les tombes aux alentours en recherchant son maître. Nous avons ordre de l’abattre sur le champ. Faites votre possible ou nous feront le nécessaire., aujourd’hui même encore.. Des plaintes de tous côtés nous arrivent,que leurs tombes sont saccagées . Il faut prendre les mesures qui s’imposent. Sur le champ.
Au cimetière, en voyant arrivé la police, le dalmatien se mit en travers de la dalle en marbre
Ferma la yeux et pose sa tête entre ses pattes. Il attendait son heure, il avait compris,qu’il allait maintenant retrouver son maître qu’il avait tellement adoré.. Maintenant ils seront réunis pour toujours. .Le patron, reposera dans le cimetière, sous les saules pleureurs et son chien, dans le cimetière animal , avec sur sa tombe une photo. Voici notre fidèle ami
DIABLOTIN ? REPOSE EN PAIX !
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Posté le: 02-07-2007 22:12 Sujet du message: carnet de line
LE GARDE FORESTIER ET LE BRACONNIER !
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En plein milieu de la forêt vosgienne, dans les sapins, une toute petite maison de forestiers
A travers les arbres, le soleil envoie ses rayons dans une clairière, ou habitent le garde chasse et sa femme. Toute leur vie ils ont rêvé d’avoir un enfant hélas le sort en a dicté autrement.
Madame a fait une grande lessive aujourd’hui elle est entrain de suspendre le linge, quand le facteur lui apporte son courrier. Alors Jean, quoi de neuf. Oh pas grand’chose ma pov’ dame comme d’habitude. Voici une petite lettre pour vous Mariette ! Merci et bonne journée.
C’est la 2ème lettre qu’on lui envoie cette semaine. Toujours des lettres de menaces envers son mari. Mariette a peur, elle n’ose les faire voir à personne. C’est un braconnier qui en veut a Xavier son mari.
Le soir le garde prend son fusil et son chien, pour faire sa ronde. Mets ton châle, penses a ta gorge, il fait déjà frais le soir dans la foret, lui dit sa femme.
Le voila parti, s’engouffrant sous les branches des vieux sapins. A quelques pas de la il entend un gémissement. C’est un bruit qui ne lui est pas étranger. . Voila c’est un jeune faon qui s’est pris dans un collet.
Sans tarder le garde forestier veut venir à l’aide à cette bête, une détonation et le garde gît dans une mare de sang en pleine forêt.
Mariette dépose son tricot, elle aussi a entendu le coup de feu. En pleine nuit elle va chercher son mari. Elle pense toujours au 2 lettres de menace qu’on lui a fait parvenir
Elle a peur, elle n’ose pas continuer dans la nuit. Elle court, elle reste accrochée aux branches. Et chaque fois qu’elle marche sur les branchages secs elle sursaute.
Il se fait tard, son homme n’est pas rentré. Elle prend le téléphone, appelle la police.
Vers l’aube on a retrouve Xavier, les yeux grands ouverts, mort en service.
Mariette s’est retirée dans une maison de retraite. Elle a quitté sa jolie petite maison dans la forêt.
Elle essaye d’oublier le braconnier mais elle fait des prières pour lui. Que Dieu lui pardonne !
Posté le: 03-07-2007 21:52 Sujet du message: carnet de line
L AGNEAU !
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Dans les Vosges, a mi chemin de la route des crêtes, se trouve une bergerie avec 99 petites brebis blanches et une brebis noire. Elle est bien malheureuse, ce petit car elle a l’impression d’être rejetée par sa famille. Tous ses frères et sœurs se font bécoter par leurs mamans à longueur de journée et pour elle pas le moindre petit câlin .Le petit noirot le voila sur sa paille entrain de ruminer, la solitude lui pèse.
Enfin il a décidé d’aller à la recherche de son identité, il ne veut pas continuer à vivre dans l’ignorance .Lui aussi veut être bichonné, et pas par n’importe qui, mais par ses parents véritables. Quitte à remuer ciel et terre, à se renseigner à droite et à gauche sur son pédigré, il veut absolument savoir. Pour commencer il s’adresse au fermier. Hélas, c’est un homme débordé par le travail des champs, de la ferme, entretien de son tracteur et surtout l’élevage de ses brebis et la confection du fromage. Tu tombes mal, lui dit le fromager entrain de traire, je ne suis pas au courant de tes origines, je t’ai acheté sur le marché aux bêtes juste après ta naissance. Pour moi petit noirot, tu es indispensable. Tu me sers de point d’appui mon petit. 20 blancs et un noir, (toi) c’est comme une calculette, sinon avec tout ce blanc je n’en sort pas. Je t’en suis bien reconnaissant et te souhaite bonne chance pour tes recherches. Tiens va donc trouver cette hirondelle dans le coin de l’écurie elle vient de s’installer dans le même nid que l’année passée. Pour aller au marché ce n’est pas trop loin à vol d’oiseau. Peut être avec un peu de chance, pourra t’elle te donner un petit renseignement.
Hélas, l’hirondelle a déjà beaucoup de mal a nourrir ses petits, il ne lui reste pas beaucoup de temps pour les papotages Va trouver le vache dans l’étable ou même le cochon, sait on jamais. Mais ne pleure pas petit bouc, tu trouveras, sèches tes larmes, tu en auras encore besoin plus tard .Va plutôt dans la forêt trouver le sanglier, qui est noir comme toi, lui il saura certainement.
A l a tombée de la nuit notre petit héros se dirige sur le sentier de la forêt. Un petit rayon de lune à travers les sapins lui indique le chemin vers le domicile d’une grande famille de sangliers. Noirot grelotte, il a froid, il a peur également. Comment va-t-on l’accueillir, lui le petit orphelin, seul au monde, sans frères ni sœurs. Le sanglier male se met à rigoler. Tu t’es adressé à la mauvaise porte, chez nous se ne sont que des cochons ha ha ha. A ta place j’irais faire un grand voyage. Peut être ton papa était espagnol ou même plus loin, en traversant la mer. TUNISIEN, MAROCAIN, ALGERIEN ?
Le petit noirot est très fatigué maintenant. Il se met a tête appuyée contre un arbre et il s’endort. Il rêve d’une vieille grand-mère avec un panier au bras cherchant des champignons Il lui raconte ses soucis et la grand-mère, lui passe la main dans les poils, qui lui tombent dans les yeux. Si tu veux petit Noirot, je serai ta maman, moi aussi je suis seule, tu me tiendras compagnie.
Le lendemain, Noirot est réveillé par le fermier. Es tu là ma calculette, j’ai besoin de toi. Nous allons tondre nos bêtes 10 blanches et après c’est toi, tu as compris. C’est bien de rendre service, j’avais bien peur de ne plus te retrouver ce matin dans l’étable. Tu n’es pas seul à ne pas avoir de maman et de papa, tu sais il y a des blancs aussi .qui recherchent leurs parents.
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Dernière édition par Line le 03-07-2007 23:39; édité 1 fois
Posté le: 04-07-2007 22:47 Sujet du message: carnet de line
UN NOUVEAU NE ABANDONNE !
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Nous sommes en octobre. Les nuits sont très fraîches et le jour tarde à se leverI Il fait encore très noir le matin à six heures, lorsque le curé d’une paroisse de la Creuse, ouvreo la grande porte de l’église pou les paroissiens, venus à l’office du matin .En descendant ces quelques marches, il voit dans la pénombre un coli, posé à plat le sol un petit bébé abandonné bien enmitouf.lé dans des haillons .Mon Dieu mon père , aidez moi..
Le prêtre va apporter le bébé à sa bonne et va servir son office, comme tous les matins.. Dans la dernière rangé, une dame un fichu sur la tête, est plongée dans ses prières.. Personne du patelin, ne la connaît.. Elle veut se rassurer’, que son enfant à bien été acceuilli par une personne charitable .Elle se traîne vers la porte, de peur de s’endormir, elle est extrêmement fatiguée, ellr ne voudrait pas qu’on la reconnaisse… La dame n’est pas seulement fatiguée, elle est aussi très souffrante .Pendant son séjour à l’hôpital, les médecins lors de leur visite, ont oublié son dossier sur son lit.. Elle en a profité pour jeter un coup d’œil. Voila le résultat. MALADIE INCURABLE , longueur de vie, trois semaines.. La dame fût foudroyer, ellr voulait se donner la mort avec son bébé de quelques jours, elle n’en a pas eu le courage. Pauvre petit garçon, lui il est sain et sauf pourquoi le supprimer. Elle a prié DIEU, qu’il arrive en bonnes mains et qu’il soit( heureux. que la vie lui sourit, davantage qu’à sa pauvre maman, entouré de gens qui l’aime.
L’enfant fût déclaré par’ le curé sur le champ. La bonne a eu la permission de le garde jusqu’à nouvel ordres
, en attendant de trouver une famille adoptive.
Cet enfant lorsqu’on l’a trouvé portait une chaînette au cou avec un médaillon de ST CHRISTOPHE ; Son nom a été CHRISTOPHE par la suite. Ce fût un enfant très docile, bon élève et droit dans la vie.
Le destin changea sa tournure et voila que la maman de jours en jours reprenait( de la couleur. Son état de santé s’améliorait et les médecins sont stupéfies. Quelques mois après elle pouvait reprendre son emploi et se nourrir, sans l’aide de personne. Même qu’elle habitait un petit terre à terre. Elle n’en demandais pas tant, ce qu’il lui fallait c’était son enfant abandonné sur les marches de l’église ST MAURICE.il y a dix sept ans. Ce matin là restera gravé dans sa mémoire toute sa vie. C’était le seul et unique être lui appartenant. Son père était un marin de HAMBOURG, qui faisait escales pendant deux jours. Elle l’a connu un soir d’errance dans la zone du port dans un estaminet .Jeune et pauvre qu’elle étazit, en plus elle avait très faim Pendant deux jours elle ne s’était pas restaurée.. Elle pleura de chaudes larmes jusqu’au jour ou
Son fils se tiendra devant elle et lui dire , ne pleure plus petite maman, je suis là maintenant. On ne se quittera plus jamais..
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Dernière édition par Line le 04-07-2007 23:32; édité 1 fois
Posté le: 05-07-2007 21:47 Sujet du message: carnet de line
LE COMMERCE !
Shot at 2007-07-05
Oui mes amis, je vais vous raconter comment un restaurateur a remonté la pente , de son commerce .
Un beau petit restaurant , net propre , bien amenagé, situé sur la rive du RHIN. Le soir un lieu de rencontre pour les amoureux. Je vous dis, plus un restaurant est sophistiqué, moins il va .Toutes ses belles nappes, ses decorations et ses fleurs sont engageantes , mais il y a un hic.
Le client se sent mal a l’aise, il n’ose pas bouger de peur de faire des degats. Il regarde par la fenêtre avant d’entrer et se dit s’est trop chic.
Les tables nus sans rien, juste un cendrier comme dans les bistrots, s’est la meilleure affaire.pour l’ouvrier et le bureaucrate .
Appelons le restaurateur, Francois. Tous les matins François était plongé dans ses comptes. Mon Dieu, mais plus rien ne va. Avec toutes ces charges, ces caisses, ces salaires a payer
Il ne reste pas grand-chose de mon benef.. Combien de temps vais je encore pouvoir tenir. La clientèle se fait de jour en jour plus rare.
Voila son ami Etienne qui vient lui rendre visite. Il tombe a pic, pour remonter le moral a Francois, qui a le blues aujourd’hui.
Etienne est veterinaire et a une affaire qui tourne bien. Des petits pensionnaires malades, il y en a toujours.
Voila que le chien de Francois qui est allongé sous une table s’etire et se reveille. Il vient chercher un gros câlin.
Au fait dit le restaurateur, je crois bien que mon chien fait une rage de dents, il va falloir le soigner..
Tout en bavardant, Francois vide son cœur et parle a son ami de sa mauvaise posture en affaire. A deux ils se mettent a comploter .
Les clients pendant la journée se faisaient rares, juste une table ou deux avec des joueurs de cartes belotes skat ou autres.
Voici qu’Etienne a une magnifique idee. As-tu deja vu un chien avec une dent en or ? Je vois bien ta dogue , ouvrir sa gueule, avec une belle dent en or., qu’en dis tu ? Tu pourrais parier a chaque fois une bouteille de champagne. Ceci te ferais un peu de beurre dans les epinards.
Aussitôt dit aussitôt fait. Croyez moi ceci est veridique. Notre Francois, de cette maniere a remonté la pente. Deux trois paris et bouteilles de Champ par jour ont suffit pour maintenir l’equilibre de son affaire..
Des fois il suffit de tres peu, pour regulariser une situation difficile. . Bonne chance à toi Francois !
LINE _________________ !
Posté le: 07-07-2007 00:57 Sujet du message: carnet de line
LE MARCHE DE LA PLAGE Quelques part dans le midi : De bon heure sur un marché aux poissons à la crié, uAn vol à l’étalage a eu lieu ce matin. Ce sont des menus larçins qui arrivent quotidiennement. Au voleur, au voleur, la marchande hurle : on vient de me voler ma caisse Un attroupement prés de la poissonnière se forme, bousculant les traiteaux et les caisses de rougets et de moules.
Toute la marchandise jonge le sol et les crabes et crevettes sont éparpillés, en dessous la table.
Shot at 2007-07-06
Le voleur, profite de la situation, pour prendre le large et disparaître au prochain coin de rue Personne ne l’a vu, personne ne peut donner de signalement. D’ailleurs ça s’est passé tellement vite . Ces petits gars sont expert en la matière.
Le calme est revenu sur ce marché et les clients achète par lots, tout ce beau poisson frais attrapé dans la nuit.
Voila qu’à l’autre bout du marché, dans une charrette, en dessous de carton et de cagots, on aperçois un visage sanguignolant. Bonne mère, que lui est il arrivé ? Une femme lance un cri d’horreur appelez la police, il est mort, il est mort. ! Cet homme a étè tué en même temps que le vol à l’étalage Tous les clients se sont précipités pour consoler la marchande volée et de ce fait ils n’ont rien vu, d’anormal..
Voila qu’arrive un groupe de S.D.F. avec les cartons et couvertures. Ils ont certainement dormis à la belle étoile, peut être en retrait sur une plage déserte ? Mais c’est ARTHUR dit le plus agé , on ne l’a pas loupé, cette fois ci. Partons d’ici, je ne voudrais pas me retrouver au commissariat par cette belle journée.
Une dizaine de minutes après la police est sur les lieux . Le mort , n’est pas inconnu . Les commercants sont formels. Il faisait la manche quotidiennement sur le marché aux poissons ce qui lui permettait, de s’acheter de la nourriture et du pinard. La police aussi le connaît bien, puisqu’il travaillait pour eux . Il était indicateur et dans le milieu et ça ça ne pardonne pas.
Une belle villa, pas loin de la plage, ferme ses volets. Le soleil tape déjà très fort, par cette belle journée de printemps .Les occupants vont quitter la maison et même la région en attendant que cette histoire de meurtre se soit un peu tassée. C’est JOE un gars de chez eux qui lui a fait son compte au S.D.F. du marché., un règlement de compte . pour les vilains garçons. De quoi de quoi , dit le mec à maman !
Les occupants de la berline grise se sont fait arrêter sur l’autoroute MARSEILLE-LYON pour éxcés de vitesse. Papiers truqués , pas de permis de conduire , et finalement après des jours de cuissons, aveux du meurtre sur le S.D.F. du marché de la plage.
JOE, aura certainement plusieurs années de prison. Ces compatriotes pourront lui apporter des oranges en cellules et des cigarettes.
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