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Posté le: 01-08-2007 22:03 Sujet du message: carnet de line
CINEMA- DERNIERE SEANCE !
Shot at 2007-08-01
Dans un cinéma parisien , le rideau rouge de l’écran se referme. C’était la dernière séance. Demain relâche . Les spectateurs se précipitent vers la sortie qui donne sur un grand boulevard., avec bouche de métro ST LAZARE.
La salle tout doucement se vide, à part un monsieur , qui pendant la projection, s’est endormi .La tête penchée en arrière, les bras tombants, il est affalé sur son fauteuil .
L’employé qui fait la projection du film est occupé au rem bobinage de sa pellicule. Il ne s’aperçoit pas que la salle n’est pas entièrement vide. Dans l’avant dernière rangée de la mezzanine il reste un monsieur endormi.
Voila qu’arrivent ces dames avec leurs balais et plumeaux pour le nettoyage de la salle. Les grands lustres sont allumés, et les commérages vont bon train. Les sièges sont brossés, la moquette aspirée, les cendriers vidés.
Revenons à, notre monsieur dans la mézzanine..Une ombre se forme sur la moquette en dessous de son siège., un rouge gluant. Ca ne peut être que du sang ! L’individu a les yeux fermés et un teint livide et blafard . Il est mort. ! On vient de l’assassiner, de la dernière rangée a travers le dossier du fauteuil avec un stylet en pleine région du cœur.
La police arrive sur le champ ! Ce n’est pas une mince affaire ! D’après la carte d’identité trouvée sur la victime il ‘agit d’un dénommé Charles Meinier , domicilié en SEINE ET MARNE , directeur d’une usine pharmaceutique.
La police lance un appel : toutes les personnes qui ont vu hier soir dans la dernière scéance le film PASSEPARTOUT, sont pries de se mettrent en rapport avec la police.
Rien à signaler de ce coté là. Le médecin légiste a fait le constat et a donné son accord pour l’enterrement du décédé.
Le jour de l’enterrement à l’église comme au cimetière, madame Meinier est accompagnée ’ d’un homme, très jeune encore. Ceci a mit la puce a l’oreille de l’inspecteur de police .Voyons voir ça de prés ! Qui peut bien être cet individu ? D’aprés les voisins , il n’y a pas d’enfants dans ce ménage . Suivons les. On verra bien. !
Madame, Monsieur, MEINIER. Voici ce qui est marqué a côté de la sonnette d’un grand portail d’une magnifique villa. En plein dans un grand parc, une maison de rêve avec de grandes baies vitrées., entourées, d’immenses parterres de fleurs.
Il est 17 heures ! les lumières s’allument une a une, A travers les rideaux drapés de la villa on aperçoit Madame en compagnie de ce garçon, prendre l’apéritif et s’entretenir vivement. De temps en temps on entend quelques éclats de rire. Comment peut elle rigoler, Madame Meinier, Tout juste après l’enterrement de son mari, elle n’a pas bien choisi le moment.
La sonnette retentie dans la villa ! Une soubrette ouvre la porte. Voici ma carte je suis policier, j’aimerais parler à votre patronne .
Quelques minutes après on entend, faites entrer monsieur le commissaire !
Bonsoir Madame. Permettez moi de vous présenter mes condoléances. Madame est seule ? Il regarde par la baie vitrée et voit de loin le jeune homme s’enfuir dans le parc.
J’aurais quelques questions à vous poser Madame, si vous voulez bien Le jeune homme qui vous a accompagné cet après-midi lors de l’enterrement de votre mari, c’est qui. ? Madame ne répond pas, mais elle commence à rougir. L’inspecteur a compris.
Maintenant il s’agit de nous occuper de ce gars qui m’a filé entre les mains. Mes collègues vont le retrouver sans l’appuie de Madame Meinier. Le soir même, il était dans son bureau entrain de faire une déclaration. Pour commencer il a essayé d’embrouiller les pistes .Il s’est repris. Il a menti, il a tout fait pour essayer de s’en sortir , rien y fit !
Dans sa cellule , le jeune cavalier, est assis sur son grabat ,. Impossible de trouver le sommeil ce soir . Demain, se sera le procès, il a beau se repentir, le mal est fait.
Il s’installe a la table et se met a écrire :
moi soussigné Remy BLONDEL, déclare avoir tué monsieur MEINIER dans la dernière séance de cinéma le 1er octobre 05 j’ai agit seul . signé R.B.
P.S. C’est le résultat d’avoir trop aimé !
REMY BLONDEL , le soir même s’est pendu dans sa cellule, il venait a peine d’avoir 25 ans
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Dernière édition par Line le 01-08-2007 22:23; édité 1 fois
Posté le: 02-08-2007 21:23 Sujet du message: carnet de line
SOIREE D ETE ORAGEUSE !
Shot at 2007-08-02
Nous sommes au début du mois d’août, il fait une chaleur torride ce soir sur la ville. De temps en temps des éclairs traversent le firmament, nous allons essuyer un orage. Des gens se promènent autour du lac ACHARD et là un attroupement ,que c’est il passé ? Certainement une noyade, dit un cycliste qui vient d’arriver .Malgrés l’écriteau interdit à la baignade, il y a des noyés tous les ans à la même époque.
Entre les roseaux du lac, on vient de repêcher un corps de femme dévêtu. On écarte les curieux afin que la police puisse faire son enquête. Petit a petit la foule se disperse la nuit tombe et les gens regagne leurs domiciles.
Les commérages vont bon train. As-tu vu la belle femme ? elle est bien jeune encore, mourir a cet âge c’est triste . Voulait elle prendre un bain de minuit, il n’est que 22 heures et chacun met son grain de sel.
Le corps de la victime est transporté à la morgue ; Demain autopsie sera faite. On saura alors combien de temps, le corps de la femme a séjourné dans l’eau. La police ne peut plus rien faire, car entre temps la nuit est tombée et on entend plus rien que les croassements des grenouilles et le vent qui souffle dans les feuillages.
De bon matin la police est sur place. Travail de routine – interrogatoires – signalement du lieu ou le corps a été trouvé .recherches des habits de la noyée - maître nageur suspecté
Le médecin légiste a terminé son travail ! Il en résulte que la femme était morte avant de tomber dans l’eau – pas d’eau dans les poumons – Une injection d’un puissant narcotique lui a été administré et sur cela son coeur a lâché. Le corps a été jeté à l’eau et il est resté accroché dans les joncs et la vase du bord de l’étang. Pour le médecin légiste il y a bien eu meurtre.
Aucun indice n’a encore été trouvé par la police. Depuis une dizaine de jours le lac est sous surveillance, nuit et jour.
Voila qu’un soir à une heure assez avancé un promeneur se dirige vers le lac. Que fait il planqué derrière cet arbre à l’orée du petit bois Ceci n’a pas échappé a un policier,lequel va tout doucement voir ça de prés. Dans la pénombre il ne voie pas grand-chose, mais a fur et a mesure ses yeux se sont habitués a cette pénombre et il aperçoit un couple allongé dans l’herbe. Voila il a compris. Le visiteur nocturne est un voyeur caché derrière ce gros tronc d’arbre Allons l’observer
Ce maniaque se croyant seul sort son appareil photos et fait quelques clichés du couple. Il va certainement par la suite les utiliser pour faire pression et demander une rançon. Le malfrat pense que l’argent il faut le prendre ou il est. Il fait tout sauf travailler, car le travail lui fait peur.
Le policier est convaincu que cet individu a un rapport avec le meurtre.
Ce sont les gars de la PJ qui vont devoir démeler cette embrouille l C’est une section de cinq bonhommes plus un commissaire qui sont sur l’affaire Le COMMISSAIRE MARTIN un vrai renard qui a du flair.
MARTIN, sur le coup de 19 heures range ses affaires sur le bureaux et plie bagages. Ca lui suffit pour aujourd’hui Une petite bière un remontant dans le petit bar du coin chez Arthur . sera la bienvenue . Aujourd’hui .une soirée télévision en perspective. Au moment de payer on lui frappe sur l’épaule ! Ah bon sang c’est toi l’ALSACO qui était avec moi dans l’infanterie de la marine ? suivit d’une accolade . Ah oui ça fait un bail une vingtaine d’années passées. Tu te souviens de tel et tel ? Sais tu que, souvenirs souvenirs. A une heure très avancées, les deux hommes se retires , pas avant d’avoir pris rendez-vous pour la semaine prochaine . Une question l’ALSACO es tu de passage ? Non depuis ma libération j’habite la ville mais à l’autre bout. , c’est rare que je vienne par içi.
COMMISSAIRE MARTIN est nerveux. Son affaire du lac ACHARD n’a pas bougé d’un cheveu . Il piétine, il fait du surplace et cela le rend malade
Voila le brigadier de service de la nuit dernière qui a une revélation.à faire.
Alors mon brave explique toi et le brigadier raconte, ce qu’il a observé la veille Le voyeur et ses photos. Interessant interessant nous allons voir ça de prés.
A une centaine de mètres de l’orée du petit bois une clairière . 20 à 30 personnes se rassemblent ce soir là autour d’un bûcher . Il fait un merveilleux clair de lune et toutes les têtes sont dressées vers le firmament . en adoration. Une secte , un rassemblement. Mais la police n’a jamais poussé son terrain d’observation plus loin que le lac.
Mais ce soir là, le commissaire, a prié ses hommes d’aller, au déla du lac et s’introduire dans la forêt. C’est comme si quelqu’un lui disait vas voir un peu plus loin.
La clairière fit inspectée mais rien de spécial fut trouvé. DES FANAS de la bible une secte quelconque.
Ce soir le commissaire a rendez vous avec son copain de régiment .Ca discute de tout et de rien . D’un coup l’ALSACO lui demande des nouvelles de la noyée du lac BIZARRE, ceci n’était donc dans aucun journal, comment peut il savoir ? MARTIN commence à se méfier. Il y a quelque chose qui cloche . Il ne sait pas quoi, mais il va trouver.
Au prochain rendez-vous , le copain a peine arrivé, demande ou en est l’enquête de la noyée du lac ACHARD ; Le commissaire répond que l’affaire est classée et les recherches interrompues., sans oublier de lui demander son adresse pour un nouveau rendez-vous et son numéro de téléphone.
C’est ainsi que le commissaire commence a se méfier de son copain de régument l’ALSACO
et il envisage de le surveiller. Il va mettre toute une équipe de policiers à ses trousses, il veut avoir le cœur net.
A chaque fois que M ARTIN pose une question , elle est répondue par un échappatoire, une autre question. C’est louche tout ça, le mec n’est pas franc se dit le commissaire.
Une patrouille de police a fait une rafle hier soir du côté de la gare centrale. Une jeune fille a téléphoné au commissariat, sous prétexte, qu’il y avait un gars, qui embêtait les femmes dans le hall des pas perdus. Plusieurs individus ont été embarqués pour vérifications de leurs identités
MARTIN dans son bureau les reçois un après l’autre ! Ce sont toujours les mêmes individus !clochards fénéants ivrognes, tarés . Garde faites entrer le suivant. MARTIN ne croie pas ses yeux. Toi l’ALSACO que fait tu là ? Mais tes hommes m’ont embarqué. Je me suis laissé faire, je savais bien que toi tu me sortiras de cette impasse.
De quelle impasse parle tu l’ALSACO ? de la gare centrale ou du lac ACHARD , ?
Moi a ta place je me mettrais a table – vas y racontes c’était bien toi l’autre soir qui dans un moment de démence a violé la jeune femme, retrouvée dans les roseaux .
Cette retrouvaille dans le bistrot , après tant et tant d’années, ce n’était que du cinéma. Tu t’ais dit qu’un pot du commissaire, ne pouvait pas être suspect. Garde, au trou !
MARTIN ne s’était pas trompé, il a vu clair dans cette histoire. ! L’ALSACIEN est un malade, un violeur . C’est lui qui a tué la jeune femme. Elle voulait le dénoncer à la police avant l’acte. Il l’a endormit il a profité d’elle, son cœur a lâché . Une fois morte, il l’a jeté dans l’eau et elle est restée accroché dans les roseaux du lac ACHARD
L’adresse et le numéro de téléphone était faussé . LE COMMISSAIRE. le savais déja . La standardiste lui avait répondu, qu’il n’y avait pas d’abonné sous ce numéro. Une descente a été faite dans la rue que l’ALSACIEN avait indiqué au commissaire. Les policiers sont revenus et ont marqué sur le procés verbal. Monsieur WEISS inconnu dans le quartier.
TANT VA LA CRUCHE A L EAU QU A LA FIN ELLE SE NOIE !
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Posté le: 03-08-2007 20:41 Sujet du message: carnet( de line
LE GRAND PRIX D AMERIQUE !
Shot at 2007-08-03
Dimanche à LONGCHAMP aura lieu le grand PRIX D’AMERIQUE comme tous les ans. Ces dames porteront des toilettes sublimes faites par de grands couturiers et des chapeaux fleuris à voilette vaporeuse. Les messieurs, un pantalon rayé, un frac ; un chapeau haut de forme exactement comme au début du siècle.
Vous pourrez voir une foule immense déambuler dans les allées de l’hippodrome et autour des manèges. Les casaques des chevaux et des jockeys sont multicolores et chaque écurie porte sa propre couleur. Du rouge du bleu du vert du violet du jaune uni croisé avec étoiles ou barré. Quel tumulte ! Les gens sont pressés de savoir s’ils vont gagner ou perdre dans cette course
Le parterre des pelouses est garni de vieux billets périmés que les gens jettent de rage après chaque course. Illusions perdues ! De temps en temps on est accosté par des personnes qui veulent vous vendre un bon tuyau. Le No 10 dans la 3eme, ma main au feu. Vous perdez la mise et le tuyau. C’est à vous de voir. Peut être exceptionnellement avec un peu de chance, vous gagnerez un bonus 3 à 2.80 E
Voila les chevaux sont alignés avec leurs sulkys, le départ est imminent. Le driver retient son cheval avec les rênes jusqu’au départ donné et les voila partis pour un ou deux tours de piste. Le public est là avec sa longue vue et acclame les cavaliers. Les propriétaires des écuries sont nerveux, il y a une grosse somme à gagner pour le vainqueur .Un baise main à droite, un baise main à gauche. Ses messieurs sont euphoriques et chacun espère que son privilégié va gagner.
Les gens hurlent, les gagnants et les perdants. Le 13 LE FOLICHON de l’écurie DUDULE est premier ; Il a gagne d’une courte tête sur BEAU REGARD de l’écurie MAISTRE et enfin le 3em GIBRALTAR de l’écurie BOBBY ; Les propriétaires feront la fêtes ce soir, c’est toujours eux les gagnants. Oh combien on juré, de ne plus jouer dans ce prix là, n’empêche que l’année prochaine vous les retrouverez tous de nouveau ici, comme chaque année.
On a beau dire, le jeu est un luxe qui revient très très cher à quelqu'un qui ne sait pas s’arrêter.
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Tu me fais une petite place LINE, j'ai trouvé une histoire d'oiseaux très intéressante :
Aidez son prochain : quand les oiseaux nous donnent une leçon de savoir vivre !
Lors d'une de nos prospections en zones humides sur un étang à Bois Jolan (Sainte-Anne) nous avons découvert un cas d'entraide entre deux espèces d'oiseaux différentes : une Elénie siffleuse (Elaenia martinica ) ou "sifflè" et un Tyran gris (Tyrannus dominicensis) ou "pipirit".
Imaginez mon émerveillement de surprendre une élénie en train de nourrir un des deux petits pipirit bien qu'il n'ait pas été délaissé de ses parents. Visiblement sortis trop tôt de leur nid , peut-être tombés suite au mauvais temps de la veille , les jeunes ont sans doute émis des cris d'alerte auxquels a répondu une élénie. Certes ces deux espèces font partie de la même famille des Tyrannidés mais l'élénie consomme des baies et petits fruits, très peu d'insectes alors que les "pipirits" sont de redoutables chasseurs d'insectes en plein vol !
la mère nouricière (élénie siffleuse) plus petite que "son" jeune" (Tyran gris)
Posté le: 05-08-2007 23:34 Sujet du message: carnet de line
DONS D ORGANES !
Le mécano est le médecin des voitures, tandis que le médecin est le mécano du corps humain.
Je prends comme exemple les gens qui souffrent des reins et attendent depuis longtemps une donation . Le malade est patient et attends depuis de longs mois, une âme charitable, qui fassent don. Hélas il y a trop peu de donneur et si la dialyse ne fait plus effet, il n’y a que la
transplantation qui rentre en ligne de compte.
Je vais encore vous donner un exemple.. Mon beau frère étant décédé très jeune d(‘un accident à l’âge de 34 ans, sur son lit de mort donna l’autorisation de prélèvement des reins . Une transplantation fût entreprise encore le jour même. Une fois les organes prélevés, il s’est avéré que les reins étaient atrophiés. Quelle déception pour les médecins et( surtout pour les malades, qui attendaient ce jour là avec impatience..
Il ne reste que l’espoir de trouver prochainement un donateur, ma &is l’attente est longue.
Chers amis pensez a faire votre devoir, et en toute conscience, donnez votre accord, une fois que vous auraient trépassés. A ce moment là vous aurez votre conscience tranquille, vous savez que vous avez fais une bonne action..
Le mécano est le médecin des voitures, tandis que le médecin est le mécano du corps humain.
Je prends comme exemple les gens qui souffrent des reins et attendent depuis longtemps une donation . Le malade est patient et attends depuis de longs mois, une âme charitable, qui fassent don. Hélas il y a trop peu de donneur et si la dialyse ne fait plus effet, il n’y a que la
transplantation qui rentre en ligne de compte.
Je vais encore vous donner un exemple.. Mon beau frère étant décédé très jeune d(‘un accident à l’âge de 34 ans, sur son lit de mort donna l’autorisation de prélèvement des reins . Une transplantation fût entreprise encore le jour même. Une fois les organes prélevés, il s’est avéré que les reins étaient atrophiés. Quelle déception pour les médecins et( surtout pour les malades, qui attendaient ce jour là avec impatience..
Il ne reste que l’espoir de trouver prochainement un donateur, ma &is l’attente est longue.
Chers amis pensez a faire votre devoir, et en toute conscience, donnez votre accord, une fois que vous auraient trépassés. A ce moment là vous aurez votre conscience tranquille, vous savez que vous avez fais une bonne action..
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Posté le: 06-08-2007 21:38 Sujet du message: carnet de line
Shot at 2007-08-06
MEUNIER TU DORS !
La roue d’un petit moulin tourne nuit et jour . L’eau clapote. Quel remue- ménage .On est à la recherche du meunier, personne ne l’a revu depuis hier matin. Les camionneurs qui viennent prendre les livraisons de farine sont formels. On ne disparaît, pas comme ça dans la nature. Le moulin tourne tout seul, le silo doit être vide bientôt !
Le moulin est fouillé de fond en comble, aucune trace du meunier, le meunier a bel et bien disparu.. Ce dernier est veuf et habite seul ce petit moulin , situé dans la verdure, prés d’un petit hameau . Les ailes du moulin tournent joyeusement dans le vent.
.Il est bien protégé , la haut dans son moulin., c’est une forteresse. Le bas est aménagé, c’est sa demeure. Un escalier en bois le conduit sur son lieu de travail, il est heureux la –haut, est il sifflote tandis que la roue ne cesse de tourner.
La roue tourne toujours, mais SYLVAIN DiT LA.GLOBULE n’aurait jamais abandonné son moulin de son plein gré, Le moulin c’est sa vie !
Pendant des jours et des jours on est a la recherche de LA GLOBULE , aurait il trouvé, chaussure à son pied ? Ses copains commencent à s’inquiéter et se mettent d’accord pour prévenir les gendarmes.
Enquêtes sur enquêtes , le petit hameau est fouillé, dans tous les coins et recoins. Le patron du petit estaminet sur la place de la mairie, ne l’a pas revu depuis 8 jours., ainsi que le boulanger.
Le meunier avait bel et bien commandé son pain, mais il n’est pas venu le chercher .
C’est une affaire qui n’est pas catholique, dit le brigadier. Grimpons encore la-haut voir ce qui se passe dans ce moulin, je trouverait peut être un indice, sait on jamais .
Le brigadier a eu tort de vouloir mener son enquête tout seul . En arrivant , il y avait une voiture devant le moulin, les phares éteints. Voyons voir ça, je ne suis pas seul sur les lieux
Qui peut bien s’intéresser à notre ami le meunier ?
La porte du moulin s’ouvre et laisse apparaître deux hommes, J’ai eu tort se dit le brigadier de venir tout seul, une bonne petite filature, m’aurait peut être mis en appétit. Je ne suis pas le seul a chercher le meunier. Je vais toujours prendre le N° de la voiture. On verra ça demain.
Il se dirige vers la porte et grimpe les escaliers en bois usés par le temps .Une lampe à pétrole se trouve dans l’habitacle du moulin et le brigadier fait craquer une allumette. Les souris dansent sous les sacs de bons grains, c’est tout ce que le gendarme a pu constater.
Ou peut il bien se trouver mon bon meunier ? Voila ce qu’il ignore ! Il y a des semaines notre SYLVAIN surnommé LA GLOBULE par ses copains, a été témoin visuel, d’une attaque a main armé dans une banque des alentours. Depuis il se méfie de tout et de rien. Il a vaguement l’impression d’être suivi et observé à chaque pas.
Un soir, le dernier camionneur est sur le point de quitter le moulin, lorsque SILVAIN, lui propose un apéritif .Il faut qu’il se confie a quelqu’un . Ca n’a que trop duré. Chaque soir dans son lit il fait des cauchemars. Son bon sommeil l’a abandonné. Cet ouvrier n’est pas un ami à lui, mais une connaissance qu’il connaît depuis très peu et pourtant il se confie. Pauvre meunier ! tu ne sais pas à qui tu a à faire. !
L’équipe du holdup a été avertie par le camionneur en question. Les hommes ont décidé d’un commun accord de supprimer ce pauvre meunier en le jetant dans le silo à grains. Le meunier est mort d’asphixie.
Les deux individus que le gendarme a rencontré, étaient venus voir si le
silo était vide .et que la mort du meunier a déjà été constatée.
Le corps a été trouvé par un ami qui a eu l’idée de regarder dans le silo. A sa grande stupeur il a retrouvé le corps du meunier étouffé par le grain.. Pauvre meunier. Lui qui aimait tant son moulin. !
Les braqueurs ont été retrouvés grâce au gendarme qui avait relevé le numéro d’immatriculation de la voiture garée devant le moulin
Tous les trois ont été condamnés à vingt ans de prison . Restitution de l’argent volé + dommages et intérêts.
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Dernière édition par Line le 07-08-2007 21:04; édité 1 fois
Posté le: 07-08-2007 20:59 Sujet du message: carnet de line
LE DOPAGE !
Shot at 2007-08-07
FABIEN le futur successeur du commissaire VAREL a été muté en attendant son vrai poste, dans un autre service. Le quartier des stupéfiants et des drogues, va être son domaine maintenant. Il a passé par’ une bonne école, celle de VAREL On lui a donné un chien policier, dont il a la garde maintenant.
Le soir ver 21 heures, il fait encore jour, nous sommes en été, FABIEN et son chien se promène, dans le par et la promenade, le long du Rhin..
Arrivé à la hauteur de la casemate, une des dernières de la guerre 39 44, le chien REX s’arrache de sa laisse et fonce dans un grand tas de détritus.
Ce terrain appartient à une usine qui recycle des vieux chiffons et des journaux, pour faire du papier WC..
Allons voir se dit FABIEN et il n’en croit pas ses yeux.. Devant lui un cadavre encore tout frais, en bon état avec une large plaie au front..
Le médecin légiste a constaté, que le mort se dopé en injection sous la langue. La plaie au front peu parvenir d’un coup porté avec un tuyau ou autre.
Deux jours après, FABIEN a su par son voisin de palier, que le décédé faisait parti d’une équipe de hockey-sur glace., la même que le voisin. et que celui-ci a même été nommé son remplaçant..
Il parait( que deux jours avant sur le terrain pendant un match, une rixe a éclaté entre deux joueurs..
Le meurtrier a bien pu le suivre en rentrant , le tuer et le jeter dans ce tas de chiffons, en espérant que la machine va le jeter dans le broyeur., ni vu ni connu..
Il parait que c’est la petit(e fille, qui a révelé que son pauvre papa avait tous les jours mal au sgenoux ; Cette drogue d’après le médecin donne des douleurs articulaires. avant de faire son effet.
Le meurtrier était( vite trouvé, mème que pendant l’interrogation il s’est repris 3 fois..
A peine le juge avait …prononcé le verdict, le cachot l’attendait.
Ce fût pratiquement la première affaire que FABIEN entrepris sans l’aide du commissaire VAREL. ;
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Dernière édition par Line le 07-08-2007 21:34; édité 1 fois
Posté le: 08-08-2007 21:49 Sujet du message: carnet de li_ne
LE DIALOGUE DES OISEAUX DU JARDIN ( CUIC CUIC CUIC )
Shot at 2007-08-08
Un chardonneret et( une petite mésange bleue, sur une branche d’un arbre fruitier. , . Mon Dieu vas t’en dit la mésange au chardonneret, ma famille ne veut pas que je fréquente un étranger. Ah non surtout ma mère, elle dit qu’il faut un beau mâle mésange pour faire de beaux petits bleus, elle les aime tant.
Ta mère serait elle raciste par exemple. ?
Tu es maintenant une grande fille mésange, à toi de choisir, celui que tu aimes entre tes amis.<. Je ferais un bon mari pourtant, tu sais ,je ne te plait pas ma belle ?
Va t’en vite dit la mésange.
Vite, vite sauve toi, voilà ma mère qui arrive. ;
Ah te voila AMANDINE , A qui parlais tu, il me semblais bien. Surtout n’oublie pas à ce que l’on t’as dit. Ton père aussi est de mon avis. Il y- a assez de belles mésanges dans notre chère ALSACE pour que tu n’ai pas besoin d’aller fricoter ailleurs Surtout ne te laisse pas attraper, tu nous mettrais ton père et moi dans une colère noire…
Elle s’envola et laissa sa fille le cœur gros et les yeux en larmes
C’est bien dommage, elle avait déjà trouvé JEAN- BAPTISTE à son goût ce prétendant chardonneret. C’est dommage la fin d’un rêve, il était bien beau ce mec., mais comme il faut toujours écouter ses parents..
Le chardonneret sur un grand sapin dont la cime monte au ciel, ne sait quoi faire, pour consoler sa belle.. Il s’envole vers elle,il faut rassurer cette mignonne, elle est tellement malheureuse.. Elle doit l’aimer beaucoup, le mâle en est tout retourné.
Ohé mésange, la voie est elle libre ? Un petit vent souffle dans les branches et le couple est à nouveau réunie. Il sifflent et chantent, quel beau chant d’amour.
AMANDINE est un oiseau sage écoutant toujours ses parents. Malheureusement elle ne mange plus, n’attrape plus de moucherons, elle n’est( plus joyeuse comme avant ..Tous les sons qui lui sortent du gosier, son des lithanie.Elle s’adresse au ciel, mon DIEU SEIGNEUR aidez moi à raisonner maman et papa . JEAN 6 baptiste c’est le plus gentil, le plus affectueux de toute la région .
.
Caché derrière les branches, un pic-vert cogne sec contre le tronc d’un arbre. AMANDINE AMANDINE regarde le bel arc en ciel. Sais tu que c’e »st un bon présage . Reprends espoir, ceci est un bon signe. Tout va s’arranger. Deux trios pic pic et le pic vert s’envole au loin.
Subitement un large rayon de soleil se met à briller de tous ses éclats. Tous les oiseaux se réunissent pour chante et faire la farandole,pour ce petit couple d’oiseaux amoureux..
L amour est enfant de bohème …………………. LINE _________________ !
Posté le: 09-08-2007 09:15 Sujet du message: carnet de line
UN HOMME QUI NE PORTE PLUS DE NOM !
Shot at 2007-08-09
Nous sommes mardi du fin de mois de février. Une nuit froide étoilée avec pleine lune et tout est silencieux depuis que le départ fût donné en gare de BELFORT .
Arrivé entre BESANCON et LONS LE SAUNIER , subitement dans un fracas infernal le train déraille et se couche sur le côté en bas du talus. On entend de partout de cris d’horreur de la part des voyageurs, quelqu’un uns de douleur et les autres de frayeur.. C’est le déraillement, on ne sait encore pour quelle cause,cet accident s’est produit.
Rien ne bouge encore, seul un homme se lève et déambule dans le noir. Il secoue sa tète, Ou est il que fait il, comment s’appelle t’il. Rien ne lui vient à l’esprit que le bruit immense du train accidenté, qui vient de déchirer la nuit .horrible de ce mois de février, à destination de la côte d’azur. Des lambeaux des habits des chaussures sont éparpillés sur les rails, ainsi que les corps de blessés et même des morts, trépassés dans cet accident..
Le malheureux se met sur une grosse pierre, tient sa tête entre ses main et ne bouge plus avant l’arrivée de VAREL ; Il ne sait plus rien, d’où il vient que fait t’’it içi et ou va-t-il ?
Il ne voie que les rails, mais pas les wagons alignés dans le bas du talus. VAREL n’a aucun résultat sur ses demandes ,il n’a que les yeux qui parlent et VAREL ne comprend rien.. D’après le commissaire le bonhomme n’a pas mal, autre que la tête qui doit lui tourner probablement du choc..
Sur le champ VAREL téléphone au SAMU pour le conduire dans une urgence d’un hospice le plus proche de la ville .
Les médecins auront du mal à le soigner, c’est un cas extrêmement rare
. On ne peux le renvoyer on ne sait ou ? Sa famille va certainement le réclamer d’içi quelques jours . Impossible de le remettre dans la société dans l’état ou il se trouve. Nous le gardons en attendant, l’employons à l’office, nourri logé et payé . Pauvre bougre.. Son épouse s’il y a doit s’inquiéter ainsi que sa famille.
D’ici quelques jours on verra plus, long ; laissons le temps au temps..
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Dernière édition par Line le 09-08-2007 09:26; édité 1 fois
Posté le: 10-08-2007 19:10 Sujet du message: carnet de line
Shot at 2007-08-10
UN PETIT BEBE GORILLE !
Dans la jungle, une maman gorille a accouché d’un merveilleux petit GORILLE du nom de SAMBA SAMBA est un adorable,petit singe seulement il est espiègle et ne veux jamais écouter sa maman.
Un beau jour maman GORILLE, lui tient ce langage ; wouah wouah, gnom gnom , ce qui veux dire, Maman va chercher de la nourriture, reste bien sagement installé sur cet arbre, car ici tous les dangers te guettent, à commencer par’ les lions, les tigres, les panthères et autres. .Même les indigènes, qui seraient heureux de pouvoir offrir un petit être comme toi, à leurs enfants comme jouet.. Pour l’ amour du ciel écoute moi, je voudrais te retrouver à mon retour. à moins que papa veuille bien .t’emmener dans ces expéditions..
PAPA , dit le gros singe, papa, c’est bien beau, va le retrouver le père biologique dans tous ces malabars de singes costauds et forts de cette forêt . Enfin puisque ma femme le dit, je veux bien le croire. BINGO est un singe bon et juste, il ne ferait pas de mal à une mouche..
Maman crie le bébé, il y a un gros ver de terre à me regarder avec de grands yeux et même à me tirer la langue , que dois je faire ? Tiens toi tranquille surtout ne bouge pas c’est un serpent, il partira tout seul.
Voila mon petit ange, tu as bien compris sois sage et elle partie de branches en branches, vers un arbre de baies, bien grosses et fraîches. Ma famille va pouvoir se régaler, nous en aurons pour deux jours au moins..
Maman singe, du nom de DOUDOU se dépêche . Elle n’a pas trop confiance en son lascar.. Qui sait tout ce qui peut arriver pendant son absence, elle est mal à l’aise, une peur bleue la prend subitement.
Comme elle est venue, en sautant de branches en branches, elle reprend le chemin du retour.
Déjà de loin elle aperçoit la branche sur laquelle son bébé devais l’attendre . Doux JESUS , le bébé à disparue. Les larmes aux yeux elle se mis à chercher dans tous les coins de la forêt.
Subitement elle voie venir de loin un petit éléphant, avec sur son dos, son enfant, rigolant de toutes ses dents. Maman maman, je suis là. JUMBO a chassé les vilains qui voulaient me faire du mal. C’est extrêmement gentil à vous d’avoir prie soin de mon petit trésor. Pour votre peine, je vous invite dans mon humble demeure, à déguster ces jolies baies que je viens de chercher.. Nous mangeons à 18 heures, soyez à l’heure.
JUMBO est parti, agitant sa queue et sa trompe en guise d au revoir..
AH si PAPA savait( ça, c’est comme ça qu’il a fait la garde . La prochaine fois je t’emmène sur mon dos et je serais tranquille..
Dans la forêt on ne rencontre pas seulement des braves JUMBO il y a aussi des bêtes féroces., qui avaleraient d’un trait un petit bébé singe pour le petit déjeuner.
Deux bons copains depuis pas mal de temps, inséparables quoi. Nous sommes dimanche et les deux potes ne finissent de s’ennuyer. Quelle barbe dit l’HYPO le dimanche est infernal. On ne sait jamais comment meubler toutes ses heures de lassitude,ils sont tous parti, soit au foot à la plage ou en visite chez la famille. C est donc tous les dimanches pareil. Regardes mon ami comme tout est dépeuplé, les rues son désertes
Que veut tu faire, dit la CHAUVE SOURIS, une partie de belote, la pétanque, une course . peut être ?
Tu ne sais rien faire dis la chauve souris à part rouspéter. Comment dit l’HYPO je sais tout faire et ,si je dis tout c’est tout, même voler.
Comme moi et tourne en volant au tour de la grosse bête. Regarde ce voltige, c’est de la classe, comme sur un terrain d’aviation pendant un metting et pas n’importe lequel.
Je n’ai qu’une parole ! je ne te défend pas, de rire mais qui vivra verra l
Ils se décident d’aller boire un coup chez JULES ce vieux filou . Trinquons mon ami, l’argent ne vaut plus rien. Tournée après tournées, deux heures après ils sont ronds tous les deux. et se battent comme des chiffonniers. Alors l’HYPO quand est ce que tu vas me montrer comment tu voles. Attends attends, d’ici ce soir tu l’auras vu…
Le patron derrière son bar commence à grincer des dent(s. Il se dirige vers les deux compères et leur dit. Vous deux fichez moi le camp je vous ai assez vu pour aujourd’hui. Prenez vos clics et vos claques et ouste dehors, DU VENT.
Comment dit l’HYPO, c’est moi le client, je suis roi. Oui il y a également le roi des cons. Il prend la grosse bête, la jette par’la porte sur le trottoir.
Alors crie l’HYPO à la CHAUVE SOURIS, tu vois comme je sais voler. _________________ !
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Posté le: 11-08-2007 22:56 Sujet du message: carnet de line
LA MOISSON !
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Les tracteurs, les moissonneuses et les batteuses, se sont donnés rendez-vous aujourd’hui dans les champs, c’est la récolte. Les péons ne savent où donner de la tête, vite, vite l’orage commence à gronder, il faut rentrer le blé encore sec, sous les hangars. Aux alentours, des éclairs illuminent le ciel et les grondements de tonnerre se font entendre, pas très loin d’ici. En comptant après chaque éclair, on peut mesurer à peu prés la distance, à combien de kilomètre, l’orage a éclaté. Ceci est rudimentaire, mais on a un petit aperçu quand même.
Depuis plusieurs jours déjà le blé est coupé, séché, mis en gerbes en attendant d’être rentré La saison du mauvais temps vient de commencer. Au lointain l’orage éclate dans tous les coins. Les charrettes et les tracteurs sont chargés maintenant, les ouvriers plantent leurs fourches au sommet du chargement. Hue direction le hangar.Ca a été cette année ci, tout est sec ! Déjà les premières gouttes se mettent à tomber, mais cela n’est pas grave.
Par la même occasion, un cochon a été sacrifié. Dans une grande bassine des saucisses et du boudin sont entrain de cuire en attendant les premiers arrivés à cette immense collation. Une grande table est dressée avec viande, fromage, lard fumé, saucisses, gâteaux et vin doux nouvelle récolte. Les gens de la ferme sont affamés, ça creuse, le travail en plein air. Tout le monde trouve son compte, homme et femme. Joe avec son harmonica, joue un air que tout le monde connaît et on se met à chanter. BOIRE UN PETIT COUP C EST DOUX
Albert serre la Marie dans ses bras, laquelle lui allonge une gifle bien placée. Tous se mettent à rigoler, pauvre imbécile, tu sais bien que la Marie est spéciale, on ne touche pas (chasse gardée). On raconte des histoires, des blagues, des aventures. On fait des bras de fer, surtout les plus jeunes, à qui est le plus fort et la fête continue jusqu’au soir.
Dans le fond du hangar le paysan s’installe avec un cahier d’adresse et un petit coffre, c’est l’heure de la paye. DUPONT, DURAND, LECAPITAINE etc. voici vos enveloppez. Veuillez contrôler s.v.pl. Demain je n’accepterai plus de réclamations.
On se disperse, c’est terminé pour cette année. C’est bien dommage, nous étions une joyeuse équipe. Au revoir, à l’année prochaine. Les plus jeunes vont en ville faire la foire. Ils sont riches, ils ont de l’argent en poche, ils sont jeunes, ils ont la vie devant eux. Quoi de plus ?
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Posté le: 12-08-2007 22:33 Sujet du message: CARN ET DE LINE
LES VAREL AUX 3EME AGES ;
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Oui à l’instant même lee VAREL se son décidés nous allons nous faire inscrire au 3 âge. Pourquoi pas les accompagner un jour dans la semaine à un picnick ou une excursion dans la campagne, la durée de l’automne. Profitons encore des derniers rayons de soleil, ils ont été si rares cette année çi.. L’année dernière ils ont été dans le midi, à la presque ÏLE DE GIENS PORQUEROLLE LA SEYNE SANARY SUR MER ; j ai oublie le LAVANDOU ;ils sont tous rentrés ravis de leur journée au grand air, fatigués mis contents..
Le mois prochain se serra l’Italie ? LA BELLA ITALIA, avec <tous ses chefs d’œuvres à voir.. Tous sont impatients n attendant le jour du déparlt.ILy- en aura pour deux jours pour faire la MER LIGURE ET L ADRIATIQUE ; DE CANNE A ST REMO FIGUERAS VUISERBA GESENATICO , avec SON GRAND AQUARIUM de poissons très rares.
En passant part BELLARIA, nous irons saluer tante LOUISE dit madame VAREL je la vois déjà agiter ses mains en criant MAMA MIA, que faites vous ici
Je ne vous dis spas jour là VAREL il n’y avait( que pour lui, il était à la fête .Il fût sollicité par toutes ses dames. Ils y en a qui se sont faties très belles pour lui ce jour là., toilette, bruhing parfum de GRANDS COUTURIERS et tout se qui suit.. Elles ont rajeunies de vingt ans. à ce moment là.
A madame VAREL ca ne plaisait pas tellement, enfin pour ce jour elle fermait un œil sinon les deux, on s’amusaient.
VAREL le soir avait un petit bonhomme dans l’oreille, a force de boire trop de bière, il adore ça et madame VAREL avait du mal à le mettre au lit, VAREL disait toujours, ceci n’est pas un lit, je suis à la foire, c’est un carrousel
Figurez vous ce vieux commissaire ce fripon, donnait des rendez vous à toutes ces dames le jour même et la même heure auè même endroit. C’était pour leur donner une leçon disait( il cet aventurier de grand chemin. Ah les hommes, pauvres de nous les femmes, si s’était( à refaire ?
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Posté le: 13-08-2007 21:02 Sujet du message: carnet de line
MUSEE GREVIN !
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Lors d’une inauguration à l’occasion de la restauration du personnage d’Henri SALVADOR, le cafetier du bar tabac près du domicile de VAREL lui offre deux billets d’entrée gratuits. Nous allons peut être nous rencontrer là-bas, je vais essayer de fermer un peu plus tôt ce soir là, mais rien n’est sûr dans cette branche, on dirait toujours que c’est fait exprès
Je te sers quoi VAREL comme d’habitude ? oui dit VAREL deux doigts d’anis gras et un doigt de flotte pour ne pas le noyer. Viens trinquer avec moi, cher ami, c’est ma tournée aujourd’hui.
De qui tiens tu ces billets, c’est bien la première fois que j’en vois, à moins que ce soit uniquement pour le beau monde. ALFRED, tu connais VAREL, le grand, toujours bien fringué, le portier du musée, me les a apporté hier au soir. Avec toute cette pluie qui descendait, pas un chat dans les rues, nous avons papoté plus d’une heure avant la fermeture. Ce pauvre Alfred, il en a du souci Figures toi VAREL, il est veuf depuis quelques années avec une jeunes fille de 24 ou 25 ans. Cette petite était belle comme le jour, teint mat, yeux étincelants et chevelure noire abondante, jusqu’au jour ou elle s’est fait vitriolé par une femme jalouse. Pour son père évidemment elle restera toujours belle, mais la fille ne veut plus sortir pendant la journée. Emmène moi dit elle, toi qui est veilleur de nuit, je me promènerais entre toutes ces vitrines et ces personnages. Personne ne me critiquera et lorsque les miroirs rejetteront ma propre image, je pourrais hurler de douleur, sans me faire entendre dans la rue .Oh papa s’il te plait emmène moi je t’en supplie.
L’épouse d’ALFRED n’a pas supporté ce calvaire, est mourut d’un arrêt cardiaque, après cette catastrophe. Le père resta seul avec sa fille et on les voyait tous les soirs circuler sur le boulevard, en direction musée Grévin, sur le coup de 10 heures.
VAREL, dans sa tête fait déjà les démarches nécessaires, pour faire coffrer cette femme. D’après ALFRED, elle se promène tous les après-midi, dans son jardin extraordinaire comme dirait CHARLES TRENET ; Elle chante, ah qu’ils sont beaux ces papillons qui virevoltent dans mon jardin. Je crois bien qu’elle a perdue la raison. dit le taulier. Il y a des jours, ou elle désigne de son doigt l’endroit dans le kiosque ou elle a planqué le vitriol. Evidemment personne ne la crois, elle est dérangé et la jeune femme estropié pour la vie.
Posté le: 14-08-2007 20:37 Sujet du message: carnet de line
LES MEMBRES INFERIEURS !
partons ici d un bon pied !
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HE ? TOI JUJU , dit une jambe à l’autre, ne veux tu pas te pousser un peu et me fa place aussI Figures toi j’ai les même droits que toi et depuis quelques jours tu me pousses aux extrêmes. DIS DONC CHARLY, tu n’est qu’un râleur et la semaine dernière ou tu as pris une NANA sur ton genoux au PAPILLONS BAR ! J’ai rien dis ,moi au contraire j’étais content pour toi d’avoir enfin trouver chaussure à ton pied.
Toi JUJU tu m’énerve, un jour je vais chercher mon flingue et je tire sur toi. Il faudra alors que je vive avec un unijambiste Mieux être seul et mal accompagné et disons que toi encore prendre une fille sur ton genoux. Avec toutes ces arthroses que tu te paie. Tes rhumatismes et tes décalcifications dans ton genoux. Il y a des jours tu souffres le martyre., ménage ton pied ou ta jambe c’est comme tu veux.
Le pied valide, prend une bonne résolution. Laisse nous donc vivre en bonne compagnie. C’est moi l’ainé, puisque la sage femme m’a chopé mon pied pour ma sortir du ventre maternel. Pourquoi se chamailler quotidiennement .Toi tu restes à droite et moi à gauche et le tour est joué.. Mais avant tout ça, j’aurais autre chose à te dire, Vas te laver les pieds oh pardon ton pied, tu sens mauvais !
Eh bien voilà que ça recommence !
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Posté le: 15-08-2007 21:15 Sujet du message: carnet de line
VAREL RECOIE MEME LE DIMANCHE !
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Quel bon bougre, notre commissaire VAREL ; il ne peut faire la sieste aujourd’hui, le voisin a sonné à la porte. GRANDADAM est( dans tous ces états, il viens d’apprendre que sa femme le trompe pendant son service de nuit, en abandonnant ses enfants.
VAREL le conduit au salon lui sert une boisson quelconque et écoute les malheurs de son ami.. Ah oui mon cher, le mariage c’est une loterie, CHANCE OU PAS CHANCE dans ce domaine.. Qu ‘est ce que ça lui rapporte à son dénonciateur, d’avoir craché le morceaux, c’est un idiot. Vous étiez heureux pourtant tous les deux.Ca dit le voisin, je ne lui pardonnerais jamais et( comme elle m’ amadoué en parlant de sa copine. JULIE , qui a une relation depuis fort longtemps. NON ET NON, nous sommes dimanche, demain je demande le divorce avec la garde de mes trois enfants. Ma mère va pouvoir s’en charger et prendre soins d’eux, car jusqu’à présent ce n’était pas le grand amour, entre ces deux femmes...DOROTH,E ne pouvait pas voir sa belle mère en peinture et ça me chiffonnait terriblement, c’est pourtant ma MAMAN ;
VAREL est comme un curé de campagne à la confesse. Il écoute sans interrompre, ne pose pas de question. Il laisse venir les cris du cœur..et son interlocuteur est un peu soulagé.
Calme toi attends demain, c’est la nuit qui porte conseil.. Je sais si çeci m’arrivait je ne serais pas content non plus dit VAREL et moi je n’ai pas d’enfants avec FREDERIQUE, ce serait ,moins méchant , des fois elle est très dure la vie, surtout quand on ne s’y attendait pas. Quel CHOC ;
Essaye dit VAREL de te calmer, allonges toi, fais un petit somme SI SI PRENDS UN CALMANT et dors.
C’est le pire qui pouvait m’arriver. Tu verras dans quelques années, tu n’y penseras plus, à ce sombre dimanche.
T’as raison VAREL, je vais prendre une bonne cuite et je chanterais comme JACQUES BREL
JE PISSE COMME JE PLEURE SUR LES FEMMES INFIDELES !
Posté le: 16-08-2007 20:49 Sujet du message: carnet de line
LES ALEVINS AVEC LEUR MAMAN LE POISSON ROUGE;!
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Maman maman , dis a VICTOR, de ne plus me tamponner en nageant. Un ce ces quatre matins il va lui arriver une bricole, j’en ai mare. Je vais lui faire une tête au carrée,tant pis pour lui. Maman poisson rouge dans son bocal dit, mais pas chez moi Il y a pas tellement longtempsà votre père sur son lit de mort j’ai dû promettre qu’au grand jamais il y aura de dispute dans notre famille .
Vite vite les enfanrts, cachaient vous , sous les algues, le grand méchant loup le SCALLER ,vient tous vous ingurgiter., surtout ne vous laisser pas attraper., je serais ttrop malheureuse.
Revenez mes enfants le danger est passé. HURRAH, les petits, les petits laissent libre court a leur joie. Ne criaient pas tant, je n’entends même plus mon propre GLOU GLOU dans mon aquarium.Taisez vous un peu, j’ai une forte migraine ce matin. Et puis qu’un de vous fasse venir le fameux spécialiste en tout genre. D’apres la vieille CARPE il fa it des miracles..
Pour l’instant dit elle, je ne puis encore vous abandonner lorsque vous aurez l’âge adulte vous choissirais . Rester avec moi, sije me fait vieille, ou vous retrouver dans un sac en plastic, dans un magasin pour la vente.
Chaque enfants serait fier, d’en posséder un. joli comme vous.. Vous êtes une espèce rare avec des écaille bien luisantes La pauvre maman est tellement épuisée, qu’ap premier qui passe, elle balance une gifle dans le visage . Et se serra pour tous pareil.
UN POUR UN ET DIEU POUR TOUS ! _________________ !
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Dernière édition par Line le 16-08-2007 20:58; édité 1 fois
coucou ma linette,
j'ai vu ta petite kim..........elle est adorable,
je reviens de vacance, et tu vois je pense à toi
je te téléphone, des que mon telephone refonctionne..
Posté le: 17-08-2007 20:46 Sujet du message: CARNET DE LINE
LA CHEMISE !
Shot at 2007-08-17
n couple de
fermiers de la région de STRASBOURG au petit déjeuné/
Ce matin dit monsieur DRANDDIDIER, je vais aller à STRASBOURG, j’ai affaire à la banque, ne m’attends pas pour le repas de midi. Je ne sais pas à quelle heure je rentrerais. J’ai bien d éjeuné maintenant , je n’aurais pas très faim, je mangerais un petit quelque chose sur le pouce en cours de route. .
Heureusement que tu me prévienne . Notre banque se trouve à proximité de la place KLEBERT, c’est sur ton chemin.
Au passage de l’AUBETTE se trouve une belle CHEMISERIE pour homme. Achète toi une chemise à ton gôut, j’en ai marre de te voir avec cette vieille et délavée chemise, encore de sous ALBERT LEBRUN ; Ces chemises à grands carreaux se portent pour le sport, mais pas pour habillé.. Que dois je dire, dit le bonhomme… Je m’en foiut mais rentre avec une liquette à ta convenance une que tu pourras porter pour l’église le dimanche aux vêpres ou l’arpes midi , lorsque tu seras invité par TANTE OLGA , pour le café. Il faut que je m’interesse un
peu plus à ton costard, lui aussi il est encore de JERUSALEM ;
Arrivé devant le magasin chic, il regarde la vitrine.Effectivement il y a de belles choses dans cette chemiserie appartenant à la quatrieme géneration de fils en fils. Le LILAS dans le coin, ça ne serais pas mal.
Bonjour mesdames, une vendeuse cligne d’un œil à sa collègue. Je prends se dit elle.,car elle marche au bénef.. Une belle chemise dit le monsieur., ferais le bonheur de ma femme. Ah mais c’est une chemiserie pour hommes içi. Mais la chemise est pour moi. .
Monsieur, que puis je faire, pour votre service. Avez-vous déjà la taille et surtout( dans quelle teinte.
Oui ma femme m’a dit prends du 42 , on sera sur que ça marchera.. Quitte a donner un petit coup de fil au col.. Pour les teintes dit le fermier, j’aimerais du LILAS ;
Voila que la vendeuse elle sort toute sa gamme de lilas. Du PARME , du MAUVE , du VIOLET, CLAIR , FONCE , PASTEL ou PASTEL ? LE MONSIEUR secoue constamment la tête. Une cinquantaine de chemises traînent sur le comptoir toutes défaites Après il va faloirr les replier, il y en aura pour la m matinée. La vendeuse fait de gros yeux, elle n’a pas l’’air contente.
Je suis désolée monsieur je vous ai tout fais voir dans les gamme des LILAS, vous pensez j’aurais aimé vous le vendre cette chemise, hélas !
Je voudrais le LILAS dit l’homme de la campagne. Exactement comme mon LILAS dans mon jardin devant la fenêtre.
Mais Qu’est ce que c’est que ce LILAS ; chez vous ?
On dit que la faim fait sortir les loups des bois et c’est vraie. Que n’aurait t’on pas fait pour un morceaux de pain et des œufs . Surtout les mères de famille ou les enfants criaient famine. Et leur mères nr pouvant plus les entendre pleurer.
Un officier de la Wehrmacht proposait à LUCILLE , chef de famille depuis que son mari a été fusillé par la GESTAPO de la nourrir convenablement en contrepartie de quelques heures par semaine de gentillesse . Il parlait de chocolat, car il était dans la LUFWAFFE comme pilot et avait droit à des rations supplémentaires, pour chaque vol. .Qui moi coucher avec un assassin au grand jamais. Mais plus la guerre tardait de finir, plus la faim s’agrandissait, les enfants pleurant de plus en plus.
Avec quelques boites de nourriture, LUCILLE s’est fait prendre, un soir d’errance, par cet individu. Qu’est ce qu’une mère ne ferait pas pour ses petits ; il y a d’autres femmes, les yeux bandés qui feraient ça ;
Une fois la guerre terminée, toutes femmes ayant fréquenté l’ennemi, a été traîné dans les rues
du village en chemise de nuit, les cheveux coupés à ras et hué par’. le public.
A BAS TOUTES GUERRE ? ELLE SERT SEULEMENT AU CAOITAL , les pauvres gens ,ne voient que du feu JE CRIE HAUT ET FORT A BAS LES GUERRES
;l LINE _________________ !
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Dernière édition par Line le 18-08-2007 23:18; édité 1 fois
Notre commissaire VAREL e st tun homme bon ,indulgent et il a constamment la main sur le cœur. Il a horreur de la pauvrete, de la misère et pour aider il est là au moment opportun. Dans son bureau devant lui, il a un homme d une trentaine d’année arrêté pour vol à l’étalage. Un travailleur étranger sans job, ni lit ,il dort a la belle étoile. Encore les nuits ne sont pas trop fraîches, mais que sera-t-il d’ici un mos ou deux vers noel lorsque dans tous les coins le vent souffle et les rues sont glacées.
VAREL dit en attendant ton jugement,je vais t’héberger chez moi. Si tu me dis la vérité et tu n’as rein volé je te garde, sinon d’appreêt ton comportement, tu seras comme tous ces marginaux, tu vas au trou. VAREL a l’impression qu’il est sincère.. Un hôte pour FREDERIQUE , ça ne l’enchante pas trop, mais quand la police dit oui c’est oui.
Le matin au petit déjeuner, le prisonnier est encore dans les plumes, bie ncallé sous la couette ,la bonne FREDERIQUE, dit à son mari, chéri j’ai peur, une frousse éffryable. Lorsque cet élément me regarde, avec des yeux vides,j’ai les cheveux qui se dressent sur ma tête. Je ne sais pourquoi, ce n’est pas bon signe.On ne juge pas commença les gens avant de les connaître, laissons passer un jour ou deux..
FREDERIQUE a encore raison. Que de plus sure que d’aller se réfugier chez un commissaire de police. Ce n’est certainement pas ici qu’on viendra le chercher et il se sent bien à l’abris.. Cet individu est recherché pour trois assassinats sur les personne Monsieur et madame DR DURAND et sa peetite fille de six ans dans la même nuit, après avoir tiré dans le dos du docteur. La mére est l’enfant ont été tuées dans la cave avec un silencieux.
Un soir qu’il cuvait sa cuite, il raconta à tous, que c’est lui le caid et qu’il fallait être intelligent pour ne pas se laisser avoir.
VAREL très déçu, fait appel à un fourgon de la police pour transporter cet individu , à sa place bien enfermé derrière les barreaux..
Au jugement , le juge a compris que ce n’était pas un travailleur étranger mais un gars de
NANCY ; Le maçon s’était t fait voler ses papiers, sur le chantier., il y a quelques jours .VAREL, déçu comme pas deux, s’est juré d’être plus sur ses gardes la prochaine fois. C’est FREDERIQUE , qui avait encore raison ce coup si et en est fière.
TOI TU POURRAIS TRAVAILLER A LA POLICE MA CHERIE ;
REFUS Les trois personnes, toute la famille du docteur, s’est fait abattre pour REFUS d’ordonnance pour un médicament classé.
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Dernière édition par Line le 19-08-2007 22:45; édité 1 fois
Posté le: 20-08-2007 22:18 Sujet du message: carney- de line
UN PETIT BOUT DE CHOU VA NAITRE !!
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Quelque part dans la région parisienne, un établissement pour les mères prètent à accoucher. Un merveilleux parc entoure cette batisse ornai de parterres de fleuirs richement avhalandé.
Un paysagiste tout seul aurait beau à faire,il sont à plusieurs à travailler toute la sainte journée.
La jeune femme , qui attend son bébé depuis quelques jours a été transporté d’urgence cet après-midi. Il parait que le bébé c’est un garçon.d’après l’échographie.
Cet établissement est bien aménagé . Sur le corridor des flêches indiquant l’endroit SERVICE DU 7 em CIEL ; la l’ enfanr poussera son premier cri..
La maman gémie dans son lit méticuleusement blancdeux trois cris et la femme est libérée, l’enfant viens de naître.
Le pére touit seul à la maison se débrouille bien, mais il envisage de fêter ce soir avec des copains la naissance de son fils. Tournée après tournée ; il rentre à l’aube, un tête comme un compteur à gaz.. Le lendemain, il a une migraine et la tête qui lui tourne. Tant pis ça passera et avant d’aller chez sa femme à l URGENCE ? IL va achter un immense bouquet de roses rouges pour la remercier de lui avoir fait se beau et adorable poupon. Il mesure 52 kg.cm et pèse 3.800.kg .
Elle l’acceuil tout de suite, hein qu’il est beau, tu l’as vu et a qy=ui ressemble t’il. A mon avis il a le même pif que toi, les yeux bleu et la chevelure noire, c’est pas beau. Il es parfait à dit la sage femme en parfaite santé.
CHERI dit la femme,demain il va falloir le faire inscrire sans faute à la mairie, appelons le ALEX , c’est joli pour un garçon n’est ce pas ?
Le lendemain à la mairie le père avec sa tête comme une pasteque, ne se souvenait plus du prénon. Devant le guicher l la demoiselle demande avez-vous choisi son mon ? A.A.A. aloes l’autre elle dit ALBERT, oui oui appelez le ALBERT, sa sonne tout aussi bien ALBERT
VOGEL
L’heure de la tétée arrive. Tous les soiGNEURS, les infirmieres, les filles de salle même les sages femmes cherchent un bébé du nom d’ALEX que sa maman réclame.. Au bord des larmes elle attend son mari qui va lui faire savoir qu’il n’y a pas d’ALEX mais un ALBERT ;
La mamanest rassuée, elle prétend même que c’est très bien, son arrière grand père s’appelait A L B E R T ;
Et tout est bien qui fini bien ! LINE
rnzet de line _________________ !
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Dernière édition par Line le 20-08-2007 22:25; édité 1 fois
Posté le: 21-08-2007 21:04 Sujet du message: carnet de line
DEUX BONS COPAINS !
Il était deux bons copains, comme il n’en existe plus. ;La ou était, l’un
il fallait que le deuxième soit aussi. , toujours habillés de la lême façon. ,habillés de la même façon, avec les mêmes goûts, gentillesse, leurs courtoisies.
Un jour l’ un voulait se marier, alors l’autre il dit et moi et moi, vite il faut que je me trouve une femme.sur le champ. Il se sont mariés le même jour, dans la même cathédrale à la même heure pour pouvoir festoyer ensemble.
Malheureusement les postes de travail sont rares actuellement et pour nourrir sa petite famille, il faut des sous et s’incliner à aller travailler à deux endroits différents.
JOSE, lui vend des machines à coudre, il est absent deux jours par semaine. , Il va à l’étranger, pour son job.
ANDRE par contre, lui est à la S.N.C.F. ; comme chef de bureau.
Le premier s’est fait bâtir une maison, ANDRE ,voulait la même, exactement pareil côte à côte.mubl2e de la ;même façon. Jardin d’agrément et tout et tout comme deux jumeaux.
Eh ANDRE lui dit un collègue. Surtout ce soir c’est les CATHERINETTES , nous allons rester un peu plus tard et fêter ce jours avec nos filles qui sont encore SINGLE l. Un peu de musique un bon verre de vin, ne nous fera pas de mal.
La soirée passe, il est déjà très tard. Un petit groupe est resté à discuter et voilà que mon ANDRE ? perd les pédales. Il est saoût à ras., comme une vache ..
Les deux maisons côtes à côtes,n’ont pas arrangés ANDRE , car en rentrant il s’est gourré de porte et se dirige directement dans la chambre à coucher. L’intérieur est pareil, la position du lit ainsi que les meubles aussi et voilà ce qui arriva dans cette affaire.
Il était d&éjà assis sur le bord du lit et s’est dit : heureusement ma femme dort à poings fermés, elle ne verra pas l’heure qu’il est.
En se baissant pour édéaire ses lacets des godasse en voyant la moquette, il porte un juron. vacherie , je ne suis même pas chez moi. Il repart sur la pointe des pieds, les chaussures en main.
Personne n’a jamais rien su de cette histoire , à part moi. Puisque c’ est moi qui l’ai invent2ée.l LINE
, _________________ !
Chaque être qui naît a une petite pendule dans son corps . Personne,;même p as les plus grands spécialistes n’on trouvé cet emplacement. Il est inaccessible. Il ne se laisse pas manipuler et a la visite d’un petit horloger ,qui vient lui rendre visite de temps en temps.
LA DESTINE !
Cette horloge est divisée en plusieurs parties.
BEBE
ECOLIER
ADOLESCENT
FREQUENTATION
FIANCAILLES
MARIAGE
PARENTS
Toutes ces étapes en général le temps passe bien, le corps est neuf. Mais arrive la MALADIE , l’horloger doit venir plus fréquemment
;
TROISIEME AGE !
C’est ici que commence la grande fatigue. Ce n’est plus dans le pouvoir du petit horloger, mais du GRAND MAITRE, Qui doit venir remédier , le tic tac est moins sonore
VIEILLESSE
Même plus le GRAND MAITRE , ne peut remedier à la chose. SI LA DESTINE dit non c’est non, Si non ce sera encore pour quelqUES JOURS ? QUELQUES HEURES ;
Apres c est la vie ou la mort ? CAR LE SYSTEME EST TROP USE ET FATIGUE ;
Malheureusement plus rien a faire. LA DESTINE A PRIT SON DESSUS !
Dans le nature , il y a toujours PLUS HAUT !
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Dernière édition par Line le 22-08-2007 20:21; édité 1 fois
Posté le: 23-08-2007 19:35 Sujet du message: carnet de line
A MOI AU VOLEUR !
Un attroupement dans la rue, personne ne sait dont il s’agit. LE COMMISSAIRE VAREL comme beaucoup de gens se précipite devant un INSTITUT FUNERAIRE ; Il était en face chez l’épicier faire des courses pour FREDERIQUE , lorsqu’on en tendait( A L AIDE on viens de me voler un cadavre.
L INSTITUT FUNERAIRE appartient à Monsieur GROSS Gérard, .Sa grand- mère avant de mourir a légué cette affaire à un des frères de sa fille, il s’agit de la nma&ison mère. Par contre son frère< JOELLE a hérité de l’ANNEXE ;
Depuis ce jour là, les deux frères sont en bisbis. LA JALOUSIE ; JOELLE prétend que la maison mère est mieux située que son commerce,qui se trouve dans une ruelle m l éclair2E ; Les affaires ne vont pas bon train et GERARD a des cerémonie en veux tu en voila, tandis que lui a du mal à garder son INSTITUT ;
Un soir ,de pleine lune, on ne sait ce qu’à pris JOELLE , il est allé vers minuit voler un cadavre chez son frère,qui en avait de trop.. Au lieu de dire à GERARD, faisons le travail ensemble,, il a decidé de le faire à sa façon, pour foutre la pagaille.
VAREL a compris tout de suite qu’il s’agissait d’une histoire de famille et JOELLE fût condamné à plisieur milliers d’EURO ainsi qu’à purger quelques années pour cet acte horrible.
Posté le: 24-08-2007 20:13 Sujet du message: carnet de line
PATIENCE AUSSI A SES LIMITES
Le déménagement des VAREL a coûté les yeux de la tête mais tant pis..Il faut ce qu’il faut. Dans l »’ancien appartement, le ramassage des ordures se faisait de très bon matin, impossible de faire une fois la grasse matinée.! Tout les jours VAREL jurait comme un charretier, mais maintenant il y en n’a marre FREDERIQUE , nous changeons de crèmerie.
L’occasion se trouvait dans un grand immeuble au 7 eme dans une rue relativement calme.. Mais ou reste t’il encore dans la ville ce calme recherché , des délinquants il y en a partout. Des gamins de 15 à 18 qui trainent dans les rues jusqu’à 2 heures du matin. Ils s’amusent àcouper les pneus des voitures , tapisser les murs avec de l’encre, arracher les fleurs des parterres ils sont grossiers, vulgaires malélevés et jouent au caïd..
Un certain monsieur VAREL vient d’acquérir un 4 pièces , spacieux avec balcon, c’est un rêve pour FREDERIQUE.<VAREL a mis la gomme cette fois ci.
Personne ne connaît Ici monsieur VAREL ; PERSONNE ;Inconnu dans le bataillon.
Deux jours apres VAREL croise ces jeunes rustres dans l’ascenseur. Le plus âgé qui mène cette bande, se trouve marrant en cherchant des crosses au commissaire.. Toi le vieux garde ton clébard avec toi, sinon c’est des coups de pieds au fesses..Ca doit les amuser, car chacun rigole.
En sortant de la maison, VAREL prend son téléphone. Envoyé d’urgence patrouille au 478 rue de la tour.
La police arrive, VAREL les accueille , embarquez moi ça et au plus vite .LE VIEUX va leur faire voir, quel sont les manières de VAREL pour leur apprendre la politesse., à ses BLANCS BECS ;
AU TROU ET QUE CA SAUTE ! c4EST <MOI LE COMMISSAIRE DE POLICE VAREL , Vous entendrez encore parléer de moi prochainement .
A BON ENTENDEUR SALUT ! LINE _________________ !
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Dernière édition par Line le 24-08-2007 20:30; édité 1 fois
Posté le: 25-08-2007 19:34 Sujet du message: cfarnet de line
LE PETIT TRAIN ! TCHI TCHI TCHI
FREDERIQUE comme tous les vendredi fait son marché pour la semaine. L’horloge de l’église sonne 11 heures. Va falloir que je me dépêche maintenant, je n’aurais npas du papoter aussi longtemps avec la VIDAL ; Tant pis je viens d’acheter deux beaux steck. Le repas parisien est vite fait, pommes frites steck salade et voila avec un dessert ça ira. VAREL perd ses bonnes habitudes,il vieilli doucement, autrefois il m’accompagné pour le marché, c’est que c’est lourd tout ça ;Il n’a pas voulu l’accompagner, sous prétexte, qu’il avait à faire.
Essoufl2 elle rentre chez elle. et cherche son bonhomme de mari. Elle ouvre toutes les portes, ojhé chéri je suis là, aide moi au moins à déballer. Le voila ce cher VAREL en plein milieu du salon, la table et les deux fauteuils poussés vers la fenêtre, parterre, les jambes en croix, déballé toutes les affaires du petit train et s’amuse comme un fou.
Mama mia, tu aurais dû prendre un six pièces au lieu de 4 pour tout ton mic_mac.Un gosse je comprends mes toi vieil imbécile, tu es prêt ,je ne le dirais pas, mais tu sais pour aller ou..
VOIL1A, tout son matériel., je vais vous l’énoncer.
TRAIN LOCOMOTIVE RAILS GARELUMIERE PONT WAGONQS HORLOGE DEPART ARRIVEE HORAIRE POSTE LAMPADAIRE BAGAGES PORTEUS KIOSQUE A JOURNAUX CHEF DE GARE VOYAGEURS FAGNION BANCS QUAI ? SORTIE ARRIVEE BUFFET VENDEUR CAFE HANGAR et j’en passe j’ai le tournis..
Tu n’étais pas seul VAREL , tous ces chewing-gomme, ces papiers bonbons ou chocolat, et ces paquets vides de coockies. Non PETIT LOUIS a voulu que je lui fasse voir, mon petit train, que mon parrain m’a acheté, petit à petit, lorsque j’avais 6 ans.
VAREL dit FREDERIQUE, tu les a s toujours. Je vais t’acheter une barboteuse et une bavette, et avec ton biberon tu pourras jouer.
VAREL ,e peux pas placer un mot. ; A la fin il crie, si chez rtoi tout n’est pas piccobelo, t’est âs contente. FREDERIQUE c’est comme ça, à prendre ou à laisser.
Moi j’ai un e idée. Dit FREDERIQUE, la haut au grenier il y a une chambre de bonne, je ne m’en sert pas. Tu te l’aménagera et tu ira jouer la-haut. Le brdel à ranger c’est pour toi.
Le repas tu le feras moi je sort au cinoche ,claque la porte et s’en va.
Nom d’une pipe dit VAREL, elle n’est pas sérieuse je pense. J’ai horreur de la solitude.
LINE
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Dernière édition par Line le 25-08-2007 19:44; édité 1 fois
Posté le: 27-08-2007 16:35 Sujet du message: carnet de line
DIMANCHE PLUVIEUX !
Q uel sombre dimanche dit FREDERIQUE, l’automne se fait sentir . VAREL toi et ton journal, moi je m’ennuie comme pâs deux, faisons une belote, si tu veux bien.
D’accord, mais deux euros pour la tirelire , je trouve qu’elle n’augmente pas vite..Si jamais tu en prends n’oublie pas de le remetttre..Tu me prends pour une voleuse, peut être. Elle se lève chercher le tapis et les cartes avant que la dispute dégénère.
Bon allons y, bats les cartes convenablement, tu connais le règlement/ Fausse donne et c’est terminé, et tu casques
VAREL donne les cartes et rouspète que le jeux est trop vieux, les cartes collent l’ une après l’autre. Que vas-tu encore chercher.
Joue et VAREL étale le valet de cœur sur la table. Une deuxieme fois, pour faire sortir les atouts. ;Il reste la dame qu’il prend avec le roi. Un As , FREDERIQUE n’a toujours pas de pli, elle met une carte quekquonque, qu’elle aurait dû couper.
Halte mon brave dit elle, d’où sort tu ce dernier atout ., c’est moi qui l’avais, que j’ai mis dans le jeux et maintenant tu viens comme une vieille grand-mère deux heures après.
Je n’accepte pas. Si tu avais la dame, tu avais donc le roi. Pourquoi n’avoir pas annoncé la belota ?
FINI pour aujourd’hui mon brave. Je vais chez la voisine papoter et prendre un jus.Jamais au grand jamais je ne me ferais rouler par toi.. Je ranges ces cartes ET JE TE JURES , c’etai bien la dernière fois, que ji=’ai fais une belote avec toi. . En bon entendeur salut.
Posté le: 28-08-2007 15:02 Sujet du message: carnet de line
de Charles Perrault
Il est des gens de qui l'esprit guindé,
Sous un front jamais déridé,
Ne souffre, n'approuve et n'estime
Que le pompeux et le sublime ;
Pour moi, j'ose poser en fait
Qu'en de certains moments l'esprit le plus parfait
Peut aimer sans rougir jusqu'aux Marionnettes ;
Et qu'il est des temps et des lieux
Où le grave et le sérieux
Ne valent pas d'agréables sornettes.
Pourquoi faut-il s'émerveiller
Que la Raison la mieux sensée,
Lasse souvent de trop veiller,
Par des contes d'Ogre et de Fée
Ingénieusement bercée,
Prenne plaisir à sommeiller ?
Sans craindre donc qu'on me condamne
De mal employer mon loisir,
Je vais, pour contenter votre juste désir,
Vous conter tout au long l'histoire de Peau-d'âne.
Il était une fois un Roi,
Le plus grand qui fût sur la Terre,
Aimable en Paix, terrible en Guerre,
Seul enfin comparable à soi :
Ses voisins le craignaient, ses États étaient calmes,
Et l'on voyait de toutes parts
Fleurir, à l'ombre de ses palmes,
Et les Vertus et les beaux Arts.
Son aimable Moitié, sa Compagne fidèle,
Était si charmante et si belle,
Avait l'esprit si commode et si doux
Qu'il était encor avec elle
Moins heureux Roi qu'heureux époux.
De leur tendre et chaste Hyménée
Pleine de douceur et d'agrément,
Avec tant de vertus une fille était née
Qu'ils se consolaient aisément
De n'avoir pas de plus ample lignée.
Dans son vaste et riche Palais
Ce n'était que magnificence ;
Partout y fourmillait une vive abondance
De Courtisans et de Valets ;
Il avait dans son Écurie Grands et petits chevaux de toutes les façons, Couverts de beaux caparaçons Roides d'or et de broderie ;
Mais ce qui surprenait tout le monde en entrant,
C'est qu'au lieu le plus apparent,
Un maître âne étalait ses deux grandes oreilles.
Cette injustice vous surprend,
Mais lorsque vous saurez ses vertus non pareilles,
Vous ne trouverez pas que l'honneur fût trop grand.
Tel et si net le forma la Nature
Qu'il ne faisait jamais d'ordure,
Mais bien beaux Écus au soleil
Et Louis de toute manière,
Qu'on allait recueillir sur la blonde litière
Tous les matins à son réveil.
Or le Ciel qui parfois se lasse
De rendre les hommes contents,
Qui toujours à ses biens mêle quelque disgrâce,
Ainsi que la pluie au beau temps,
Permit qu'une âpre maladie
Tout à coup de la Reine attaquât les beaux jours.
Partout on cherche du secours ;
Mais ni la Faculté qui le Grec étudie,
Ni les Charlatans ayant cours,
Ne purent tous ensemble arrêter l'incendie
Que la fièvre allumait en s'augmentant toujours.
Arrivée à sa dernière heure
Elle dit au Roi son Époux :
Trouvez bon qu'avant que je meure
J'exige une chose de vous ;
C'est que s'il vous prenait envie
De vous remarier quand je n'y serai plus...
Ah ! dit le Roi, ces soins sont superflus,
Je n'y songerai de ma vie,
Soyez en repos là-dessus.
Je le crois bien, reprit la Reine,
Si j'en prends à témoin votre amour véhément ;
Mais pour m'en rendre plus certaine,
Je veux avoir votre serment,
Adouci toutefois par ce tempérament
Que si vous rencontrez une femme plus belle,
Mieux faite et plus sage que moi,
Vous pourrez franchement lui donner votre foi
Et vous marier avec elle.
Sa confiance en ses attraits
Lui faisait regarder une telle promesse
Comme un serment, surpris avec adresse,
De ne se marier jamais.
Le Prince jura donc, les yeux baignés de larmes,
Tout ce que la Reine voulut ;
La Reine entre ses bras mourut,
Et jamais un Mari ne fit tant de vacarmes.
À l'ouïr sangloter et les nuits et les jours,
On jugea que son deuil ne lui durerait guère,
Et qu'il pleurait ses défuntes Amours
Comme un homme pressé qui veut sortir d'affaire.
On ne se trompa point. Au bout de quelques mois
Il voulut procéder à faire un nouveau choix ;
Mais ce n'était pas chose aisée,
Il fallait garder son serment
Et que la nouvelle Épousée
Eût plus d'attraits et d'agrément
Que celle qu'on venait de mettre au monument.
Ni la Cour en beautés fertile,
Ni la Campagne, ni la Ville,
Ni les Royaumes d'alentour
Dont on alla faire le tour
N'en purent fournir une telle ;
L'Infante seule était plus belle
Et possédait certains tendres appas
Que la défunte n'avait pas.
Le Roi le remarqua lui-même
Et brûlant d'un amour extrême
Alla follement s'aviser
Que par cette raison il devait l'épouser.
Il trouva même un Casuiste
Qui jugea que le cas se pouvait proposer.
Mais la jeune Princesse triste
D'ouïr parler d'un tel amour,
Se lamentait et pleurait nuit et jour
De mille chagrins l'âme pleine,
Elle alla trouver sa Marraine,
Loin, dans une grotte à l'écart
De Nacre et de Corail richement étoffée.
C'était une admirable Fée
Qui n'eut jamais de pareille en son Art.
Il n'est pas besoin qu'on vous die
Ce qu'était une Fée en ces bienheureux temps ;
Car je suis sûr que votre Mie
Vous l'aura dit dès vos plus jeunes ans.
Je sais, dit-elle, en voyant la Princesse,
Ce qui vous fait venir ici,
Je sais de votre coeur la profonde tristesse ;
Mais avec moi n'ayez plus de souci.
Il n'est rien qui vous puisse nuire
Pourvu qu'à mes conseils vous vous laissiez conduire.
Votre Père, il est vrai, voudrait vous épouser ;
Ecouter sa folle demande
Serait une faute bien grande,
Mais sans le contredire on le peut refuser.
Dites-lui qu'il faut qu'il vous donne
Pour rendre vos désirs contents,
Avant qu'à son amour votre coeur s'abandonne,
Une Robe qui soit de la couleur du Temps ;
Malgré tout son pouvoir et toute sa richesse,
Quoique le Ciel en tout favorise ses voeux,
Il ne pourra jamais accomplir sa promesse.
Aussitôt la jeune Princesse
L'alla dire en tremblant à son Père amoureux
Qui dans le moment fit entendre
Aux Tailleurs les plus importants
Que s'ils ne lui faisaient, sans trop le faire attendre,
Une Robe qui fût de la couleur du Temps,
Ils pouvaient s'assurer qu'il les ferait tous pendre.
Le second jour ne luisait pas encor
Qu'on apporta la Robe désirée ;
Le plus beau bleu de l'Empyrée
N'est pas, lorsqu'il est ceint de gros nuage d'or
D'une couleur plus azurée.
De joie et de douleur l'Infante pénétrée
Ne sait que dire ni comment
Se dérober à son engagement.
Princesse, demandez-en une,
Lui dit sa Marraine tout bas,
Qui plus brillante et moins commune,
Soit de la couleur de la Lune.
Il ne vous la donnera pas.
À peine la Princesse en eut fait la demande
Que le Roi dit à son Brodeur :
Que l'astre de la Nuit n'ait pas plus de splendeur
Et que dans quatre jours sans faute on me la rende.
Le riche habillement fut fait au jour marqué,
Tel que le Roi s'en était expliqué.
Dans les Cieux où la Nuit a déployé ses voiles,
La Lune est moins pompeuse en sa robe d'argent
Lors même qu'au milieu de son cours diligent
Sa plus vive clarté fait pâlir les étoiles.
La Princesse admirant ce merveilleux habit,
Était à consentir presque délibérée ;
Mais par sa Marraine inspirée,
Au Prince amoureux elle dit :
Je ne saurais être contente
Que je n'aie une Robe encore plus brillante
Et de la couleur du Soleil.
Le Prince qui l'aimait d'un amour sans pareil,
Fit venir aussitôt un riche Lapidaire
Et lui commanda de la faire
D'un superbe tissu d'or et de diamants,
Disant que s'il manquait à le bien satisfaire,
Il le ferait mourir au milieu des tourments.
Le Prince fut exempt de s'en donner la peine,
Car l'ouvrier industrieux,
Avant la fin de la semaine,
Fit apporter l'ouvrage précieux,
Si beau, si vif, si radieux,
Que le blond Amant de Clymène
Lorsque sur la voûte des Cieux
Dans son char d'or il se promène,
D'un plus brillant éclat n'éblouit pas les yeux.
L'Infante que ces dons achèvent de confondre,
À son Père, à son Roi ne sait plus que répondre.
Sa Marraine aussitôt la prenant par la main :
Il ne faut pas, lui dit-elle à l'oreille,
Demeurer en si beau chemin ;
Est-ce une si grande merveille
Que tous ces dons que vous en recevez,
Tant qu'il aura l'âne que vous savez,
Qui d'écus d'or sans cesse emplit sa bourse ?
Demandez-lui la peau de ce rare Animal.
Comme il est toute sa ressource,
Vous ne l'obtiendrez pas, ou je raisonne mal.
Cette Fée était bien savante,
Et cependant elle ignorait encor
Que l'amour violent pourvu qu'on le contente,
Compte pour rien l'argent et l'or ;
La peau fut galamment aussitôt accordée
Que l'Infante l'eut demandée.
Cette Peau quand on l'apporta
Terriblement l'épouvanta
Et la fit de son sort amèrement se plaindre.
Sa Marraine survint et lui représenta
Que quand on fait le bien on ne doit jamais craindre :
Qu'il faut laisser penser au Roi
Qu'elle est tout à fait disposée
À subir avec lui la conjugale Loi,
Mais qu'au même moment, seule et bien déguisée,
Il faut qu'elle s'en aille en quelque État lointain
Pour éviter un mal si proche et si certain.
Posté le: 28-08-2007 23:11 Sujet du message: Re: carnet de line
Line a écrit:
L HISTOIRE !
Il est dix heures du soir. FREDERIQUE sort de la salle de bain, en chemise de nuit , bigoudis sur la tête, elle vient de se laver les cheveux.
VAREL lui,encore installé dans le salon avec son quotidien , lu et relu trente six fois, penche la tête. Il est entrain de lutter contre le sommeil. VAREL toi aussi tu devrais te coucher, il est l’heure. Demain il faut être reposé, tu auras une rude journée ?
Mais qui t’a dit çà ?
Mais c’est toi-même hier soir sur le balcon. Même que tu as dit, je voudrais que le tout soit terminé, c’est l’affaire DOLL qui va être jugé. Le gamin qui a tué ses parents pour un peu de fric.
*Je n’aurais jamais dû te dire ça, est ce que j’étais saoul ?
Va au lit je te rejoins dans cinq minutes.. Elle est partie se coucher sans rouspêter.
Dix minutes plus tard ! VAREL, est toujours dans le salon et se coupe ses ongles. Elle va le rejoindre, VAREL je n’arrive pas à m’endormir. Viens sur mes genoux je vais te raconter une histoire. Oh oui dit FREDERIQUE , tes histoires me faut à chaque fois roupiller..
Mais ne m’interomps pas, s’il te plait, je commence.
Quelque part en ville habite un couple . La femme est invalide et le monsieur à l’habitude d’aller au boxon régulièrement.
VARE ne me dis pas que tu veux y aller ?
Mais non mais non, ça fait partie de cette histoire.
Le monsieur avait l’habitude d’aller toujours chez la même dame, qu’il appellait, sa poupée jjolie. Mais la poupéé à force de lire des magazines toute les journée, était portée sur les vêtement des grands couturiers par le monde. Elle ne s’habillait pas à bon marché.Elle disait la qualité c’est la qualité.
Le pauvre bougre , avait du mal à lui acheter quelques chose.Ce n’était pas dans ses moyens. Ilo avait beau faire des heures supplémentaires, jamais il n’en aurait eu assez… Habiller deux femmes c’est de trop pour un smicard.
Voila que lui vient à l’idée de chiper une robe dans l’armoire de sa femme pour l’offrir à la poupée jolie, qui était heureuse vous pensais.
Le samedi d’après, le couple va faire une promenade .En passant place KLEBER aux grandes arcades, il y a une belle avec une très belle robe.
La dame dit à son mari, tu me disais toujours que mes robes sont exclusives ; Voila que la tapineuse porte la même robe que moi..
Et le même coup se reproduit une deuxième fois.. Pour en être très sur, l’épouse allait vers son armoire chercher les robes, mais elles avait disparues.. Grand DIEU, elle avait vite compris.
En regardant bien, c’est VAREL qui ronfle, FREDERIQUE est toujours réveillée.
Eh bien il faudra qu’elle compte les moutons. Maintenant.
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