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Posté le: 01-12-2005 09:24 Sujet du message: carnet de line
Ier SAPIN de NOEL chez un jeune couple !
Je vais vous raconter une histoire, lorsqu’on est jeune et amoureuse. A 18 ans je me suis mariée en debut de septembre 46. Ma mere avait beau me supplier, ne fais pas ça, tu es jeune, tu as la vie devant toi. Attends encore un peu , sors vas au bal au concert, amuse toi ! rien a faire j’etais tetue comme une mule. Nous nous sommes maries et voila le souvenir d’une gamine que j’ étais a l’epoque !
Pour le 1er Noel j’ai voulu faire plaisir a mon homme, je lui ai acheté un extenseur dans un magasin de sports.
La vendeuse m’a étalé tous les modèles sur le comptoir en me demandant, quelle force voulez vous ?
A peine je savais ce que c’etait qu’un extenseur, maintenant la force.
Est il fort votre mari, madame. Je comprends qu’il est fort même plus que ça.
J’ai le normal le fort et l’hercule. Si je comprends bien madame, il vous faut le hercule.
La vendeuse me fait un joli petit paquet avec un grand flot rouge. Oh j’etais fiere ;j’étais comme une gosse, qui attend le pere-noel.
Le soir du reveillon arrive, je depose ce paquet sous le sapin joliement decoré.
En attendant la remise des cadeaux.
Le moment est arrivé, les beaux papiers d’emballage sont dechires et trainent parterre.
Mon mari essaye sont extenseur. Il tire, il tire, devient tout rouge dans la figure et s’ecrie, mais c’est pour un bœuf, mais pas pour un homme. Qu’ as tu donc acheté ? Toute ma joie mon pauvre reveillon, tout c’est envolé.
Apres les fêtes, je suis retournée au magasin de sport pour l’échange. Mademoiselle, veuillez me l’échanger, mon mari malheureusement il est moins fort que je ne croyais.
Je pense bien dit la vendeuse, ca aurait été le premier, que nous vendons . C’est tous les ans l’echange. S’est d’ailleurs le seul que nous avons en stock.
Posté le: 01-12-2005 12:17 Sujet du message: réponse
bonjourLINE, tu as du etre déçu en voulant faire plaisir a l(homme de ta vie, mais tu sais on les voit toujours plus beaux et plus forts quand on est amoureux, mais quand mème ton NOEL a été u n peu gaché pauvre line bisous ma grande _________________
bonjour ma petite line, tu vois tu t es affolée, pour rien, je viens de retrouver ton carnet!!!!
il ne faut pas t affoler comme cela, mémé MUSIKA VEILLE SUR TES POLARS
voilà je les ai retrouvé
!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!bisou _________________ poete_musika..4 mains
Mais oui Line, je savais bien aussi que ça n'avait pas disparu !
Rien ne se perd ici, tu le sais bien.
Allez, viens nous faire trembler un peu avec tes histoires policières. _________________
" Le bonheur ne court pas le monde; il faut vivre où l'on est heureux "
Ah, le chat va manger la souris de l'ordinateur ...
D'accord Line, on continue dans la magie de Noël, on reprendra les intrigues après, sue le carnet qui a été retrouvé . _________________
" Le bonheur ne court pas le monde; il faut vivre où l'on est heureux "
Posté le: 21-12-2005 09:12 Sujet du message: carnet de line
LA PETITE MAISON ISOLEE !
Un vent glacial souffle fort en rafales ce matin. Nous ne sommes pas loin de Noël et tout le monde se précipite dans les grands magasins. C’est la cohue comme tous les ans, en cette saison là et les rayons de jouets sont pris d’assaut. On peut appeler ça la fièvre de Noël.
Marie- Jo, se pose la question « que puis je acheter à mon homme comme cadeau de Noël ? Je sais bien ce qui lui ferait plaisir, nous en parlons souvent…. d’ailleurs moi aussi j’en rêve. » Une petite maison dans les alentours, pas trop grande et pas trop chère. Hélas, c’est un château en Espagne.
Elle remonte son col, met ses mitaines et va affronter le froid. Il commence à neiger à gros flocons. Les routes, les voitures, les toits des maisons, tout est recouvert d’un linceul blanc
Immaculé.
Marie- Jo se dirige en vitesse vers sa voiture qu’elle a dû laisser à 400 mètres du magasin, faute de place de stationnement. Elle longe les voies ferrées, probablement des branchements ?? particuliers et se trouve nez à nez avec une pancarte . Jolie petit pavillon à vendre dans parc. Très bonne affaire. S’adresser à l’agence Schmoll…. C’est une proposition du père Noël on dirait. Mais où peut- elle bien être cette maisonnette, au milieu de ces ronces de mûres, et de taillis. C’est la forêt vierge par ici, voila un petit sentier très étroit, qui mène probablement vers le pavillon. Allons voir, ça n’engage a rien.
Voilà qu’une dame vient à sa rencontre. Bonjour Madame, seriez vous intéressée par notre offre ? Malheureusement je ne peux pas vous faire visiter, il est midi passé et j’ai un autre rendez vous. Mais si vous êtes preneur, il faudra vous dépêcher, car j’ai déjà plusieurs personnes sur cette affaire
Laissez moi le temps de visiter et d’en parler à mon mari. Je crains Madame qu’il ne soit déjà trop tard. A deux heures pile, le marché doit être conclu. Le propriétaire de la maison, a son vol pour MANILLE à 16 heures et d’ici là la vente devra être effectuée. A moins que vous me signez une déclaration de vente en bonne et dû forme sur le champ. Que faire ? Acheter sans la permission de mon mari, impossible. Même si je lui offre comme cadeau de Noël ! Jamais, je ne pourrais rassembler une somme pareille, à moi toute seule.
Madame, le propriétaire est disposé de vous accorder un crédit ou vous propose une rente viagère, si ça peut vous convenir. Marie –Jo tremble comme une feuille morte, elle ne sait plus quoi faire……mais elle signe !
Voici, mon adresse et le N° de téléphone de notre agence. Je vous laisse les clés pour visiter. Tenez moi au courant de votre décision et passez moi un coup de fil s.v.pl La dame monte dans sa voiture, démarre et Marie -Jo se retrouve toute seule devant ce pavillon abandonné depuis des années.
Va-t-elle rentrer toute seule dans cette maison ? Certainement pas. Elle n’est pas assez courageuse et au fond d’elle-même se dit, dans quoi me suis je engouffrée.
Marie- Jo regarde sa montre. N’est il pas encore 14 heures, afin qu’elle puisse téléphoner à cette dame pour lui dire, qu’elle ne s’intéressait plus à l’affaire
Enfin à une minute près, il est 14 heures. Marie –Jo compose le numéro et une opératrice lui répond : il n’y a pas d’abonné au numéro que vous avez demandé.
Elle recommence. J’aurai pu dans mon énervement me tromper se dit elle. LA MEME CHOSE pas d’abonné. La pauvre elle est dans tous ses états Que faire ? Elle met cette clé au fond de son sac en attendant l’évolution de cette affaire plutôt curieuse.
A 18 heures son mari rentrera de son travail et elle est bien décidée à ne rien lui dire. Elle veut régler cette histoire toute seule puisque c’est elle qui l’a cherchée. Je te trouve bien nerveuse ce soir ma chérie, que t’arrive t’il ? Il a parfaitement vu que quelque chose ne tournait pas rond chez sa femme ce soir là.
Jamais de la vie, elle n’aurait dû apposer sa signature sur le document que cette dame lui a présenté. Au grand jamais. Mais les regrets viennent toujours trop tard. Cette signature ne lui sortira pas de la tête et l’empêchera de dormir une bonne partie de la nuit. Si le téléphone ne marche pas, elle aura toujours l’adresse, pour envoyer ses mandats. La seule chose qui est abordable pour l’instant c’est le prix. La maison et le terrain c’est une très bonne affaire ! Son mari ne pourra que la féliciter de cette acquisition.
Tant pis se dit elle je lui en parlerai demain ! et demain ce sera le lendemain et après le sur lendemain. Quelques jours passèrent, sans que Marie -Jo visite ce pavillon et sans en parler à son mari. Après les fêtes de Noël se dit elle !
Voilà ! les jours de Noël sont passés et le lendemain matin Marie -Jo se décide enfin à aller visiter ce fameux pavillon . Arrivée sur place elle trouve la porte ouverte, c’est bizarre se dit- elle puisque c’est elle qui détient la clé. Voyons voir ça de près.
L’entrée donne sur un palier avec escalier pour les étages. La porte à droite est fermée et porte un écriteau : NE PAS DERANGER LES CHAUVES SOURIS. La porte de gauche
un écriteau, NI LES RATS, une autre porte NI LES SERPENTS ET NI LES GUEPES !
Qu’est ce que ça veut dire, c’est l’œuvre d’un fou tout ça. .
Un monsieur sort de la cuisine et la regarde. Parce que vous aussi, vous avez marché lui dit il .Ce pavillon a été vendu une dizaine de fois, dix acomptes, ça fait une somme assez rondelette pour passer les fêtes de Noël vous ne trouvez pas ?
Ce monsieur a été lésé, mais Marie- Jo n’avait encore rien versé. Heureusement se dit elle, mais il va falloir quand même que j’en parle à mon mari prochainement.
LA PETITE MAISON EST TOUJOURS LA DANS CETTE FORET VIERGE ENTRE LES TAILLIS ET LES RONCES DE MURES !
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Posté le: 02-01-2006 08:58 Sujet du message: carnet de line
allez et c'esr reparti! 1ere partie du polar
LA MAIN ENSANGLANTEE ! ( ou cadavre en daube )
Nous sommes vendredi et comme tous les vendredi, le commissaire VAREL a invité son amie FREDERIQUE pour le souper. C’est lui-même qui met la main à la pâte et le voila devant son fourneau entrain de faire un bœuf en daube maison. C’est sa spécialité parait il, personne ne la fait mieux que lui, d’après ses collègues. VAREL est très fier de ce compliment , peut être ne sait il pas faire autre chose . A chaque invité , il propose cette fameuse DAUBE ; On sonne a la porte……… VAREL quitte son tablier, c’est certainement FREDERIQUE. Il regarde sa montre, il va être 19 heures . elle a de l’avance se dit il en ouvrant la porte.
Un jeune factionnaire, lui tend une enveloppe. Le commissaire est prié de passer d’urgence au commissariat . Un meurtre dans un sauna – coup de fil anonyme – victime lacérée – mort constatée à l’arrivée de la police.. Voiture N° 20
La soirée du commissaire, si bien organisée tombe encore à l’eau. Hier il a bouclé le dernier dossier et classé l’affaire en se disant ouf ! On va pouvoir respirer et voila aujourd’hui rebelote.
Apres le souper, le couple avait décidé d’aller au théâtre, même que le commissaire avait pris les billets il y a quelques jours.
L’ascenseur s’arrête sur le palier, la porte s’ouvre. c’est FREDERIQUE , toute joyeuse toute pimpante. A la vue du factionnaire, elle ne demande pas d’explications. ce n’est pas la première fois que ça arrive.
Je suis désolé FREDERIQUE, il faudra manger toute seule. Je vais me dépêcher et on se retrouvera devant le théâtre si tu veux bien. VAREL met sa veste et le voila parti en compagnie du policier.
FREDERIQUE est de mauvaise humeur. Je m’étais pourtant juré de ne plus fréquenter ni policier ni médecin. Je n’ai pas envie de manger seule toute ma vie, ni d’aller seule au théâtre. Elle levais trop bien, quelle allait passer sa soirée en solitaire. Elle ne touchera pas à la nourriture, tout ça lui a coupé l’appétit !
Pendant ce temps VAREL est arrivé sur le lieu du crime, le SAUNA Les policiers ont fort à faire pour dissiper les badauds, circulez circulez, il n’y a rien a voir.
La première chose qui a frappé le commissaire, c’est une empreinte de main ensanglantée sur le mur. C’est comme si on voulait donner une signature à cet acte horrible. Le corps de la victime a été lacéré d’innombrables coups de couteaux sur tout le corps. Non ce n’est pas un simple couteau, mais plutôt une lame de bistouri, qui a été retrouvé sous un drap de bain.
A cette heure ci, il n’y avait pas beaucoup de monde. La plupart des gens étaient dans les différents bassins ou en salle de massage. personne n’a rien vu ni entendu .
Le temps passa. Le commissaire, regarda sa montre. Il avait complètement oublié FREDERIQUE ; Elle a dû aller toute seule au théâtre, mais non c’est lui qui a les billets en poche. Pauvre fille, je la comprend se dit il. Quel métier ? Je n’aurais donc jamais une vie de famille ?
FREDERIQUE a dû rentrer chez elle. Ce soir, il ne téléphonera plus car elle risque d’être déjà couchée. Mais demain avant d’aller au bureau, il prendra de ses nouvelles.
En rentrant chez lui, le bœuf en daube est resté comme il l’avait laissé. Personne n’avait faim ni FREDERIQUE ni lui. C’est bien dommage, il avait pourtant l’air bien appétissant.
Pendant des jours, l’affaire suit son cours. Interrogatoire sur interrogatoire Tous les clients du Sauna qui étaient présents ce soir là sont convoqués – déclaration sur déclaration.
A l’autre bout de la ville une vielle usine délabrée. Quelques S.D.F y trouvent refuge. Il y a un va et vient toute la journée. Même des grosses cylindrées font halte dans la cour et ses occupants se dispersent dans ce grand bâtiment. . Ou vont-ils, que font ils, qui sont ils ?
Parmi eux des mauvais garçons de la pègre. Chacune des personnes a un sac de sport garni de sachets de drogue, qui va être livrée au détaillant. moyennant une forte somme d’argent . Chacun a intérêt à être réglo, sinon les gros moyens vont être pris
Voici l’équipe de DUDULE ! Une vieille traction. A bord quatre occupants. DUDULE le chef et trois malfrats ; A leur compte petits larcins vol à l’étalage - détournement de mineurs braquage de banque – recel etc. Actuellement acheminement de drogue vers les différents revendeurs de la ville. Revenu assez important, si travail bien fait.
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L’équipe LA MENACE. Le boss LA MENACE et deux petits rigolos qui aiment jouer du couteau. Du vrai travail d’artiste net et sans bavure. Aucune trace de sang n’est visible après leur passage, du travail de joaillier avec garantie. Leur voiture est un véritable arsenal du revolver petit calibre au fusil mitrailleur.
Et enfin la ALFA SPOR du CALIF OMAR ! Cinq occupants, d’anciens condamnés. Plusieurs années de prison, pour différents délits. OMAR a payé très cher pour le nom de CALIF et en profite maintenant pour dominer. C’est lui qui dirige les trois équipes et tous marchent à la baguette. La galette est pour le CALIF et les autres se partageront le reste. Les associés sont des fainéants et se contente de la vie qu’ils mènent aux ordres du CALIF. Une vie assez mouvementée et dangereuse dans les bas-fonds d’une grande ville, toujours le doigt sur la gâchette.
Pendant ce temps, le commissaire VAREL attend le concierge d’un immeuble de l’avenue de la paix. VAREL aimerait avoir quelques renseignements sur la personne assassinée dans le sauna. Le concierge a été convoqué il y a trois jours et ne s’est pas présenté, VAREL n’aime pas ça, alors pas du tout. Il se décide d’aller le voir et cela _________________ !
Posté le: 03-01-2006 10:58 Sujet du message: carnet de line
ANNICK TU VOIS PANNE ; je mets la suite ici j'ai essayé a 4 reprises bisou
Pendant ce temps, le commissaire VAREL attend le concierge d’un immeuble de l’avenue de la paix. VAREL aimerait avoir quelques renseignements sur la personne assassinée dans le sauna. Le concierge a été convoqué il y a trois jours et ne s’est pas présenté, VAREL n’aime pas ça, alors pas du tout. Il se décide d’aller le voir et cela sur le champ .A qui demander sinon au portier, les petites habitudes de ses locataires. L’assassiné du SAUNA habitait la maison au 2eme étage à droite, un respectable citoyen, ouvrier modèle dans une brasserie depuis des années et jamais de conflits avec la justice
Le commissaire est arrivé entre temps devant la porte du concierge, Il sonne, rien ne bouge, un deuxième coup de sonnette, toujours rien .VAREL déjà sur le point de se retourner aperçoit une tâche de sang sur le paillasson. Vite il sort son passe de sa poche du veston et s’introduit dans l’appartement. Avec les deux pieds il se retrouve dans une immense flaque de sang. Quelle boucherie ! Quelle horreur ! Murs, canapé rideaux, lit, le tout maculé de sang. Le corps du concierge vidé, se trouve allongé sur le lit, certainement depuis quelques jours.
VAREL se creuse la tête. Il ne voit pas le rapport entre ces deux crimes. Et pourtant. La méthode est exactement la même chez les deux victimes. Ca doit être le même assassin, corps lacérés avec une lame. Sur le mur à la tête du lit, une main sanguinolente est appliquée comme un cachet. Il n’y a pas d’empreintes, mais la grandeur de la main est exactement la même.
Dans la cour de l’ancienne usine ce soir là, le chauffeur de DUDULE va trouver un de ces S.D.F. pour lui demander s’il ne voulait pas faire un extra le lendemain. Il lui miroite une certaine somme d’argent et lui dit : Cet argent te fait tant et tant de bouteilles de bière et le travail n’est pas compliqué.
Il faut aller à la gare aux coffres des valises (départ) et ramener un sac de sport dans la cour de l’usine. .Ce que le chauffeur ne sait pas, c’est que le type est déjà indicateur chez la police.
Double emploi, double salaire. Le S.D.F. se frotte les mains ! Ce soir là il est suivi par l’équipe DUDULE et par la POLICE. La police fait une descente et ramasse tout sur son chemin. Tout ce qui se trouve dans l’enceinte de la gare est contrôlé, valises, sacs de sport, sacs a mains. Les trains repartent vides, les gens sont obligés de rester sur le quai jusqu’à nouvel ordre. Le S.D.F. pense qu’il n’était pas suspecté, alors que la police le filait silencieusement depuis des semaines.
La police a donné le go. L’attroupement se disperse, les gens se retirent Le seul à être embarqué, c’est le S.D.F. Son sac de sport contenait des centaines de petits paquets de drogue achetés en Belgique ! Expédiés clandestinement en France, pour la revente. Mais où sont- ils ces trafiquants ?
Qui sont ils. Tu vas parler .On va te délier la langue. Plus de vin, plus de bière et plus de cigarettes. D’ici quelques jours tu nous apporteras ton histoire sur un plateau. Garde mettez le en cellule, il aura tout le temps pour réfléchir. Le sac de sport est confisqué avec son contenu par la police. Il y en a pour des milliers et des milliers d’euros. OMAR va pouvoir le comptabiliser dans pertes et profits ! Mais la police ne sait toujours pas à qui appartient ce sac garni de drogue.
line35
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Posté le: Mar 3 Jan à 6:09 _________________ !
Posté le: 04-01-2006 06:47 Sujet du message: carnet de line
uite du polar
Le S.D.F. confortablement installé sur sa couche, fait travailler ses méninges. Ca fait des mois qu’il n’a pas vu de lit et la chaleur de la cellule le fait somnoler. Il entend vaguement la musique de la radio de son voisin et subitement il plonge dans un profond sommeil.
Le lendemain !
Un pâle rayon de soleil a travers les barreaux de la cellule, réveille le S.D.F. il va être 7 heures. Il regarde autour de lui, il a peur et se met à trembler comme une feuille morte.
Toute cette marchandise que la police a confisquée, c’est à lui de rembourser .Ou va t’il prendre tout cet argent pour régler cette dette à OMAR ?
J’ai tout intérêt a ne pas cracher le morceau se dit il. Tant que je suis en cabane, il ne peut rien m’arriver. Une fois dehors , si je n’ai pas les sous pour rembourser la drogue, ils vont me butter. VAREL pendant ce temps attend le bon vouloir de ce prisonnier pour lui révéler le nom de son chef. Le S.D.F. ne dira rien, car il veut rester en prison le temps qu’il faudra pour trouver une solution.
Trois jours après, il est 10 heures du matin ! VAREL a passé une très mauvaise nuit ! Il est resté sans nouvelles de FREDERIQUE depuis la fameuse soirée du Bœuf en daube. A chaque fois qu’il essaye de lui téléphoner, ça sonne occupé .Il est très inquiet, n’a-t-elle plus envie de le revoir ? Ce soir en quittant son bureau, il va faire un tour chez elle, il faut absolument qu’il sache a quoi s’en tenir. Ce n’est pas vrai, elle n’a pas pu le quitter comme ça.
Le CALIF, habite un grand hôtel particulier en plein centre de la ville, hôtel très renommé. Ce soir en sortant de sa voiture, il avait vaguement l’impression d’être suivi et même photographié par un inconnu qui se trouvait de l’autre côté de la chaussée. Il monte vite les deux marches, bouscule le chasseur et s’introduit dans la loge du portier.
Il se demande, est ce la police ou est-ce un chasseur de prime , ou même un détective privé .Alors adieux les belles femmes, les grosses voitures, la dolce vita .
Comme son casier judiciaire n’est plus vierge, il aura certainement des années à tirer, dans une galère quelconque.
Le photographe, n’est autre que le commissaire VAREL, qui depuis 2 jours pose des questions aux employés de l’hôtel. LE CALIF et son chauffeur habitent sous le même toit. Le CALIF a une suite au 1er étage et son chauffeur une chambre mansardée tout en haut. Comme le CALIF est un être très peureux, le soir il va dormir dans la pièce du chauffeur et le chauffeur descend au premier, dormir dans la suite. LE CALIF ne sait pas que tout le monde est au courant. Le personnel ne dit rien car le CALIF est un client très large en pourboires .
On est vendredi, exactement 8 jours ont passé depuis la fameuse soirée du BŒUF EN DAUBE ! VAREL est installé dans sa cuisine devant une bière un bout de pain et un camembert. Il n’a pas faim, mais comme il n’a pas eu de temps de manger à midi, son estomac ne le laissera pas dormir cette nuit. D’ailleurs il a décidé d’aller se coucher après les informations, vu qu’il a sa claque pour aujourd’hui.
VAREL éteint la télé et débarrasse la table ! On sonne a la porte Ah non vous n’allez pas recommencer comme la semaine dernière ? Le commissaire ouvre la porte. Un cri de joie !
FREDERIQUE est revenue ! Sur le champ la grosse fatigue du jour a disparu. Il l’enlace et la fait tourbillonner. il est fou de joie. Ils sont là à papoter une bonne partie de la nuit et a l’aube il la ramènera chez elle.
Il est 8 heures, le commissaire est encore fatigué, mais c’est une bonne fatigue. Il s’est posé la question ? Pourquoi ne pas libérer le SDF et le faire suivre nuit et jour par quelques hommes de son service. C’est vrai il n’y a pas que lui qui le recherche. Avec tout cet argent qu’il doit pour la marchandises réquisitionnée, on va pas lui e faire de cadeau.
Oui parfaitement, VAREL va le libérer oui mais il va falloir qu’il change de look ! Et le commissaire lui a promis de prendre personnellement soin de lui. Même qu’il allait lui faire
Un BŒUF EN DAUBE maison . Le soir, s’il rentre a une heure convenable.
ACHILLE le SDF n’est pas très emballé de cette _________________ !
aimer c'est donner !
Dernière édition par Line le 04-01-2006 07:06; édité 2 fois
Posté le: 04-01-2006 06:55 Sujet du message: CARNET DE LINE
Qui veut gagner du pognon ?
Par leravi - 27/11/2005
Jean-Pierre Foucault, 58 ans, préside la nouvelle chaîne de télé locale marseillaise, LCM. Avec ses airs de ne pas y toucher, le saltimbanque devient incontournable du côté du Vieux-Port.
« Tut-tut-tututut-tutututut-tut-tut ! » (il arrive tout sourire en klaxonnant un air de supporters de l’OM au volant de sa Traction avant Citroën, puis baisse la vitre teintée). Bonjour à tous, public bien aimé ! C’est moi, le gendre idéal, après Michel Drucker bien sûr, mais un jour je lui piquerais la place ! Car je veux qu’on m’aime, c’est pour ça que j’ai mon air de toutou doucereux, que j’ai fait carrière à la radio puis à la télé. Je suis né à Marseille et tout ça, j’ai écrit un livre là dessus, mais je ne l’ai pas lu. Bref, quand j’étais jeune, je vendais des porte-clés. J’ai bien essayé de les vendre avec une photo de moi en pendentif, mais ça n’a pas marché, bouh ! Alors j’ai passé un concours d’animateur sur RMC, et j’ai gagné, pas des millions, ce sera plus tard. Depuis, j’adore les jeux. Après RMC, Europe 1, puis RMC pendant vingt ans. La téloche, j’y suis rentré avec ce génie de Guy Lux pour Ring Parade sur TFI, puis Antenne2 avec l’Académie des 9, toujours le jeu ! En même temps, je ne lâche pas ma bonne vieille RMC, où je grimpe dans la hiérarchie. Mon deuxième coup de bol, après le concours RMC, c’est la Cinq en 1986. Rappelez-vous, Berlusconi et ses associés débauchent toutes les vedettes de TF1 à coups de millions. Moi, je ne suis pas. De toutes façons, pas assez célèbre à l’époque, contrairement à Sabatier ou Collaro qui eux, se gavent. Bref, je fais partie des seconds couteaux sur lesquels TF1 déplumée va se rabattre. Aubaine ! Et c’est parti pour Sacrée Soirée. Depuis, ils m’aiment bien chez TF1, je leur ai servi de mascotte pendant que le bateau prenait l’eau. C’est aussi à cette époque que je lance Disney Parade, où je réussis le tour de force d’être plus mièvre et tête à claques que les créatures de Disney. Puis le schmilblick sur RTL, et retour à RMC qui se casse la gueule, où je prends la direction de l’antenne. Ensuite, je me suis vautré avec Le monde est fou ! , encore plus tarte que Sacrée soirée, comme quoi il y a des limites. En 1995, j’ai fait mon plus beau score d’audience avec 10,5 millions de spectateurs ! C’était pour la finale d’Intervilles, présentée avec Fabrice. Aujourd’hui, après un petit passage à vide, je cartonne à nouveau avec Qui veut gagner des millions ?, sinon je continue toujours à présenter l’élection de Miss France, je fais la bise à Madame de Fontenay, eh bien elle pique ! Et puis de temps à autre des soirées one shot de variétoches. Je palpe environ 40 000 euros par mois de TF1 et tous ses services rendus à la nation m’ont valu la Légion d’Honneur. Comme je suis populaire, les hommes politiques m’aiment bien. Ils aimeraient tant faire dix millions de spectateurs sur TF1 ! Alors, si on les voit avec moi, ils se disent que ça ne peut pas faire de mal. Du coup, je suis très copain avec Gaudin. C’est qu’il n’y en a pas beaucoup depuis Pagnol, à faire rayonner Marseille sur le plan national comme moi ! A part ça, je préside l’association Olympique de Marseille, propriétaire de la marque OM et du numéro d’affiliation du club à la Ligue. Donc, le jour où Dreyfus veut vendre l’OM, il a besoin de mon accord. Ça m’a permis de négocier les droits télé des matchs de l’OM en différé pour une poignée de cacahuètes. Petit cadeau dans l’escarcelle de LCM, la chaîne marseillaise qui vient d’être lancée, dont je suis le président d’honneur. Eh oui, il commence à devenir incontournable, le gentil saltimbanque, du côté de la Canebière ! Je ne suis pas très fort en étymologie, mais saltimbanque, ça veut dire : qui fait sauter la banque, non ? Bref, LCM, c’est une chaîne « low cost », je le répète partout. Les matchs de l’OM, du télé-achat, la trilogie de Taxi en boucle, quelques séries amerloques... Gare aux crashs, mais c’est du low cost, je vous aurai prévenu ! Y aura de l’info aussi. Mais pas question de favoriser mon vieil ami Jean-Claude : « Les journalistes travailleront librement, je serai leur rempart. » (1) De belles phrases qui ne mangent pas de pain. De toutes façons, les journalistes sont suffisamment disciplinés pour pas que mon ami Jean-Claude ait à s’inquiéter. Avec une chaîne qui appartient à la Provence, Sodexho, Dassault, AB Productions et la SAFIM (Foire de Marseille), il dort sur ses deux oreilles, croyez-moi ! Bon, je vais aller faire un tour en Traction, je fais ça le week-end, entre Monaco et Marseille. J’en ai plein le garage, des Traction, Panhard, Morgan, Delahaye... Faut bien que je claque mon fric, qui sait quoi faire de ses millions ? Mais je ne m’achète pas trop des bagnoles « frime », ça n’attire pas la sympathie, contrairement à une vieille Traction. Et comme vous le savez, paraître le garçon le plus sympathique du monde, c’est mon obsession comme mon fonds de commerce. Voilà, c’est mon dernier mot.
Alors Line ! on va bientôt le connaître cet assassin ?
Avant qu'il ne fasse d'autres victimes surtout...et toute cette bande de truands, il va falloir nous mettre tout ça au frais ! _________________
" Le bonheur ne court pas le monde; il faut vivre où l'on est heureux "
Posté le: 05-01-2006 09:23 Sujet du message: carnet de line
Le lendemain, le commissaire croise ACHILE dans la rue, bien lavé, coiffé, méconnaissable . VAREL continu son chemin, pour embrouiller les pistes. Deux heures aprés le SDF se trouve dans les bureaux de la police.
Alors Achile , c’est ce soir que nous allons manger le BŒUF EN DAUBE , C’est comme vous voulez monsieur le commissaire, ce n’est pas de refus.
Eh voila encore VAREL derrière ses fourneaux avec son tablier à grands carreaux et son lido, et ses gants , cadeaux de noël , de l’année dernière. Tout est parfait, assez mijoté, on va pouvoir mettre la table .
On sonne ! VAREL ouvre la porte, c’est un factionnaire qui amène son invité ! ah ce n’est pas tout commissaire, il va falloir passer au bureau c’est très urgent. Appel téléphonique cadavre dans une bouche de métro . mrmrmrmrmrmrmr AC HILE tu manges seul , je serais de retour d’ici une heure et il s’en va avec le factionnaire .
Le SDF se sert une bonne assiette de BŒUF EN DAUBE et voila qui lui passe une idée part la tête de prendre un bon bain. On peut également manger dans la baignoire, sitôt dit sitôt fait ! BON APPETIT mon vieux se dit il.
On sonne a la porte, ça doit être le commissaire il a du oublier quelque chose ?ACHILE ne s’en occupe pas, il mange. Subitement son assiette de BŒUF lui tombe dans l’eau , on l’a poignardé par derrière dans le dos. On continu à le lacérer, aucun crie n’a échappé a ce pauvre bougre . L’eau de la baignoire a pris une couleur de sauce tomates avec ce sang et ce bœuf en daube. Un cadavre en daube à la stupéfaction du commissaire ! par la suite !
VAREL , ne voulant pas laisser le SDF tout seul est revenu plus vite qu’il ne pensait. A l’entrée de son immeuble il se trouve nez a nez avec le chauffeur du CALIF . Une seule idée lui a passé par la tête ACHILE ? Il prend le chauffeur à la gorge et sert très fort, le met dans sa voiture et appelle du renfort . On ne peut constater que le décés du SDF et au mur le meurtrier n’avait pas oublié, d’apposer sa main sanguignolante
VAREL ce jour là c’était juré de ne plus jamais faire un BŒUF EN DAUBE !
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MAIS TOUT SIMPLEMENT DU BŒUF A LA MODE ! _________________ !
Posté le: 06-01-2006 06:13 Sujet du message: CARNET DE LINE
SOIREE D ETE ORAGEUSE !
Nous sommes au début du mois d’août, il fait une chaleur torride ce soir sur la ville. De temps en temps des éclairs traversent le firmament, nous allons essuyer un orage. Des gens se promènent autour du lac ACHARD ! Et là un attroupement, que s’est il passé ? Certainement une noyade, dit un cycliste qui vient d’arriver. Malgré l’écriteau interdit à la baignade, il y a des noyés tous les ans à la même époque.
Entre les roseaux du lac, on vient de repêcher un corps de femme dévêtu. On écarte les curieux afin que la police puisse faire son enquête. Petit à petit la foule se disperse, la nuit tombe et les gens regagnent leurs domiciles.
Les commérages vont bon train. As-tu vu la belle femme ? Elle est bien jeune encore, mourir à cet âge c’est triste. Voulait elle prendre un bain de minuit, il n’est que 22 heures. Et chacun met son grain de sel.
Le corps de la victime est transporté à la morgue. Demain autopsie sera faite. On saura alors combien de temps, le corps de la femme a séjourné dans l’eau. La police ne peut plus rien faire, car entre-temps la nuit est tombée et on n’entend plus rien que les coassements des grenouilles et le vent qui souffle dans les feuillages.
De bon matin la police est sur place. Travail de routine – interrogatoires – signalement du lieu ou le corps a été trouvé. Recherches des habits de la noyée - maître nageur suspecté.
Le médecin légiste a terminé son travail ! Il en résulte que la femme était morte avant de tomber dans l’eau – pas d’eau dans les poumons – Une injection d’un puissant narcotique lui a été administrée et sur cela son coeur a lâché. Le corps a été jeté à l’eau et il est resté accroché dans les joncs et la vase du bord de l’étang. Pour le médecin légiste il y a bien eu meurtre.
Aucun indice n’a encore été trouvé par la police. Depuis une dizaine de jours le lac est sous surveillance, nuit et jour.
Voila qu’un soir à une heure assez avancée un promeneur se dirige vers le lac. Que fait il planqué derrière cet arbre à l’orée du petit bois Ceci n’a pas échappé a un policier, qui va tout doucement voir ça de prés. Dans la pénombre il ne voit pas grand-chose, mais a fur et a mesure ses yeux se sont habitués a cette pénombref il aperçoit un couple allongé dans l’herbe. Voila il a compris. Le visiteur nocturne est un voyeur caché derrière ce gros tronc d’arbre. Allons l’observer. ! _________________ !
Posté le: 06-01-2006 06:25 Sujet du message: carnet de line
Connais-tu l'amusante fable de
La Fontaine, qui nous met en garde contre l'orgueil et la vanité.
La Grenouille qui veut se faire aussi grosse que le Boeuf.
Une grenouille vit un boeuf
Qui lui sembla de belle taille.
Elle, qui n'était pas grosse en tout comme un oeuf,
Envieuse, s'étend, et s'enfle, et se travaille,
Pour égaler l'animal en grosseur.
Disant : " Regardez bien ma soeur;
Est-ce assez ? dites-moi; n'y suis-je point encore ?
Nenni. - M'y voici donc ? - Point du tout.
M'y voilà ?
Vous n'en approchez point "
La chétive pécore.
S'enfla si bien qu'elle creva.
Le monde est plein de gens qui ne sont pas plus sages:
Tout bourgeois veut bâtir comme les grands seigneurs,
Tout petit prince a des ambassadeurs,
Tout marquis veut avoir des pages.
Posté le: 07-01-2006 07:18 Sujet du message: Carnet de line
Ce maniaque se croyant seul sort son appareil photos et fait quelques clichés du couple. Il va certainement par la suite les utiliser pour faire pression et demander une rançon. Le malfrat pense que l’argent il faut le prendre ou il est. Il fait tout sauf travailler, car le travail lui fait peur.
Le policier est convaincu que cet individu a un rapport avec le meurtre.
Ce sont les gars de la PJ qui vont devoir démêler cette embrouille. C’est une section de cinq bonhommes plus un commissaire qui sont sur l’affaire. Le COMMISSAIRE MARTIN un vrai renard, qui a du. flair.
MARTIN, sur le coup de 19 heures range ses affaires sur le bureau et plie bagages. Ca lui suffit pour aujourd’hui Une petite bière, un remontant dans le petit bar du coin chez Arthur. sera la bienvenue. Aujourd’hui .une soirée télévision en perspective. Au moment de payer on lui frappe sur l’épaule ! Ah bon sang c’est toi l’ALSACO qui était avec moi dans l’infanterie de la marine ? Suivit d’une accolade. Ah oui ça fait un bail une vingtaine d’années passées. Tu te souviens de tel et tel ? Sais tu que. Souvenirs. A une heure très avancées, les deux hommes se retirent, pas avant d’avoir pris rendez-vous pour la semaine prochaine. Une question l’ALSACO est tu de passage ? Non depuis ma libération j’habite la ville mais a l’autre bout. , c’est rare que je vienne par ici.
COMMISSAIRE MARTIN est nerveux. Son affaire du lac achard n’a pas bougé d’un cheveu. Il piétine, il fait du surplace et cela le rend malade.
Voila le brigadier de service de la nuit dernière qui a une révélation.à faire.
Alors mon brave explique toi ! Et le brigadier raconte, ce qu’il a observé la vieille. Le voyeur et ses photos. Intéressant ! Nous allons voir ça de prés.
A une centaine de mètres de l’orée du petit bois une clairière. 20 à 30 personnes se rassemblent ce soir là autour d’un bûcher. Il fait un merveilleux clair de lune et toutes les têtes sont dressées vers le firmament. En adoration. Une secte, en prière, murmure des paroles, incompréhensibles. La police n’est pas au courant de ce rassemblement. Elle n’a jamais poussé son terrain d’observation plus loin que le lac.
Mais ce soir là, le commissaire, a prié ses hommes d’aller, au delà du lac et s’introduire dans la forêt. C’est comme si quelqu’un lui disait vas voir un peu plus loin.
La clairière fit inspectée mais rien de spéciale ne fut trouvé. DES FANAS de la bible. Une secte quelconque.
Ce soir le commissaire a rendez vous avec son copain de régiment. Ca discute de tout et de rien. D’un coup l’ALSACO lui demande des nouvelles de la noyée du lac. BIZARRE, ceci n’etait donc dans aucun journal, comment peut il savoir ? MARTIN commence à se méfier. Il y a quelque chose qui cloche. Il ne sait pas quoi, mais il va trouver.
Au prochain rendez-vous , le copain a peine arrivé, demande ou en est l’enquête de la noyée du lac ACHARD ; Le commissaire répond que l’affaire est classée et les recherches interrompues., sans oublier de lui demander son adresse pour un nouveau rendez-vous et son numéro de téléphone.
Voila que l e commissaire commence à se méfier _________________ !
Posté le: 07-01-2006 07:36 Sujet du message: PAGE DE LINE
LE CORBEAU ET LE RENARD ! JEAN DE LA FONTAINE
Maître corbeau, sur un arbre perché,
Tenait en son bec un fromage.
Maître renard par l'odeur alléché ,
Lui tint à peu près ce langage :
«Et bonjour Monsieur du Corbeau.
Que vous êtes joli! que vous me semblez beau!
Sans mentir, si votre ramage
Se rapporte à votre plumage,
Vous êtes le phénix des hôtes de ces bois»
A ces mots le corbeau ne se sent pas de joie;
Et pour montrer sa belle voix,
Il ouvre un large bec laisse tomber sa proie.
Le renard s'en saisit et dit: "Mon bon Monsieur,
Apprenez que tout flatteur
Vit aux dépens de celui qui l'écoute:
Cette leçon vaut bien un fromage sans doute."
Le corbeau honteux et confus
Jura mais un peu tard , qu'on ne l'y prendrait plus.
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Posté le: 08-01-2006 06:48 Sujet du message: carnet de line
Voila que l e commissaire commence à se méfier de son copain l’ALSACO et il envisage de le surveiller. Il va mettre toute une équipe de policiers à ses trousses, il veut avoir le cœur net.
A chaque fois que M ARTIN pose une question , elle est répondue par un échappatoire, une autre question. C’est louche tout ça, le mec n’est pas franc se dit le commissaire.
Une patrouille de police a fait une rafle hier soir du côté de la gare centrale. Une jeune fille a téléphoné au commissariat, sous prétexte, qu’il y avait un gars, qui embêtait les femmes dans le hall des pas perdus. Plusieurs individus ont été embarqués pour vérifications de leurs identités
MARTIN dans son bureau les reçois un après l’autre ! Ce sont toujours les mêmes individus !clochardss fénéants ivrognes, tarés . Garde faites entrer le suivant. MARTIN ne croie pas ses yeux. Toi l’ALSACO que fait tu là ? Mais tes hommes m’ont embarqué. Je me suis laissé faire, je savais bien que toi tu me sortira de cette impasse.
De quelle impasse parle tu l’ALSACO ? de la gare centrale ou du lac ACHARD , ?
Moi a ta place je me mettrais a table – vas y raconte , c’était bien toi l’autre soir qui dans un moment de démence a violé la jeune femme, retrouvée dans les roseaux .
Cette retrouvaille dans le bistrot , après tant et tant d’années, ce n’était que du cinéma. Tu t’ai dit qu’un pot du commissaire, ne pouvait pas être suspect. Garde, au trou !
MARTIN ne s’était pas trompé, il a vu clair dans cette histoire. ! L’ALSACIEN est un malade, in violeur. C’est lui qui a tué la jeune femme. Elle voulait le dénoncer à la police avant l’acte. Il l’a endormie, il a profité d’elle, son cœur a lâché. Une fois morte, il l’a jeté dans l’eau et elle est restée accrochée dans les roseaux du lac ACHARD
L’adresse et le numéro de téléphone étaient faussés, Le commissaire le savait déjà la standardiste lui avait répondu , qu’il n’y avait pas d’abonné sous ce numéro. Une descente a été faite dans la rue que l’ alsacien avait indiqué au commissaire. Les policiers sont revenus et ont marqués sur le proçés verbal Monsieur WEISS, inconnu dans le quartier.
TANT VA LA CRUCHE A L EAU QU A LA FIN ELLE SE NOIE !
Posté le: 08-01-2006 07:06 Sujet du message: carnet de line
Compère le Renard se mit un jour en frais,
Et retint à dîner commère la Cicogne.
Le régal fut petit et sans beaucoup d'apprêts:
Le galand, pour toute besogne,
Avait un brouet clair (il vivait chichement).
Ce brouet fut par lui servi sur une assiette:
La cigogne au long bec n'en put attraper miette,
Et le drôle eut lapé le tout en un moment.
Pour se venger de cette tromperie,
A quelque temps de là, la cigogne le prie.
"Volontiers, lui dit-il, car avec mes amis,
Je ne fais point cérémonie. "
A l'heure dite, il courut au logis
De la cigogne son hôtesse,
Loua très fort sa politesse ,
Trouva le dîner cuit à point.
Bon appétit surtout, renards n'en manquent point.
Il se réjouissait à l'odeur de la viande
Mise en menus morceaux, et qu'il croyait friande.
On servit, pour l'embarrasser,
En un vase à long col et d'étroite embouchure .
Le bec de la cigogne y pouvait bien passer,
Mais le museau du sire était d'autre mesure.
Il lui fallut à jeun retourner au logis,
Honteux comme un renard qu'une poule aurait pris,
Serrant la queue, et portant bas l'oreille.
Trompeurs, c'est pour vous que j'écris :
Attendez-vous à la pareille.
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Posté le: 08-01-2006 07:26 Sujet du message: carnet de line
Il était une fois une petite chauve-souris qui s’appelait Lili.
Elle vivait dans une maison hantée, au milieu des fantômes. Ces fantômes étaient tous très gentils avec elle, mais, elle, elle voulait être l’amie des hommes. Or, à chaque fois qu’elle allait dans une maison, les habitants se cachaient.
Alors, elle repartait le coeur brisé.
Le grand rhinolophe
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Un jour, une nouvelle famille arriva dans la maison où habitait Lili.
Dans cette famille, il y avait deux enfants: Benjamin et Ioana.
Ce jour-là, Lili s’était suspendue dans le placard d’une chambre pour dormir. Et Benjamin et Ioana choisirent justement cette chambre pour s’installer...
Le petit rhinolophe
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Cette pièce était la plus grande et la plus belle de la maison.
Les deux enfants ouvrirent les volets pour laisser entrer la lumière. Puis, Ioana ouvrit la porte du placard pour suspendre son pyjama. Et alors!... Elle poussa un cri terrible et sortit en courant de la chambre:
- Maman, viens vite, il y a une bête effrayante dans le placard.
Le grand murin
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Pendant ce temps, Lili, surprise par la lumière, s’était décrochée! Elle était tombée d’un coup et elle s’était cassé une aile. Elle se mit à pousser des petits cris. La maman de Ioana arriva dans la chambre et entendit les petits cris de Lili.
Le vespertilion de Bechstein
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Elle dit:
- Benjamin, ferme vite les volets, s’il te plaît. La lumière gêne cette petite chauve-souris.
Mais juste à ce moment-là, deux fantômes apparurent. Le plus vieux des deux murmura:
- Atikali... Soigne l’aile de notre amie Lili!
La pipistrelle commune
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Soudainement, Lili sentit son aile guérie, mais elle ne put pas encore voler. Alors, les fantômes soulevèrent délicatement Lili et s’envolèrent avec elle.
La maman et les enfants restèrent bouche-bée: Lili s’envolait sans bouger les ailes. Pour eux, les fantômes étaient invisibles. Benjamin voulut suivre cette bizarre petite chauve-souris!
En voyant Benjamin qui n’avait pas peur, Lili chuchota aux fantômes.
- Atikala... Laissez moi là.
L’oreillard roux
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Lili se posa doucement sur le sol devant Benjamin.
Le petit garçon la prit dans ses mains et lui dit:
- Petite chauve-souris, veux-tu être mon amie, s’il te plaît?
- Oh oui, j’ai toujours rêvé d’être l’amie des hommes! Je m’appelle Lili.
- Moi, je m’appelle Benjamin. J’ai toujours rêvé d’être l’ami d’un animal.
Depuis ce jour-là, Lili et Benjamin sont inséparables.
Posté le: 09-01-2006 07:47 Sujet du message: carnet de line
LE MARIAGE DU COMMISSAIRE VAREL !
DING DENG DONG ! les cloches a toutes volées annoncent le mariage de FREDERIQUE et du commissaire VAREL ! Aujourd’hui c’est un grand jour pour ce couple fiancé depuis trois ans., qui va prononcer le serment du mariage. !
Elle est divinement belle la mariée dans sa robe en taffetas blanc son voile et sa traîne porté par deux petites filles adorables. Dans ses cheveux noirs est fixé un camélia blanc de toute beauté. VAREL porte un complet sobre, très élégant , chemise blanche et papillon .
L’église est trop petite aujourd’hui pour accueillir tout ce monde. Devant l’église est déjà installé la haie d’honneur par les gars de la section de VAREL et qui attendent la sortie du jeune couple.
Le curé veux bénir les bagues et les réclame. VAREL sursaute, il les a oublié dehors derrière l’église dans la voiture. J’en ai pour deux minutes et le voila parti La porte se referme derrière lui……
Le temps passe. 10 minutes se sont écoulées depuis la sortie de VAREL Le curé s ’impatiente . I y a un autre mariage a célébrer après celui-ci. FREDERIQUE commence à pleurer, elle connaît son futur mari , sa rage du devoir ! Pauvre femme elle est prête de la dépression . Des amis vont la raccompagner chez elle. Une demie heure a passé , VAREL n’est pas revenu et ne viendra plus. pour la cérémonie .
VAREL se dirigeait vers sa voiture, lorsqu’il a été frappé d’un coup de matraque sur la tête.
Une petite injection va lui être administrée, le voila endormie pour quelques heures. Son corps est placé dans l’arrière d’une voiture et c’est parti, direction inconnu.
Avec ce chargement impossible de passer une frontière, mais en hte Savoie, ils vont bien trouver un refuge tout la haut dans la montagne. Aussi tôt dit aussi tôt fait .Une fois arrivé presque à la cime, notre VAREL commence tout doucement a s’agiter . A non mon vieux , c’est pas le moment de te réveiller, attends qu’on soit arrivé Une deuxième injection lui fait retomber la tête sur l’accoudoir .
Un des comparses, va inspecter les lieux et reviens tout contant d’avoir déniché un refuge à 50 mètres de la route. Il va falloir déblayer la neige, mais il y a des bûches et tout ce qu’il faut pour passer la nuit. Il est très tard et une tempête de neige vient de se lever. Cette cabane fera notre affaire, ici personne ne viendra nous chercher.
Je ne vous ai pas présenté ce groupe. Ce sont les hommes du CALIF OMAR incarcéré pour trafic de drogue. C’est l’ancien CHAUFFEUR qui a prit la relève. C’est lui maintenant le CAID ! en attendant que le BOSS revienne, mais ce n’est pas demain la vieille . Ces hommes régulièrement vont lui rendre visite en prison pour lui apporter des oranges LE CALIF avait donné des instructions. Le jours ou VAREL se mari, il sera séquéstré dans un endroit isolé, en retrait du monde jusqu'à la fin de sa vie. Le hasard voulait autrement, VAREL avait un ange gardien. çe soir la . _________________ !
Posté le: 09-01-2006 07:59 Sujet du message: carnet de line
Le lièvre et la tortue
Un jour le lièvre était assis devant sa porte.
Une tortue passa lentement.
Le lièvre se moqua d'elle :
" Pourquoi es-tu si lente ?"
La tortue s'énerva et répondit :
" tu veux faire la course ?"
Le lièvre se tordit de rire :" OK
Le gagnant recevra son poids en nourriture "
La date fut fixée à la semaine suivante.
La tortue commença à s'entraîner.
Elle était sûre de gagner.
" Pourquoi t'entraînes-tu ?
Cela ne servira à rien" dit le lièvre.
Je suis trop rapide pour toi !
Une semaine plus tard, la course allait commencer.
Tous les animaux étaient venus voir.
Quand le drapeau fut baissé, le lièvre fonça.
La tortue était loin derrière le lièvre.
" Inutile de me presser" pensa le lièvre.
Il s'arrêta pour se reposer, et la tortue le dépassa.
" Attends-moi " pouffa le lièvre.
La tortue peinait sur la route brûlante et poussiéreuse.
Le lièvre la rattrapa.
" Tu ne m'as pas entendu ?" demanda-t-il en riant.
" Il fait trop chaud pour courir" se dit le lièvre.
Je vais manger une carotte, et me payer une sieste à l'ombre.
Il s'endormit très vite.
Le lièvre fit un rêve. Il rêva qu'il avait gagné..
Soudain des exclamations l'éveillèrent.
La tortue était loin devant, elle était presque arrivée.
Le lièvre fit un bond et se précipita.
Mais trop tard !
La tortue était la première.
Tous ses amis se mirent à applaudir.
Pauvre lièvre !
La tortue avait gagné.
Il fallait que le lièvre, lui donne son poids en salade.
j'aime bien ces histoires de lièvre et de tortue........lorsque j étais enfant, c'était les leçons de morale, j'aimais bien..............
merci line.....cela me rappelle mon enfance _________________ poete_musika..4 mains
Posté le: 09-01-2006 12:51 Sujet du message: réponse
bonjour LINE, la fable le lièvre et la tortue mon fils me la réclamait toujours avant de dormir, il prenait son doudou et disait('maman la tortue la tortue) et moi calmement je recommencais, oh ou est ce temps la ou mon petit garçon était tout petit, maintenant c'est grand gaillard de 1m85. que les années passent vite vite..... _________________
Posté le: 10-01-2006 07:10 Sujet du message: carnet de line
SUITE ET FIN DU MARIAGE DU COMMISSAIRE VAREL !
Quelques trafiquants de café et de tabacs sont recherchés ce soir là par des douaniers en ski. sur toute les hauteurs .et arrivés dans le derniers tournant décident de se reposer dans la hutte .
Un des malfrats inspectant le moteur de sa bagnole, voit des torches et un groupe de skieurs arriver, de loin. Il prévient ses copains et dites moi qu’allons nous faire de VAREL ; Qu’on le laisse dormir et allons nous en avant d’être coffré également.
Il était temps, déjà la porte s’ouvre et le groupe entre dans la cabane . Il y a un bon feu, nous ne sommes pas les seuls. VAREL sur son grabat doucement se réveille . Mais ou suis-je ? Ou est FREDERIQUE ? Il est en costume foncé chemise blanche, c’est la qu’il réalise . Il devrait être marié à l’heure actuelle, mais ce décor. Petit a petit il prend connaissance de ce qui a pu se passer depuis ce matin. Les bagues qu’il devait chercher dans la voiture et … il se passe les doigts dans les cheveux ouille ouille, voila le coup sur le crâne et aprés plus rien
Comment est il arrivé dans cette chaumière ? Un des gardes lui pose des questions, il ne peut pas répondre encore
il a la langue pâteuse et fait signe sur sa poche du veston. Le garde en sort sa carte d’identité et sa carte de la police heureusement que les malfrats n’y avaient pas pensé.
Un bon café très fort, lui fait revenir chaque moment passé à part le sommeil.
Un hélicoptère va l’acheminer vers sa capitale le soir même
En le voyant FREDERIQUE , ne sait pas quoi dire . Faut il rire ou pleurer ?
Tous ces préparatifs, tout ce travail pendant des semaines pour rien . Mariage annulé, marié. disparu, invités congédies !
FREDERIQUE est décidé, elle ne va plus se marier !
Le lendemain au bureau de la police.
GARDE allez me chercher OMAR dans sa cellule. Oui chef .Le commissaire est convaincu, qu’OMAR. y est pour quelque chose dans sa virée dans les hautes montagnes , le jour de son mariage.
D’après le regard cynique du CHERIF en entrant dans le bureau de VAREL il n’y a plus de doute. Ce dernier est bel et bien au courant de son aventure, de son expédition en SAVOIE ;
VAREL, alors mon vieux, une discussion s’impose ! Que voulez vous commissaire que je vous dise. Je suis là seul dans ma cellule, nuit et jour, je n’ai absolument rien à vous dire.
Pendant tout le reste du temps il n’a pas desserré les dents. Cet entretient n’était pas concluant..
OMAR EST HORS DE CAUSE !
Brigadier ! remettez le au frais! Au même instant que la porte se referme derrière OMAR , l’inspecteur s’écrit « SAPERLOTTE « Comment n’y ai-je pas pensé avant ? Toutes ses visites régulières par semaine vont dorénavant êtres suspendues, jusqu’à nouvel ordre . C’est tout à l’heure quand j’ai vu cet air moqueur chez le prisonnier, c’était clair et net . C’était bien lui qui donnait des directives.
Le commissaire s’est juré, qu’il n’avait pas encore terminé avec cet individu faute de preuves, mais que la page n’était pas tournée loin de là
Posté le: 10-01-2006 07:47 Sujet du message: HISTOIRE
LA CARPE ET LES CARPILLONS
La carpe et les carpillons
Prenez garde, mes fils, côtoyez moins le bord,
Suivez le fond de la rivière ;
Craignez la ligne meurtrière,
Ou l'épervier plus dangereux encor.
C'est ainsi que parlait une carpe de Seine
A de jeunes poissons qui l'écoutaient à peine.
C'était au mois d'avril : les neiges, les glaçons,
Fondus par les zéphyrs, descendaient des montagnes.
Le fleuve, enflé par eux, s'élève à gros bouillons,
Et déborde dans les campagnes.
Ah ! ah ! criaient les carpillons,
Qu'en dis-tu, carpe radoteuse ?
Crains-tu pour nous les hameçons ?
Nous voilà citoyens de la mer orageuse ;
Regarde : on ne voit plus que les eaux et le ciel,
Les arbres sont cachés sous l'onde,
Nous sommes les maîtres du monde,
C'est le déluge universel.
Ne croyez pas cela, répond la vieille mère ;
Pour que l'eau se retire il ne faut qu'un instant :
Ne vous éloignez point, et, de peur d'accident,
Suivez, suivez toujours le fond de la rivière.
Bah ! disent les poissons, tu répètes toujours
Mêmes discours.
Adieu, nous allons voir notre nouveau domaine.
Parlant ainsi, nos étourdis
Sortent tous du lit de la Seine,
Et s'en vont dans les eaux qui couvrent le pays.
Qu'arriva-t-il ? Les eaux se retirèrent,
Et les carpillons demeurèrent ;
Bientôt ils furent pris,
Et frits.
Pourquoi quittaient-ils la rivière ?
Pourquoi ? je le sais trop, hélas !
C'est qu'on se croit toujours plus sage que sa mère
C'est qu'on veut sortir de sa sphère,
C'est, que... c'est que... je ne finirai pas. _________________ !
aimer c'est donner !
Dernière édition par Line le 10-01-2006 10:52; édité 3 fois
il a du boulot ton commissaire, .........j'ai l'impression qu'il ne va pas laisser cette affaire là............on attend de voir...
tu finis sur des des fleurs d espérance, j'aime bien............ _________________ poete_musika..4 mains
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