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Inscrit le: 09 Fév 2006 Messages: 1708 Localisation: Au bord de la mer
Posté le: 24-02-2006 20:17 Sujet du message:
Tu t'es arrêtée en cours de route, Line, ou c'est chez moi qu'il y a un problème ?
La solution ? Je crois que ces tapisseries ont été faites pour un Monsieur de Luny (d'où les croissants de lune) Je vérifierai sur Google.
En tous les cas, ces "Dames à la Licorne" sont une vraie merveille. (Il y en a six.) Moi, c'est mon oeuvre d'art préférée et chaque fois que je vais à Paris, je retourne les voir !
Si vous passez par là, allez leur dire un petit bonjour de ma part au Musée Cluny dans le 6e ! _________________
Mais oui que tu vas y arriver Line !!!
Nous te le disons, tu as plein de lecteurs !
Tiens, voilà Musika qui est entrée dans ton feuilleton policier !
J'espère qu'elle a recueilli le petit chat qui n'a plus de maîtresse ! _________________
" Le bonheur ne court pas le monde; il faut vivre où l'on est heureux "
Posté le: 25-02-2006 06:52 Sujet du message: carnet de line
UN BEAU PARTERRE DE FLEURS !
Une grande nouvelle vient de nous être annoncée. Je sais qu’il fera très beau ce jour la avec du soleil partout, même dans nos cœurs.
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1er mars un ciel d’un bleu azur, sans nuage des rayons de soleil plein feux sur un parterre de fleurs. La tulipe, le myosotis, la jacinthe et la pervenche se sont donnés rendez-vous ce matin pour une sortie printanière. Puis je me joindre à vous dit la petite primevère mauve et blanche, elle est adorable avec sa mini jupe dentelée. Mais oui dit la tulipe, plus on est de fou et plus on rigole n’est ce pas Monsieur crocus. Le crocus fait une révérence et laisse passer la petite fleur à peine éclose. Mais tu es mignonne comme un coeur, tu as quel âge toi ? J’ai un jour monsieur. On entend un peu plus loin, le coeur c’est moi. Je suis le coeur de Marie. Oh excusez moi Madame, je ne vous ai pas vu, quel étourdi je suis.
Vous ne trouvez pas que c’est moi la plus belle des fleurs ici présentes ? Oui vous êtes la plus prétentieuse et imbue de votre propre personne, Mademoiselle la ROSE.
La petite pervenche bleue rigole, et laisse tomber doucement sa tête sur la plate bande. Voila qui est bien dit Monsieur crocus .Qu’est ce qu’elle est hautaine cette rose ? Nous devrions lui donner une leçon ?
Aussitôt dit aussitôt fait. Toutes les fleurs se sont rassemblées autour de la rose comme si on voulait l’étouffer. AU SECOURS AU SECOURS cria la rose, vous m’empêchez de respirer. Vous fripez mes beaux pétales de velours, comment osez vous ? Arrière, arrière. Les fleurs s’étaient données la main et le cercle se referma sur la rose en mauvaise posture. La belle rose commençait à laisser tomber sa tête et deux grosses larmes tombèrent de son coeur d’artichaut. Laissons la maintenant dit la pervenche, elle a eu ce qu’elle méritait. Je ne voudrais pas être à sa place. Au grand jamais dans ce beau jardin elle ne trouvera un ami
fidèle.
Une narcisse, blanche à cœur jaune embaume ce parterre de fleurs du printemps. Le soleil brille et les fleurettes se mettent à chanter accompagnées par les oiseaux des jardins. Les clochettes tintent et la grenouille coasse. Tout revit, tout fleurit, c’est le printemps, le renouveau. _________________ !
Posté le: 25-02-2006 07:34 Sujet du message: carnet de line
HISTOIRE DE POLICHINEL !
Installé dans une ancienne ferme au cœur du marais Nord-Ouest vendéen depuis 1985, Artiste libre, j'ai créé une gamme de produits cadeaux-souvenirs que je vends sur les marchés de la côte vendéenne durant la saison estivale. Ce fonctionnement s'avère rapidement rentable et peut être développé mais ma situation administrative ne me permet pas d'avoir d'action commerciale. Conseillé par un cabinet d'expertise comptable, nous décidons de créer une entreprise artisanale au nom de ma concubine en 1990.
L'entreprise fonctionne bien, crée des emplois et rapidement un climat de confiance est établi avec notre banquier ( Crédit Lyonnais ) qui est convaincu du grand potentiel de mes créations. La banque soutient l'entreprise et finance l'achat de la ferme " L'Ilot ". C'est un des rares endroits du marais qui a été préservé et a gardé l'authenticité du paysage d'antan. Lieu exceptionnel, formé de petites îles, s'étendant sur 2 hectares, pouvant atteindre 7 hectares car les champs entourant la ferme ne sont plus exploités.
En 1991, je propose la création d'un centre artistique à mon banquier. Autour de mon activité, ce projet va développer plusieurs activités: dans la grange de 250 m², une salle d'exposition d'art permettra aux artistes de présenter leurs œuvres, un espace donnera la possibilité aux artisans d'art d'exposer et de vendre leurs créations, les producteurs de produits fermiers auront aussi un espace pour présenter leur activité et vendre leurs produits. Des ateliers seront créés et dans chacun d'eux sera développé un matériau différent ( bois, cuir, plâtre, poterie, ..) Des animations ponctuelles seront organisées ( marché artisanal, concert, représentation théâtrale, exposition de tous genres ).
Après la constitution d'un dossier et après avoir demandé les accords aux organismes concernés par ce genre de projet : Mairie de Sallertaine, DDE, DASS, pompiers, chambre d'agriculture ( elle seule a émis un avis défavorable, maintenant je comprends mieux cette position), la banque accepte le projet. Un dossier de demande de subventions auxquelles je pouvais prétendre a été déposé au conseil général quelque temps auparavant. La banque commence le financement, le projet se développe bien, de nouveaux emplois sont créés et du jour au lendemain, le responsable de mon dossier est muté, la banque renie ses engagements et demande le remboursement des sommes engagées, le tout sans justifier son attitude. L'entreprise n'est jamais sortie des limites convenues avec le banquier.
Après de nombreuses négociations avec la banque et sans résultat, l'entreprise dépose le bilan en 1993 et nous portons plainte contre le Crédit Lyonnais pour destruction volontaire de l'entreprise (à cette époque il était très difficile de porter ce chef d'accusation car le résultat de ce procès pouvait faire jurisprudence).
Un jour, nous recevons du centre des impôts de Challans un courrier qui nous signale que nous n'avons pas fait notre déclaration de revenus agricoles. Ne comprenant pas, je vais à Challans, demande des explications à mon interlocutrice, celle-ci vérifie sur son ordinateur notre fiche de situation. Pouvant lire sur l'écran, je m'aperçois que ma concubine est déclarée en exploitation agricole alors qu'elle devait être déclarée en entreprise artisanale. Elle me montre qu'elle est inscrite en activité artisanale, éteint rapidement l'ordinateur, déchire le courrier que nous avions reçu et confirme que c'est une erreur informatique. J'ai eu le temps de lire que ma concubine était bien déclarait en activité artisanale mais dans la catégorie activité secondaire et qu'en activité principale elle était inscrite en activité agricole. Troublé par cette histoire, je décide de mener mon enquête. Etant investi dans la vie associative, je connais des élus locaux, un grand nombre de personnes de la vie associative et de la société active et me rend compte que ce que j'ignorais était un secret de Polichinel, que cette pratique était généralisée dans mon secteur. La ferme que nous occupions se trouve dans une zone NC 5B, classement européen qui permet d'obtenir des subventions exceptionnelles aux exploitations agricoles afin qu'elles se développent. En gonflant artificiellement le nombre de celles-ci en activité, les sommes allouées sont supérieures à celles qu'elles devraient recevoir. En acceptant ce principe, si on l'applique à l'ensemble des zones concernées sur le plan national, on peut imaginer l'importance de la fraude. En créant notre entreprise, nous étions venus perturber l'ordre établi. En analysant le déroulement de notre histoire, nous nous rendons compte que le retrait de la banque correspond au moment où nous déposions notre dossier au Conseil Général de la Vendée (Collecteur des subventions). Dés que nous avons compris la situation, j'ai effectivement tout fait pour la dénoncer en toute intelligence. Force m'oblige de constater qu'à ce jour je n'ai trouvé aucun interlocuteur responsable capable de m'écouter malgré la multitude de courriers adressés aux élus de tous niveaux.
En mars 1996, le Tribunal de Commerce de la Roche sur Yon reconnaît l'entière responsabilité du Crédit Lyonnais dans le dépôt de bilan de notre entreprise. Le Crédit Lyonnais fait appel.
En décembre 1999, la Cour d'Appel de Poitiers reconnaît le soutien abusif mais dégage la responsabilité du Crédit Lyonnais quant au dépôt de bilan. Cette même Cour m'accuse d'avoir abusé du compte en banque de l'entreprise et de l'avoir mise en péril sans aucune preuve.
Nous décidons de ne pas aller en Cassation. Je crois en la justice de la République mais pas à celle d'un système.
En décembre 2000, nous devons nous présenter devant le Juge-Commissaire du Tribunal de Commerce de la Roche sur Yon afin de mettre notre maison en vente. Lors de ce rendez-vous, nous avons encore eu confirmation de notre bonne foi. Dés le début, le Syndic chargé de notre dossier a résumé notre affaire au Juge-Commisaire en prenant notre défense : "Le jugement de Poitiers est un jugement de complaisance…Monsieur le Juge laissez ces gens tranquilles…ils ont déjà trop subi…ce sont les victimes d'un système…" Le Juge-Commissaire reporte la vente en 2001 et nous souhaite bonne chance dans le combat que nous menons, espère que nous puissions rendre cette affaire publique car elle le mérite et que nous puissions trouver une solution pour mettre un terme à l'injustice que nous vivons.
Aujourd'hui, nous avons tout perdu, jusqu'à notre outil de travail car l'huissier chargé de notre expulsion ne nous a pas laissé le temps de le récupérer ne voulant pas nous accorder du temps n'étant pas payé.
En résumé, notre existence a été détruite et continue de l'être par des personnes qui trichent avec l'appareil d'Etat et nous ne pouvons pas nous en défendre.
_________________
[ _________________ !
Posté le: 26-02-2006 06:41 Sujet du message: carnet de line
Beaucoup de mamies ont des jardins secrets et ne vivent plus que dans les souvenirs. Le soir tombé elles se retirent dans leurs chambres, laissant gambader, toutes ces années folles vécues dans leur jeunesse. Ah qu’il faisait bon vivre en ce temps là.
Personne ne peut savoir ce qui se passe dans la tête d’une vieille grand’mère Un premier amour, un mariage, une première naissance, une journée particulière dans leurs vies. Les tristes jours de la guère, l’enfance, les études, les années folles. Toute une vie de labeur, parfois de sacrifice et de renoncement.. La perte des chers grands parents, des parents, frères et sœur cousins cousines et toutes les personnes d’une même famille.
La mamie dont je vous parle a la chance d’être bien entourée par ses enfants et petits enfants .Elle habite un charmant appartement à la campagne en plein dans les vignobles et elle a comme voisins tous les oiseaux de la forêt et des jardins. Personne ne peux s’imaginer ce que cette femme ressent à la vue de tous ces volatiles. Ils sont merveilleusement beaux au plumage multicolore. Dessus gris bleu, avec une raie noire sur l’œil , ventre roux et gorge blanche . cri retentissant « tsi tsi « chant sonore.
Les jours passent, les rhumatismes se font sentir . Les soirées d’hiver sont longues et ennuyeuses. Grand-mère se retire dans sa chambre avec ses photos, ses vieilles lettres, ses souvenirs . Dans son fauteuil bien installée , elle remémore chaque moment passé il y a une cinquantaine d’années. Tout doucement les lunettes se mettent à glisser sur le nez et elle s’endort profondément.
La voilà qui rêve, tout doucement elle sourit. Son prince charmant est venu la retrouver comme autrefois Pas mal d’année on passées depuis et pourtant, elle se souvient de chaque moment de chaque seconde.
Pauvre grand’mère, elle se réveille, oui ce n’était qu’un songe, un rêve qui passe
Et tous les soirs c’est le même rêve, qui vient lui meubler ses soirées d’hiver. Mémé attend le printemps avec impatience, avec toute sa gamme de fleurs ainsi que deux petits arrières enfants qu’on est entrain de lui faire. BRAVO CA LA SORTIRA DE SA LETHARGIE !. LINE _________________ !
Posté le: 26-02-2006 06:56 Sujet du message: carnet de line
Hans Christian ANDERSEN
Le livre des oiseaux Imprimer l'extrait
Le nid de cygnes
Entre la Baltique et la mer du Nord, il y a un vieux nid de cygne que l’on appelle Danemark. Y sont nés et y naissent des cygnes dont les noms ne devraient pas mourir.
Dans l’Antiquité, une bande de cygnes s’envola de là, passa les Alpes et vint se poser sur les plaines vertes du pays de Mai*1 où il faisait bon vivre. On appela cette bande de cygnes les Lombards2.
Un autre groupe aux plumes brillantes et aux yeux fidèles s’envola vers Byzance, s’y posa autour du trône de l’empereur et déploya ses grandes ailes blanches comme boucliers protecteurs. Il reçut le nom de Varègues3.
Des côtes de France retentit un cri d’angoisse à cause des cygnes sanglants qui, le feu sous l’aile, arrivaient du Nord, et les gens priaient : "Des sauvages Normands, délivre-nous, Seigneur !"
Sur les vertes pelouses de l’Angleterre, au bord du rivage, le cygne danois se dressait, triple couronne en tête, il étendit son sceptre doré sur le pays4.
Les païens s’agenouillèrent sur les côtes de Poméranie5 et les cygnes danois arrivèrent, portant drapeau à croix6, l’épée tirée.
C’était dans les temps antiques, dis-tu ?
Plus récemment aussi, on vit des cygnes puissants s’envoler du nid.
Il y eut une lumière dans l’atmosphère, elle brilla sur les pays du monde, le cygne dispersa d’un coup de ses fortes ailes le brouillard qui tombait et le ciel étoilé devint plus visible, c’était comme s’il se faisait plus proche de la terre. C’était le cygne Tycho Brahé7.
"Bien sûr, en ce temps-là, dis-tu, mais à l’heure actuelle ?" Eh bien, nous avons vu des cygnes prendre un splendide essor, l’un après l’autre ! L’un fit glisser son aile sur les cordes de la harpe d’or, le son en retentit dans le Nord, les montagnes de Norvège se dressèrent plus haut dans la lumière solaire de l’Antiquité. Il y eut un bruissement dans les sapins et les bouleaux. Les dieux, les héros et les nobles femmes du Nord se manifestèrent dans les profondeurs obscures des forêts8.
Nous avons vu un cygne donner de l’aile contre la montagne de marbre qui éclata, et les figures de la beauté enchaînées dans la pierre apparurent à la clarté du jour, et les gens des pays alentour levèrent la tête pour voir ces puissantes figures9.
Nous avons vu un troisième cygne dévider le fil de la pensée : il va maintenant de pays en pays tout autour de la terre en sorte que la parole vole à la vitesse de l’éclair à travers le monde10.
Notre-Seigneur chérit le vieux nid de cygne entre la Baltique et la mer du Nord. Laissez donc de puissants oiseaux traverser les airs pour le détruire : "Cela n’aura pas lieu !" Même les petits sans duvet font cercle sur le rebord du nid, nous l’avons vu, ils laissent frapper leurs jeunes poitrines, si bien que leur sang coule, ils frappent du bec et des griffes.
Des siècles passeront encore, des cygnes s’envoleront du nid, on les verra, on les entendra de par le monde avant que vienne le temps où l’on pourra dire en vérité : "Voilà le dernier cygne, le dernier chant du nid de cygne !" _________________ !
Posté le: 27-02-2006 06:10 Sujet du message: carnet de line
SALADE DE FRUITS !
Nous sommes dimanche, un merveilleux dimanche de printemps. Les premières fleurs du jardin font leur apparition à travers le gazon et un soleil magnifique envoie ses rayons à la ronde.
Nous avons des invitées aujourd’hui et la ménagère a prévue une bonne salade de fruits comme dessert, bien sucrée et nappée d’un bon KIRSCH d’Alsace. Les ingrédients sont :
CERISES, FRAISES, MYRTILLES, GROSEILLES, MIRABELLES, QUETSCHES, FRAMBOISES, POMMES, POIRES, BANANES, RAISINS, sucre et schnaps .Tous ces fruits sont réunis et exposés sur la table du jardin Approchez votre oreille, vous entendez ? Ils sont entrain de communiquer
Ah non dit la framboise à la pomme, je ne veux pas de toi comme voisin dans cette salade. Tu te rends compte du désastre. Moi la douce, la frêle, la subtile framboise, me faire écraser par un lourdaud de pomme comme toi, tu n’y penses pas. C’est comme la poire, elle est peut être fondante, mais pardon, il faut la supporter. Colle toi contre la paroi du saladier et fiche nous la paix. La pomme rouge de colère, se retire et attend la suite des évènements.
La FRAISE à la CERISE, quel toupet, la pauvre pomme, se faire sonner les cloches par une FRAMBOISE, mais elle se prend pour qui celle-la. Tout ça à cause de son parfum, de sa classe, elle est fière et hautaine. Je ne veux pas d’une voisine pareille. Toi la cerise reste avec moi.
LA MYRTILLE ET LA GROSEILLE font bon ménage aussi ? AINSI que la MIRABELLE ET LA QUETSCH reste la BANANE et le RAISIN qui vont essayer de s’entendre.
LA POIRE est entrain de calmer la pomme en lui promettant de ne pas l’abandonner dans un moment pareil. Laisse moi t’aider la pomme, tu sais c’est l’UNION QUI FAIT LA FORCE !
LA FRAMBOISE, resta toute seule. Elle pleura toutes les larmes de son corps, trop tard, fallait y penser avant.
Et c’est comme ce-ci que la fière FRAMBOISE se retrouva toute seule dans la salade de fruits sans personne pour l’accompagner, avant d’être ingurgitée par les invités. _________________ !
Posté le: 27-02-2006 10:10 Sujet du message: carnet de line
UNE HISTOIRE CHATS
( LE RICHE ET LE PAUVRE )
Un chat de luxe du nom de prince, un ravissant et pur chat persan, s’ennuie, s’étire sur une splendide couverture d’un somptueux divan. Dans un chic quartier il habite un bel hôtel particulier et sa maitresse le soigne, le bichonne, le cajole sans arrêt.
Prince n’aime pas mes petits câlins, depuis le jour pu sans raisons madame a décidé, que le vétérinaire, allait l’opérer’. Un chat de faience ou en peluche, sur les riches coussins aux fils
D’argent, pour la galerie ; ferait donc le même effet. J’aime autant vous dire, que de cette intervention, notre petit chat aurait pu s’en passer.
Depuis ce jour prince mange sans appétit. Sur un tapis toute la journée se prélasse. Dans l’appartement tourne en rond. Il grossit de jour en jour .Il devient fou quand la nuit tombe. Il saute au mur et fait des bonds. Pourquoi l’avoir privé d’amour, de la meilleure partie de sa vie ? Peut être par égoîsme indifférence, ignorance ou même jalousie ?
Depuis qu’il est mutilé et amputé, il n’est plus un vrai chat. PRINCE est malheureux et croyez moi, jamais il ne le pardonnera. Alors pour se venger, il brise les belles potiches en porcelaine de Saxe, les vases en cristal de Bohême’. De rage il tire sur les fils des rideaux vénitiens et fait ses griffes sur les gobelins sans gênes.
Son voisin un pauvre petit chat de gouttière, rode le soir derrière les vitres de la véranda. Il se lèche les babines en voyant sur un escabeau des coupelles d’argent, remplies de bons petits plats. Lui pour se nourrir n’a pas le choix, c’est soit la chasse aux souris ou faire les poubelles Mais il est libre et sa LIBERTE, vaut mille fois plus que les dentelles.
Par pleine lune, sur le toit derrière la cheminée, il est le roi de ces dames. Tandis que prince sur son divan a le vague à l’âme.
Prince regarde par la fenêtre c e spectacle, la mort dans l’âme. C’est vrai la liberté ne lui servirais plus à grand-chose. Ah vous ma chère maîtresse, a qui la cause ?
PRINCE ne peut plus plaire à une belle, créer un foyer, avoir des enfants .
Il est condamné en chat de galerie, chat de salon et d’exposition et à être un jouet pour les
Grands.
Une cage en or oui c’est bien jolie, mais le pauvre chat, ne préfèrerait-il pas sa liberté chérie
Inscrit le: 09 Fév 2006 Messages: 1708 Localisation: Au bord de la mer
Posté le: 27-02-2006 18:28 Sujet du message:
Cendrillon a maintenant 75 ans. Après une vie heureuse avec son mari,
le Prince, maintenant décédé, elle passe ses journées sur son perron,
dans un rocking chair, à observer le monde, avec son chat Bob sur ses
genoux. Elle est heureuse.
Par un bel après-midi, apparaît soudain sa marraine, la bonne fée.
Cendrillon lui demande: "Chère marraine,après toutes ces années,que
fais-tu ici?" Sa marraine lui réplique: "Cendrillon, depuis la dernière
fois que je t'ai vue, tu as vécu une vie exemplaire. Y a-t-il quelque
chose que je puisse faire pour toi ? Un souhait que je pourrais
exaucer?"
Cendrillon est surprise, joyeuse et rouge de confusion. Après y avoir
pensé un peu, elle murmure: "J'aimerais être immensément riche." A
l'instant même, son rocking chair se change en or massif. Cendrillon est
abasourdie. Bob, son chat fidèle, sursaute et se réfugie au bord du
perron, tremblant de peur. Cendrillon s'écrie : "Oh! Marraine! Merci!"
Sa marraine lui répond: "C'est la moindre des choses. Que veux-tu comme
deuxième souhait ?" Cendrillon baisse la tête et examine son pauvre
corps décharné et dit: "J'aimerais être belle et jeune à nouveau."
Presque instantanément, elle retrouve sa beauté d'antan. Cendrillon
ressent en elle des sentiments qu'elle n'a pas ressenti depuis des
lustres: des élans oubliés, des ardeurs...
Sa marraine lui dit alors: "Je te donne un dernier souhait. Que
désires-tu?" Cendrillon regarde son pauvre chat apeuré et répond: "Je
veux que tu transformes mon chat Bob en un beau et gentil jeune homme."
Comme par magie, Bob est transformé en un magnifique spécimen mâle, si beau que les oiseaux même ne peuvent s'empêcher d'arrêter de voler et de tomber à ses pieds !!!
La bonne fée dit: "Félicitations Cendrillon. Amuse-toi bien dans ta
nouvelle vie." Et, en un éclair, elle disparaît. Pendant quelques
instants magiques, Bob et Cendrillon se regardent tendrement.
Cendrillon est comme hypnotisée à la vue du plus bel homme qu'elle ait
jamais vu. Puis, Bob s'avance langoureusement vers elle, la prend dans
ses bras musclés, et dans un souffle tout chaud lui susurre à l'oreille:
"Là, tu regrettes de m'avoir fait opérer, n'est-ce pas ?"
Line, je t'ai reconnue dans l'histoire que tu racontes sur la mamie.
Tu as très bien écrit cela.
Parfois, c'est triste la solitude et puis on prend plaisir à regarder vivre la nature autour de soi.
Les petits oiseaux qui t'entourent sont bien heureux d'avoir une spectatrice telle que toi.
Et bientôt, tu auras 2 petits bambinos à cajoler.
Bisous, Line. _________________
" Le bonheur ne court pas le monde; il faut vivre où l'on est heureux "
Posté le: 28-02-2006 06:25 Sujet du message: carnet de line
UN COUPLE DE MERLE !
Dame merlette, les cuis cuis et l’ingrat mari !
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Depuis quelques jours ma jardinière devant la fenêtre est occupée par une famille de merles
La merlette avec son plumage gris foncé, le merle dans son costume noir très habillé et son bec jaune bouton d’or. Des scènes de ménage à longueur de journée se jouent entre ce couple.
Monsieur merle se pavane sur le rebord de la fenêtre en levant ses ailes de temps à autre pour signaler que c’est lui le chef. , comme un homme qui se tape la poitrine. Voyez vous ça La merlette ne fini pas de donner la becquetée à ses petits et le père en est jaloux.
Si tu attends que je vienne te nourrir dit la merlette, tu peux toujours courir. Tu es grand et fort, vas chercher tes vermisseaux toi-même grand fainéant. J’ai des nids à faire, à soigner nos petits et à chercher du ravitaillement dans les champs. Et toi que fais tu toute la journée, tu es là entrain de rêvasser A quoi penses tu mon ami.
Je te donne exactement 8 jours pour mettre fin à cette situation, sinon je prends mes petits et nous seront partis, direction inconnue Soit tu mets la main à la pâte ou tu pourras nous oublier, tes petits et moi. , non mais ! La merlette dans une rage folle s’élance et vole vers un grand sapin.
Oh petite merlette, pourquoi ces larmes dit le conifère, as-tu perdu un petit ? Attends, avance ma branche, fait un peu d’air pour sécher tes larmes. Voila, maintenant raconte moi tes malheurs, dit il a la merlette.
Mon mari est un grand égoïste, il ne connaît que sa propre personne. Il joue au pacha toute la journée et moi je n’en fini pas de faire le ménage et m’occuper des petiots. Je lui ai promis qu’il y avait du changement dans l’air, mais il pense que se sont des paroles en l’air. Cette fois ci je ne rigole pas. Je ne me laisserais pas faire à ça non. Il faut que je retourne vite vers le nid. Mes enfants, il est capable de les camoufler, pour m’obliger à rester avec lui Allons voir.
Arrivé au nid pas de petits cuis- cuis, rien ne bouge, le nid est vide. Il a osé me prendre les enfants, prendre les petits à une mère, c’est atroce. Il va voir de quel bois je me chauffe.
Mélanie, Mélanie, tu cherches les petits. Pourquoi les a tu laissé tous seuls. Heureusement que papa était là pour les surveiller Le chat il en aurait fait son affaire, c’est moi qui te le dis. Je les ai mis en sécurité dans la grange, dans un vieux clapier à lapin.
La merlette n’en revient pas. Son merle à elle avoir fait tout ça. Il est quand même mieux qu’elle ne pensait. Sa grosse colère s’est envolée, elle lui saute au cou pour le remercier.
Le merle promet solennellement de s’occuper un peu plus de ses petits et de donner des petits coups de main à la merlette
Le merle a dû changer, car les scènes de ménage se sont arrêtées dans la jardinière devant la fenêtre.
Tout est bien qui fini bien. line _________________ !
Posté le: 01-03-2006 07:04 Sujet du message: carnet de line
TITI LE CANARI ET FRIQUET LE CHAT
Sur le rebord de la fenêtre en plein soleil, friquet le chat se prélasse. Derrière les carreaux se trouve la cage de notre petit canari, permettez que je vous le présente, c’est titi. C’est fou ce que friquet aimerait bien faire la conversation avec titi, en général les fenêtres sont ouvertes, mais en ce moment, l’oiseau est bel et bien enfermé.
Dans un fauteuil une vieille grand-mère fait un petit somme. .Son tricot vient de tomber parterre, dans son chignon les aiguilles sont retenues. Le bruit de la chaussette sur le sol a dû la réveiller. Elle transpire la pauvrette, elle est en nage Vite elle ouvre un peu les fenêtres, ne voyant pas le chat, elle revient dans sa chaise à bascule, pour terminer sa sieste.
Friquet est aux anges. Il rampe le ventre a terre jusqu’à la cage de titi et engage la conversation. Salut titi comment vas tu cet après midi ? Je pari que tu aimerais bien faire une petite promenade dans le voisinage A sautiller sur le gazon du jardin entre ces belles fleurs, qui viennent d’éclorent et à siffloter un air de romance. Tu sais je t’admire, tu as une voix merveilleuse et mélancolique, plus beau que le rossignol. Titi est très flatté et commence tout doucement à piailler. Chut, tu vas réveiller la mémé, attends je vais t’ouvrir la cage et une fois dehors tu pourras chanter, et siffler à ta guise.
Grand-maman ne dort pas elle n’était qu’assoupie. Attend se dit elle, je te vois venir mon gaillard. Si tu as le malheur de toucher à une seule plume de mon titi, je te fais la fête. Elle prend sa canne en main et sans bouger, fait semblant de dormir.
Apres toutes ces belles paroles, titi fait confiance au chat et il est décidé à le suivre dans la nature. Heureusement mémé est là et elle veille, elle connaît toutes les ficelles de la séduction Friquet ce bandit de grand chemin, ce beau parleur et mon pauvre titi qui ne se doute de rien.
Au moment même où le chat lève la patte pour ouvrir la porte de la cage, mémé d’un bond, prend sa canne et lui tape dessus. Un cri miaou il fait un bond et le voila parti. Titi n’a pas eu le temps de réaliser, Il n’en revient pas quand la vieille femme lui explique à quoi servaient toutes ses belles paroles. La prochaine fois mon titi, tu sauras et tu ne te laisseras pas embobiner par le premier venu. Non mais ! Il t’aurait mis le grappin dessus !!! LINE _________________ !
Posté le: 02-03-2006 07:14 Sujet du message: CARNET DE LINE
LA FERME ET SES ANIMAUX DOMESTIQUES
Dans les Vosges, tout là haut entre ciel et terre, prés du Donon, au exactement, se trouve une grande ferme. Les animaux font la loi et vivent dans les beaux prés de marguerites, de boutons d’or et de pissenlits, en pleine nature, sous un ciel merveilleusement bleu
Le taureau, trouve qu’il a assez flâné et qu’il lui faut un peu d’exercice. Le cochon est du même avis ainsi que le bouc. Et si nous faisions un tournoi, une soirée sport ? Tous les trois sont d’accord. Et voici le plan, de la soirée de samedi : entrée gratuite pour
la famille.
A l’affiche, le cochon bouboule et le bouc la tulipe, une rencontre de boxe française sur le ring de la ferme.
Une lutte gréco romaine avec le dindon Pedro et le paon Hercule champion de France pendant 3 ans.
Haltérophilie - basket - patinage artistique – catch avec l’oie ange blanc et le mouton, la terreur. Courses de lièvre à l euro le pari.
Une course de volatiles, avec la vache qui rit à la caisse qui sera située à l’entrée de la cour de la ferme.
Voilà et maintenant, la devise est que le meilleur gagne.
Nous voilà arrivé au samedi soir. Tous les animaux sont en effervescence et chacun est sur son trente et un. La cochonne vient d’accoucher d’un beau petit porcelet rose. Elle ne peut pas le laisser tout seul ce petiot, il lui faut le biberon toutes les deux heures. Voila comment tu vas faire, dit son mari. Tu vas chercher la brouette dans l’écurie avec de la paille, tu y mets notre fils, et tu auras un beau landau. En plus il pourra téter quand il voudra, l’heure c’est l’heure.
Il est exactement 10 heures du soir, le gong retenti. L’arbitre sur le ring vient d’annoncer le match de boxe française – le public hurle, les deux adversaires se donnent la main. Au premier contact, le cochon chope le bouc par la barbichette et l’envoie dans la fosse à purin.
Tout le monde rigole, Alors Tulipe le bouc ! D’abord tu sentais la tulipe, maintenant tu sens la rose ! ha ha ha. dit le bélier.
Tout au long de la soirée le public se régale. On entend de partout des coins coin des meuh meuh, tous se mettent à rigoler lorsque notre cochon soulève le bouc à bout de bras et l’envoie sur une botte de paille. L’arbitre compte jusqu’à 10 le boxeur ne s’est pas relevé. Abandon.
Le cochon lève la patte, c’est lui le grand gagnant. Sa femme la cochonne avec le porcelet rose dans les bras, va se jeter à son cou pour le féliciter. Elle est bien fière, toute l’assistance lui serre la patte Quelle belle soirée, il faudra remettre ça
Du coté du fumier le patinage artistique a commencé. Quelle glissage, quel envol, quel double lutz. Quelle rigolade. Blanquette la vache est tombée sur son popotin et elle n’arrive plus à se redresser, allons chercher les catcheurs.
Voici la fin du spectacle. Tout le monde s’est bien amusé. Les gagnants sont priés de monter sur le podium, pour la remise des prix Au revoir jusqu’à la prochaine fois et pensez à vous entraîner de temps en temps.
Posté le: 03-03-2006 06:05 Sujet du message: carnet de line
LA VIEILLE ROBE DE MARIEE
Dans la chambre à coucher de grand’mère se trouve une penderie en acajou qui renferme tous les trésors de la vieille dame. Par exemple sa robe de mariée de 1939 sa relique qu’elle a emmailloté comme une momie dans des draps. Cette robe est très belle, mais depuis le temps, démodée, elle ne servira plus à personne, mais la mémé n’est pas de cet avis là. Je veux bien la céder à une jeune mariée, mais prendra t’on bien soin d’elle, elle m’a coûté les yeux de la tête. Plus le temps passe et plus la robe est démodée. Le tissu commence à craqueler par endroits, mais ceci, la vieille dame ne le voit pas.
La porte de l’armoire grince et une odeur de moisi, de patchouli ou de naphtaline sort de ce capharnaüm .Là vous trouverez tout. Un vieux chapeau, des parapluies, des livres des photos
Des vieilles fiches de paye de grand père et un vase de nuit. Ca peut toujours servir se dit elle
Confortablement installée dans son rocking-chair, elle s’endort. Elle rêve de sa robe de mariée portée par une autre femme De temps en temps un profond soupir sort de sa bouche. Au mur la vieille horloge est fatiguée. Depuis belle lurette le petit oiseau ne sort plus pour marquer les heures. Avec le temps, tout est usé et fatigué, par les années de travail, les soucis, les maladies. C’est l’âge. La montre, on a beau la remonter ; arrivera un jour elle ne voudra plus redémarrer. Et voici la vie avec la santé. Les maladies se font soigner, mais avec le temps, comme l’horloge, la vie s’arrêtera.
Grand maman se réveille. La première des choses à laquelle elle pense, c’est sa robe de mariée Elle va jusqu’à son armoire, elle la voit, quel soupir ! Elle est là. Je ne pense pas que cette mémé est prête à céder à qui que ce soit sa robe de mariée.
Laissons la cette grand’mère avec ses souvenirs, puisqu’elle est heureuse dans son royaume. LINE _________________ !
Posté le: 04-03-2006 06:44 Sujet du message: carnet de line
LE DEPART POUR STOCKHOLM !
Sur le quai de la gare de Strasbourg, un couple attend le train pour HAMBOURG venant de Paris. Monsieur est dans les affaires et va régulièrement trois fois par an dans le grand nord et ceci pendant deux mois consécutifs. De loin des lumières dans le brouillard, le train entre en gare. Un grincement de freins se fait entendre et le train s’arrête STRASBOURG, les voyageurs pour Hambourg sont priés de monter.
Le monsieur embrasse une dernière fois sa femme, saute sur le marchepied, va à la première fenêtre et agite la main. Madame, se retourne pour ne pas faire voir les larmes qui lui coulent sur les joues. C’est à chaque fois pareil, cette séparation, Maintes fois elle s’est promise de ne plus l’accompagner et pourtant, encore aujourd’hui elle reste seule sur le quai en pleurant.
La pauvre femme est tellement obnubilée par cette longue séparation, qu’elle n’a pas vu son mari sortir par la portière donnant sur les voies. Il saute sur le quai d’en face, contourne le hangar à locomotives et disparaît dans la nuit.
Les jours passent. Madame tous les jours attend le passage du facteur. A part des prospectus, de la réclame et des journaux pas de nouvelles. C’est vrai monsieur n’aime pas trop écrire, il préfère téléphoner. Et se sera encore comme la dernière fois, il téléphonera pour signaler son arrivée. A chaque fois que le téléphone sonne, madame sursaute. Voila c’est lui ! Non c’est soit la maman, soit une voisine ou même une erreur.
Maman il vient quand papa, demande une petite blondinette. Elle doit avoir une dizaine d’années et certainement habituée à la longue absence de son père. Pauvre petite et pauvre femme laquelle ignore, que son mari est bigame.
Mensonges rien que des mensonges .Une double vie est menée par ce gentil père de famille, toujours très attentionné, pour sa femme et sa petite fille. Incroyable, il a une autre famille pas très loin d’ici, avec un autre nom, une autre silhouette, perruque et moustache et il boite, soit disant déformation du pied. Il a un petit garçon de cinq ans et ils habitent presque le même quartier. Le voyage à Stockholm, c’est du bidon. Mais ce mensonge a suffit pour amadouer ces deux femmes crédules. on dit bien l’amour rend aveugle. Ceci est bien vrai.
Notre père de famille travaille comme gardien et se fait entretenir, soit de l’une ou de l’autre
de ses épouses Pour lui la vie est belle !
Dans un super marcher devant la caisse on fait la queue Il va être midi, tout le monde se presse vers la sortie. Avec cette mascarade, impossible d’être reconnu, lui non, mais il n’a pas pensé à sa voiture. laquelle est stationnée directement a coté de sa femme
La propriétaire de la voiture a l’impression de voir son mari, non ce n’est pas possible elle divague. Son mari est loin peut être maintenant sur un ferry-boat entrain de regagner l’Allemagne pour Hambourg.
Quelques jours plus tard dans la soirée, le téléphone sonne Monsieur est devant la gare avec ses valises et attend qu’on vienne le chercher C’est la fête ce soir papa est de retour.
Le lendemain Les valises sont à défaire. En général elles sont fermées à clés mais aujourd’hui aurait on oublié ? Madame commence à déballer Mon Dieu qu’est ce que ça signifie. Une perruque, des moustaches des faux papiers, Monsieur n’a plus qu’à avouer et se mettre à table. Chez nous on dit « les mensonges ont des courtes jambes » !
Le pot aux roses fut découvert. Il resta seul avec son voyage à Stockholm, sa bigamie et ses
Posté le: 05-03-2006 06:33 Sujet du message: carnet de line
L HIVER ET LE PRINTEMPS ! LINE
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Dis donc l’hiver vieux farceur, tu ne trouves pas que ça a assez duré avec ta neige et ton froid. Tu exagères, fais ta révérence avec ta neige et retire toi sur la pointe des pieds, tu rends service à tout le monde. A qui veux tu plaire, au marchand de fioul et de charbon ? Les petites fleurs ont hâte de sortir leur tête, elles vont éclater sous la terre. Quel malheur. !
Si demain tu n’es pas là haut dans les cimes et les neiges éternelles des pics, j’appelle mon ami le soleil, qui est beaucoup plus costaud que toi et il allumera tous ses projecteurs. Avec toute sa force et ses rayons ultraviolets, il chassera ta neige qui partira en eau avec les rivières et les fleuves vers la mer.
Pour une fois dit l’hiver que j’ai voulu être agréable aux enfants. Je vais partir, mas vous ne me reverrez pas de sitôt. Prends tes cliques et tes claques et bon voyage. Ca fait longtemps que tu devrais être parti. Laisse enfin la nature se réveiller, les arbres bourgeonner, et les gazons fleurir.
Le lendemain, les prés ont pris un air de fête Le soleil est au rendez vous là haut dans un ciel azur, sans nuages. Les crocus, les perce neige et les primevères sont les toutes premières à être réveillées. Hier encore les plates bandes étaient blanches de neige et aujourd’hui multicolores. Quel joli décor, dit un papillon en survolant les fleurs. Je vous souhaite la bienvenue mes belles. Heureux de vous revoir toutes. depuis le temps que je vous attends. Oh la la fait voir ta collerette petite pâquerette Mais tu es toute mignonne, laisse moi te faire un gros bisou.
Un petit arbre fruitier et dont la sève fait bourgeonner toutes ses branches fait un petit clin d’œil à la narcisse, qui se met à rougir. Toi vieil aventurier, tu n’as pas changé depuis l’année dernière, il va falloir que je me méfie. Sacré tombeur !
Maintenant que tout se réveille et resplendie je vais saluer, la vieille tortue, qui se dandine déjà dans les allées, dit la mésange charbonnière.
Emilie, salut vieille branche, as tu bien passé ces trois mois de froid et de neige ? Comme tu vois tout va bien maintenant. VIVE le printemps ! _________________ !
Posté le: 06-03-2006 07:21 Sujet du message: carnet de line
Dans un coin d’une remise, un petit poêle à bois se lamente. Mais regardez moi dans l’état ou je suis. Au grand jamais, je n’ai eu un air aussi négligent et catastrophique. Vous ne vous êtes même pas donné la peine de retirer les cendres de ma dernière flambée, il y a vingt ans. Il fut un temps vous m’aimiez bien lorsque dans mon petit four vous pouviez vous faire rôtir vos pommes dorées à la confiture. Je vous chauffais bien vos charentaises et l’eau pour bassiner votre lit en hiver.
Maintenant c’est la mode le chauffage central avec ses éléments, radiateurs ont appelle ceci.
Ils sont froids, ils n’ont pas de classe. Ne sont d’aucune compagnie, ne répandent pas le parfum de bois brûlé sapin ou hêtre ou chêne Pas de d’avoir assez travaillé dans ma vie et moi maintenant je me repose
.
En effet le suis vieille et je ne suis que semi-automatique mais il fût un temps, j’étais belle et je lavais mon linge d’une blancheur extra .Je n’avais pas tout ce chichi de maintenant, mais tout le monde était content. Si tu t’ennuies dans ton coin, vient donc de temps en temps faire un peu causette, pour passer le temps. Je suis toujours là, ils ne viendront certainement plus me chercher, pour leur cuisine ultra moderne. Qu’est ce que je raconte, la cuisine n’est plus le lieu d’une machine à laver, soit salle de bain ou buanderie. Ni toi ni moi, ne sommes plus moderne c’est pour ça qu’on a été mis au rancard.
Eh la machine a laver, ne sens tu pas le mazout de ce chauffage central ? A mes pauvres gens, avec moi vous ne savez pas ce que vous perdez. . Tu as raison petit poêle, sans compter le prix du fioul qui ne cesse de grimper.
line
LINE
_________________
[ _________________ !
Posté le: 06-03-2006 07:34 Sujet du message: carnet de line
Le pot de fer proposa
Au pot de terre un voyage.
Celui-ci s'en excusa,
Disant qu'il ferait que sage
De garder le coin du feu,
Car il lui fallait si peu,
Si peu, que la moindre chose
De son débris serait cause :
Il n'en reviendrait morceau.
"Pour vous, dit-il, dont la peau
Est plus dure que la mienne,
Je ne vois rien qui vous tienne.
-Nous vous mettrons à couvert,
Repartit le pot de fer :
Si quelque matière dure
Vous menace d'aventure,
Entre deux je passerai,
Et du coup vous sauverai."
Cette offre le persuade.
Pot de fer son camarade
Se met droit à ses côtés.
Mes gens s'en vont à trois pieds,
Clopin-clopant comme ils peuvent,
L'un contre l'autre jetés
Au moindre hoquet qu'ils treuvent.
Le pot de terre en souffre; il n'eut pas fait cent pas
Que par son compagnon il fut mis en éclats,
Sans qu'il eût lieu de se plaindre .
Ne nous associons qu'avecque nos égaux,
Ou bien il nous faudra craindre
Le destin d'un de ces pots . _________________ !
Posté le: 07-03-2006 07:04 Sujet du message: carnet de line
LE PETIT FAON !
Le petit faon trottine derrière sa maman sur un sentier du bois de Rosenwiller ! Il est encore tout petit, il vient de naître, il n’a que deux jours le mignon. Maman ne courre pas si vite, je vais te perdre tu sais, je suis bien fatigué. Encore quelques pas mon chéri et nous serons arrivé. Je t’ai préparé un bon petit lit avec des feuillages et des branches où tu pourras te reposer mon petit trésor. Tu vois là-bas papa vient à notre rencontre et bien c’est là ta future demeure.
Hélas la biche s’est trompée, elle va directement se jeter dans la gueule du loup. Au lieu du cerf , c’est un vilain chasseur avec son chien qui est déjà aux aguets.Voila, la mère du petit faon a compris qu’il fallait a tout prix s’engager dans les broussailles pour éviter le vilain chasseur. Toi mon petit tu restes ici bien caché, tandis que moi je vais essayer de les faire partir, dans une autre partie de la forêt. Elle se cabre, elle fait un saut majestueux et se sauve comme une flèche
Le petit faon se met à pleurer Je veux ma maman, maman où es tu ? Un petit lapin sort de son terrier. Mais qui c’est qui pleure dans notre belle forêt, au parfum de muguets et de morilles fraîches. Mais petit faon, que fais tu là tout seul dans le bois ? Ne dis pas que ta maman t’a abandonné non ce serait atroce. Tu es si beau, plus beau que dans un conte de fée. Viens sécher tes larmes, mets toi là à côté de moi et raconte
Le faon tout doucement se calme. La venue du petit lapin l’a rassuré et tout d’un coup, il ferme les yeux et s’endort. Il rêve d’un beau pré avec des marguerites et des bleuets, ainsi que des coquelicots et du pissenlit bien frais. Le cerf, la biche et le petit faon, font une ronde et les oiseaux et les papillons battent la mesure. Quel beau spectacle que voila.
Petit faon, petit faon, réveilles toi, dit le petit lapin, tu as assez dormi maintenant. Regardes qui vient là, c’est ta maman qui vient te chercher. La biche tendrement caresse le pelage du petit lapin en remerciement d’avoir pris soin de son fils pendant son absence.
Je te promets, nous viendront te rendre visite mon lapin, et nous t’apporterons un grand panier plein de carottes c’est juré.
Maman, dit le petit faon, pas si vite, je vais te perdre ………. _________________ !
Posté le: 07-03-2006 07:17 Sujet du message: histoire
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Conte du premier mai
Chaque fête est l’occasion pour nous de retrouver Micheline Boland et un de ses écrits...Fidèle à cette habitude, elle nous propose aujourd’hui un joli conte pour le premier mai...
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Forum des lecteurs
il y a 4 avis sur cet article
Comme un baume
Patrick s’agite. Ce bruit de tondeuse et ces rebonds du ballon de basket lui sont insupportables. Et puis il y a ce ronron du mixer, ces cris d’enfants dans le jardin voisin, ces jappements du chien.
Comment s’appliquer avec tout ce brouhaha autour de soi ?
Patrick va à la fenêtre, il crie "silence" à l’attention de son père qui tond, de sa sœur qui s’exerce au basket, de sa mère qui cuisine, des fillettes du voisin et de leur chien. Un coup d’épée dans l’eau...
Au milieu de ses livres, de ses syllabus, de ses notes, Patrick est comme un lion en cage. Il n’enregistre plus rien, n’arrive plus à rien comprendre. Il saisit quelques bribes de la conversation entre son père et sa mère : "C’est épouvantable. Il est vraiment invivable pendant son blocus..." Ainsi, il est incompris !
Las, il part. Il claque les portes pour que sa mère, son père, sa sœur saisissent que la coupe est pleine.
Patrick emprunte le sentier qui mène au petit bois. C’est au petit bois près de chez lui qu’il confie souvent ses tracas que ce soit une peine de cœur, un conflit avec un ami ou une difficulté scolaire.
Patrick marche. Il fait le vide. Bientôt, il repense à son cours de thermodynamique. Il lui apparaît qu’il maîtrise le sujet. Il jongle un moment avec les mathématiques.
Patrick retrouve confiance en lui, calme, bien-être. Au loin, il aperçoit du muguet. Voilà qui pourrait arranger les choses. On est le premier mai, il va cueillir ce muguet, l’offrir autour de lui pour aplanir ce qui peut l’être.
Les brins s’ajoutent aux brins. Patrick marche encore quelque temps avant de rebrousser chemin.
Quand il quitte le sentier, il aperçoit la voisine, elle se promène avec ses deux fillettes et son chien. Il va à leur rencontre, tend trois brins. "Bonjour Anne. Voici un peu de muguet. Bonne fête, Anne."
"Ça c’est vraiment gentil Patrick !"
Ensuite, il croise la vieille Sonia qui arrache des mauvaises herbes devant sa maison.
"Bonjour, Sonia. Bonne fête. Voici un peu de muguet."
La vieille rit : "Eh bien mon gars, il y a longtemps qu’un si beau jeune homme ne m’a plus offert de fleurs !"
Finalement, il offre le muguet restant à sa mère.
"S’il te plaît, maman, bonne fête, à une des plus travailleuses des mères."
Sa mère l’embrasse. "Merci Patrick. Regarde, j’ai fait un bon gâteau aux pommes pour te donner de l’énergie. Cela t’est bien nécessaire pour étudier."
Ensuite, Patrick regagne sa chambre, se remet à l’étude de la physique. Il n’entend plus le ronronnement de la tondeuse ni les jappements du chien. Tout lui semble si serein dans cette petite rue de banlieue !
merci line,
je ne t ai pas vu hier, alors je viens te saluer ici,
je serais absente aussi aujourd'hui, ne t inquiète pas, ce soir peut-être
bise line porte toi bien !!! et merci de tes histoires, et d animer à ta façon ce forum qui beugue tout le temps.
bise _________________ poete_musika..4 mains
Inscrit le: 09 Fév 2006 Messages: 1708 Localisation: Au bord de la mer
Posté le: 07-03-2006 23:18 Sujet du message:
Un petit bonsoir Line car je suis toujours la dernière à passer sur le Forum et un petit bonjour puisque tu me liras demain matin !
Bises
_________________
Posté le: 08-03-2006 06:43 Sujet du message: carnet de line
chers amis !
apres une longue nuit d'insomnie, je me suis decidée à vous écrire. J'ai à vous patler à coeur ouvert. Je ne vous au jamais envoyé une photo de moi de ces dernieres annees. Vous avez dû vous poser la quesrion pourquoi. Voila, je suis obèse ! Je n'y suis pour rien c'est ma maladie !
Voici mon histoire ;
LINE
MON ODISSEY !
Aujourd’hui ne trouvant pas de scénario, je vais vous raconter une partie de ma vie. Je suis née à STRASBOURG en 1928 . Je suis la 2eme fille d’une famille de 4 enfants . J’avais des parents merveilleux à tout point de vue , qui nous gâtaient et nous bichonnaient. En 1939 ce fût la guerre . Strasbourg fut évacué et dans des wagons à bestiaux , nous avons tous été transporté en Dordogne. J’étais une petite fille de 11 ans que de privations nous avons vécu jusqu’en 1944, après la libération . C’est seulement beaucoup plus tard que j’ai subie les conséquences de ce manque d’ aliments , dans ma croissance.
A 18 ans je me suis mariée . Je me souviens , maman me suppliant, d’attendre ; Que j’étais trop jeune pour le mariage . Que je n’avais pas profité de mon adolescence, je ne m’étais pas amuser, ni bal ni cinéma, ni sorties entre copains Rien y fit.je n’ai pas voulu écouter ma pauvre maman à cet époque là..
Trois ans après , j’étais une très heureuse future maman . Jusque là pas de problème de poids . Il s’est signalé bien après.. Pendant ma grossesse , j’ai grossi d’une vingtaine de kilos,, en espérant toujours de les reperdre.
Après l’accouchement , voila ce que j’ai entreprit pour retrouver mon poids idéal.
Salle de musculations , bains de vapeur , massages, médicaments, régime alimentaire, régime du Dr ATKINS sans hydrate de carbone, sans matière grasse, sans sel, aliments dissociés , cure maison de repos d’amaigrissement, ( cuisine spéciale ) wheit watcher, gymnastique aquatique à l’hôpital et j’en passe. Il y a quelques mois un psycologue . vient de me dire, que, après toutes ses années mon corps est encore sur ses gardes. Il emmagasine encore au cas ou , il pourra puiser dans les réserves. Mon cas est désespérant.
Le jour ou je commencerais à décoller, ce sera la fin des haricots . En attendant je veux encore rester quelques années dans cet état avec mes enfants. Je me suis faite une raison maintenant, je ne serais plus jamais svelte.
Quand on est très grosse, c’est dur de porter ses kilos. Mais ce qui est encore plus dur, c’est d’encaisser les remarques des gens, qui vous croisent dans la rue. _________________ !
J'aime, chaque matin, lire et regarder tes posts.... mais ce matin kelle surprise... ce cri du coeur m'a donné la chair de poule et m'a rappelé l'histoire d'une de mes anciennes collègue de bureau.
Elle doit bien avoir ton âge maintenant, une Alsacienne comme toi qui a vécu aussi la guerre et surtout les privations.
J'aimais (j'aime toujours, je la revois de temps à autre) son accent alsacien, sa façon de dire les choses en face, mais hélas a son âge, elle a toujours dans le coeur ses moments d'angoisse pendant la guerre.
Elle nous disait toujours que vu que les Alsaciens parlaient allemand on les prenait pour des "Boches". Elle a eu tellement de privations que 60 ans après elle n'arrivait toujours pas à manger tant son estomac s'était rétréci.
Elle était maigre comme un clou, pendant la journée, au bureau, elle buvait de la bière et la nuit devait prendre des somnifères pour ne plus penser à ces moments de guerre...
Elle nous en parlait comme si c'était arrivé la semaine dernière, elle ne parlait même que de ça...
Et pour tes kg en trop, pourquoi tu ne fais pas une opération?
J'ai une amie qui pesait 120 kg pour 160 cm...
Elle avait toutes les maladies liés à cette obésité. Elle a essayé tous les régimes possibles, mais difficile, elle aimait trop manger...
L'an passé, étant tellement malade, son médecin a décidé qu'elle devait subir une opération pour lui mettre un anneau à l'estomac.
C'est vrai qu'au début elle a dû perdre d'elle même 10 kg car l'oépration ne pouvait se faire si elle était trop grosse.
Elle a réussi à les perdre puis est entrée à l'hôpital pour cet anneau.
A ce jour elle pèse 75 kg et doit encore en perdre 5... Elle s'est aussi faite enlever la peau en trop au ventre, aux bras et sous le menton...
A 60 ans elle est méconnaissable, même sa voix à changer car elle n'a plus l'air d'être "étouffée" pendant qu'elle parle...
Courage, Line, on pense à toi... Je te fais de gros bious...
MA PETITE LINE
j ai lu avec émotion ton petit poste, et je vais te dire quelque chose d important!!!
mes parents étaient l'un et l'autre des personnes fortes comme toi, ils ont vécu un peu la guerre aussi !!maman avait souvent des insomnies.......
j'avais honte de leur grosseur, lorsque j étais jeune !!! j'ai complexé oui...je voulais pas voir maman à la sortie du lycée !!!
pourtant jamais, mes parents n'ont eu le complexe de l'obésité......
quant à moi très jeune j'ai refusé de manger !!! et d'ailleurs, je mange peu et mal.............mais de mes parents 120 kg pour papa, et pareil pour maman............maintenant je garde ce grand amour qu'ils ont eu tous les deux..........
maman marche difficilement..........et, le régime c'est fini pour elle !!!
je te souhaite bon courage line, on te renouvelle notre affection toutes , et tous............parce que maintenant, chacune de vous, et des vous les hommes, vous faites partis de nos amies, et amis..........et l'on vous aime bien tous, avec vos rondeurs, et vos caractères
bisou linette, je pense bien à toi, et aux autres aussi
et remercie encore pour ta fidélité, à ce forum qui a un caractère épouvantable en nous lâchant sans arrêt !!!!!et qui met nos nerfs à bout parfois. .........début avril à dit MICHAEL... _________________ poete_musika..4 mains
Buongiorno Line!
Ce matin je vois que le moral est assez bas,mais déjà je peux te dire que tu as eu le courage de raconter quelque chose qui te hante depuis longtemps, bravo à toi, c'est déjà une victoire laisse moi te dire que mes parents eux aussi ont connus la guerre et que tout ce que tu dis bien des familles l'ont vecues"pas facile"mais lton attitude positive de ce matin est pour toi une force nouvelle que tu sauras "j'en suis sûr" mettre à profit pour repartir du bon pied
Tantti Baccioni a té
COURAGE _________________ LA dernière danse est belle aussi !
======================
Posté le: 08-03-2006 09:25 Sujet du message: PAPOTONS
MERCI ZUDI MERCI MUSIKA ET PAZZO JE VOUS REMERCIE INFINIMENT POUR VOS BELLES PAROLES; iL A FALLU A TOUT PRIX CE MATIN QUE JE SOIS FRANCHE AVEC VOUS TOUS; cA M A COUTE CROYEZ MOI; bON MAINTENANT VOUS SAVEZ TOUT; sI VOUS VOULEZ ME RENOUVELER VOTRE AMITIE? J EN SERAIS TRES HEUREUSE; cHOUCHOUTE ET ANNICK SONT DES FULLES MERVEILLEUSE? JE LEUR FAIS CONFIANCE; BISOU line _________________ !
ma petite Line
je viens de lire ton post et je sais quel courage il t'a fallu pour te livrer ainsi, Bravo -
Concernant l'anneau gastrique oui pourquoi pas à savoir si tu as envie de tenter l'expérience ou pas, car à partir du moment ou on te le met, tu le gardes à vie et tu as un régime draconien à suivre, beaucoup d'aliments interdits à vie ; c'est une décision importante que l'on ne prend pas à la légère -
Mais tu sais les kgs ne font pas tout, la beauté elle est à l'intérieur et toi à te lire maintenant depuis que je suis arrivée sur ce forum, je sais qu'elle est belle cette beauté qui est en toi, tu es quelqu'un de généreux -
Tu as subi beaucoup de choses dans ta vie, alors il est normal que quelque fois tu flanches, et que le moral baisse, mais saches que nous sommes tous et toutes la pour t'écouter
bonjour line , je te connais pas encore beaucoup car je ne suis pas ici depuis longtemps tu le sais, mais je trouve merveilleux la chaleur et d'entraide qu'il y a sur ce forum, alors si tu le veux bien je vais me joindre à tes amis ....mais je vais te dire de ne pas renoncer car je trouve qu'il y a toujours une solution dans la vie..vois tu ma phrase favorite est : comment faire pour ?
essaie quelque chose : tu prends un magazine , tu cherches la photo d'une femme mince, tu decoupes l'image , tu decoupes ta tête et tu la colles sur le corps et tu mets ce collage dans un endroit où tu peux le voir souvent ..la salle de bains , ou la cuisine ...
et puis tu sais que l'imagination, c' est quelque chose de merveilleux , tu ecris de belles histoires ....
Personnellement , autrefois je me trouvais toujours moche dans le miroir chez le coiffeur ..et un jour je me suis dit : et si j'etais la plus belle femme du monde , qu'est ce qu'il se passerait ? le coiffeur me regarderait et se dirait" je n'ai jamais vu une femme aussi belle "et je serais fière et heureuse alors depuis , quand je vais chez le coiffeur, il ne se doute pas qu'il coiffe la plus belle femme du monde et moi ça me fait bien rire !!!
bonne journée à tous
Dernière édition par Mosaïne le 08-03-2006 10:54; édité 2 fois
Te RENOUVELER?????? Mais tu es folle... Mais tu n'as et tu ne perdras jamais notre amitié...
Y a koi de changer??? Mais rien...
Mais c'est la première fois que tu écris, sur ce forum, un peu de toi...
Je te trouvais un peu "sans état d'âme", à écrire et envoyer tes articles, me demandant pourquoi tu ne t'ouvrais pas juste un tout petit peu...
Mais c'est bête, y a rien de spécial à nous dire que tu es un peu "boulotte", la moitié du temps ce sont les plus sympas...
Me souviens de ma copine Michèle, avec ses 120 kg, qui me disais toujours qu'elle se sentait "toute mignonne"... Je la trouvais chou de dire ça, parce qu'elle était en effet toute mignonne, pas une ride, un moral au beau fixe et à eu beaucoup d'amis-amants, même encore maintenant...et toujours des jeunes...
Donc... on a rien à te renouveler... parce que tu n'as rien perdu de notre amitié...
Bises et continue d'être telle que tu es... On t'aime ainsi....
Posté le: 08-03-2006 12:24 Sujet du message: CARNET DE LINE
merci Willma , merci Mosaine, et merci zudinette , vous êtes des chics filles. J'ai l'impression que vous n'avez pas bien saissi. Je ne suis pas seulement grosse, je suis obèse, énorme, j'ai honte quoi . J'ai presque 80 ans , maintenant je ne me laisse plus charcuter . Mes enfants et mes amis m'adoptent , c'est l"essentiel. Je vous embrasse LINE _________________ !
Mais il est vrai qu'à 80 ans, on te prend comme tu es, tu vas pas te faire ouvrir le ventre... la seule chose faut faire attention à ta santé...
Ma copine ne voulait pas non plus se faire charcuter, mais elle avait tellement d'autes maladies qu'elle a bien dû y passer...
Allez....pour que ce soit complet...envoye-nous ta photo... ce sera ta thérapie... mais envoye là dans l'autre forum, sous vie privée, ici trop de curieux...
nous renouveler...........ta confiance, mais line qu'est ce que tu dis !!!
voyons depuis le temps qu'on se dit bonsoir, le soir.........tu exagères...
Moi tu sais, il y a longtemps que la question poids ne me fait plus rien,
et puis..........mes parents étaient comme toi, j'aurai du leur dire plus souvent qu'ils "étaient les plus beaux du monde"........je le dis à maman...parceque en plus c'est vrai.........je vous mettrai une photo de maman.........
voilà linette, tes enfants t aiment comme tu es et nous aussi.....passe plus souvent dans toc toc......... et interpelle nous plus souvent _________________ poete_musika..4 mains
mosaine explique nous ce qu'est un sophrologue
fais une rubrique, et peut être nous te poserons des questions !! _________________ poete_musika..4 mains
Inscrit le: 24 Mar 2005 Messages: 6577 Localisation: Landes
Posté le: 08-03-2006 14:46 Sujet du message:
Chacun de nous a quelque chose à refaire dans son physique. Pour certains c'est le visage, (mon fils trouve son nez affreux), les autres c'est le ventre, ou la poitrine pour les nanas, en somme on n'est jamais contents.
Quand j'étais jeune j'étais maigre comme un clou, 39 kg. toute habillée.....la mode n'était pas aux maigres..... Ajourd'hui je pèse 63 kg, pour 156. Je me trouve des kg en trop mais je ne me plains pas. si ce n'est mon ventre déformé par les grossesses. les muscles sont absents de ce côté là. Faut faire avec car il n'y a pas de remède. si j'avais 40 ans j'aviserais, mais à mon âge......
Par contre une de mes filles qui avait héritée de ma maigreur, à cause du mauvais fonctionnement de sa glande tyroïde a pris malheureusement beaucoup de kg. et je sais qu'elle n'en ai pas heureuse.
On peut trouver plus malheureux que nous...j'ai une amie qui a mon âge et qui est depuis plusieurs années dans un fauteuil roulant. et son mari emphysémateux, ne peut lui apporter beaucoup de secours.
Voilà pour le physique....moi je dis que le coeur n'a pas de rides.....et l'amour non plus.....et là où on est impuissants à changer les choses, on compense par d'autres qualités..... enfin on essaye.....Créer du bonheur autour de soi...c'est un but.....et puis on ne connais pas la pensée des gens....comment il nous voient...... parce que si on veut avoir la ligne "haricot vert" c'est aussi pour le regard des autres.
Mais je suis sure que les autres nous aiment bien tel qu'on est.
J'ai remarqué une chose, chez les personnes de forte corpulence il y a toujours de la bonne humeur.........pas chez les maigres. _________________
on devrait bâtir les villes à la campagne, l'air y est plus pur
Crois-tu que l'on ne va plus t'aimer parce que tu dis être "obèse", mais ça ne va pas ma petite Line !
Je sais ce que tu ressens ma Line.
Moi, dans les photos, j'ai mis celle de ma quarantaine rayonnante mais les choses ont bien changé depuis.
J'ai connu aussi tous les régimes, les hauts, les bas...je me suis mise à grossir à la ménopause et au même moment, mon mari déclanchait un cancer, les kilos se sont envolés.
Je ne sais pas si je dois me classer dans les obèses mais pour le corps médical peut-être que oui.
Ma garde-robe va de la taille 40 à 52...je conserve tout, comme cela je peux affronter toutes les tailles.
Actuellement, je suis entre les mains d'une endocrinologue qui m'apprend à manger, car aussi incroyable que cela puisse paraître, je ne mangeais pas, j'ai perdu 4 kgs en mangeant beaucoup plus.
Mais Line, rassure-toi, tu n'es pas seule, moi aussi j'ai connu les moqueries, les regards dédaigneux...
Surtout, dis-toi une chose, ceux qui agissent ainsi ne sont pas des amis, ne les regarde pas, ils n'existent pas.
Je connais comme toi l'isolement, le complexe et la même souffrance...dis-toi bien que les réflexions malveillantres proviennent de personnes qui sont bien superficielles et que l'amour, l'amitié n'est pas une question de poids .
Tu n'as pas à t'excuser d'être enrobée, il ne manquerait plus que cela.
Tu es comme tu es, je suis comme je suis, les imbéciles tu leur tournes le dos. Il y a bien d'autres choses dans la vie que ces futilités qui nous empoisonnent notre vie quotidienne.
Et ne va pas te faire charcuter à ton âge, fais juste attention à ne pas manger ce qui est mauvais pour ta santé.
Mais je sais ce que c'est ma petite Line que de traîner ses kilos quand il fait trop chaud, quand il faut faire de gros efforts...
Ne t'occupe pas de tout cela ma Line, on t'aime pour ce que tu es.
Je te fais de gros bisous.
Et sur ce forum on y est bien, parce qu'il y a du monde compréhensif et d'autres parmi nous traînent d'autres misères . _________________
" Le bonheur ne court pas le monde; il faut vivre où l'on est heureux "
Posté le: 08-03-2006 16:01 Sujet du message: papotons
merci lilas pour tes bonnes paroles! Merci annick ainsi que Mosaine pour ses explications. Je tiens a vous remercier du fond du coeur. Je me sens mieux ce soir apres tous ces messages . Demain vous n'aurez certainement pas d'histoire, je n'est pas eu le courage d'écrire. Je m'en excuse. bisou LINE _________________ !
Line, ne t'en fais donc pas pour ton excés de poids !
Les principales qualités d'une personne de bien sont déjà dans ton coeur. Alors ne t'inquiète pas de ce que les autres peuvent penser ou dire de méchant. Celui ou celle qui rira de toi ne connaîtra jamais la beauté de ton âme. Ignore ces personnes qui sont bien à plaindre. Mais garde celui ou celle qui aura le sourire de l'amitié.
Internet est un vaste monde où l'apparence n'est que secondaire. Et ici, nous t'aimons pour ta gentillesse. Le reste ne compte pas pour nous. Et même si un jour, nos chemins devaient se croiser, tu es et resteras toujours Line "La conteuse de belles histoires".
Un gros bisou pour sécher tes larmes _________________ Statut : Absent
Inscrit le: 09 Fév 2006 Messages: 1708 Localisation: Au bord de la mer
Posté le: 08-03-2006 20:56 Sujet du message:
Ma Liline, non mais je rêve !!
Comme d'habitude, j'arrive tard sur le forum et je trouve ton post, si émouvant !
Tu vois, tout le monde t'a déjà dit tout ce que je pense, mais je vais te le redire parce que vraiment je ne peux même pas imaginer que tu puisses croire avoir perdu notre amitié pour une histoire d'apparence !
Pour moi, Liline, tu es la gentille fée qui tous les jours nous communique ses plus belles trouvailles du Net pour nous faire partager ses moments de joie et d'émotion. C'est un moment privilégié pour moi que d'aller voir ce que tu nous propose... Et si on peut regretter quelque chose, c'est comme te l'a dit Annick, que tu ne nous ai pas plus parlé de toi.
Chacun a le droit de garder son jardin secret, mais quand tu nous révèles, comme tu l'as fait aujourd'hui, les chagrins qui se cachent sous ton silence... C'est trop triste ! Je suis heureuse que tu te sois décidée à nous ouvrir ton coeur ! Tu l'as vu, tu aurais dû le savoir, notre amitié pour toi n'a rien à voir avec ton tour de taille !
Que ça soit dit une fois pour toutes !
Maintenant, ces vilains kilos, c'est sûr qu'ils te font souffrir bien plus qu'ils ne le devraient, mais franchement, je ne crois pas qu'une quelconque opération te serait utile. La chirurgie est toujours traumatisante et surtout, ce genre d'intervention doit être suivie pour réussir de longs mois d'une discipline de fer.
J'ai une amie qui l'a tentée vers 40 ans, elle a maigri, mais pas d'une façon aussi spectaculaire qu'on aurait pu croire. Elle sait très bien pourquoi, c'est que l'anneau ne fait pas tout, il faut aussi s'astreindre à ne manger que des aliments faiblement caloriques, et ça toute une vie...
Je crois que cela ne se justifie que si ton poids te cause de gros problèmes de santé, par ailleurs et que ton médecin exige que tu maigrisses.
Sinon, pourquoi ne pas en parler à un psy ? Les psys ne sont pas réservés aux malades mentaux, tu sais ! Moi, j'en ai vu un qui m'a beaucoup aidée pour des choses différentes. Je suis sûre qu'un spécialiste pourrait t'aider à t'accepter ou du moins à comprendre ce que signifient réellement ces kilos que tu as accumulés...
En tous cas, nous, sur le forum, on n'est pas des spécialistes, mais sois sûre d'une chose : on est tous avec toi, on t'aime telle que tu es et on t'aimera toujours parce que ce qu'on aime en toi, ça ne se mesure pas en centimètres... Quoique... peut-être, le tour du coeur ..? _________________
moi, ma mère.........elle était rembourée de partout.........mais c'est toujours la plus belle des mamans..........et si elle était maigre, mais je ne la reconnaitrais pas. ......... et mes enfants c'est pareil......... _________________ poete_musika..4 mains
Demain notre Line va se sentir mieux, elle nous a déposé son fardeau !
J'ai une petite voisine, 45 ans, qui était obèse mais elle était mal en point au point de vue santé, elle n'a fait que cela, toute sa vie des régimes.
Elle est allée voir son docteur et lui a dit qu'elle n'en pouvait plus et là, il lui a proposé l'opération de la dernière chance, je ne sais plus le nom de cette opération, c'est du définitif, l'estomac est agrafé et l'opération touche également une partie des intestins.
Elle n'a que 45 ans, c'est pour cela qu'elle l'a fait.
Elle a perdu 65 kilos en 18 mois, elle est méconnaissable, je la trouve même très maigre, le visage creux, mais elle est maintenant en parfaite santé.
Les problèmes d'alimentation sont à peu près les mêmes qu'avec l'anneau gastrique.
Alors Line, tu ne vas pas aller te faire faire un truc comme cela à ton âge.
Et surtout pense bien que l'amitié n'a rien à voir avec le tour de taille, il ne manquerait plus que cela !
Je te fais un gros bisou. _________________
" Le bonheur ne court pas le monde; il faut vivre où l'on est heureux "
Posté le: 09-03-2006 06:16 Sujet du message: carnet de line
c'est un cri du coeur pour CHEVALIER PRISKA ET ANNICK merci de vos bonnes paroles. Aujourd'hui ca va mieux, je me suis débarasser de ce lourd fardeau et je vous embrasse. Ne revenons plus sur cette vilaine affaire.. Je vous souhaite comme à l'accoutumé une bonne journée
Voici mes amis, je vous ai préparé votre histoire , comme tous les jours. Rien a changé c'est fini. Merci LINE _________________ !
aimer c'est donner !
Dernière édition par Line le 09-03-2006 06:31; édité 1 fois
Posté le: 09-03-2006 06:29 Sujet du message: carnet de line
LA NAISSANCE DU PETIT CHEVAL !
Ce matin Petit Louis s’amuse avec son chien dans la cour de la ferme. De temps en temps il va jeter un coup d’œil dans l’écurie. Sa jument, la bonne bête, laquelle l’accompagne d’habitude à travers les champs, attend un heureux évènement. Elle est allongée sur la paille en douleurs. Les travaux viennent de commencer. Mon bijou n’ai pas peur, tout va bien se passer, je reste avec toi le temps qu’il faudra. Le cheval cligne des yeux, deux grosses larmes coulent sur ses joues. Il hennit, voila sa première contraction.
Papa, papa vite crie Petit Louis, le petit cheval est entrain de naître ! Dis moi que bijou ne va pas mourir.
Le père met ses gros sabots, tandis que la maman téléphone au vétérinaire du bourg, qui a promis d’arriver sur le champ
Petit Louis n’a pas le droit d’assister, vas mon fils aider ta maman à peler des pommes de terre. Je t’appellerai lorsque tout sera terminé pour voir le petit. Mais papa j’avais promis a bijou de rester avec lui ! Non, nous n’avons pas besoin de toi ici, va.
Petit Louis se cache derrière un pilier le cœur gros, le cheval le suit du regard, il est rassuré.
Le travail suit son cours. Lorsque le veto arrive, la poche a percé et deux petites pattes sont déjà à apercevoir. La jument hennit et pleure. Une autre convulsion et le nouveau-né s’étale sur la paille. Ca c’était une mère courageuse, c’est bien rare d’avoir des naissances pareilles.
Le gamin vient d’accourir. Il prend la tête de bijou et la sert fort contre lui. Bravo ma bonne bête, comme il est beau ton petit. C’est terminé, maintenant, tu vas pouvoir te reposer. Je prendrai bien soin de ton nouveau-né. Au fait comment vas tu l’appeler. Moi je te propose Lustucru. La mère fatiguée de cet accouchement ferme les yeux et s’endort.
Tout serait maintenant pour le meilleur du monde, si dans trois mois, le maquignon ne devait pas passer pour acheter le petit Lustucru. Rendez vous sur le marché à bestiaux du bourg comme tout les ans a la même époque. Le petit cheval sera vendu moyennant monnaie sonnante au plus offrant.
Le chagrin de petit Louis sera terrible. Son petit Lustucru, va le quitter pour toujours . Tout ça pour de l’argent ! Personne ne pense à l’état d’âme de la pauvre mère cheval qui sera séparé de son fils. . La vie prend souvent des mauvaises tournures et toujours lorsqu’on s’y
attend le moins
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car je suis toujours la dernière à passer sur le Forum et un petit bonjour puisque tu me liras demain matin !
en nous lâchant sans arrêt !!!!!et qui met nos nerfs à bout parfois. 
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