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Posté le: 04-04-2006 06:40 Sujet du message: CARNET DE LINE
conte est né de l’oubli progressif du caractère religieux du récit. Il nous introduit dans un univers enchanté dont la magie stimule notre imagination. Le conte apparaît comme le miroir de l’homme ; il dévoile ses défauts et ses haines mais il dit la force de ses idéaux. Dans toutes le civilisations, à travers les siècles, cette littérature orale se transmet de génération en génération dans toutes les sociétés. Que ce soit par la voix d’une nourrice ou celle d’un griot africain, le conte nous transmet un savoir (une initiation au monde), un espoir d’avenir meilleur car son dénouement est presque toujours heureux. Cet espoir si nécessaire à l’homme fait l’universalité du conte. Si sa forme dépend de son lieu géographique, sa matière est bien souvent la même. Merveilleux ou philosophique, le conte est une façon de voir la vie. Le conte est lui aussi un récit court qui se distingue de la nouvelle en ce qu’il n’est pas soumis aux contraintes de la vraisemblance. Il appartient à l’univers de la poésie. A partir de l’époque romantique, le conte s’est scindé en deux tendances : le registre du merveilleux et à partir du début du 19ème siècle le registre du fantastique. Le conte aime les décors fabuleux ou terrifiants. Dans les contes de fées, la magie intervient à tout moment. Ils sont peuplés de dragons, de licornes, de génies et d’elfes. Ils séduisent notre imagination mais nous ne sous sentons nullement inquiétés car d’emblée nous pressentons une dénouement heureux. Le conte nous emmène dans des contrées fabuleuses où le temps n’existe pas. Dans les contes fantastiques, l’irrationnel fait une apparition brutale dans notre univers cohérent. La mort, les fantômes, les vampires dans un climat d’angoisse font que le récit aboutit parfois à un dénouement fatal. Le rôle du conteur est de tenir son public constamment en haleine car il ne s’adresse pas à un public impassible. Il prend son auditoire à témoin, le fait se ressaisir et au besoin l’apostrophe. Il ne coupe pas le fils de son débit.
Histoire du conte :
L'homme a toujours aimé les récits merveilleux et extraordinaires ; il s'est d'abord _________________ !
Posté le: 05-04-2006 11:31 Sujet du message: carnet de line
Après la douche, il s’avère que la serpillière est un petit chien de race pure tout blanc.Il est peureux, paresseux et gourmand. Et malgré tout ça VAREL n’en veut pas.
[Ce soir il a promis à sa nièce de l’accompagner à la foire foraine. La petite veut absolument emmener le chien. VAREL a une idée derrière la tête. Il va laisser filer son chien et il retournera de la ou il vient et le tour est joué. Mais hélas, à chaque pas ce cher toutou les suit obstinément.
[]Voila un individu qui passe et mange un hot dog (eh oui la gourmandise) le chien le poursuit.VAREL le reconnaît, il pense avoir retrouvé un trafiquant de drogue. Malheureusement avant de pouvoir l’appréhender, il se fait tirer dessus et meurt dans les bras de VAREL
Posté le: 05-04-2006 12:20 Sujet du message: carnet de line
chers amis et lecteurs. J'ai un mal fou de me connecter.Je prefere vous mettre la fin de l'histoire aujour'd'hui au cas ou demain je ne puisse même plus passer chez google.Excusez moi, je vous fais la bise bonne journée. A demain si possible
L’enquête suit son chemin ……. Prochainement
L’autopsie du mort de la foire est terminée. Le médecin légiste a trouvé de faux cheveux sur le veston de la victime et pense qu’ils doivent venir d’une poupée.
VAREL s’apprête à contacter tous les antiquaires de la ville en possession de collection de poupées anciennes. Toutes ces démarches sont vaines, aucune chevelure rousse n’est à trouver. Si au moins on connaissait les amis les plus proches du trafiquant, on pourrait remonter la filière .mais pour l’instant le calme plat. VAREL fait encore du surplace et ça l’agace éperdument.
VAREL propose au maître chien d e l’accompagne d ans sa ronde nocturne. REX est un chien bien dressé, obéissant et vif. La drogue c’est son affaire, il n’y a pas mieux que lui.
Au environ de minuit, tous les trois se promènent sur une grande artère. Les voitures se font rares et tout doucement la ville s’endort. Quelques oiseaux nocturnes, de ci de là, pressent le pas, tout devient calme.
Un homme avec une moto s’arrête devant un immeuble et se dirige vers les poubelles. Le chien au pied de son maître ne fait qu’un seul bond et il revient dans la gueule une vieille poupée sans bras ni pieds avec une chevelure rousse. Le motard essaye de prendre la fuite, trop tard, le chien lui barre la route en attendant VAREL, qui lui met les menottes. Le corps de la poupée est garni de drogue, c’est ce que le motard voulait récupérer. REX encore était
champion cette fois ci
Le petit chien blanc a été attrapé par la fourrière le fameux soir de la foire. FREDERIQUE est malheureuse en pensant à lui. C’était bel et bien VAREL pour lui être agréable qui l’a récupéré et paye l’hôtel de sa propre poche. Vous voyez comme il est VAREL un dur au cœur tendre !
Posté le: 06-04-2006 05:11 Sujet du message: Re: carnet de line
Line a écrit:
chers amis et lecteurs. J'ai un mal fou de me connecter.Je prefere vous mettre la fin de l'histoire aujour'd'hui au cas ou demain je ne puisse même plus passer chez google.Excusez moi, je vous fais la bise bonne journée. A demain si possible
L’enquête suit son chemin ……. Prochainement
L’autopsie du mort de la foire est terminée. Le médecin légiste a trouvé de faux cheveux sur le veston de la victime et pense qu’ils doivent venir d’une poupée.
VAREL s’apprête à contacter tous les antiquaires de la ville en possession de collection de poupées anciennes. Toutes ces démarches sont vaines, aucune chevelure rousse n’est à trouver. Si au moins on connaissait les amis les plus proches du trafiquant, on pourrait remonter la filière .mais pour l’instant le calme plat. VAREL fait encore du surplace et ça l’agace éperdument.
VAREL propose au maître chien d e l’accompagne d ans sa ronde nocturne. REX est un chien bien dressé, obéissant et vif. La drogue c’est son affaire, il n’y a pas mieux que lui.
Au environ de minuit, tous les trois se promènent sur une grande artère. Les voitures se font rares et tout doucement la ville s’endort. Quelques oiseaux nocturnes, de ci de là, pressent le pas, tout devient calme.
Un homme avec une moto s’arrête devant un immeuble et se dirige vers les poubelles. Le chien au pied de son maître ne fait qu’un seul bond et il revient dans la gueule une vieille poupée sans bras ni pieds avec une chevelure rousse. Le motard essaye de prendre la fuite, trop tard, le chien lui barre la route en attendant VAREL, qui lui met les menottes. Le corps de la poupée est garni de drogue, c’est ce que le motard voulait récupérer. REX encore était
champion cette fois ci
Le petit chien blanc a été attrapé par la fourrière le fameux soir de la foire. FREDERIQUE est malheureuse en pensant à lui. C’était bel et bien VAREL pour lui être agréable qui l’a récupéré et paye l’hôtel de sa propre poche. Vous voyez comme il est VAREL un dur au cœur tendre !
Posté le: 06-04-2006 17:23 Sujet du message: papotons
pourquoi faut il que je montre a tous les coups patte blanche ? c'est ahurissant. Ma chere Priska merci en vitesse tant que ca marche bisou _________________ !
Posté le: 07-04-2006 05:37 Sujet du message: carnet de line
MEURTRE DANS LE PRESBYTERE !
Dans le presbytère de l’église Ste Jeanne d’Arc, une dame patronnesse fût lâchement assassinée. L’évêché fit appel à VAREL et à son chien REX. qui sont de vrais artistes et sollicités de tous cotés. La retraite du commissaire approche et avant son départ il va falloir trouver un remplaçant. C’est à VAREL de le former et lui apprendre toutes les ficelles du métier pour prendre la relève. Il est grandement temps, encore 8 mois. Le temps passe si vite.
Quelle brute a tué la gentille dame du nom de CLEMENTINE. C’est elle qui fleurissait l’église plusieurs jours par semaines. Elle cultivait des fleurs dans son jardin uniquement pour le décor de l’autel. Des roses des lys des pivoines. une immense quantité de fleurs de toutes sortes et couleurs, qu’elle rapportait dans son panier en osier.
Nous sommes au mois de mai, le mois de Marie. Les roses de mai sont à l’honneur pour célébrer la messe tous les soirs pendant le mois de mai.
Cette église est la première sur le sol français en venant d’Allemagne Le curé a jugé utile de laisser la porte ouverte durant la journée. Plusieurs personnes d’ici ou d’ailleurs viennent se recueillir sans oublier de mettre une petite pièce dans le tronc pour le chauffage en hiver ou le nouveau toit de la chapelle.
Pendant plusieurs jours de suite un homme vient chercher réconfort agenouillé dans les premiers rangs, devant l’autel. Il a les deux mains jointes devant les yeux. Il médite non il observe. Cet homme a du en étant gosse être serveur de messe. Il connaît tous les coins de l’église ainsi que ses habitudes. Il sait que derrière l’autel se trouve une porte ayant accès au presbytère. Il sait également que la nuit la porte du saint lieu est fermée de l’intérieur et la clé reste sur la porte. Cet homme est un pilleur de tronc, qui s’est laissé enfermé en se cachant dans le confessionnal.
Dans le presbytère se trouvent la dame patronnesse et le bedeau devant une mer de fleurs. Voulez vous que je vous aide à mettre les fleurs en place ? demande le bedeau Non j’ai encore le chemin de croix à fleurir et le reste de fleurs, on _________________ !
Posté le: 07-04-2006 05:44 Sujet du message: Re: carnet de line
Line a écrit:
MEURTRE DANS LE PRESBYTERE !
Dans le presbytère de l’église Ste Jeanne d’Arc, une dame patronnesse fût lâchement assassinée. L’évêché fit appel à VAREL et à son chien REX. qui sont de vrais artistes et sollicités de tous cotés. La retraite du commissaire approche et avant son départ il va falloir trouver un remplaçant. C’est à VAREL de le former et lui apprendre toutes les ficelles du métier pour prendre la relève. Il est grandement temps, encore 8 mois. Le temps passe si vite.
Quelle brute a tué la gentille dame du nom de CLEMENTINE. C’est elle qui fleurissait l’église plusieurs jours par semaines. Elle cultivait des fleurs dans son jardin uniquement pour le décor de l’autel. Des roses des lys des pivoines. une immense quantité de fleurs de toutes sortes et couleurs, qu’elle rapportait dans son panier en osier.
Nous sommes au mois de mai, le mois de Marie. Les roses de mai sont à l’honneur pour célébrer la messe tous les soirs pendant le mois de mai.
Cette église est la première sur le sol français en venant d’Allemagne Le curé a jugé utile de laisser la porte ouverte durant la journée. Plusieurs personnes d’ici ou d’ailleurs viennent se recueillir sans oublier de mettre une petite pièce dans le tronc pour le chauffage en hiver ou le nouveau toit de la chapelle.
Pendant plusieurs jours de suite un homme vient chercher réconfort agenouillé dans les premiers rangs, devant l’autel. Il a les deux mains jointes devant les yeux. Il médite non il observe. Cet homme a du en étant gosse être serveur de messe. Il connaît tous les coins de l’église ainsi que ses habitudes. Il sait que derrière l’autel se trouve une porte ayant accès au presbytère. Il sait également que la nuit la porte du saint lieu est fermée de l’intérieur et la clé reste sur la porte. Cet homme est un pilleur de tronc, qui s’est laissé enfermé en se cachant dans le confessionnal.
Dans le presbytère se trouvent la dame patronnesse et le bedeau devant une mer de fleurs. Voulez vous que je vous aide à mettre les fleurs en place ? demande le bedeau Non j’ai encore le chemin de croix à fleurir et le reste de fleurs, on
Posté le: 14-04-2006 07:24 Sujet du message: carnet de line
coucou me voila c est line plutot( mon ordi est de retour. J espere que ious avez eu .le message de ma fille . Je n'avais plus rien même plus de lien heureusement j'ai pu passer par google . Toutes mes histoires tous mes donnés dans l'ordi, j'en aurais chaialé. bisou bonne journée à bientôt.votre LINE _________________ !
ouf...........te voilà line,.....contente ton ordinateur à fait des siennes, à ce que je vois...........des virus tu penses...oui ta fille nous a laissé un petit mot tu lui diras un grand merci...............on ne s inquiètait pas trop, sachant que l'ordinateur etait dans de bonne main.
tu as vu, nous avons des petits nouveaux
cabarble3 un monsieur tres symapthique
princesselou, une dame,
et aussi CARIFA.....un monsieur........
priska est en panne d ordinateur.........et Mosaine fait son jardin, elle sera absente quelque temps.
voila les nouvelles d'ici...........chouchoute est revenue de vacance aussi, et moi je pars dans une semaine...........sinon tout le monde va bien
ZUTI a eu une bonne nouvelle hier,
ATHAS ET LILAS eux c'est la pleine forme
voilà nous attendons donc la suite de tes histoires !!!!! bise line, _________________ poete_musika..4 mains
Posté le: 14-04-2006 07:49 Sujet du message: histoire
chers amis voici la suite du crime dans le presbythere
Dans le presbytère se trouvent la dame patronnesse et le bedeau devant une mer de fleurs. Voulez vous que je vous aide à mettre les fleurs en place ? demande le bedeau Non j’ai encore le chemin de croix à fleurir et le reste de fleurs, on les mettra dans un seau pour l’autel demain. Je peux vous laisser seule, mais bien sur ; Que voulez vous qu’il m’arrive ? Alors bonne nuit et à demain. . Le bedeau laisse CLEMENTINE avec ses brassées de fleurs et rentre chez lui.
Le lendemain matin, c’est au curé d’ouvrir la porte du temple. Ah tiens donc on aura encore oublié d’éteindre la lumière hier au soir se dit il en rentrant dans le presbytère ? Oh seigneur Jésus, Parterre toutes les rose éparpillées et au beau milieu CLEMENTINE avec une large entaille sur le front La pauvre elle est décédée depuis des heures. C’est avec un tisonnier qu’elle a été frappée par le voleur le pilleur de tronc, de peur qu’elle puisse le reconnaître et donner son signalement à la police.
Lorsque VAREL vient voir le curé pour le constat, il est formel. Un cas analogue s’est passé il y a quelques années dans une église du centre de la ville. Nous n’avons jamais pu mettre la main sur le coupable. Avant de partir en retraite je ferais le nécessaire, nuit et jour afin de trouver cet être ignoble et je ne lâcherais pas prise avant qu’il soit mis hors de nuire.
La suite dans un autre feuilleton ! LINE _________________ !
bonjour Line,
moi qui n'appercie pas trop la lecture cela n'est pas ma tasse de thé,
là je prends plaisir à lire les nouvelles, tu raconte les histoire naturel sans chercher des mots que je ne comprends pas toujours,
merci à toi bonne fêtes de pâques,
Posté le: 15-04-2006 06:54 Sujet du message: carnet de line
LE MANIAQUE DES TRONCS !
Sur la vieille pendule dans la cuisine de FREDERIQUE il est 20 heures passé. VAREL a du retard ce soir, ce qui lui arrive souvent ces derniers jours. Le chat et le chien derrière la porte attendent comme tous les soirs son arrivée avec impatience. Ils se sont déjà habitués l’un à l’autre et comme deux vieux copains à tour de rôle viennent chercher des câlins chez le commissaire installé dans son vieux fauteuil, le soir devant la télé. .
Le voilà ce cher VAREL tant attendu. Il quitte ses chaussures dans le vestibule et voilà ! Les charentaises ont encore disparu. Bon sang de bon sang où sont mes schlapp. Lequel de vous deux les a planqués ?
Bonsoir FREDERIQUE as-tu vu ces deux brigands qui d’un commun accord se cachent dans un coin et font la sourde oreille ? Ne venez surtout pas mendier, lorsque nous passerons à table ! Comme vous êtes gourmands tous les deux, vous n’aurez rien tant que vous ne me rendrez pas mes savates. Voila votre punition.
Oh FREDERIQUE ça sent bon chez toi dans la cuisine. Je parie que nos deux lascars auraient aimé. Les voila qui arrivent chacun une charentaise dans la gueule, unique !
VAREL as tu lu le journal aujourd’hui ? Un maniaque des troncs d’églises a pillé à Nancy, c’est peut être le même que celui prés de la frontière ? Sait on jamais ! Il s’est fait dénoncé par le curé qui l’a confessé. La police est venu sur place pour l’arrêter Après interrogatoire, parait il que le voleur a déjà manoeuvré dans plusieurs villes de France et ceci pendant des mois et des mois.
Je n’ai pas eu le temps de lire aujourd’hui, même pas eu le temps pour aller manger à midi. Donne moi ça, je le lirai après souper, pour l’instant j’ai très faim et tous les deux passent à table. A peine commencé le téléphone sonne !
C’est le brigadier de service. Il vient d’avoir une communication de la police de Nancy, comme quoi le voleur va être transféré demain matin à Strasbourg. Ce sera VAREL qui devra s’occuper de son cas. Encore un dossier en plus, ça ne finira donc jamais. Il ne sait plus par où commencer, vivement le jeune homme, la relève, pour qu’il puisse enfin respirer.
Le lendemain de bonne heure VAREL est dans son bureau et attend le fourgon avec le prisonnier. Tiens donc les voila, faites entrer dit VAREL. La première des choses qui frappe le commissaire se sont les doigts du voleur, jaunis par la nicotine. Un très gros fumeur pardi ! Cigarettes et briquet confisqués sur le champ. Vous n’avez pas le droit ! Comment ! Moi j’ai tous les droits ici réplique VAREL. Pour commencer tu vas gentiment me raconter ton emploi du temps à NANCY. .Si tu te mets a table t’en auras une de cigarette, mais pas avant.
La matinée passe, VAREL n’est pas plus avancé. Il fait miroiter son paquet de clopes et il sait pertinemment que s’il y a aveux, ce sera grâce à la cigarette. Et il avait raison ;
C’était bien lui qui a tué la dame patronnesse en l’église Jeanne d’Arc du port. Il a fait des aveux complets et son jugement sera imminent. La prison l’attend pour quelques années.
LINE _________________ !
Posté le: 16-04-2006 06:39 Sujet du message: CARNET DE LINE
UN JARDIN EXTRAORDINAIRE !
Pas loin de chez nous, il y a un petit jardin. UN JARDIN EXTRAORDINAIRE ! des parterres de fleurs qui embaument l’air de leurs parfums subtils. Vous trouverez toutes les variétés à commencer par la tulipe, la jacinthe, le muguet ; la pervenche et le doux myosotis
Regardez le beau LIS , comme il ouvre sa corolle et se laisse caresser par les premiers rayons de soleil. La marguerite légèrement se balance au grès du vent. .Un pic vert est en adoration devant un rosier, dont les roses sont d’une couleur parme .Bonjour Madame la ROSE vous êtes bien hautaine ce matin hautaine et fière. Vous ne parlez pas à tout le monde ou avez-vous mal dormie? La rose ne répond pas et d’un coup de rein va se cacher derrière une grande feuille Voila le petit pic vert est ignoré par cette splendide rose. Il se dit c’est bien la femme Si elles sont trop belles ont fait mieux de s’abstenir.
Entre la rocaille les petites têtes des violettes font leur apparition Le gros merle avec sa merlette fait sa promenade habituelle. Salut merle tu ne me connais pas aujourd’hui parce qu’il y a madame avec toi. ? D’habitude tu es beaucoup plus éloquent, quand tu me compte fleurettes .Le merle fait semblant de ne rien entendre, pique un ver de terre en s’envolant.
Toi , dit la merlette, tu ne perds rien pour attendre . Et voila la scène de jalousie !, Quelle bécasse se dit de merle, que ce dahlia là. Va comprendre les femmes ?
Mais qui vient nous rendre visite déjà de bon matin, mais s’est notre ami KIKI, le porc epic.
Il est gentil seulement il a une sale manie de nous serrer dans ses bras Nous les fleurs nous sommes tellement fragiles et nous n’aimons pas être bousculées de la sorte c’est un ours ce grognon
Toute une ribambelle d’oiseaux de la forêt s’est donnée rendez-vous ce matin. Quelle belle sérénade ! le rouge gorge , le pinson , le col vert et leurs cousins et cousines comme mésanges bleues et charbonnières . C’est une farandole les fleurs applaudissent, c’est vraiment un beau spéctacle en cette matinée.
Une tortue se promène en dandinant sur le chemin de la maisonnette. Son nom c’est ARTHUR . ARTHUR est presque centenaire et fait toujours régulièrement ses quelques pas dans son jardin. Tous les jours à la même heure vous le voyez aller jusqu’au puit rendre une petite visite a son copain la grenouille . Ca va mon pote ? Quah quah répond le batracien..
Quel temps va t’il faire aujourd’hui La grenouille grimpe vite sur son échelle et répond « BEAU ET SEC «
Toutes ces belles fleurs lèvent la têtes et agitent les feuilles en guise d’adieu Le soleil vient de se cacher derrière un gros nuage
Eh la grenouille dit ARTHUR, ta météo ne tient pas debout « BEAU ET SEC «
Coucou Line, c'est reparti, tu dois être contente...
Et nous aussi par la même occasion, nous retrouvons tes petites histoires. _________________
" Le bonheur ne court pas le monde; il faut vivre où l'on est heureux "
Posté le: 17-04-2006 06:20 Sujet du message: carnet de line
JOSEPH !
Joseph un vieux retraité de la commune passe son temps entre le jardinage et les jeux de société. Le loto, le tiercé, la belote, ça c’est son dada . Il prétend que l’espoir fait oublier la morosité et cet après midi il partira pour l’hypodrôme d’Auteuil ; Endimanché en pantalon rayé à la Chaban Delmas , et une redingote sombre et lavallière il va essayer de faire fortune sur le champ de courses.
Mon bon Joseph a rêvé cette nuit être propriétaire de deux chevaux de courses et ça lui a mis la puce à l’oreille. Il est bien décidé de miser gros sur des chevaux à grosses côtes, et pense que ce rêve est un signe du destin.
Le temps est beau ; soleil au rendez vous et une foule immense se presse vers les écuries . Les voila les chevaux avec leurs jockeys et leurs belles casaques de toutes couleurs. Les caisses sont prises d’assauts par les parieurs. et Joseph va se mettre dans une file interminable. Son petit pécule a fondu, mais tant pis. A l’arrivée il va récupérer. ,il en est convaincu , et se rassure si ses billets sont encore en place. D’ici quelques minutes, il touchera le pactole.
Il est l’heure du départ de la première course et voila Joseph tout content d’avoir misé son argent sur deux tocards qu’il a choisi sur son programme. Son voisin a voulu lui donner un tuyau, il n’en a pas voulu, sois disant que de toute façon la chance est avec lui aujourd’hui .
Le voila bien installé notre Joseph avec sa longue vue , suivant la course le cœur battant. Tout en regardant à la ronde ses chevaux arriver au finish , il aperçoit une dame , assise sur un banc devant un parterre de fleurs. Mais bon sang , c’est Marguerite , mais oui c’est elle. Je ne rêve pas. Depuis des années je cherche à la revoir et voilà, elle est la tout prés de moi.. Incroyable, je deviens fou , mais oui c’est elle . Le même regard , les mêmes gestes , la corpulence … Marguerite …
Il va lentement vers elle et de loin appelle Marguerite , me reconnais tu ? Elle lève la tête et sur le champ reconnaît son ami Joseph,qu’elle a quitté il y a des années , pour une bagatelle.
Joseph oublie tout, même l’arrivée du tiercé. Maintenant l’argent ne compte plus pour lui. L’amour qu’il porte à Marguerite est plus fort que tout.
Voila son rêve avec sa grande chance Il a mal interprété , il ne s’agissait pas d’argent, mais de la retrouvaille de sa bien-aimée. Pauvre vieux Joseph , il a la tête qui tourne ; il est tellement heureux et il a attendu toute une vie !
Posté le: 17-04-2006 06:40 Sujet du message: carnet de line
conte de la fontaine LA CIGALE ET LA FOURMI
La Cigale et la Fourmi
La Cigale, ayant chanté
Tout l'Eté,
Se trouva fort dépourvue
Quand la bise fut venue.
Pas un seul petit morceau
De mouche ou de vermisseau.
Elle alla crier famine
Chez la Fourmi sa voisine,
La priant de lui prêter
Quelque grain pour subsister
Jusqu'à la saison nouvelle.
Je vous paierai, lui dit-elle,
Avant l'Oût, foi d'animal,
Intérêt et principal.
La Fourmi n'est pas prêteuse;
C'est là son moindre défaut.
«Que faisiez-vous au temps chaud?
Dit-elle à cette emprunteuse.
– Nuit et jour à tout venant
Je chantais, ne vous déplaise.
– Vous chantiez? j'en suis fort aise.
Eh bien! dansez maintenant. »
Posté le: 17-04-2006 06:46 Sujet du message: Re: carnet de line
Line a écrit:
conte de la fontaine LA CIGALE ET LA FOURMI
La Cigale et la Fourmi
La Cigale, ayant chanté
Tout l'Eté,
Se trouva fort dépourvue
Quand la bise fut venue.
Pas un seul petit morceau
De mouche ou de vermisseau.
Elle alla crier famine
Chez la Fourmi sa voisine,
La priant de lui prêter
Quelque grain pour subsister
Jusqu'à la saison nouvelle.
Je vous paierai, lui dit-elle,
Avant l'Oût, foi d'animal,
Intérêt et principal.
La Fourmi n'est pas prêteuse;
C'est là son moindre défaut.
«Que faisiez-vous au temps chaud?
Dit-elle à cette emprunteuse.
– Nuit et jour à tout venant
Je chantais, ne vous déplaise.
– Vous chantiez? j'en suis fort aise.
Eh bien! dansez maintenant. »
Posté le: 18-04-2006 05:49 Sujet du message: carnet de line
LA LAVERIE INDUSTRIELLE !
Dans la zone industrielle, une grande laverie a ouvert ses portes. Des grandes machines tournent à longueur de journée pour laver les salopettes et complets de travail .des usines environnantes Un ramassage est fait quotidiennement par deux grands camions Les chauffeurs poussent leurs chariots de linge sur des élévateurs, avant de les ranger, dans l’entrepôt de la laverie.
Nous sommes vendredi soir le dernier camion est rentré avant le week-end le déchargement est effectué. Les chauffeurs vont encore s’occuper de l’entretien de leurs voitures et se reverront un peu plus tard, dans le bistrot du port, pour une petite belote.
Une autre équipe prend la relève ce vendredi soir là Jacques n’a pas eu le temps de déplacer son chariot de quelques mètres, qu’il lance un cri d’horreur ! Un bras de femme sort en dessous d’une pile de linge sale
Une très belle main soignée, laquée, baguée d’une améthyste violette. Jacques n’en crois pas ses yeux .il s’enfuit. Il court, il court chercher de l’aide. Le mieux c’est d’aller au bureau chercher son chef .C’est lui qui prendra les décisions pour la suite de cette affaire.
Mon pauvre JACQUES que me racontes tu là ? Un bras de femme ? SOUS LES SALOPETTES mais tu rigoles ou as-tu vu ça ? Une fois sur la rampe, tous les chariots avaient disparu. Le linge tournait déjà dans les grandes machines et les tambours faisaient un potin du diable. . Va, rentre chez toi dit le chef, tu es fatigué, tâches de te reposer, demain c’est dimanche. Lundi tu auras tout oublié et tu seras à nouveau d’aplomb pour attaquer la semaine.
Est si cette histoire était vraie Si ce n’était pas le fruit de l’imagination de JACQUES ?
Le chef veut avoir le coeur net et commence à chercher dans tous les coins et recoins. Il veut tous les carnets de commandes de la semaine en particulier ceux d’aujourd’hui.
Le responsable des machines. a découvert le cadavre de cette femme. Lui ce n’est pas JACQUES, il n’est pas à son premier cadavre. C’est un ancien taulard, de la mauvaise graine. Il parait qu’il s’est rangé depuis sa sortie de prison, après la naissance de son fils.
Sur chaque chariot est marqué le nom de l’usine à fournir pour les bleus de chauffe
Une fois le linge terminé, lavé et repassé, il est placé sur les chariots. Et voila que le cadavre à nouveau prend place sous le linge lavé de l’usine à cartonnage du secteur et renvoyé.
L’usine de cartonnage vient de téléphoner à la PJ Le cadavre a été découvert, à la réception du linge.
C’est encore, notre ami le commissaire VAREL, qui va prendre la tête de cette affaire Pour l’instant aucun indice, aucun mobile. La morte, une jeune femme d’une trentaine d’année, étranglée avec une ceinture, va être déposée à l’institut médico- légal . Le médecin légiste va s’en occuper.
VAREL a passé tout le personnel au peigne fin Rien ne pourrais le mettre sur la voie. Tous ont un alibi !
Qu’en est- il du garde de nuit qui fait les rondes, toutes les heures, dans cette petite fabrique ?
Il manque le nom du garçon sur le tableau du travail. Est-ce un oubli où a-t-on fait ça intentionnellement
VAREL est convaincu, que ce dernier y est pour quelque chose Le nez le démange, comme à chaque fois, qu’il a un cas à élucider. Le chef du personnel consulte son dossier et donne à l’inspecteur l’adresse du garde de nuit. Albert DURAND s’est son nom et il habite en dehors de la ville. Mais ce soir ALBERT ne prendra pas son service, il se doute de quelque chose.
Il est trop tard pour faire une descente chez DURAND, remettons ça à demain matin.
Le lendemain matin VAREL sort de sa voiture de service. Un attroupement dans la rue devant la maison de numéro 4 où DURAND est domicilié Il parait qu’il tient sa femme et ses deux enfants en otages.
VAREL prend son micro. DURAND vous m’entendez, c’est le commissaire VAREL qui vous parle
Sortez de la maison levez les bras et rendez vous, vous êtes cerné. Vous ne pouvez plus vous échapper. Ou laissez sortir votre femme avec les enfants on viendra vous chercher
La porte s’ouvre, un petit bout de femme sort, avec ses deux petits en larmes. Pauvres gosses !
Quelques minutes après un coup de pistolet se fait entendre. DURAND a préféré se donner la mort au lieu de se rendre à la justice
Après l’enquête VAREL avait les renseignements suivants : La morte était la maîtresse de DURAND. lequel voulu la quitter. Elle venait tous les soirs lui rendre visite pendant son service de nuit. Un jour DURAND excédé par son attitude, pris sa ceinture et l’étrangla. Il entendit des pas résonner sur l’asphalte de la cour. C’était son collègue qui revenait de la ronde. Au dernier moment il pris le corps de la jeune femme et le dissimula sous le linge. C’est ça la triste affaire de DURAND ET SA MAITRESSE !
Ah ben dis-donc Line, ça rigole pas dans les enquêtes de Varel...
J'aurais bien aimé être inspecteur ou commissaire de police, il est trop tard maintenant ! _________________
" Le bonheur ne court pas le monde; il faut vivre où l'on est heureux "
Posté le: 19-04-2006 05:46 Sujet du message: carnet de line
LES REVANTS !
Varel et Frédérique viennent de souper, un bon café bien corsé les attends. Frédérique débarrasse tandis que Varel dans son fauteuil préféré, caresse sa CAROLINE ; c’est un drôle de chat que celui-ci. Sa litière consiste en légumes. Si Frédérique a le malheur de laisser les poireaux ou les salades en cuisine, il en fait son lit. Comme pour l’eau du robinet. Depuis des semaines l’eau coule par un léger filet sans interruption. Le plombier n’a pas le droit de réparer, parce que le chat aime boire ces quelques gouttes et basta.
Chéri veux tu venir avec moi ce soir j’ai une invitation pour une soirée de spiritisme .chez une amie. ? Il parait qu’il y a des revenants tard le soir vers minuit et des visiteurs nocturnes. lIs sont tous costumés d’époque, portant un collier en pendentif avec une petite lame dans un fourreau. , dans la main une bible. Tu sais tu devrais m’accompagner , c’est pas très rassurant tout ça et d’ailleurs ça fait des semaines que je promets que nous viendrons tous les deux .Enfin si c’est comme ça allons y, mais tu aurais pu m’en parler avant.
Arrivé dans cet hôtel particulier, assez lugubre, lumière tamisée et rideaux rouges aux murs, une pièce entièrement vide. Une petite table ronde au milieu avec cinq chaises, des candélabres et des bougies allumées à même le sol. . Des ombres chinoises et de curieux phénomènes se jouent dans cette pièce. VAREL est tu là, surtout ne me quitte pas, j’ai peur dit Frédérique en tirant sur le bras de son époux.
On vient d’éteindre toutes les lumières. Il fait entièrement noir en dehors d’un faisceau de lumière provenant de la fenêtre. C’est la pleine lune aujourd’hui et brusquement des bruits se font entendre. Des bruits de chaînes et des craquements de bois secs qui proviennent derrière les rideaux et qu’un vent léger fait bouger.
Notre bon VAREL est convaincu que ce soir il va se passer encore quelque chose, mais quoi ?
Il se pose la question, devons nous rester et assister a cette soirée ou quitter les lieux avant le spectacle. ?
Il pose la question à sa femme, laquelle ne répond pas, bizarre. As-tu peur Frédérique ? Toujours rien. D’un geste il est sur pied et demande de la lumière. Frédérique est inconsciente, que lui est il arrivé. Sur sa blouse blanche une traînée de sang se fait voir sur l’encolure provenant d’une injection. .Dans le noir on a confondu, c’est à VAREL qu’on n’en voulait pas à sa femme.
Dans l’espace de quelques minutes le SAMU est sur place. Apres des soins intensifs Frédérique a pu regagner son domicile. La piqûre était destiné a VAREL et heureusement très mal administrée, pas assez profond
VAREL l' A ENCORE ECHAPPE BELLE ! _________________ !
Posté le: 19-04-2006 05:59 Sujet du message: Re: carnet de line
Line a écrit:
LES REVANTS !
Varel et Frédérique viennent de souper, un bon café bien corsé les attends. Frédérique débarrasse tandis que Varel dans son fauteuil préféré, caresse sa CAROLINE ; c’est un drôle de chat que celui-ci. Sa litière consiste en légumes. Si Frédérique a le malheur de laisser les poireaux ou les salades en cuisine, il en fait son lit. Comme pour l’eau du robinet. Depuis des semaines l’eau coule par un léger filet sans interruption. Le plombier n’a pas le droit de réparer, parce que le chat aime boire ces quelques gouttes et basta.
Chéri veux tu venir avec moi ce soir j’ai une invitation pour une soirée de spiritisme .chez une amie. ? Il parait qu’il y a des revenants tard le soir vers minuit et des visiteurs nocturnes. lIs sont tous costumés d’époque, portant un collier en pendentif avec une petite lame dans un fourreau. , dans la main une bible. Tu sais tu devrais m’accompagner , c’est pas très rassurant tout ça et d’ailleurs ça fait des semaines que je promets que nous viendrons tous les deux .Enfin si c’est comme ça allons y, mais tu aurais pu m’en parler avant.
Arrivé dans cet hôtel particulier, assez lugubre, lumière tamisée et rideaux rouges aux murs, une pièce entièrement vide. Une petite table ronde au milieu avec cinq chaises, des candélabres et des bougies allumées à même le sol. . Des ombres chinoises et de curieux phénomènes se jouent dans cette pièce. VAREL est tu là, surtout ne me quitte pas, j’ai peur dit Frédérique en tirant sur le bras de son époux.
On vient d’éteindre toutes les lumières. Il fait entièrement noir en dehors d’un faisceau de lumière provenant de la fenêtre. C’est la pleine lune aujourd’hui et brusquement des bruits se font entendre. Des bruits de chaînes et des craquements de bois secs qui proviennent derrière les rideaux et qu’un vent léger fait bouger.
Notre bon VAREL est convaincu que ce soir il va se passer encore quelque chose, mais quoi ?
Il se pose la question, devons nous rester et assister a cette soirée ou quitter les lieux avant le spectacle. ?
Il pose la question à sa femme, laquelle ne répond pas, bizarre. As-tu peur Frédérique ? Toujours rien. D’un geste il est sur pied et demande de la lumière. Frédérique est inconsciente, que lui est il arrivé. Sur sa blouse blanche une traînée de sang se fait voir sur l’encolure provenant d’une injection. .Dans le noir on a confondu, c’est à VAREL qu’on n’en voulait pas à sa femme.
Dans l’espace de quelques minutes le SAMU est sur place. Apres des soins intensifs Frédérique a pu regagner son domicile. La piqûre était destiné a VAREL et heureusement très mal administrée, pas assez profondLe motard à la poupée rousse fût attrapé par VAREL et mis hors circuit . Sont successeur fit la connaissance de l’amie a FREDERIQUE et profita de cette occasion pour éliminer le commissaire. Les dés sont jetés .la soirée spiritisme, fera son affaire !
VAREL l' A ENCORE ECHAPPE BELLE !
Posté le: 19-04-2006 06:15 Sujet du message: histoire de line
Le loup et l'agneau
LE LOUP ET L'AGNEAU
La raison du plus fort est toujours la meilleure ;
Nous l'allons montrer tout à l'heure.
Un Agneau se désaltérait
Dans le courant d'une onde pure.
Un Loup survient à jeun, qui cherchait aventure,
Et que la faim en ces lieux attirait.
« Qui te rend si hardi de troubler mon breuvage ?
Dit cet animal plein de rage :
Tu seras châtié de ta témérité.
— Sire, répond l'Agneau, que Votre Majesté
Ne se mette pas en colère ;
Mais plutôt qu'elle considère
Que je me vas désaltérant
Dans le courant,
Plus de vingt pas au-dessous d'Elle ;
Et que par conséquent, en aucune façon,
Je ne puis troubler sa boisson.
— Tu la troubles, reprit cette bête cruelle ;
Et je sais que de moi tu médis l'an passé.
— Comment l'aurais-je fait si je n'étais pas né ?
Reprit l'Agneau ; je tette encore ma mère.
— Si ce n'est toi, c'est donc ton frère.
— Je n'en ai point. — C'est donc quelqu'un des tien» ;
Car vous ne m'épargnez guère,
Vous, vos bergers, et vos chiens.URL=http://imageshack.us][/URL]
On me l'a dit : il faut que je me venge. »
Là-dessus, au fond des forêts
Le Loup l'emporte et puis le mange,
Sans autre forme de procès.
Posté le: 20-04-2006 06:00 Sujet du message: carnet de line
PENSION DE FAMILLE !
URL=http://imageshack.us][/URL]
Cette histoire se passe en début du siècle dans un quartier du vieux Strasbourg.
Nous sommes en automne, un temps orageux lourd avec un soleil de plomb. Devant une pension de famille s’arrête un fiacre. Le cocher laisse descendre une dame à robe longue coiffée d’un bibi d’époque Elle monte les quelques marches et s’adresse à la concierge Elle a une voix suave et un accent allemand, c’est une étrangère, ça saute aux yeux. Monsieur Monet, est il rentré demande t’elle ? Oui madame, qui dois je annoncer ? C’est bien je monte je m’annoncerai moi-même La voila partie au premier étage
Madame Claire la concierge s’installe avec son canevas dans sa loge, elle a du retard avec sa broderie. Ca doit être un cadeau d’anniversaire pour sa fille et il y a encore quelques points à finir, alors pas de temps à perdre.
Voici déjà la dame qui redescend, elle a l’air pressé. Certainement le fiacre doit l’attendre au coin de la rue, pour la ramener chez elle.
Le travail de la concierge avance et à chaque point qu’elle fait elle fixe le plafond. Une petite tache imperceptible au dessus de la petite table, se forme. Chaque fois qu’elle tire l’aiguille, ses yeux sont fixés sur cette tache, laquelle a chaque fois s’agrandie. La table est dressée pour le souper et subitement une goutte tombe dans une assiette. Cette tâche et cette goutte, c’est du sang et la chambre citée au dessus de la loge est celle de monsieur Monet.
Le canevas voltige et la concierge deux par deux monte les vieux escaliers rognés par endroit. La porte de la chambre N° 3 est poussée, monsieur Monet vient d’être assassiné .Une paire de ciseaux dans la carotide et gisant sur le tapis de la chambre. La chambre est restée intacte, rien de bousculé ni de changé.
Claire raconte à la police la visite de l’étrangère. On lui demande si elle pourrait reconnaître à nouveau cette dame par la suite Elle pense que oui. mais sans garantie . Elle ne connaît pas de famille à monsieur Monet et ne sait pas à qui adresser la facture du retard du loyer .La police va s’en charger dit un jeune policier et nous trouverons l’assassin.
Cadavre amputé des bras et des jambes déclaré à la police par un cheminot. Ce dernier se demande comment il a pu encore déplacer son tronc avant de mourir car lorsqu’il l’a quitté pour prévenir, il n’était pas mort encore. Peut on assembler les deux crimes est ce le même tueur ?
Malheureusement, le corps n’a jamais été revendiqué et les membres ne furent jamais trouvés, ni sur les rails ni ailleurs
Le lendemain, au poste de police, la dame du fiacre demande à parler à un supérieur. Elle avoue son crime. Son nom est Berthe Monet, le mort son mari et elle reconnaît avoir assassiné son époux.
Monsieur Monet avait un frère jumeau d’une ressemblance vraiment frappante. Un travailleur, franc, fidèle, l’autre fainéant, joueur ivrogne. Le premier du nom de JEAN et le second PIERRE. Pierre avait fait pas mal de dettes au jeu sans les rembourser et il savait que dans le milieu tôt ou tard on allait l’abattre. Il a fait de sorte que son frère meurt a sa place, les carte d’identités furent échangées Pendant une dizaine d’années il vécut avec la femme de son frère, jusqu’au jour ou
Une rage de dent envoya Monsieur Monet chez le dentiste
Voila dit le docteur, vous êtes entrain de percer une dent. Malheureusement il n’y a plus de place il faut extraire les dents de sagesse. Une fois rentré chez lui il raconta ceci a sa femme, laquelle pensa avoir mal compris, car des dents de sagesse il y a des années il n’en avait plus. Plusieurs petits trucs se sont accumulés qui ont mis la puce à l’oreille de madame Jusqu’au jour du pot au rose ou madame Monet le mis à la porte en attendant la facture du praticien. Il trouva refuge dans cette pension de famille ou madame est venue ce matin pour le tuer.
Ce matin la facture du chirurgien est arrivée, extraction de 2 dents de sagesse. Madame n’a vu que du feu et sur un coup de tête est partie en fiacre dans ce quartier mal famé de la vieille ville de Strasbourg. La vengeance est un plat qui se mange froid
Posté le: 21-04-2006 06:08 Sujet du message: carnet de line
LE DEPART POUR STOCKHOLM !
Sur le quai de la gare de Strasbourg, un couple attend le train pour HAMBOURG venant de Paris. Monsieur est dans les affaires et va régulièrement trois fois par an dans le grand nord et ceci pendant deux mois consécutifs. De loin des lumières dans le brouillard, le train entre en gare. Un grincement de freins se fait entendre et le train s’arrête STRASBOURG, les voyageurs pour Hambourg sont priés de monter.
Le monsieur embrasse une dernière fois sa femme, saute sur le marchepied, va à la première fenêtre et agite la main. Madame, se retourne pour ne pas faire voir les larmes qui lui coulent sur les joues. C’est à chaque fois pareil, cette séparation, Maintes fois elle s’est promise de ne plus l’accompagner et pourtant, encore aujourd’hui elle reste seule sur le quai en pleurant.
La pauvre femme est tellement obnubilée par cette longue séparation, qu’elle n’a pas vu son mari sortir par la portière donnant sur les voies. Il saute sur le quai d’en face, contourne le hangar à locomotives et disparaît dans la nuit.
Les jours passent. Madame tous les jours attend le passage du facteur. A part des prospectus, de la réclame et des journaux pas de nouvelles. C’est vrai monsieur n’aime pas trop écrire, il préfère téléphoner. Et se sera encore comme la dernière fois, il téléphonera pour signaler son arrivée. A chaque fois que le téléphone sonne, madame sursaute. Voila c’est lui ! Non c’est soit la maman, soit une voisine ou même une erreur.
Maman il vient quand papa, demande une petite blondinette. Elle doit avoir une dizaine d’années et certainement habituée à la longue absence de son père. Pauvre petite et pauvre femme laquelle ignore, que son mari est bigame.
Mensonges rien que des mensonges .Une double vie est menée par ce gentil père de famille, toujours très attentionné, pour sa femme et sa petite fille. Incroyable, il a une autre famille pas très loin d’ici, avec un autre nom, une autre silhouette, perruque et moustache et il boite, soit disant déformation du pied. Il a un petit garçon de cinq ans et ils habitent presque le même quartier. Le voyage à Stockholm, c’est du bidon. Mais ce mensonge a suffit pour amadouer ces deux femmes crédules. on dit bien l’amour rend aveugle. Ceci est bien vrai.
Notre père de famille travaille comme gardien et se fait entretenir, soit de l’une ou de l’autre
de ses épouses Pour lui la vie est belle !
Dans un super marcher devant la caisse on fait la queue Il va être midi, tout le monde se presse vers la sortie. Avec cette mascarade, impossible d’être reconnu, lui non, mais il n’a pas pensé à sa voiture. laquelle est stationnée directement a coté de sa femme
La propriétaire de la voiture a l’impression de voir son mari, non ce n’est pas possible elle divague. Son mari est loin peut être maintenant sur un ferry-boat entrain de regagner l’Allemagne pour Hambourg.
Quelques jours plus tard dans la soirée, le téléphone sonne Monsieur est devant la gare avec ses valises et attend qu’on vienne le chercher C’est la fête ce soir papa est de retour.
Le lendemain Les valises sont à défaire. En général elles sont fermées à clés mais aujourd’hui aurait on oublié ? Madame commence à déballer Mon Dieu qu’est ce que ça signifie. Une perruque, des moustaches des faux papiers, Monsieur n’a plus qu’à avouer et se mettre à table. Chez nous on dit « les mensonges ont des courtes jambes » !
Le pot aux roses fut découvert. Il resta seul avec son voyage à Stockholm, sa bigamie et ses
Posté le: 22-04-2006 06:18 Sujet du message: carnet de line
LE CHAMP DE TOURNESOL !
Une mosellane ,étudiante en philosophie, à l’université de Strasbourg, habite une modeste chambre meublée à l’esplanade. Son nom est MARION. Ses copines, l’appèlent CACHOU.
Elle est fraîche comme un bonbon à la menthe. Son dada c’est la musique ! Il faut la voir manié son archer quand elle joue du BACH du BETHOVEN du MAHLER ou du
BRAHMS, avec son violoncelle !
Elle est emportée par la musique, transportée en Russie, dans un champ de tournesol., ou dans un immense théâtre. Sur scène il y a une centaine de musiciens, un orchestre fabuleux, avec un chef de toute première qualité. Les applaudissements pleuvent . La foule trépigne, les bis se succèdent.Le lourd rideau rouge, s’est ouvert pour la troisième fois.
MARION sursaute. Le téléphone vient de sonner. Depuis un certain temps on lui passe des coups de fils anonymes, pendant la nuit et le jour. On lui reproche sévèrement son attitude , ses fréquentations. C’est toujours une voix de femme à l’autre bout du fil. Elle ne peut le certifier, mais elle a vaguement l’impression que c’est l’épouse de son professeur de musique.
Cette dernière est d’une jalousie maladive. Pendant les cours du soir, elle laisse la porte du salon entrebaillée pour les observer. Laissons la ! Moi je n’ai rien a me reprocher se dit elle.
Elle est exactement comme Madame Angèle, la bigote comme l’appelle les habitants de l’immeuble. Une femme maigre, insignifiante, aigrie, toujours habillée de noir et de gris , d’un manteau flottant. et de bottillons On lui donnerais le bon Dieu sans confession, mais c’est une très mauvaise langue.
Un matin en allant à l’université, MARION a croisé madame ANGELE dans les escaliers qui lui a tenu les propos suivants. Vous êtes en train de désunir un couple de bons chrétiens, vous devriez en avoir honte. Qu’est ce que vous allez encore manigancer pour vous approprier mon mari ? de la main droite elle gesticule avec son parapluie, comme si elle voulait taper..
La petite descend . Pauvre madame ANGELE, serait elle en train de perdre la tête ?
Comme tous les matins, une amie, la petite LOUISETTE , attend l’arrivée de MARION au coin de la rue. Ne la voyant pas venir, elle dirige ses pas vers l’immeuble de sa copine. .En cours de route elle rencontre Madame ANGELE qui lui dit que sa camarade est partie depuis un moment. C’est tout de même bizarre !, D’habitude, elle attend sur le coin . Enfin elle poursuit son chemin toute seule ;
Ce matin là MARION sèche son cours. Sa chaise reste vide. Sa copine est inquiète . C’est la première fois que ceci arrive. MARION est une fille ordonnée et sans reproches. Ne la voyant pas arriver à midi, elle part toute seule au resto, pose quelques questions à droite, à gauche.
Sans résultat. MARION est introuvable. !
Le soir même LOUISETTE téléphone au parents de MARION au cas ou elle serait rentrée chez elle à METZ ; La pauvre mère fond en larmes, mais que lui est t’ il arrivé à ma fille, demande t’elle. Il n’y a pas de temps a perdre, la police est avertie.
Le lendemain trois policiers se présentent au domicile de la jeune fille. La porte est fermée à clé. En un temps trois mouvements, elle s’ouvre en fracas ! Le pauvre corps de la petite jeune fille ; repose inerte, sur ses coussins blancs. Aucune trace de violence n’a été constatée pour l’instant.
Constatation du médecin légiste : mort par inhalation de gaz très toxique ! Tous les endroits de la pièce furent retournés, sans la moindre trace .Le corps de la malheureuse est aussitôt pris en charge par le corbillard, pour l’emporter à la morgue .
Les habitants de l’immeuble sont interrogés un par un sans résultat. La bigote refuse. Elle ne veut pas s’exprimer,.Ceci met la puce a l’oreille de l’agent de police. Madame je vous attends cet après midi au commissariat. J’aurai quelques questions à vous poser. ANGELE est interrogée , travaillée, malaxée, sa pauvre tête prête à éclater. Enfin elle avoue…………..
Dans la nuit vers 2 heures, tout était calme dans la maison. Elle est allée vers la porte de sa voisine de palier avec un grand soufflet de cheminée.. Ce dernier a été rempli de gaz nocif et introduit dans la serrure de la victime . Le gaz s’est répandu dans la chambre et a asphyxié la jeune fille qui ne se doutait de rien. C’est ainsi que la petite est morte
.
Madame ANGELE dans sa cellule, s’est donnée la mort par pendaison. Sur le lit on a retrouvé une bible une croix et une photo de son mari ,.ainsi qu’une lettre qui disait, oh combien elle était repentante ! Le mal était fait !
LINE _________________ !
aimer c'est donner !
Dernière édition par Line le 22-04-2006 06:24; édité 2 fois
Posté le: 23-04-2006 06:46 Sujet du message: carnet de line
JEUNE FILLE DISPARUE !
Il y a des années, dans un quartier surpeuplé de la ville de LYON, une jeune fille de 18 ans a disparu sur le chemin de l’école. Fille de restaurateur et bien connu de tous les habitants, du nom de Suzette. Jamais plus personne ne l’a revue au grand désespoir de ses parents. qui ont remué la terre entière pour la retrouver.
La maman un jour alla voir une voyante après maintes réflexions. Cette dernière lui dit textuellement que la fille n’est plus de ce monde. Qu’elle la voit quelque part enterrée sous un pont de chemin de fer aux alentours de LYON. Des excavatrices ont travaillé le sol pour chercher, hélas en vain. Le corps de la petite ne fût jamais retrouvé.
Dans son bureau notre ami range ses dossiers éparpillés sur son bureau. VAREL s’ennuie dans son fauteuil. Comme le grand jour de la retraite arrive à pas de géant, il va falloir mettre tout ça encore à la page. Pauvre petite ! À 18 ans ! Comme je voudrais encore mettre le grappin sur ce salaud avant de partir pour ne pas laisser ses pauvres parents dans le doute.
Deux jours après, VAREL a de la visite. Un célibataire habitant le quartier prétend avoir vu la jeune fille en Hollande pendant son dernier séjour. Il est formel, il la connaissait bien et il l’a très bien reconnue dans une vitrine, à Amsterdam, derrière les rideaux.
Varel n’en revient pas, il est fou de joie, peut être que son vœu se réalisera encore avant son départ, sait on jamais.
VAREL est pressé de rentrer à la maison pour mettre FREDERIQUE au courant. Encore ce soir il prendra le train pour la HOLLANDE ;
Pauvre Varel il aura du pain sur la planche, s’il veut visiter toutes les vitrines de la capitale. Varel est une forte tête, il ne désespère pas. Frédérique lui demande gentiment et pourquoi ton visiteur ne t’accompagnerait il pas ? Au fond tu as raison et pourquoi pas au frais de la police.
Le même soir les deux hommes prennent le train à LYON PERRACHE ; quelle aventure. !
La journée se passe en visite de la ville, au restaurant à l’hôtel et le soir à la recherche des petits boxons sur les quais. VAREL n’a pas le droit de s’introduire dans les petits appartements et a prié les autorités hollandaises de pouvoir se faire accompagner. Les petits rideaux successivement s’ouvrent et se referment. VAREL est tiré par la manche se son veston, il a compris c’est ici .la voila la petite d’après le compagnon de route.
Varel et le policier hollandais entre pour vérification des papiers. Eh non le nom ne colle pas, ni la date de naissance, ni l’adresse. Subitement la petite se met à trembler et à pleurer toutes les larmes de son corps. Elle avoue être la jeune fille de LYON, mais qu’elle a peur. Depuis l’enlèvement elle est ici séquestrée par un individu odieux surveillée nuit et jour. Elle est nourrie, logée et à la merci des hommes, qui viennent tous les soirs la solliciter.
Ce soir là la lumière de la petite vitrine s’éteint plus tôt que d’habitude. Encore ce soir VAREL veut ramener à LYON la petite jeune fille à ses parents, qui ne se doutent de rien
Varel est fier de lui, son vœu a été exaucé! ENCORE UN DOSSIER DE LIQUIDE !
Posté le: 23-04-2006 06:54 Sujet du message: Re: carnet de line
Line a écrit:
JEUNE FILLE DISPARUE !
Il y a des années, dans un quartier surpeuplé de la ville de LYON, une jeune fille de 18 ans a disparu sur le chemin de l’école. Fille de restaurateur et bien connu de tous les habitants, du nom de Suzette. Jamais plus personne ne l’a revue au grand désespoir de ses parents. qui ont remué la terre entière pour la retrouver.
La maman un jour alla voir une voyante après maintes réflexions. Cette dernière lui dit textuellement que la fille n’est plus de ce monde. Qu’elle la voit quelque part enterrée sous un pont de chemin de fer aux alentours de LYON. Des excavatrices ont travaillé le sol pour chercher, hélas en vain. Le corps de la petite ne fût jamais retrouvé.
Dans son bureau notre ami range ses dossiers éparpillés sur son bureau. VAREL s’ennuie dans son fauteuil. Comme le grand jour de la retraite arrive à pas de géant, il va falloir mettre tout ça encore à la page. Pauvre petite ! À 18 ans ! Comme je voudrais encore mettre le grappin sur ce salaud avant de partir pour ne pas laisser ses pauvres parents dans le doute.
Deux jours après, VAREL a de la visite. Un célibataire habitant le quartier prétend avoir vu la jeune fille en Hollande pendant son dernier séjour. Il est formel, il la connaissait bien et il l’a très bien reconnue dans une vitrine, à Amsterdam, derrière les rideaux.
Varel n’en revient pas, il est fou de joie, peut être que son vœu se réalisera encore avant son départ, sait on jamais.
VAREL est pressé de rentrer à la maison pour mettre FREDERIQUE au courant. Encore ce soir il prendra le train pour la HOLLANDE ;
Pauvre Varel il aura du pain sur la planche, s’il veut visiter toutes les vitrines de la capitale. Varel est une forte tête, il ne désespère pas. Frédérique lui demande gentiment et pourquoi ton visiteur ne t’accompagnerait il pas ? Au fond tu as raison et pourquoi pas au frais de la police.
Le même soir les deux hommes prennent le train à LYON PERRACHE ; quelle aventure. !
La journée se passe en visite de la ville, au restaurant à l’hôtel et le soir à la recherche des petits boxons sur les quais. VAREL n’a pas le droit de s’introduire dans les petits appartements et a prié les autorités hollandaises de pouvoir se faire accompagner. Les petits rideaux successivement s’ouvrent et se referment. VAREL est tiré par la manche se son veston, il a compris c’est ici .la voila la petite d’après le compagnon de route.
Varel et le policier hollandais entre pour vérification des papiers. Eh non le nom ne colle pas, ni la date de naissance, ni l’adresse. Subitement la petite se met à trembler et à pleurer toutes les larmes de son corps. Elle avoue être la jeune fille de LYON, mais qu’elle a peur. Depuis l’enlèvement elle est ici séquestrée par un individu odieux surveillée nuit et jour. Elle est nourrie, logée et à la merci des hommes, qui viennent tous les soirs la solliciter.
Ce soir là la lumière de la petite vitrine s’éteint plus tôt que d’habitude. Encore ce soir VAREL veut ramener à LYON la petite jeune fille à ses parents, qui ne se doutent de rien
Varel est fier de lui, son vœu a été exaucé! ENCORE UN DOSSIER DE LIQUIDE !
Posté le: 24-04-2006 06:18 Sujet du message: carnet de line
LA MAISON A L OREE DU BOIS !
Tout prés de la forêt à l’orée du bois, une petite maison habitée par une dame seule sans famille. Si, un neveu, le fils de sa soeur cadette, qui est acteur de cinéma, vient la voir, mais très rarement. MINOUCHE le chat est le seul pour divertir cette femme. Vous pouvez la voir tous les jours regarder par la fenêtre, et saluer les personnes qui passent devant sa maison sur le parcours de santé.
Ce matin, la vieille dame ne se montre pas. C’est inhabituel, à 10 heures les volets sont encore clos .Le chat devant la porte attend qu’on vienne lui ouvrir. Même le vasistas du soupirail est resté fermé. Comme il n’y a pas de voisin, personne ne s’inquiète pour elle.
MUSIKA une jeune femme qui tous les matins sur le parcours de santé, s’entraîne pour les JO, est étonnée de ce silence La grand’mère, soit elle dort, soit elle a eu un malaise, sait on jamais. Elle va sonner et cogner contre la porte, mais rien ne bouge ! Que faut t’il faire dans ce cas là, se demande MUSIKA. Attendons, je reviendrai ce soir, et on prendra les mesures qui s’imposent.
Le soir venu, aucun changement, les volets sont encore clos. Dans ce cas là il n’y a que la police qui peut intervenir. Pauvre commissaire VAREL, sa soirée est encore tombée à l’eau.
Arrivé sur place, tout est calme, rien de suspect. La porte d’entrée est fermée à clé, mais une fenêtre de la cuisine et restée entrouverte. VAREL se dirige vers la chambre à coucher La vieille dame est couchée en travers du lit gisant dans une mare de sang, les yeux grands ouverts. Qui a pu faire ceci, est ce l’œuvre d’un rôdeur ou en voulait on à son argent ?
Le chat miaule et fait un bond sur le lit de sa maîtresse. Impossible de le faire bouger ; il commence à cracher. Faudra bien l’attraper pour le mettre dans un panier, si on veut l’amener dans un refuge pour les animaux.
Le médecin légiste a terminé son constat La victime a été égorgée. La lame a été trouvée sur la descente de lit, sans aucune empreinte. Le meurtrier a dû porter des gants. Le crime a eu lieu entre minuit et 1 heure du matin. La pauvre dame est morte sur le coup.
Une fois le transfert du corps effectué, VAREL boucle la maison Il est exactement midi I l n’a plus faim. Tout ce sang, ça lui a coupé l’appétit. BRIGADIER faites moi un expresso ! Je vais faire une petite sieste, avant de reprendre, je suis tout retourné, la pauvre vieille dame. On ne devrait pas rester seul à cet âge là et il plonge dans un profond sommeil.
Voici VAREL qui se réveille, il a dû faire un cauchemar Il est plein de sueur et il a la tête qui lui tourne. Vite un peu d’eau froide sur les tempes, couve t’il quelque chose ou est ce cette affaire, qui le met dans cet état. ? Il ne sait vraiment pas par où commencer. Personne à interroger pas de familles, pas d’amis, pas de voisins. Aucun indice.
Oh CHEF dit le brigadier, il fallait bien qu’elle mange cette pauvre dame. Allons demander les fournisseurs Elle avait un chat, demandons le laitier, le boucher, le boulanger. Tu as raison XAVIER, allons y.
Et c’est comme ceci que VAREL a su qu’elle avait un neveu. Il est même entrain de tourner un film actuellement à CANNES. Il était là il y a quelques jours pour accompagner sa tante faire des achats et lui porter son panier. Qu’est ce qu’elle était heureuse la pauvre. Ca ne devait pas être marrant tous les jours toute seule dit le boucher. Moi je la livrais une fois par semaine, même deux fois si entre temps elle manquait de quelque chose. Quand est ce que le neveu est reparti Dans la même soirée je suppose !
CHEF dit le brigadier, que pensez vous du neveu ? Il est entrain de tourner un film. Il a un alibi en béton. Oui pour le moment dit VAREL, pour le moment.
Pendant quelques jours VAREL fait du sur place et ça l’agace de ne pas venir à ses fins.
Un beau jour, VAREL décide de prendre le train et de faire 1000 kilomètres pour rejoindre CANNES. Il arrive en plein tournage, impossible de déranger. Tant pis, une petite promenade sur la jetée du port et un apéritif vont meubler son après-midi en attendant la rencontre avec le neveu. . Un monsieur vient vers lui, c’est le réalisateur ! C’est vous qui demandez après JEROME ? Ou demandez vous sa doublure. ? Comment je ne vous suis pas.
Le réalisateur explique à notre cher VAREL, que JEROME jouait deux rôles dans ce film et qu’il lui fallait une doublure.
Mais voila l’alibi en béton dont parlait son brigadier. UNE DOUBLURE !
Mais le crime ce n’était pas la doublure, c’était bel et bien lui le neveu qui était venu rendre visite à sa tante.
Mais CHEF dit le brigadier, comment avez-vous fais pour trouver le coupable ?
XAVIER, c’est en forgeant que l’on devient forgeron. !
LINE _________________ !
Inscrit le: 09 Fév 2006 Messages: 1708 Localisation: Au bord de la mer
Posté le: 24-04-2006 12:28 Sujet du message:
Bonjour Liline ! Après une -trop- longue absence, je reviens te faire un coucou. Je n'ai encore rien lu de ce que tu as publié ces temps-ci mais je vais avoir un peu de temps tout à l'heure pour le faire. Je sens que je vais me régaler !
Un gros bisou et bonne journée ! _________________
Posté le: 25-04-2006 06:02 Sujet du message: carnet de line
VAREL confortablement installé dans son fauteuil, son chat sur les genoux, est entrain de rêver de ses dossiers qui restent en souffrance sur son bureau. Entre autre, il y a quelques mois un chat qui s’est fait assassiner, pour le premier prix d’un concours de beauté. Ce dernier appartenait à la voisine de palier de VAREL, faut croire que le monde est petit, c’était un afghan pur d’une robe grise chinée superbe.
FREDERIQUE, te souviens tu de mistigri, le chat de notre voisine. ? Son dossier n’est pas liquidé et traîne toujours chez moi sur mon bureau Ne pourrais tu pas me faire quelques déclaration en ce qui concerne sa mort. Si je comprends bien il a été empoisonné par une personne jalouse qui convoitait le premier prix lors du concours des chats de race.
Frédérique commence à raconter tout ce qu’elle se souvient de cette matinée ou un représentant a frappé à la porte. Il vendait des boites de nourriture pour chats. La voisine ce jour là a pris le café chez nous et elle a même dit textuellement, vous la vendez bien chère cette nourriture. Nous nous sommes mis d’accord en prenant un carton de 12 boites à se partager. Le lendemain ce pauvre mistigri avait trépassé et on l’a retrouvé raide sur le carrelage de la salle de bain. Mais notre chat a nous, ceci ne lui a rien fait ? Non il ne les a pas reçu, elle sont toutes les 6 encore intactes dans la réserve au cas ou.. Heureusement ! Vas me chercher une boite, je veux la faire analyser. On verra bien ce que ça donne.
Il s’est avéré que dans la nourriture il y avait un poison foudroyant pouvant tuer un bœuf. La cause de la mort avait été établie, mais sans plus. La propriétaire du chat n’avait pas les moyens de poursuivre cette affaire et fautes de preuves, tout est reste en instance.
Des mois et des mois passèrent. Un dimanche après midi gris sans soleil, de temps en temps une bourrasque moche à ne pas mettre un chien dehors. Frédérique propose d’aller au concours de chats de race qui se tient dans la salle polyvalente du quartier. VAREL comme toujours est d’accord, faut bien passer son dimanche pardi.
Les plus beaux spécimens sont présentés. Subitement Frédérique sursaute, VAREL, c’est lui c’est lui, le vendeur de boites pour chats, je le reconnaît et j’en suis sur. Varel est déjà sur pied. Il va directement retrouver le speaker qui va sur le champs annuler ce concours.
VAREL va faire le nécessaire afin de pouvoir encore clôturer ce cas et liquider un autre dossier, avant son départ pour la retraite.
Posté le: 25-04-2006 06:14 Sujet du message: Re: carnet de line
Line a écrit:
VAREL confortablement installé dans son fauteuil, son chat sur les genoux, est entrain de rêver de ses dossiers qui restent en souffrance sur son bureau. Entre autre, il y a quelques mois un chat qui s’est fait assassiner, pour le premier prix d’un concours de beauté. Ce dernier appartenait à la voisine de palier de VAREL, faut croire que le monde est petit, c’était un afghan pur d’une robe grise chinée superbe.
FREDERIQUE, te souviens tu de mistigri, le chat de notre voisine. ? Son dossier n’est pas liquidé et traîne toujours chez moi sur mon bureau Ne pourrais tu pas me faire quelques déclaration en ce qui concerne sa mort. Si je comprends bien il a été empoisonné par une personne jalouse qui convoitait le premier prix lors du concours des chats de race.
Frédérique commence à raconter tout ce qu’elle se souvient de cette matinée ou un représentant a frappé à la porte. Il vendait des boites de nourriture pour chats. La voisine ce jour là a pris le café chez nous et elle a même dit textuellement, vous la vendez bien chère cette nourriture. Nous nous sommes mis d’accord en prenant un carton de 12 boites à se partager. Le lendemain ce pauvre mistigri avait trépassé et on l’a retrouvé raide sur le carrelage de la salle de bain. Mais notre chat a nous, ceci ne lui a rien fait ? Non il ne les a pas reçu, elle sont toutes les 6 encore intactes dans la réserve au cas ou.. Heureusement ! Vas me chercher une boite, je veux la faire analyser. On verra bien ce que ça donne.
Il s’est avéré que dans la nourriture il y avait un poison foudroyant pouvant tuer un bœuf. La cause de la mort avait été établie, mais sans plus. La propriétaire du chat n’avait pas les moyens de poursuivre cette affaire et fautes de preuves, tout est reste en instance.
Des mois et des mois passèrent. Un dimanche après midi gris sans soleil, de temps en temps une bourrasque moche à ne pas mettre un chien dehors. Frédérique propose d’aller au concours de chats de race qui se tient dans la salle polyvalente du quartier. VAREL comme toujours est d’accord, faut bien passer son dimanche pardi.
Les plus beaux spécimens sont présentés. Subitement Frédérique sursaute, VAREL, c’est lui c’est lui, le vendeur de boites pour chats, je le reconnaît et j’en suis sur. Varel est déjà sur pied. Il va directement retrouver le speaker qui va sur le champs annuler ce concours.
VAREL va faire le nécessaire afin de pouvoir encore clôturer ce cas et liquider un autre dossier, avant son départ pour la retraite.
Posté le: 26-04-2006 05:51 Sujet du message: carnet de line
Le terrain de camping !
Notre ami VAREL a encore beaucoup de congé à prendre, surtout de la récupération. Frédérique lui dit tous les jours, prends les avant d e les voir périmés. Bon sang, ne pouvons nous pas comme certains faire du camping sur un terrain quelconque et nous dorer au soleil prés de la mer. VAREL lui est encore obnubilé par ses dossiers et essaye de trouver une bonne solution. Mais vas y toute seule, je te rejoindrai samedi dans la soirée. De toute façon nous n’avons personne pour s’occuper de notre chat. Toutes les excuses sont valables dans ce cas là.
VAREL n’aime pas que FREDERIQUE lui fasse la tête. Apres quelques heures de bouderie il cède enfin. Il est d’accord pour louer un mobil home à ST TROPEZ, a partir de lundi prochain
Arrivées sur place, ils ont la chance d’avoir un emplacement bien ensoleillé et spacieux. Un seul voisin dans l’immédiat, mais dans la caravane de gauche, personne Et pourtant le responsable du camping prétend, que ce monsieur est là. Enfin, il serait allé à la plage. Attendons demain pour le saluer.
Le lendemain, VAREL prépare le café qu’il va prendre avec Frédérique sur une petite terrasse. Le soleil tape déjà très fort pour la saison et le camping tout entier se réveille. Quel remue ménage, on parle toutes les langues, les anglais sont en majorités. Entre les arbres on a installé des chaises longues des tables et des chaises. Camping spécial famille nombreuseVAREL aime ça, lui qui n’a pas d’enfants. Chez lui l’enfant est roi et il peut rire aux larmes avec eux.
Le couple VAREL s’apprête pour aller à la plage, lorsqu’une petite fille du voisin leur dit de venir boire l’apéro tout à l’heure, c’est papa qui l’envoie. Dis oui à ton papa, nous viendrons ma chérie. Eh bien ça commence bien. !
La matinée se passe sur la plage. Malgré la crème solaire VAREL a chopé un magnifique coup de soleil. Il n’a pas l’habitude, lui qui est enfermé toute l’année dans un bureau. . Il est temps de lever l’ancre dit il, si nous voulons prendre l’apéro chez le voisin. Les voila partis direction camping. Quelle heure est il demande Frédérique, l’horloge de l’église vient de sonner midi, répond VAREL ;
Une vingtaine de personnes sont installées autour d’une grande table entrain de prendre l’apéro. Ca sens le pastis par ici dit VAREL, oui c’est vrai on n’attend plus que vous à la bonne votre et à un bon voisinage dorénavant. Je voulais inviter STEF également dit l’hôte en faisant signe de la tête vers les rideaux tirés du mobil home à coté, mais il n’est pas là. Moi je l’ai vu ce matin à la plage entrain de se jeter à l’eau. Il n’y a pas à dire, elle était bonne un .régal répliqua un autre
Quelques jours passèrent, mais STEF ne revient pas. VAREL inspecta le mobil home de cet homme disparu, rien de suspect. STEF habite ici à l’année et était célibataire. Avant de partir il a du prendre son café, car la tasse vide est restée sur la table et le lit défait .Rien d’anormal
STEF ne revient plus jamais, une vague de fond a dû l’emporter sans doute. Personne pour signaler son absence. Pauvre STEF, il était bien jeune encore. Voila comment la mer peut être néfaste et mauvaise dans certain cas.
LINE _________________ !
Posté le: 27-04-2006 08:32 Sujet du message: carnet de line
TOILETTAGE CANIN !
Chez le coiffeur pour chien plus de rendez vous cette semaine ne peuvent être donnés. Il y a quinze jours se tenait dans la salle de la bourse une exposition du plus beau chat de la région. (CHAT ANGORA) et AFGHAN Malheureusement cette catégorie fut annulé et reporté à une date ultérieure. Le 1er du mois prochain sera primé le plus beau chien du Bas-Rhin et le coiffeur aura fort à faire pour satisfaire toute sa clientèle d’ici là.
Madame Meyer venez récupérer votre chien c’est terminé. Madame Meyer se précipite dans le premier box laisse échapper un cri Mon jojo qu’a-t-on fait de toi ? Elle se trouve en face d’un petit chiot sophistiqué à outrance. Petit manteau, petites bottes, lunettes de soleil, parapluie et un nœud rose bonbon dans son pelage. Comment le trouvez vous, votre petit compagnon ?
Si vous voulez le présenter au concours, venez nous voir. Nous ferons le nécessaire, afin qu’il soit fin prêt pour la parade. Les accessoires vous les trouverez chez nous pour cette occasion. Téléphonez nous quelques jours d’avance, s’il vous plait. Notre petit JOJO est un YORKSHIRE, son nœud rose est plus grand que toute sa tête. Madame trouve que c’est exagéré et qu’au grand jamais elle ne sortira son chien dans cet apparat.
Comment Madame, votre chien ne vous plait pas Non figurez vous je vous l’ai apporté pour le laver le coiffer
Les ongles a couper à la rigueur, mais pas pour le maquiller comme un clown. Au fait quel droit aviez vous pour le prendre comme modèle ? Le coiffeur très en colère commence à déshabillé le petit chien qui est devenu très excité Madame va le prendre dans ses bras pour le calmer, car plus il sont petits plus ils sont peureux et hargneux. Le coiffeur essaye de lui faire un câlin et le chien sans crier gare, lui mord le doigt Voila ça devait arriver dit Madame, mon Jojo, quelle histoire.
Tous les chiens du salon se mettent à aboyer, quel vacarme Le coiffeur ne sait plus ou donner de la tête, pour calmer tout ce petit monde. Il voulait apporter a son salon un autre service pour chien, il a dû très mal s’y prendre . Il va falloir réfléchir comment agrandir sa clientèle sans forcer la main.
Lors du concours le 1er prix dans sa catégorie fut attribué à JOJO tout en restant simple et naturel.
Sa maîtresse folle de joie, invita le coiffeur à une table Rabelaisienne à cette occasion et ce fut une agréable soirée entre amis.
Posté le: 28-04-2006 06:30 Sujet du message: carnet de line
MARCHE DE LA PLAGE
Quelques part dans le midi : De bon heure sur un marché aux poissons à la crié, un vol à l’étalage a eu lieu ce matin. Ce sont des menus larçins qui arrivent quotidiennement. Au voleur, au voleur, la marchande hurle : on vient de me voler ma caisse Un attroupement prés de la poissonnière se forme, bousculant les traiteaux et les caisses de rougets et de moules.
Toute la marchandise jonge le sol et les crabes et crevettes sont éparpillés, en dessous la table.
Le voleur, profite de la situation, pour prendre le large et disparaître au prochain coin de rue Personne ne l’a vu, personne ne peut donner de signalement. D’ailleurs ça s’est passé tellement vite . Ces petits gars sont expert en la matière.
Le calme est revenu sur ce marché et les clients achète par lots, tout ce beau poisson frais attrapé dans la nuit.
Voila qu’à l’autre bout du marché, dans une charrette, en dessous de carton et de cagots, on aperçois un visage sanguignolant. Bonne mère, que lui est il arrivé ? Une femme lance un cri d’horreur appelez la police, il est mort, il est mort. ! Cet homme a étè tué en même temps que le vol à l’étalage Tous les clients se sont précipités pour consoler la marchande volée et de ce fait ils n’ont rien vu, d’anormal..
Voila qu’arrive un groupe de S.D.F. avec les cartons et couvertures. Ils ont certainement dormis à la belle étoile, peut être en retrait sur une plage déserte ? Mais c’est ARTHUR dit le plus agé , on ne l’a pas loupé, cette fois ci. Partons d’ici, je ne voudrais pas me retrouver au commissariat par cette belle journée.
Une dizaine de minutes après la police est sur les lieux . Le mort , n’est pas inconnu . Les commercants sont formels. Il faisait la manche quotidiennement sur le marché aux poissons ce qui lui permettait, de s’acheter de la nourriture et du pinard. La police aussi le connaît bien, puisqu’il travaillait pour eux . Il était indicateur et dans le milieu et ça ça ne pardonne pas.
Une belle villa, pas loin de la plage, ferme ses volets. Le soleil tape déjà très fort, par cette belle journée de printemps .Les occupants vont quitter la maison et même la région en attendant que cette histoire de meurtre se soit un peu tassée. C’est JOE un gars de chez eux qui lui a fait son compte au S.D.F. du marché., un règlement de compte . pour les vilains garçons. De quoi de quoi , dit le mec à maman !
Les occupants de la berline grise se sont fait arrêter sur l’autoroute MARSEILLE-LYON pour éxcés de vitesse. Papiers truqués , pas de permis de conduire , et finalement après des jours de cuissons, aveux du meurtre sur le S.D.F. du marché de la plage.
JOE, aura certainement plusieurs années de prison. Ces compatriotes pourront lui apporter des oranges en cellules et des cigarettes.
Posté le: 29-04-2006 05:30 Sujet du message: carnet de line
LA GOUVERNANTE !
En Irlande, dans la région de DUBLIN, une petite pension de famille, à la lisière de la forêt.
Cette pension est composée du gérant, d’une vieille gouvernante du nom de TANTE ADELE, d’un portier et deux femmes de service. C’est une vieille bâtisse, comme vous en rencontrez souvent en IRELAND, mais très bien fréquentée Pour vous dire, lorsque SCHERLOCK-HOLMES et le Docteur WATTSON sont dans la région, c’est ici qu’ils viennent loger et ceci depuis des années.
SCHERLOCK aime s’entretenir avec tante ADELE ; ça l’amuse, car la gouvernante est très
Curieuse. Il ne discute jamais avec elle les cas qu’il est entrain de démêler, mais par contre il lui apprend toutes les ficelles de la criminologie. TANTE ADELE est une bonne élève, très attentive Vous feriez un bon détective ma brave ADELE, s’écrit le docteur WATTSON en souriant
On vient de sonner dans le corridor ! Je reviendrais ce soir pour une autre leçon, le patron m’appelle et voilà ADELE partie.
Le patron est un infirme cloué dans une chaise roulante, assez âgé, hargneux et généralement de mauvaise humeur. Il est veuf depuis des années Il a un fils, qui malgré ses trente ans .vit au crochet de son père et lui aide a dilapider son argent. Il habite un quartier infâme de LONDRES et fréquente la racaille de PICADILLY
Ses amis sont des forains avec stands de tir et carrousels et ceci du mois de mars jusqu’en octobre. En hivers relâche et entretien du matériel, comme tous les ans. Le fils de la pension donne des coups de main à gauche et à droite. Il n’exerce aucun métier, car il a un mal de chien de se lever le matin, pour aller travailler.
Pas très loin de la pension se trouve une maisonnette pré fabriquée Comme ADELE est curieuse, elle se pose des questions Que peux abriter ce hangar ?
Ce sera sa première affaire !
Elle se souvient vaguement de la dispute qu’ils ont eu père et fils. Le fils voulait vendre cette partie hangar + terrain et le père en a fait une maladie. Cette baraque fait partie de mon patrimoine et tant que je vivrais personne ne touchera a celle-ci, même pas toi mon fils.
Le soir après 20 heures, elle met sa cape, son bonnet et se dirige directement vers la cabane sans oublier de décrocher la grosse vieille clé rouillée sur le tableau. . Elle a également une torche .pour s’éclairer car en cette saison, la nuit tombe de bonne heure. Le cœur battant elle ouvre la porte. Que c’est beau Alice au pays des merveilles Un coq, un petit cochon, une auto de police une voiture de pompier, tout le carrousel en pièce détaché. même une diligence. La vieille ADELE ouvre la porte, porte sa main sur son cœur et il en sort une poule
qui vient de pondre un œuf.
Le fils a dû se faire un argent de poche à l’insu de son père. Voyons plus loin.
Voici une porte ou peut elle bien mener ? ADELE n’a pas de clé, il va falloir forcer la serrure Elle est tellement curieuse qu’elle oublie les bonnes paroles de SCHERLOCK ; Ne jamais rien toucher sans gants pour ne pas effacer les empreintes. Et d’autres détails qu’elle a oublié son cœur bat la chamade !
Elle est loin de penser qu’elle a été suivie par son professeur. SCHERLOCK se cache derrière le carrosse et attend la suite de l’inspection d’ ADELE
Justement SCHERLOCK est sur une vieille affaire qui n’a jamais été élucidé IL Y A BIEN DES ANNEES quatre jeunes filles ont disparu dans les alentours de LONDRES et n’ont jamais été retrouvées. ADELE ne peut lui être d’aucun secours Il l’a suivi ce soir pour s’amuser. Même pas son ami WATTSON ne sait où il se trouve. FILATURE ! se dit il.
A force d’insister, ADELE a réussi à ouvrir la porte de ce débarras. Sous plusieurs meules de foin une trappe conduisant dans une galerie Subitement elle a peur que va-t-elle découvrir à présent. Elle se retourne laisse échapper un cri et tombe dans les bras de SCHERLOCK HOLMES ;
Eh oui mon cher WATTSON, j’ai trouvé ce que je cherchais, les corps des quatre jeunes filles disparues.
Voila pourquoi le père, cloué dans son fauteuil roulant, ne voulait pas vendre cette partie de sa propriété.
De passage a LONDRES , le père rendant visite à son fils, a fait la connaissance d’une de ses femmes recherchées . Il la fréquenta quelques semaines et la fit venir en Irlande C’est dans cette cabane qu’il la tua et puis caché sous la meule de foin. Les autres femmes idem…..
SCHERLOCK HOLMES doit une fière chandelle à la vieille ADELE, c’est grâce a elle,
qu’il sort encore vainqueur de cette affaire ! LINE _________________ !
Posté le: 29-04-2006 05:38 Sujet du message: Re: carnet de line
Line a écrit:
LA GOUVERNANTE !
En Irlande, dans la région de DUBLIN, une petite pension de famille, à la lisière de la forêt.
Cette pension est composée du gérant, d’une vieille gouvernante du nom de TANTE ADELE, d’un portier et deux femmes de service. C’est une vieille bâtisse, comme vous en rencontrez souvent en IRELAND, mais très bien fréquentée Pour vous dire, lorsque SCHERLOCK-HOLMES et le Docteur WATTSON sont dans la région, c’est ici qu’ils viennent loger et ceci depuis des années.
SCHERLOCK aime s’entretenir avec tante ADELE ; ça l’amuse, car la gouvernante est très
Curieuse. Il ne discute jamais avec elle les cas qu’il est entrain de démêler, mais par contre il lui apprend toutes les ficelles de la criminologie. TANTE ADELE est une bonne élève, très attentive Vous feriez un bon détective ma brave ADELE, s’écrit le docteur WATTSON en souriant
On vient de sonner dans le corridor ! Je reviendrais ce soir pour une autre leçon, le patron m’appelle et voilà ADELE partie.
Le patron est un infirme cloué dans une chaise roulante, assez âgé, hargneux et généralement de mauvaise humeur. Il est veuf depuis des années Il a un fils, qui malgré ses trente ans .vit au crochet de son père et lui aide a dilapider son argent. Il habite un quartier infâme de LONDRES et fréquente la racaille de PICADILLY
Ses amis sont des forains avec stands de tir et carrousels et ceci du mois de mars jusqu’en octobre. En hivers relâche et entretien du matériel, comme tous les ans. Le fils de la pension donne des coups de main à gauche et à droite. Il n’exerce aucun métier, car il a un mal de chien de se lever le matin, pour aller travailler.
Pas très loin de la pension se trouve une maisonnette pré fabriquée Comme ADELE est curieuse, elle se pose des questions Que peux abriter ce hangar ?
Ce sera sa première affaire !
Elle se souvient vaguement de la dispute qu’ils ont eu père et fils. Le fils voulait vendre cette partie hangar + terrain et le père en a fait une maladie. Cette baraque fait partie de mon patrimoine et tant que je vivrais personne ne touchera a celle-ci, même pas toi mon fils.
Le soir après 20 heures, elle met sa cape, son bonnet et se dirige directement vers la cabane sans oublier de décrocher la grosse vieille clé rouillée sur le tableau. . Elle a également une torche .pour s’éclairer car en cette saison, la nuit tombe de bonne heure. Le cœur battant elle ouvre la porte. Que c’est beau Alice au pays des merveilles Un coq, un petit cochon, une auto de police une voiture de pompier, tout le carrousel en pièce détaché. même une diligence. La vieille ADELE ouvre la porte, porte sa main sur son cœur et il en sort une poule
qui vient de pondre un œuf.
Le fils a dû se faire un argent de poche à l’insu de son père. Voyons plus loin.
Voici une porte ou peut elle bien mener ? ADELE n’a pas de clé, il va falloir forcer la serrure Elle est tellement curieuse qu’elle oublie les bonnes paroles de SCHERLOCK ; Ne jamais rien toucher sans gants pour ne pas effacer les empreintes. Et d’autres détails qu’elle a oublié son cœur bat la chamade !
Elle est loin de penser qu’elle a été suivie par son professeur. SCHERLOCK se cache derrière le carrosse et attend la suite de l’inspection d’ ADELE
Justement SCHERLOCK est sur une vieille affaire qui n’a jamais été élucidé IL Y A BIEN DES ANNEES quatre jeunes filles ont disparu dans les alentours de LONDRES et n’ont jamais été retrouvées. ADELE ne peut lui être d’aucun secours Il l’a suivi ce soir pour s’amuser. Même pas son ami WATTSON ne sait où il se trouve. FILATURE ! se dit il.
A force d’insister, ADELE a réussi à ouvrir la porte de ce débarras. Sous plusieurs meules de foin une trappe conduisant dans une galerie Subitement elle a peur que va-t-elle découvrir à présent. Elle se retourne laisse échapper un cri et tombe dans les bras de SCHERLOCK HOLMES ;
Eh oui mon cher WATTSON, j’ai trouvé ce que je cherchais, les corps des quatre jeunes filles disparues.
Voila pourquoi le père, cloué dans son fauteuil roulant, ne voulait pas vendre cette partie de sa propriété.
De passage a LONDRES , le père rendant visite à son fils, a fait la connaissance d’une de ses femmes recherchées . Il la fréquenta quelques semaines et la fit venir en Irlande C’est dans cette cabane qu’il la tua et puis caché sous la meule de foin. Les autres femmes idem…..
SCHERLOCK HOLMES doit une fière chandelle à la vieille ADELE, c’est grâce a elle,
qu’il sort encore vainqueur de cette affaire ! LINE
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