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Posté le: 29-04-2006 11:08 Sujet du message: carnet de line
comme je serais absente pour le weck-end, je tiens a vous presenter mes chers lecteurs, tous mes voeux de bonheur pour le ler mai. pour vous remercier de votre fidélité. Je vous fais un becot votre LINE
merci ma chère Line, ton bouquet est magnifique. Encore mille fois merci pour toutes les belles histoires que tu nous raconte.
Tu pourrais presque publier un livre tellement il y en a maintenant...
bisous ma puce _________________
Posté le: 30-04-2006 06:18 Sujet du message: carnet de line
LE NOUVEAU LOCATAIRE ! L ECLUSE IERE
Il y a du nouveau dans l’immeuble du 5, Boulevard RASPAIL ; Un camionneur est entrain de décharger des meubles, des cartons des éléments de cuisine enfin tout un ménage. Le nouveau locataire courre de droite à gauche pour surveiller la bonne marche de ce déménagement .et voila panne d’ascenseur. On entend dans les escaliers des jurons criés par les employés Comment faire pour monter tout ce bazar au 7 aime étage ? Bien, attendons.
Entre temps le voisin de palier du nouveau locataire, vient le saluer au nom de tous et lui souhaite bon voisinage.
Avez-vous terminé avec vos travaux d’intérieur lui demande t’il. J’ai encore quelques bricoles à faire, mais ceci n’est pas urgent, Comme la cave voyez vous. Elle est tellement grande que je me suis dit, pourquoi n’en pas faire une salle de jeu avec billard Quitte à abattre un mur, évidemment avec la permission du propriétaire. Moi a votre place, je n’y toucherais pas à ce mur, vous pourriez avoir des ennuis par la suite Enfin ce n’est pas demain la veille .avant j’aurais encore d’autres chats à fouetter dit monsieur DUPONT, le nouveau venu.
La panne d’ascenseur n’étant qu’une coupure de courant, le déménagement se poursuit.
Vers midi, le camion est vide, à part les couvertures, qui recouvraient les meubles fragiles .les TRANSPORTEURS ont terminé leur mission.
Des semaines ont passées depuis l’arrivée de la famille DUPONT. Ce logement est impeccable à tout point de vue. Spacieux, clair, ensoleillé, il y fait bon vivre. Les petits détails sont effectués et maintenant il s’agit de commencer par la cave.
Ce week end Monsieur DUPONT envisage d’abattre ce fameux mur Avec un burin une massue, il commence a enlever pierre par pierre. A cette allure, ce sera un travail de longue haleine. Subitement monsieur DUPONT laisse échapper un cri d’effroi Un pied d’homme surgit de derrière le mur, le pauvre DUPONT est comme paralysé, il n’arrive même pas à crier. Il s’enfuit en courant, monte dans son appartement, il est livide. C’est madame qui doit prévenir la police, car son mari en est incapable. Il tremble comme une feuille, il lui faudra du temps pour se remettre.
La suite au prochain numéro. C’est encore notre bon commissaire VAREL qui aura du pain sur la planche.
LINE _________________ !
Posté le: 30-04-2006 06:24 Sujet du message: Re: carnet de line
Line a écrit:
LE NOUVEAU LOCATAIRE ! L ECLUSE IERE
Il y a du nouveau dans l’immeuble du 5, Boulevard RASPAIL ; Un camionneur est entrain de décharger des meubles, des cartons des éléments de cuisine enfin tout un ménage. Le nouveau locataire courre de droite à gauche pour surveiller la bonne marche de ce déménagement .et voila panne d’ascenseur. On entend dans les escaliers des jurons criés par les employés Comment faire pour monter tout ce bazar au 7 aime étage ? Bien, attendons.
Entre temps le voisin de palier du nouveau locataire, vient le saluer au nom de tous et lui souhaite bon voisinage.
Avez-vous terminé avec vos travaux d’intérieur lui demande t’il. J’ai encore quelques bricoles à faire, mais ceci n’est pas urgent, Comme la cave voyez vous. Elle est tellement grande que je me suis dit, pourquoi n’en pas faire une salle de jeu avec billard Quitte à abattre un mur, évidemment avec la permission du propriétaire. Moi a votre place, je n’y toucherais pas à ce mur, vous pourriez avoir des ennuis par la suite Enfin ce n’est pas demain la veille .avant j’aurais encore d’autres chats à fouetter dit monsieur DUPONT, le nouveau venu.
La panne d’ascenseur n’étant qu’une coupure de courant, le déménagement se poursuit.
Vers midi, le camion est vide, à part les couvertures, qui recouvraient les meubles fragiles .les TRANSPORTEURS ont terminé leur mission.
Des semaines ont passées depuis l’arrivée de la famille DUPONT. Ce logement est impeccable à tout point de vue. Spacieux, clair, ensoleillé, il y fait bon vivre. Les petits détails sont effectués et maintenant il s’agit de commencer par la cave.
Ce week end Monsieur DUPONT envisage d’abattre ce fameux mur Avec un burin une massue, il commence a enlever pierre par pierre. A cette allure, ce sera un travail de longue haleine. Subitement monsieur DUPONT laisse échapper un cri d’effroi Un pied d’homme surgit de derrière le mur, le pauvre DUPONT est comme paralysé, il n’arrive même pas à crier. Il s’enfuit en courant, monte dans son appartement, il est livide. C’est madame qui doit prévenir la police, car son mari en est incapable. Il tremble comme une feuille, il lui faudra du temps pour se remettre.
La suite au prochain numéro. C’est encore notre bon commissaire VAREL qui aura du pain sur la planche.
LINE
Posté le: 01-05-2006 06:36 Sujet du message: carnet de line
L ECLUSE 2EME PARTIE
procès IL EST 19 HEURES ; VAREL sonne à la porte chez SCHMIDT ! Madame vient ouvrir, pensant que c’est son mari qui rentre du boulot. Pourrais je parler a votre mari madame, dit VAREL ! Si, vous voulez bien l’attendre, Monsieur il ne va pas tarder. Elle lui présente un fauteuil, asseyez vous, Monsieur.
Voila la porte d’entrée qui s’ouvre c’est SCHMIDT. Chéri va voir au salon tu as de la visite VAREL se présente et au fur et a mesure SCHMIDT devient anxieux. Ceci n’échappe pas à VAREL Monsieur Schmidt accompagnez moi dans votre cave s’il vous plait La cave est vide en dehors de souris et de toile d’araignée rien D’après les débris de pierre et de ciment, il y avait un mur, mais en dehors de ça ?
Mais ou cherchez ce cadavre, si cadavre il y a ?
Depuis quelques semaines ont passées. VAREL ne sais pas à quel saint se vouer. L’enquête n’avance pas et il devient irritable. FREDERIQUE a tout le mal à le calmer et elle lui administre de temps en temps un somnifère.
Le lendemain matin au réveil, VAREL se frotte les yeux. Il a divinement bien dormi cette nuit. Il a rêvé de SCHMIDT et de son écluse. VOILA c’est l’écluse qu’il cherchait. La nuit il est seul de garde et personne pour le surveiller. VAREL demande a l’éclusier de vider le bassin N0 1. Tous les bateaux vont être détournés, par une autre voie fluviale en attendant le bon vouloir du commissaire.
Une fois le bassin vidé dans la vase du fond on a retiré le cadavre d’un homme d’une trentaine d’années.
Ce cadavre est celui qui était en muré dans la cave du 5, avenue RASPAIL. Comme le nouveau locataire avait envisagé d’abattre son mur, il a jugé indispensable de le déplacer et la nuit au clair de lune, avec un poids autour du cou, immergé dans le bassin.
SCHMIDT avait fais la connaissance du mort dans une brasserie Apres une soirée bien arrosée, les deux antagonistes sont venus aux mains. En tombant le malheureux s’est cogné la tête sur le trottoir et en est mort sur le coups.
SCHMIDT a été incarcéré en attendant son verdict. LINE _________________ !
Posté le: 01-05-2006 06:43 Sujet du message: Re: carnet de line
Line a écrit:
L ECLUSE 2EME PARTIE
procès IL EST 19 HEURES ; VAREL sonne à la porte chez SCHMIDT ! Madame vient ouvrir, pensant que c’est son mari qui rentre du boulot. Pourrais je parler a votre mari madame, dit VAREL ! Si, vous voulez bien l’attendre, Monsieur il ne va pas tarder. Elle lui présente un fauteuil, asseyez vous, Monsieur.
Voila la porte d’entrée qui s’ouvre c’est SCHMIDT. Chéri va voir au salon tu as de la visite VAREL se présente et au fur et a mesure SCHMIDT devient anxieux. Ceci n’échappe pas à VAREL Monsieur Schmidt accompagnez moi dans votre cave s’il vous plait La cave est vide en dehors de souris et de toile d’araignée rien D’après les débris de pierre et de ciment, il y avait un mur, mais en dehors de ça ?
Mais ou cherchez ce cadavre, si cadavre il y a ?
Depuis quelques semaines ont passées. VAREL ne sais pas à quel saint se vouer. L’enquête n’avance pas et il devient irritable. FREDERIQUE a tout le mal à le calmer et elle lui administre de temps en temps un somnifère.
Le lendemain matin au réveil, VAREL se frotte les yeux. Il a divinement bien dormi cette nuit. Il a rêvé de SCHMIDT et de son écluse. VOILA c’est l’écluse qu’il cherchait. La nuit il est seul de garde et personne pour le surveiller. VAREL demande a l’éclusier de vider le bassin N0 1. Tous les bateaux vont être détournés, par une autre voie fluviale en attendant le bon vouloir du commissaire.
Une fois le bassin vidé dans la vase du fond on a retiré le cadavre d’un homme d’une trentaine d’années.
Ce cadavre est celui qui était en muré dans la cave du 5, avenue RASPAIL. Comme le nouveau locataire avait envisagé d’abattre son mur, il a jugé indispensable de le déplacer et la nuit au clair de lune, avec un poids autour du cou, immergé dans le bassin.
SCHMIDT avait fais la connaissance du mort dans une brasserie Apres une soirée bien arrosée, les deux antagonistes sont venus aux mains. En tombant le malheureux s’est cogné la tête sur le trottoir et en est mort sur le coups.
SCHMIDT a été incarcéré en attendant son verdict. LINE
Posté le: 02-05-2006 05:46 Sujet du message: carnet de line
URL=http://imageshack.us][/URL]
procès IL EST 19 HEURES ; VAREL sonne à la porte chez SCHMIDT ! Madame vient ouvrir, pensant que c’est son mari qui rentre du boulot. Pourrais je parler a votre mari madame, dit VAREL ! Si, vous voulez bien l’attendre, Monsieur il ne va pas tarder. Elle lui présente un fauteuil, asseyez vous, Monsieur.
Voila la porte d’entrée qui s’ouvre c’est SCHMIDT. Chéri va voir au salon tu as de la visite VAREL se présente et au fur et a mesure SCHMIDT devient anxieux. Ceci n’échappe pas à VAREL Monsieur Schmidt accompagnez moi dans votre cave s’il vous plait La cave est vide en dehors de souris et de toile d’araignée rien D’après les débris de pierre et de ciment, il y avait un mur, mais en dehors de ça ?
Mais ou cherchez ce cadavre, si cadavre il y a ?
Depuis quelques semaines ont passées. VAREL ne sais pas à quel saint se vouer. L’enquête n’avance pas et il devient irritable. FREDERIQUE a tout le mal à le calmer et elle lui administre de temps en temps un somnifère.
Le lendemain matin au réveil, VAREL se frotte les yeux. Il a divinement bien dormi cette nuit. Il a rêvé de SCHMIDT et de son écluse. VOILA c’est l’écluse qu’il cherchait. La nuit il est seul de garde et personne pour le surveiller. VAREL demande a l’éclusier de vider le bassin N0 1. Tous les bateaux vont être détournés, par une autre voie fluviale en attendant le bon vouloir du commissaire.
Une fois le bassin vidé dans la vase du fond on a retiré le cadavre d’un homme d’une trentaine d’années.
Ce cadavre est celui qui était en muré dans la cave du 5, avenue RASPAIL. Comme le nouveau locataire avait envisagé d’abattre son mur, il a jugé indispensable de le déplacer et la nuit au clair de lune, avec un poids autour du cou, immergé dans le bassin.
SCHMIDT avait fais la connaissance du mort dans une brasserie Apres une soirée bien arrosée, les deux antagonistes sont venus aux mains. En tombant le malheureux s’est cogné la tête sur le trottoir et en est mort sur le coups.
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SCHMIDT a été incarcéré en attendant son.veredict.
_________________
[
ma chere CHOUCHOUTE MILLE EXCUSES; voudrez tu avoir l'ammabilite d'intercaler mes deux dernieres episodes, une erreur s'etant glissé dans la presentation de ces ecrits.L Relisez chers amis et excusez moi egalement pour mon étourderie . bisou LINE Je ne puis le faire faute d'editer sur la page . encore merci
-------------------------------------------------------------------------------- _________________ !
Posté le: 02-05-2006 08:15 Sujet du message: carnet de li_ ne
ma petite Chouchoute , des que tu seras de retour de bourlinguer dans la mediteranée, essaye de rectifier le tir. J'ai fait une boulette avec les episodes. les deux derniers sont inversees,il faudrait les mettrent à leurs places. Moi je ne peux faute d'éditer. mille excuses ! gros bisou LINE _________________ !
Posté le: 03-05-2006 05:54 Sujet du message: carnet de line
LE VETERINAIRE !
Notre ami VAREL a une mission. FREDERIQUE l’envoie avec le chien chez le véto pour son vaccin annuel.VAREL n’aime pas ça, mais alors pas du tout .La longue attente dans la salle avec ses animaux malades et l’air insoutenable du chloroforme lui donne la nausée . Enfin quand faut y aller !
Pour le lendemain rendez-vous est pris. Il est 10 heures pile. VAREL sonne à la porte du cabinet. Un assistant en blouse blanche vient ouvrir la porte et aussitôt le chien se défait de sa laisse pour redescendre les escaliers jusqu’au sous sol. VAREL ouvre toutes les portes et se retrouve nez à nez avec un tas de cages occupées par des animaux exotiques. Un Koala, un serpent, un perroquet, un scorpion. La jeune secrétaire stagiaire gît parterre entre des cages vides, assassinées .VAREL ne peut que constater la mort part strangulation. Le chien de VAREL à coté du corps tient la garde comme pour un vieux copain. VAREL en déduit, que la fille n’est pas une étrangère pour lui.
Aussitôt le commissaire se fait annoncer chez le vétérinaire. Votre secrétaire n’est pas là, oui je sais répond le dernier. Après tout ce n’est qu’une stagiaire médiocre et pour la semaine prochaine j’ai un autre employé en vue. Ca c’est du direct se dit VAREL voyons voir.
VAREL sort sa carte de police, la fait voir au docteur, qui n’a aucune idée, de se qui se passe. La petite stagiaire ne viendra plus, elle repose dans votre sous sol sous des cages vides. assassinée. Veuillez m’accompagner s.v.pl.
Arrivés sur place, VAREL a vaguement l’impression que le corps fût déplacer d’un demi mètre, il n’en est pas sur. Grande fût la surprise du docteur en voyant la jeune fille morte dans
un de ses bureaux. Lui est parti hier soir avant la fermeture du cabinet et c’est lui-même qui a fait l’ouverture ce matin. C’est au médecin légiste de constater à quelle heure le crime a été commis. A tout hasard, mettons la ligne téléphonique sous surveillance. Sait on jamais.
Le vétérinaire, tout en contrôlant ses cages, laisse échapper un juron, mince mon boa. Quel boa dit VAREL. Le docteur fait voir une grande cage vide. Voici l’arme du crime dit VAREL, il nous reste à savoir qui a laissé la cage ouverte, pour qu’il puisse s’échapper ?
VAREL n’a qu’une idée en tête, son petit chien doit avoir retrouvé sa maîtresse. Il n’avait pas l’intention de le garder, mais maintenant ça change tout, pauvre petit chien abandonné .Ou bien il va l’offrir à son successeur le jeune FABIEN qu’il va former prochainement. Pourvu que FREDERIQUE soit d’accord. Son chat ne voudra jamais l’accepter et renoncer à ses droits d’aînée. Il faut constamment les surveiller, ils se disputent matin et soir .ils ne font pas bon ménage
L’enquête a été menée tambour battant par notre ami VAREL. Le jeune assistant qui a reçu VAREL et son chien, été amoureux fou de la jeune secrétaire, qui l’a violemment repoussé .Pour se venger il laissa la porte de la cage ouverte, laissant échapper, le boa. . Tous les soirs avant de rentrer chez elle la secrétaire avait mission de nourrir les animaux Le boa en liberté se mit par derrière autour de son coup et l’étrangla. Voici la triste histoire d’un amour fou.
LINE _________________ !
aimer c'est donner !
Dernière édition par Line le 03-05-2006 06:05; édité 2 fois
Pryska m'a conseillé de venir m'instruire sur ton sit au sujet d'ub certain Monsieur de La Fontaine; mais encoce d'autres.
Il m'a dit que ça valait le détour et qu'on y apprenait des choses qui ne nous ont jamais été dite à l'école.
Je vais donc devenir ton élève, à partir de cet après midi; car ce matin je suis pris.
JE VIENS TE SALUER, ma petite line............il est beau ce bouquet de muguet, que tu nous a mis............je vois que chabarle est passé te voir aussi.............
je vais m'absenter ce matin, j'espère te voir ce soir, et je te fais une bise,
dans 15 jours tu auras reçu ma carte des INDES...........tu me le diras,
bisou à toi.......... _________________ poete_musika..4 mains
Posté le: 03-05-2006 09:47 Sujet du message: papotons
merci Chabarlie et musika pour vos messages. je vous attends
CHABARLI E POS E MOI DES QUESTIONS? J ESSAYE D Y REPONDRE SANS GARANTE; jE N EN SAIS PAS PLUS QUE LES AUTRES;
Briska ma fille tu exagère . Moi aussi je bûche pour me documenter. Je" vous embrasse tous et toutes LINE _________________ !
Inscrit le: 09 Fév 2006 Messages: 1708 Localisation: Au bord de la mer
Posté le: 03-05-2006 11:05 Sujet du message:
Mais non, je n'exagère pas !
J'ai simplement conseillé à Chabarle de lire les fables de La Fontaine que tu nous a mises il y a quelques temps ! Comme nous tous, il va faire des découvertes, on ne le connaissait pas sous cet angle, le bon La Fontaine !
Gros bisou, Line, passe une bonne journée ! _________________
Posté le: 04-05-2006 06:37 Sujet du message: carnet de line
LE JEUNE FABIEN !
Le jeune Fabien est un garçon sorti directement de l’école des officiers de la police. Il va prendre la place du commissaire VAREL lorsque celui-ci ira en retraite et ceci au mois de juin de cette année. C’est un jeun homme gentil, courtois bien élevé par des parents adoptifs. Fabien est pupille de la nation, ses parents sont morts lorsqu’il était bébé dans un accident d’avion.
Le commissaire VAREL a eu l’honneur de choisir son successeur Il travaillera encore avec lui pendant quelques mois avant son départ pour lui permettre de bien s’installer et tirer les ficelles des différents cas, qui se présenteront. C’est de la routine me direz vous, mais ce qu’il faut dans ce cas là, c’est surtout du flair.
Fabien, malgré son jeune âge (25 ans) n’est pas né de la dernière pluie. Il est patient, perspicace, et fouineur. Tout ce dont un policier a besoin pour mener ses enquêtes. A l’école
Il fût un des meilleurs de sa classe et ceci lui permis d’être sélectionné par notre ami VAREL
Toi mon garçon lui dit il ce jour là, toi tu iras loin ! En rentrant chez lui, la première des choses qu’il dit à sa femme, aujourd’hui j’ai tiré le gros lot. Mon successeur je l’ai trouvé, je suis fier de moi. Ah flûte, j’ai oublié de lui demander s’il était bon tireur, mais ce n’est pas grave on verra ça plus tard, lorsqu’on lui remettra son pétard.
La première journée de bureau de FABIEN consiste a faire connaissance avec ses collègues .Une brève entrevue avec des dossiers restés en suspend et l’état des lieux. . Les pièces avec des rideaux de fer, sont destinées aux mauvais garçons méchants et rebelles la prison ainsi que les bureaux pour les policiers et le mess.
La première journée passa très vite. Vers les sept heures la sirène se mit à hurler dans le grand bâtiment. Un prisonnier vient de s’échapper du parloir. Une vingtaine de policier dans les grands escaliers lui courent après. FABIEN qui venait de sortir du bureau se trouve nez à nez avec le délinquant. Un temps trois mouvement une clé au bras et le fugitif va sur les genoux. Plaqué parterre ce dernier ne peut plus bouger, il a de la peine à réspirer.
Les policiers viennent le cueillir pour le ramener en cellule, mais cette fois ci avec les menottes .Ce fût la première journée de travail de notre jeune ami FABIEN. Nous lui souhaitons beaucoup de chance dans son futur travail avec ses collègues, avec lesquels le commissaire VAREL a passé la moitié de sa vie en joyeuse harmonie. A toi FABIEN de jouer maintenant. Pour le Ier juillet il faudra travailler seul sans VAREL, lequel aspire à une retraite bien méritée.
Posté le: 05-05-2006 05:37 Sujet du message: carnet de line
Première mission de Fabien
Aujourd’hui c’est un grand jour Première mission de FABIEN avec le commissaire VAREL, une razzia dans un beuglant de la capitale pour mettre la nouvelle recrue dans le bain.
La théorie c’est bien joli, tout ça à l’école on l’apprend dit VAREL, mais c’est tellement mieux d’apprendre sur le tas. Il y a souvent des petits trucs qui vous échappent, mais ici.
sur place, on raisonne différemment que dans les bureaux
Une descente de la police fût effectuée tard dans la soirée par une dizaine de policiers armés jusqu’aux dents. On recherche un homme de nationalité étrangère, connu dans le milieu de BEBERT qui doit être à l’origine d’un crime commis dans la nuit du 5 au 6 octobre de cette année. Le corps n’a pas été retrouvé depuis cette fameuse date.
D’après les interrogatoires des employés de cette boite de nuit, une altercation a éclaté entre BEBERT et un de ses gorilles. Bebert d’un coup de couteau, l’a laissé sur le carreau en emportant le cadavre dans sa Cadillac vers deux heures du matin. .
Quelques jours plus tard, à Strasbourg on est entrain d’ériger un nouveau pont traversant le RHIN pour gagner l’Allemagne.
Le frère de BEBERT travaille comme chef de chantier sur ce pont avec une cinquantaine d’ouvriers. Aujourd’hui il s’agit de faire couler du béton, beaucoup de béton pour les piliers. Ce sont des grands travaux en vue et qui dureront jusqu’à l’année prochaine. Sur la rive du Rhin des petites maisons préfabriquées sont élevées comme dortoirs pour les ouvriers. Toutes ces maisonnettes sont occupées, sauf une….. Le frère de BEBERT en détient la clé. Elle est également occupée, mais par un cadavre, personne n’est au courant. C’est le corps du gorille de la boite de nuit et qui doit être placé dans ce pont lors de l’écoulement de béton dans un de ces piliers
VAREL et son assistant traverse la promenade du RHIN direction nouveau pont du Rhin accompagnés du chien de VAREL. FABIEN, il t’aime bien mon chien et a toi aussi il te plait. Si tu veux je te l’offrirais avant mon départ . Pour l’instant il est encore a moi. Comme ça il aura le temps de s’habituer et pendant ce temps tu lui chercheras le nom que tu voudras. Comment s’appelle t’il dit Fabien. Nous on l’appelaient FILOU, car pour un filou c’en est un Eh bien alors dit Fabien, son nom qu’il le garde, ça me va très bien.
Les voila tous les trois arrivés sur le chantier. Ne va pas trop près de l’eau le courant du Rhin t’emporterait dit VAREL à son chien en lui enlevant la laisse. FILOU fait bouger sa queue sa truffe et le voila parti vers les baraquements VAREL le suit et arrivé devant la baraque vide le chien se met à renifler sans arrêt. Qu’as-tu trouvé un os enseveli sous la terre ? Le chien se met à gratter à la porte. VAREL essaye d’ouvrir elle, est fermée à clé.
Voila le chef de chantier. Vas plutôt dans la cantine, c’est l’heure du casse croûte, tu auras peut être un morceaux de sauciflard . VAREL se présente, puisque vous êtes là vous tombez bien .Voulez vous me dire quand vous avez vu pour la dernière fois votre frère BEBERT. Et où peut il bien le trouver actuellement. BEBERT est un grand garçon, il n’a pas de compte à me rendre. Pendant ce temps le chien s’est encore approché de la baraque et gratte sans arrêt
et laisse échapper des jappements.
VAREL s’adresse au chef de chantier, voulez vous m’ouvrir la porte de cette baraque s’il vous plait. Ah mais elle est vide, il n’y a rien dedans et pourquoi ? Parce que je vous le demande dit VAREL. Permettez que j’aille chercher la clé dans mon campement. FABIEN n’avait pas dit un mot jusqu’à présent mais là. Bon allons y, je vous accompagne. Le chef de chantier ne s’y attendait pas, car il avait l’intention de mettre les voiles. Le voila coincé maintenant.
En ouvrant la porte le premier à entrer c’est Filou. Il saute sur une espèce de grabat, tire sur un drap de lit et voila le cadavre que la police recherchait. Tout ça grâce à FILOU et sa couardise. VAREL n’en revient pas, qui aurait cherché autant de flair chez ce petit clebs.
Mais nous avons bien travaillé mon garçon ce matin. Ca s’arrose, allons au bar du coin prendre un pastis nous l’avons bien mérité. FABIEN dit mais ce petit chien devrait avoir droit à une médaille !
Posté le: 06-05-2006 05:33 Sujet du message: carnet de line
LE COMTE DULAC ! à la belle époque .
En début du siècle dernier, un monsieur se promène dans les allées de la place de la République à Strasbourg. Vêtu d’un frac noir, r d’un pantalon gris, de guêtres et d’un chapeau haute forme, il est nickel., dans la main une canne à pommeau doré .
S’inclinant de droite à gauche en soulevant son chapeau, il est à la recherche, d’une femme riche héritière d’un défunt mari. Le comte DULAC a toutes les bonnes manières, mais de l’argent il n’en a point. Il a dilapidé sa fortune sur les terrains de courses et dans les casinos, il a mené un train de vie d’enfer, digne d’un grand seigneur. Il est sérieusement dans le besoin actuellement. Monsieur vient de Blois, tout le monde le connait et il y a des mois il est venu avec son fidèle personnel s’installer a Strasbourg. Personne ici ne connaît son adresse, ses créanciers ne peuvent pas le relancer. Au départ on lui faisait confiance par exemple achats de tableaux de maîtres à crédit, emprunt accordé au comte DULAC. Tout ça c’est terminé ! On commence à le connaître, il n’y a plus que les jeunes femmes dupes à se laisser attraper par un énergumène pareil. Ca fait des mois que le personnel n’a pas touché de solde. En plus monsieur le comte est beau parleur, il a le chic de vous amadouer en crânant.
Voici un fiacre qui s’arrête. Le cocher descend ouvre la porte de la calèche, une jeune femme apparaît en crinoline et parapluie Elle est divinement belle, le vent caresse doucement ses abondants cheveux noirs.
La chance est avec notre comte aujourd’hui, car la jeune femme a perdu un gant. Une chance inouïe pour faire connaissance. Toutes ces belles paroles, la jeune femme est ravie et permet au comte de faire quelques pas avec elle dans l’allée principale de la place. Un odéon avec quelques musiciens jouant des airs de MOZART, Madame se trouve en parfaite compagnie, et accorde un prochain rendez-vous à monsieur le comte.,
Quelques semaines après. L’hôtel particulier qu’il avait soit disant acheté en arrivant à Strasbourg fût régularisé par la charmante veuve. Il s’est avéré que toutes les toiles exposées dans la grande salle de réception était des copies, donc valeur nulle. Les emprunts, les factures et dettes non payées réglées par la veuve. Voici, monsieur le comte DULAC, fût mis à la porte malgré toutes ses belles paroles Finis les mensonges de ce goujat sans scrupules.
Faut dire que la veuve l’aimait, sinon elle n’aurait pas fait tous ces sacrifices.
Que lui resta t’il à faire à ce cher comte. Retrouver une âme charitable qui prenne soins de lui.
Un beau matin, encore place de la république une jeune veuve tout en noir, se promène, suivi par notre ami le comte. Il ne sait pas trop comment faire pour l’accoster, il est entrain de réfléchir, lorsque la jeune dame devant lui, présente un malaise Il vient à son secours, la prend par le bras pour la mettre sur le prochain banc de l’allée. Madame sort ses sels et voila que deux minutes après tout va bien, pour le meilleur du monde. Cette fois ci, c’est le comte qui se fait piéger. La jeune veuve n’a que 21 ans et lui une cinquantaine. Il a beau se farder les favoris avec du cirage noir, la différence d’âge est énorme La jeune femme est une roturière, elle décide vivement de vivre au crochet du comte, sans briser les relations qu’elle tient avec un jeune militaire des dragons.
CRI-CRI c’est le nom de la femme, ne s’attendait pas à la jalousie de son fiancé. Mais un soir, ce dernier est venu gifler le comte avec les gants et le provoquer en duel.
Le lendemain à l’aube au pistolet les deux antagonistes se sont disputés la jeune soit disant veuve et le comte resta sur le pré.
Voila comment les rêves fous d’un aventurier partirent en fumée. LINE _________________ !
Posté le: 07-05-2006 06:03 Sujet du message: carnet de line
VAREL ET SON ADJOINT FABIEN !
Ca ne pouvait pas être mieux, ils se sont bien trouvés tous les deux, Comme un jeu de puzzle, ils se complètent, l’un par sa curiosité, sa jeunesse son dynamisme, l’autre par sa sagesse, son savoir faire et sa ténacité.
VAREL s’adressant à FABIEN, as-tu trouvé un dossier qui te captive pour aujourd’hui
Et lequel est pour toi le plus urgent ? Oui commissaire ! Arrête de m’appeler commissaire- Dis VAREL comme tout le monde ! Oui com…..VAREL
J’ai choisi le dossier le plus ancien. Vol de tableau de maître d’un grand peintre
Italien 1702 _ 1785 dans un musée parisien FABIEN est tout feu tout flamme pour ce cas. Lequel va être son premier chef d’œuvre. Ce dernier n’arrête pas de poser des questions et entre autre demande : auprès de quelle assurance cette toile fût elle assurée ? Et qui en était le bénéficiaire ? VAREL fait non de la tête, il n’y avait pas songé.
VAREL, si vous permettez dit FABIEN, j’emmènerais le dossier avec moi ce soir pour l’étudier. Il n’a qu’une seule chose en tête, se pencher sur les différents documents et tranquillement réfléchir à la marche à suivre. Il se voit déjà sur la première page d’un journal parisien avec le tableau retrouvé. N’anticipons pas, chaque chose en son temps.
FABIEN, après maintes réflexions regarde sa montre bracelet. 21 heures. Avec un peu de chance, je pourrai encore partir ce soir pour PARIS. Non je rêve !
Le dossier a été clos il y a des mois et si je ne suis pas au bureau demain matin VAREL va s’inquiéter. Attendons demain, à tête reposée.
Le lendemain, VAREL n’a pas eu le temps de suspendre son veston que FABIEN lui parle du voyage à PARIS ; Crois tu sincèrement que c’est utile de se déplacer après tous ces mois d’enquêtes. Si oui je t’accompagne et nous irons tous les deux voir la capitale .en célibataire. FREDERIQUE se fera un plaisir de garder filou, je l’espère tout du moins !
LINE
LA SUITE VOYAGE A PARIS dans un autre numéro. _________________ !
Inscrit le: 09 Fév 2006 Messages: 1708 Localisation: Au bord de la mer
Posté le: 07-05-2006 08:35 Sujet du message:
Bon... ben, en attendant la suite, passe un bon dimanche, Liline ! On te souhaite un beau soleil pour que tu puisses te promener un peu !
Bisous ! _________________
Posté le: 08-05-2006 06:19 Sujet du message: carnet de line
VAREL ET FABIEN A PARIS ;
URL=http://imageshack.us][/URL]
D’un commun accord, nos deux policiers vont passer trois jours dans la capitale. Le dossier de la toile de maître volée, n’est toujours pas liquidé. Ceci est un cas très difficile, tout le monde ne peut pas différencier les vrais tableaux des faux. VAREL peut dire, il est beau ce tableau, il me plait, mais pour son authenticité, il compte dans pareil cas avec la chance qui ne l’a jusqu’à présent, jamais abandonnée.
Les voilà arrivés à la gare de l’Est. Le métro les conduit au bord de la seine sur les quais chez les bouquinistes et les vendeurs de tableaux. Vous trouvez de tout ici, le fusain, l’aquarelle, la peinture à l’huile, le crayon et j’en passe. FABIEN n’arrête pas de fouiller, il adore la peinture, il est aux anges.
VAREL ne sait pas par où commencer lorsque brusquement des voix assez fortes lui cassent les oreilles. Derrière des tableaux exposés sur chevalets deux hommes sont entrain de se battrent à coups de poings. Le client prétend avoir apporté une toile de maître pour la vente et voila qu’on lui retourne une copie L’exposant se fait traiter de tous les noms : crapule, malhonnête, salaud, voleur, Il est sur le point d’expliquer que le prix est trop élevé et qu’il n’arrivera jamais a le vendre lorsque notre cher VAREL intervient. Que se passe t’il demande le commissaire en présentant sa carte. En voyant la police, le client comme un fou court, traverse le pont de la seine, pour se perdre dans la cohue des promeneurs. Il saute dans le premier autobus et le voila parti.
FABIEN propose de confisquer cette toile afin de la faire expertiser par des connaisseurs VAREL pense qu’il n’y a que ça à faire pour l’instant. Malheureusement l’exposant ne peut fournir aucun renseignement, par exemple nom et adresse du client. L’exposant n’est pas en règle VAREL lui demande ses livres de comptabilité Bon on verra ça plus tard, pour l’instant nous allons emporter ce tableau. Si le propriétaire veut le chercher, voici notre adresse, mais ceci m’étonnerait fort, quand on a vu à quelle vitesse il nous a quitté.
Un coup de téléphone pour le directeur du musée des Beaux Arts. VAREL a réussi à avoir un rendez-vous dans l’immédiat. Un taxi va conduire nos deux policiers sur place, où ils sont déjà attendus par deux experts. Ils sont formels, ce tableau est authentique. Il a été volé il y a des années dans une exposition à COLOGNE d’après le catalogue des peintures. Voila notre déplacement a quand même servi à quelque chose, dit FABIEN. Oui mon garçon, si on pouvait mettre la main sur le vendeur, ce serait une bonne chose de faite. Attendons ! Allons faire une petite promenade sur la seine en bateau mouche, pour profiter de la fin de cette belle journée de printemps. Demain nous visiterons PARIS : TOUR EIFFEL CHAMPS ELYSEE MONTMARTRE TROCADERO ARC DE TRIOMPHE ;
Avant de repartir, nous ferons encore une petite visite sur les quais de la seine, peut être avec un peu de chance, il y aura du nouveau ?
Posté le: 09-05-2006 05:24 Sujet du message: carnet de line
LA SUITE DU VOYAGE A PARIS
Quelques semaines après le voyage à PARIS, VAREL reçoit une lettre recommandée d’un personnage anonyme, lui indiquant l’adresse exacte du vendeur de tableau. Voici copie de la lettre :
Cher Monsieur !
Je me permets de vous indiquer l’adresse exacte de l’homme que vous recherchez.
Sylvain KOPS – 18, rue de la lanterne _ PARIS 10eme J’ai eu votre adresse par l’intermédiaire d’un peintre exposant sur les quais de la seine. Kops lui doit pas mal de sous voila la raison pourquoi il le donne (satisfaction personnelle) à la police.
Veuillez s.v.pl. Cher commissaire ne pas me citer je ne voudrais dans aucun cas, avoir à faire dans cette histoire. Le vendeur ici à Paris m’en a parlé. Je le connais ce type, il fréquente la même salle de musculation que moi, mais nous n’avons aucune relation. Veuillez agréer, ……
FABIEN tout ébahi s’écrie : rien de plus simple pour l’arrêter, puisque nous avons toutes les données. Arrête, arrête tes fadaises mon cher, pas si vite, faisons le suivre pour commencer. La police parisienne se fera un plaisir de s’en charger et après ma foi on verra. De toute façon le tableau est en sécurité dans nos coffres forts. Téléphonons à COLOGNE, qu’on nous envoie des spécialistes pour l’expertise de cette œuvre. Si c’est bien elle on la restitue et pour nous l’affaire sera classée. Le fameux dossier pourra être rangé dans les sous-sols avec tant d’autres. Affaire liquidée. L’arrestation du fugitif sera effectuée par la police parisienne.
Plusieurs mois après, il s’est avéré que le voleur de la toile est décédé entre -temps.Cet homme était colocataire chez son copain, lequel voulait vendre ce tableau en contrepartie, pour le loyer et les frais occasionnés. Ce dernier savait pertinemment que cette pièce était volée, donc illico le signaler à la police, ce qui ne fût pas le cas. Voici pour notre ami VAREL l'histoire est terminée . affaire classee. Par'is s'occupera du reste.
Posté le: 10-05-2006 04:46 Sujet du message: carnet de line
FILOU !
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Notre Filou a encore fait des siennes pendant que VAREL et FABIEN se sont promenés à PARIS. Notre bonne FREDERIQUE a eu la gentillesse de s’occuper du chat et de FILOU pendant l’absence de FABIEN et pendant une belle journée de promenade dans le parc tout a commencé.
FILOU est tombé amoureux d’une belle petite caniche noire avec de grands yeux en forme de perles. A eux deux ils ont profité de l’inattention de leur maître pour aller conter fleurette derrière un buisson .Quelle surprise en les voyant revenir de leur escapade, mais le mal était fait. si mal il y a.
Le soir même de la rentrée de PARIS, VAREL va apprendre la bonne nouvelle. Chéri, j’ai une surprise pour toi, devine un peu, ce que nous aurons prochainement. Un petit chien
Comment un chien, je me suis séparé de filou le cœur gros, à cause du chat et toi tu reviens avec un autre, non mais ça ne va plus ? Bon sang, tu as le chic de me mettre dans tous mes états. La propriétaire de la femelle a dit que tu as droit à un petit chiot de la nichée, si tout allait bien. C’est une prime pour l’accouplement. Un chiot de race ça va chercher dans les mille euros. Il est temps que ta retraite arrive car tu commences à te faire vieux et grognon.
Le chat a entendu que l’on parlait de FILOU et d’un saut vient se réfugier sur les genoux de VAREL Il réclame des câlins à n’en pas finir et il est jaloux par-dessus le marché .Quelle bestiole. Toi la vieille mémére dit VAREL au chat, tu ne pouvais pas te tenir à carreaux avec FILOU au lieu de lui cracher dessus. S’il est parti chez FABIEN c’est bien à cause de toi, vieille crapule. Enfin.
S’adressant à FREDERIQUE, toi ma beauté, sache que d’un nouveau chien dans la maison, il n’en est pas question. Si vraiment un chien arrive, moi je dormirais sur les grabats de la police, tiens toi le pour dit.
Apres plusieurs semaines. L’accouchement s’est bien passé et FREDERIQUE est allée chercher son dû. Un adorable petit chiot noir à collier et pattes blanches le premier des quatre de la nichée FREDERIQUE a pu choisir et c’était tout de suite le coup de foudre .Rentrons maintenant, et courage pour affronter le père VAREL se dit elle.
Tout se passa très bien. Une fois que VAREL avait vu ce petit chiot, ce grand soit disant glaçon a fondu comme du beurre au soleil. Le jour d’après, c’est lui qui le nourrissait avec un petit biberon de lait toutes les trois heures, nuit et jours.
Maintenant vous trouverez notre commissaire parterre au milieu du salon sur le tapis avec une pelote de laine rouge entrain de jouer avec chien et chat Surtout ne les dérangez pas.
PAROLE D HOMME JE NE VEUX PLUS DE CHIEN LINE _________________ !
Posté le: 10-05-2006 05:27 Sujet du message: papotons
merci chere Priska, oui tu as raison. En allemand on dit( MORGEN STUND HAT GOLD IM MUND, ce qui veut( dire l'HEURE DU MATIN A DE L OR DANS LA BOUCHE ! ceci est bien vrai . C'est comme ne remets jamais a plus tard ce que tu peux faire le jour même. Je t'embrasse ma grande et bonne journee" LINE _________________ !
Posté le: 11-05-2006 07:05 Sujet du message: carnet de line
VAREL CHEZ LES DOUANIERS !
Notre ami le commissaire VAREL a eu une missive lui signalant qu’à la frontière Suisse, il peut trouver pas mal d’indices pour un de ses dossiers en souffrance De Strasbourg à Bâle , 150 kilomètres, compteur, en compagnie de son adjoint , ils font la route, par une belle journée ensoleillée. Ceci ressemble plutôt à un pique - nique. Sur les sièges arrières de la voiture vous trouverez du salami du pâté du camembert et deux grandes baguettes de pain. deux litres de rouge et une thermos de café
Vers midi VAREL ressent un petit creux et sur une aire de l’autoroute, nos deux personnages déjeunent de bon appétit. Encore une vingtaine de kilomètres et se sera la Suisse Voila les premiers douaniers du territoire helvétique avec leurs uniformes gris souris et leurs fusils sur l’épaule. Ils circulent tous en vélo, c’est sympa. Comme au bon vieux temps.
Depuis des semaines on recherche des contrebandiers, qui essayent de passer des diamants en fraudes. Hélas sans résultat, malgré l’engagement de toute une section de recherches, sur le territoire français .C’est VAREL qui était à la tête de ce travail de fourmi. I l n’aime pas rentrer bredouille et pourtant.
Chaque douanier vous dira que les gens qui passent régulièrement les frontières, sont toujours les mêmes en particulier les frontaliers. Des gens qui habitent la France et travaillent en Suisse et vice versa.
Les voitures sont arrêtées ainsi que les piétons. Contrôle de papiers d’identité – avez-vous quelque chose à déclarer demande le douanier. Non monsieur. ! Ouvrez votre valise ceci qu’est ce que c’est ? Du linge de corps. Et ça ? En montrant une bouteille. C’est du rouge. Il me semble qu’on a droit à deux bouteilles par personne dit le passant. Oui c’est vrai répond le douanier. C’est bien circulez.
VAREL et FABIEN dans leur voiture surveille de loin ce va et vient. Si tu étais fraudeur FABIEN, comment t’y prendrais tu pour faire passer des diamants à la frontière. , à la barbe du douanier Ah j’ai ma petite idée répondit FABIEN. On vient de voir une personne transportant du vin, dont deux bouteilles sont tolérées. Admettons que les diamants se trouvent dans le fond de la bouteille ? FABIEN, tu tiens le bon bout.
Allons visiter tous les diamantaires de la région avant de mettre nos collègues suisses au courant de cette tactique. Chaque transport de vin doit être scrupuleusement contrôlé. C’est ainsi que ce marché clandestin des diamants a pu être découvert, grâce a VAREL et FABIEN.
Encore un dossier de liquidé ! Ouf
LINE _________________ !
aimer c'est donner !
Dernière édition par Line le 11-05-2006 07:14; édité 2 fois
Posté le: 12-05-2006 06:58 Sujet du message: carnet de line
La chasse. !
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En Dordogne, pas loin de la Vézere, un petit manoir au milieu d’un parc joliment fleuri Cette bâtisse est habité par monsieur le baron de la VRILLE sa dame , ses enfants , par FIRMIN le valet, Victorine la gouvernante , Lucette la servante et le personnel d’écurie. Charles et Alphonse., deux garçons d’une vingtaine d’années
La vie est paisible dans ce petit château loin du bruit et du vacarme de la ville. Le baron a invité pour le week-end plusieurs amis de la famille pour une chasse à courre. C’est la saison et de grands et beaux spécimens doivent être abattus pour régulariser le cheptel de cette petite forêt. Les trophées seront exposés sur le grand pré devant le manoir, le temps que le photographe prenne des clichés. Le baron est bien fier et se voit déjà sur son cheval en tenu de circonstance et chapeau à panache.
Le vendredi au soir, les premiers invités arrivent. Le même soir une petite sauterie est organisée, avec lunch debout sur la grande terrasse. Un orchestre de chambre du nom de
« cosi fan tute « est engagé pour divertir les invités. Une soirée bien arrosée qui se passe à merveille. Le lendemain le grand jour…..
A la levée du jour branle -bas dans le château. Presque tout le monde est en selle et voici les rabatteurs avec leurs chiens respectivement dressés pour la chasse. Un temps magnifique avec un soleil radieux, qui enverra pour la dernière fois ses beaux rayons sur ces pauvres bêtes traquées. Quelle cruauté !
Tous en selles, les voila partis sur les chemins étroits de la petite forêt. Monsieur le baron arrête son cheval. Il lui semble avoir vu un cerf derrière un taillis. Il épaule, fait feu !
Oh bonté divine, voici un rabatteur qui s’écroule, mortellement touché dans la région du cœur. Le baron met les pieds à terre, se retourne pour voir s’il est seul à cet endroit Heureusement, les chasseurs sont déjà bien loin engouffrés dans la forêt, il n’a que son fidèle serviteur CHARLES, qui est resté avec lui. A deux on camouffle le corps du malheureux dans le sous bois pour venir l’enterrer en douce la nuit venue.
CHARLES, est mal à son aise, il n’a pas la conscience tranquille. CHARLES est très croyant. Ne manquant jamais un dimanche aux vêpres, il juge utile d’aller à la confesse et de dire au curé ce qui vient d’arriver. Avec la meilleure volonté du monde, il ne peut aller à la police, signaler ce cas. Ah non, monsieur est si bon, jamais.
Pour monsieur le curé ce n’est pas facile non plus. La foi du serment !
Quelques jours après, c’est le chien du rabatteur qui l’a retrouvé en creusant la terre désespérément Le chien a été trouvé par un promeneur a coté de son maître dans un vaste trou.
Notre ami le commissaire VAREL et son adjoint FABIEN feront le reste. LINE
Posté le: 13-05-2006 05:45 Sujet du message: carnet de line
VOL DE BEBE DANS UNE MATERNITE !
Il est presque minuit. Dans une maternité deux papas se font la conversation dans une salle d’attente d’une clinique strasbourgeoise. Un garçon et une fille doivent encore naîtrent cette nuit d’après les dires des sages femmes et des obstétriciens. Si mon fils arrive cette nuit dit l’un des pères, il aura trois semaines d’avance, je suis complètement déboussolé, Pour moi dit l’autre se sera au jour prés, je n’en peux plus d’attendre ma petite princesse.
Une infirmière dans le long couloir les croise. Messieurs, vous ne devriez pas être auprès de vos dames en salle d’accouchement pour les encourager ? Voyons un peu de nerfs, ça se passera très bien, d’ailleurs chez votre dame monsieur FABRE, le travail a déjà bien commencé. Si tout va bien, vous pourrez serrer votre fils dans vos bras d’ici une heure. Oui mais en attendant il faut que je sorte griller une cigarette, je n’en peux plus, il y a longtemps que je n’ai plus été aussi nerveux qu’aujourd’hui. C’est toujours comme ça pour le premier enfant, après en s’y habitue dit la sage-femme en arrivant. Monsieur FABRE, votre dame vous réclame .Oh non, je ne pourrais jamais assister à l’accouchement, répond t‘il j’en ai pour 10minutes et je reviens.
Un des futurs papas a déserté, que va faire le deuxième ? Il va mettre une blouse des chaussons et un masque et courir au chevet de sa femme, qui au même moment est entrain d’accoucher. Un grand cri et le bébé est expulsé. Le père tourne de l’œil et sera réanimé par quelques stagiaires du service. Quelle journée !
Ayant terminé de fumer sa cigarette, le deuxième papa, revient en salle d’attente, qui est vide. L’attente est longue pour un futur père. Pas moyen de se calmer, ni en lisant, ni en faisant des mots croisés, lui qui d’habitude adore ça. La porte s’ouvre laissant rentrer une dame en peignoir rose bonbon. Elle est très pâle, menue et frêle, elle doit avoir accouché
déjà. Se met à trembler comme une feuille morte tout en laissant couler ses larmes sur son visage. Un regard hagard fixé dans le vide, elle a l’air absente. Sur les genoux elle tient une corbeille recouverte d’un drap blanc. Monsieur essaye d’engager une conversation, aucune réponse ne lui est accordée. La femme est comme absente. Une infirmière vient la chercher, pour la mettre dans son lit, lorsque des voix résonnent sur le couloir. Que signifie ce bruit au beau milieu de la nuit.
Les filles de la pouponnière sont glacées de peur. On vient de découvrir un petit berceau vide. Le nouveau-né a disparu entre deux tétées, on ne sait plus ou donner de la tête .Il faut le retrouver, ce petit trésor et au plus vite. Cet acte criminel est dû à un dérangé, un désaxé, allez savoir.
Toutes les recherches sont vaines, le bébé est introuvable. Malgré la bonne volonté et la bonne marche de cette clinique, il faut mettre la police sur cette affaire Le directeur est comme fou en pensant aux répercussions pour la renommée nom de son établissement.
VAREL et FABIEN font le tour du parc, cherchent derrière chaque bosquet, chaque arbre, le moindre indice. Aucun résultat !
FILOU les a accompagné et s’aventure jusqu’au petit lac derrière la clinique. Le voila qui saute de joie. C’est lui le chien fidèle qui a trouvé une première piste de cette énigme n petit linge blanc accroché à des roseaux. Il file à toute allure vers l’étang. De loin on voit une petite embarcation flottant sur l’eau à la dérive. FILOU saute dans l’eau et nage de toutes ses forces vers le bateau et se met à aboyer sans arrêt. VAREL est intrigué par tous ces signes que le chien peut manifester et avec la collaboration du concierge de l’hôpital récupère le bateau. Grande fût la stupéfaction des trois hommes en voyant sur le bateau à la dérive un petit panier, dans lequel se trouvait le bébé volé, de la pouponnière.
La pauvre dame de la salle d’attente de l’autre nuit a accouché d’un bébé mort. C’est elle qui avait substitué le bébé, qu’elle avait prise dans sa pauvre tête pour le sien. Elle a pris le panier pour un moïse en faisant sa promenade autour du lac. C’est ainsi qu’elle cacha ce nouveau-né. FILOU et VAREL ont quand même un bon flair tous les deux. Et grâce au chien tout revient dans l’ordre pour la meilleure des choses.
bonjour ma petite line.........je viens te voir dans rubrique !!! merci pour le bonsoir hier, j etais absente, j avais laissé mon ordinateur branché.....je l ai vu.............. _________________ poete_musika..4 mains
Posté le: 14-05-2006 11:32 Sujet du message: carnet de line
PROFESSEUR !
URL=http://imageshack.us][/URL]
Il y a cinquante ans, être professeur, c’était quelque chose. C’est avec plaisir que les professeurs éduquaient et instruisaient les enfants pendant les cours Les enfants respectaient le corps enseignant, comme le curé et les personnes âgées. Mais de nos jours, tout a changé, malheureusement. Les professeurs a eux tous seuls, ne peuvent pas arriver à bout de leur peine, sans l’intervention des parents. Il y a également des professeurs, comme dans tous les domaines, qui ne sont pas très réguliers, comme celui-là par exemple.
LE PROFESSEUR
Maître CHEVALIER de la sixième d’un lycée rêve depuis des mois de quitter l’enseignement pour devenir cinéaste mais voila … Notre cher CHEVALIER n’a aucune idée pour le scénario de son film.
Un beau matin il lui vient à l’idée de demander à ses élèves une rédaction. Attention, suivez moi bien ; Vous allez prendre votre dictionnaire, vous l’ouvrez à la page que vous voudrez et vous choisissez un mot, n’importe lequel. Ceci vous le faites 10 fois et avec ces 10 mots vous écrivez votre histoire. Voila une feuille de papier et une enveloppe. Sur le papier, vous marquez exclusivement le texte, sur l’enveloppe votre nom. Au travail !
Dans l’enseignement, comme dans toutes les corporations, il y a des gens sans scrupules. Ce professeur a l’intention de s’approprier une idée d’un de ses élèves et de l’exploiter, ce qui n’est pas très régulier. C’est plutôt du vol.
Deux heures après, les textes sont rassemblés, passent dans la serviette du maître, qui les emportera ce soir chez lui pour la correction. Toutes les feuilles ont été lues sauf la dernière qui attire l’attention du professeur. Il y a quelques fautes (des tournures de phrases) mais cette idée est à exploiter. Un thriller tout a fait inhabituel. Une histoire qui se passe sur mars Histoire d’amour entre deux astronautes américains et qui décident de vivre ensemble sur mars, pour se dérober de leurs obligations sur terre. Voyons voir, la fin est jolie, brodons autour.
C’est comme ce-ci que ce film a été tourné et joué dans différentes salles de cinéma de notre ville, pendant des semaines sous le nom de CHEVALIER ;
Le professeur a quitté l’enseignement. Il est parti aux Etats-Unis vivre sa vie sans remords.
L’écolier n’a jamais su pour son scénario, il n’aime pas le cinéma, il est plutôt sport.
Mais un jour viendra…….. Qui sème le vent récolte la tempête ! LINE _________________ !
me revoici à Rouen ! panne d'ordinateur à ma campagne, j'y repars mercredi avec le necessaire pour permettre au dépanneur de me remettre tout cela en marche.
Tu as toujours de belles histoires avec de jolies illustrations, j'ai du retard à rattraper.
Je te fais un gros bisou et aussi à Marie qui passe par là. _________________
" Le bonheur ne court pas le monde; il faut vivre où l'on est heureux "
Posté le: 15-05-2006 05:51 Sujet du message: carnet de line
Le futur mari !
Dans le midi de la France vivait un veuf avec sa fille ROBERTE. pas belle pour un sou mais très intelligente. Son père adorait sa fille unique, pour ça il l’appelait son « STRADIVARIUS
Une rareté de nos jours.
Un jour ROBERTE se regardant dans un miroir, se mit subitement à pleurer. Comme je suis vilaine mon père, au grand jamais je ne trouverai de mari entre les jeunes de mon entourage. Jamais je ne me marierai avec une belle robe en crinoline et un voile blanc comme mes amies Oh mon père aidez moi.
Voila ma fille ce que nous allons faire. Racontes à tous que moi ton père j’offre un STRADIVARIUS à mon gendre comme cadeau de noces. Tu verras combien de prétendants se disputeront ta main et samedi soir au bal, les cavaliers seront à tes pieds.
LE CARNET de bal était bien chargé ce soir là. ROBERTE toute joyeuse valsait dans les bras de tous ces jeunes hommes prêts à se marier pour un STRADIVARIUS. Les prétendants au choix, ROBERTE avait la tête qui lui tournait.
Apres quelques semaines la jeune fille se décida pour un étudiant, futur chercheur, issu d’une très bonne famille aisée de la ville. Un mariage grandiose fût célébré. Après les festivités, les cadeaux furent déballés, tout était la, sauf le fameux « STRADIVARIUS « que le beau père voulait doter.
LE père prit son enfant dans ses bras. Mais le voila mon STRADIVARIUS ; Mon gendre, ceci est ce que j’ai de plus cher au monde, je te l’offre, que veux tu de plus.
C’est ROBERTE qui sortait gagnante de cette affaire. Elle héritait du nom de DUC et la moitié de sa fortune .Le beau-père avait bien fait ses calculs.
HISTOIRE VRAIE !
En Espagne on a saisi lors d’un filet anti-proxénète, un STRADIVARIUS de 1715, valeur incalculable, Sonorité réputée incomparable, construit par le célèbre luthier Antonio STRADIVARIUS ; Il n’existe plus que 500 exemplaires dans le monde, des 1100 fabriqués. Il parait que cet instrument fût détenu par un réfugié Roumain. Ceci se passa, il y a quelques jours. _________________ !
aimer c'est donner !
Dernière édition par Line le 15-05-2006 06:02; édité 2 fois
Inscrit le: 09 Fév 2006 Messages: 1708 Localisation: Au bord de la mer
Posté le: 15-05-2006 20:01 Sujet du message:
Tu vois, ce que j'aime dans tes histoires, Line, c'est qu'elles se passent dans tout un tas de milieux différents. Tout les jours on change de monde et on découvre des gens et des façons de vivre qu'on n'imaginait même pas !
Posté le: 16-05-2006 05:34 Sujet du message: carnet de line
LE VILLAGE ABANDONNE !
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Autrefois dans le Jura, la haut dans les montagnes, de jolis petits villages, étaient habités par des fermiers. A défaut de voiture, on y accédait avec des chars à banc tirés par des ânes ou des chevaux Il faisait bon vivre tout près du ciel, en respirant ce bon air de montagne entre les blés, le bleuet, la marguerite et le coquelicot.
Sur la placette, la vieille fontaine desséchée, n’est plus fleurie depuis que les derniers habitants ont déserté le village. Les derniers pans de murs squelettiques dont les toits furent emportés par des bourrasques, ressemblent à une légende passée.
Les jeunes gens on quitté la maison manque de travail. Les personnes âgées sont restées pour mourir dans ces lieux, qui leur rappellent tant de souvenirs. Le dernier fermier est décédé, il y a trois mois et sa compagne de vingt ans plus jeune que lui, vie à ST CLAUDE dans une maison de retraite.
A une vingtaine de kilomètres en contrebas, un petit bourg. Il y a quelques mois, un samedi soir, dans l’unique café de la région, une dispute a éclaté entre deux ressortissants roumains L’un d’eux tira son couteau et l’enfonça dans le ventre de son rival. Les autorités ont été averties et à leur arrivée, il ne restait plus que le blessé sur place Tout le monde avait fuit devant la police.
VAREL a eu écho. Le petit village abandonné est là où se trouve sa maison natale, si elle existe toujours. Il veut bien aller dans cet endroit, qui lui rappelle pleins de souvenir pour mener une enquête .Il y a même un autre cas entre tous ces dossiers à liquider qui s’est passé il y a des années, lorsque le village était encore viable. Un jeune pâtre, travaillait chez un fermier, sans être déclaré. Il avait le gîte, la nourriture, le blanchissage en contrepartie de son travail. Du jour au lendemain, ce jeune garçon à disparu, c’est ce qu’a déclaré le fermier.
En vérité le pâtre a voulu traire une vache, d’un coup de sabot, elle l’a étalé parterre et il en est mort. Le paysan, la nuit, chargea le corps du malheureux sur une brouette et l’emmena au vieux cimetière du village abandonné. Personne ne viendra le chercher ici et entre ces vieilles pierres, ces restes de tombeaux, le pâtre fut enterré.
Par une belle journée ensoleillée, notre commissaire circule entre les tombes délaissées .Il lit tous les noms des personnes qui reposent ici et il se souvient bien notre VAREL de telle et telle personne qu’il connaissait autrefois. Voici une tombe, la pierre est presque intacte et pourtant il y a quelque chose qui intrigue le policier. Voila, soit la pierre n’est pas d’origine ou elle a été déplacé par la suite. La preuve, il manque un morceau de pierre sur le coin.
VAREL fait venir le croque-mort, demande la permission d’ouvrir la tombe et voila. On retrouve deux squelettes dans le cercueil. Celui du premier décédé et celui du pâtre.
Le ressortissant roumain fut également déniché par notre ami. Va-t-il écoper de toutes ces années de prison en France, ou va-t-on le renvoyer dans son pays. C’est au tribunal de prendre une décision.
Posté le: 17-05-2006 05:04 Sujet du message: carnet de line
UN HOMME SANS SCRUPULES !
Il faisait un temps de chien ce soir là. Des trompes d’eau tombées du ciel sur une autoroute à demie verglacée. Les voitures roulaient au pas, visibilité aucune, dans ce brouillard. épais .Des colonnes de voitures interminables circulaient entre Sélestat et Mulhouse. On avançait au pas lorsqu’une voiture est sortie de la file, traversant le trait continu, dépassant quelques voitures. Un grand coup de frein et la voiture s’immobilisa sur le bas côté. Le chauffeur descendit de voiture, oh bonté divine. Par terre dans l’obscurité il remarqua un corps de femme avec une bicyclette qui gisait à ses pieds.
Le protagoniste est en mauvaise posture. Quelle lâcheté après cette terrible catastrophe, ce drame, il remonte dans sa voiture en abandonnant ce corps au milieu de la chaussée.
Quelques kilomètres plus loin, rongé par sa mauvaise conscience, il s’arrête devant une guinguette (cabaret de banlieue) pour téléphoner à la police Entre temps le corps a été retrouvé et signalé. La pauvre malheureuse est entre la vie et la mort au Hasenrein à Mulhouse. Les médecins ne peuvent pas se prononcer, mais ils feront tout ce qui est en leur pouvoir pour sauver cette pauvre créature
VAREL et FILOU descendent de voiture, pendant que FABIEN gare sa voiture sur le parking, juste à côté de la voiture accidentée. En dehors du phare, qui a perdu son verre et quelques égratignures, il n’y a rien à signaler. Ah si ! FABIEN revient sur ses pas. Coincé entre la carrosserie et le pare choc un petit sac à main
VAREL fait le tour du cabaret, se renseigne qui a bien pu lui téléphoner et décide d’interroger un homme devant le bar. Cet homme n’est au courant de rien Notre ami VAREL le croit sur parole.
.
Au moment où notre chauffeur indélicat sort de la porte, il est rattrapé par VAREL. Pas si vite, j’ai quelques questions à vous poser. Etes vous en voiture et où se trouve t’elle garée FABIEN intervient, a mon avis à côté de la nôtre, regardez ce que j’ai trouvé. Une petite sacoche avec la carte d’identité de la femme accidentée, est restée collé contre le pare choc de votre voiture.
Nier ne servirait plus à grand’chose. Vous êtes un criminel dit VAREL. Vous abandonnez une blessée sur la chaussée sans chercher de l’aide .Ne serait ce pas vous qui l’avez renversé. ?
La prison attend ce chauffard, ce fou du volant. Le verdict le plus dur est encore trop peu pour ce genre de crime.
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