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Posté le: 18-05-2006 06:06 Sujet du message: carnet de line
LA RECHERCHE D UNE PERSONNE DISPARUE !
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Notre bon VAREL qui a l’air plutôt rustre, n’est pas si méchant que ça. Il a une voix qui porte, des traits assez durs, mais c’est un gars qui a la main sur le cœur. Il est très considéré, voir aimé par les personnes âgées du quartier. même invité lors du bal costumé du troisième âges.
C’est un dimanche une journée de pluie sans arrêt depuis ce matin. FREDERIQUE et VAREL viennent de passer à table. On sonne , qui ça peut bien être dit VAREL, pourvu qu’on ne viennent pas me chercher à cette heure ci, j’ai faim.
Une voisine est devant la porte Tout en pleurant raconte que depuis une dizaine de jour, sa sœur a disparue, et prie VAREL de la retrouver. Monsieur VAREL vous la connaissez ma sœur, c’est une gentille fille, un peu simplette mais mignone. Vous vous souvenez monsieur VAREL, pour le bal costumé elle était encore avec nous et depuis plus de nouvelles. Dites moi, qu’est ce qui a bien pu lui arriver, à cette fille, j’ai peur. Vous savez madame Henriette , ceci n’est pas de mon ressort , mais je vais vous envoyer le responsable de la section des recherches de personnes disparuees. Rentrez chez vous, ne pleurez plus,nous allons la retrouver votre sœur, je vous le promets.
VAREL tout en caressant son chat , pense à la dame disparue. Si sa mémoire est exacte, elle a un visage d’ange, comme une fleur épanouie . Elle doit avoir une quarantaine d’année , pas plus elle est célibataire , et invalide. Elle a une chambre chez la voisine, mais de temps à autre elle découche, Sa sœur n’a jamais su ou elle restait,
FABIENE, le nom de la sœur disparue , a rencontré un jour un type pas très catholique . Par tous les moyens il exploite cette fille et file avec elle le tendre amour. FABIENE est aux anges, mais ne comprend pas les manigances de ce malotrut
La pauvre femme vit dans un autre monde, ne se rend pas compte qu’elle est exploitée quotidiennement par cet être infâme Elle doit passer son temps entre faire le ménage, la cuisine, la lessive, couper du bois menu et à être là, pour ses satisfactions personnelles, nuits et jours Dans sa pauvre tête, elle imaginait que ceci était de l’amour qu’il lui portait, mais ce vil personnage n’a de l’amour que pour sa propre personne.
Elle vit dans une pièce sans fenêtre, meublée d’un vieux vertigo vermoulu, d’une table bancale, récupéré dans une décharge publique Dans un coin un vieux matelas posé à ras le sol, lui sert de lit .
Pendant des semaines et des semaines la police est à la recherche de cette femme. Tous les signalements ont été donnés dans le département et même sur le plan national, en vain. VAREL s’est juré de la retrouver, il s’est même porté garant chez sa voisine, et au moindre indice, il est sur le qui vive. Lui VAREL qui mangeait toujours de bon appétit, bizarre, il n’a plus faim. Il trouve même que le temps passé à table est du temps perdu et préfère son bureau pour se pencher sur ses dossiers en suspens.
Tous les premiers du mois la séquestrée a droit à une sortie avec son geôlier, pour aller à la banque retirer ses rentes d’invalidités Au guichet, elle présente sa carte, signe et le pécule disparaît dans la poche du veston de cet être sans scrupules. Voici la vie de cette pauvre malheureuse depuis des mois et des mois.
Un jour, après une journée de besogne, éreinté de fatigue, elle a fait passer en dessous la porte un écrit qu’on devait prévenir la police. Malheureusement c’est ce goujat qui est tombé dessus en rentrant le soir. Les bleus qu’elle a encore aujourd’hui proviennent de la raclée administrée ce jour là. Voila elle n’ose plus recommencer et préfère continuer à subir.
Nous sommes le premier du mois d’avril. Jour de sortie pour aller à la banque retirer la pension. Pendant des jours et des jours, la séquestrée a réfléchie quel était le meilleur moyen d’avertir le public. Ce jour là tout se passait à merveille. Devant le guichet la femme avec ce type attendaient dans une queue interminable. Arrivé à leur tour le guichetier demande au gars, s’il était le mari, lequel fit non de la tête. Vous ne voyez pas le trait parterre monsieur, restez derrière ce trait. Quelle aubaine, au moment de signer, elle marqua sur le récépissé en guise de signature. AIDEZ MOI JE SUIS KIDNAPPEE ;
Le guichetier dit. Ah ma petite dame votre argent n’est pas rentré encore, il va falloir que je me renseigne et d’un coup regagne le bureau avoisinant. Quelques minutes après la police est sur place Entre deux policiers, bracelets de fer aux poignés,ce triste individu se fait coffrer pour KIDNAPPING VOL EXPLOITATION ; enfin VAREL va retrouver son appétit, même qu’il a inviter sa femme, d’aller au resto ce soir .
VAREL ET SI NOUS EMMENIONS LA VOISINE ET SA SŒUR POUR MARQUER LE COUP,
Inscrit le: 09 Fév 2006 Messages: 1708 Localisation: Au bord de la mer
Posté le: 18-05-2006 06:44 Sujet du message:
Et bonjour Line !
Jeudi commence ici avec un temps gris.. je ne sais comment ça va tourner... J'espère que pour toi le soleil brille et je te souhaite une belle et bonne journée ! _________________
Posté le: 19-05-2006 06:00 Sujet du message: carnet de line
LE CIRQUE RIGOLO !
Ce matin de bonne heure plusieurs solides gaillards sont entrain d’élever un chapiteau pour un cirque. Quelques roulottes sont venues s’installer place du marché comme tous les ans avec une immense ménagerie. Des fauves, des éléphants , des singes, des reptiles et même des perroquets et des pigeons, font partie de la fête Deux séances par jour sont prévues, une l’après midi et une le soir., avec équilibristes, jongleurs, clowns, trapézistes , et dompteurs de bêtes féroces. Une fanfare parcourt les rues de la petite ville pour annoncer le retour de la troupe au grand complet ; Des clowns sur des petites bicyclettes terminent la marche.
LINE
Toute la troupe a son occupation. Les soigneurs s’occupent de leurs animaux, les ouvriers du chapiteau, le caissier de sa caisse et les artistes répète leur numéro. A partir de midi, les premiers billets pour la matinée seront disponibles à la caisse à l’entrée du chapiteau. Le zoo est ouvert toute la journée. Vous pouvez même voir dans des bocaux un agneau à trois têtes et un chien à cinq pattes dans du formol. Le plus grand divertissement pour les enfants ce sont les petits singes, grimpant le long de leur cage sans arrêt.
Et voila la première représentation peut commencer La musique commence a jouer et le directeur fait sa présentation. Le cirque RIGOLO et son personnel est heureux de vous accueillir ce soir sous son chapiteau et vous souhaite une très bonne soirée. Le rideau rouge s’ouvre et des magnifiques chevaux blancs dressés se mettent à danser sur les pattes de derrière .Quel beau spectacle sur cette piste. Le programme va durer environ deux heures avec une entre -acte de trente minutes. Les projecteurs sont allumés la musique s’arrête de jouer, les voltigeurs en piste.
Le prochain numéro, se sera les singes sur des patins à roulettes Aux premières loges un monsieur rit aux éclats Ce monsieur n’est autre, que notre ami le commissaire VAREL accompagné de son amie FREDERIQUE; Voila ! Une soirée de détente lui a fait le plus grand bien. FREDERIQUE a dû insister à ce qu’il l’accompagne et il ne le regrette pas. .Ca ne lui arrive pas souvent de rire aux larmes dans son métier.
Le lendemain dans son bureau devant sa tasse de café et son journal. En première page gros plan à la une « un homme étranglé par un python dans sa cage au CIRQUE RIGOLO » Ce matin le corps du malheureux a été retrouvé par un soigneur nourrissant les animaux.
Sans vider son café, VAREL, se rend sur le champ place du marché pour interroger toute la troupe d’artistes .Tous après le spectacle s’est rendu dans leurs roulottes respectives et le directeur avec sa femme fit quelques pas dans la petite ville. Une petite bière, dans la seule brasserie encore ouverte à cette heure ci, fût consommée avant de revenir dans leur roulotte. Tout était calme et silencieux, il devait être vers les deux heures du matin. RIEN pour éclairer la lanterne de VAREL. Personne n’a rien vu ni entendu. Tout était calme, même les animaux dormaient, d’après le soigneur, lorsqu’il a fait sa dernière ronde.
VAREL sur le point de partir se retourne précipitamment. Quelqu’un vient de lui tirer le pan de son veston. Le petit nain DOMINO, lui il a vu quelque chose. Il veut parler au policier, mais il a peur des répercutions. VAREL une fois parti s’est lui qui subira les conséquences. Le nain s’en va se réfugier sous l’escalier de sa roulotte, fait signe a VAREL de s’asseoir lui-même restant caché.
Voila dit le nain, le mort étranglé par le python, je le connais c’est un ouvrier de notre. Équipe. Il y a deux jours lui et PEDRO se sont battus pour les beaux yeux d’une voltigeuse. PEDRO et sa femme ne m’aiment pas. On se moque de moi et on me fait des accroches pieds Une fois parterre on me piétine m’arrache les cheveux et tous les deux se mettent à rigoler. Je ne veux rien dire au directeur, j’ai peur pour mon poste Que fais tu mon brave ? Je vends des programmes et des boissons pendant l’entre acte monsieur. Et PEDRO que fait il ? Il est soigneur monsieur. Ou était tu mon garçon, lorsque ces deux se sont battus ? Comme aujourd’hui caché sous l’escalier de la roulotte !
L’après midi le corps étranglé est conduit à la morgue C’est l’affaire du médecin légiste, maintenant. Le cirque a reçu une dérogation exceptionnelle pour continuer ses spectacles .PEDRO est arrêté en attendant que la vérité éclate Toute l’après midi passe à interroger le soit disant meurtrier . Au bout de quelques heures, PEDRO est sur le point d’avouer.
LINE
VAREL veut la vérité et rien que la vérité _________________ !
Posté le: 20-05-2006 05:20 Sujet du message: carnet de line
VAREL ET L HOMME GRENOUILLE !
Nous sommes un samedi soir Une péniche vient d’accoster dans le bassin de commerce du PORT DU RHIN ; Les matelots ainsi que le mécano et le timonier sont de quartier libre ce soir. L e capitaine est le seul à bord devant la barre et son sextant. De temps en temps il ajuste ses lunettes en lisant tranquillement son journal . Et tout doucement voila, il s’endort. Brusquement, il a l’impression de naviguer, il n’en croit pas ses yeux.
A travers le hublot, il constate que la péniche est sortie du bassin Un bateau fantôme, on a du lui sectionner les amarres, et il navigue tout seul au grés du vent. Le capitaine prend son fusil sort de la cabine avec la bonne intention de corriger le fou qui l’a mit dans cette mauvaise posture. Hélas un violent coup de crosse va l’assommer et il tombera par dessus bord, dans le bassin. .
Un homme jeune et agile, grimpe et soulève les planches pour rentrer dans la soute. Il disparaît et au même moment le bateau prend l’eau de tous les côtés Il fait sombre ce soir là ! Aucun rayon de lune ne vient éclairer ce bâtiment en détresse. Une heure après le bateau est coulé.
Il est deux heures du matin. Les marins, dans un piteux état viennent rejoindre leur cabine respective. La péniche a bel et bien disparue !
VOILA VAREL qui rentre en action. On ne vole pas une péniche comme ça, pour en faire quoi ? La revendre ce n’est pas possible Il va s’occuper de cette affaire, dés le lendemain.
VAREL se promène tous les soirs le long des berges du bassin Rien de spéciale à signaler, le bateau reste introuvable. VAREL s’est aperçu que tous les soirs à la même heure, un homme grenouille venait à sa rencontre et le saluait poliment.. VAREL a l’intention de se retourner pour voir, ou il se dirige A sa grande stupéfaction, le type avait disparu , mais ou ? Voila un grand tuyau avec une grille en fer forgé Normalement cette grille devrait être cadenassée mais là elle est bel et bien ouverte.
Allons voir ça à l’intérieur se dit VAREL Voila notre VAREL est rentré dans les égouts de la ville Lui qui n’a peur de rien sauf des rats, le voila servi DES GROS DES MOYENS DES PETITS, en veux tu en voila avec leur cris strident à faire dresser les cheveux sur la tête.
Des couloirs de l’eau et les rats et même une autre présence, mais VAREL ne peux pas la définir. Voila un léger rayon de soleil, mais d’ou vient il ? Il redresse la tête et voit une échelle en acier et une ouverture. De ce pas il va se diriger sur cette issue, un ricanement et VAREL se fait harponner par l’inconnu du quai notre homme grenouille.
La blessure n’est que superficielle, sa main a été effleuré, mais rien de méchant VAREL fait semblant de tomber dans les pommes, pour tromper l’ennemi. L’homme s’enfouit, il pense avoir tué le commissaire. et VAREL rentre chez lui.
Le lendemain, une équipe de policier en civil se promène sur le quai du bassin de commerce. On dirait des touristes qui viennent tournés un court métrage pour la télé. Notre homme grenouille ne se doute de rien et il va s’introduire dans les égouts de la ville. Le voila fait, tout comme les rats. Il recherche VAREL, qui normalement devrait se trouver en bas de l’échelle ! il a disparu . Sur le point de repartir il se sens projeté contre le mur, les bras sur la tête, il est transporté dans le fourgon de la police. direction la prison.
LE LENDEMAIN / VAREL a sa petite idée.
Apres de courts interrogatoires, on saura que l’élément en question a travaillé sur LA PENICHE « ANNE « ; Notre capitaine l’a licencié pour transport de drogue dans sa cabine .et le marin s’était juré de lui faire son compte tôt ou tard..
Apres jugement , le tribunal, lui a attribué une prison à vie . LE BATIMENT FUT RETROUVE et le capitaine également. .
LINE _________________ !
Posté le: 21-05-2006 06:00 Sujet du message: carnet de line
VAREL ET LE LIVREUR DE PIZZA !
Chez TINO, à la pizzeria le téléphone sonne. Il est 22 heures et l’interlocuteur voudrait passer commande de trois pizzas : une paysanne, une cabri, et une napolitaine, à livrer au quartier des quinze à Strasbourg. Une vingtaine de petites voiturettes sillonnent la ville avec leurs différentes pizzas toutes chaudes, sorties du four, au service du client. C’est une affaire qui marche actuellement, et jusque tard dans la nuit, ces services sont à la mode
Le commis RENZO, dépose son engin devant un building, qu’il n’oublie pas de cadenasser, car ces voiturettes sont très demandées à l’heure actuelle. L’ascenseur le conduit au vingtième étage, dernier de l’immeuble avec vue panoramique, piscine sur toit et jardin d’hiver. Quel luxe se dit Renzo, garçon d’une vingtaine d’années. Oh je me verrais bien là avec ma nana au clair de lune, sous un ciel étoilé.
RENZO sonne à la porte du client, lequel lui ouvre aussitôt. Vous arrivez trop tard mon garçon, tout le monde est parti. Comment voulez vous que je mange trois pizza a moi tout, seul. Mais monsieur vous les avez commandé, il faut les payer, je ne peux les ramener.
Réflexion faite vous allez venir manger avec moi seul je n’ai jamais d’appétit. Je n’ai pas le temps monsieur, je travaille, j’ai d’autres clients qui veulent être livrés. Entrez, entrez je vais vous régler, l’hôte referme la porte derrière lui. Le commis ne voit pas que la porte a été fermée et que la clé a disparu dans une poche de veston.
Mettez vous à l’aise, je reviens tout de suite, commencer à manger pendant mon absence, j’en ai pour deux minutes, le temps de passer un coup de fil.
Renzo est mal à l’aise, il sait que ses pizzas dans la voiturette, ne resteront pas chaudes éternellement, il a hâte d’être payé et de pouvoir partir. Voilà qu’il est pris d’un besoin urgent, il est à la recherche du petit coin. Il ouvre deux trois portes, voila la salle de bain. On dirait une boucherie, les dalles blanches recouvertes de sang et dans la baignoire une femme assassinée. Une lame de rasoir lui a coupé la gorge et il est prêt à se rendre, lorsque la porte s’ouvre, laissant passer notre ami VAREL, lequel a été prévenu par téléphone sans perdre une seconde.
Le jeune homme se met à pleurer, entre deux hochements de cœur il certifie à VAREL qu’il est innocent et que l’on essaye de le faire trinquer. Le locataire du logement a subitement disparu et rechercher par toute une brigade de policiers surtout aux alentours des gares et des aéroports VAREL dit à FABIEN notre filet est bien tendu, il ne passera pas au travers. S’il n’a rien à se reprocher, pourquoi avoir pris la fuite après avoir téléphoné à la police ? Le petit est hors de cause, ma main au feu
A la frontière SUISSE, l’assassin fût intercepté et avec un fourgon ; ramené sur Strasbourg. C’est lui qui a égorgé sa femme le soir même et voulait faire porter le chapeau au petit livreur de pizzas. Mais à VAREL on ne la fait pas, il en a vu d’autres.
Quelques part dans le midi : De bon heure sur un marché aux poissons à la crié, un vol à l’étalage a eu lieu ce matin. Ce sont des menus larçins qui arrivent quotidiennement. Au voleur, au voleur, la marchande hurle : on vient de me voler ma caisse Un attroupement prés de la poissonnière se forme, bousculant les traiteaux et les caisses de rougets et de moules.
Toute la marchandise jonge le sol et les crabes et crevettes sont éparpillés, en dessous la table.
Le voleur, profite de la situation, pour prendre le large et disparaître au prochain coin de rue Personne ne l’a vu, personne ne peut donner de signalement. D’ailleurs ça s’est passé tellement vite . Ces petits gars sont expert en la matière.
Le calme est revenu sur ce marché et les clients achète par lots, tout ce beau poisson frais attrapé dans la nuit.
Voila qu’à l’autre bout du marché, dans une charrette, en dessous de carton et de cagots, on aperçois un visage sanguignolant. Bonne mère, que lui est il arrivé ? Une femme lance un cri d’horreur appelez la police, il est mort, il est mort. ! Cet homme a étè tué en même temps que le vol à l’étalage Tous les clients se sont précipités pour consoler la marchande volée et de ce fait ils n’ont rien vu, d’anormal..
Voila qu’arrive un groupe de S.D.F. avec les cartons et couvertures. Ils ont certainement dormis à la belle étoile, peut être en retrait sur une plage déserte ? Mais c’est ARTHUR dit le plus agé , on ne l’a pas loupé, cette fois ci. Partons d’ici, je ne voudrais pas me retrouver au commissariat par cette belle journée.
Une dizaine de minutes après la police est sur les lieux . Le mort , n’est pas inconnu . Les commercants sont formels. Il faisait la manche quotidiennement sur le marché aux poissons ce qui lui permettait, de s’acheter de la nourriture et du pinard. La police aussi le connaît bien, puisqu’il travaillait pour eux . Il était indicateur et dans le milieu et ça ça ne pardonne pas.
Une belle villa, pas loin de la plage, ferme ses volets. Le soleil tape déjà très fort, par cette belle journée de printemps .Les occupants vont quitter la maison et même la région en attendant que cette histoire de meurtre se soit un peu tassée. C’est JOE un gars de chez eux qui lui a fait son compte au S.D.F. du marché., un règlement de compte . pour les vilains garçons. De quoi de quoi , dit le mec à maman !
Les occupants de la berline grise se sont fait arrêter sur l’autoroute MARSEILLE-LYON pour éxcés de vitesse. Papiers truqués , pas de permis de conduire , et finalement après des jours de cuissons, aveux du meurtre sur le S.D.F. du marché de la plage.
JOE, aura certainement plusieurs années de prison. Ces compatriotes pourront lui apporter des oranges en cellules et des cigarettes. _________________ !
Quelques part dans le midi : De bon heure sur un marché aux poissons à la crié, un vol à l’étalage a eu lieu ce matin. Ce sont des menus larçins qui arrivent quotidiennement. Au voleur, au voleur, la marchande hurle : on vient de me voler ma caisse Un attroupement prés de la poissonnière se forme, bousculant les traiteaux et les caisses de rougets et de moules.
Toute la marchandise jonge le sol et les crabes et crevettes sont éparpillés, en dessous la table.
Le voleur, profite de la situation, pour prendre le large et disparaître au prochain coin de rue Personne ne l’a vu, personne ne peut donner de signalement. D’ailleurs ça s’est passé tellement vite . Ces petits gars sont expert en la matière.
Le calme est revenu sur ce marché et les clients achète par lots, tout ce beau poisson frais attrapé dans la nuit.
Voila qu’à l’autre bout du marché, dans une charrette, en dessous de carton et de cagots, on aperçois un visage sanguignolant. Bonne mère, que lui est il arrivé ? Une femme lance un cri d’horreur appelez la police, il est mort, il est mort. ! Cet homme a étè tué en même temps que le vol à l’étalage Tous les clients se sont précipités pour consoler la marchande volée et de ce fait ils n’ont rien vu, d’anormal..
Voila qu’arrive un groupe de S.D.F. avec les cartons et couvertures. Ils ont certainement dormis à la belle étoile, peut être en retrait sur une plage déserte ? Mais c’est ARTHUR dit le plus agé , on ne l’a pas loupé, cette fois ci. Partons d’ici, je ne voudrais pas me retrouver au commissariat par cette belle journée.
Une dizaine de minutes après la police est sur les lieux . Le mort , n’est pas inconnu . Les commercants sont formels. Il faisait la manche quotidiennement sur le marché aux poissons ce qui lui permettait, de s’acheter de la nourriture et du pinard. La police aussi le connaît bien, puisqu’il travaillait pour eux . Il était indicateur et dans le milieu et ça ça ne pardonne pas.
Une belle villa, pas loin de la plage, ferme ses volets. Le soleil tape déjà très fort, par cette belle journée de printemps .Les occupants vont quitter la maison et même la région en attendant que cette histoire de meurtre se soit un peu tassée. C’est JOE un gars de chez eux qui lui a fait son compte au S.D.F. du marché., un règlement de compte . pour les vilains garçons. De quoi de quoi , dit le mec à maman !
Les occupants de la berline grise se sont fait arrêter sur l’autoroute MARSEILLE-LYON pour éxcés de vitesse. Papiers truqués , pas de permis de conduire , et finalement après des jours de cuissons, aveux du meurtre sur le S.D.F. du marché de la plage.
MARCHE DE LA PLAGE
JOE, aura certainement plusieurs années de prison. Ces compatriotes pourront lui apporter des oranges en cellules et des cigarettes.
Houlala, Line, ça saigne dans tes histoires ! Mais il faut bien cela pour captiver l'amateur de romans policiers, et puis Varel et Fabien doivent bosser, il leur faut des évènements chaque jour !
Gros bisous, Line. _________________
" Le bonheur ne court pas le monde; il faut vivre où l'on est heureux "
Posté le: 23-05-2006 06:17 Sujet du message: carnet de line
VISITE NOCTURNE !
Par une belle nuit d’été en pleine campagne, une grande tache noire apparaît dans le ciel. Les étoiles filantes ne cessent de tomber et un grand vol de chauves-souris se dirigeait vers le donjon d’un petit manoir. C’est de mauvais augure ! Au loin une chouette hulule dans la nuit.
Il est presque minuit lorsqu’un qu’un moine actionne la grande cloche du portail. Un visiteur ou un passant fatigué d’un long voyage et demandant le gîte. Il est habillé d’une soutane à capuchon et de sandalettes. Sans bagages, juste dans les mains un bréviaire et une croix, il attend patiemment qu’on veuille bien lui ouvrir.
Cet endroit est plutôt lugubre et cette vieille bâtisse sans cachet enfouie sous le lierre à l’air du château de la belle au bois dormant. Elle est habitée par une personne invalide, un monsieur et son personnel. Le châtelain rejoint sa chambre de bonne heure le soir et c’est une petite servante, qui prend soin de lui
Enfin des pas résonnent et des bruits de chaînes se font entendre. Le portail s’ouvre laissant passer la tête chauve d’un petit laquais qui fait le signe de croix en voyant le moine. Je viens de très loin dit ce dernier, auriez vous une petite place dans vos écuries, un peu de foin ferait mon affaire. Je veux bien dit le serviteur, mais monsieur n’a pas le droit de savoir car cela me coûterait ma place. Attendez dit le moine, un bol de soupe je ne dirais pas non, ça fait deux jours je n’ai pas mangé. Malgré l’interdiction de son maître, le valet prépare un gîte dans les écuries pour le visiteur. Faites une prière pour moi mon père afin que monsieur ne sache rien, sinon j’irai comme vous au gré du vent parcourir le pays.
Une heure après tout est calme tout est silencieux, sauf le moine qui a du mal à s’endormir et pour cause. Le cachet qu’il a pris pour rester réveillé fait son effet. Il se lève et rôde autour du château et de la porte centrale, par laquelle il a été accueilli. Au moment ou le valet a ouvert la porte, il n’a pas oublié de coincer quelques pages de son missel dans la serrure.
Le faux moine rentre dans le vestibule et il n’a que l’embarras du choix. Des tableaux, des porcelaines, des bougeoirs et des petits tapis, le tout d’une grande valeur, des objets uniques
ont été dérobes cette nuit là par le visiteur nocturne
Grande fut la surprise le lendemain du valet lorsque l’écurie était vide et ce beau butin envolé.
On n’a jamais su par quel moyen le voleur a bien pu s’introduire dans le manoir et subtiliser ces objets de maître. Le valet s’est bien gardé de le signaler.
Ne faites pas trop vite confiance, même pas à un moine. LINE _________________ !
Posté le: 24-05-2006 13:53 Sujet du message: carnet de line
Nous venons de passer nos vacances à TAHITI ! Vacances au -delà de toutes espérances. Nous quittons ce pays, les larmes aux yeux, car notre séjour fût inoubliable. Trois semaines de rêves, sur des plages magnifiques sous le soleil des îles.
Notre acceuil fût trés chaleureux.. Chants, guitare hawaïenne, fleurs et danses folkloriques. Les habitants sont d’une extrême gentillesse , La nourriture était abondante et très variées. Les gîtes convenables et des surprises quotidiennes, sans fin. Une grande guirlande de hibiscus nous a été offerte le jour de notre arrivé. Avec un .beau collier et une fleur dans les cheveux, une barque nous emmena faire un tour dans le lagon. Ce fût merveilleux !
Voila que tout ceci, fait déjà parti de notre passé ! Ce matin , nous sommes sur le chemin du retour. vers l’aéroport le plus proche. BORA-BORA
Messieurs dames les voyageurs du vol BORA-BORA - PARIS sont priés de prendre place à bord de l’avion., décollage immédiat !
. Un dernier signe de la main derrière le hublot et l’avion vient de quitter la piste.
Nous avons plusieurs heures devant nous avant d’arriver ! La lectures des magasines nous occupera pendant un certain temps et le ronronnement de l’appareil est tellement monotone,qu’on n’aura pas de mal à nous endormir.
Comme ceci , j’ai dû dormir pendant au moins une demie heure. Lorsque je mes suis ré veillée , que vois-je ?
Ah madame, ne vous gênait pas. On est bien sur les genoux de mon mari, vous ne trouvez pas ? Mais l’interpellée au lieu de répondre se lève change de cuisse et me montre le dos. Ca c’est le comble.
J’appelle la steewardesse: Pardon mademoiselle , dites moi est ce que ce spectacle fait parti de vos animations à bord ? Non madame, je ne pense pas.. C’est peut être une clandestine , une émigrée, qui vient chercher refuge en France ? Posez donc la question au commandant , sinon faites marcher la climatisation . Comme elle n’est pas vêtue, elle partira toute seule, une fois transi de froid. Et s’est bien vraie, elle a disparue on ne sait pas ou.
Nous voilà débarrassé ! Il fallait la laisser, me dit mon mari, elle m’amusait et ça fait passer le temps. Bon sang , la voilà qui revient, nom d’une pipe. Je vais l’étrangler ce coup ci, tu vas voir et ce sera vite fait ! Elle m’agace, elle m’agace ! On va voir qui sera la plus forte.
A-t-elle embarqué avec nous, ou était elle déjà à bord lorsque nous sommes arrivés ? Personne ne pourra le dire. La voila, elle est revenue !
Comme tout à l’heure elle recommence a se frétiller sur les jambes de mon mari .Il y en a marre ce coup ci . Mon époux lui il rigole , il a l’air de bien s’amuser lui . Moi de mon côté, je ferme les yeux et en rêve je reviens sur une de ces merveilleuses plages des îles ?
Enfin nous arrivons au BOURGET ! J’ose espérer que cette créature ne débarquera pas avec nous, sinon je pique une crise .Je me retourne, elle n’est plus là. Elle a disparue comme par enchantement. Elle va me manquer dit mon mari en rigolant.
Les enfants sont venus nous chercher à l’aéroport. . Que de souvenirs de nos vacances passées à BORA-BORA.
P.S. J’ai oublié de vous donner le titre réel de mon histoire !
C’est « UNE MOUCHE DANS UN AVION « zzzzzzzzzzzzz LINE
_________________
[ _________________ !
Inscrit le: 09 Fév 2006 Messages: 1708 Localisation: Au bord de la mer
Posté le: 24-05-2006 18:22 Sujet du message:
Line, j'ai pas le temps de te lire, j'y reviendrai tout à l'heure tranquillement, mais je vois que tu nous emmènes à Tahiti aujourd'hui !!! Quelle balade !
Posté le: 25-05-2006 06:27 Sujet du message: carnet de line
LA MAIN ENSANGLANTEE ! ( ou cadavre en daube )
Nous sommes vendredi et comme tous les vendredi, le commissaire VAREL a invité son amie FREDERIQUE pour le souper. C’est lui-même qui met la main à la pâte et le voila devant son fourneau entrain de faire un bœuf en daube maison. C’est sa spécialité parait il, personne ne la fait mieux que lui, d’après ses collègues. VAREL est très fier de ce compliment , peut être ne sait il pas faire autre chose . A chaque invité , il propose cette fameuse DAUBE ; On sonne a la porte……… VAREL quitte son tablier, c’est certainement FREDERIQUE. Il regarde sa montre, il va être 19 heures . elle a de l’avance se dit il en ouvrant la porte.
Un jeune factionnaire, lui tend une enveloppe. Le commissaire est prié de passer d’urgence au commissariat . Un meurtre dans un sauna – coup de fil anonyme – victime lacérée – mort constatée à l’arrivée de la police.. Voiture N° 20
La soirée du commissaire, si bien organisée tombe encore à l’eau. Hier il a bouclé le dernier dossier et classé l’affaire en se disant ouf ! On va pouvoir respirer et voila aujourd’hui rebelote.
Apres le souper, le couple avait décidé d’aller au théâtre, même que le commissaire avait pris les billets il y a quelques jours.
L’ascenseur s’arrête sur le palier, la porte s’ouvre. c’est FREDERIQUE , toute joyeuse toute pimpante. A la vue du factionnaire, elle ne demande pas d’explications. ce n’est pas la première fois que ça arrive.
Je suis désolé FREDERIQUE, il faudra manger toute seule. Je vais me dépêcher et on se retrouvera devant le théâtre si tu veux bien. VAREL met sa veste et le voila parti en compagnie du policier.
FREDERIQUE est de mauvaise humeur. Je m’étais pourtant juré de ne plus fréquenter ni policier ni médecin. Je n’ai pas envie de manger seule toute ma vie, ni d’aller seule au théâtre. Elle levais trop bien, quelle allait passer sa soirée en solitaire. Elle ne touchera pas à la nourriture, tout ça lui a coupé l’appétit !
Pendant ce temps VAREL est arrivé sur le lieu du crime, le SAUNA Les policiers ont fort à faire pour dissiper les badauds, circulez circulez, il n’y a rien a voir.
La première chose qui a frappé le commissaire, c’est une empreinte de main ensanglantée sur le mur. C’est comme si on voulait donner une signature à cet acte horrible. Le corps de la victime a été lacéré d’innombrables coups de couteaux sur tout le corps. Non ce n’est pas un simple couteau, mais plutôt une lame de bistouri, qui a été retrouvé sous un drap de bain.
A cette heure ci, il n’y avait pas beaucoup de monde. La plupart des gens étaient dans les différents bassins ou en salle de massage. personne n’a rien vu ni entendu .
Le temps passa. Le commissaire, regarda sa montre. Il avait complètement oublié FREDERIQUE ; Elle a dû aller toute seule au théâtre, mais non c’est lui qui a les billets en poche. Pauvre fille, je la comprend se dit il. Quel métier ? Je n’aurais donc jamais une vie de famille ?
FREDERIQUE a dû rentrer chez elle. Ce soir, il ne téléphonera plus car elle risque d’être déjà couchée. Mais demain avant d’aller au bureau, il prendra de ses nouvelles.
En rentrant chez lui, le bœuf en daube est resté comme il l’avait laissé. Personne n’avait faim ni FREDERIQUE ni lui. C’est bien dommage, il avait pourtant l’air bien appétissant.
Pendant des jours, l’affaire suit son cours. Interrogatoire sur interrogatoire Tous les clients du Sauna qui étaient présents ce soir là sont convoqués – déclaration sur déclaration.
A l’autre bout de la ville une vielle usine délabrée. Quelques S.D.F y trouvent refuge. Il y a un va et vient toute la journée. Même des grosses cylindrées font halte dans la cour et ses occupants se dispersent dans ce grand bâtiment. . Ou vont-ils, que font ils, qui sont ils ?
Parmi eux des mauvais garçons de la pègre. Chacune des personnes a un sac de sport garni de sachets de drogue, qui va être livrée au détaillant. moyennant une forte somme d’argent . Chacun a intérêt à être réglo, sinon les gros moyens vont être pris
Voici l’équipe de DUDULE ! Une vieille traction. A bord quatre occupants. DUDULE le chef et trois malfrats ; A leur compte petits larcins vol à l’étalage - détournement de mineurs braquage de banque – recel etc. Actuellement acheminement de drogue vers les différents revendeurs de la ville. Revenu assez important, si travail bien fait.
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L’équipe LA MENACE. Le boss LA MENACE et deux petits rigolos qui aiment jouer du couteau. Du vrai travail d’artiste net et sans bavure. Aucune trace de sang n’est visible après leur passage, du travail de joaillier avec garantie. Leur voiture est un véritable arsenal du revolver petit calibre au fusil mitrailleur.
Et enfin la ALFA SPOR du CALIF OMAR ! Cinq occupants, d’anciens condamnés. Plusieurs années de prison, pour différents délits. OMAR a payé très cher pour le nom de CALIF et en profite maintenant pour dominer. C’est lui qui dirige les trois équipes et tous marchent à la baguette. La galette est pour le CALIF et les autres se partageront le reste. Les associés sont des fainéants et se contente de la vie qu’ils mènent aux ordres du CALIF. Une vie assez mouvementée et dangereuse dans les bas-fonds d’une grande ville, toujours le doigt sur la gâchette.
Pendant ce temps, le commissaire VAREL attend le concierge d’un immeuble de l’avenue de la paix. VAREL aimerait avoir quelques renseignements sur la personne assassinée dans le sauna. Le concierge a été convoqué il y a trois jours et ne s’est pas présenté, VAREL n’aime pas ça, alors pas du tout. Il se décide d’aller le voir et cela sur le champ .A qui demander sinon au portier, les petites habitudes de ses locataires. L’assassiné du SAUNA habitait la maison au 2eme étage à droite, un respectable citoyen, ouvrier modèle dans une brasserie depuis des années et jamais de conflits avec la justice
Le commissaire est arrivé entre temps devant la porte du concierge, Il sonne, rien ne bouge, un deuxième coup de sonnette, toujours rien .VAREL déjà sur le point de se retourner aperçoit une tâche de sang sur le paillasson. Vite il sort son passe de sa poche du veston et s’introduit dans l’appartement. Avec les deux pieds il se retrouve dans une immense flaque de sang. Quelle boucherie ! Quelle horreur ! Murs, canapé rideaux, lit, le tout maculé de sang. Le corps du concierge vidé, se trouve allongé sur le lit, certainement depuis quelques jours.
VAREL se creuse la tête. Il ne voit pas le rapport entre ces deux crimes. Et pourtant. La méthode est exactement la même chez les deux victimes. Ca doit être le même assassin, corps lacérés avec une lame. Sur le mur à la tête du lit, une main sanguinolente est appliquée comme un cachet. Il n’y a pas d’empreintes, mais la grandeur de la main est exactement la même.
Dans la cour de l’ancienne usine ce soir là, le chauffeur de DUDULE va trouver un de ces S.D.F. pour lui demander s’il ne voulait pas faire un extra le lendemain. Il lui miroite une certaine somme d’argent et lui dit : Cet argent te fait tant et tant de bouteilles de bière et le travail n’est pas compliqué.
Il faut aller à la gare aux coffres des valises (départ) et ramener un sac de sport dans la cour de l’usine. .Ce que le chauffeur ne sait pas, c’est que le type est déjà indicateur chez la police.
Double emploi, double salaire. Le S.D.F. se frotte les mains ! Ce soir là il est suivi par l’équipe DUDULE et par la POLICE. La police fait une descente et ramasse tout sur son chemin. Tout ce qui se trouve dans l’enceinte de la gare est contrôlé, valises, sacs de sport, sacs a mains. Les trains repartent vides, les gens sont obligés de rester sur le quai jusqu’à nouvel ordre. Le S.D.F. pense qu’il n’était pas suspecté, alors que la police le filait silencieusement depuis des semaines.
La police a donné le go. L’attroupement se disperse, les gens se retirent Le seul à être embarqué, c’est le S.D.F. Son sac de sport contenait des centaines de petits paquets de drogue achetés en Belgique ! Expédiés clandestinement en France, pour la revente. Mais où sont- ils ces trafiquants ?
Qui sont ils. Tu vas parler .On va te délier la langue. Plus de vin, plus de bière et plus de cigarettes. D’ici quelques jours tu nous apporteras ton histoire sur un plateau. Garde mettez le en cellule, il aura tout le temps pour réfléchir. Le sac de sport est confisqué avec son contenu par la police. Il y en a pour des milliers et des milliers d’euros. OMAR va pouvoir le comptabiliser dans pertes et profits ! Mais la police ne sait toujours pas à qui appartient ce sac garni de drogue.
Le S.D.F. confortablement installé sur sa couche, fait travailler ses méninges. Ca fait des mois qu’il n’a pas vu de lit et la chaleur de la cellule le fait somnoler. Il entend vaguement la musique de la radio de son voisin et subitement il plonge dans un profond sommeil.
Le lendemain !
Un pâle rayon de soleil a travers les barreaux de la cellule, réveille le S.D.F. il va être 7 heures. Il regarde autour de lui, il a peur et se met à trembler comme une feuille morte.
Toute cette marchandise que la police a confisquée, c’est à lui de rembourser .Ou va t’il prendre tout cet argent pour régler cette dette à OMAR ?
J’ai tout intérêt a ne pas cracher le morceau se dit il. Tant que je suis en cabane, il ne peut rien m’arriver. Une fois dehors , si je n’ai pas les sous pour rembourser la drogue, ils vont me butter. VAREL pendant ce temps attend le bon vouloir de ce prisonnier pour lui révéler le nom de son chef. Le S.D.F. ne dira rien, car il veut rester en prison le temps qu’il faudra pour trouver une solution.
Trois jours après, il est 10 heures du matin ! VAREL a passé une très mauvaise nuit ! Il est resté sans nouvelles de FREDERIQUE depuis la fameuse soirée du Bœuf en daube. A chaque fois qu’il essaye de lui téléphoner, ça sonne occupé .Il est très inquiet, n’a-t-elle plus envie de le revoir ? Ce soir en quittant son bureau, il va faire un tour chez elle, il faut absolument qu’il sache a quoi s’en tenir. Ce n’est pas vrai, elle n’a pas pu le quitter comme ça.
Le CALIF, habite un grand hôtel particulier en plein centre de la ville, hôtel très renommé. Ce soir en sortant de sa voiture, il avait vaguement l’impression d’être suivi et même photographié par un inconnu qui se trouvait de l’autre côté de la chaussée. Il monte vite les deux marches, bouscule le chasseur et s’introduit dans la loge du portier.
Il se demande, est ce la police ou est-ce un chasseur de prime , ou même un détective privé .Alors adieux les belles femmes, les grosses voitures, la dolce vita .
Comme son casier judiciaire n’est plus vierge, il aura certainement des années à tirer, dans une galère quelconque.
Le photographe, n’est autre que le commissaire VAREL, qui depuis 2 jours pose des questions aux employés de l’hôtel. LE CALIF et son chauffeur habitent sous le même toit. Le CALIF a une suite au 1er étage et son chauffeur une chambre mansardée tout en haut. Comme le CALIF est un être très peureux, le soir il va dormir dans la pièce du chauffeur et le chauffeur descend au premier, dormir dans la suite. LE CALIF ne sait pas que tout le monde est au courant. Le personnel ne dit rien car le CALIF est un client très large en pourboires .
On est vendredi, exactement 8 jours ont passé depuis la fameuse soirée du BŒUF EN DAUBE ! VAREL est installé dans sa cuisine devant une bière un bout de pain et un camembert. Il n’a pas faim, mais comme il n’a pas eu de temps de manger à midi, son estomac ne le laissera pas dormir cette nuit. D’ailleurs il a décidé d’aller se coucher après les informations, vu qu’il a sa claque pour aujourd’hui.
VAREL éteint la télé et débarrasse la table ! On sonne a la porte Ah non vous n’allez pas recommencer comme la semaine dernière ? Le commissaire ouvre la porte. Un cri de joie !
FREDERIQUE est revenue ! Sur le champ la grosse fatigue du jour a disparu. Il l’enlace et la fait tourbillonner. il est fou de joie. Ils sont là à papoter une bonne partie de la nuit et a l’aube il la ramènera chez elle.
Il est 8 heures, le commissaire est encore fatigué, mais c’est une bonne fatigue. Il s’est posé la question ? Pourquoi ne pas libérer le SDF et le faire suivre nuit et jour par quelques hommes de son service. C’est vrai il n’y a pas que lui qui le recherche. Avec tout cet argent qu’il doit pour la marchandises réquisitionnée, on va pas lui e faire de cadeau.
Oui parfaitement, VAREL va le libérer oui mais il va falloir qu’il change de look ! Et le commissaire lui a promis de prendre personnellement soin de lui. Même qu’il allait lui faire
Un BŒUF EN DAUBE maison . Le soir, s’il rentre a une heure convenable.
ACHILLE le SDF n’est pas très emballé de cette décision, mais il n’a pas le choix.
Le lendemain, le commissaire croise ACHILE dans la rue, bien lavé, coiffé, méconnaissable. VAREL continu son chemin, pour embrouiller les pistes. Deux heures après le SDF se trouvent dans les bureaux de la police.
Alors Achille, c’est ce soir que nous allons manger le BŒUF EN DAUBE, C’est comme vous voulez monsieur le commissaire, il n’y a pas de refus
Eh voila encore VAREL derrière ses fourneaux avec son tablier à grands carreaux et son lido, et ses gants, cadeaux de noël, de l’année dernière. Tout est parfait, assez mijoté, on va pouvoir mettre la table.
On sonne ! VAREL ouvre la porte, c’est un factionnaire qui amène son invité ! Ah ce n’est pas tout commissaire, il va falloir passer au bureau c’est très urgent. Appel téléphonique cadavre dans une bouche de métro. mrmrmrmrmrmrmr AC HILE tu manges seul , je serais de retour d’ici une heure et il s’en va avec le factionnaire .
Le SDF se sert une bonne assiette de BŒUF EN DAUBE et voila qui lui passe une idée part la tête de prendre un bon bain. On peut également manger dans la baignoire, sitôt dit sitôt fait ! BON APPETIT mon vieux se dit il.
On sonne a la porte, ça doit être le commissaire il a du oublier quelque chose ? ACHILE ne s’en occupe pas, il mange. Subitement son assiette de BŒUF lui tombe dans l’eau, on l’a poignardé par derrière dans le dos. On continu à le lacérer, aucun crie n’a échappé a ce pauvre bougre. L’eau de la baignoire a pris une couleur de sauce tomate avec ce sang et ce bœuf en daube. Un cadavre en daube à la stupéfaction du commissaire !
VAREL, ne voulant pas laisser le SDF tout seul est revenu plus vite qu’il ne pensait. A l’entrée de son immeuble il se trouve nez a nez avec le chauffeur du CALIF. Une seule idée lui a passé par la tête ACHILLE ? Il prend le chauffeur à la gorge et serre très fort, le met dans sa voiture et appelle du renfort. On ne peut constater que le décès du SDF et au mur le meurtrier n’avait pas oublié, d’apposer sa main sanguinolente
VAREL ce jour là s’était juré de ne plus jamais faire un BŒUF EN DAUBE !
IL FERA DU BŒUF À LA MODE _ LINE _________________ !
Posté le: 26-05-2006 06:36 Sujet du message: carnet de line
VAREL AU JARDIN DU LUXEMBOURG !
C’est ici parmi ses belles fleurs et tout seul que VAREL trouve son inspiration
Le soleil tape de toutes ses forces sur les beaux parterres du square. Notre ami VAREL perdu dans ses pensées, ne peux s’empêcher de mâcher et remâcher une affaire très obscure, tout en se promenant, dans ce magnifique jardin. Pour lui d’habitude, les cas après maintes réfections, sont clairs nets et précis, mais là il aura du fil à retordre Je crois bien se dit il cette fois ci, nous en aurons pour des semaines pour éclaircir, cette triste affaire.
Dans une piscine ouverte de la région parisienne, une jeune femme a été violée dans une cabine, en plein jour. Ceci s’est passé le 1er août vers les 17 heures –La jeune fille a été vu pour la dernière fois à 16 heures 30 par le marchand ambulant de glace. Ce fût le maître nageur, qui la trouva dans la cabine N0 9, étranglée par sa propre ceinture.
Le 5 août une autre jeune femme a été violé et tué par un sadique, presque à la même heure de l’après midi, quand il y a le plus de baigneurs, d’après VAREL. Si vous demandez le commissaire, il vous dira, qu’il est convaincu, que les deux affaires, sont belles et bien effectuées par le même scélérat. .On retrouva la morte dans la cabine 6 . Depuis une enquête est en court, mais toutes les recherches n’ont rien données. Une équipe de policiers sont venus s’installer sur la pelouse de la piscine, pour observer discrètement les baigneurs, sans résultats
Notre ami VAREL pense constamment aux deux cabines 6 et 9 . Il est bien décidé, demain matin, à l’ouverture de la piscine, il ira avec FABIEN faire un saut et rendre visite en même temps au maître nageur .
Le lendemain les deux policiers sont sur place. La piscine, ne battra pas son plein, il pleut, mais le personnel est là au grand complet. VAREL veut voir les deux cabines en questions .La première visitée fût la 6. En dehors d’une penderie et un siège, rien à signaler tout est en ordre. Par contre la cabine N0 9 est introuvable sur toute la rangée .On a du se tromper de N0, on verra ça plus tard dans le dossier. Pauvre VAREL, ça a dû complètement lui échapper, jusque tard dans l’après midi. Devant lui sur son bureau un dossier avec sur la couverture un 6 écrit avec une couleur rouge très grasse. VAREL se lève arpente le bureau et revient vers le dossier, qu’il prend en main et subitement du 6 il y a un 9 . Il tourne et retourne ces pièces et voila. Mais c’est ce qu’il cherchait, il avait bien constaté qu’il y avait deux portes avec un 6 et pas de 9 . Le deuxième 6 n’était pas placé à la même hauteur que les autres numéros, ça faisait drôle.
VAREL appelle FABIEN. Mon garçon que vois tu ? Il pose le dossier sur une chaise. Un 6 et maintenant un 9 . Mais puisqu’il n’y a pas de 9 dit FABIEN . Si si il y- a un 9 seulement le petit clou pour retenir le numéro a lâché et de ce fait nous avions deux 6 La cabine 9 existe vraiment.
Encore ce soir je veux terminer avec cette histoire. Retournons à la piscine, avec un peu de chance nous trouverons encore le maître nageur.
Presque arrivé sur place VAREL stoppe sa voiture et se met sur le bas-côté. Il téléphone à la piscine pour leur annoncer son arrivée, heureusement le maître nageur était sur le point de rentrer chez lui.
Quelques minutes après, VAREL descend de voiture Le glacier est là avec son triporteur et sert des glaces a une ribambelle de gosses. Glace à la vanille au chocolat à la banane pistache et fruits exotiques. Le tout servi sur des gaufres et même à la chantilly.
Le maître nageur s’est souvenu de quelque chose et veux absolument en parler à VAREL. Le jour du premier crime le triporteur du glacier est resté à l’abandon pendant une vingtaine de minutes. Tous les gosses comme ce soir étaient la avec leurs sous dans la main et pas de glacier, ou était il ?alors . La cabine N0 9 est louée à l’année par le glacier.. Ceci demande réflexions, VAREL demande a FABIEN de chercher le glacier à l’instant même. A la vue de la police, ce dernier a plié bagage et a délaissé la piscine. Pourquoi cette frousse, si on n’a rien sur la conscience ?
Pendant quelques jours la piscine est resté sans glacier. Ce cher monsieur a changé de quartier général., jusqu’au jour ou VAREL est venu le trouver à la maison. Par tous les mensonges il a essayé de s’en sortir, mais VAREL ne rentra pas dans sa combine. Il fut amené au commissariat de police. et conduit en prison en attendant le verdict. VAREL avait encore raison. Les deux crimes sont à mettre sur le compte du glacier.
Posté le: 27-05-2006 04:36 Sujet du message: carnet de line
HISTOIRE VECUE !
Un jour mon mari et moi avons décidé, d’aller chez notre tante Léonie, en vacances. Notre chère tante habitait au Bugues en Dordogne. Le Périgord, c’est comme l’Alsace, tous les deux
font du foie gras extra., c’est une spécialité.
Ma fille ainée , me pria de lui ramener , ce fameux foie gras mais dans une terrine de luxe. En allant nous promener du côte de Domme, je suis rentré dans un magasin CHAMPION pour acheter, ce que ma fille avait demandé. . La vendeuse nous a fait un joli paquet et moi toute contente, de mon acquisition, je me suis dite, voila une bonne chose de faite .
En rentrant en Alsace je le lui ai offert et elle m’a répondue textuellement. Maman ca tombe bien. Demain soir j’ai invité le docteur tel et tel avec sa dame, pour le souper. En rentrant du boulot je n’aurais que les toasts a faire et l’entrée sera deja terminé. Ma fille est infirmiere et travaille a temps complet.,dans un service a Strasbourg.
Quelques jours après, je revois ma fille, qui habite a une vingtaine de kilometres de chez moi et lui pose la question . Alors ma fille comment était cette soirée ? Et le foie gras était il bon ?
Maman, maman, sait tu ce qu’il y avait dans cette terrine. In grand clou ! C’était une terrine de devanture, d’exposition, Il s mettent des clous, pour que ca fasse du bruit . La vendeuse ne l’avait pas agité, avant de l’emballer . Et alors je lui ai dis. Alors j’avais des escargots dans le congélo et c’était ça notre entrée. Cette histoire s’est passée inaperçue, heureusement.
J’ai fais une lettre a champion, que je n’avais pas l’honneur de déguster leur foie gras, mais ce que je sais qu’il était le roi des farceurs.
On m’a par la suite largement dédommagé . Tout est bien qui fini bien !
LINE _________________ !
Inscrit le: 09 Fév 2006 Messages: 1708 Localisation: Au bord de la mer
Posté le: 27-05-2006 16:20 Sujet du message:
Line, je fais un essai de plus pour te faire un coucou, mais ça fait trois messages qui ne passent pas... C'est sans doute dû au bug, mais il y en a deux qui ont marché et pas les autres...
Alors si ça passe : marrante ton histoire de foie gras (mais moins marrante sur le moment, sûrement !)... Un bisou et bon dimanche ! _________________
Posté le: 27-05-2006 17:41 Sujet du message: carnet de line
chers amis ! puisque toc toc a disparu, je vous souhaite ici sur le carnet de line une bonne nuit. Je vous embrasse. Surtout demain ne m'attendez pas, je ne sereais pas la de la journee. J'ai envie de faire la bamboula, ca ne m'arrive pas souvent mais quand ca me prend ca me prend. A lundi alors bonne fête des meres pour celles qui le sont pour les autres tres bon dimanche ainsi qu'au x messieurs. et amis. _________________ !
Posté le: 28-05-2006 06:45 Sujet du message: carnet de line
UN BIJOU MAYA !
Dans la devanture d’un collectionneur, sur une grande artère de la ville, un objet maya est exposé. Ca doit être un bijou, mais un bijou d’une beauté remarquable qui a une certaine influence sur une jeune femme qui passe tous les jours par ici .C’est incroyable, depuis qu’elle l’a vu, ce bijou sous forme de broche ne lui sort plus de la tête. Nuit et jour elle est obnibulée par cette rareté, mais elle a comme un pressentiment Cet objet a un pouvoir néfaste sur elle. C’est comme un oiseau de mauvaise augure, un objet maudit qu’on ne doit pas posséder.
Et pourtant ! Après longue réflexion, JEANETTE, se décide de pousser la porte de l’antiquaire. Bonjour Madame, Madame a-t-elle vu quelque chose dans la vitrine qui a attiré son attention ? Ah la pierre MAYA ? Franchement dit je n’ai pas l’intention de m’en défaire
Mais pour un si beau brin de femme, on peut faire une exception. Quel gros mensonge ! Depuis le temps qu’il veut s’en défaire. Il n’a jamais eu autant de tuiles que depuis qu’il est en possession de cet article. Pour le vendeur, ce n’est pas un porte bonheur, mais un porte malheur. Il faut s’en débarrasser au plus vite, même si on ne peut pas demander le prix fort.
Le vendeur retire la broche MAYA de la vitrine Le voila soulagé, il est enfin vendu cet objet de malheur. En voulant manipuler le mécanisme de la fermeture, l’aiguille lui est rentrée dans le pouce Aie.. Aie on dirait que cet objet riposte, on l’a dérangé. Il était pourtant bien dans cette vitrine sous les derniers rayons de soleil de la saison. Maintenant il est enfermé dans le noir dans une toute petite boite en carton sans lumière, sans air. « Je vais suffoquer, mais ça ne se passera pas comme ça » dit une petite voix fluette
JEANETTE une fois rentrée chez elle, cherche une belle place, pour exposer sa broche. Je crois qu’ici sur la cheminée, à côté de la photo des parents, serait l’idéal. JAENETTE est fière de son acquisition, elle reconnaît que le prix fût abordable. Elle est fatiguée, le fauteuil lui tend les bras et elle s’assoupie.
Quelques minutes après, le téléphone sonne C’est toi ma fille, tu devrais venir, ton père est au plus mal. Le médecin a parlé d’un mal sournois, il ne peux pas se prononcer. La voiture sort du garage JEANETTE se rend au chevet de son père.
Le collectionneur a passé une très mauvaise nuit. Souvenez vous qu’il s’était piqué avec la broche en la manipulant, avant de la mettre dans la petite boite en carton. Infection, fièvre trait rouge etc…
Depuis que JEANETTE est en possession de cet objet maudit, tout va de travers, mais elle ne pense pas que l’on pourrait attribuer ceci à la broche. Panne d’éléctricité, chute dans les escaliers, perte de son porte monnaie, début d’incendie, nuits d’insomnies sans fin.
Oui pourquoi avoir acheté cette broche ? Pour la poser sur la cheminée. Une broche c’est fait pour être porté
Un soir JEANETTE décide d’aller au cinéma. En partant elle oublie de fermer la porte à clé .En rentrant son logement a été visité par des cambrioleurs Ils ont tout raflé. ORDI TELE VIDEO BIBELOTS ainsi que la BROCHE MAYA.
Eh voila, la série de pépins et de malchance est terminée !
Dorénavant avant acquisition d’un article, JEANETTE regarde d’abord son utilité.
L’OISEAU DE MAUVAISE AUGURE S EST ENVOLE LINE _________________ !
Posté le: 29-05-2006 06:48 Sujet du message: carnet de line
LA TOUR EIFFEL !
La pille de dossier sur le bureau de VAREL commence tout doucement à diminuer. Aujourd’hui il va se pencher sur un cas tout a fait exceptionnel en ce qui concerne les
faits et le soit disant coupable de cette affaire.
Il y a quelques mois, plaintes ont été déposés au commissariat pour racolage et attouchement sur des jeunes femmes en visite dans la capitale et çà sur les plates formes de la tour Eiffel.
Visiteurs de tous pays , anglais, allemands, danois, russes , américains, des cars de grands tourismes viennent pour visiter PARIS. Cette histoire quelle renommée et quel déshonneur pour la FRANCE
Barnabé Duchateau a été arrêté et incarcéré dans la prison de Fresnes , lors d’une rafle en pleine nuit, lequel nie depuis son premier jour .
Barnabé est connu dans le milieu pour exploitation de jeune femme et recel . C’est un élément qui n’a jamais travaillé, mène une vie de château et conduit les plus grosses cylindrés dans les quartiers de Paris. A St Germain des prés il est bien connu dans les tripots et le soir le poker c’est son affaire .Pour terminer la soirée bien entamé,il l’a finira au moulin de la galette en compagnie de ses dames, avant de commencer leur interminable nuit de tapin., dans la forêt de Rambouillet.
Un jour d’affluence sur la première terrasse de la tour Eiffel, un individu cagoulé s’est prise à une jeune américaine. La fille ne rentrant plus dans le lift, a dû attendre le suivant pour se diriger vers le car, qui était sur le point de partir. Au dernier moment le type ôta sa cagoule pour ne pas l’ effrayer . On aurait jamais cru autant de tact chez un être pareil mais il faut du doigté, pour’ aborder une petite étrangère, connaissant a peine la langue du pays. La pauvrette elle lui cru sur parole lorsqu’il disait qu’il savait ou se dirigé le car et l’endroit ou elle pourrait le rattraper Jamais elle aurait dû faire confiance au premier venu, mais la pauvre petite était déconcerté lorsqu’elle a vu son car partir.
Barnabé Duchâteau a été arrêté et incarcéré dans la prison de Frênes, lors d’une rafle en pleine nuit., Le jour même une jeune femme a été poussé par dessus la barrière du premier étage de la tour Eiffel. Des témoins ont reconnu le coupable en la personne de Duchateau
Brigadier dit VAREL chercher moi le prisonnier Duchâteau et conduisez le au parloir.
Ah mais qui vient là notre ami BARNABE , sans peur et sans reproche. On nie toujours les faits qui lui sont reprochés ? Commissaire, je n’ai absolument rien à vous dire, vous me connaissais. Il y a longtemps je me serais mis à table, rien que pour vous faire plaisir. Surtout Duchateau ne soyez pas éffronté j’aime autant vous dire sinon , vous resterais ici , jusqu’ a ce que les poteaux électriques fleuriront .
La petite américaine n’a pas eu l’occasion de retourner dans son pays, BARNABE a fait le nécessaire. Il a sorti le grand jeu, ne pouvant plus vivre sans elle, qu’il allait se suicider si elle partait etc…
Maintenant qu’il est en prison, elle réagie d’une autre façon elle a le vague à l’âme. Le désir de rentrer chez elle aux états unis la prend et ne la quitte plus. Maintenant qu’elle n’est plus à la merci de ce personnage, elle devrait en profiter pour revoir ses parents et ses amis la bas en Amérique Aller à la police, c’est une solution. Comme elle est démunie de tout argent, il n’y a que ça à faire .et sur cette bonne résolution elle va retrouver le prochain poste de police.
VAREL est demandé au téléphone . C’est toi VAREL salut , je viens d’avoir une déposition d’une jeune américaine qui prétend avoir été séquestré pendant des jours et des jours par un certain Duchateau. Ce n’est pas toi qui t’occupe de ce cas, ? Cette jeune fille a été prise en charge par ce dernier à la tour Eiffel. Ceci pourrait à la rigueur te servir dans l’établissement de ce dossier. Salut à la prochaine.
VAREL revient au parloir . Tu n’as plus besoin de cracher le morceau, j’en connais assez pour te faire disparaître de la société pendant des années. Brigadier, ramenez moi ce personnage dans sa cellule, je l’ai assez vu pour aujourd’hui, ce triste sir.
Allons voir FREDERIQUE . C’est toi chérie qui paye ce soir l’apéro ? J’en ai besoin,, la journée fût rude.
C’est ainsi que VAREL passa un agréable moment sur la terrasse d’un café avant le souper., avec son épouse.
Posté le: 30-05-2006 06:24 Sujet du message: CARNET DE LINE
LE PETIT FAON !
Le petit faon trottine derrière sa maman sur un sentier du bois de Rosenwiller ! Il est encore tout petit, il vient de naître, il n’a que deux jours le mignon. Maman ne courre pas si vite, je vais te perdre tu sais, je suis bien fatigué. Encore quelques pas mon chéri et nous serons arrivé. Je t’ai préparé un bon petit lit avec des feuillages et des branches où tu pourras te reposer mon petit trésor. Tu vois là-bas papa vient à notre rencontre et bien c’est là ta future demeure.
Hélas la biche s’est trompée, elle va directement se jeter dans la gueule du loup. Au lieu du cerf , c’est un vilain chasseur avec son chien qui est déjà aux aguets.Voila, la mère du petit faon a compris qu’il fallait a tout prix s’engager dans les broussailles pour éviter le vilain chasseur. Toi mon petit tu restes ici bien caché, tandis que moi je vais essayer de les faire partir, dans une autre partie de la forêt. Elle se cabre, elle fait un saut majestueux et se sauve comme une flèche
Le petit faon se met à pleurer Je veux ma maman, maman où es tu ? Un petit lapin sort de son terrier. Mais qui c’est qui pleure dans notre belle forêt, au parfum de muguets et de morilles fraîches. Mais petit faon, que fais tu là tout seul dans le bois ? Ne dis pas que ta maman t’a abandonné non ce serait atroce. Tu es si beau, plus beau que dans un conte de fée. Viens sécher tes larmes, mets toi là à côté de moi et raconte
Le faon tout doucement se calme. La venue du petit lapin l’a rassuré et tout d’un coup, il ferme les yeux et s’endort. Il rêve d’un beau pré avec des marguerites et des bleuets, ainsi que des coquelicots et du pissenlit bien frais. Le cerf, la biche et le petit faon, font une ronde et les oiseaux et les papillons battent la mesure. Quel beau spectacle que voila.
Petit faon, petit faon, réveilles toi, dit le petit lapin, tu as assez dormi maintenant. Regardes qui vient là, c’est ta maman qui vient te chercher. La biche tendrement caresse le pelage du petit lapin en remerciement d’avoir pris soin de son fils pendant son absence.
Je te promets, nous viendront te rendre visite mon lapin, et nous t’apporterons un grand panier plein de carottes c’est juré.
Maman, dit le petit faon, pas si vite, je vais te perdre ……….
Inscrit le: 09 Fév 2006 Messages: 1708 Localisation: Au bord de la mer
Posté le: 31-05-2006 02:27 Sujet du message:
Line, Annick, cette histoire de Bambi est la plus cruelle du monde !
On m'a emmené la voir lorsque j'avais quatre ans.
1) il a fallu me faire sortir du cinéma bien avant la fin tellement je pleurais
2) on a dû m'amener tout de suite voir ma mère sur son lieu de travail
3) je n'ai pas pu dormir la nuit suivante
4) cinquante-six ans plus tard, je dois dire que je n'ai jamais revu ce film et donc jamais la fin (mais on me l'a racontée) mais que si j'y pense, j'en pleure encore maintenant...!
C'est pas évident d'apprendre à quatre ans que les mamans ça meurt un jour ... même si la mienne (qui ne me mentait jamais) m'avait fait la promesse formelle de ne jamais me quitter... jusqu'à ce que j'aie une grande barbe blanche...
Mais Line, ton histoire est bien plus gentille pour nos petits coeurs. Vivent les Bambis et leurs Mamans !
Un gros bisou, bonne journée !
Posté le: 31-05-2006 06:32 Sujet du message: carnet de line
UN NID DE MERLES !
Sur la rive gauche du Rhin, le long de la promenade, de magnifiques peupliers s’élèvent. Tout en haut dans les cimes d’un arbre une merlette a fait son nid et donne la becquetée à cinq petits oisillons. La pauvre mère n’en fini pas d’attraper des moucherons pour se progéniture pendant que le père merle sur la pelouse des fleurs, se pavane.
Il est très soucieux depuis quelques temps. Nuit et jour il pense à ses enfants, qui sont adorables, sauf un. Il n’est pas gris il n’est pas noir il est roux et ceci intrigue le père merle. Dites moi a qui ressemble t’il. ? Pas à la merlette, pas à moi mais a qui alors bon sang. J’ai beau me creuser la tête, nous n’avons jamais eu de rouquin dans ma famille, ni dans celle de ma femme.
Pendant des jours et des jours le merle tourne en rond. sans trouver de solution. Valentine, il va falloir qu’on parle tous les deux sérieusement au sujet de nos petits Vois tu, nos oiseaux je les adore, mais il y en a un entre autre, qui ne me plait guère. Dis moi franchement a qui ressemble t’il ce petit rouquin. Je commence, après des jours et des jours a me poser des questions, est ce vraiment moi le père .de cette nichée ? Barnabé comment oses tu en douter. Ce ne sont pas les occasions qui me manquent, crois moi, belle comme je suis mais je ne veux même plus discuter avec toi. D’ici quelques jours, quand les petits pourront voler, je ferai ma valise et tu te débrouilleras tout seul.
Barnabé tu m’as offensée, jusqu’au profond de moi-même. Au, grand jamais je ne te pardonnerai ceci. Et moi qui croyais que la confiance régnait, eh bien j’étais bien bête, crois moi.
Puisque c’est comme ça, laisses moi te dire que le petit rouquin n’est pas notre fils C’est un petit coucou que sa mère a déposé chez nous. Il y est et il restera, le temps qu’il faut.
Barnabé écarte ses ailes pour enlacer sa femme. Elle le repousse, ah non mon vieux fallait y penser avant maintenant c’est trop tard Le mal est fait. Barnabé secoue la tête et va se pavaner sur la pelouse Quel idiot j’étais, j’aurais du y penser ce n’est pas la première fois que ça arrive.
Priska, pour en revenir à Bamby, mon fils devait avoir à peu près cet âge là !
Quel chagrin, ça a duré très longtemps, on était allé au cinéma l'après-midi, la nuit il pleurait encore.
Il en a gardé un violent sentiment de révolte contre la souffrance animale. _________________
" Le bonheur ne court pas le monde; il faut vivre où l'on est heureux "
Posté le: 01-06-2006 06:59 Sujet du message: carnet de line
!UN ENFANT TOMBE DU CIEL OU CONCU PAR LE ST ESPRIT !
C’est bientôt les vacances de fin d’année. Pour certain fini les études et les universitaires s’apprêtent à festoyer. le bizutage les attends D’après les anciens , c’est une soirée mémorable ou toute les farces sont permises. Mais voila trop, c’est trop
Certains étudiants, surtout la médecine, ont pour ce soir loué un local pour s’amuser et faire la java. Des chansons grivoises sont chantées et des jeux sont faits, comme par exemple. Tous assis sur le dos de la chaise autour d’une table ronde doivent essayer d’uriner dans une assiette posée devant eux à une certaine distance. Rigolade générale.
Voici trois bouts entrains, pour eux les jeux ne sont pas assez corsés. Ils ont décidé de participer tous les trois à un viol collectif.
Parmi eux, une jeune fille assez réservée, de bonne famille, intelligente mais très timide la petite FLORA fera leur affaire, pour ce soir. Les voila ces trois messieurs avec leurs doctorats dans la poche, ils ne savent plus quoi faire pour marquer le coup, leur nomination. Le ier dit laissez moi faire les amis.Le 2 eme veut danser avec elle un slow langoureux et le troisieme larron l'invite à boire un verre au bar. Il n'aura plus qu'à lui administrer un narcotique dans son champagne et le tour est joue. _________________ !
Posté le: 02-06-2006 04:10 Sujet du message: carnet de line
2 eme partie Un enfant( tombé du ciel !
FLORA commence après quelques gorgées de champagne à devenir fatiguée et se laisse facilement entraîner dans une arrière salle abandonnée.
C’est ici que ces trois écervelés profiteront de cette pauvre petite endormie. L’alcool a coulé à flots la moitié de la nuit et ces trois jeunes sont incapables d’avoir des idées nettes leurs actes. malveillants. La petite FLORA collé contre le mur assise contre la table et la chaise et abandonnée. Le sommeil est tellement profond, rien n’a pu la réveiller.
Une heure après la jeune fille fût retrouvée par ses amis qui la cherchaient désespérément. Ah te voila FLORA, tu t’ai endormie, nous allons rentrer c’est terminé, viens nous allons t’accompagner. Je te ramène, j’ai la voiture tout prés d’ici lui dit une amie.
Deux mois après !
Tous les matins au saut du lit, FLORA a des hauts le cœur et le café au lait ne passe plus. Elle adorait son petit déjeuner tous les matins avant les cours et maintenant préfère la tisane. Que t’arrive t’il dit la maman, tu es toute drôle ces derniers temps Si tu avais un fiancé, je dirais même que tu attend un enfant, tu as exactement les même symptômes que j’avais lorsque je te portais Maman arrête, de qui veux tu ? Du Saint esprit peut être ? FLORA se met à rigoler.
Un mois après ! Ma fille dit la maman, tu vas trouver un gynécologue et pas plus tard qu’aujourd’hui. Tu commence a avoir des rondeurs, ta poitrine a augmenté de volume tu as tout pour. Mais maman tu m’énerves à la fin, c’est absolument. Impossible arrête tes sottises.
Bon maman pour te rassurer j’irais voir un docteur, mais surtout ne prends pas tes désirs pour des réalités.
DIAGNOSTICS FLORA est enceinte de trois mois, date du bizutage
Lequel des trois est le père, on ne saura jamais. Enigme ? Les trois larrons se garderont bien de mettre ceci sur le tapis. FLORA ne comprend rien à cette histoire et sa maman est convaincue que sa fille lui ment.
Le violeur qui lui a administré le somnifère a de terribles remords. Il n’en dort plus la nuit. Comment faire pour se racheter et en même temps ne pas dénoncer ses amis. Il commence a faire la cour à FLORA mal grés son état. De fréquentes sorties, cinéma, restaurant visites de musés de longues promenades dans les champs et sur les rives du RHIN le soir au clair de lune, sont entrepris. MARC, c’est le nom du violeur. Il voudrait une fois pour toute tout avouer, mais ce n’est pas possible il y a les deux copains.
Avant la naissance MARC va demander la main de FLORA aux parents Il est décidé de tout avouer à sa femme une fois marié. En aura-t-il le courage, il en faudra bien.
MARC est un excellent mari, un merveilleux père pour cette petite fille du nom de Jade. Il adore sa fille, pour lui s’est la sienne. Nuit et jour il pense à ce cas de conscience, comment dire à sa femme, quel cauchemar.
Il va lui dire, demain, oui demain à tête reposée Il le dira, même sur son lit de mort il le dira, mais demain !
Posté le: 03-06-2006 06:25 Sujet du message: carnet de line
ROUCOULETTE LA REINE DU SHOW-BIZ !
Dans un bar de nuit ce soir grand programme à l’affiche Sur scène et ceci pendant trois jours, la belle et mystérieuse ROUCOULETTE, LA REINE DU SHOW-BIZ, va vous émerveiller de sa voix suave en vous chantant quelques mélodies polissonnes. Ne ratez pas ce rendez-vous, vous pourriez le regretter.
A la caisse, les gens se bousculent. Tous veulent voir la seule et unique REINE DU SHOW-BIZ. accompagnée par son imprésario, JULES CEZAR au piano.
Comment, tu ne la connais pas dit un spectateur à son voisin, cette belle, divine créature, que tous les hommes se dispute Elle a un charme fou, attention c’est une ensorcelleuse . Il te faudra des semaines pour l’oublier, si jamais tu as le malheur de l’approcher de trop près ! Sois sur tes gardes.
Le bonhomme averti n’est autre que le brigadier de VAREL. Il est içi ce soir , mais en service. Avant le spectacle, un coup de fil a été enrégistré au commissariat pour signaler que la REINE DU SHOW-BIZ était en danger. VAREL a envoyé tous ses hommes ce soir dans le bar pour se mêler entre les clients et surtout bien observer le genre de clientèle qui a bien pu se donner rendez vous ce soir
Le rideau s’ouvre ! Mesdames et Messieurs Meine Damen und Herren Laydies and Gentlemen Vous allez assister ce soir à un grand programme de luxe avec la participation de
La REINE DU SCHOW-BIZ ainsi que des plus jolies filles de nos régions. Je vous souhaite une très bonne soirée parmi nous. Et que la fête commence. !
Au bar un client est mécontent .on vient de lui servir un scotch sans glaçons. C’est encore un policier de VAREL qui est employé derrière le bar. Vous trouverez un autre à l’entrée de la salle et quelques autres dispersés à droite et a gauche Pour l’instant rien à signaler
Des applaudissements fusent dans la salle. LA REINE vient de faire son apparition. Elle est divinement belle. Maquillée à outrance et habillée d’un voile transparent La salle est à son apothéose ! oh oh
JULES CEZAR donne les premières notes, la diva ouvre la bouche, mais aucun son ne sort .elle tourne les yeux et s’écroule. Un cri d’horreur s’échappe de la foule. Les policiers le s plus prés de la scène vont pour relever la malheureuse, hélas, elle est morte. Morte de quoi, on n’en sait rien pour le moment…
Le patron du bar est arrivé en courant. Elle est peut être évanoui dit il, non dit le sergent, son cœur s’est arrêté de battre. Aucune plaie, n’est visible, il y a t’il un médecin dans la salle ? Oui, il arrive ! Le bouche à bouche a été pratiqué, ainsi que le massage cardiaque, tout en vain. La belle est trépassée.
D’après le médecin légiste, la femme a été empoisonnée à l’arsenic. Voila son diagnostic après toutes les recherches entreprises sur le cadavre.
D’après VAREL le meurtrier doit connaître les petites habitudes de la morte. Régulièrement tous les soirs avant de monter sur scène elle buvait un verre d’eau. La carafe ainsi que le verre était en permanence sur le guéridon à coté du téléphone. Lorsque la jeune femme a quitté sa loge, on avait tout le temps pour changer le verre Qui donc avait accès à sa loge ?
De l’autre coté de la ville habite une veuve avec trois enfants. L’aîné vingt ans en chômage et deux filles scolarisées. Elle a du mal avec ses trois enfants de vivre avec les quelques sous qu’elle gagne en faisant des ménages. La vie est dure depuis que son mari les a quitté pour d’autres cieux. Régulièrement elle va au cimetière lui apporter des fleurs, ne serais ce que quelques marguerites .Elle a beau courber l’échine, c’est très dur surtout avec le gamin. C’est un gentil gosse, mais il n’en fait qu’à sa tête. Il parait qu’à son âge ils sont tous pareils lui a dit une voisine, ça la réconforte un peu. Il prétend que sa maman est trop dépensière, c’est pour cela qu’ils sont pauvres. Mais il ne pense pas, que lui est trop fainéant pour aller travailler.
Depuis qu’il a vu dans un patelin à coté de chez eux dans un bar la REINE avec un copain, il la suit dans tous ses déplacements. La pauvre femme, elle a beau lui expliquer, qu’elle n’avait plus d’argent, que le loyer n’était pas payé. Le gosse il voulait voir cette femme qui l’envoûté. Car il la suivait pas à pas. C’est comme ce soir, pas loin de la scène il a assisté à l’agonie de la DIVA. Il se tient la tête et court vers la sortie, un policier l’arrête lui demande ses papiers.
On emmène EDDY au commissariat. On lui demande son emploi du temps de la journée. La mère a été avertie que son fils ne rentrera pas pour la nuit. Rendez moi mon fils, mon petit n’est pas un meurtrier dit la pauvre mère au téléphone.
Le bar est fermé depuis une quinzaine de jours, depuis la date de l’empoisonnement de la REINE Les employés sont tous au chômage. Le patron et sa femme sont seuls tous les deux et passe leur journée à se crêper le chignon. Le patron est un sale cavaleur d’après madame, et elle est jalouse comme un pou. Le patron a la même maladie qu’EDDY il était envoûté par la REINE .Oh combien de nuits il découchait ou ne rentrait qu’à l’aube, pour assister à une de ses représentations et madame tenait le bar toute seule. D’ailleurs elle n’était nullement d’accord pour la faire chanter dans son établissement. En plus son cachet lui coûtait les yeux de la figure ! Son mari ne voulait rien savoir et n’en fit qu’à sa tête. Tout ça elle le confie à VAREL lors de son interrogatoire.
VAREL pense avoir trouvé la solution EDDY après un long sermon de la part de VAREL est renvoyé dans sa famille.
La patronne du bar a été arrêtée avec sa voiture avant la frontière suisse. Elle voulait se rendre chez une amie en Italie
C’est elle qui a mis le poison dans le verre d’eau de la REINE la reine du SHOW-BIZ LINE _________________ !
line, je serai absente encore deux jours,
je reçois mon amie, et son mari, de charente Maritime..........on va
faire les plages du débarquement.............bisou à toi _________________ poete_musika..4 mains
Posté le: 04-06-2006 06:10 Sujet du message: carnet de line
Le marchand de glace
URL=http://imageshack.us][/URL]
Tout prés de chez moi, le palais de la glace, tenu par un italien fait quotidiennement son affaire ça s’appelle « LE VENITIEN « Quel régal une bonne glace en été par 35 degrés et plus . Il y en a de toutes sortes, vous avez l’embarras du choix.
VANILLE CHOCOLAT CAFE FRAISE NOUGAT CROQUANT CITRON PISTACHE RA1ISIN RHUM SPAGHETTI POIRE BELLE HELENE MANQUE KIWI FIGUE DATTE ORANGE MANDARINE BANANE NOIX AMANDE. On voudrais toutes les goûter, mais attention à la ligne .Celles que je préfère, se sont les parfums exotiques
CASSIS MYRTILLES FRAMBOISES POIRE PRUNES ABRICOTS PECHES ETC ;
Une portion de 3 boules de 5 boules de 7 boules et après la maxi portion je ne vous dis pas énorme. Avec ou sans chantilly, d’après le client .
Deux petites clientes font leur rentrée dans le magasin. Une fillette de 10 ans a peu prés poussant une petite dans une charrette. Chacune dans la main quelques pièces de monnaie pour l cornet chacune. La grande ne sais que prendre , mais la petite qui adore le citron, veut du citron. Elle n’a même pas sa glace encore, elle fait déjà semblant de lécher, elle est marante cette petite. Le patron l’aime bien c’est une petite voisine, elle vient presque tous les jours avec sa petite sœur.
La fillette dans sa charrette a peine sa glace en main commence à déguster. Que ce passe t’il, la gamine a eu un de ces frissons, elle en a les larmes aux yeux. Ce n’est pas bon demande le patron , pourquoi cette figure ? La grande tout de suite goûte la crème au citron et elle rigole
Monsieur dit elle, vous avez oublié le sucre dans votre glace ! LINE _________________ !
Posté le: 05-06-2006 06:31 Sujet du message: carnet de line
EAU PARFUMEE !
Au stand des galeries Lafayette une jeune femme très élégante est entrain de choisir une eau de toilette. Quelque chose de gai e, de jeun e de frais qui va bien avec son personnage, surtout pas un parfum lourd par cette chaleur.
La petite vendeuse se donne vraiment du mal à présenter toute la gamme de fioles de son présentoir, mais la cliente n’arrive pas à se décider .Ses yeux se pose sur un petit flacon d’une couleur sombre et demande de le sentir. La vendeuse se retourne pour voir si personne ne l’observe avant de souffler à l’oreille de sa cliente. Surtout pas celui-là madame, oh que non, c’est un produit du diable. Combien d’accident sont déjà arrivés à des personnes qui ont acheté ce produit Si ma patronne m’entend, je perds ma place sur le champ ! elle prétend que ce sont des commérages.
Un jour une voisine en a acheté, elle est laborantine . Quelques gouttes sur une plaque de verre pour en connaître la formule, mais tout était brouillé, le tout illisible. Elle a donné ce flacon a sa cousine, laquelle a fait une chute mortelle dans les escaliers. Un autre cas - Une dame a trouvé dans le carton de la fiole un petit billet lui disant que dorénavant tout ce qui lui était interdit jusqu’à présent est toléré maintenant depuis qu’elle possède ce parfum. Devant la barrière d’un train elle fait halte avec sa voiture. Les feux rouges et verts se succèdent, elle démarre et c’est la catastrophe. Je pourrais vous en citer des exemples et tout ceci dû a ce satané parfum. Je vous en conjure ne l’achetez pas madame.
Voici la patronne qui arrive. Puis je me permettre de vous aider à faire votre choix. Ah je vois vous vous intéressés au « NUIT DE CHINE « , il est unique, gai frais vaporeux . Je vous le conseille vivement, il va bien avec vous. La vendeuse par contre essaie de l’en dissuader et fais des mains et des jambes derrière le dos de sa patronne. Mon employée va certainement vous le déconseillé, comme elle le fait depuis des mois, mais moi je vous dis ; la vous faites une bonne affaire. !
Apres le départ de la patronne, la vendeuse raconte, que le diable en personne est venu la trouver pour lui dire que c’est lui-même qui fabrique cette essence avec des herbes rares trouvées tout la-haut dans les montagnes et ou lui seul a accès. Ne riez pas Madame j’en ai la preuve. Le diable est boiteux, même qu’il a laissé ses empreintes brûlées sur les dalles de notre maison.
Plusieurs jours après, la pauvre vendeuse se trouve derrière les barreaux d’une maison de repos. Ses nerfs sont ébranlés, la fatigue, le stress , elle en aura pour des mois a se remettre. Comme c’est un bon élément la patronne va se débarrasser de « NUIT DE CHINE « dans sa
gamme de parfum et lui réservera sa place derrière le présentoir.
D’après les médecins, elle a pété les plombs en faisant un mauvais rêve, la pauvrette.
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