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voyage tchecoslovaquie

 
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MessagePosté le: 03-10-2005 14:46    Sujet du message: voyage tchecoslovaquie Répondre en citant

voici la Tchecoslovaquie ! que j'ai visité il y a une vingtaine d'années



Tchécoslovaquie
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.



La Tchécoslovaquie fut un pays d'Europe centrale d'octobre 1918 au 31 décembre 1992 (à l'exception de la période 1938-1945).

Créée sur les décombres de l'Empire austro-hongrois, la Tchécoslovaquie regroupe en un même État Tchèques et Slovaques, deux peuples de langue proche, avec Prague pour capitale.


Timbre de l'occupation allemande de la Bohême-MoravieDes dissensions voient cependant jour dans le pays, les Slovaques ressentant mal la prééminence tchèque. Une première partition a lieu durant la Seconde Guerre mondiale, des fascistes slovaques profitant du dépeçage du pays après les Accords de Munich en 1938 pour créer un État indépendant dirigé par Mgr Tiso et soutenant l'Allemagne nazie.

Après la guerre, le pays est réunifié. Suite au Coup de Prague de 1948, les communistes prennent le pouvoir et la Tchécoslovaquie est le dernier pays d'Europe à passer du côté soviétique du « Rideau de fer ». Une timide libéralisation en 1968, appelée Printemps de Prague, entraînera une intervention des forces du Pacte de Varsovie qui refermera le pays pour 20 ans.

Profitant de la politique de tolérance de l'URSS mise en place par Gorbatchev, le pays recouvre sa liberté en 1989 grâce à la Révolution de velours et porte à sa tête le dramaturge et dissident Václav Havel. Celui-ci ne pourra empêcher les susceptibilités nationales encouragées par des dirigeants politiques populistes de causer la séparation à l'amiable du pays en 1993, créant la République tchèque et la Slovaquie, surnommée la « partition de velours ».

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Démographie
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MessagePosté le: 03-10-2005 15:02    Sujet du message: Tchecoslovaquie Répondre en citant

Voici Prague

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MessagePosté le: 03-10-2005 15:10    Sujet du message: voyage Europe Tchecoslovaquie Répondre en citant

photos PRAGUE


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MessagePosté le: 03-10-2005 15:20    Sujet du message: voyage tchecoxslovaquie Répondre en citant

PRAGUE



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MessagePosté le: 03-10-2005 15:26    Sujet du message: tchecoslovaquie Répondre en citant

suite et fin



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chouchoute



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MessagePosté le: 03-10-2005 16:59    Sujet du message: Répondre en citant

Ah non Line, tu ne nous a pas tout dit sur Prague. Moi, j'en veux plus....parle nous des restos, de ce qu'on mange, de l'opéra, des jardins, des palais ....Nous, on veut tout visiter..... Wink Wink
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MessagePosté le: 03-10-2005 17:41    Sujet du message: tchecoslovaquie Répondre en citant

chouchoute. Moi j'etais en famille il y a vingt ans. On n'est pas aller a l'opera ni au resto, les aliments etaient( encore rare.s Je crois bien ca fais plus longstemps même. Chez ma cousine on a mangé la gulash de boeuf du apfelstrudel et le reste je ne m'en souviens plus. La il faudrait avoir une tête comme une gamelle aussi grande. Toutes ces annees , tu te rends compte. bise LINE
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chouchoute



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MessagePosté le: 03-10-2005 17:42    Sujet du message: Répondre en citant

Mais si tu cherches avec Google, tu vas trouver....veux tu que je cherche pour toi....
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MessagePosté le: 03-10-2005 18:50    Sujet du message: Tchecoxlovaquie Répondre en citant

demain ma fille. Je suis debout depuis 4 heures du matin, je tombe de sommeil.Bonne nuit a tous et a demain bise LINE
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MessagePosté le: 04-10-2005 07:43    Sujet du message: tchecoslovaquie Répondre en citant

opera de prague
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chouchoute



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MessagePosté le: 04-10-2005 07:45    Sujet du message: Répondre en citant

Mickael, je voudrais te poser une question.....je sais que tu as fait quelques petites modifications sur le forum, mais voilà ce qui s'est passé ici. Notre amie Huffschmidt avait posté deux fois son message et j'ai donc essayé d'en enlever un....lorsque je me suis positionné sur un des posts en trop et que je l'ai supprimé, à ma grande surprise, les deux posts se sont trouvés zappés et à la place il y avait un message préécrit...message supprimé...Heureusement qu'avec les petites flèches précédente de mon ordinateur, j'ai pu revenir quelques pages en arrière et ai retrouvé mon texte, que j'ai copié et que je suis revenu coller dans le post.....
Il faut vraiment que tu fasses quelque chose, car là cela devient très compliqué d'effacer ...... Crying or Very sad Crying or Very sad

Par contre, j'ai apprécié le fait qu'en recollant son texte, il soit apparu sous son pseudo et non pas sous le mien..... Wink
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MessagePosté le: 04-10-2005 07:47    Sujet du message: tchecoslovaquie Répondre en citant

Opera Prague




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MessagePosté le: 04-10-2005 07:51    Sujet du message: au sujet de supprime Répondre en citant

Chouchoute c'est moi qui est supprime . J voulais encore supprime le premier, mais il parait que je ne pouvais pas soit disans qu'il ne m'appartenait pas. Exeptionellement j'ai trouve editer sur le page, d'habitude ce n'y est pas . bisou LINE
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MessagePosté le: 04-10-2005 07:57    Sujet du message: Tchecoslovaquie Répondre en citant

leTchécoslovaquie
2. Une Histoire séparée

Évangélisée par Cyrille et Méthode à la fin du IXe siècle, la Bohême fit partie du royaume de Grande-Moravie, incluant également la Moravie, qui tomba sous le joug magyar en 905. Partie intégrante du Saint Empire romain germanique dès sa fondation au IXe siècle, la Bohême y resta jusqu'à sa disparition, en 1806. Les princes bohémiens, les Premyslides, obtinrent de l'empereur le titre de roi à titre personnel, puis à titre héréditaire et définitif avec Ottokar Ier en 1192. C'est à cette époque qu'ils annexèrent la Moravie, disputée par les Polonais.

Après l'extinction de la dynastie des Premyslides, la couronne de Bohême revint à Jean de Luxembourg, en 1310. Son fils lui succéda en 1346 et parvint à se faire élire sur le trône impérial sous le nom de Charles IV. Son règne marqua l'apogée du royaume. Il annexa la Silésie, la basse Lusace, les pays de Cheb et de Znojmo. Il fonda l'archevêché (1344) et l'université de Prague (1348) et il fit de cette ville la capitale de l'empire. En 1356, il promulgua la Bulle d'or qui fixa le mode d'élection des empereurs.

Sur le plan artistique, le XIVe siècle fut le premier âge d'or de la Bohême. Charles IV, roi mécène, fit venir à Prague des artistes de toute l'Europe, qui réalisèrent des enluminures de manuscrits (Jean de Troppeau) et des peintures sur bois (Nicolas Wurmser). À Prague, l'architecte et sculpteur souabe Peter Parler fut le maître d'œuvre de la cathédrale Saint-Guy et fit édifier le pont Charles. Les fresques gothiques réalisées par le maître Théodoric au château de Karlstejn sont l'un des plus beaux exemples de l'art de cette époque. Un style gothique original se développa, baptisé gothique Vladislav, du nom d'une salle du palais Hradcany, à Prague. Wenceslas, fils de Charles IV, lui succéda sur le trône de Bohême (1363) et de l'empire (1378), mais fut confronté à la rébellion des princes allemands qui le contraignirent à renoncer au trône impérial (1400) au profit de son frère Sigismond. Dans son propre royaume, l'autorité de Wenceslas fut contestée par le clergé et la noblesse. Surtout, il ne put faire face à l'agitation provoquée par les prédications de Jan Hus. Très influencé par les écrits du théologien anglais John Wyclif, ce jeune prêtre commença à prêcher pour une réforme de l'Église à partir de 1402 et défendit l'idée d'une interprétation individuelle de la Bible, qu'il entreprit de traduire en tchèque. Excommunié en 1411 puis de nouveau en 1412 à cause de ses attaques contre les indulgences de l'antipape Jean XXII, il fut convoqué au concile de Constance en 1414. Malgré le sauf-conduit qu'il lui avait accordé, l'empereur Sigismond le fit brûler vif en 1415 après sa condamnation par l'Église. Jan Hus, qui contribua à fixer la langue littéraire tchèque, a profondément marqué la conscience de ce peuple, volontiers anticlérical. Sa mort marqua le début d'une révolution nationale en Bohême. Sigismond lança plusieurs croisades pour se faire reconnaître roi de Bohême et ne monta sur le trône qu'en 1434. Il signa un compromis avec les hussites, les autorisant à communier sous les deux espèces, mais seuls les modérés (« praguois ») acceptèrent. Les radicaux (« taborites ») continuèrent la lutte. À la mort de Sigismond, en 1437, ses biens passèrent à la famille des Habsbourg catholiques, qui s'imposèrent définitivement sur les trônes de Bohême et de l'empire en 1526, après une longue période de troubles. Le calme revint alors durablement en Bohême.

L'empereur Rodolphe II, roi de Bohême de 1575 à 1611, reprit le rôle de mécène qu'avait eu Charles IV en son temps et refit de Prague sa capitale. Sous son règne, elle devint l'une des cités les plus rayonnantes d'Europe et un chef-d'œuvre de l'art baroque. Il appela auprès de lui les plus grands artistes européens (Giuseppe Arcimboldo, Bartholomeus Spranger) et se fit le protecteur des astronomes protestants Tycho Brahé et Johannes Kepler.

Durant plusieurs siècles, Prague attira des architectes qui bâtirent de somptueux édifices baroques : le Belvédère et le palais Schwarzenberg (XVIe siècle), le palais Cernin, de Caratti, au siècle suivant. Au XVIIIe siècle, les membres de la famille Dientzenhofer, architectes allemands, réalisèrent des églises (Saint-Nicolas-de-la-Vieille-Ville, Saint-Jean-sur-le-Rocher et Saint-Thomas) en accord avec les préceptes esthétiques de la Contre-Réforme. Certains peintres (K. Skréta, P.J. Brandl) et sculpteurs (M. Braun, F.M. Brokoff) tchèques parvinrent néanmoins à traduire leurs aspirations nationalistes.

La germanisation et le non-respect des libertés religieuses reconnues par Rodolphe II en 1609 aggravèrent les tensions entre catholiques et hussites qui avaient adopté le protestantisme. La défenestration de Prague, le 23 mai 1618, déclencha la guerre de Trente Ans. Les insurgés refusèrent le trône au Habsbourg Ferdinand II, catholique intransigeant, et le confièrent à l'électeur palatin Frédéric V, calviniste. La défaite des protestants à la Montagne Blanche, le 8 novembre 1620, marqua la fin de l'autonomie de la Bohême, au profit des Habsbourg. Fuyant la répression, 30 000 nobles et bourgeois ayant refusé de se convertir, émigrèrent. La grande noblesse et le clergé accrurent leurs pouvoirs, le commerce passa sous le contrôle des Allemands, tandis que les campagnes étaient secouées par de violentes jacqueries (1680, 1693-1695).

L'annexion de la plus grande partie de la Silésie (possession de la Bohême depuis le XIVe siècle) par les Prussiens lors de la guerre de Succession d'Autriche (1740-1748), puis l'accueil enthousiaste réservé aux troupes franco-bavaroises en 1741-1742 marquèrent le peu d'attachement des Tchèques vis-à-vis des Habsbourg. La germanisation et la répression du protestantisme se poursuivirent au XVIIIe siècle.

L'impératrice Marie-Thérèse, puis surtout Joseph II, accrurent la centralisation au profit de Vienne. Ils développèrent la bureaucratie de l'empire et imposèrent l'allemand comme langue administrative. L'édit de Tolérance de 1781 apporta, en revanche, une amélioration du sort des protestants et des juifs.

Le début du XIXe siècle fut marqué par le réveil de la conscience nationale tchèque, exprimé par les éveilleurs : František Palacký, Josef Dobrovský, Josef Jungmann, Pavel Josef Safařik. Cette génération d'intellectuels inspira largement le soulèvement de Prague, en 1848. Le Congrès slave organisé par Palacký fut dispersé par le général Windischgrätz et le mouvement fut sévèrement réprimé. Le projet de constitution proposé par le député morave Cajetan Mayer reconnaissant les nations historiques de l'empire fut approuvé par l'Assemblée, mais rejeté par l'empereur François-Joseph Ier. Le souverain octroya une Constitution réactionnaire aussitôt approuvée par l'aristocratie de Bohême.

Le compromis austro-hongrois de 1867, qui mettait la Hongrie et l'Autriche sur un pied d'égalité, provoqua un profond ressentiment chez les Tchèques, unis à Vienne par une simple union personnelle, comme les Hongrois. L'échec du mouvement des Vieux Tchèques de Palacký, qui souhaitait la création d'une confédération où l'autonomie de la Bohême serait reconnue, leur fit perdre de leur crédit au profit des Jeunes Tchèques, partisans du séparatisme.

La fin du XIXe siècle fut une période d'essor économique pour la Bohême. Le développement industriel la plaça au niveau des pays d'Europe occidentale et favorisa les progrès du Parti social-démocrate au sein de la classe ouvrière. Divers facteurs encouragèrent le nationalisme : les progrès de l'instruction, l'attribution de la plupart des postes de l'administration à des Tchèques et l'adoption du suffrage universel en 1906. L'affirmation du particularisme tchèque fut notamment sensible sur le plan artistique avec l'émergence d'une génération de peintres et d'écrivains brillants.

Enfin, au sein de l'empire, les Tchèques se rapprochèrent des Slovaques, placés dans la sphère d'influence hongroise depuis des siècles. La magyarisation forcée de la Slovaquie après le compromis de 1867 et le retard accumulé dans l'instruction et le développement économique provoquèrent une vague d'émigration à partir de la fin du XIXe siècle. Le Parti populiste catholique de Andrej Hlinka et celui du journal Hlas, se rapprochèrent des Tchèques.


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chouchoute



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MessagePosté le: 04-10-2005 07:59    Sujet du message: Répondre en citant

Ah bon Line....on a dû faire les choses toutes les deux en même temps alors...ça, c'est rigolo alors....Donc, il n'y a pas de mystère . cette fois-çi, je l'ai vraîment supprimé.. Wink Wink ..Bisous ma Line....
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MessagePosté le: 04-10-2005 08:06    Sujet du message: Tchecoslovaquie Répondre en citant

Pragues


bisou LINE
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MessagePosté le: 04-10-2005 08:28    Sujet du message: Tchecoslovaquie Répondre en citant

Opera



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MessagePosté le: 12-11-2005 11:19    Sujet du message: voyage tschecoslovaquie Répondre en citant

le cristal de Bohême est tres renommé. Voici un exemplaire !



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MessagePosté le: 12-11-2005 11:27    Sujet du message: voyage Tschecoslovaquie Répondre en citant

suite


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