Retraite Active

[Annick]

Il vient d'écoper de 6 mois de prison.

L'ex-détenu placé sous surveillance électronique après avoir purgé sa peine pour le viol d'une fillette a été interpellé mercredi soir à Lisieux après ne pas avoir respecté les conditions fixées à sa remise en liberté.
L'alarme reliée à son bracelet s'est déclenchée alors qu'il était dans un état d'ébriété avancé et n'était pas rentré au foyer qui l'héberge à l'heure convenue au moment de sa libération, a-t-on précisé de même source.

Libéré le 24 septembre, il est le premier ex-détenu à être doté d'un bracelet électronique après avoir purgé sa peine (14 ans de réclusion criminelle pour le viol d'une collégienne de 11 ans). Il avait donné son accord pour être placé sous surveillance électronique mobile (PSEM), une mesure jusqu'alors réservée aux personnes en liberté conditionnelle.
Le PSEM s'ajoute aux autres mesures de surveillance judiciaires que l'ex-détenu doit respecter, telles que des obligations de suivi médical, de recherche d'emploi et d'accompagnement social. Ces mesures doivent être suivies pendant trois ans et quatre mois.

Une loi du 12 décembre 2005 permet d'utiliser le PSEM pour des personnes libérées ayant purgé leur peine de prison mais faisant l'objet d'une surveillance judiciaire ou d'un suivi socio-judiciaire.
_________________

" Le bonheur ne court pas le monde; il faut vivre où l'on est heureux "

[campanule]

D'accord Annick.
C'est bien le fameux violeur dont nous avions parlé il y a quelque temps ?

[Annick]

Oui Campanule,

C'est le seul équipé du bracelet.

Ce que je trouve abérrant, c'est qu'ils doivent donner leur accord pour être équipés du bracelet.
Cela devrait être obligatoire !
La justice demande la permission, on aura tout vu.

Si Fourniret avait été équipé d'un bracelet, il aurait peut-être récidivé une fois, mais il n'y aurait pas eu toutes ces victimes qu'il a faites après sa première sortie de prison.
_________________

" Le bonheur ne court pas le monde; il faut vivre où l'on est heureux "

[campanule]

Je suis vraiment tout à fait d'accord avec toi.

[JONAS18]

L'accord qui lui a été demandé était une condition indispensable. Il s'agissait de le libérer ou pas. Il ne faut pas se cacher la vérité sur ce moyen de surveillance. Son étude et sa mise au point n'avaient au départ qu'un seul objectif: réduire le taux d'occupation des prisons. C'est encore une fois une question de budget. Pour ma part j'irai même jusqu'à proposer de mettre un bracelet de positionnement à toutes les personnes pouvant représenter un danger pour nos enfants.
_________________
Vive la vie à la campagne.
Jonas18