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MessagePosté le: 07-07-2007 02:38    Sujet du message: litterature Répondre en citant

Anatole France
(1844 - 1924)

Biographie d'Anatole France :
Jacques Anatole François Thibault, de son vrai nom, écrivain français, dont le père était libraire. Il commence sa carrière par la poésie avant de s'orienter vers la prose. D'abord bibliothécaire au Sénat, il collabore à diverses revues puis rédige les chroniques littéraires du journal "Temps", de 1866 à 1893.

Anatole France acquiert la notoriété avec "Le crime de Sylvestre Bonnard" (1881). Au fil des ans, il s'intéresse de plus en plus aux problèmes politiques. Avec son ami Emile Zola, il signe la pétition des intellectuels en faveur d'Alfred Dreyfus. Dans "Histoire contemporaine", il décrit de manière très fine les problèmes de son temps tels qu'il les perçoit en animant le Salon de Mme de Caillavet, son égérie. "L'île des pingouins" (1908) est une vive critique des professionnels de la politique. Il publie également des romans historiques : "Les dieux ont soif" (1912), "Le petit Pierre" (1918.

Son œuvre littéraire est plus classique, moins progressiste que ses engagements politiques et humanistes. Mais son sens de la formule est aiguë ("On croit mourir pour la patrie et on meurt pour des industriels"). Son scepticisme et son ironie transparaissent à travers ses romans où il dépeint un monde que le fanatisme rend cruel. Anatole France participe au mouvement de la Libre Pensée, fait qui est souvent omis par ses biographes. Dans la "Révolte des Anges", il exprime ses idées sur la religion, sur Dieu, sur la vie.

Il est élu à l'Académie Française en 1896 et reçoit le Prix Nobel de littérature en 1921.
Bibliographie : Alfred de Vigny (essai, 1868), Poèmes dorés (1873), Jocaste et le chat maigre (Nouvelles, 1879), Le crime de Sylvestre Bonnard (1881), Balthazar (1889), Thaïs (1890), La rôtisserie de la Reine Pédauque (1893), Le lys rouge (1894), Le jardin d'Epicure (1894), L'orme du mail (1897), Histoire contemporaine (4 volume de 1897 à 1901), L'affaire Crainquebille (1903), L'Eglise et la République (1905), Sur la pierre blanche (1905), L'île des pingouins (1908), Les dieux ont soif (1912), La révolte des anges (1914), Le petit Pierre (1918), La vie en fleur (1922).
Liens:
Le site d’André Bourgeois – Anatole France
L'Encyclopédie de L'Agora : Anatole France
Nox Oculis - Jacques Anatole François Thibault , dit Anatole France





Citations d'Anatole France :
"Dieu, dans sa bonté, veut qu'un seul moment nous sauve ; encore faut-il que ce moment soit le dernier."
(Anatole France / 1844-1924 / La rôtisserie de la reine Pédauque, 1893)

"Le christianisme a beaucoup fait pour l'amour en en faisant un péché."
(Anatole France / 1844-1924 / Le jardin d’Epicure, 1894)

"Nous appelons dangereux ceux qui ont l'esprit fait autrement que nous et immoraux ceux qui n'ont pas notre morale."
(Anatole France / 1844-1924 / Le jardin d’Epicure, 1894)

"Il faut, dans la vie, faire la part du hasard. Le hasard, en définitive, c'est Dieu."
(Anatole France / 1844-1924 / Le jardin d’Epicure, 1894)

"A tout considérer, un métaphysicien ne diffère pas du reste des hommes autant qu'on croit et qu'il veut qu'on croit. Et qu'est-ce que penser ? Et comment pense-t-on ? Nous pensons avec des mots ; cela seul est sensuel et ramène à la nature. Songez-y, un métaphysicien n'a, pour constituer le système du monde, que le cri perfectionné des singes et des chiens. Ce qu'il appelle spéculation profonde et méthode transcendante, c'est de mettre bout à bout, dans un ordre arbitraire, les onomatopées qui criaient la faim, la peur et l'amour dans les forêts primitives et auxquelles se sont attachées peu à peu des significations qu'on croit abstraites quand elles sont seulement relâchées.
N'ayez pas peur que cette suite de petits cris éteints et affaiblis qui composent un livre de philosophie nous en apprenne trop sur l'univers pour que nous ne puissions plus y vivre."
(Anatole France / 1844-1924 / Le jardin d'Epicure, 1894)

"On ne méprise pas la science sans mépriser la raison ; on ne méprise pas la raison sans mépriser l'homme ; on ne méprise pas l'homme sans offenser Dieu."
(Anatole France / 1844-1924 / L'orme du mail, 1897)

"Sainte mère de Dieu, vous qui avez conçu sans pécher, accordez-moi la grâce de pécher sans concevoir."
(Anatole France / 1844-1924 / Sur la pierre blanche, 1905)

"De quel droit les dieux immortels abaisseraient-ils un homme vertueux jusqu'à le récompenser ?"
(Anatole France / 1844-1924 / Sur la pierre blanche, 1905)

"Epicure a dit: ou Dieu veut empêcher le mal et ne le peut, ou il le peut et ne le veut,
ou il ne le peut ni ne le veut, ou il le veut et le peut. S'il le veut et ne le peut, il est impuissant;
s'il le peut et ne le veut, il est pervers; s'il ne le peut ni ne le veut, il est impuissant et pervers;
s'il le veut et le peut, que ne le fait-il, mon père ?"
(Anatole France / 1844-1924 / Les dieux ont soif, 1912)

"Les théologiens et les philosophes, qui font de Dieu l'auteur de la nature et l'architecte de l'univers, nous le font paraître absurde et méchant. Ils le disent bon parce qu'ils le craignent, mais ils sont forcés de convenir qu'il agit d'une façon atroce. Ils lui prêtent une malignité rare, même chez l'homme. Et c'est par là qu'ils le rendent adorable sur terre. Car notre misérable race ne vouerait pas un culte à des dieux justes et bienveillants. [...] Sans le purgatoire et l'enfer, le bon Dieu ne serait qu'un pauvre sire."
(LAnatole France / 1844-1924 / es dieux ont soif, 1912)

"Dieu vaincu deviendra Satan, Satan vainqueur deviendra Dieu."
(Anatole France / 1844-1924 / La révolte des Anges, 1914)

"L'ange, sans daigner entendre, reprit de sa voix mélodieuse :
- J'ai pénétré les antiquités orientales, la Grèce et Rome, j'ai dévoré les théologiens, les philosophes, les physiciens, les géologues, les naturalistes. J'ai su, j'ai pensé, j'ai perdu la foi.
- Comment ? Vous ne croyez pas en Dieu ?
- J'y crois, puisque mon existence dépend de la sienne et que s'il n'est plus, je tombe moi-même dans le néant. […] Je crois au Dieu des juifs et des chrétiens. Mais je nie qu'il ait créé le monde ; il en a tout au plus organisé une faible partie ; et tout ce qu'il a touché porte la marque de son esprit imprévoyant et brutal. Je ne pense pas qu'il soit éternel et infini, car il est absurde de concevoir un être qui n'est pas fini dans l'espace ni dans le temps. Je le crois borné et même très borné. Je ne crois plus qu'il soit le Dieu unique ; pendant longtemps, il ne le crut pas lui-même : il fut d'abord polythéiste. Plus tard, son orgueil et les flatteries de ses adorateurs le rendirent monothéiste. Il a peu de suite dans les idées ; il est moins puissant qu'on ne pense. Et, pour tout dire, c'est moins un Dieu qu'un démiurge ignorant et vain…"
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MessagePosté le: 07-07-2007 22:53    Sujet du message: LITTERATURE Répondre en citant

François Mauriac
Ecrivain français
[Média et Communication]
Né à Bordeaux le 11 octobre 1885
Décédé à Paris le 01 septembre 1970

Faire découvrir François Mauriac à un ami
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« Je pleure mes péchés : ceux que j'ai commis et ceux que j'eusse aimé commettre. »
François Mauriac

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Biographie de François Mauriac

Issu d'une famille bourgeoise, catholique et conservatrice, François Mauriac fait ses études secondaires dans sa ville natale, Bordeaux, où il prépare une licence à la faculté de lettres. En 1907, il tente, à Paris, le concours de l'Ecole des Chartres, dont il démissionne deux ans plus tard pour se consacrer à la littérature. Envoyé à Salonique en 1914, sa santé lui permit d'être réformé, il ne participa donc pas aux combats ; il préféra donner pleine mesure à son talent romanesque et publia donc quelques unes de ses oeuvres majeures dont 'Thérèse Desqueyroux' (1927). Lorsque la Seconde Guerre mondiale éclate, François Mauriac décide d'entrer dans la 'résistance intellectuelle'. De 1952 à sa mort, il occupe le poste de chroniqueur au Figaro, puis à L'Express. Chaque semaine, dans son 'Bloc-notes', il livre ainsi sa critique des hommes et des événements. Président de la Société des Gens de lettres en 1932, François Mauriac fut élu à l'Académie française le 1er juin 1933.

» Tout François Mauriac sur fnac.com «

Les anecdotes sur François Mauriac

Critiques en habits verts
Le jour où François Mauriac est élu à l'Académie Française, il dut subir les remarques perfides de son prédécesseur : 'Vous êtes le grand maître de l'amertume... À vous lire, monsieur, j'ai cru que vous alliez troubler l'harmonieuse image que je garde de votre région... J'ai failli prendre la Gironde pour un fleuve de feu, et la Guyenne pour un noeud de vipères... '



Les messages [des membres]
Et vous ?
Vous l'aimez un peu, beaucoup, à la folie, pas du tout... Dites-le lui !
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Ses citations

«Nous méritons toutes nos rencontres. Elles sont accordées à notre destinée.»
[ François Mauriac ]



«Que les morts seraient embarrassants s'ils revenaient !»
[ François Mauriac ] - Le désert de l'amour



«Rien ne dérange davantage une vie que l'amour.»
[ François Mauriac ] - Trois grands hommes devant Dieu



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MessagePosté le: 09-07-2007 00:44    Sujet du message: litterature Répondre en citant

Biographie de Graham Greene

Graham Greene (Calvin dans Transamerica) membre de la tribu Oneida, s’est fait connaître pour son interprétation du sage Kicking Bird dans Danse avec les loups de Kevin Costner (1990), qui lui a valu une citation à l’Oscar. Il a travaillé comme ingénieur du son pour plusieurs groupes de rock avant de se tourner vers le théâtre en Angleterre et à Toronto.... Suite...



• Quelques films de Graham Greene



Interprétation (longs métrages)



La Ligne verte (1999) (Arlen Bitterbuck)
The Green Mile

Une Journée en enfer (1995) (Joe Lambert)
Die hard with a vengeance

Danse avec les loups (1990) (Oiseau Bondissant (en VO 'Kicking Bird'))
Dances with Wolves

Transamerica (2005) (Calvin)

Phil the Alien (2004) (le loup)

Skins (2002) (Mogie)

Rebelles (2001) (Joe Menzies)
Lost and Delirious

Chiens des neiges (2001) (Peter Yellowbear)
Snow Dogs

Bad Money (1999) (George Baines)

Jessie (1998) (un enquêteur)
Shattered Image

L' Education de Little Tree (1997) (Willow John)
The Education of Little Tree

L' Irrésistible North (1994) (le père d'Alaska)
North

Camilla (1993) (Hunt Weller)

Maverick (1993) (Joseph)

Coeur de tonnerre (1992) (Walter Crow Horse)
Thunderheart





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MessagePosté le: 10-07-2007 01:07    Sujet du message: litterature Répondre en citant

Mots-clés associés à l'article


Allez voir un peu...

pendant l’Occupation
>Marguerite DURAS Neauphle-le-Château
>Paul LÉAUTAUD à Paris, Courbevoie, Fontenay-aux-Roses et Châtenay-Malabry.
>L’hôtel du Danemark
>Jean-Richard BLOCH à Paris, Rouen, Lons-le-Saulnier, Poitiers
>Le Flore
>L’hôtel Madison




>Retrouvez Roger VAILLAND dans


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Roger VAILLANDReims et ParisLe vendredi 29 août 2003.
"Ma méthode de travail consiste à faire de chaque chapitre une scène, […] Je ne commence à écrire ma scène que quand j’ai parfaitement imaginé tous les détails […] je ne suis content que si le décor imaginaire de la scène est devenu tellement précis que je ne peux pas changer par l’imagination un meuble de place sans que toute la scène, y compris le comportement des personnages, en soit modifiée…"
Roger Vailland, archives personnelles. cité dans la biographie d’Yves Courrière, p. 604-605.

Encore un que l’écriture a sauvé (et dont les écrits sauveront d’autres) ! Grand reporter, romancier communiste qui roulera en Jaguar à la fin de sa vie, drogué, presque collaborateur mais grand résistant, alcoolique, amateur de cyclisme et de montagne, ascète lorsqu’il écrit, romancier historique, scénariste de films, ex-surréaliste, obsédé sexuel, ennemi juré d’Aragon, prix Goncourt 1959 avec La Loi, Roger Vailland a commencé tôt à opérer le "dérèglement de tous les sens" cher à son maître Arthur Rimbaud. Suivons, à travers ses pérégrinations géographiques, différents moments de sa vie :

Il naît le 16 octobre 1907 dans une maison d’Acy-en-Multien (dans l’Oise, à 18 kilomètres de Meaux), où son père a acheté en 1906 un cabinet de géomètre.
La famille emménage en 1910 18 rue Flatters à Paris.
Après le retour de guerre de Monsieur Vailland, toujours pour raisons professionnelles, ils deviennent remois en 1919. Reims est en pleine reconstruction. Ils habitent 283 avenue de Laon. Le père de Roger lui transmet l’amour de la campagne et de Plutarque, Shakespeare et des Mille et Une Nuits. Ses camarades écoliers et poètes, rassemblés dans le club des "phrères simplistes" lui inculquent le goût du dérèglement des sens, des drogues et des amours féminines et masculines.
En 1925, la famille emménage 13 bis rue de Joigny à Montmorency. Roger entre à Louis-le-Grand en classe d’hypokhâgne.
Deux ans plus tard, sa grand-mère le loge dans son appartement 7 rue Pétrarque (dans un immeuble disparu avec le percement de l’avenue Paul Doumer), pour lui permettre de préparer une licence de Lettres à la Sorbonne.
Grâce aux conseils et à l’appui technique de Robert Desnos, il est embauché en 1928 par Pierre Lazareff comme journaliste à Paris-Midi et emménage dans un hôtel de la rue Bréa, où il peut en toute tranquillité consommer ses drogues. Le métier de journaliste lui est un bon prétexte pour côtoyer le Paris culturel de l’époque : Desnos, Joyce, Cocteau, Gide,…
Son teint surréaliste le fait fréquenter le club du Bar du Château, 54 rue du Château, où vivent Prévert, Marcel Duhamel, Benjamin Péret, etc. et qui accueille en hôtes de passage Aragon, Queneau, Robert Desnos, Michel Leiris. En mars 1929, il est exclu de ce club très fermé par l’intransigeance politique d’Aragon et de Breton.
En 1931, son premier vrai "chez lui" est le quatrième étage du 1 rue Hautefeuille, face à la place Saint-Michel.
Noël 1933 le trouve dans la chambre d’un hôtel meublé, 22 quai de Passy.
Il emménage en décembre 1934 38 rue de l’Université, qu’il occupe avec Andrée Blavette, sa future femme, en alternance avec l’hôtel particulier des Blavette, 8 bis villa Léandre à Montmartre, villa qui sera un de ses ports d’attache jusque pendant la guerre.
A partir de 1936, la maison de la soeur d’Andrée, 2 allée Kléber au Vésinet, devient leur résidence secondaire, la principale devenant, à partir d’octobre 1936, un huitième étage rue Manin, dans le 19ème.
Fin 1940, la guerre et son métier de journaliste le mènent 67 cours Gambetta à Lyon. Il glisse rapidement d’idées collaborationnistes à un engagement dans la Résistance aux côtés des communistes. Aragon, son ennemi d’hier et d’aujourd’hui, se réfugie aussi à Lyon dans la villa de René Tavernier, rue Chambovet à Montchat (villa aujourd’hui disparue). La guerre est le catalyseur qui va libérer Vailland de l’angoisse de l’écriture.

Autres demeures de l’auteur
Vailland a également vécu dans la région de Lyon.

Quelqu’un à contacter ?
Médiathèque Élizabeth et Roger Vailland, 1 rue du Moulin de Brou, 01000 Bourg-en-Bresse (tél. : 04 74 45 06 07).

Petite bibliographie
Roger Vailland, ou un libertin au regard froid. L’énorme et passionnante biographie d’Yves Courrière. Plon, 1991, 976 pages, 180 F.
Les Cahiers Roger Vailland, publiés depuis 1994 par Le Temps des Cerises, 6 avenue E. Vaillant, 93500 Pantin (tél. : 01 49 42 99 11).



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MessagePosté le: 11-07-2007 00:17    Sujet du message: litterature Répondre en citant

1874-1965)

Auteur anglais
Du servage humain

Le sixième et plus jeune fils d'un avocat-conseil britannique est né à Paris, alors que son père était nommé par l'ambassade britannique.


Comme Chekhov Somerset Maugham était un auteur et un médecin.


Le Français était sa langue maternelle jusqu'à ce qu'il ait perdu ses parents et a été envoyé en Angleterre chez School du Roi, Cantorbéry. Son oncle, le curé de Whitstable, a pris soin de lui.

Plus tard, il est allé étudier à l'université d'Heidelberg notoire, en Allemagne, et est allé de nouveau à Londres étudier la médecine




--------------------------------------------------------------------------------



L'art de Maugham de manipuler la parcelle de terrain a été comparé parfois à celle de Guy de Maupassant




Son premier roman, Liza de Lambert a été édité en 1897 et son premier jeu, un homme d'honneur a été exécuté en 1903.




Mais sa renommée a commencé par du servage humain en 1915, en grande partie autobiograhic et considéré en tant que son meilleur travail.



En 1928 il s'est déplacé au chapeau Ferrat, à la côte française de Mediterannean, d'où il a voyagé partout dans le monde.




Parmi ses jeux célèbres, le cercle (1921), une satire de la vie sociale, notre améliore (1923), Wife constante (1927) ont été exécutés non seulement en Europe, mais également aux Etats-Unis.




Parmi ses histoires courtes plus connues : La lune et le Sixpence (1919), tremblement d'une feuille (1921), gâteaux et bière anglaise, et Cupboard squelettique (1930). Edge du rasoir (1944) a été transformé deux fois en film.




Avec Ashenden ou l'agent britannique en 1928, un roman d'espion, partiellement autobiographique, endroits de Somerset Maugham lui-même dans la lignée des « espion-auteurs » comme Daniel Defoe.









Les titres de cet auteur

Si vous souhaitez d'autres informations sur cet auteur, entrer svp




Auteurs anglais : Austen anonyme Bronte Chaucer Christie
Claxton Collins Conrad Darwin Defoe
Dickens Doyle Bronte Eliot Forster
Gaskell James robuste Jerome Kipling
Lawrence Malory Meredith Milton Scott
Shakespeare Shelley Smith Somerset Maugham Thackeray
Walpole jaillit Wilde
D'autres auteurs de genre de fiction :
Adams Austen Balzac Bronte Bronte
Grue Dickens Dostoevsky de Cather Collins
Forster Gaskell Gilman Hawthorne robuste
Hugo Irving James Jerome Kipling
Lawrence Lewis Mann Scott Fitzgerald
Puits de Soseki Thackeray Tolstoy Walpole
Wharton occidental Zola


Dans les années '30, le plus haut auteur payé dans le monde…
Mais souffrant du manque d'identification…
Dans le résumé (1938), son autobiographie, plaintes de Somerset Maugham d'être « dans la toute première rangée de la deuxième-raters », reflétant l'opinion de beaucoup de critiques de son temps. Pendant la Première Guerre Mondiale, Sommerset Maugham était un agent secret.
William Somerset Maugham
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MessagePosté le: 13-07-2007 02:29    Sujet du message: litterature Répondre en citant

Bonjour Tristesse
de Françoise Sagan


Mort de Françoise Sagan le 24 septembre 2004



Françoise Sagan





Ce roman de Françoise Sagan a été publié chez Julliard en 1954. Françoise Sagan a alors 19 ans. Elle connaît un succès immédiat et ce livre sera l’un des " best-seller " de l’année 1954.

Bonjour Tristesse contient déjà tous les thèmes chers à Françoise Sagan : la vie facile, les voitures rapides, les villas bourgeoises, le soleil, un mélange de cynisme, de sensualité, d’indifférence et d’oisiveté.



Résumé de Bonjour Tristesse



Cécile, adolescente insouciante, a passé son enfance en pension. Elle vit depuis deux ans avec son père Raymond qui est veuf et qui a la quarantaine. Elle mène une existence oisive et bénéficie d’une grande liberté. Son père a de nombreuses maîtresses auxquelles Cécile s’habitue assez facilement .

L’été de ses 17 ans, Cécile , son père Raymond, et Elsa, sa maîtresse du moment partent en vacances sur la Côte d’azur. Raymond a également invité Anne, une femme séduisante et brillante, qui était l’amie de son épouse. Très vite Anne prend en main la vie de Cécile et décide notamment de la faire travailler, celle-ci ayant ratée son baccalauréat cette année-là. Anne regarde également avec un œil critique l’aventure que Cécile a avec Cyril, un étudiant qui passe ses vacances dans la région. Raymond délaisse peu à peu Elsa et devient l’amant d’Anne. Il est décidé à changer de vie pour elle et envisage même de l’épouser.

Cécile craint de perdre sa liberté. La présence de cette femme intelligente et calme, trouble sa délicieuse existence. Jalouse, elle réussit à convaincre son petit ami Cyril de simuler une aventure amoureuse avec Elsa. Raymond ne parvient pas à résister à cette provocation. Irrité de voir Elsa se tourner vers un adolescent à peine plus âgé que sa fille, il se retrouve bientôt dans les bras de son ancienne maîtresse. Anne les surprend par hasard. Désespérée elle s'enfuit et se tue dans un accident de voiture. Cécile et son père reprennent leur vie insouciante, mais la jeune fille connaît à présent un sentiment nouveau : la tristesse : " Seulement quand je suis dans mon lit, à l’aube, avec le seul bruit des voitures dans Paris, ma mémoire parfois me trahit : l’été revient et tous mes souvenirs. Anne, Anne ! Je répète ce nom très bas et très longtemps dans le noir. Quelque chose monte alors en moi que j’accueille par son nom, les yeux fermés : Bonjour Tristesse. "



Eleonore de la Bime





" C’était l’été 1954 . On entendait pour la première fois
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MessagePosté le: 13-07-2007 23:19    Sujet du message: LITTERATURE Répondre en citant

paul VEPaul Verlaine
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Aller à : Navigation, Rechercher
Pour les articles homonymes, voir Verlaine.
Paul Marie Verlaine dit Paul Verlaine est un poète français, né à Metz le 30 mars 1844 et mort à Paris le 8 janvier 1896.


Paul Verlaine
Paul Verlaine peint par Gustave Courbet.Sommaire [masquer]
1 Biographie
2 Œuvre
3 Œuvres
3.1 Poésies
3.2 Proses
4 Notes
5 Bibliographie
6 Anecdotes
7 Liens externes



Biographie [modifier]
Paul Verlaine est avant tout le poète des clairs-obscurs. L'emploi des rythmes impairs, d'assonances, de paysages en demi-teintes le confirme, rapprochant même, par exemple, l'univers des Romances sans paroles des plus belles réussites impressionnistes.

La famille de Verlaine appartient à la petite bourgeoisie : son père, comme celui de Rimbaud, est capitaine dans l'armée. Sa mère gardera longtemps sur la cheminée familiale les bocaux avec les foetus de ses fausses-couches.

Enfance[1]
Paul naît en 1844 au 2 rue Haute-Pierre à Metz, d’un père capitaine dans l’armée comme celui de Rimbaud et d’Elisa-Stéphanie Dehée, native de Fampoux, dans le Pas-de-Calais. Au fil des garnisons, les Verlaine s’installent à Montpellier en 1845 puis à nouveau à Metz en 1848.

Le Paris de l’enfance et de l’adolescence de Verlaine se concentre sur la rive droite, plus précisément sur le quartier des Batignolles.

Ses parents arrivent dans la capitale en 1850, lorsque M. Verlaine obtient sa retraite de l’armée. Ils emménagent 10 rue des Petites-Ecuries, puis dans le quartier des Batignolles situé alors en-dehors de la capitale et apprécié des militaires en retraite. Ses parents veulent offrir les meilleures études à Paul.

Il va au catéchisme rue de Douai. Entre 1853 et 1862, il est interne à la pension Landry, 32 rue Chaptal et se rend bientôt quotidiennement au lycée Bonaparte (aujourd’hui Condorcet), rue Caumartin. Les parents Verlaine emménagent 28 rue Truffaut en 1857, puis 10 rue Nollet (appelée rue Saint-Louis jusqu’en 1864) en 1859 ou 1860. Après une bonne scolarité, Paul découvre à 16 ans Baudelaire et l’absinthe.


Paul Verlaine (en bas à gauche) et Arthur Rimbaud (à sa droite). « Le coin de table » peint par Henri Fantin-Latour en 1872 - Musée d'Orsay de Paris.1863 : nouvel emménagement, 45 rue Lemercier. Paul effectue un stage de comptabilité chez un nommé Savouret, rue du Faubourg-Saint-Honoré, et trouve un emploi dans une compagnie d’assurances. Il réussit en mai 1864 un concours administratif et commence à travailler à la mairie du IXe arrondissement, rue Drouot, puis à l’Hôtel de Ville. Il fréquente le salon de la marquise de Ricard, 10 boulevard des Batignolles (et celui de Nina de Callias, 17 rue Chaptal, à partir de 1868).

Les Verlaine s’installent 14 rue Lécluse en 1865, à deux pas de la rue Nollet. La revue L’Art publie en novembre un grand article de Paul sur Baudelaire. Le capitaine Verlaine décède en décembre. Paul et sa mère vivent de 1866 à 1870 au 3e étage du 26 rue Lécluse.

De la rue Lécluse, il rend visite à Mathilde Mauté chez ses futurs beaux-parents, 14 rue Nicolet. Mathilde lui inspire La Bonne Chanson.

Paul Verlaine fait ses études à Paris au lycée Condorcet, puis, est employé à l'Hôtel de Ville. Il fréquente les cafés et salons littéraires parisiens puis, en 1866, collabore au premier Parnasse contemporain et publie les Poèmes saturniens. On y sent l'influence de Baudelaire, cependant que s'y annonce déjà l'« effort vers l'Expression, vers la Sensation rendue »[2] qui caractérise sa meilleure poésie. En 1869, les Fêtes galantes, des fantaisies évoquant le XVIIIe siècle de Watteau, confirment cette orientation. En 1870, il épouse Mathilde Mauté, à laquelle il vient de dédicacer La Bonne Chanson.


Paul Verlaine photographié par Dornac Musée Carnavalet de Paris.L'année suivante, Verlaine prend fait et cause pour la Commune de Paris, réprimée dans un bain de sang par le gouvernement d'Adolphe Thiers. Verlaine quitte Paris avec sa femme par crainte des représailles, et ce n'est que peu de temps après son retour à Paris, alors que le jeune couple est logé chez les parents de Mathilde, qu'Arthur Rimbaud surgit dans sa vie et vient la bouleverser. Verlaine quitte son épouse et part en compagnie du jeune poète pour l'Angleterre et la Belgique. C'est pendant ces voyages qu'il écrira une grande partie du recueil Romances sans paroles. En 1873, lors d'une dispute au domicile de sa mère à Bruxelles, il tire deux coups de revolver en direction de Rimbaud et le blesse d'une balle au poignet. Bien que Verlaine regrette immédiatement jusqu'à supplier Rimbaud de le tuer, ce dernier prend peur lorsque Verlaine le devance en pleine rue et qu'il porte sa main à son revolver. Rimbaud fuit et le dénonce à la police. Bien que Rimbaud ait retiré sa plainte, il est condamné à l'issue d'un procès relaté par la presse, à deux ans de prison, plus en raison de son homosexualité, alors condamnable, que de l'incident. Il les purge à Bruxelles et à Mons. Durant son séjour en prison, où il élabore la matière d'un recueil qui ne verra jamais le jour (Cellulairement), son épouse obtient la séparation de corps dont la procédure avait été lancée dès 1871. C'est en prison qu'il se convertit au catholicisme, au lendemain d'une nuit mystique. De cette conversion date probablement l'abandon de Cellulairement et l'idée du recueil Sagesse, qui profitera, avec Jadis et Naguère (1884) et Parallèlement (1888), d'une grande partie des poèmes du recueil mort-né. À sa sortie, il se rend à nouveau en Angleterre.

En 1883, il publie dans la revue Lutèce la première série des « poètes maudits » (Stéphane Mallarmé, Tristan Corbière, Arthur Rimbaud) qui contribue à le faire connaître. Avec Mallarmé, il est traité comme un maître et un précurseur par les poètes du symbolisme et par les décadents. En 1884, il publie Jadis et Naguère qui marque son retour sur l'avant-scène littéraire, bien que le recueil soit essentiellement composé de poèmes antérieurs à 1874. La même année, dans À Rebours, J.-K. Huysmans lui réserve une place prééminente dans le Panthéon littéraire de Des Esseintes. En 1885, dans les Déliquescences d'Adoré Floupette, G. Vicaire et H. Beauclair le consacrent officieusement chef d'école des Décadents. En 1886 il collabore à la Revue contemporaine d'Édouard Rod. À partir de 1887, alors que sa célébrité s'accroît, il plonge dans la misère la plus noire. Les productions littéraires de ses dernières années sont purement alimentaires. À cette époque, il partage son temps entre le café et l'hôpital. En 1894, il est couronné « Prince des Poètes » et doté d'une pension. Usé prématurément, il meurt en 1896, à Paris (à l'âge de 52 ans). Le lendemain de son enterrement, plusieurs quotidiens relatent un événement curieux : dans la nuit qui a suivi les obsèques, la statue de la Poésie, au faîte de l'Opéra, a perdu un bras qui s'est écrasé, avec la lyre qu'il soutenait, à l'endroit où le corbillard de Verlaine venait de passer...

Initialement, Paul Verlaine a été enterré dans la 20e division du cimetière des Batignolles à Paris (une zone qui se trouve actuellement en-dessous du boulevard périphérique). En 1989, sa tombe a été transférée dans la 11e division, en première ligne du rond-point central.


Tombe de Paul Verlaine
Œuvre [modifier]
L'histoire littéraire a consacré Verlaine comme le poète de la fadeur, des impressions indécises, rêvant d'une poésie qui serait un chant discret et doux. Son œuvre a été regardée essentiellement à la lumière de son Art poétique, composé dès 1874 mais publié en 1884, qui semble résumer et théoriser le mouvement symboliste
RLAI8NE
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MessagePosté le: 15-07-2007 00:10    Sujet du message: litterature Répondre en citant

Jules Renard
(1864 - 1910)

Biographie de Jules Renard :
Sa jeunesse, "un grand silence roux", à Chitry-les-Mines (Nièvre), est malheureuse. Souffre-douleur, Jules Renard est le cadet de trois enfants et en garde un complexe d'infériorité. Il trouve son énergie dans la littérature, après avoir renoncé à l'Ecole Normale Supérieure. Après des années de misère, il se marie et produit des poèmes, des nouvelles et de petites pièces de théâtre et son célèbre "Poil de carotte". Il fréquente les cafés littéraires et collabore à de grands journaux parisiens.

Jules Renard puise son inspiration dans la campagne nivernaise où il essaie de séjourner le plus fréquemment possible. Ses portraits sont incisifs, ironiques et parfois cruels. Dans "Histoires Naturelles" (1896), il humanise les animaux et animalise les hommes. Il milita pour le pacifisme et l’anticléricalisme qui apparaît notamment dans La Bigote. Souvent irreligieux, il confie dans son journal : "J'ai l'esprit anticlérical et un cœur de moine".

Son journal (1897 à 1910, mais publié en 1925) est certainement son chef d'œuvre, fait d'introspection, d'ironie, d'humour et de nostalgie. C'est aussi une mine d'information sur la vie littéraire.

Jules Renard fut maire de Chitry en 1904 et membre de l'Académie Goncourt en 1907. Mort d'artériosclérose, il est enterré civilement.

Bibliographie : L'écornifleur (1892), Histoires Naturelles (1894), Poil de carotte (1894), Plaisir de rompre (théâtre, 1897), Pain de ménage (1898), Journal (1897-1910), Les bucoliques (1908), La Bigote (1909).
Liens :
Biographie de Jules Renard
ricochet-jeunes.org - Biographie de Jules Renard
Une critique du Journal de Jules Renard





Citations de Jules Renard :
"Il est beaucoup plus difficile de ne pas croire que de croire en Dieu, les vrais athées sont presque introuvables."
(Jules Renard / 1864-1910 / Mots d'écrits)

"Âme, c'est bien là le mot qui a fait dire le plus de bêtises. Quand on pense qu'au XVIIe siècle des gens sensés, de par Descartes, refusaient une âme aux animaux ! Outre l'ineptie qu'il y avait à refuser à d'autres êtres une chose dont l'homme n'a pas la moindre idée, il eût autant valu prétendre que le rossignol, par exemple, n'a pas de voix, mais, dans le bec, un petit sifflet fort bien fait, acheté par lui à Pan ou à quelque autre Satyre, bibelotier de la forêt."
(Jules Renard / 1864-1910 / Journal - 18 janvier 1889)

"Quant au sceptique "pourquoi ?" le "parce que" crédule a répondu, la discussion est close."
(Jules Renard / 1864-1910 / Journal - 18 décembre 1889)

"Chiromancie. Quand on a l'index plus court que l'annulaire, on préfère la gloire à l'argent ; mais si l'on se suce l'index de façon à l'allonger, on a tout de même des chances de devenir riche. Un doigt effilé est signe d'imagination ; sucer donc votre doigt avec opiniâtreté. Un doigt carré est signe de raison : écrasez-vous donc le pouce, et nul n'osera vous contredire, etc., etc."
(Jules Renard / 1864-1910 / Journal - 20 mars 1894)

"Dieu, celui que tout le monde connaît, de nom."
(Jules Renard / 1864-1910 / Journal - 14 avril 1894)
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MessagePosté le: 16-07-2007 00:40    Sujet du message: litterature Répondre en citant

François Rabelais, 1494-v.1553:
Bâtir des pierres vives


Oeuvres Principales
Citations
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BIOGRAPHIE
- 1494 : naissance à la métairie de «la Devinière» de François Rabelais, fils d’Antoine Rabelais, avocat à Chinon.

- 1511-1518 : Rabelais est novice chez les franciscains, près d’Angers.

- 1519 : il entre au couvent franciscain du Puy-Saint-Martin à Fontenay-le-Comte.

- 1521-1524 : il se passionne pour le grec, fréquente un groupe d’humanistes et entretient une correspondance en latin et en grec avec Guillaume Budé. Il étudie le droit. On lui retire ses livres de grec sur ordre de la Sorbonne, qui interdit l’étude de l’Écriture dans les textes originaux.

- 1525 : Rabelais obtient du pape l’autorisation de passer dans l’ordre des Bénédictins dont les règles sont moins strictes et le milieu plus ouvert.

- 1528-1530 : au cours de ses nombreux déplacements, il fréquente les universités de Bordeaux, Toulouse, Orléans, Paris où il séjourne et prend l’habit de prêtre séculier.

- 1530 : il s’inscrit à la faculté de médecine de Montpellier, où il est reçu bachelier la même année. La médecine englobe alors diverses disciplines : l’anatomie, la physiologie, la physique et l’histoire naturelle. Il est chargé d’un cours et commente dans le texte Hippocrate et Galien.

- 1532 : il est nommé médecin de l’Hôtel-Dieu de Lyon. Il publie, sous le pseudonyme d’Alcofribas Nasier, Pantagruel.

- 1533 : Pantagruel est condamné par la Sorbonne. Sa réputation de médecin lui vaut la protection de l’évêque de Paris, Jean Du Bellay, futur cardinal.

- 1534 : de janvier à mai, il accompagne Jean Du Bellay à Rome. À l’automne, il publie Gargantua.

- 1535-1536 : second voyage à Rome, au cours duquel il obtient du pape son absolution pour avoir quitté le froc bénédictin.

- 1536 : il passe à Montpellier la licence et le doctorat ; il va alors devenir l’un des premiers médecins du royaume, enseignant et exerçant la médecine à travers la France. Il explique Hippocrate dans le texte grec et pratique des dissections de cadavres, méthode d’observation encore peu pratiquée à l’époque.

- 1543 : la Sorbonne condamne à nouveau Gargantua et Pantagruel. Rabelais est « maître des requêtes du Roi ».

- 1545 : il obtient un privilège de François Ier pour imprimer librement ses livres pendant dix ans.

- 1546 : Parution du Tiers Livre, où Rabelais a renoncé à la satire religieuse et aux violentes attaques contre la Sorbonne, qui condamne cependant l’ouvrage. Rabelais se réfugie à Metz, où il devient médecin de la ville.

- 1547 : mort de François Ier.

- 1550 : Rabelais obtient du roi Henri II un privilège pour la réimpression de ses ouvrages.

- 1551 : le cardinal Du Bellay lui fait attribuer la cure de St-Martin de Meudon, dont il peut toucher le bénéfice sans y séjourner complètement.

- 1552 : Parution du Quart Livre, immédiatement condamné par le Parlement.

- 1553 : mort de Rabelais à Paris.



Ses idées religieuses :
Rabelais est un fervent partisan de l’« Évangélisme ». Ce mouvement humaniste veut épurer la religion catholique et s’oppose aux ambitions temporelles des papes. Il proclame la nécessité de prendre l’Écriture comme seul fondement du christianisme et d’abandonner les institutions créées par les hommes. Pour ce faire, il faut étudier l’Écriture dans le texte original et procéder éventuellement à de nouvelles traductions et interprétations.
Il défend l’idée d’une morale plus conforme aux exigences de la nature et de la vie, mais reposant sur la foi religieuse.
Ses idées pédagogiques :
Rabelais propose un système d’éducation nouveau qui prodigue un savoir encyclopédique : c’est la variété qui stimule l’appétit de savoir. Il rêve d’une connaissance universelle et totale.
L’éducation doit former autant le corps que l’esprit. Les exercices physiques ont une large place dans son programme éducatif.
Il préconise l’apprentissage des langues anciennes (le grec était interdit à la Sorbonne) pour aborder les textes bibliques.
Il critique l’enseignement purement livresque et laisse une grande part à la pratique et à l’expérimentation.
Ses méthodes pédagogiques sont basées sur l’apprentissage dans la joie : on n’apprend bien qu’en se distrayant.
Ses idées juridiques :
Rabelais prône le retour au droit romain et la limitation du droit écclésiastique.
Ses idées pacifistes :
Il déclare que « le bon prince doit être pacifique » et doit faire passer les intérêts du peuple avant tout.

Rabelais réalise la transition entre deux époques : s’il est encore un homme du Moyen Âge qui aime la liesse et la farce, il est aussi un contemporain de la Renaissance, humaniste savant, médecin féru de grec et partisan du retour à la nature . À travers lui, le Moyen Âge et la Renaissance, loin de s’opposer, découlent harmonieusement l’un de l’autre.




OEUVRES PRINCIPALES
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MessagePosté le: 17-07-2007 00:42    Sujet du message: litterature Répondre en citant

Cicéron
Cicéron fut ce que les Romains appelaient un homme nouveau qui sut monter jusqu'aux plus hautes fonctions de l'État sans clientèle ni argent. Homme de goût et d'étude détestant la démagogie, il fut un politique lucide, habile cherchant à mettre son action en accord avec ses principes.


Sommaire
Les sources de sa pensée.
La vie de Cicéron
Apport conceptuel.
Principales œuvres.
Les sources de sa pensée.
Il est influencé par les penseurs de l'Académie, en particulier Charmadas, élève de Carnéade (sceptique). Il connaît l'œuvre de Platon, d'Aristote ainsi que celle des Stoïciens.

La vie de Cicéron
Marcus Tullius Cicero naît en 106 av. J. C. à Arpinum (aujourd'hui Arpino) à une centaine de kilomètres à l'est de Rome. Sa famille appartient à l'ordre équestre et compte des magistrats municipaux et des officiers supérieurs de l'armée. Le milieu est aisé, cultivé et ouvert à la politique. Cicéron apparaît rapidement comme un élève brillant. Comme tous les patriciens romains, il étudie d'abord la poésie, la rhétorique et le droit mais s'intéresse aussi, ce qui est plus rare, à la philosophie. Il étudie d'abord à Rome.
En 89, il est attaché à l'état major de Cneius Pompeius Strabo (père du grand Pompée) puis s'éloigne pour terminer ses études en Grèce et à Rhodes.
Revenu à Rome, il s'oriente vers la profession d'avocat et débute, en 81, par un plaidoyer contre un des favoris de Sylla. Il obtient, certes, gain de cause, mais la prudence l'oblige à s'éloigner quelques temps. Il veut, du reste, approfondir sa culture philosophique et oratoire et c'est pourquoi il se rend d'abord en Grèce puis en Asie mineure. Il revient à Rome après la mort de Sylla et se marie avec Terentia. Il se lance alors dans la carrière politique c'est-à-dire la carrière des honneurs qui consiste à exercer dans l'ordre rituel les différentes magistratures qui mènent jusqu'au rang le plus haut.
Cicéron est élu questeur en 76 et exerce cette magistrature en Sicile à Lilybée. De retour à Rome, il fortifie sa position par de nombreux plaidoyers. En 71, Crassus et Pompée se mettent d'accord pour soutenir le parti démocratique qui combat le monopole sénatorial sur les tribunaux politiques. Le procès du propréteur Verrès offre l'occasion de discréditer la justice sénatoriale. Cicéron prend la défense des Siciliens contre Verrès, s'attirant ainsi la reconnaissance du parti populaire. Ce sont les Verrines (70 av. J. C.)
Cicéron est élu édile pour l'année 69 et devient préteur en 66. Il prononce le Pro lege Manilia (Pour la loi Manilia) qui propose de confier à Pompée le commandement suprême en Orient contre Mithridate. En 64, Catilina réunit dans une conjuration tous les mécontents et veut s'emparer du gouvernement par l'émeute et la force. Cicéron apparaît comme le seul homme capable de sauver la légalité : il est élu consul pour l'année 63 mais se heurte aux projets de Catilina et aux manœuvres de César. Il combat pour éviter la guerre civile et devient le sauveur de Rome, déjouant la conjuration et faisant exécuter plusieurs des complices de Catilina. Il est alors un rival possible pour Pompée. De cette période datent les quatre Catilinaires et le Pro Murena.
À partir de 61, Cicéron est attaqué par les démocrates, par les aristocrates conservateurs avec Caton et aussi par Pompée revenu triomphant d'Orient. En 60 se forme le premier triumvirat (entente pour partager le pouvoir entre Pompée, César et Crassus) et Cicéron est peu à peu isolé. Clodius, devenu tribun du peuple en 58, reproche à Cicéron d'avoir fait condamner illégalement les complices de Catilina. Cicéron est exilé en Thessalie ; sa maison est détruite. Mais les excès de Clodius inquiètent les triumvirs et, devant l'indignation de l'Italie, Cicéron est rappelé et rentre triomphalement à Rome en septembre 57. Il se rapproche des triumvirs et se résigne à une semi retraite consacrant ses loisirs à des œuvres de philosophie politique : De Oratore (55), De Republica et De legibus (54-51)
En 52, Milon est accusé de meurtre. Cicéron le défend (Pro Milone). En 52, il est proconsul en Cilicie où il mène une campagne victorieuse contre les Parthes.
À son retour à Rome, la guerre civile est menaçante. Après la rupture entre César et Pompée, Cicéron est d'abord indécis mais il décide finalement de suivre la légitimité et choisit Pompée, sans enthousiasme. Après Pharsale (où César est vainqueur contre Pompée), il regagne Brindes attendant que César veuille bien autoriser son retour. Revenu à Rome, il prononce quelques plaidoyers pour ses amis (Pro Marcello, Pro Ligurio) mais ne joue plus aucun rôle politique. Il divorce, a la douleur de perdre sa fille et consacre de nouveaux ses loisirs à des travaux littéraires et philosophiques : L'orateur (46), De finibus bonorum et malorum (45), les Tusculanes, De la vieillesse, De l'amitié et Des devoirs (44).
Aux Ides de mars 44, César est assassiné. Cicéron croit alors que la République va renaître. Mais Antoine impose rapidement sa volonté à Rome. Cicéron attaque Antoine avec violence en s'appuyant sur Octave (Philippiques). La formation du second triumvirat entre Antoine, Octave et Lépide (octobre 43) met fin à ses illusions. Cicéron est proscrit. Cerné par les soldats d'Antoine, il meurt courageusement à Gaète le 7 décembre 43.

Apport conceptuel.
Nous ne nous attarderons pas sur l'apport de Cicéron en ce qui concerne la rhétorique.
Quel est d'abord l'apport au plan politique ?
Pour Cicéron, l'homme d'État est un éducateur qui doit donc lui-même recevoir une formation universelle. Il faut éduquer tout homme pour obtenir un personnage politique. Ceci fait de Cicéron le créateur de la notion d'humanisme, au sens où l'on parlait autrefois de "faire ses humanités", au sens de l'importance accordé à la culture de l'esprit. Le premier problème que se pose en effet Cicéron est celui de la culture et l'idéal est celui d'un savoir à la fois universel et approfondi.
Premier homme d'État à tenter de concilier les exigences de la pratique politique et les résultats de la spéculation philosophique, Cicéron ne perd jamais de vue ni son expérience concrète d'homme d'État, ni son devoir d'appliquer au cas particulier de Rome les principes qu'il déduit de sa philosophie. Politique et philosophie sont deux activités complémentaires.
Il souhaite, sous le nom de consensus universorum, le rassemblement de tous ceux qui, quelle que soit leur origine sociale, s'accordent sur certains principes modérés. L'homme politique ne doit désirer qu'une chose : le repos (otium) c'est-à-dire l'absence de guerres et de lutte, le refus du pouvoir excessif dans le respect des droits de tous.
Le meilleur modèle de constitution est la constitution mixte offrant à la fois des traits monarchiques, aristocratiques et démocratiques, à condition que tous les éléments de la Cité collaborent harmonieusement. Cicéron rêve d'une République où quelques hommes d'élite sauront collaborer en intervenant en cas de crise grâce à leur vertu et leur autorité. Il faut donc une République, certes aristocratique, mais ouverte aux talents, fondée sur le respect du droit, de la raison et de la justice, gouvernée par des philosophes éloquents.
Au plan proprement philosophique, Cicéron doit choisir entre les deux principaux maîtres de sa jeunesse, Antiochus d'Ascalon et Philon de Larissa.

Antiochus pense en stoïcien qu'il existe un critère de certitude permettant la connaissance et, avec Aristote, il laisse une place aux biens du corps et aux biens extérieurs dans sa conception du bonheur. Si les
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MessagePosté le: 18-07-2007 00:31    Sujet du message: LMITTERATURE Répondre en citant

biographie STENDHAL



Naissance de Henri Beyle, le 23 janvier, rue des Vieux Jésuites (aujourd'hui rue Jean-Jacques Rousseau) à Grenoble. Il est le fils de Chérubin Beyle, avocat au parlement et de Henriette Gagnon. Il n'aura aucune affinité avec son père " un homme extrêmement peu aimable, réfléchissant toujours à des acquisitions ou des ventes de domaine".

Henri Beyle prendra en littérature le nom de Stendhal.

1786
Naissance de Pauline, sa sœur préférée.

1788
Naissance de Zénaïde, une sœur qu'il aimera beaucoup moins.

1790
Sa mère meurt alors qu'il n'a que sept ans. Il en sera inconsolable et reportera son affection sur son grand-père maternel, le docteur Henri Gagnon.

1792
Henri Beyle a pour précepteur l'abbé Raillane, et souffrira de sa tyrannie : " Je haïssais, l'abbé, je haïssais mon père, source des pouvoirs de l'abbé, je haïssais encore plus la religion au nom de laquelle, ils me tyrannisaient". ( La vie de Henry Brulard, publiée à titre posthume en 1890)

1796
Il est élève à l'Ecole Centrale de Grenoble. Il y restera jusqu'en 1799. Il se distingue en mathématiques.

1799 En octobre, il part à Paris pour passer le concours de l'Ecole Polytechnique. Il renonce à se présenter. Il sera très déçu par la capitale et tombera malade. Il va habiter chez ses cousins, les Daru. Son cousin Pierre Daru, l'emploie comme fonctionnaire au Ministère de la Guerre.

1800
En mai commence la grande aventure. Il a 17 ans, s'engage dans l'armée de réserve de Napoléon et va participer à la campagne d'Italie. Il va être ébloui par ce pays : ses paysages, les musées, l'opéra et … les italiennes. Milan, " le plus beau lieu de la terre" devient et restera sa patrie.
1802
Lassé de la vie militaire, Henri Beyle démissionne et rentre à Paris. Il rêve de devenir un grand auteur, le "nouveau Molière", mais ne parvient que difficilement à publier ses textes.

1805
Amant de l'actrice Mélanie Guilbert, il la suit à Marseille et s'essaye au commerce, sans grande motivation, ni grand succès.

1806
Grâce à son cousin Pierre Daru, il devient fonctionnaire impérial. Il voyage en Allemagne et assiste de loin à la campagne d'Autriche. Ces batailles napoléoniennes nourriront son inspiration quand il écrira la Chartreuse de Parme.

1809
Il accompagne Daru à Vienne. Malade, il n'assiste pas à la campagne de Wagram

1810
Il rentre à Paris et est nommé auditeur au Conseil d'Etat, puis inspecteur du mobilier et des bâtiments de la Couronne.

1811
Fin Août, il part pour l'Italie. A Milan, il devient l'amant d'Angela Pietragua, qu'il avait déjà rencontré en 1800, lors de son premier séjour à Milan. Sans doute inspirera-t-elle certains traits de la Duchesse Sanseverina, l'Héroïne de la Chartreuse de Parme.

En septembre, il visite Bologne, Florence, Rome et Naples.

1812
Il travaille à l'Histoire de la Peinture en Italie.

En Août, il se rend à Moscou. Il sera témoin de l'incendie qui ravage la ville.

En novembre, lors de la retraite de Russie, il perd le manuscrit de l'Histoire de la Peinture en Italie.

1814
Il écrit les Lettres sur Haydn, Mozart et Métastase.

.Sa liaison avec Angela Pietragua devient orageuse.

1815
Publication des Lettres sur Haydn, Mozart et Métastase sous le pseudonyme de Bombet.

.Napoléon livre à Waterloo sa dernière bataille, mais Stendhal reste en Italie. Il retravaille à l'Histoire de la Peinture en Italie.

.Il rompt avec Angela.

1817
Publication de son Histoire de la Peinture en Italie.
Publication de Rome, Naples et Florence, premier ouvrage signé Stendhal. Rome, Naples et Florence est son premier livre personnel, les précédents étant surtout le fruit de recherches érudites

1818
Il travaille à une Vie de Napoléon. .

Début d'une grande passion pour Mathilde Dembowski ( Métilde)

1819
Il suit Métilde à Volterra. .

Mort de son père, ruiné.

1820
Stendhal est à Milan. Il écrit de l'Amour et envoie le manuscrit à Paris

1821
Stendhal est soupçonné par le gouvernement autrichien d'espionnage, il doit quitter Milan. Il fait ses adieux à Métilde.

1822
Publication de l'Amour.

1823
Publication de Racine et Shakespeare.

Publication de Vie de Rossini, son premier succès littéraire.

1824
Liaison avec la Comtesse Clémentine Curial.

1825
Publication dune deuxième version de Racine et Shakespeare.
Mort de Métilde " Clémentine est celle qui m'a causé la plus grande douleur en me quittant. Mais cette douleur est-elle comparable à celle occasionnée par Métilde qui ne voulait pas me dire qu'elle m'aimait ?" ( La vie de Henry Brulard).

Publication d'un nouveau complot contre les industriels.

1827
Publication d'Armance, son premier roman. Stendhal a 44 ans.
Publication d'une seconde version de Rome, Naples et Florence.

1829
Publication de Promenades dans Rome, récit de voyage et Vanina Vanini, une nouvelle qui sera reprise plus tard dans les Chroniques italiennes.

1830
Publication de : Le Rouge et le Noir, sous-titré, Chronique du XIXème siècle. Son chef d'œuvre, récit de l'aventure d'un jeune homme d'origine modeste, Julien Sorel, passe presque inaperçu.
En septembre, il est nommé consul à Trieste

1831
Vienne ayant refusé son agrément à sa nomination, il quitte Trieste et rejoint Civitavecchia, où il est nommé consul. Il y restera 10 ans

1832
Il écrit Souvenirs d ' égotisme et commence Une position sociale, un roman qui restera inachevé.

1833
Il descend le Rhône de Lyon à Marseille, en compagnie de Georges Sand et d'Alfred de Musset.

1834
Il commence Lucien Leuwen.

1835
Il interrompt Lucien Leuwen, roman qui restera inachevé et commence la Vie de Henry Brulard

1836
Il travaille aux Mémoires sur Napoléon.

1837
Il travaille au Rose et le Vert.

Il commence Mémoires d'un touriste.

1838
Publication de Mémoires d'un touriste, premier livre publié depuis le Rouge et le Noir.

Du 4 novembre au 26 décembre, il dicte La Chartreuse de Parme.

1839
Publication de La Chartreuse de Parme.
Publication des Chroniques Italiennes.

1840
Il tente de donner un pendant féminin à Julien Sorel avec Lamiel, roman qui restera également inachevé.

1841
Le 15 mars, Stendhal est frappé d'apoplexie.
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MessagePosté le: 18-07-2007 22:34    Sujet du message: litterature Répondre en citant

Charles Dickens
Ecrivain anglais
[Littérature jeunesse]
Né à Porstmouth le 07 février 1812
Décédé à Gadshill le 09 juin 1870

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« Si j'avais le pouvoir d'oublier, j'oublierais »
Charles Dickens

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Biographie de Charles Dickens

Issu d'une famille modeste, Charles Dickens souffre beaucoup de sa situation. A la sortie de l'école, il entre dans un cabinet juridique et, poussé par une grande curiosité intellectuelle, il fréquente assidûment les salles de lecture. Employé comme sténographe dans une revue, il se fait rapidement remarquer. En 1837, avec 'Les Aventures de M. Pickwick', chef-d'oeuvre de l'humour anglais, le succès est immédiat. Dès lors, il partage sa vie entre la littérature et les voyages. Il meurt, riche et célèbre, à cinquante-huit ans. Ecrivain engagé, Dickens a su concilier - grâce à un talent de conteur indéniable - condamnation de la misère et de l'exploitation industrielle et description de petits tableaux de la vie quotidienne, bourrés d'humour. Ses personnages caractéristiques et inoubliables ont fait de lui un écrivain très populaire, une figure centrale de la littérature du XIXe siècle.

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Portraits [et interviews]



INTERVIEW DE JEAN-DAVID MORVAN
La Nouvelle Ecole (buissonnière)
Sacrée revanche de la culture moderne sur les oeuvres classiques que cette nouvelle collection Ex-Libris, initiée par Jean-David Morvan. Le scénariste lève le voile sur cette démarche iconoclaste qui pourrait bien donner le goût de l’aventure aux moins intrépides, et nous confie que, non, il ne règle pas ses comptes avec l’école. Le croit-on ?

Lire "INTERVIEW DE JEAN-DAVID MORVAN"



Les anecdotes sur Charles Dickens

De l'huile de coude
A douze ans, il est envoyé dans une manufacture de cirage. Ces quatre mois de travail et de souffrances cachées devaient le marquer à jamais.
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MessagePosté le: 20-07-2007 00:26    Sujet du message: LITTERATURE Répondre en citant

GEORGES SIMENON



1903 : Naissance, le 12 Février à onze heures et demie du soir, 24 rue Léopold à Liège (au deuxième, chambre et cuisine sans eau ni gaz), de Georges Joseph Christian Simenon, fils de Désiré Simenon, comptable dans une compagnie d'assurance, et de Henriette Brüll, sans profession (un an avant son mariage, qui date du 22 avril 1092, elle était vendeuse au rayon mercerie du grand magasin L'innovation, à Liège). C'est la version officielle car, en réalité, Henriette Simenon a accouché à minuit dix, le vendredi 13, et a supplié son mari de faire une fausse déclaration pour ne pas placer l'enfant sous le signe du malheur...
Le 15 Juillet, les Simenon déménagent et vont habiter à quelques centaines de mètres de là, au n°5 de la rue de Gueldre. retour
1905 : À Liège, ancienne capitale d'une principauté ecclésiastique, la division traditionnelle en paroisses subsiste. Désiré, le père de Georges, "a beau habiter rue Léopold, de l'autre côté des ponts, chaque dimanche il revient dans sa paroisse, à Saint Nicolas", dont le grand-pére du romancier, Chrétien Simenon, chapelier rue Puits-en-Sock, était un notable. Là où "les Simenon, tous les Simenon sont chez eux", là où "ils comprennent ce que les cloches de l'église disent d'heure en heure". Le 28 Avril 1905, Désiré retrouve son quartier. Le jeune ménage s'installe au début de la rue Pasteur, aujourd'hui rue Georges Simenon, au n°25. retour
1906 : Naissance de Christian François Maurice Joseph Simenon. Jusqu'à l'été 1908, Georges fréquente l'École Sainte Julienne des Sœurs de Notre-Dame, où sœur Adonie lui apprend à lire et à écrire dès l'âge de trois ans. retour
1907 : Nouveau déménagement et location d'une maison d'une dizaine de pièces, 53 rue de la Loi, "quiéte comme d'habitude", "aux maisons à peu près pareilles, à un étage, à deux étages maximum" où Mme Simenon prendra en pension des étudiants (surtout étrangers : russes, polonais,...). "J'ai trouvé une maison... Ici tout près...rue de la Loi, juste en face de l'École des Frères. Ce serait pratique quand Georges ira à l'école primaire..." (extrait de "Je me souviens") retour
1909 : Georges entre à l'Institut Saint André (Frères des Écoles chrétiennes) (48 rue de la Loi, "une porte cochère, celle de l'école des garçons") et y fait de brillantes études primaires. retour
1911 : Simenon s'initie à la littérature en dévorant les grands auteurs russes : Tchekhov, Dostoïevski, Pouchkine, Gorki et Gogol. Il lit aussi Conrad, Dickens, Dumas, Balzac, Stevenson, Stendhal, Zola. Et, plus tard
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MessagePosté le: 21-07-2007 00:52    Sujet du message: L/ITYTERATURE Répondre en citant

Alfred de Musset
Ecrivain et poète français
[Théâtre et Scène]
Né à Paris le 11 décembre 1810
Décédé le 02 mai 1857

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« Ah ! Frappe-toi le coeur, c'est là qu'est le génie »
Alfred de Musset

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Biographie d'Alfred de Musset

Reçu dès 1828 dans le 'Cénacle', le prestigieux salon où Hugo réunissait les principales figures du romantisme, Alfred de Musset y rencontre ses plus fidèles amis, Alfred de Vigny et Charles Augustin Sainte-Beuve. Jeune dandy à la sensibilité quasi maladive, il ne tarde pas à publier ses premiers recueils de vers, ainsi que des pièces dont l'ambiguïté les destine à la lecture plutôt qu'à la représentation scénique. 'Lorenzaccio', surtout, marque le point culminant de sa créativité artistique. Le sujet lui a été soufflé par George Sand, avec laquelle il entretient une relation plus qu'orageuse. Leur rupture prend pour Alfred de Musset des teintes tragiques : après les sublimes vers des 'Nuits', son inspiration se tarit, et il est pris de violentes crises dépressives dues à l'alcool. Paradoxalement, son théâtre remanié connaît un franc succès sur scène, et il est élu en 1852 à l'Académie française. 'L'enfant terrible du romantisme', ayant si bien décrit le 'mal du siècle', a amorcé le 'spleen' baudelairien. Son exploration de l'âme et des rapports entre les deux sexes, menée avec une fausse désinvolture, confère à ses écrits un caractère intemporel.

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Message de comtessegothika à Alfred de Musset

Oh toi qui m'as appris que l'amour est tout près de la mort, tu es la gloire du romantisme, le symbole du dandisme et le temple de l'amour. Tu as aimé et par l'amour tu es mort. C'est ce que du moins diront les autres mais à vrai dire tu es entré a l'Olympe de la littérature, tu es devenu immortel par tes oeuvres par ton talent par ton don. Tu n'es pas mort tu ne mourras jamais car tu es non seulement entré dans l'histoire mais aussi dans les coeurs. Tu es mon inspiration, mon modèle, tu m'as donné une autre vision de l'amour que celle que je devrais avoir pour mes 16ans. Tu m'as rendu plus mûre, d'une façon ou d'une autre je ne sais comment je pourrais te le dire.



Message de philosophia17 à Alfred de Musset

Si j'avais eu la chance d'être un enfant du siècle d'Alfred de Musset, je l'aurais très certainement félicité à propos de ses oeuvres et de son génie ! Ce qui m'a séduite, c'est sa création du 'Spectacle dans un fauteuil', il a compris que la seule fin possible à une oeuvre est l'oeuvre elle-même et qu'elle n'a besoin de rien d'autre pour vivre ! J'aurais voulu vivre à son époque, respirer cet air, et je voudrais lui dire que pour moi, il vit encore.



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Ses citations

«Un souvenir heureux est peut-être sur terre Plus vrai que le bonheur.»
[ Alfred de Musset ] - Extrait des Poésies



«L'amour vit d'inanition et meurt de nourriture.»
[ Alfred de Musset ]
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MessagePosté le: 22-07-2007 00:22    Sujet du message: litterature Répondre en citant

Biographie [modifier]

Johann Wolfgang von GoetheLes Goethe étaient une vieille famille d'artisans, originaires de Thuringe. Son père était un conseiller impérial résidant, comme de juste, à Francfort . Il s'agissait d'un homme cultivé, ayant lui aussi voyagé en Italie (son illustre fils se souviendra d'ailleurs dans Poésie et vérité d'une gondole qu'il aurait ramené de Venise), et tiré de ce voyage un journal qui ne fut publié qu'en 1932. Il épousa Katherine Textor qui appartenait à une famille de juristes réputés (son père était maire de Francfort). Le couple eut de nombreux enfants dont Johann Wolfgang fut le cadet, mais seul lui et sa sœur Cornélia passèrent le cap de la petite enfance. Son éducation humaniste rigoureuse (il avait dû apprendre notamment plusieurs langues dont le grec ancien, le latin, le français…) fut faite exclusivement par son père, homme sévère auquel il préférait souvent la compagnie de sa mère. La guerre de Sept Ans fut pour lui l'occasion de découvrir la civilisation française : un officier français, le comte de Thorane, s'installa en effet dans la maison des Goethe en 1759, alors que l'armée française stationnait à Francfort.

Thorane et le père de Goethe devinrent rapidement bons amis. Tant et tant que ce dernier soutint les Français lors de la bataille de Rossbach, au grand scandale de son beau-père, Textor (Poésie et Vérité, livre III). Grâce aux bonnes relations qu'il entretenait avec ce dernier, le jeune Goethe put assister au couronnement de Joseph II en 1764. Dans sa ville natale, Francfort, il s'éprit de la jeune et belle Lili Schoenemann. Goethe a étudié le droit à Leipzig de 1765 à 1768 et à Strasbourg de 1770 à 1771. Il y rencontre Johann Gottfried Herder, et eut une idylle avec Frédérique Brion. En 1772, il est reçu docteur, revient à Francfort de mai à septembre où il est nommé avocat de la cour impériale, et devient magistrat à Wetzlar.

En 1773, il recommence à écrire. Au cours d'un voyage avec Basedow et Lavater sur la Lahn, il compose devant le château-fort de Lahneck le poème Geistesgruss, poème traduit par Madame de Staël. En 1775, il s'installe à Weimar en tant qu'attaché à la cour du duc, puis en 1786, à Rome. Il entame une liaison avec Charlotte von Stein de sept ans son aînée, qui dura dix ans. Il lui écrivit 1 700 lettres..

Deux ans plus tard, il revient à Weimar, devient ministre du Duc et s'installe avec Christiane Vulpius, issue de la petite bourgeoisie, fleuriste. Il l'épouse en 1806. En 1791, il devient directeur du théâtre ducal jusqu'en 1817. En 1792, il est à la bataille de Valmy aux côtés du duc de Saxe-Weimar.
En 1794, il se lie d'amitié avec Schiller, et participe à la revue de ce dernier, Les Heures.

En 1808, il rencontre Napoléon Bonaparte à Erfurt qui le décore de la Légion d'honneur.
Il rencontre, en 1813, le philosophe Arthur Schopenhauer avec qui il discute de sa théorie des couleurs. Visiteur assidu du salon littéraire tenu par sa mère Johanna, il y rencontre artistes et philosophes dont Heinrich Reiss et le peintre Füssli. En 1814, il se prend de passion pour Marianne von Willemer. En 1822, il demande en mariage Ulrike von Levetzow (16 ans ), qui refuse. Il est d'ailleurs intéressant de noter que les expériences de Goethe avec les femmes ont influencé les personnages féminins dépeints dans ses œuvres : ainsi le personnage de Lotte dans Les Souffrances du jeune Werther correspond en partie à Charlotte von Stein; la jeune Ulrike von Levetzow lui inspire le personnage de Marguerite dans Faust. Il finit sa vie célèbre sous le nom de « Sage de Weimar ».

Il est l'auteur d'une œuvre prolifique qui le rattache à deux mouvements littéraires, le Sturm und Drang et le classicisme de Weimar (Weimarer Klassik), ainsi que d'une théorie de la lumière et de la découverte d'un os de la mâchoire. Il est souvent cité en tant que membre des Illuminés de Bavière.

Il est notamment l'auteur des Souffrances du jeune Werther (die Leiden des jungen Werther), Les affinités électives (Wahlverwandschaften), Faust I et II, Les Années d'apprentissage de Wilhelm Meister (Wilhelm Meisters Lehrjahre) ainsi que de nombreux poèmes dont beaucoup sont si célèbres que des vers en sont entrés comme proverbes dans la langue allemande : Willkommen und Abschied (« es schlug mein Herz, geschwind zu Pferde / es war getan fast eh gedacht »), Mignon (« kennst du das land wo die Zitronen blühen... », Connais-tu le pays où fleurit le citronnier), Erlkönig, Le roi des aulnes (« Wer reitet so spät durch Nacht und Wind / es ist der Vater mit seinem Kind… ») Der König in Thule, etc.


L’histoire naturelle [modifier]
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MessagePosté le: 22-07-2007 12:59    Sujet du message: amitié Répondre en citant







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MessagePosté le: 23-07-2007 00:23    Sujet du message: Répondre en citant

John Steinbeck

John Steinbeck est né en 1902 à Salinas en Californie. Sa famille, d'origine allemande, vivait de façon modeste. Il commence des études en biologie marine à l'Université de Stanford, études qu'il ne termine jamais. Alors qu'il a commencé à écrire, des textes journalistiques, il quitte la Californie pour New York, où il travaille à différents emplois précaires. Il revient en Californie en 1926 pour se consacrer à sa vocation d'écrivain.

C'est en 1939, qu'il publie son chef d'oeuvre : The Grapes of Wrath (les Raisins de la colère). Ce roman, qui raconte le périple d'une famille fuyant la sécheresse en Oklahoma pour tenter sans succès de se refaire une vie en Californie, remporte le prix Pulitzer. La misère décrite dans ce roman, pour lequel Steinbeck s'est solidement documenté, choque l'Amérique et la vente du roman est interdite en Californie.

Il a saisi la dimension tragique des grands mouvements économiques du siècle, s'attachant à décrire le sort des victimes, des exclus, des simples travailleurs dont la vie a été brisée par les crises du marché. Apôtre des petites gens, dont il décrit souvent la vie avec tendresse et humour, il sait prendre un ton sobre pour décrire les douleurs de leur vie, comme il le fait dans Des souris et des hommes et Les Raisins de la colère. Outre sa qualité littéraire, c'est la portée sociale de l'oeuvre de Steinbeck qui a valu à son auteur le prix Nobel de littérature en 1962.


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Bibliographie

The Gold Cup, 1929
La Coupe d'Or, roman, 1952
The Pastures of Heaven, 1932
Les Pâturages du Ciel, roman, 1948
To a God Unknown, 1933
Au Dieu Inconnu, roman, 1950
Tortilla Flat, 1935
Tortilla Flat, roman, 1961
In Dubious Battle, 1936
En un Combat Douteux, roman, 1940
Of Mice and Men, 1937
Des Souris et des Hommes, roman, 1949
The Red Poney, 1937
Le Poney Rouge, nouvelle/roman jeunesse, 1946
The Long Valley, 1938
La Grande Vallée, nouvelles, 1946
The Grapes of Wrath, 1939
Les Raisins de la Colère, roman, 1947
Sea of Cortez, 1941
Dans la mer de Cortez, 1989
The Moon is Down, 1942
Lune noire
Cannery Row, 1945
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MessagePosté le: 23-07-2007 23:13    Sujet du message: LITTERATURE Répondre en citant

Arthur Rimbaud
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Aller à : Navigation, Rechercher
Arthur Rimbaud (Jean Nicolas Arthur Rimbaud) est un poète français, né le 20 octobre 1854 à Charleville, dans les Ardennes, et mort le 10 novembre 1891 à l'hôpital de la Conception à Marseille.


Rimbaud âgé de 17 ans, en 1871Sommaire [masquer]
1 Jeunesse
2 Vers la poésie
3 Les séjours parisiens de 1871-1872
4 Vie en Afrique
5 Son apport à la poésie
6 Œuvres
7 Monuments
8 Illustrateurs des œuvres de Rimbaud
9 Les auteurs de portraits, dessins et caricatures de Rimbaud
10 Sources
11 Voir aussi
11.1 Néologismes
11.2 Bibliographie
11.3 Rimbaud à la radio, au cinéma et à la télévision
11.4 Rimbaud en chansons
11.5 Liens externes



Jeunesse [modifier]
Arthur Rimbaud est né au 12 rue Napoléon à Charleville, le 20 octobre 1854, devenue par la suite « rue Thiers », puis enfin renommée aujourd'hui « rue Bérégovoy ». Son père, Frédéric Rimbaud, capitaine d'armée, en garnison à Mézières, a participé à la campagne d'Algérie, pour laquelle il est récompensé de la Légion d'honneur. À un concert donné place de la Musique à Charleville, il aurait remarqué Vitalie Cuif, une jeune paysanne de Roche, petite bourgade près d'Attigny et installée à Charleville. Marié très vite avec elle, il repartira avec sa garnison, ne revenant que quelques rares fois, le temps de lui faire un enfant quasi « annuel ». Après la naissance de cinq enfants (Frédéric, Arthur, Victorine (décédée à l'âge d'un mois), Vitalie et Isabelle), il abandonne sa famille.

Au départ du père, Vitalie emménage avec ses enfants dans un taudis, rue Bourbon, une des plus misérables rues de Charleville. Arthur a 7 ans.

« L'âpre bise d'hiver qui se lamente au seuil
Souffle dans le logis son haleine morose ! […]
Et là, c'est comme un lit sans plumes, sans chaleur,
Où les petits ont froid, ne dorment pas, ont peur ;
Un nid que doit avoir glacé la bise amère… »
(Extrait de Les Étrennes des orphelins)

Sa mère, figure rigide et soucieuse d'éducation et de respectabilité, interdit ainsi à ses enfants de jouer dans la rue avec les enfants d'ouvriers. Le dimanche, on voit passer la famille à la queue-leu-leu, la mère fermant la marche vers l'église. Mais, dans ce foyer tant bien que mal reconstitué, Vitalie veille aussi sur ses enfants, et, si violente – et si naturelle – qu'ait été la révolte d'Arthur plus tard, c'est vers elle qu'il reviendra toujours, ou plus précisément auprès de sa sœur cadette Isabelle.

Arthur poursuit ses études à l'institution Rossat, puis au collège, où sa scolarité exceptionnelle montre sa prodigieuse précocité : il collectionne tous les prix d'excellence, en littérature, version, thème, et rédige avec virtuosité en latin des poèmes, des élégies, des dialogues. Mais son âme bout en lui :

« Tout le jour il suait d'obéissance ; très
Intelligent ; pourtant des tics noirs, quelques traits,
Semblaient prouver en lui d'âpres hypocrisies.
Dans l'ombre des couloirs aux tentures moisies,
En passant il tirait la langue, les deux poings
À l'aine, et dans ses yeux fermés voyait des points. »
(Extrait de Les Poètes de sept ans)

En juillet 1869, il participe aux épreuves du Concours académique[1] de composition latine sur le thème « Jugurtha », qu'il remporte facilement. Le principal du collège M. Desdouets aurait dit de lui : « Rien de banal ne germe dans cette tête, ce sera le génie du Mal ou le génie du Bien. » En obtenant tous les prix dès l’âge de 15 ans, il s'affranchit des humiliations de la petite enfance.


Vers la poésie [modifier]

Manuscrit des AssisEn 1870, il se lie d'amitié avec Georges Izambard, son jeune profess
TURE
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MessagePosté le: 24-07-2007 11:23    Sujet du message: réponse Répondre en citant

Very Happy bonjour ma LINE comment vas tu???? merci pour tes écrits, je te fais de gros bisous
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MessagePosté le: 25-07-2007 01:25    Sujet du message: litterature Répondre en citant

Née à Paris en 1626, Marie de Rabutin-Chantal, marquise de Sévigné, est morte au château de Grignan en 1696. Elle est issue, du côté de son père, d'une ancienne famille noble de Bourgogne, et du côté de sa mère d'un milieu de financiers récemment anoblis, mais fort riches. Elle perd très vite ses parents, de sorte qu'elle est élevée par sa famille maternelle qui demeure Place Royale. La jeune fille reçoit une très bonne éducation et une excellente instruction, avant d'épouser, en 1644, le marquis de Sévigné, un jeune noble d'origine bretonne, fort beau, mais aussi fort infidèle et très batailleur : il est tué dans un duel en 1751, laissant sa femme veuve avec deux enfants à élever.
Madame de Sévigné fréquente la bonne société de son temps, où elle tient très bien sa place, grâce au charme qui émane d'elle et à l'esprit dont elle fait preuve ; elle mène une vie mondaine et enjouée, et les hommages masculins ne lui manquent pas : Fouquet et Turenne, par exemple, la poursuivent de leurs assiduités, mais elle ne se remariera jamais, préférant se consacrer à ses enfants, Françoise Marguerite, l'aînée, qu'elle considère comme « la plus jolie fille de France » et qui fait de brillants débuts à la cour ; Charles, le cadet, dont elle considère les frasques de jeune homme avec une grande indulgence.
En 1669, sa fille épouse le comte de Grignan, qui est bientôt nommé Lieutenant-Général du roi en Provence : en 1671, Madame de Grignan rejoint son mari dans le midi, et Madame de Sévigné a bien du mal à supporter la séparation d'avec sa fille, d'où une correspondance entre mère et fille qui va durer un quart de siècle.
Mais Madame de Sévigné, qui partage son temps entre l'hôtel parisien où elle s'est installée en 1667, son domaine de Bretagne et le château de Grignan, en Provence, où elle effectue plusieurs séjours, entretient également une correspondance avec son fils, avec son cousin Bussy-Rabutin, avec ses cousin de Coulanges, mais aussi avec Madame de La Fayette et d'autres encore.
Elle meurt subitement au cours de son dernier séjour auprès de sa fille.
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MessagePosté le: 26-07-2007 23:50    Sujet du message: litterature Répondre en citant

Alfred de Musset
Ecrivain et poète français
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Né à Paris le 11 décembre 1810
Décédé le 02 mai 1857

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Biographie d'Alfred de Musset

Reçu dès 1828 dans le 'Cénacle', le prestigieux salon où Hugo réunissait les principales figures du romantisme, Alfred de Musset y rencontre ses plus fidèles amis, Alfred de Vigny et Charles Augustin Sainte-Beuve. Jeune dandy à la sensibilité quasi maladive, il ne tarde pas à publier ses premiers recueils de vers, ainsi que des pièces dont l'ambiguïté les destine à la lecture plutôt qu'à la représentation scénique. 'Lorenzaccio', surtout, marque le point culminant de sa créativité artistique. Le sujet lui a été soufflé par George Sand, avec laquelle il entretient une relation plus qu'orageuse. Leur rupture prend pour Alfred de Musset des teintes tragiques : après les sublimes vers des 'Nuits', son inspiration se tarit, et il est pris de violentes crises dépressives dues à l'alcool. Paradoxalement, son théâtre remanié connaît un franc succès sur scène, et il est élu en 1852 à l'Académie française. 'L'enfant terrible du romantisme', ayant si bien décrit le 'mal du siècle', a amorcé le 'spleen' baudelairien. Son exploration de l'âme et des rapports entre les deux sexes, menée avec une fausse désinvolture, confère à ses écrits un caractère intemporel.

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Oh toi qui m'as appris que l'amour est tout près de la mort, tu es la gloire du romantisme, le symbole du dandisme et le temple de l'amour. Tu as aimé et par l'amour tu es mort. C'est ce que du moins diront les autres mais à vrai dire tu es entré a l'Olympe de la littérature, tu es devenu immortel par tes oeuvres par ton talent par ton don. Tu n'es pas mort tu ne mourras jamais car tu es non seulement entré dans l'histoire mais aussi dans les coeurs. Tu es mon inspiration, mon modèle, tu m'as donné une autre vision de l'amour que celle que je devrais avoir pour mes 16ans. Tu m'as rendu plus mûre, d'une façon ou d'une autre je ne sais comment je pourrais te le dire.



Message de philosophia17 à Alfred de Musset

Si j'avais eu la chance d'être un enfant du siècle d'Alfred de Musset, je l'aurais très certainement félicité à propos de ses oeuvres et de son génie ! Ce qui m'a séduite, c'est sa création du 'Spectacle dans un fauteuil', il a compris que la seule fin possible à une oeuvre est l'oeuvre elle-même et qu'elle n'a besoin de rien d'autre pour vivre ! J'aurais voulu vivre à son époque, respirer cet air, et je voudrais lui dire que pour moi, il vit encore.



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MessagePosté le: 28-07-2007 06:52    Sujet du message: litterature Répondre en citant

Joris-Karl Huysmans est un écrivain français, critique d'art, né à Paris le 5 février 1848 et mort dans la même ville le 12 mai 1907.

Sommaire [masquer]
1 Biographie
2 Citations
3 Bibliographie
4 Liens externes



Biographie [modifier]
Joris-Karl Huysmans descend d'une longue lignée d'artistes peintres flamands. Il est inscrit à l'état civil sous la forme francisée de son nom : Georges-Charles Huysmans. Il est à noter que la plupart de ses œuvres ont été éditées — et continuent de l'être — sous la forme abrégée de J-K. Huysmans.

Après une « jeunesse d'humiliation et de panne » (le remariage de sa mère avec l'homme d'affaires protestant Jules Og), il poursuit une carrière de fonctionnaire pendant trente ans.

Il publie à compte d'auteur en 1874 un recueil de poèmes intitulé Le Drageoir à épices qui est réédité et rebaptisé l'année suivante Le drageoir aux épices. Un article sur L'Assommoir et un roman, Les Sœurs Vatard (1879), lui valent l'amitié d'Émile Zola et l'amènent à participer à la publication en 1880 d'un recueil collectif intitulé Les Soirées de Médan, véritable manifeste en acte du naturalisme, où il insère Sac au dos. Ses œuvres peignent alors des existences ternes et une vie quotidienne fade dans En Ménage (1881) et À vau-l'eau (publié à part en 1882). Déjà apparaissent son pessimisme et son dégoût pour un monde moderne composé « de sacripants et d'imbéciles ».

À rebours (1884) rompt nettement avec l'esthétique naturaliste ; les « tendances vers l'artifice » du héros, Des Esseintes, sont, « au fond, des élans vers un idéal ». Un autre personnage, Durtal (Là-Bas, 1891), exprime aussi l'évolution que connaît Huysmans ; cette étape satanique, où se mêlent occultisme et sensualité, précède sa conversion à la foi chrétienne (La Cathédrale, 1898 et L'Oblat, 1903) à laquelle l'ont amené des préoccupations esthétiques : l'écrivain, en effet, en vient au catholicisme, attiré par l'art qu'il avait fondé, comme il avait été séduit par le talent des impressionnistes (Degas, Monet, Pissaro, Odilon Redon) dont il se fait le défenseur dans L'Art moderne (1883).

Au terme d'une difficile évolution, Huysmans cherche à « atteindre les en-deçà et les après », à faire un « naturalisme spiritualiste » tout en gardant son goût du détail cru, des termes rares et de la brutalité véhémente du style, « la langue étoffée et nerveuse du réalisme ».

Il se retire chez les bénédictines à Paris. On lui découvre un cancer de la machoire en 1905. Conformément à ses convictions religieuses, il décide d'accepter la douleur et de ne rien faire pour la soulager. Il meurt deux ans plus tard, le 12 mai 1907 dans des conditions de douleurs physiques atroces. Il est enterré au cimetière du Montparnasse à Paris. Son exécuteur testamentaire fut son ami Lucien Descaves.


Citations [modifier]
À propos du gothique, extrait de "La Cathédrale" : « chez lui, les dos terrassés se redressent, les yeux baissés se relèvent, les voix sépulcrales se séraphisent. »

Comme fréquemment à l'époque, Huysmans développait une lecture racialiste de la société, il explique ainsi: "Vive l'Allemagne et à bas Marseille ! - Ah ! les Valmajour et les Frédéric Mistral, la Provence et le Quercy ! - Quand je me sonde, je me sens une haine de catholique contre l'ignoble juif qui domine maintenant le monde et une exécration de vieux saxon contre la bruyante race latine. Non, vrai, je ne suis pas de mon temps ! et surtout pas de la nationalité qu'on m'impose !" - Joris-Karl Huysmans, 31 mai 1884 en parlant de l'expansionisme méridional


Bibliographie [modifier]
Le drageoir aux épices (1874)
Marthe (1877)
Les Sœurs Vatard (1879)
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MessagePosté le: 29-07-2007 23:35    Sujet du message: litterature Répondre en citant

Mark Twain
Ecrivain et humoriste américain
[Littérature classique]
Né à Florida, Missouri le 30 novembre 1835
Décédé à Redding, Connecticut le 21 avril 1910

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« Je choisirai le paradis pour le climat, et l'enfer pour la compagnie »
Mark Twain

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Biographie de Mark Twain

Samuel Langhorne Clemens dit Mark Twain a passé son enfance dans le Missouri. Jeune, il enchaîne les emplois et sera même chercheur d'or. Pendant la guerre de Sécession, refusant de se battre pour le maintien de l'esclavage, il s'enfuit dans les montagnes de l'ouest. Dès son premier écrit, 'La célèbre grenouille sauteuse de Calavéras', c'est le succès. De ses voyages en Europe et en Polynésie, il écrit 'Les innocents à l'étranger' et 'Un vagabond à l'étranger'. Mais c'est grâce à ses deux plus célèbres romans, 'Les aventures de Tom Sawyer' et 'Les aventures de Huckleberry Finn' qu'il devient l'humoriste national. La fin de sa vie a pourtant été douloureuse, se succédant désastre financier, mort de sa femme puis d'une de ses filles. Sa langue, unique et novatrice, en fait la référence essentielle d'auteurs aussi éminents qu'Ernest Hemingway ou T.S Eliot.

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INTERVIEW DE JEAN-DAVID MORVAN
La Nouvelle Ecole (buissonnière)
Sacrée revanche de la culture moderne sur les oeuvres classiques que cette nouvelle collection Ex-Libris, initiée par Jean-David Morvan. Le scénariste lève le voile sur cette démarche iconoclaste qui pourrait bien donner le goût de l’aventure aux moins intrépides, et nous confie que, non, il ne règle pas ses comptes avec l’école. Le croit-on ?

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Une belle citation de Mark Twain qui en ravira plus d'un: “In Paris they simply stared when I spoke to them in French; I never did succeed in making those idiots understand their own language”
Charmant



Message de korea à Mark Twain

des citations telement actuelles au 21eme siecle, qu'on a du mal a penser que cet auteur est ne au 19eme! beaucoup de verites a mediter.



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«Ne perds pas ton temps à répéter que le monde te doit quelque chose. Le monde ne te doit rien. Il était là avant toi.»
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MessagePosté le: 31-07-2007 00:57    Sujet du message: litterature Répondre en citant

Voltaire
Ecrivain et philosophe français
[Littérature classique]
Né à Paris le 21 novembre 1694
Décédé à Paris le 30 mai 1778

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« Je préférerai toujours les choses aux mots, et la pensée à la rime »
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Biographie de Voltaire

Après des études de rhétorique et de philosophie chez les jésuites, ainsi que des études de droit, François Marie Arouet, dit Voltaire, opte pour la carrière littéraire. L'abbé de Châteauneuf l'introduit alors dans les milieux mondains et libertins parisiens. Sa vie entière oscille entre succès mondains et littéraires, exils en Angleterre et en Prusse et séjours à la Bastille. En effet, derrière l'habile dramaturge et l'homme d'affaires fortuné, travaillait le philosophe épris de tolérance qui lutta avec détermination et humour contre l'intolérance et le fanatisme religieux. Les écrits de Voltaire, comme le fameux 'Candide', ont influencé les Lumières et restent encore aujourd'hui un modèle d'humanisme. Mort en 1778, il est porté en 1791, après la Révolution, au Panthéon.

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Des limites...
Si Voltaire a lutté contre l'intolérance et l'injustice, il cultivait aussi les contradictions : il s'est enrichi grâce à la traite des esclaves !



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Masque de fer
19 Novembre 1703
Un des plus célèbres prisonniers de l'histoire de France meurt en prison. Le Masque de fer n'est plus. Reste une énigme : qui était-il ? Le masque était en fait un ensemble de velours noir comportant des articulations de fer fixées par un...


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Message de alcofribas-nasier à Voltaire

Voltaire, vous êtes mon idole.
Si un jour j'avais imaginé qu'un auteur puisse manier l'ironie avec une telle aisance, réduire à néant des descriptions mélioratives par l'emploi de mots courts !!
Je suis entièrement de votre avis à propos de la philosophie Leibnizienne et de votre définition de l'optimisme dans le chapitre 29 de 'Candide', même si elle est poussée à l'extrême, elle est géniale !! Merci pour le monument philosophique et littéraire que vous nous laissez.



Message de BanGyaMan à Voltaire

Et si je vous disais qu'au XXIe siècle le bon sens est une philosophie luxueuse ?
Plus que tout, l'actuel monde aurait grand besoin de vous redécouvrir (ou de vous trouver un fils spirituel).
Vous devez vous retourner souvent, dans votre tombe.



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MessagePosté le: 01-08-2007 23:04    Sujet du message: litterature Répondre en citant

Corneille en été

Mélite, La Place Royale, L’Illusion comique, Le Cid : le jeune Corneille ouvre l’été et la saison des festivals. Des Nuits de Fourvière aux scènes parisiennes en passant par Avignon et les châteaux normands, découvrez ou redécouvrez ces chefs-d’œuvre de fraîcheur, d’insolence, de magie et de fougue.



L’été, belle occasion aussi d’aller flâner au Musée Pierre Corneille de Petit-Couronne, de retrouver la vie et l’œuvre de Corneille dans cette vénérable « maison des champs », de s’enchanter de son ravissant jardin, de découvrir avec grands et petits un « Poulailler de Corneille » ludique et coloré.



Et puis, sous le parasol, si on se rafraîchissait… la mémoire ? entre deux pavés-romans de plage, si on relisait une pièce étudiée autrefois, si on se redisait les vers appris jadis, ou naguère ? à moins que l’on ait envie de découvrir ou de redécouvrir une des tragédies peut-être un peu moins connues, souvent sidérantes d’audace, de violence, de profondeur, comme Rodogune, La Mort de Pompée ou Attila, ou bien une des comédies douces-amères comme La Veuve ou La Suivante ?



Bel été cornélien à toutes et tous !

Toutes les informations dans La Lettre Corneille N° 6, rubrique "Nouvelles".

Pour recevoir la Lettre Corneille par mail, contacter mdufour.maitre@wanadoo.fr
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MessagePosté le: 03-08-2007 22:24    Sujet du message: LITTERATURE Répondre en citant

IERRE LAFITTE



Les premières éditions d’Arsène Lupin
dimanche 1er mai 2005.




Les premières éditions d’Arsène Lupin ont été publiées dans " Je sais tout". C’est un mensuel que l’éditeur Pierre Lafitte publie depuis 1905. Il demande d’écrire à Maurice Leblanc un roman policier donc le héros soit aussi brillant que Sherlock Holmes en Angleterre. Léo Fontan est le dessinateur des jaquettes. Cependant, plusieurs dessinateurs ont participé aux illustrations internes comme M.Toussaint, R.Broders ou M.Orazi. Mais, C’est L.Fontan qui donne à Lupin ce visage fin et ironique avec le monocle et la canne. Cette image est toujours dans notre inconscient, 100 ans après sa création. Cependant, en lisant la page d’Arsène Lupin, vous pourrez découvrir que le dessinateur flatte notre héros et surtout qu’il n’est jamais le même. D’autres nouvelles ont été publiées dans le magazine Gil Blas pour lequel il travaille comme chroniqueur.


813
Collection "Le Point d’Interrogation", 1914


La barre-y-va
Collection"Le Point d’Interrogation", 1931



Les confidences
Editions Pierre Lafitte,1922


les trois crimes
Editions Pierre Lafitte, 1910



Le bouchon de cristal
Editions Pierre Lafitte, 1912


Arsène Lupin contre Herlock Sholmès
Edition Pierre Lafitte, 1914



L’île aux trente cercueils
Editions Pierre Lafitte, 1ère partie, 1922


L’île aux trente cercueils
Editions Pierre Lafitte, 2ème partie, 1922



Les dents du Tigre
Edition Pierre Lafitte, 1ère partie, 1923


Les dents du Tigre
Editions Pierre Lafitte, 2ème partie, 1923
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MessagePosté le: 04-08-2007 10:46    Sujet du message: LITTERATURE Répondre en citant

Les Juifs d'Alsace dans
l'oeuvre d'Erckmann-Chatrian
par Richard NEHER
Article publié dans la revue Evidences, 1950, Novembre, pp.30-36. Les sous-titres sont de la rédaction du Site.
Pour en
savoir plus....
Erckmann
& Chatrian
sur le Web
Imaginons que dans l'esprit d'un lecteur moyen se soient, comme dans une galerie, donné rendez-vous les personnages juifs des grandes oeuvres du monde littéraire non-juif jusqu'à la fin du 19ème siècle. On y verrait apparaître d'abord Shylock, à la grimace inquiète, au couteau acéré. A ses côtés Isaac d'York, comptant ses sequins et le hideux Fagin, assortissant ses mouchoirs. A l'entour quelques Gobseck, et ces usuriers falots chers à Jules Verne.
Au reste, la solitude, puisqu'aussi bien la figure de Nathan le Sage, l'apparition fugitive d'une touchante Rebecca ou la pirouette insolente d'une Jessica ne compteraient à vrai dire que pour peu. Sans doute verrait-on aussi, flottant dans leurs larges houppelandes,à la tête de leurs communautés de marchands, de toucheurs de boeufs et de brocanteurs, Moïse de Phalsbourg et le rebbe David Sichel.Mais l'un, fronçant le sourcil sous son bonnet de fourrure, observerait aussitôt : "Ils ne sont guère nombreux, les autres" ; et le second, humant sa prise de tabac, répliquerait de son ton nasillard: "Et qu'avons-nous de commun avec ceux-là ?"

L'importance des personnages juifs, une "anomalie"

Alphonse Lévy : La Néoménie (prière pour la nouvelle lune)




Effectivement, entre ceux-ci et ceux-là il n'y a point de commune mesure. Les Juifs dans l'oeuvre d'Erckmann-Chatrian constituent une anomalie. Si au 18ème siècle, les philosophes et les précurseurs de la sociologie s'attaquent, en France, avec passion au problème du judaïsme, on n'y trouve, ni au théâtre, ni dans le roman, aucun personnage juif d'envergure, pas plus qu'au siècleprécédent. [...] Il est d'autant plus étrange, par contraste, que dans les romans et le théâtre d'Erckmann-Chatrian, les juifs aient une importance qui - en bien et en mal - est absolument unique. Et cette importance provient simplement de la circonstance qu'ils sont là, qu'il sont une présence et un mode d'existence, une participation au monde projetés par l'écrivain.

La thèse sur Erckmann-Chatrian de L. Schoumacher (1), publiée en 1933 à Strasbourg, me paraît résumer et développer toute la bibliographie préalable. Schoumacher, reprend la distinction classique des deux versions du juif dans l'oeuvre d'Erckmann-Chatrian : l'une conditionnée par l'expérience amère de Chatrian et exprimée dans le personnage d'Elias Bloum de Daniel Rock ; l'autre flatteuse, voulue par Erckmann dans la figuration de David Sichel, le rabbin idéaliste, le Schatchen (marieur) infatigable de L'Ami Fritz . A titre personnel, je crois, Schoumacher, ajoute l'hypothèse d'une version intermédiaire, à la fois odieuse et flatteuse, constituée par "le marchand de fers, le commerçant retors du Blocus".

Cette classification est trop scolastique à mon gré. Les protagonistes et les comparses ont chez Erckmann-Chatrian, une complexité concrète, une "appartenance" si l'on veut, qui ne permet point l' a priori, la pose d'une cloison étanche dans le vif des caractères et des trames. Il me semble que chaque juif d'Erckmann-Chatrian a quelque chose qui le distingue et en même temps ce fonds commun qui l'engage avec les autres, qu'ils soient juifs ou non.

Par ailleurs l'âpreté au gain montrée par certains, ne saurait dans la conception d'Erckmann-Chatrian être considérée comme un blâme à l'égard du personnage. Schoumacher, lui-même, remarque qu'au fur et à mesure que sa situation pécuniaire s'améliorait, l'instinct du propriétaire se développait fortement chez Erckmann.

Attitudes différentes d'Erckmann et de Chatrian

Il ne fait pas de doute qu'il est des juifs chez Erckmann-Chatrian qui éveillent franchement la sympathie et d'autres qui sont profondément répugnants. Toute recherche apologétique exclue, il est utile de se demander quelle était, au vrai, l'attitude des auteurs à l'égard des juifs et l'influence de cette attitude au regard de la composition des personnages.

Nous savons par le jugement de la IXe Chambre correctionnelle du Tribunal de la Seine en date du 26 mars 1890 (Gazette du Palais, 28-3-1890), confirmé par l'arrêt de la Cour de Paris en date du 11 août 1890 qu'Erckmann concevait et rédigeait seul - il le faisait d'un bloc, presque sans ratures - et que le rôle de Chatrian se bornait à celui d'un conseiller avisé, donnant ses impressions, indiquant les retouches à faire sans y mettre lui-même la main, s'occupant avec clairvoyance et sévérité des stipulations commerciales avec les éditeurs, enfin encaissant les produits de l'oeuvre et faisant le partage des bénéfices, sans qu'il soit question d'un manuscrit, oeuvre personnelle de Chatrian. Il est donc à peu près impossible de tabler sur le manuscrit dans l'état actuel des investigations pour trouver quel que ce soit qui permette une discrimination utile entre la pensée d'Erckmann et celle, exprimée la plupart du temps oralement, de Chatrian.

Par une chance extraordinaire nous possédons la lettre que Chatrian écrivait le 10 novembre 1864 en réponse à la communication que lui faisait Erckmann du projet de l'histoire d'une famille juive alsacienne sous l'angle national, le futur Blocus : "Ce n'est pas facile, dit Chatrian, de peindre (le mot "en beau" a été raturé dans le texte) une famille de juifs alsaciens. Autant vaudrait peindre une nichée de renards, qui vit aux dépens de la ferme et du village. S'il s'agissait d'éreinter une bonne fois toute cette clique abominable, je serais ton homme. Quant à vouloir les présenter comme des petits saints, comme d'honnêtes patriarches et comme de bons citoyens français, cela me paraît terriblement faux et surtout terriblement hasardeux pour le succès du livre."

Nous avons également un témoignage direct d'Erckmann qui met à même, par analogie avec le personnage du Rabbin Sichel, de juger de son sentiment vis-à-vis des juifs. C'est la lettre qu'il écrit le 11 février 1887 à son neveu Alfred Erckmann : « Tous les personnages de L'Ami Fritz sont pris de ma propre existence : L'ami Fritz , c'est moi ; Suzel, c'est Charlotte (le premier et unique amour d'Erckmann , elle ressemblait à l'accordée du village de Greuze) ; le vieux Rabbin Sichel, c'est le Rabbin Heymann de Phalsbourg, notre voisin et l'ami intime de mon père...".

Il n'est pas donc illégitime d'inférer qu'Erckmann aimait le juif tel qu'il le connaissait, que Chatrian le détestait et que l'antipathie de Chatrian, dictée parfois par des motifs d'ordre commercial - ainsi dans cette lettre de 1864 - influençait, par le canal de ses conseils oraux, la composition, oeuvre exclusive d'Erckmann, sauf en ce qui concerne l'adaptation dramatique.

Mais quelles raisons Erckmann avait-il d'aimer ce que Chatrian détestait et vice-versa ? Schoumacher estime que "de bonnes raisons" commandaient 'attitude de Chatrian. Lors de la déconfiture de la verrerie de Soldatenthal, propriété du père de Chatrian, les juifs d'Imling se seraient abattus sur les dépouilles de la famille et auraient engagé le "Signor"comme Chatrian nommait son père, dans une suite d'opérations qui auraient consommé sa ruine. Dans cette explication de "l'antisémitisme" de Chatrian - que j'attribue, pour ma part, à la psychologie généralement peu enjouée de celui-ci, selon tout ce qu'on en sait - il y a une erreur de perspective. En effet la ruine de la verrerie de Soldatenthal, annexe d'Abreschwiller à l'ombre de Phalsbourg, était due aux conjonctures économiques et à la malheureuse tentative de son propriétaire de se renflouer par la contrebande. Le coup de griffe donné par les juifs d'Imling n'est étayé par aucun document, mais en admettant qu'il se soit produit, il ne pouvait s'exercer que sur des restes insignifiants - des "dépouilles", selon l'expression de Schoumacher. Il fallait donc que l'antisémitisme de Chatrian soit fortement préexistant à un événement somme toute insignifiant après la consommation du malheur.

D'ailleurs, s'il s'était agi chez Chatrian d'un jugement empirique, il aurait eu mille autres "bonnes raisons" de le réformer jusqu'en 1864, ne fût-ce que l'amitié totalement désintéressée que vouait aux auteurs Nathan Sichel, le metteur en page du Constitutionnel, à la complaisance de qui Chatrian devait son premier grand placement littéraire et dont le nom ainsi que les traits - il avait une "bonne tête de dromadaire"- ont été prêtés au rebbe de L'Ami Fritz.

Mais je comprends encore beaucoup moins les raisons généralement données de l'attitude d'Erckmann. Avec d'autres historiens, Schoumacher pense qu'il faut en appeler à la sympathie que les auteurs du 18ème siècle avaient témoignée aux juifs et à leurs souffrances, soeurs de celles des calvinistes au cours des siècles. Certes Erckmann était calviniste, Chatrian, catholique.Cependant l'argument religieux est spécieux et infirmé tant par l'hostilité longtemps marquée aux juifs par Genève, le berceau du calvinisme,que par la charité agissante que leur prodiguait, au spectacle de leurs souffrances, une large partie de la catholicité.

(...) Certainement aussi Erckmann suivait-il l'enseignement des philosophes du 18ème siècle, exactement comme Chatrian, jacobin dans la même mesure qu'Erckmann, s'il ne l'était pas davantage. Il apparaît dès lors que les mobiles invoqués ne sont pas des preuves et peuvent tout au plus servir à fonder des interprétations ou des hypothèses préconçues. Par objectivité historique, il est préférable de renoncer à des tentatives de ce genre et de conclure que l'antipathie de Chatrian et la sympathie d'Erckmann à l'égard des juifs étaient du domaine de la psychologie individuelle, et plus justement peut-être, du pur ressort de la psychologie créatrice en ce qui concerne Erckmann.

Le rabbin : un cas unique en littérature

Si Erckmann a composé son rebbe en ajoutant aux traits de son ami Nathan Sichel la figure d'un vieux rabbin, c'est que dans son enfance, il avait vu le vieux juif de Phalsbourg, c'est qu'il s'était senti exister avec et en lui, c'est que, comme son Fritz Kobus, il l'aimait beaucoup, le vieux, qu'il s'appelât David, Meyer ou Moïse. "Il l'aimait, lit-on dans L'Ami Fritz , pour l'avoir vu dès son enfance assis du matin au soir, chez le juge de paix, son respectable père [le père d'Erckmann était, en réalité libraire] pour l'avoir entendu nasiller, discuter et crier autour de son berceau pour avoir sauté sur ses vieilles cuisses maigres, en lui tirant la barbiche, pour avoir appris le yiddish de sa propre bouche, pour s'être amusé dans la cour de la vieille synagogue, et enfin pour avoir dîné tout petit dans la tente de feuillage que David Sichel dressait devant lui, comme tous les fils d'Israël, au jour de la fête des Tabernacles. Tous ces souvenirs se mêlaient et se confondaient dans l'esprit de Fritz avec les plus beaux jours de son enfance."

C'est ce qui a permis à Erckmann d'évoquer avec une force exceptionnelle la vie du vieux juif alsacien et son profil de "vieux rebbe, avec son chapeau râpé penché sur le derrière de la tête, son bonnet de coton noir tiré sur la nuque,sa vieille capote verte, au grand collet graisseux remontant jusque par-dessus les oreilles, son nez crochu barbouillé de tabac, sa barbiche grise, ses longues jambes maigres, revêtues de bas noirs formant de larges plis, comme autour de manches à balais...".


Alphonse Lévy : La bénédiction des enfants


Tant l'imagination de l'écrivain s'alimentait aux sources de l'enfance, du monde qui environnait son berceau déjà, qu'il ne lui a pas suffi du rebbe et que dans Le Blocus, malgré Chatrian et sans considération du succès de la vente du livre, est apparue pour la seconde fois la figure du vieux juif alsacien. Si les deux personnages, Sichel et Moïse, tant par le vaste espace qu'ils occupent dans l'oeuvre que par leur vitalité, sont des cas uniques en littérature, cela doit provenir du fait que de tous les écrivains non-juifs de grand talent que nous avons nommés, Erckmann était sans doute le seul, l'unique à avoir eu, dans son enfance, connaissance du Juif. Connaissance non pas dans l'acception courante, car il serait évidemment ridicule de prétendre que d'autres n'aient pas, dans leur enfance, aperçu ou même fréquenté des juifs, mais cette connaissance par quoi la Bible désigne ce qu'il y a de plus élevé en éthique : le sentiment d'appartenance, d'engagement qui unit les êtres humains.

Voilà pourquoi le juif qu'on rencontre immédiatement dans l'oeuvre d'Erckmann est presque toujours vieux. Ce sont les vieux qu'il a connus, c'est avec eux qu'il s'est senti exister. "A tous les soupiraux apparaissaient des têtes branlantes, des bouches édentées, des nez et des mentons en carnaval ; on aurait dit que ces gens [de la rue des Juifs, où déambule Fritz] arrivaient de Ninive, de Babylone, ou qu'ils étaient réchappés de la captivité d'Egypte, tant ils paraissaient vieux."

Les jeunes, les femmes et les enfants n'ont - chose frappante dans Le Blocus - de personnalité que par les liens qui les rattachent au patriarche. Et c'est sans doute pourquoi Erckmann a procédé là à ce que Schoumacher considère comme une infraction à la règle générale qui veut que dans le roman d'Erckmann-Chatrian la famille soit presque toujours absente ou, au moins, au second plan. "Dans Le Blocus seulement, dit Schoumacher, nous voyons une famille heureuse et unie, mais c'est une famille juive. Prétexte à la description de moeurs particulières plutôt qu'à l'exposition de rapports familiaux."

Variations dans le jugement sur la religion juive

Mais comment dans la sincérité de ses souvenirs, Erckmann aurait-il pu éluder la description de ces "moeurs particulières" qui se mêlaient et se confondaient avec les plus beaux jours de son enfance? C'est avant tout cette remarque de Schoumacher qui m'a incité à penser que l'exégèse traditionnelle du juif chez Erckmann-Chatrian fait absolument fausse route. C'est parce qu'on voit communément dans le juif un prétexte au pittoresque, analogue au "Zigeiner", au bohémien (qui lui aussi a sa réalité, mais plus liminaire), qu'on en arrive à négliger les démonstrations les plus tangibles chez Erckmann d'une vision d'ensemble et conforme au processus aperceptif de l'enfant.

Il n'est que de noter les délicates mais nettes variations qu'il manifeste dans son jugement sur la religion juive, selon le personnage qu'il est en voie d'évoquer. "A l'époque de l'adjudication des grands travaux, écrit-il dans Maître Daniel Rock, ce fut Elias qui se présenta le premier sur le terrain, et qui se rendit adjudicataire des plus beaux lots : ponts, aqueducs, conduits, souterrain; il happait tout et s'entendait à tout... mais que voulez-vous? l'âme d'Abraham, d'Isaac et de Jacob habitait en lui.. le Seigneur aimait sa famille : c'est à l'un de ses grands-pères qu'il avait conseillé d'enlever les vases d'or de Pharaon pour se dédommager des oignons d'Egypte."

Qu'on compare à cet encontre comment Erckmann, par le truchement de Fritz, émet semblable opinion voltairienne au sujet de l'élection d'Israël mais vis-à-vis de Sichel cettefois :
"- Ah ! c'est toi, Schaude (fou) ! dit le vieux rabbin... tu es content de me voir?
- Oui, c'est toujours avecun nouveau plaisir que je te revois, fit Kobus en riant ; c'est un grand plaisirpour moi, de me trouver en face d'un véritable croyant, d'un petit-filsdu vertueux Jacob qui dépouilla son frère...
- Halte ! s'écria le rebbe halte ! Tes plaisanteries sur ce chapitre ne peuvent aller. Tu es un épicaures sans foi ni loi. C'est très mauvais de ta part de m'attaquer sur des choses où j'aurais en quelque sorte honte de me défendre; envoie-moi plutôt le curé."

Il faut rapprocher de cette scène, cette autre de L'Ami Fritz où, après l'arrivée des cigognes, David Sichel étant aussi entré au "Grand Cerf" [l'auberge de la ville], Fritz, pour se moquer de lui, se mit à soutenir que les juifs avaient l'habitude de tuer les cigognes et de les manger à la Pâque avec l'agneau Pascal. Cette explication exaspéra tellement le vieux rabbin qu'il déclara que Kobus méritait d'être pendu. A la suite de quoi on réconcilia sur le champ les deux vieux amis, et le vieux rabbin, pleurait, disant : "Que sans le défaut qu'il avait de rire à tort et à travers Kobus serait le meilleur homme du monde", et Fritz pensait : "Ce pauvre rebbe David est-il honnête dans sa croyance !".

L'opposition entre ces pages de Daniel Rock et de L'Ami Fritz est béante. D'un coté l'ironie froide et cinglante, de l'autre le badinage piquant et innocent. La pierre de touche est dans l'interlocuteur : Elias Bloum engendre l'hostilité, le rebbe est finement ménagé. L'abstraction est surajoutée : Elias n'a ni foi ni droiture, le rebbe est honnête dans sa croyance. La fraîcheur et la spontanéité originelles de pareilles réactions divergentes - qu'on retrouve tout au long de l'oeuvre - sont la véritable marque du génie d'Erckmann.

Il en résulte l'impression hallucinante d'une réalité fidèle jusque dans les moindres détails. Nulle trace de la convention grossière pas plus d'ailleurs que de la transfiguration schématique. L'épisode du serment more judaico, fresque grandiose de l'accomplissement d'un acte qui est "l'un des plus saints, des plus sacrés", de la religion juive, aurait très bien pu, dans la conception politique libérale d'Erckmann, conduire à la digression philosophique. En fait il amène une nouvelle querelle et une nouvelle réconciliation entre Fritz et Sichel.

"Sincèrement et sans flatterie"

Alphonse Lévy : Couple juif
(…) On ne trouve, sous la plume d'Erckmann, l'emploi ni du grotesque, ni du difforme, rien de cette superbe négligence qui a déterminé trop d'auteurs à représenter le juif comme une sorte de Quasimodo de l'argent. Dans la rue des Juifs, les eaux de ménage suintent le long des murs et, "pour dire la vérité", cela ne sent pas très bon. Mais le jour de Sabbath, selon l'habitude, les vieux époux juifs se promènent bras-dessus, bras-dessous, comme de jeunes amoureux, pour faire le tour de la ville, et chaque fois David dit à sa femme : "Sourlé, quand je vois cette verdure, ces blés qui se balancent et cette rivière qui coule lentement, cela me rend jeune, il me semble encore te promener comme à vingt ans et je loue le Seigneur de ses grâces." Alors la bonne vieille est heureuse, car le mari parle "sincèrement et sans flatterie".

(…) Ce sont les mots dont Erckmann use pour décrire le fond du caractère de son rebbe : sincèrement et sans flatterie. Ils s'appliquent à sa propre oeuvre, à ces trafiquants trop ingénieux du Docteur Matheus et de Daniel Rock, ces Samuel et Judas d'Imling, des Deux Frères, enchérissant, le bâton de boucher pendu au poignet par un cordon de cuir et la petite casquette plate sur les yeux. Sincèrement et sans flatterie, ce Moïse qui rempli d'une candide fureur en appelle bonnement à la force militaire - le plus beau c'est qu'il l'obtient - et grâce à elle, reprend aux cosaques ses précieuses pipes d'alcool de Pézénas qu'il revendra aux soldats avec de jolis bénéfices.

Réalité fidèle de la reconstruction créatrice jusque dans les moindres nuances de la psychologie, des rites, des us, des coutumes, du patois et du costume. On examinera utilement, à cet égard, la ressemblance entre les personnages d'Erckmann et ceux du folklore judéo-alsacien tels qu'on les voit chez Weil, Stauben, Meiss, Cahun, dans les dessins d'Alphonse Lévy et aussi dans les contes de mon père.

Aujourd'hui encore on s'accorde à trouver dans l'oeuvre d'Erckmann-Chatrian la physionomie de l'Alsace. Il est injuste de minimiser l'importance de l'élément juif dans cet ensemble didactique, d'autant que c'est, à travers Erckmann-Chatrian que s'est conservée l'Alsace dans la mémoire de la France après 1870. Il serait vain et absurde de dire que l'oeuvre d'Erckmann-Chatrian plaide toujours pour le juif. La question est autre, car, encore une fois, ce qui est essentiel, c'est tout simplement la circonstance que les juifs sont là, qu'ils ont une participation au monde de l'écrivain, présence aussi aisée que les images les plus familières dans des souvenir d' enfance.

Il est étonnant que les organismes juifs chargés de lutter contre l'antisémitisme, aient si peu recours à une oeuvre qui ne peut paraître surannée que moyennant une lecture superficielle. II est étrange qu'au lieu de tendre en référé à la défense des projections cinématographiques d'Olivier Twist, on n'ait pas entrepris de faire rejouer, si on voulait en le modernisant, le film sur L'Ami Fritz que j'ai vu tourner en Alsace peu après la guerre.

Mais là non plus n'est pas la question. Dans l'oeuvre d'Erckmann, le juif est un être. La valeur concrète qui lui est conférée, apporte un démenti à la légitimité du silence qui, ailleurs, s'est fait sur lui. Dans l'oeuvre d'Erckmann, le juif existe. Les nombreux détails, dont sa représentation est assortie, assurent son authenticité, jalonnent sa place dans le jeu du devenir. Enfin, dans l'oeuvre d'Erckmann, le juif, avec tous ses défauts et toutes ses qualités, a une réalité propre dans le temps même qu'elle se confond, sur le plan humain, avec celle de son prochain, non juif. Ainsi perçu, il va, point toujours égal, ni dans le ridicule ni dans le sublime, cheminant dans son moment, témoin d'un passé et héraut d'un avenir, arrangeant des mariages, aimant le poisson, étudiant la loi, les prophètes et le Talmud, se fâchant contre l'"épicaures" rebelle au Commandement et se réconciliant avec lui selon la prescription d'amour du Lévitique.



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Notes :

L. Schoumacher : Erckmann-Chatrian, Les Belles Lettres, Paris, 1933. Retour au texte
Pour approfondir ce thème, nous conseillons aussi la lecture l'étude
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MessagePosté le: 05-08-2007 00:06    Sujet du message: litterat(ure Répondre en citant

Jean Delannoy
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Cet article est une ébauche à compléter concernant un réalisateur ou une réalisatrice, vous pouvez partager vos connaissances en le modifiant selon les conventions filmographiques.

Jean Delannoy est un réalisateur et scénariste français, né le 12 janvier 1908 à Noisy-le-Sec, en Seine-Saint-Denis (France).

Sommaire [masquer]
1 Biographie
2 Œuvre
3 Filmographie
3.1 Réalisateur
3.2 Monteur
3.3 Acteur
4 Distinctions
5 Lien externe



Biographie [modifier]
Cette section est vide ou n'est pas assez détaillée, votre aide est la bienvenue !

Œuvre [modifier]
Ce cinéaste français, dont le nom fut synonyme de « qualité française » a réalisé ses films les plus significatifs sous un patronage littéraire. Réalisateur de plusieurs mélodrames, il avait déjà connu le succès, notamment avec Pontcarral, colonel d'Empire (1943), lorsqu'il put réaliser l'Éternel Retour (1943), avec la collaboration de Jean Cocteau. Plus tard, ce dernier adapta pour lui la Princesse de Clèves (1961).

Au classicisme un peu froid de la Symphonie pastorale (1946), des Jeux sont faits (d'après Sartre, 1947) ou de Maigret tend un piège (1958) ont succédé nombre de films académiques, voire pesants, et qui ont conduit leur réalisateur vers la télévision à partir de 1976, puis à tourner une trilogie purement hagiographique : Bernadette (1988), la Passion de Bernadette (1990) et Marie de Nazareth (1995).


Filmographie [modifier]

Réalisateur [modifier]
1934 : Paris-Deauville
1937 : La Vénus de l'or
1937 : Tamara la complaisante
1941 : Le Diamant noir (+ scénariste)
1942 : Fièvres
1942 : Macao, l'enfer du jeu
1942 : L'Assassin a peur la nuit (+ adaptateur)
1942 : Pontcarral, colonel d'empire
1943 : L'Éternel Retour
1944 : Le Bossu
1945 : La Part de l'ombre (+ scénariste)
1946 : La Symphonie pastorale (+ scénariste)
1947 : Les Jeux sont faits (+ scénariste)
1948 : Aux yeux du souvenir (+ scénariste)
1949 : Le Secret de Mayerling (+ scénariste)
1950 : Dieu a besoin des hommes
1951 : Le Garçon sauvage
1952 : La Minute de vérité (+ scénariste)
1953 : La Route Napoléon (+ scénariste)
1954 : Destinées, film à sketches (sketch « Jeanne »)
1954 : Secrets d'alcôve '(Il Letto), film à sketches (sketch « Le Lit de la Pompadour ») (+ scénariste)
1954 : Obsession (+ scénariste)
1955 : Chiens perdus sans collier (+ scénariste)
1956 : Marie-Antoinette reine de France (+ scénariste)
1956 : Notre-Dame de Paris
1958 : Maigret tend un piège (+ scénariste)
1959 : Guinguette
1959 : Maigret et l'affaire Saint-Fiacre (+ scénariste)
1960 : Le Baron de l'écluse (+ scénariste)
1960 : La Française et l'amour, film à sketches (sketch « L'Adolescence »)
1960 : La Princesse de Clèves (+ scénariste)
1961 : Le Rendez-vous (+ scénariste)
1964 : Les Amitiés particulières
1965 : Le Majordome
1966 : Les Sultans (+ scénariste)
1966 : Le Lit à deux places
1967 : Le Soleil des voyous (+ scénariste)
1967 : Vénus impériale (Venere imperiale) (+ scénariste)
1970 : La Peau de Torpedo (+ scénariste)
1972 : Pas folle la guêpe
1978 : Histoire du chevalier Des Grieux et de Manon Lescaut, feuilleton télévisé
1979 : Les Grandes conjurations : Le Coup d'État du 2 décembre, épisode d'une série télévisée
1983 : Le Crime de Pierre Lacaze, téléfilm ou feuilleton télévisé
1987 : L'Énigmatique Monsieur S. ou Tout est dans la fin, téléfilm ou feuilleton télévisé ? (+ scénariste)
1987 : Bernadette (+ scénariste)
1989 : La Passion de Bernadette (+ scénariste) (suite du film précédent, n'a visiblement été distribué qu'à Lourdes)
1990 : Le Gorille, série télévisée (titre d'épisode incertain : « Le Gorille compte ses abattis »)
1995 : Marie de Nazareth (+ scénariste)

Monteur [modifier]
1935 - Tovaritch, d'Anatole Litvak

Acteur [modifier]
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Marie



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MessagePosté le: 05-08-2007 12:35    Sujet du message: réponse Répondre en citant

bonjour ma LINE et bon dimanche ,gros bisous !!!!!!!!
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MessagePosté le: 06-08-2007 00:13    Sujet du message: LITTERATURE Répondre en citant

Georges Bernanos
Ecrivain français
[Littérature française]
Né à Paris le 20 février 1888
Décédé à Neuilly-sur-Seine le 05 juillet 1948

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« Je meurs chaque nuit pour ressusciter chaque matin »
Georges Bernanos

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Biographie de Georges Bernanos

Après des études de droit et de lettres, Georges Bernanos milite chez 'Les Camelots du roi', ligue d'extrême-droite et collabore à divers journaux monarchistes, avant d'en diriger un à Rouen. Décoré après la Première Guerre mondiale, il se marie et devient inspecteur des assurances à La Nationale. Durant ses tournées, il rédige 'Sous le soleil de Satan' dont le succès est éclatant, et lui permet, au seuil de la quarantaine, de se consacrer entièrement à la littérature. Il obtient le Prix Femina en 1929 pour 'La Joie' puis connaît sa plus grande fécondité littéraire lors de son séjour à Majorque entre 1934 et 1937. Le Grand prix du roman de l'Académie française récompense 'Le Journal d'un curé de campagne' en 1936. Surpris par la guerre d'Espagne, il revient en France puis s'embarque pour le Paraguay et le Brésil, où il achève en 1940 'Monsieur Ouine'. Lorsque la guerre éclate en Europe, il multiplie les articles dans la presse brésilienne et devient l'un des plus grands animateurs spirituels de la Résistance française. En juin 1945, il vient poursuivre ce combat dans la France libérée, et écrit pour la presse de la Libération. Il passe ses dernières années en Tunisie où il compose l'un de ses chef-d'oeuvre 'Dialogues de Carmélites', qui depuis sont joués sur toutes les scènes de monde.

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Les anecdotes sur Georges Bernanos

Un fauteuil pour Georges
Il est l'auteur de la célèbre phrase : 'Quand je n'aurai plus qu'une paire de fesses pour penser, j'irai l'asseoir à l'Académie française'.



Polémique
En 1932, redevenu journaliste par intermitence, il s'engage dans une polémique avec ses anciens maîtres de l'Action Française.


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Ses citations

«Foi : vingt-quatre heures de doute... mais une minute d'espérance.»
[ Georges Bernanos ]



«Le berceau est moins profond que la tombe.»
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MessagePosté le: 06-08-2007 22:27    Sujet du message: litterature Répondre en citant

Georges Courteline
Ecrivain français
[Littérature française]
Né à Tours le 25 juin 1858
Décédé à Paris le 25 juin 1929

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« Je ne pense jamais, cela me fatigue ; ou si je pense, je ne pense à rien »
Georges Courteline

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Biographie de Georges Courteline

Né d'un père écrivain humoriste, Georges Courteline, de son vrai nom Georges Victor Marcel Moinaux, vit à Paris bien qu'il soit né à Tours. L'éducation sévère qu'il reçoit au Collège de Maux fait naître en lui un sentiment de révolte contre la discipline et les institutions. Et son expérience dans le dur régiment de Bar-le-Duc ne le réconcilie pas avec les règlements. Cette période sera une source d'inspiration pour ses célèbres satires : 'Les Gaîtés de l'Escadron', 'Le Train de 8 Heures 47' et 'Lidoire'. Après des débuts difficiles où il écrit pour divers journaux, il se fait remarquer par Flammarion qui reconnaît en lui les qualités de son père. Ainsi il peut donner libre court à sa verve satirique et s'amuse à traquer l'idiotie. La fonction publique, pour laquelle il travaille en tant qu'employé de l'administration des cultes, est aussi une de ses cibles. Ecrivain incisif, il écrit également des nouvelles et des oeuvres théâtrales. Pour sa création impressionnante, il reçoit la légion d'honneur en 1899 et est admis à l'Académie Goncourt une année avant de mourir.

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Les anecdotes sur Georges Courteline

Pseudo
C'est en 1881 que Georges Moinaux décide de prendre un pseudonyme. Son choix se porte sur 'Courteline', nom du moineau dans 'Le roman de Renard'.



C'est pas sérieux !
Ayant un penchant plus prononcé pour la fête que pour les études, il part faire son service militaire sans avoir obtenu son baccalauréat.



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Ses citations

«Je parle des choses que je sais, de préférence à celles que j’ignore.»
[ Georges Courteline ] - La philosophie de Georges Courteline



«Un des plus clairs effets de la présence d'un enfant dans un ménage est de rendre complètement idiots de braves gens qui sans lui n'auraient été que de simples imbéciles.»
[ Georges Courteline ]



«Il y a des gens chez lesquels la simple certitude de pouvoir les satisfaire fait naître des besoins spontanés.»
[ Georges Courteline ] - La philosophie de Georges Courteline



Voir les 121 citations de Georges Courteline


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MessagePosté le: 07-08-2007 23:16    Sujet du message: litterature Répondre en citant

BERTOLT BRECHT
biographie sommaire

Bertolt Brecht est né le 10 février 1898 à Augsbourg, petite ville de Bavière. Après une éducation classique, il commence à écrire très tôt et publie son premier texte à 14 ans dans un quotidien.

En 1917, Brecht entreprend des études de philosophie, puis de médecine (mars 1918) à l'Université de Munich. En 1918, il écrit sa première pièce, " Baal ", suivi en 1919 de " Tambours dans la nuit " (inspirée par le mouvement spartakiste) et en 1921 de " Dans la jungle des villes ". En 1922, il reçoit le prix Kleist pour ces trois pièces, toutes créées sur scène en 1922-1923.

Il se marie en 1923 avec Marianne Zoff (Il aura tout au long de sa vie de nombreuses liaisons amoureuses et plusieurs enfants.) et quitte Munich. En 1924, il s'installe à Berlin avec l'actrice viennoise Hélène Weigel qu'il épousera en 1929.

Il fait connaissance, en 1927, du compositeur Kurt Weill avec lequel il travaille sur les " chants de Mahagonny ", et crée avec lui " l'Opéra de quat'sou " (1928) qui fut immédiatement un grand succès : le Theater am Schiffsbauerdamm est désormais à sa disposition.

Marié avec Hélène Weigel, il écrit et met en scène une ou deux pièces par an, dont " La Mère " (1932), " Homme pour homme ", " Mahagonny ", " Happy end ", " Sainte Jeanne des abattoirs ", " Têtes rondes, têtes pointues ". Parallèlement à son adhésion aux marxisme, il met au point sa théorie du Théâtre épique qu'il exposera dans son " Petit organon pour le théâtre ", publié en 1948.

En 1933, Hitler devenu chancelier, Brecht décide comme beaucoup de s'exiler. Ses oeuvres sont interdites et brûlées par les nazis (10 mai 1933). Déchu de la nationalité allemande, il vit successivement à Prague, Vienne, Zurich, puis, jusqu'en 1939 s'installe au Danemark qu'il quitte pour la Suède puis la Finlande dont il part en 1941. Durant toute cette période (1939-1941), Brecht écrit coup sur coup " La vie de Galilée ", " Grand peur et misère du IIIème Reich ", " Maître Puntilla et son valet Matti ", " La résistible ascension d'Arturo Ui", " Mère Courage et ses enfants ".

En 1941, Brecht et Hélène Weigel partent pour les Etats-Unis ; Brecht, comme de nombreux écrivains en exil, s'installe à Hollywood et travaille pour le cinéma (adaptation cinématographique de " La Vie de Galilée " avec Charles Laughton).

Brecht comparaît devant la " Commission des activités anti-américaines " en octobre 1947 et quitte les Etats-Unis pour la Suisse, mais c'est à Berlin-Est qu'il se fixe définitivement en juin 1949 et qu'il fonde, avec Hélène Weigel le " Berliner Ensemble ", leur troupe officielle, installée au Deutches Theater.

Désormais, autant auteur que metteur en scène de pièces du répertoire classique, Brecht entreprend la publication de ses oeuvres complètes à partir de 1954, année où il reçoit le prix Staline. Des tournées internationales se succèdent dont celle en France (1954), événement important dans l'histoire du théâtre français. Après un voyage à Milan pour assister à " l'Opéra de quat'sous " mis en scène par Giorgio Strehler, Brecht, très malade, meurt d'un infarctus le 14 août 1956.

Sa femme continuera de diriger le Berliner Ensemble", fidèle héritière de son oeuvre qui, outre les pièces de théâtre, comprend également des recueils de poèmes, des contes, des écrits théoriques et des essais.

La " distanciation " brechtienne (Verfremdung) d'après B. Dort

Concept introduit par Brecht pour définir un des fondements de son projet théâtral, la distanciation est une notion à la frontière de l'esthétique et du politique
Le principe consiste à faire percevoir un objet, un personnage, un processus, et en même temps à le rendre insolite, étrange.
L'objectif est d'inciter le spectateur à prendre ses distances par rapport à la réalité qui lui est montrée, de solliciter son esprit critique. Le but est d'aviver la conscience. Lorsqu'elle est efficace, la distanciation a un effet " politique " de désaliénation.En ce qui concerne la mise en oeuvre, la distanciation doit défaire l'illusion en soulignant le caractère construit de la réalité représentée.
Les procédés utilisés sont nombreux :
Texte soulignant les contradictions d'un personnage.
Acteur montrant son personnage en même temps qu'il le joue, diction artificielle, acteur incarnant plusieurs rôles etc...
Utilisation du chant : l'intervention des " songs " différencie nettement l'histoire et le commentaire de l'histoire.
Récit de l'action : l'action est racontée, il peut y avoir un narrateur, mais chaque personnage est susceptible de devenir narrateur et donc de s'adresser au public.
Utilisation de panneaux, volonté de souligner le caractère artificiel du décor, etc...
Dans " l'Opéra de quat'sous ", Brecht utilise de nombreux procédés de distanciation : les songs, les panneaux, les discours stéréotypés, Peachum " narrateur ", le double dénouement.


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MessagePosté le: 08-08-2007 23:09    Sujet du message: LITTE3RATURE Répondre en citant

Introduction

MICHEL AUDIARD

Il avait presque toujours une casquette vissée sur son crâne. Et question casquette il était imbattable. Il en avait si souvent changé au cours de sa carrière...

Successivement soudeur à l'arc, opticien, livreur, cycliste puis journaliste, il entre dans le cinéma en 1949, presque par hasard, comme on pousse la porte d'un bistrot. Il n'en sortira que trente cinq ans et cent films plus tard. Par la grande porte cette fois-ci, et les pieds devant. Scénariste, dialoguiste, réalisateur et écrivain, il aura promené sa barque dans tous les méandres du septième art en lui donnant celui de la parole.

Il nous laisse aujourd'hui, quinze ans après avoir appareillé vers de contrées plus célestes, ivre de bons mots, saoul de sa gouaille populaire et poétique, qui fait dire à certains de ses inconditionnels "Putain, ça c'est du Audiard".

On aurait pu approfondir les recherches, traquer les survivants, aller interroger l'arrière petit-fils de la nurse qui l'a mis au monde afin de savoir s'il avait déjà son style, bref, nous transformer en Cousteau du macadam parisien pour vous pondre un pavé, parisien lui aussi, sur Audiard. Mais on a préféré faire dans le simple, le concis. Esquisser le portrait du bonhomme juste ce qu'il faut pour comprendre son oeuvre et mieux l'appécier; par petites touches successives, qui se recoupent et vont à l'essentiel, façon impressionniste.

On n'a pas non plus voulu , en rassemblant ses perles, prendre la place d'un Gabin ou d'un Blier. Le papier n'est certes pas glacé, mais les mots d'Audiard étaient du sur-mesure fait pour la pellicule avant tout. Il ne prendront leur véritable dimension que mis en bouche. Comme du bon vin.

Finalement, on a juste voulu entrebaîller une porte sur un homme qui a eu l'élégance de faire parler de lui en faisant parler les autres. A vous de l'ouvrir ensuite. Bien fort.
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MessagePosté le: 09-08-2007 14:25    Sujet du message: litterature Répondre en citant

CLAUDE CHABROL




Claude Chabrol
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Claude Chabrol, né le 24 juin 1930 à Paris, est un réalisateur français, également producteur, acteur, scénariste et dialoguiste.

Sommaire [masquer]
1 Biographie
2 Citations
3 Filmographie
3.1 Réalisateur
3.2 Comédien (sélection)
3.3 Films sur Claude Chabrol
4 Bibliographie
4.1 Livres de Claude Chabrol
4.2 Livres sur Claude Chabrol
5 Liens externes



Biographie [modifier]
Après une jeunesse dans la Creuse et des études au cours desquelles il côtoye Jean-Marie Le Pen, Claude Chabrol participe en tant que critique de cinéma au lancement de la Nouvelle Vague française, aux côtés de François Truffaut et Jacques Rivette, ses collaborateurs aux Cahiers du cinéma. Dans la revue à couverture jaune, fondée par André Bazin et Jacques Doniol-Valcroze, il participe à la défense de la politique des auteurs et publie, en 1957 avec Éric Rohmer, un livre sur Alfred Hitchcock, celui qui a su imposer son style au système hollywoodien. Il a entre-temps épousé Agnès, une riche héritière qui lui permet de financer la création de sa maison de production. Celle-ci démarre avec un court métrage de Rivette, Le Coup du berger, avec Jean-Claude Brialy. En 1959, il tourne dans la Creuse son premier film, Le Beau Serge", qui devient le manifeste inaugural de la Nouvelle Vague.

Il divorce cinq ans plus tard pour épouser la comédienne Stéphane Audran, avec laquelle il entame une fructueuse collaboration, jusqu'à leur séparation, en 1980. Durant cette période, il se fait un spécialiste de l'analyse féroce de la bourgeoisie française, dont l'apparent conformisme sert de couvercle à un bouillonnement de vices et de haines. Que ce soit sur le registre de la comédie grinçante ou du polar, souvent associé au scénariste Paul Gégauff, il ne cesse d'en traquer l'hypocrisie, les coups bas et la bêtise, avec une délectation rare et jubilatoire à laquelle participent activement ses acteurs fétiches : Stéphane Audran, Michel Bouquet, Jean Yanne. Il dresse ainsi un portrait sans concession de la France des années 1970, âpre et corrosif, où dominent La Femme infidèle, Juste avant la nuit ou Les Biches.

À la fin de la décennie, il effectue un tournant en optant pour des sujets plus éclectiques dans lesquels son inspiration s'émousse parfois. Mais sa rencontre en 1978 avec la jeune Isabelle Huppert, qu'il contribue à révéler, est décisive. Violette Nozière, l'empoisonneuse parricide qui fit scandale dans les années trente, ajoute une dimension supplémentaire à la galerie de monstres jusqu'ici filmée par Chabrol (il avait déjà adapté un autre fait divers sanglant dans Landru avec Charles Denner). En même temps, il entame avec l'actrice un duo redoutablement efficace qui touchera tant les rives de la comédie policière (Rien ne va plus) que celles de l'adaptation littéraire (Madame Bovary) ou du film politique (L'Ivresse du pouvoir), culminant avec la décapante Cérémonie, adaptée d'un roman de Ruth Rendell, l"Analphabète". Sur un registre plus léger, il aura également entre-temps joué une délectable partition en compagnie de Jean Poiret, inoubliable Inspecteur Lavardin dans le film éponyme et dans Poulet au vinaigre, de la même manière qu'il revient régulièrement au polar provincial, à travers des films tels que Au cœur du mensonge ou La Demoiselle d'honneur.

En 2005, l'ensemble de son œuvre cinématographique a été distinguée par le Prix René Clair de l'Académie française.

Sa troisième épouse est Aurore Paquiss, actrice et assistante de réalisation.


Citations [modifier]
« Il faut accepter d'être parfois le pigeon, parfois la statue. »

Filmographie [modifier]

Réalisateur [modifier]
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MessagePosté le: 10-08-2007 17:31    Sujet du message: litterature Répondre en citant

Léon Tolstoï
Ecrivain et penseur russe
[Littérature classique]
Né à Iasnaïa Poliana le 28 août 1828
Décédé à Astapovo le 07 octobre 1910

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« L'idée de Dieu est ce que je puis éveiller ou ne pas éveiller en moi »
Léon Tolstoï

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Biographie de Léon Tolstoï

Lev Nikolaévitch dit Léon Tolstoï passe son enfance avec ses frères et soeurs en pleine campagne russe. A l'âge de quinze ans, il lit Voltaire et Rousseau dont les idées le marquent définitivement, mais il arrête ses études pour s'engager dans l'armée. Des combats qu'il a vécus, il tira des récits, comme 'Les cocases' qui analyse la guerre à travers le prisme de la morale et de la population. Ses premiers écrits publiés relèvent de l'autoanalyse et dévoilent l'obsession de Tosltoï pour le Bien et la responsabilité de chacun. Tourmenté, il préfère mener une vie de paysan austère que de jouir des mondanités que son succès lui offre. A quatre vingt deux ans, en proie à une crise terrible, il s'enfuit et, tombe malade dans le train, meurt dans la gare d'Astapovo. On lui doit deux chefs-d'oeuvre de la littérature russe, 'Anna Karénine' et 'La Guerre et la paix'.

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Les anecdotes sur Léon Tolstoï

Correcteur de vie
Léon Tolstoï, passionné par l'idée du bien, chercha toute sa vie à progresser mais aussi à faire progresser les autres : il lisait le journal intime de sa femme et annotait même des remarques dans la marge !



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Theodor Mommsen, écrivain allemand, s'est rendu célèbre grâce à son 'Histoire de Rome' en cinq volumes qu'il a écrit de 1854 à 1885. Il obtient d'ailleurs le prix Nobel de littérature en 1903 laissant Tolstoï de côté. Il a aussi enseigné le...


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«La tristesse pure est aussi impossible que la joie pure.»
[ Léon Tolstoï ] - Guerre et paix



«Les grandes oeuvres d’art ne sont grandes que parce qu’elles sont accessibles et compréhensibles à tous.»
[ Léon Tolstoï ] - Qu’est-ce que l’art ?



«Les historiens ressemblent à ces gens sourds qui entreprennent de répondre à des questions qui ne leur ont pas été posées.»
[ Léon Tolstoï ]



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Fiodor Dostoïevski
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Ecrivain et philosophe français [1694 - 1778]
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MessagePosté le: 12-08-2007 00:19    Sujet du message: litterature Répondre en citant

Kurt Mahler 1903-1988

Par J.H. Coates et A.J. van der Poorten


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Kurt Mahler a été soutenu le 26 juillet 1903 à Krefeld AM Rhein en Allemagne ; il est mort en sa 85th année le 26 février 1988 à Canberra, Australie. À compter de 1933 la majeure partie de sa vie a été passée en dehors de de l'Allemagne, mais ses racines mathématiques sont demeurées dans la grande école des mathématiques qui a existé en Allemagne entre les deux guerres mondiales. Surtout Mahler a vécu pour des mathématiques ; il a pris le grand plaisir en parlant, en recherchant et l'inscription. Il n'était aucune surprise qu'il est resté actif dans la recherche jusqu'aux derniers jours de sa vie. Il n'était jamais un spécialiste étroit et a eu une connaissance remarquablement large et complète de grandes parties du courant et après la recherche mathématique. En même temps il était inconscient à la mode mathématique, et a beaucoup suivi son propre chemin par le monde des mathématiques, découvrant de nouvelles et simples idées dans beaucoup de directions. De cette façon il a fait aux contributions principales au transcendantal aucune théorie, approximation de diophantine, analyse p-adic, et la géométrie des nombres. Vers la fin de sa vie, Kurt Mahler a écrit une quantité considérable au sujet de ses propres expériences ; voir les « cinquante ans en tant que mathématicien », « comment je suis devenu un mathématicien », « habe de Mathematik de matrice de fourrure de Vorliebe de besondere d'eine d'ich de Warum », « cinquante ans en tant que mathématicien II ». Il y a également un excellent compte récent de la sa vie et travail par Cassels (J.W.S. Cassels, 1991, « nécrologe de Kurt Mahler », acta Arith. (3), 58, 215-228). En préparant ce mémoire nous avons librement employé ces sources. Nous avons également dessiné sur la notre connaissance de et conversations avec Mahler, que nous avons rencontré la première fois quand nous étions des étudiants préparant une licence en Australie au début des années 60.

Krefeld, où Mahler a passé les vingt premières années de sa vie, était une ville d'environ 100.000 habitants dans une région principalement catholique de la Rhénanie prussienne. Sa famille était juive, et avait habité en Rhénanie pour plusieurs générations. Son père et plusieurs de ses oncles ont travaillé le commerce impression et de reliure, en commençant comme apprentis et en économisant lentement assez d'argent pour mettre sur pied de petites sociétés de leurs propres. Kurt et sa soeur jumelle Hilde (1903-1934) étaient les plus jeunes de huit enfants soutenus à Hermann Mahler (1858-1941) et son épouse Henriette, la poupe de née (1860-1942). Quatre des enfants sont morts des jeunes. Une soeur plus âgée Lydia (qui morte en 1984) a épousé un imprimeur qui était également un musicien, et a vécu dans les Pays Bas. Un frère plus âgé Josef, qui a joint et a par la suite succédé la société de son père, a disparu ainsi que son épouse dans un camp de concentration pendant la deuxième guerre mondiale.

La famille n'a eu aucune tradition d'universitaire. Aucun de quatre grand-pères de Kurt n'est allé à l'école plus que primaire (Volksschule). Cependant, les quatre enfants ont acquis un amour de la lecture de leur père. À l'âge de 5, Kurt a contracté la tuberculose, qui a sévèrement affecté son genou droit. Le genou a été plus tard actionné plusieurs fois, mais il n'a pas guéri jusqu'à ce qu'il ait été 35 et gauche il avec une jambe raide, qui a beaucoup gêné le sien marchant durant toute sa vie. En raison de cette maladie, Kurt seulement est allé à l'école pour un total de quatre ans vers le haut jusqu'à l'âge de 14, mais il a eu une certaine instruction privée à la maison pendant deux années additionnelles. Chez Pâques 1917, peu avant il a tourné 14, lui à gauche école primaire, et est allé aux écoles techniques pendant les deux années à venir, avec l'intention de devenir un fabricant d'outil et d'instrument de précision. Mahler a toujours maintenu une fascination avec le schéma technique et la calligraphie. Le plus important, ces écoles techniques lui ont donné sa première formation dans l'algèbre et la géométrie. Il a très rapidement décidé qu'étaient les mathématiques ce qu'il a vraiment aimé faire. Déjà, des vacances d'été de 1917, il a commencé à s'enseigner l'avion de logarithmes (les propriétés arithmétiques dont avéré être un de son demeurer intéresse dans le transcendantal aucune théorie) et la trigonométrie sphérique, la géométrie analytique et le calcul. En 1918, il est devenu un apprenti dans une usine de machine à Krefeld, fonctionnant pendant une année dans le bureau de dessin et puis pendant presque deux années dans l'usine elle-même. Plus tard, les qualifications de rédaction qu'il a acquises seraient utiles ; voir les papiers de L.J. Mordell dans la période 1941-45. Mahler s'est dit que son but en prenant l'apprentissage était qu'il pourrait par la suite lui permettre d'étudier des mathématiques à une université technique (Technische Hochschule), évitant de ce fait l'examen d'entrée difficile exigé pour entrer dans une université traditionnelle. Il a appris des mathématiques peu plus élémentaires en tant qu'élément des cours du soir, mais rapidement progressé dans son individu-éducation mathématique. Comme il réussi était comme une automobile-didact est illustrée par le fait qu'il a bientôt acquis et a commencé à lire, sans n'importe quels conseils experts, tels les livres sophistiqués comme Zahlentheorie de Bachmann, Primzahlen du landau, Funktionentheorie Klein de Knopp et Modulfunktionen et Automorphe Funktionen de Fricke, et der Geometrie de Grundlagen de Hilbert.

Dans les propres mots de Mahler : « Le jour splendide est venu en 1921 ». Il était dans l'habitude de petits articles d'écriture concernant les mathématiques qu'il avait lues. Sans sa connaissance son père avait envoyé une partie du travail de Kurt au directeur de l'école locale de grammaire (Realschule). DR Junker était un mathématicien, ayant écrit une thèse doctorale dans la théorie invariable sous Christoffel. Il a été évidemment impressionné par les efforts de l'apprenti, et a envoyé une partie du travail de Mahler à Klein dans Göttingen, qui l'a passé dessus à son jeune aide, C.L. Siegel. A ainsi commencé une association perpétuelle entre Siegel et Mahler : Siegel a demandé instamment que Mahler devrait être aidé à passer l'examen d'entrée d'université. Mahler est parti de l'usine et dépense deux ans à la maison se préparant à l'examen d'entrée (il cite la préparation pour des papiers dans le Français allemand, et l'anglais) avec l'aide des professeurs chez le Realschule, aussi bien que continuer sa propre lecture dans les mathématiques. Il a passé l'examen (il dit que « j'ai juste éraflé à travers ») en automne de 1923, parmi l'agitation politique de l'hyper-inflation allemande et le métier du Ruhr. La dissertation 1927 doctorale de Francfort de Mahler est consacrée à DR Josef Junker.

Siegel s'était déplacé à l'université de Francfort sur Main et, suivant sa suggestion, Mahler est allé étudier là en 1923, à l'âge de 20. Francfort était alors un endroit stimulant très pour l'étude avec Dehn, Hellinger, Epstein, Szass et Siegel composant le corps enseignant de mathématiques (voir la conférence de Siegel [1964, « des conférences de Mathematischen de saucisse de francfort de DES de Zur Geschichte », dans Gesammelte Abhandlungen III, Sauteur-Verlag, Berlin/Heidelberg/New York, 1966, 462-474] cette période à Francfort). Mahler était un étudiant de première année peu commun. Dans son premier semestre, il parle d'assister à des conférences sur le calcul par Siegel, la topologie par Dehn et fonctions elliptiques par Hellinger, une conférence sur cyclotomy (dans ce qu'il a donné à plusieurs conférences), et une conférence sur l'histoire des mathématiques. Mahler clairement a été considérablement influencé pendant cette période par Siegel, qui était la seule personne qu'il a identifiée en tant que son professeur dans la recherche mathématique. En été de 1925, quand Siegel a laissé pendant une période de congé d'outre-mer, Mahler s'est déplacé à Göttingen, où il est resté jusqu'en 1933. Göttingen était toujours alors le centre mathématique principal mondial, mais passait par une période de changement parce que la grande ère de Hilbert et de Klein était presque à une extrémité. Le landau semble avoir été aimable avec Mahler, mais a pris peu d'intérêt actif pour son travail. Des conférences de Noether d'Emmy, il a appris des nombres p-adic, dont l'étude a devenu soit l'un des thèmes principaux de sa recherche mathématique. (Quelques ans après, les rapports de Mahler fièrement parlant tout seuls travaillent sur des nombres p-adic chez Marburg à Hensel). Peut-être d'une manière plus importante, dans Göttingen Mahler a rencontré une pléiade de jeunes mathématiciens l'Europe et des Etats-Unis, beaucoup de qui est devenu de principales figures en années postérieures. Celles-ci ont inclus Alexandroff Hopf, Koksma, Mordell, Popken, van der Waerden, Weil et saucisse. En 1927, Mahler a soumis sa dissertation doctorale, sur les zéros de la fonction gamma inachevée, à Francfort (il rapporte qu'Ostrowski n'a pas été très impressionné de la dissertation, et lui a été conseillé « pour faire moins de mathématiques faciles ».)

Pendant la majeure partie de son temps chez Göttingen, Mahler a été complètement soutenu dans ses études par ses parents et d'autres membres de la communauté juive à Krefeld. Cependant, peu avant il avait 30 ans, il a été attribué une camaraderie de deux ans de recherches par le der Deutschen Wissenschaft de Notgemeinschaft, et enregistre qu'il pouvait même sauver une partie du stipend. En années de Göttingen, tous thèmes principaux à lui recherche postérieure, excepté la géométrie des nombres sont apparus en son journal (qui est les vingt premiers empaquette environ dans sa liste de publications). Mahler a inventé une nouvelle méthode de transcendence, il a découvert que sa classification célébrée des nombres de transcendantal a prolongé les idées du travail original de Hermite dans ses études des propriétés d'approximation d'e, approximation frayée de diophantine dans les domaines p-adic, et a appliqué ses résultats sur l'approximation p-adic de diophantine pour prouver sa généralisation bien connue du théorème de Siegel sur des points de nombre entier sur des courbes du genre 1. Mahler s'est assurément rendu compte que sa méthode pourrait être prolongée aux courbes du genre 1 plus grand que, mais elle était typique de ses perspectives qu'il n'a pas eu la patience à travailler par sa généralisation de la méthode de Siegel. Mahler mentionne que son idée de prolonger le théorème de Thue-Siegel aux nombres algébriques p-adic est venue à lui sur une petite île en Mer du Nord pendant les vacances de Whitsun de 1930, quand le mauvais temps l'avait forcé à rester à l'intérieur !

Mahler avait été nommé à sa première distribution, un assistanat à l'université de Königsberg, mais ne l'avait pas encore prise vers le haut, quand Hitler est venu pour actionner en 1933. Il semble s'être rendu compte immédiatement qu'il doit quitter l'Allemagne. En été de 1933, Mahler a passé six semaines à Amsterdam avec van der Corput et ses deux élèves Koksma et Popken, que Mahler avait rencontrés dans Göttingen ; ils devaient rester ses amis perpétuels. Mahler s'est déplacé à Manchester pendant l'année 1933-34 d'universitaire, où Mordell l'avait fixé une petite camaraderie de recherches appelée l'évêque Harvey Goodwin Fellowship. Mahler a souvent parlé en années postérieures de la bonté de Mordell lui sur ceci et beaucoup d'occasions suivantes, incluant en l'aidant à apprendre l'anglais. Il semble que la première leçon anglaise Mahler a eu dans l'mise composée par Manchester devant un tableau noir immédiatement sur son arrivée et être dit de donner une conférence ! Les deux années à venir d'universitaire ont été passées à Groningue dans les Pays Bas, soutenus par un stipend obtenu en van der Corput d'un groupe juif hollandais. Ici un nouveau thème, la géométrie des nombres, a commencé à émerger dans le travail de Mahler.

En 1936, il a été couru dans près une bicyclette à Groningue, et cet accident a réactivé la tuberculose dans son genou droit. Il ne pouvait pas marcher pendant un certain temps et a dû retourner à Krefeld, où il a eu plusieurs opérations aboutir au déplacement de la rotule. Ces opérations ainsi que deux périodes de trois mois dans un sanatorium chez le Montana Valis, Suisse pendant les étés de 1937 et de 1938, ont finalement traité la tuberculose, mais il a été laissé avec une constante mou. Mahler parle de devoir prendre la morphine pour diminuer la douleur après sa dernière opération, et étant soulagé pour constater qu'il pourrait immobile faire la recherche mathématique quand il a montré que l'expansion décimale 0.123… 9101112… est un nombre de transcendantal. (En années postérieures, Mahler a souvent énoncé la vue que les mathématiciens de vingtième-siècle avaient considérablement négligé l'étude des propriétés arithmétiques des expansions décimales.) inutile de dire, il y avait d'autres difficultés pendant ces années, de que Mahler a rarement parlées et certainement n'a pas enregistrées dans ses propres mémoires écrites. Dans un incident (que l'un de nous a appris de de Popken, et que Mahler a plus tard confirmé dans la conversation), Mahler était entrée refusée à la frontière hollandaise et était sur le point d'être envoyé de nouveau à l'Allemagne nazie. Heureusement, Koksma a eu un collègue à l'université libre d'Amsterdam, G.H.A. Grosheide, qui a été lié à un membre aîné du gouvernement hollandais. Une intervention pressante a été faite au nom de Mahler par l'intermédiaire de ce canal et il a été finalement permis d'entrer dans les Pays Bas.

En 1937, Mahler est revenu à Manchester. Il a complètement apprécié l'atmosphère intellectuelle animée dans aucune théorie que Mordell avait stimulée dans le département. Tandis que sa propre recherche s'épanouissait, le côté pratique de la vie ne pourrait pas toujours avoir été facile pour lui. Dans la période 1937-41, il a eu deux nominations courtes en tant qu'un conférencier auxiliaire provisoire et appui des stipends de camaraderie, mais pour plus de deux de ces années il a vécu sur sa propre épargne. En 1939, il avait projeté prendre un rendez-vous à l'université de Szechuan en Chine, où son ami Chao Ko enseignait, mais il a été forcé d'abandonner l'idée en raison de la manifestation de guerre. Cependant, Mahler avait commencé à apprendre que le Chinois et cette étude devaient rester un intérêt et un passe-temps importants. En 1940, il a été interné pendant trois mois en tant que « étranger ennemi », d'abord dans une ville de tente près de la frontière de Gallois et puis dans les pensions sur l'île de l'homme. Le voici qui a parlé aux autres internés sur la construction des vrais nombres au moyen d'ordres de Cauchy des nombres raisonnables, en tant qu'élément d'une université réglée vers le haut dans le camp d'internement. Mahler enregistre qu'il plus tard a trouvé le même matériel très approprié au commencement des premiers cours d'honneurs d'année de l'analyse à Manchester. Tandis qu'interné, il a été attribué un degré de ScD par l'université de Manchester.

En 1941, Mahler a été nommé au Lectureship auxiliaire à Manchester, que Davenport avait évacué quand il a déplacé à la prise une chaise à Bangor. En années à venir, Mahler a développé une géométrie des nombres d'ensembles généraux dans l'espace dimensionnel de n, y compris son théorème célébré de compacité. Son futur a été maintenant assuré. Il a été promu à Lecturer (1944), à Lecturer aîné (1947) et à Reader (1949), et dans 1952 la première chaise personnelle dans l'histoire de l'université a été créée pour lui. Il est devenu un sujet britannique en 1946 et a été élu un camarade de la société royale en 1948. Il a fait sa première visite aux Etats-Unis en 1949, passant la majeure partie du moment à l'institut pour l'étude avançée dans Princeton. À Noël 1949, il a contracté la diphtérie et a eu un autre accès grave de maladie pendant trois mois, mais récupéré à temps de passer l'été parlant dans le Colorado, et participant au congrès international des mathématiciens à l'université de Harvard.

À Manchester, il a vécu de 1938 jusqu'en 1958 à la Chambre de Donner, une pension où un certain personnel 25-30 simple a vécu dans les chambres bedsitting et a diné communalement. Quand la pension a été abaissée pour faire la manière pour des dortoirs plus étendus d'étudiant, Mahler a acheté une petite maison à Manchester suburbain, et a vécu là jusqu'à son départ pour Canberra. Cependant, dans la vie postérieure il s'est plaint qu'il a trouvé le fardeau de s'occuper de sa propre maison plutôt onéreux, et on sent que le fait qu'il pourrait vivre à la Chambre d'université (un établissement collégial pour les étudiants et les chercheurs universitaires supérieurs dans l'institut des études avançées de l'université nationale australienne) était l'un des facteurs qui l'ont incité à décider de se déplacer à Canberra en 1963. Naturellement, il y avait beaucoup d'autres raisons de ce mouvement. La plupart des mathématiciens qu'il avait connus à Manchester avaient passé aux positions autour du monde, et il clairement sentant était isolé là.

Au début des années 60, B.H. Neumann, un collègue de Mahler à Manchester, a été invité à établir un nouveau département des mathématiques dans purement le côté de recherches de l'université nationale australienne, l'institut des études avançées. Mahler était un du premier de beaucoup de visiteurs que Bernhard Neumann a rapidement invités. Il n'y a aucun doute que Mahler a immédiatement aimé l'atmosphère chaude et stimulante dans le nouveau département, comme le beau climat de Canberra et l'arrangement délicieux du campus d'ANU sur le bord de ce qui était alors une grande ville de province. Mahler lui-même dit qu'il était très heureux d'accepter l'offre d'un professorat de recherches, qu'il a pris en septembre 1963. La position lui a donné la grande liberté pour voyager et pour poursuivre sa propre recherche, qu'il a faite avec l'énergie et enthousiasme.

Cependant, Mahler était également très intéressé avec semer les graines de sa propre connaissance mathématique dans son nouveau pays. Comme dans sa propre recherche mathématique, il a instinctivement estimé que la meilleure manière de faire ceci était d'aller de nouveau aux premiers principes, et pour commencer en enseignant des débutants dans le sujet. L'ANU avait commencé à attribuer à des degrés d'étudiant préparant une licence seulement quelques années avant que Mahler soit arrivé, et Hannah Neumann a été nommé pour diriger le nouveau département des mathématiques dans le côté de enseignement de l'université (l'école des études générales) au temps à peu près identique que Mahler a pris sa chaise. Entre elles, elles ont assuré Mahler pour donner deux cours au petit non des étudiants préparant une licence lisant des mathématiques, une de 1963 sur élémentaire aucune théorie, et la seconde en 1964 sur la fonction modulaire elliptique j (z). L'un de nous a eu la bonne fortune pour suivre ces cours. Mahler a commencé et a fini chaque conférence avec l'exactitude extraordinaire ; entre, l'assistance a été donnée une perspicacité rare dans son arrangement de et enthousiasme pour le matériel de la conférence. Pendant qu'il parlait, il produirait une belle exposition écrite sur le tableau noir des points clés, qui ont été d'une manière ordonnée placés dans l'ordre dans des ses boîtes rectangulaires caractéristiques. Bien qu'il ait semblé au début si différent et interdisant, nous avons bientôt découvert qu'il était très disposé à parler de sa connaissance des mathématiques généralement et à nous prêter ses propres livres mathématiques quand nous ne pourrions pas les trouver dans la bibliothèque. Mahler a donné des conférences à de divers cours d'été à Canberra et ailleurs autour de l'Australie, aussi bien qu'un non de cours de perfectionnement sur le transcendantal aucune théorie dans l'institut des études avançées. À la fin la fascination de ce qu'il était faire séduit nous tous les deux dans la recherche dans aucune théorie, et nous a fait nos premières étapes dans la recherche mathématique sur des problèmes suggérés par lui.

En 1968, Mahler a atteint l'âge de la retraite statutaire pour des professeurs, et a été forcé de se retirer de l'ANU. Il s'est alors déplacé à une chaise à l'université de l'Etat de l'Ohio à Columbus, Ohio, où le Président était un vieil ami, Arnold Ross (dont les cours d'été pour les étudiants doués de lycée ont attiré beaucoup de jeunes dans la recherche mathématique en Australie, aux Etats-Unis et en Allemagne). En 1972, Mahler est revenu à Canberra pour sa « retraite finale », vivant une fois de plus dans la Chambre d'université. Mais son activité mathématique n'a jamais diminué, comme est montré par la publication d'environ quarante papiers de 1972 jusqu'à sa mort. Il a laissé la partie de son domaine à la société mathématique australienne, qui a déjà employé une partie de elle pour établir un lectureship dans sa mémoire.

Kurt Mahler ne s'est jamais marié. En effet, il affirme dans les notes à gauche avec la société royale que sur sa partie qui était une décision délibérée a faite pour des raisons de sa santé pauvre. En cas, il a survécu à ses contemporains. C'était naturellement une source de tristesse pour lui, mais également une de fierté tordue.

Mahler était un excellent photographe - plusieurs de ses images ornent la Chambre d'université à l'ANU où il a vécu pendant plus de vingt années. Il est resté fasciné par le Chinois et était exceptionnellement fier d'avoir écrit le papier « sur les fonctions se produisantes des nombres entiers avec un chiffre absent » dans le Chinois, (la Science de K'o Hsüeh, 29 (1947), 265-267). Sa lecture non-mathématique a comporté la plupart du temps la science-fiction et l'histoire.

Mahler a reçu beaucoup de distinctions pendant sa vie. Il a été élu un camarade de l'académie australienne de la Science en 1965 et a reçu sa médaille de Lyle en 1977. La société mathématique de Londres a attribué lui son prix aîné de Berwick en 1950, et à sa médaille de De Morgan en 1971. En novembre 1977, il a reçu un diplôme à une cérémonie spéciale à Francfort pour marquer le jubilé d'or de son doctorat. Het Wiskundig Genootschap (la société mathématique hollandaise) lui a fait un membre honorifique en 1957, de même que la société mathématique australienne en 1986.

Dans une lettre à l'un de nous - reçu après avoir entendu parler de sa mort - Kurt daté du 24 février 1988 Mahler place le problème suivant :

Laisser f (x) soit un polynôme dans x avec des coefficients intégraux qui est positif pour l'étude positive de X. les nombres entiers X pour lesquels la représentation de f (x) supérieur ou égal à aux 3 bas a seulement les chiffres 0 et 1.
Quant à son travail de vie il s'est également avéré justement écrire, dans cette lettre : « Quand mes vieux papiers sont apparus la première fois, ils ont produit peu d'intérêt pour le monde mathématique, et c'était seulement ces derniers temps qu'ils ont été redécouverts et a trouvé utile… ». Cela sous-estime excessivement l'impact de son travail dans le passé, mais note correctement la richesse de même ses remarques mineures.

[La version imprimée originale de ce mémoire a contenu une section autorisée travail mathématique, détaillant le travail de Mahler sur l'approximation de diophantine et la théorie de transcendence. En raison des restrictions du Web éditant, cette section n'a pas pu être reproduite ici.]

En ses années de poteau-retraite Mahler a fait l'utilisation étendue de sa
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MessagePosté le: 13-08-2007 00:29    Sujet du message: LITTERATURE Répondre en citant

Roger Peyrefitte
Diplomate et écrivain français
[Littérature française]
Né à Castres le 17 août 1907
Décédé à Paris le 05 novembre 2000

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« Il n'y a de bonheur que dans la liberté »
Roger Peyrefitte

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Biographie de Roger Peyrefitte

Une éducation religieuse chez les lazaristes, puis les jésuites, marque profondément le jeune Roger Peyrefitte. Après des études à la faculté des lettres de Toulouse, il intègre l'Ecole des sciences politiques, dont il sort major en 1930. Secrétaire d'ambassade à Athènes de 1933 à 1938, il démissionne en 1939 puis est nommé à Paris en mai 1943. Un an plus tard, après un début littéraire fracassant, il est contraint de se retirer de la carrière diplomatique. Son premier roman, 'Les Amitiés particulières', lui vaut l'amitié d'André Gide et le Prix Renaudot ainsi qu'une réputation sulfureuse sur laquelle il jouera durant toute sa carrière. Roger Peyrefitte appartient, avec André Gide et Henry de Montherlant (il eut avec ce dernier une correspondance soutenue) , à une génération d'écrivains influents qui ne cachèrent pas leur homosexualité. Dans un style raffiné, très voltairien, il n'a cessé de dénoncer, avec une ironie joyeuse qui fit scandale, les hypocrisies de la société dans laquelle il évoluait.

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Les anecdotes sur Roger Peyrefitte

Homonyme célèbre
Attention : ne pas confondre Roger Peyrefitte, l'écrivain, et Alain Peyrefitte, ministre de l'Information sous de Gaulle. Ils sont parents éloignés.



Adaptation à scandale
Un film, réalisé par Jean Delannoy et avec Michel Bouquet, a été tiré des 'Amitiés particulières' en 1964. Il fait scandale, comme le livre.



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Ses citations

«Il n'y a de bonheur que dans la liberté et de grandeur que dans une liberté croissante.»
[ Roger Peyrefitte ] - L'enfant de coeur



«Ce que l'on croît de la vanité, résulte souvent d'un complexe d'infériorité.»
[ Roger Peyrefitte ] - L'enfant de coeur




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Les célébrités liées à Roger Peyrefitte

André Gide
Ecrivain français
Né à Paris le 22 Novembre 1869
Décédé à Paris le 19 Février 1951
Issu d'une famille bourgeoise et protestante, André Gide reçoit une éducation très puritaine. Il perd son père à l'âge de onze ans. Evoluant d'abord dans le cercle des symbolistes, il part en Afrique du Nord pour des raisons de santé et en revient métamorphosé. Il publie alors 'Les Nourritures terrestres', assumant son homosexualité, clamant sa volonté d'assouvir ses désirs et de s'affranchir...


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Henry de Montherlant
Ecrivain français
Né à Paris en 1895
Décédé le 21 Septembre 1972
Simple soldat grièvement blessé sur le front en 1918, Henry de Montherlant voit sa jeunesse marquée par la guerre et par sa passion pour le sport et la tauromachie. Après quoi, avide de dépaysement, il réalise de nombreux voyages (Italie, Espagne, Afrique du Nord) durant lesquels il prend le temps de la méditation. Cette dualité - goût pour l'action et exaltation des valeurs charnelles...


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MessagePosté le: 13-08-2007 23:59    Sujet du message: litterature Répondre en citant

Jacques Brel, élu plus grand Belge de tous les temps 23/12/2005
Les téléspectateurs de la RTBF ont élu, le 20 décembre 2005, Jacques Brel, "plus grand Belge" de tous les temps, devant le Roi Baudouin et le Père Damien.
Les 10 finalistes étaient :
Père Damien, Hergé, Magritte, Merckx, Poelvoorde, Simenon, José Van Dam, le Roi Baudouin et Sœur Emmanuelle
Serge Lama et France Brel furent les avocats de Jacques Brel. Grâce au talent d’écrivain et d’orateur de Serge Lama et de la puissance de son réquisitoire, le public belge a réagi avec force et émotion pour élire Jacques Brel, pré-classé 3ème en début d’émission.
C’est avec plaisir que nous vous transmettons ci-dessous le texte de Serge Lama qui a fait basculer les votes jusqu’à la fin de l’émission.

BREL

Pour moi Brel est un homme de foi, qui ne croyait que dans les hommes, à la manière d’un Erasme au 16ème siècle.
Le seul vrai pays dont il se revendique c’est l’enfance et son enfance c’est la Belgique , dont il épouse avec souffrance et ironie les déchirements et les contradictions.
Il a exporté la Belgique au-delà des frontières car nul ne peut ignorer que Brel est belge.
Brel est tellement belge qu’on se demande parfois si les Marquises ne sont pas une de vos anciennes colonies.
Tous les personnages de Brel sont belges et les chansons de Brel sont les meilleures histoires belges qui aient fait rêver ou rire la communauté francophone.

Si ce soir il fait partie des dix personnalités nominées, c’est uniquement parce que le public et donc parce que les Belges l’ont voulu et pour aucune autre raison. Ce n’est pas le résultat d’un lobbying mais d’une vraie ferveur populaire.
La réputation de Brel dépasse les frontières de la francophonie, avec "Ne me quitte pas" et "Quand on n’a que l’amour" il a touché à l’universel.
Brel n’est pas un homme du passé car il ne savait pas chanter en play-back. Brel est un rockeur qui jouait de la guitare sèche et qui ne défendait pas les valeurs américaines.

Là où d’autres ne transpirent que de l’eau, il transpirait son âme et c’est ici même, dans cette salle, qu’il a transpiré son dernier tour de chant. D’ailleurs tout ce qu’il faisait d’important passait par le tamis de la Belgique. Ainsi, c’est ici qu’il a créé "L’Homme de la Mancha".

Brel est mort il y a presque 30 ans, et à l’instar de Piaf, on parle toujours de lui car ces deux là chantent ce qu’il y a de plus poignant dans l’être humain. Ils se sont tous les deux suicidés d’amour pour ceux vers qui ils tendaient les bras.

Outre le fait sans importance que sans lui je ne serais pas là ce soir et que peut-être même je n’aurais jamais chanté, il a démontré que l’on pouvait se faire écouter pendant une heure avec un minimum de musiciens et encore moins d’éclairage. Quand Brel chantait sur scène, et qu’on le voyait du balcon, tout petit, qu’on avait douze ou treize ans, on croyait voir trembler la marionnette de Dieu.
Et quand il chantait "Jef » et qu’il lui disait "Viens !!" tous les Jef du parterre tendaient leurs mains vers lui et quand un soir de 1964 il a chanté "Amsterdam" pour la première fois à L’Olympia, tous les marins d’eau douce furent KO debout durant cinq bonnes minutes. Ça je ne l’ai jamais vu, ni avant, ni après lui et je crains de ne plus le voir jamais.

Serge Lama

mardi 20 décembre
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MessagePosté le: 14-08-2007 22:53    Sujet du message: LITTERATURE Répondre en citant

Georges Bernanos
Ecrivain français
[Littérature française]
Né à Paris le 20 février 1888
Décédé à Neuilly-sur-Seine le 05 juillet 1948

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« Je meurs chaque nuit pour ressusciter chaque matin »
Georges Bernanos

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Biographie de Georges Bernanos

Après des études de droit et de lettres, Georges Bernanos milite chez 'Les Camelots du roi', ligue d'extrême-droite et collabore à divers journaux monarchistes, avant d'en diriger un à Rouen. Décoré après la Première Guerre mondiale, il se marie et devient inspecteur des assurances à La Nationale. Durant ses tournées, il rédige 'Sous le soleil de Satan' dont le succès est éclatant, et lui permet, au seuil de la quarantaine, de se consacrer entièrement à la littérature. Il obtient le Prix Femina en 1929 pour 'La Joie' puis connaît sa plus grande fécondité littéraire lors de son séjour à Majorque entre 1934 et 1937. Le Grand prix du roman de l'Académie française récompense 'Le Journal d'un curé de campagne' en 1936. Surpris par la guerre d'Espagne, il revient en France puis s'embarque pour le Paraguay et le Brésil, où il achève en 1940 'Monsieur Ouine'. Lorsque la guerre éclate en Europe, il multiplie les articles dans la presse brésilienne et devient l'un des plus grands animateurs spirituels de la Résistance française. En juin 1945, il vient poursuivre ce combat dans la France libérée, et écrit pour la presse de la Libération. Il passe ses dernières années en Tunisie où il compose l'un de ses chef-d'oeuvre 'Dialogues de Carmélites', qui depuis sont joués sur toutes les scènes de monde.

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Les anecdotes sur Georges Bernanos

Un fauteuil pour Georges
Il est l'auteur de la célèbre phrase : 'Quand je n'aurai plus qu'une paire de fesses pour penser, j'irai l'asseoir à l'Académie française'.



Polémique
En 1932, redevenu journaliste par intermitence, il s'engage dans une polémique avec ses anciens maîtres de l'Action Française.
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MessagePosté le: 15-08-2007 23:03    Sujet du message: litterature Répondre en citant

Alphonse Daudet
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
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Pour les articles homonymes?, voir Daudet.

Alphonse DaudetAlphonse Daudet, né à Nîmes le 13 mai 1840 et mort à Paris le 16 décembre 1897, est un romancier et conteur français. Il est inhumé au Cimetière du Père Lachaise.

Sommaire [masquer]
1 Biographie
2 Antisémitisme
3 Citations
4 Œuvres
5 Références
5.1 Voir aussi
6 Articles connexes
7 Liens externes



Biographie [modifier]
Il effectue ses études secondaires à Lyon. À Paris, il occupait le poste de secrétaire auprès du duc de Morny, personnage influent du Second Empire, quand celui-ci mourut subitement en 1865 : cet événement fut le tournant décisif de la carrière d'Alphonse.

Après cet événement, Daudet ne se consacra plus qu'à l'écriture, non seulement comme chroniqueur au journal Le Figaro mais aussi comme romancier. Puis, après avoir fait un voyage en Provence, Alphonse commença à écrire les premiers textes qui feront partie des Lettres de mon Moulin. Il connaît son premier succès en 1862-1865, avec la Dernière Idole, pièce montée à l'Odéon et écrite en collaboration avec Ernest Manuel - pseudonyme d'Ernest Lépine. Puis il obtint, par le directeur du journal L'Événement, l'autorisation de les publier comme feuilleton pendant tout l'été de l'année 1866, sous le titre de Chroniques provençales.

De nombreux textes sont attribués à Alphonse Daudet alors qu'il n'en est pas l'auteur ou qu'il les a écrits en collaboration avec d'autres. Exemples : Les premières Lettres de mon moulin publiées étaient signées de leurs deux auteurs : Paul Arène et Alphonse Daudet. Le Curé de Cucugnan, comme Daudet l'écrit lui-même dans le texte, est une simple traduction un peu abrégée d'une histoire écrite par Roumanille en provençal. Roumanille s'était lui-même inspiré d'un autre auteur, Blanchot de Brennas.


Moulin à vent Alphonse Daudet (Alpilles)Certains des récits de ce recueil sont restés parmi les histoires les plus populaires de notre littérature, comme la Chèvre de monsieur Seguin, Les Trois Messes basses ou L'Élixir du révérend père Gaucher. Le premier vrai roman d'Alphonse Daudet fut Le Petit Chose écrit en 1868. Il s'agit du roman autobiographique d'Alphonse dans la mesure où il évoque son passé de maître d'étude au collège d'Alès (dans le Gard, au nord de Nîmes). C'est en 1874 qu'Alphonse décida d'écrire des romans de mœurs comme : Fromont jeune et Risler aîné mais aussi Jack (1876), Le Nabab (1877), les Rois en exil (1879), Numa Roumestan (1881
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MessagePosté le: 16-08-2007 22:20    Sujet du message: LITTERATURE Répondre en citant

Georges Feydeau
Ecrivain français
[Littérature française]
Né à Paris le 08 décembre 1862
Décédé à Rueil-Malmaison le 06 juin 1921

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« On peut changer d’affection ! Le coeur ça se déplace »
Georges Feydeau

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Biographie de Georges Feydeau

Fils de l'écrivain réaliste Ernest Feydeau, Georges Feydeau se tourne très tôt vers le monde des lettres. Encouragé par Eugène Labiche, auteur de vaudevilles célèbres, il écrit deux comédies, 'Le Diapason' et 'Amour et piano', ainsi que des monologues dont il fait la lecture dans des cabarets parisiens. A 25 ans, il écrit et fait jouer 'Tailleur pour dames' qui recueille succès auprès du public et reconnaissance du milieu théâtral. C'est en 1892, avec 'Monsieur Chasse' qu'il devient célèbre. Georges Feydeau écrit ses plus grandes réussites de 1892 à 1912 au rythme incroyable d'une pièce par an, 'On purge bébé', 'Occupe toi d'Amélie'... Ses pièces ont toutes été saluées, souvent imitées et sont encore jouées aujourd'hui. S'il domine le théâtre de Boulevard de la fin du XIXe siècle, son sens du quiproquo et sa capacité à transformer une situation banale en délire scénique, ont fait dire de lui qu'il a annoncé le théâtre burlesque et l'absurde de Ionesco.

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Les anecdotes sur Georges Feydeau

Feydeau ce fêtard
Si Feydeau a dépeint avec férocité les déboires de la vie de couple, le sien ne fut pas épargné par ses excès de noctambule...



Impair et passe ...
L'auteur de pièces comiques à succès était féru de jeux, tant ceux des tripots mal famés que le baccara ou la roulette des cercles aristocratiques...



Les messages [des membres]
Message de T-astral à Georges Feydeau

Je ne connaissais pas G.Feydeau avant d'aller le voir au théâtre. Et franchement, j'ai trouvé ça génial. Ce n'est pas seulement le peintre d'une certaine bourgeoisie mais également celui de la relation de couple en général. Ces dialogues sont très drôles, fins, mais aussi tellement justes et vrais. Son écriture est un régal. Il devrait être enseigné à l'école...
Si vous voulez découvrir Feydeau, allez voir 'On va faire la cocotte' au théatre de l'Orme à Paris pour la saison 2007, c'est une très bonne pièce, la mise en scène est virevoltante et les comédiens sont plutôt bons. Cette pièce m'a donné envie de découvrir Feydeau et d'en parler autour de moi.



Et vous ?
Vous l'aimez un peu, beaucoup, à la folie, pas du tout... Dites-le lui !
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Ses citations

«Le mariage est comme une partie de baccarat : tant que vous avez de la veine, vous gardez la main.»
[ Georges Feydeau ]



«Les maris des femmes qui nous plaisent sont toujours des imbéciles.»
[ Georges Feydeau ] - Le dindon



«Une opération n'est jamais inutile. Elle peut ne pas profiter à l'opéré
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MessagePosté le: 17-08-2007 22:52    Sujet du message: litterature Répondre en citant

Jean-Jacques Servan-Schreiber
Journaliste français
[Média et Communication]
Né à Paris le 02 février 1924
Décédé à Fécamp le 07 novembre 2006

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« L’homme de la nouvelle ère n’a pas pour destin de se reposer »
Jean-Jacques Servan-Schreiber

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Biographie de Jean-Jacques Servan-Schreiber

Grand monsieur de l'information, Jean-Jacques Servan-Schreiber a marqué son temps par la fondation du journal L'Express. Issu d'une famille aisée, c'est tout naturellement qu'il sort diplômé de polytechnique à la Libération. Mais à une vie passée dans les chiffres Jean-Jacques Servan-Schreiber préfère les sciences et la politique. Ses compétences rédactionnelles lui permettent d'être engagé au Monde où il devient éditorialiste en politique étrangère, spécialisé dans la guerre froide. Ambitieux, le jeune homme de 29 ans crée L'Express avec Françoise Giroud, son grand amour de l'époque. Le but caché de ce nouveau quotidien est aussi de contribuer à l'élection de Pierre Mendès France. Tranchant avec la presse de ces années-là, le journal connaît vite le succès, y compris auprès des intellectuels qui signeront des articles. Parmi eux on compte Sartre, Camus, Malraux... Ayant annoncé la décolonisation depuis longtemps, il quitte son poste de commandement lors de la guerre d'Algérie, affichant sa désapprobation vis-à-vis du général de Gaulle. Perdant des lecteurs et l'appui de Mendès France, c'est une période sombre pour L'Express, d'autant plus que Jean-Jacques Servan-Schreiber perd aussi le contrôle des Echos suite à une brouille familiale. Il faut attendre les années 70 pour que le journal reprenne son statut. Bourreau de travail et touche-à-tout, il entame une carrière politique, milite pour une monnaie unique, écrit sur les Etats-Unis. Ayant arrêté sa carrière en 1996 et atteint de dégénérescence cérébrale, il succombe à une bronchite en 2006.

» Tout Jean-Jacques Servan-Schreiber sur fnac.com «

Les anecdotes sur Jean-Jacques Servan-Schreiber

Illustre dynastie !
Chez les Servan-Schreiber, on ne fait pas les choses à moitié... Jugez plutôt : son fils David est médecin reconnu, Edouard directeur d'un institut d'études. Parmi sa fratrie, on compte une sénatrice et deux journalistes.



Aïeul pointu
Jean-Jacques Servan-Schreiber était le petit-fils du secrétaire du chancelier du célèbre Général Von Bismarck !


Voir les 6 anecdotes
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MessagePosté le: 18-08-2007 23:58    Sujet du message: Répondre en citant

Marie-Claude Vaillant-Couturier:
Témoin au procès de Nuremberg:
'Nous sommes arrivés à Auschwitz au petit jour...'
in l'Humanité (13 décembre 1996) © L'Humanité 1996
Reproduction interdite sauf pour usage personnel - No reproduction except for personal use only

--------------------------------------------------------------------------------
Nous remercions l'Humanité de nous avoir autorisés à reproduire ce texte.
--------------------------------------------------------------------------------

Déportée dans ce camp en janvier 1943 avec 230 autres Françaises - dont seulement 43 revinrent -, Marie-Claude Vaillant-Couturier témoigna au procès de Nuremberg face à ses anciens bourreaux. C'était le 28 janvier 1946. Extraits d'un document d'Histoire.

'Nous sommes arrivées à Auschwitz au petit jour. On a déplombé nos wagons et on nous a fait sortir à coups de crosse pour nous conduire au camp de Birkenau, qui est une dépendance d'Auschwitz, dans une immense plaine, qui au mois de janvier était glacée. Nous avons fait le trajet en tirant nos bagages. Nous sentions tellement qu'il y avait peu de chance d'en ressortir - car nous avions déjà rencontré les colonnes squelettiques qui se dirigeaient au travail - qu'en passant par le porche, nous avons chanté 'la Marseillaise' pour nous donner du courage. On nous a conduites dans une grande baraque, puis à la désinfection. Là, on nous a rasé la tête et on nous a tatoué sur l'avant-bras gauche le numéro de matricule. Ensuite, on nous a mises dans une grande pièce pour prendre un bain de vapeur et une douche glacée. Tout cela se passait en présence des SS, hommes et femmes, bien que nous soyons nues. Après, on nous a remis des vêtements souillés et déchirés, une robe de coton et une jaquette pareille. Comme ces opérations avaient pris plusieurs heures, nous voyons, des fenêtres du bloc où nous nous trouvions, le camp des hommes, et vers le soir, un orchestre s'est installé. Comme il neigeait, nous nous demandions pourquoi on faisait de la musique. A ce moment-là, les commandos de travail d'hommes sont rentrés. Derrière chaque commando, il y avait des hommes qui portaient des morts. Comme ils pouvaient à peine se traîner eux-mêmes, ils étaient relevés à coups de crosse ou à coups de botte, chaque fois qu'ils s'affaissaient.

Après cela, nous avons été conduites dans le bloc où nous devions habiter. Il n'y avait pas de lit, mais les bat-flanc de 2 mètres sur 2 mètres, où nous étions couchées à neuf, sans paillasse et sans couverture la première nuit. Nous sommes demeurées dans des blocs de ce genre pendant plusieurs mois. Pendant toute la nuit, on ne pouvait pas dormir, parce que chaque fois que l'une des neuf se dérangeait - et comme elles étaient toutes malades, c'était sans arrêt - elle dérangeait toute la rangée.

A 3 heures et demie du matin, les hurlements des surveillantes nous réveillaient, et, à coups de gourdin, on était chassé de son grabat pour partir à l'appel. Rien au monde ne pouvait dispenser de l'appel, même les mourantes devaient y être traînées. Là, nous restions en rangs par cinq jusqu'à ce que le jour se lève, c'est-à-dire 7 ou 8 heures du matin en hiver, et lorsqu'il avait du brouillard, quelquefois, jusqu'à midi. Puis, les commandos s'ébranlaient pour partir travailler.'

M. Dubost, procureur général adjoint: - Je vous demande pardon, pouvez-vous décrire les scènes de l'appel?

Mme Vaillant-Couturier: 'Pour l'appel, on était mis en rangs, par cinq, puis nous attendions jusqu'au jour que les Aufseherinnen, c'est-à-dire les surveillantes allemandes en uniforme, viennent nous compter. Elles avaient des gourdins et elles distribuaient, au petit bonheur la chance, comme ça tombait, durant l'appel. Nous avons une compagne, Germaine Renaud, institutrice à Azay-le-Rideau en France, qui a eu le crâne fendu devant mes yeux par un coup de gourdin, durant l'appel (...). Il m'est même arrivé de voir une femme déchirée et mourir sous mes yeux, alors que le SS Tauber excitait son chien contre elle et ricanait à ce spectacle.

Les causes de mortalité étaient extrêmement nombreuses. Il y avait d'abord le manque d'hygiène total. Lorsque nous sommes arrivées à Auschwitz, pour 12.000 détenues, il y avait un seul robinet d'eau non potable, qui coulait par intermittence. Comme ce robinet était dans les lavabos allemands, on ne pouvait y accéder qu'en passant par une garde de détenues allemandes de droit commun, qui nous battaient effroyablement. Il était donc presque impossible de se laver ou de laver son linge. Nous sommes restées pendant plus de trois mois sans jamais changer de linge; quand il y avait de la neige, nous en faisions fondre pour pouvoir nous laver. Plus tard, au printemps, quand nous allions au travail, dans la même flaque d'eau sur le bord de la route, nous buvions, nous lavions notre chemise ou notre culotte (...).'

- Voulez-vous préciser en quoi consistait l'un des appels du début du mois de février?

'Il y a eu le 5 février ce qu'on appelait un appel général.'

- Le 5 février de quelle année?

'1943. A 3 heures et demie, tout le camp...'

- Le matin?
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MessagePosté le: 19-08-2007 23:53    Sujet du message: litterature Répondre en citant

Daniel Defoe
Ecrivain anglais
[Littérature classique]
Né à Londres en septembre 1660
Décédé à Londres le 26 avril 1731

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« La vraie grandeur consiste à être maître de soi-même »
Daniel Defoe

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Biographie de Daniel Defoe

Qu'est-ce qui poussa Daniel Defoe vers l'écriture ? Avant de faire paraître, à soixante ans, la fameuse histoire du marin échoué sur l'île déserte, les talents littéraires de l'auteur de 'Robinson Crusoé' ne s'étaient guère manifestés. Il s'était jusque là confiné à des textes plus politiques, pamphlets ou libelles dans lesquels il prit la défense du roi d'Angleterre, Guillaume III. Il avait aussi exercé divers métiers, notamment dans le commerce, la spéculation, la politique. Il fut même, un temps, mercenaire. C'est d'ailleurs peut-être par opportunisme que Daniel Defoe se tourna vers le récit d'aventures, genre prisé à l'époque. A moins qu'il faille voir dans cette vocation littéraire l'influence de Charles Morton, qui fut chargé de l'éducation de Defoe, avant de devenir vice-recteur de l'université d'Harvard. Homme courageux, écrivain original voire précurseur selon les uns, opportuniste à la moralité douteuse, âpre au gain et auteur au talent littéraire finalement très surestimé selon les autres, Daniel Defoe reste un personnage complexe et équivoque.

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Portraits [et interviews]



INTERVIEW DE JEAN-DAVID MORVAN
La Nouvelle Ecole (buissonnière)
Sacrée revanche de la culture moderne sur les oeuvres classiques que cette nouvelle collection Ex-Libris, initiée par Jean-David Morvan. Le scénariste lève le voile sur cette démarche iconoclaste qui pourrait bien donner le goût de l’aventure aux moins intrépides, et nous confie que, non, il ne règle pas ses comptes avec l’école. Le croit-on ?

Lire "INTERVIEW DE JEAN-DAVID MORVAN"



Les chroniques historiques
Defoe au trou !
31 Juillet 1703
Quelque temps avant son succès 'Robinson Crusoé' qui aura lieu en 1719, l'écrivain Daniel Defoe a eu des démêlés avec la justice. Ses pamphlets pour la liberté de la presse et de conscience lui attirèrent les foudres de l'Église. Si bien que...


Voir les 2 chroniques associées à Daniel Defoe
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MessagePosté le: 20-08-2007 23:27    Sujet du message: LITTERA Répondre en citant

Edgar Wallace
Dramaturge et écrivain anglais
[Littérature étrangère]
Né le 01 avril 1875
Décédé en 1932

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Biographie d'Edgar Wallace

La rédaction d'Evene n'a pas encore écrit la biographie de cette célébrité.
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Ses citations

«Un intellectuel, c’est quelqu’un qui a trouvé quelque chose de plus intéressant que le sexe.»
[ Edgar Wallace ]




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Voir le produit Affiche "Fontaine Wallace"

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Le film King Kong

Le livre Collectif Douze écrivains russes

L'article Rencontre avec la littérature russe

La biographie de Louis Renault

La biographie de Saint John Perse

La biographie de Boris Akounine

La biographie de Ernst Jünger

Le livre Benjamin Stora et Emile Témime Immigrances

Le lieu culturel Institut Camoes

La biographie de Assar Eppel

L'article Nouvelle volée de plumes


Ses contemporains
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» Raymond Radiguet
» David Herbert Lawrence
» Franz Kafka
» Guillaume Apollinaire
» Louis Pergaud
» Alain-Fournier
» Jack London
» Arthur Cravan
» Emiliano Zapata



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MessagePosté le: 22-08-2007 03:28    Sujet du message: Répondre en citant

Gustave Flaubert
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Aller à : Navigation, Rechercher
Cet article est une ébauche à compléter concernant la littérature, vous pouvez partager vos connaissances en le modifiant.
Cet article ne cite pas ses sources.
Améliorez sa qualité à l'aide des conseils sur les sources !
Gustave Flaubert

Gustave Flaubert
Naissance 12 décembre 1821
Décès 8 mai 1880
Activité romancier
Nationalité français
A influencé Guy de Maupassant
Œuvres principales Madame Bovary; L'Éducation sentimentale; Salammbô; Bouvard et Pécuchet
Gustave Flaubert, né à Rouen le 12 décembre 1821 et mort à Canteleu, au hameau de Croisset, le 8 mai 1880, est un écrivain français.

Sommaire [masquer]
1 Sa vie
2 Regards sur son œuvre
3 Notes et références
4 Œuvres
5 Voir aussi
5.1 Citations
5.2 Bibliographie
5.3 Liens externes



Sa vie [modifier]
Gustave Flaubert est le deuxième enfant d’Achille Cléophas Flaubert (1784-1846), chirurgien-chef très occupé par l'hôtel Dieu (hôpital) de Rouen, et de sa femme Anne Justine, née Fleuriot (1793-1872). Il naît le 12 décembre 1821, à Rouen.

Il effectue une scolarité sans enthousiasme au Collège Royal puis au lycée de Rouen, à partir de l'année 1832. Le premier événement à noter dans sa biographie est la rencontre à Trouville-sur-Mer, durant l'été 1836 de Élisa Schlésinger à qui il vouera toute sa vie une profonde passion (cette rencontre a été ensuite transposée par Flaubert dans L'Éducation sentimentale).

Il échappe au service militaire et entreprend, en 1841, des études de droit sans grande conviction. En janvier 1844, il les abandonne, à cause de ses premières crises d'épilepsie, et en juin 1844 il s'installe à Croisset, sur les bords de la Seine (Haute-Normandie). Il écrit alors plusieurs nouvelles et une première version de L'Éducation sentimentale. En 1846 meurent successivement son père puis sa sœur (deux mois après son accouchement — il prendra sa nièce en charge).

Il assiste à Paris à la Révolution de 1848 qu'il voit d'un œil très critique. Il écrit entre mai 1848 et septembre 1849 une 1re version de La Tentation de saint Antoine. Entre l'année 1849 et 1852 il fait un long voyage en Orient avec Maxime du Camp (visite de l'Égypte, de Jérusalem, de Constantinople, de l'Italie…). Outre ses voyages, c'est un homme sportif : il pratique la natation, l'escrime, l'équitation, la chasse…

C'est durant l'été 1851 que Flaubert entame la rédaction de Madame Bovary. Il poursuivra ce travail durant 56 mois. Néanmoins, sous le Second Empire, il fréquente les salons parisiens les plus influents, comme celui de Madame de Loynes dont il fut très amoureux ; il y rencontra entre autre George Sand. À la fin de l'année 1856 paraît en revue Madame Bovary, puis, en avril 1857, l'œuvre sort en livre, et fait l’objet d’un procès retentissant pour atteinte aux bonnes mœurs : Flaubert fut acquitté à la différence de Baudelaire poursuivi par le même tribunal pour les mêmes raisons pour son recueil Les Fleurs du Mal, paru lui aussi en 1857. C'est à l'occasion de la parution de Madame Bovary que date la correspondance de Flaubert avec Marie-Sophie Leroyer de Chantepie, femme de lettres vivant à Angers, et dévouée aux pauvres.


Acte de naissance de Gustave Flaubert en 1821Le 1er septembre 1857, Flaubert entame la rédaction de Salammbô et pour cela, voyage en avril-juin 1858 à Carthage afin de se documenter. Salammbô paraît en 1862.

En 1864, il entame la rédaction de L'Éducation sentimentale, qui paraît en novembre 1869.

Le 6 avril 1872, la mère de Flaubert meurt. À cette époque, il a des difficultés financières et sa santé, du fait de ses maladies nerveuses, est délicate. Il publie toutefois le 1er avril 1874 La Tentation de saint Antoine, juste après l'échec de son vaudeville Le Candidat. Sa production littéraire continue avec les Trois contes en avril 1877 (« Un cœur simple » - « La légende de Saint Julien l'Hospitalier » et « Hérodias »).

De 1877 à 1880, il rédige Bouvard et Pécuchet, qu'il avait entamé en 1872-1874. Mais la mort l'emporte, le 8 mai 1880, à Canteleu, au hameau de Croisset. Bouvard et Pécuchet paraît quand même, en publication posthume, en 1881.


Regards sur son œuvre [modifier]
Flaubert est le contemporain de Baudelaire et il occupe, comme le poète des Fleurs du Mal une position charnière dans la littérature du XIXe siècle. À la fois contesté (pour des raisons morales) et admiré de son temps (pour sa force littéraire), il apparaît aujourd'hui comme l'un des plus grands romanciers de son siècle avec en particulier Madame Bovary qui fondera le bovarysme et L'Éducation sentimentale ; il se place entre le roman psychologique (Stendhal), et le mouvement naturaliste (Zola – Maupassant, ce dernier considérant Flaubert comme son maître).Fortement marqué par l'oeuvre d' Honoré de Balzac dont il reprendra les thèmes sous une forme très personnelle ( L'Éducation sentimentale est une autre version de Le Lys dans la vallée, Madame
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MessagePosté le: 22-08-2007 21:29    Sujet du message: litterature Répondre en citant

Jules Verne
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Jules Verne naît à Nantes, dans la Loire-Atlantique (France), le 8 février 1828, premier fils de Pierre Verne et Sophie Allotte de la Fuÿe.

À 20 ans, il déménage à Paris pour y terminer ses études. Il est bachelier en Droit en 1849, puis licencié en Droit en 1850. Tout en écrivant des pièces de théâtre, il commence à fréquenter les milieux littéraires et rencontre plusieurs auteurs, dont Alexandre Dumas. Le succès de la pièce Les Pailles rompues en 1850 le convainc de délaisser le Droit pour l'écriture. Entre 1852 et 1862, il écrit pour le théâtre mais publie aussi quelques nouvelles.

En 1857, il épouse Honorine de Viane, une jeune veuve déjà mère de deux filles. Elle lui donnera un fils, Michel Verne (1861-1925).

En 1862, il rencontre l'éditeur Pierre-Jules Hetzel, lequel accepte de publier Cinq semaines en ballon (1863). Le livre connaît un succès triomphal, en France et dans le monde : la vraie carrière de Jules Verne commence. Il signe un contrat de 20 ans avec Hetzel et son avenir est assuré. Au cours des quarante années subséquentes, il écrira plus de soixante-dix romans, dont les plus célèbres, outre Cinq semaines en ballon, sont Le tour du monde en quatre-vingts jours, Vingt mille lieues sous les mers, l'Île mystérieuse, Michel Strogoff, Les enfants du Capitaine Grant, Voyage au centre de la Terre, De la Terre à la Lune, etc.

En 1867, il quitte définitivement Paris pour le Crotoy où il était déjà installé depuis 1865.

Sans cesser d'écrire pour autant, il voyage beaucoup : les croisières, notamment en Amérique (1867), se succèdent et sont pour lui des sources d'inspiration pour ses Voyages extraordinaires, nom générique donné à l'ensemble de son oeuvre.

En 1870, il est fait Chevalier de la Légion d'honneur. Pendant la guerre franco-prusse, il est garde-côte au Crotoy, mais il continue d'écrire.

En 1871, il s'installe à Amiens, en Picardie, où il vivra jusqu'à sa mort.

L'année 1886 est pour Verne une annus horibilus : le 9 mars, il est victime d'un attentat perpétré par son neveu Gaston et qui le laissera avec une balle dans l'os de la jambe. Huit jours plus tard, son éditeur et ami Hetzel meure. Verne vend son bateau et cesse de voyager. Il se concentre sur sa charge au Conseil municipal d'Amiens, sans délaisser l'écriture.

Dès 1890, sa santé se détériore. Verne est boulimique et atteint du diabète ; il souffre toujours de sa blessure à la jambe et a subi trois crises de paralysie faciale entre 1851 et 1858.

En 1892, il est fait Officier de la Légion d'honneur

Il meurt d'une crise de diabète dans sa maison d'Amiens, le 24 mars 1905, laissant plusieurs romans non publiés. Certains seront modifiés par son fils Michel, sous les pressions de l'éditeur Jules Hetzel, le fils de Pierre-Jules Hetzel : il ajoute des chapitres, en retranche, met en scène de nouveaux personnages, change les dialogues et les conclusions. Ce sera le cas pour En Magellanie, qui deviendra Les naufragés du « Jonathan » sous la plume de Michel. Le Volcan d'or sera lui aussi considérablement modifié, tout comme Le phare du bout du monde, L'Agence Thompson & Co., Le Secret de Wilhelm Storitz et Le Beau Danube jaune.

Le manuscrit de Paris au XXe siècle, un roman d'anticipation, ne sera retrouvé et publié que plusieurs années après sa mort : au moins, celui-là n'aura pas été trafiqué par Michel Verne !!!
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MessagePosté le: 23-08-2007 23:09    Sujet du message: litterature Répondre en citant

Jules Renard
Ecrivain français
[Littérature classique]
Né à Châlons le 22 février 1864
Décédé à Paris le 22 mai 1910

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« Qu'importe ce que je fais ! Demandez-moi ce que je pense »
Jules Renard

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Les citations de Jules Renard
«Tu n'as pas le souci de l'argent, du pain à gagner. Te voilà libre, et le temps t'appartient. Tu n'as qu'à vouloir. Mais il te manque de pouvoir.»
[ Jules Renard ] - Extrait de son Journal 1887-1892



«Les hommes de la nature, comme on les appelle, ne parlent guère de la nature.»
[ Jules Renard ] - Extrait de son Journal 1887-1892



«La clarté est la politesse de l’homme de lettres.»
[ Jules Renard ] - Extrait de son Journal



«On n'est pas heureux : notre bonheur, c'est le silence du malheur.»
[ Jules Renard ] - Extrait de son Journal



«On ne s'habitue pas vite à la mort des autres. Comme ce sera long, quand il faudra s'habituer à la nôtre !»
[ Jules Renard ]



«Toutes les religions se ressemblent par la quête.»
[ Jules Renard ]



«Il y a des moments où tout réussit. Il ne faut pas s'effrayer. Ca passe.»
[ Jules Renard ]



«La sottise pousse sans qu'on l'arrose.»
[ Jules Renard ]



«L'homme est comme un temple. Quand la colonne est brisée, il tombe, et les femmes n'y portent plus leurs dévotions.»
[ Jules Renard ] - Extrait de son Journal 1887-1892



«La raison du plus raisonnable est toujours la meilleure.»
[ Jules Renard ] - Extrait de son Journal



«A force de vous expliquer quelque chose, on n'y comprend plus rien.»
[ Jules Renard ]



«Humour : pudeur, jeu d'esprit. C'est la propreté morale et quotidienne de l'esprit.»
[ Jules Renard ] - Extrait de son Journal



«Une femme intelligente doit nous laisser nos rêves.»
[ Jules Renard ]



«Cent mille âmes, combien cela peut-il faire d'hommes ?»
[ Jules Renard ]



«Il y a des amis. Il n'y a pas de vrais amis.»
[ Jules Renard ] - Extrait de son Journal 1893 - 1898



«Il est beaucoup plus difficile de ne pas croire que de croire en Dieu, les vrais athées sont presque introuvables.»
[ Jules Renard ] - Mots d’écrits



«Il n'y a pas de synthèse : il n'y a que le discontinu.»
[ Jules Renard ] - Extrait de son Journal 1893 - 1898



«La modestie va bien aux grands hommes. C'est de n'être rien et d'être quand même modeste qui est difficile.»
[ Jules Renard ] - Extrait de son Journal 1893 - 1898



«Un défaut de la vitre, et le moineau est un aigle sur le toit.»
[ Jules Renard ] - Extrait de son Journal



«La vie n'est ni longue ni courte ; elle a des longueurs.»
[ Jules Renard ] - Extrait de son Journal



«Le succès des autres me gêne mais beaucoup moins que s'il était mérité.»
[ Jules Renard ]



«Je n'ai jamais eu la chance de manquer un train auquel il soit arrivé un accident.»
[ Jules Renard ]



«Je sais pourquoi je déteste le dimanche : c'est parce que des gens, occupés à rien, se permettent d'être oisifs comme moi.»
[ Jules Renard ] - Extrait de son Journal



«L'homme libre est celui qui ne craint pas d'aller jusqu'au bout de sa raison.»
[ Jules Renard ] - Extrait de son Journal



«Prudence n'est que l'euphémisme de peur.»
[ Jules Renard ] - Extrait de son Journal



«Le scrupule, une maladie comme la paresse.»
[ Jules Renard ] - Extrait de son Journal



«La meilleure santé, c’est de ne pas sentir sa santé.»
[ Jules Renard ] - Extrait de son Journal



«Nous ne pardonnons jamais qu'à ceux auxquels nous avons intérêt à pardonner.»
[ Jules Renard ] - Extrait de son Journal



«Beauté de la littérature. Je perds une vache. J'écris sa mort et ça me rapporte de quoi acheter une autre vache.»
[ Jules Renard ]



«Maintenant, on apprécie les petits jeunes gens, non parce qu'ils ont du talent, mais parce qu'ils cherchent “le problème de la destinée” !»
[ Jules Renard ] - Extrait de son Journal 1887-1892



«L’homme de vraie gloire, c’est celui qu’on connaît et dont on n'a jamais rien lu. Les “trompettes de la Renommée” ne nous ont clamé que son nom.»
[ Jules Renard ] - Extrait de son Journal 1887-1892



«Pour bien arriver, il faut d'abord arriver soi-même, puis, que les autres n'arrivent pas.»
[ Jules Renard ]



«Oh ! Faire son voyage de noces tout seul !»
[ Jules Renard ]



«Je ne m'embête nulle part, car je trouve que, s'embêter, c'est s'insulter soi-même.»
[ Jules Renard ] - Extrait de son Journal
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MessagePosté le: 24-08-2007 21:30    Sujet du message: litterature Répondre en citant

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Les citations de Mark Twain
«Ne perds pas ton temps à répéter que le monde te doit quelque chose. Le monde ne te doit rien. Il était là avant toi.»
[ Mark Twain ]



«Quelle est la différence entre un taxidermiste et un percepteur ? Le taxidermiste ne prend que la peau.»
[ Mark Twain ]



«Le lit est l'endroit le plus dangereux du monde : 99 % des gens y meurent.»
[ Mark Twain ]



«L'une des preuves de l'immortalité de l'âme est que des myriades de gens le croient. Ils ont cru aussi que la terre était plate.»
[ Mark Twain ]



«Achetez de la terre, on n'en fabrique plus.»
[ Mark Twain ]



«Il est noble de s’instruire, mais c’est encore plus noble d’instruire les autres, et moins compliqué.»
[ Mark Twain ]



«La réalité dépasse la fiction, car la fiction doit contenir la vraisemblance, mais non pas de la réalité.»
[ Mark Twain ]



«Les vaches sacrées font les meilleurs hamburgers.»
[ Mark Twain ]



«C'est par piston qu'on entre au paradis. Si c'était au mérite, mon chien y entrerait et moi je resterais dehors.»
[ Mark Twain ]



«En France on n'a ni hiver, ni été, ni principes ; mais exception faite de ces trois inconvénients, c'est un beau pays.»
[ Mark Twain ]



«Un mensonge peut faire le tour de la terre le temps que la vérité mette ses chaussures.»
[ Mark Twain ]



«Un Anglais fait les choses parce qu'elles ont déjà été faites, un Américain parce qu'elles n'ont pas été faites.»
[ Mark Twain ] - Extrait des Carnets



«Consommée avec modération, l'eau ne peut pas faire de mal.»
[ Mark Twain ]



«Dans la conduite des affaires de l’état, respectez les formalités et négligez la moralité.»
[ Mark Twain ]



«Pourquoi dépenser de l'argent pour faire établir votre arbre généalogique ? Faites de la politique et vos adversaires s'en chargeront.»
[ Mark Twain ]



«Les animaux supérieurs ne sont jamais atteints de cette maladie qu'on appelle le sens moral.»
[ Mark Twain ]



«Si l’on pouvait croiser l’homme et le chat, ça améliorerait l’homme, mais ça dégraderait le chat.»
[ Mark Twain ]



«Le fait que l’homme distingue le bien du mal prouve sa supériorité intellectuelle par rapport à toute autre créature ; mais le fait qu’il puisse mal agir prouve l’infériorité de son esprit.»
[ Mark Twain ] - What is Man ?



«La gentillesse est le langage qu’un sourd peut entendre et qu’un aveugle peut voir.»
[ Mark Twain ]



«La vérité est plus éloignée de nous que la fiction.»
[ Mark Twain ]



«Tout ce dont nous avons besoin pour réussir dans la vie est l'ignorance et la confiance.»
[ Mark Twain ] - Dedicace



«C'est plus facile d'avoir des principes quand on est bien nourri.»
[ Mark Twain ]



«Que seraient les êtres humains sans les femmes ? Ils seraient rares, extrêmement rares.»
[ Mark Twain ]



«Un jour, mon berceau fut placé à côté de celui d'un autre enfant. L'un de nous deux mourut. Depuis, je ne sais pas lequel est vivant : lui ou moi ?»
[ Mark Twain ]



«Les riches qui pensent que les pauvres sont heureux ne sont pas plus bêtes que les pauvres qui pensent que les riches le sont.»
[ Mark Twain ]



«Les faits sont têtus. Il est plus facile de s'arranger avec les statistiques.»
[ Mark Twain
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musika



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MessagePosté le: 24-08-2007 21:36    Sujet du message: Répondre en citant

coucou linette, je viens te souhaiter bonne une nuit
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