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litterature
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MessagePosté le: 25-08-2007 05:46    Sujet du message: Répondre en citant

MERCI MA MUSIK C EST GENTIL A TOI;GROS BISOU TA LINE
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MessagePosté le: 26-08-2007 13:14    Sujet du message: litterature Répondre en citant

résumés thèses
Maîtrises en théologie
KABASELE André, L'unité littéraire du livre de Baruch (coll. "Études Bibliques" 3Cool, Paris, 1998, 504 p. (Promoteur: P. BOGAERT).

L'exégèse habituelle de Baruch a fait du livre un ensemble composite qu'elle traite en quatre blocs séparés, à savoir un prologue historique (1,1-15aa), une prière pénitentielle (1,15ab-3,Cool, un psaume sapientiel (3,9-4,4) et une exhortation prophétique (4,5-5,9). Ce traitement influence nécessairement les hypothèses sur l'histoire rédactionnelle.

Pour nous faire un jugement plus équilibré, il nous a paru utile d'examiner l'ensemble du livre sous l'angle de son unité littéraire. Pour cette raison, nous nous inscrivons dans la ligne des analyses rhétoriques, dont l'objectif est de découvrir la logique qui a présidé à l'organisation des textes tels qu'ils nous sont parvenus. Notre but est de fournir des clés d'intelligence de l'unité du livre, par la mise en évidence de son dynamisme interne. L'observation des symétries parallèles et concentriques, des récurrences lexicales, a permis de mettre en lumière l'architecture de chaque section.

Notre étude a repéré une donnée fondamentale : le projet rédactionnel de Baruch a consisté à adjoindre une annexe au livre de Jérémie qui précède. Le mode de rédaction de différentes sections apparaît également comme une amplification à partir de matériaux préalables. Puisque les éléments narratifs sont concentrés dans le prologue historique, la détermination de la finalité de cette section introductive s'est avérée précieuse. Après examen, il apparaît que les véritables destinataires du livre sont les Hiérosolymitains. À eux est proposée en modèle la réaction de la communauté exilique réunie autour du roi Jékonias : réaction d'écoute du message prophétique, de pénitence, de loyauté face au conquérant étranger, mais aussi espérance de voir au bout du compte se détourner la colère divine.

L'approche narrative révèle que l'exil fait partie de la fiction littéraire, le but du rédacteur étant d'offrir à ses contemporains un exemple du passé. L'exemple fourni par la communauté réunie aux bords d'un fleuve (1,3-4) doit être compris en continuité avec la prophétie jérémienne qui fait de la diaspora babylonienne le dépositaire des promesses après le temps de l'épreuve (Jr 27-33). Dès lors, c'est la présentation de l'exil en ses phases successives qui rend compte de l'agencement des sections du livre de Baruch : le temps du repentir (1,1-15aa), de la supplication (1,15ab-3, Cool, et du retour à la Loi (3,9-4,4); le temps de la restauration et du retour au pays de Juda, signifiant la joie aussi bien pour Jérusalem que pour ceux qui y rentrent (4,5-5,9). Le mouvement que dessine la succession des phases de l'exil trouve également une justification liturgique. La lecture du livre (1,1-4.14) provoque l'aveu des fautes (1,15s), lui-même suivi par l'annonce du salut (4,5s). Le poème sapientiel (3,9-4,4) qui, au premier abord, apparaît comme un corps étranger à cette articulation liturgique, y trouve sa place dans la mesure où il souligne l'aspect positif du repentir. Pour revenir à Dieu, il s'agit non seulement de se détourner de la voie suivie par les pères, en l'occurrence le refus d'écouter l'invitation jérémienne à se soumettre au roi de Babylone (1,15ab-3,Cool, mais aussi de se tourner vers le livre de la Loi, seule voie de sagesse (3,9-4,4). Le rédacteur a donc réorganisé des matériaux préalables selon un schéma qu'on retrouve ailleurs : châtiment - sagesse - consolation, ou encore rîb prophétique - confession collective - intermède psalmique - oracle de salut. L'appendice baruchien ménage ainsi une bonne finale pour Jérémie.

Nous avons tiré argument des contacts nombreux avec le Siracide pour situer les deux livres dans le même contexte de la réponse juive à l'hellénisme. Les indices sont suffisants pour donner à penser que le rédacteur de Baruch, au moment de l'exacerbation de la lutte contre l'hellénisme (milieu du IIe siècle avant J.-C.), représente la ligne modérée, entre les Juifs philhellènes qui ont rejeté la Loi et les partisans de la lutte armée (les Maccabées). Tout en ménageant l'autorité politique en place (1, 11-12; 2,21-24), il prône le repentir (1,5.15s) ainsi que l'attachement à la Loi (3,9s) et au temple (1,8.10.14). S'inspirant de Jérémie (Jr 27-33), il annonce le salut qui ne pourra venir que de Dieu seul, au terme de l'épreuve (4,5s), et non de la lutte armée. A partir des allusions historiques du prologue, nous avons émis une hypothèse de travail, déjà entrevue par J. A. Goldstein, et selon laquelle le prêtre Joakim cité en Ba 1,7 correspond au grand prêtre Alkime de l'époque maccabéenne.

L'auteur, prêtre du diocèse de Kananga (République démocratique du Congo) et professeur aux Facultés catholiques de Kinshasa, a présenté sa dissertation le 2 avril 1998.


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GAZIAUX Éric, L'autonomie en morale : au croisement de la philosophie et de la théologie (coll. "Bibliotheca Ephemeridum Theologicarum Lovaniensium", 138), Leuven, 1998, xvi + 760 p. (Promoteur: H. WATTIAUX).

La proclamation de l'autonomie constitue la pointe de l'histoire contemporaine de la liberté, l'expression de la majorité de l'homme et de sa
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MessagePosté le: 27-08-2007 01:01    Sujet du message: LITTERATURE Répondre en citant

Boris Vian
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Aller à : Navigation, Rechercher

Une reproduction du Diplome de l'ordre de la Grande Gidouille de Boris Vian, le 22 Palotin 80 . Document tiré de la revue trimestrielle "Bizarre", J. J. Pauvert, numéro spécial B. Vian de février 1966 -Boris Vian (10 mars 1920, Ville-d'Avray (Hauts-de-Seine) - 23 juin 1959, Paris) est un écrivain français, ingénieur, inventeur, poète, parolier, chanteur, critique et musicien de jazz (trompettiste). À ces multiples talents, il convient d'ajouter ceux de conférencier, scénariste et traducteur (anglo-américain). Il a également publié sous les pseudonymes de Vernon Sullivan ou Bison Ravi, Baron Visi ou Brisavion (anagrammes de son nom).

Sommaire [masquer]
1 Biographie
2 Œuvres
2.1 Romans et nouvelles
2.2 Théâtre
2.3 Poésies
2.4 Essais
2.5 Chansons
3 Collaboration à des périodiques
4 Citations
5 Notes et références
6 Liens externes en français



Biographie [modifier]

Une reproduction du Diplome d'ingenieur de l'école Centrale de Boris Vian (54 ème sur 72, promo 42B) Document tiré de la revue trimestrielle "Bizarre", J. J. Pauvert, numéro spécial B. Vian de février 1966 -Enfant, Boris Vian a été couvé par son père, Paul Vian, et surtout par sa mère. En effet, il a été victime, à 12 ans, d'un rhumatisme articulaire aigu qui lui a occasionné une insuffisance aortique. Cette maladie de cœur, dont ses œuvres porteront la trace, en fera la cible de l'affection trop étouffante de sa mère. Il en parlera d'ailleurs dans l'Herbe rouge, et plus encore, dans l'Arrache-cœur.

Après le lycée Condorcet, à Paris, il entre à l'École Centrale en 1939, puis travaille comme ingénieur à l'Association française de normalisation (AFNOR), jusqu'en 1946, où il profite de ses instants de liberté pour écrire et jouer de la musique jazz.

Il fréquente les cafés de Saint-Germain-des-Prés, café de Flore ou des Deux Magots à l'époque où ceux-ci rassemblent intellectuels et artistes de la rive gauche : Jean-Paul Sartre (Le Jean-Sol Partre de L’Écume des jours), Raymond Queneau, Simone de Beauvoir, Juliette Gréco, Marcel Mouloudji, ou Miles Davis.

Son premier roman célèbre (sous l'hétéronyme de Vernon Sullivan) est J'irai cracher sur vos tombes, écrit en 1946. Le roman est très controversé, notamment parce qu'il est retrouvé sur les lieux d'un crime passionnel. Vian est condamné en 1950 pour outrage aux bonnes mœurs. S'ensuivent des romans tout aussi noirs et sarcastiques : Les morts ont tous la même peau, Et on tuera tous les affreux, Elles se rendent pas compte.

Si le succès des œuvres signées Vernon Sullivan lui ont permis de vivre, elles ont aussi occulté d'autres œuvres plus importantes aux yeux de Vian: les romans signés de son nom. En effet, seuls ces derniers, d'après lui, avaient une véritable valeur littéraire. Après l'échec de l'Arrache-cœur, Boris Vian décide donc d'abandonner la littérature.

Passionné de jazz, il joue de la trompette de poche (rebaptisée « trompinette ») au Tabou, célèbre club de Saint-Germain-des-Prés. Il est aussi directeur artistique chez Philips et chroniqueur dans Jazz Hot de décembre 1947 à juillet 1958, où il tient une « revue de la presse » explosive et extravagante. Henri Salvador disait de lui : « il était un amoureux du jazz, ne vivait que pour le jazz, n'entendait, ne s'exprimait qu'en jazz ».

Les années 1951-1952 seront des années sombres pour Boris Vian. Il vient de quitter sa femme Michelle, dont il a eu deux enfants, Patrick et Carole, et il vit difficilement de traductions dans une chambre de bonne au 8 boulevard de Clichy. Il n'a plus un sous mais le fisc s'acharne à lui soutirer des impôts anciens qu'il ne peut payer. Son esprit fécond l’amène cependant à collaborer au collège de 'Pataphysique (la science des solutions imaginaires), fondé en 1948. Il y retrouve Raymond Queneau, et il est nommé Équarrisseur première classe en 1952 puis satrape en mai 1953. Dans cette aimable corporation, il donne libre cours à son imagination pour fournir des communications et des inventions baroques telles que le gidouillographe ou le pianocktail[1]. En 1954, il épouse Ursula Kübler.

Il fait quelques apparitions sur scène, au théâtre et dans quelques films. Il joue par exemple le Cardinal de Paris dans Notre-Dame de Paris de Jean Delannoy.

Le matin du 23 juin 1959, Boris Vian est à la première de J'irai cracher sur vos tombes, film inspiré de son roman. Il a déjà combattu les producteurs, sûrs de leur interprétation de son travail, et publiquement dénoncé le film, annonçant qu'il souhaitait faire enlever son nom du générique. Quelques minutes après le début du film, il s'effondre dans son siège et meurt d'une crise cardiaque en route vers l'hôpital. Le Collège de Pataphysique annonce la mort apparente du "Transcendant Satrape".

Son œuvre connut un immense succès public posthume dans les années 1960 et 1970, notamment pendant les événements de 68. Les jeunes de la nouvelle génération redécouvrent Vian, l'éternel adolescent, dans lequel ils se retrouvent.


Œuvres [modifier]
Il a écrit onze romans, quatre recueils de poèmes, plusieurs pièces de théâtre, des nouvelles, de nombreuses chroniques musicales (dans la revue Jazz Hot), des scénarios de films, des centaines de chansons (notamment pour Serge Reggiani et Juliette Gréco), etc., le tout avec une verve qui lui est propre.

Sous son propre nom, il a écrit des romans plus fantastiques, poétiques et burlesques, les plus connus étant L'Écume des jours et L'Automne à Pékin, d'autres étant L'Arrache-cœur, L'Herbe rouge, etc.

Il est également auteur de pièces de théâtre, de nouvelles (L'Oie bleue, La Brume, Les Fourmis, …) de chansons, et fervent défenseur de la ’Pataphysique.

Sa chanson la plus célèbre (parmi les 460 qu'il a écrites) est Le Déserteur, chanson anti-militariste écrite à la fin de la guerre d'Indochine (soit le 15 février 1954), juste avant la guerre d'Algérie. Cette chanson fut interdite sur les ondes dans sa version d'origine en raison du couplet final litigieux :

Si vous me poursuivez
Prévenez vos gendarmes
Que j'emporte des armes
Et que je sais tirer


(Version attestée par Françoise Renaudot, dans son ouvrage il était une fois Boris Vian)

Ce couplet fut tardivement remplacé par

Si vous me poursuivez
Prévenez vos gendarmes
Que je n'aurai pas d'arme
Et qu'ils pourront tirer

Boris Vian fût l'objet de poursuites de la part de paramilitaires d'extrême-droite. Sous cette deuxième forme, la chanson eut un réel succès dans les années 1960, chantée par Peter, Paul and Mary ; mais Vian était déjà mort.

Amoureux de la culture américaine, il a traduit en français le grand classique de la science-fiction qu'est Le Monde des Ā d'A. E. van Vogt, tout comme sa suite Les Joueurs du Ā. Il a également traduit Raymond
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MessagePosté le: 28-08-2007 09:55    Sujet du message: LITTERATURE Répondre en citant

Françoise Sagan
Ecrivain française
[Littérature française]
Née à Carjac le 21 juin 1935
Décédée à Honfleur le 24 septembre 2004

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« Pour moi, le bonheur, c'est d'abord d'être bien »
Françoise Sagan

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Biographie de Françoise Sagan

Issue d'une famille de la grande bourgeoisie, Françoise Quoirez, dite Sagan, passe une enfance épargnée par les pénuries de la Seconde Guerre mondiale. Les années défilent et le triomphe se profile grâce à son roman 'Bonjour tristesse', écrit à l'âge de dix-huit ans. Bien que le public et la critique soient séduits, cette oeuvre suscite la polémique. Traitant du désir sexuel d'un point de vue féminin, les remarques le concernant sont quelque peu acerbes. Françoise Sagan adopte par la suite un style de vie des plus décalés, tant sur le plan de l'avoir que de l'être. Ses oeuvres s'en inspirent et mettent en exergue l'ennui et la fuite dans l'alcool. Elle incarne une insolence et une fraîcheur qui ne peuvent que choquer les étouffantes années 1950. Tentée par la scène, elle s'essaye à quelques pièces de théâtre : 'Château en Suède', 'la Robe mauve de Valentine', 'L'Excès contraire'... Malgré le succès de ses oeuvres, elle ne reçoit que peu de prix littéraires, mais se voit tout de même décerné en 1985 le prix Monaco, qui vient saluer l'ensemble de son oeuvre. Si l'on peut toujours discuter de sa véritable place dans le panthéon littéraire, Françoise Sagan était avant tout un être vrai et libre. Elle restera dans l'histoire comme un personnage, sans doute plus important que ses livres, un mythe dont la notoriété dépasse les frontières de l'Hexagone, le totem d'une époque faite de liberté et d'insouciance.

» Tout Françoise Sagan sur fnac.com «


Portraits [et interviews]



ADIEU A FRANCOISE SAGAN
Un certain sourire...
"Le charmant monstre" (le mot est de François Mauriac) s'en est allé. Sagan nous a quitté le 24 septembre dernier, à l'âge de 69 ans. La France connaissait ses scandales et ses mondanités, moins ses romans. Sagan l'écrivain semble plus reconnue hors de nos frontières...

Lire "ADIEU A FRANCOISE SAGAN"



Les anecdotes sur Françoise Sagan

Princesse de Sagan ?
Refusant que leur fille ne se serve de leur nom, connu dans les milieux de la bourgeoisie parisienne, les Quoirez demandèrent à Françoise de se choisir un pseudonyme. Elle le trouva dans l'oeuvre de Proust, son auteur préféré : Hélie de Talleyrand Périgord, prince de Sagan.



Françoise vue par Sagan
Françoise Sagan a écrit elle-même sa rubrique nécrologique dans 'Le Dictionnaire' : 'Fit son apparition en 1954, avec un mince roman, 'Bonjour Tristesse', qui fit un scandale mondial. Sa disparition, après une vie et une oeuvre également agréables et bâclées, ne fut un scandale que pour elle-même.



Dernières nouvelles
Joyeuse tristesse
15 Mars 1954
Publication à Paris du roman d'une jeune inconnue de 19 ans : Françoise Sagan. Son 'Bonjour tristesse' remporte un succès immédiat. On lui attribue alors le surnom de "charmant petit monstre".


Voir les 1 chroniques associées à Françoise Sagan
Les messages [des membres]
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MessagePosté le: 29-08-2007 00:36    Sujet du message: litterature Répondre en citant

JEAN COCTEAU
(1889 - 1963)







LA GENESE DU "SURREALISTE"




J'AI L'AGE DE LA TOUR EIFFEL !



Né le 5 juillet 1889 à Maison-Laffitte, Jean Cocteau prit place dans une famille bourgeoise, entouré de son père, rentier, de sa mère et de leur deux autres enfants, Marthe (12 ans) et Paul (8 ans).

Il passa son enfance au grès des réceptions musicales que donna son grand-père. Ce dernier, d'une grande culture artistique, n'avait de cesse d'initier le petit cancre de la famille à la musique. Cette période probatoire influencera considérablement sa perception créatrice tout au long de sa vie. Elle s'affirmera notamment dans la formation, par Cocteau lui-même, du Groupe des Six - formé des compositeurs Arthur Honegger, Germaine Tailleferre, Georges Auric, Louis Durey, Darius Milhaud et Francis Poulenc - dont l'esthétisme particulier aura pour usage le rejet du formel, l'utilisation du banal et du vulgaire... En un mot un antiwagnérisme. Leur exemple le plus insolite : le ballet des "Mariés de la Tour Eiffel", écrit par Jean Cocteau. Une bouffonnerie déroutante !



Très jeune, Jean va vite découvrir les funestes nuances de la vie. Son père Georges Cocteau se suicide dans son lit. Jean n'a alors que 9 ans, mais la mort, le suicide et le sang vont à tout jamais préfigurer ses oeuvres ("Le Sang d'un Poète", "L'Aigle à Deux Têtes", "Le Testament d'Orphée"...). Le tragique restera l'une des préoccupations majeures du poète, une exorcisation jamais comblée.

Sa mère élèvera donc seule cet être difficile qui refuse de grandir, trouvant dans les états pathologique un moyen de se faire choyer.

Aidée par une gouvernante allemande, Cocteau découvrit, très tôt, le monde du spectacle et de l'illusion. Il s'émerveilla face à la beauté du cirque, face au prestige des divertissements du Châtelet ("Le Tour du Monde en 80 jours"). Entre trois grippes et deux utopies, il passera des heures, dans sa chambre, à improviser des spectacles autour de son petit théâtre miniature, où il réinvente les décors. La maladie a ses jeux, dont la quintessence ranime l'âme créatrice...





J'AIME LES AUTRES ET N'EXISTE QUE PAR EUX (1)
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MessagePosté le: 29-08-2007 23:21    Sujet du message: litterature Répondre en citant

Charles Perrault
Ecrivain français
[Littérature classique]
Né à Paris le 12 janvier 1628
Décédé à Paris le 16 mai 1703

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« On n'est heureux qu'autant qu'on a souffert »
Charles Perrault

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Biographie de Charles Perrault

Issu d'une famille aisée de la bourgeoisie d'offices, Charles Perrault est le dernier d'une famille de quatre frères. Après des études de droit et une première oeuvre burlesque, 'Les Murs de Troie', il entre en 1654 comme commis chez son frère aîné Pierre, receveur général. Ses poèmes, notamment les 'Odes au Roi' le font remarquer. Nommé commis auprès de Colbert, conseiller de Louis XIV, il devient Premier commis des bâtiments du Roi en 1665. Elu en 1671 à l'Académie française, il s'oppose à Boileau dans la célèbre querelle des Anciens contre les Modernes en 1687. Les Modernes refusent en effet de considérer les auteurs antiques (grecs et latins) comme des modèles insurpassables. Chancelier de l'Académie, il en devient le bibliothécaire en 1673. Son oeuvre la plus célèbre tient aujourd'hui dans ses contes, nourris de l'imaginaire médiéval légendaire, chevaleresque et courtois. Perrault reprend dans une prose faussement naïve des histoires transmises traditionnellement par voie orale, encore considérées comme une influence majeure dans l'inconscient collectif.

» Tout Charles Perrault sur fnac.com «

Les anecdotes sur Charles Perrault

Au nom du fils
Les 'Contes de la mère l'Oye' et 'Histoires ou Contes du temps passé' sont publiés à l'origine sous le nom de son fils, Pierre Perrault d'Armancour, alors âgé de dix ans.



Conflit de générations
Ce sont ses vers du poème 'Le Siècle de Louis le Grand' , lus le 27 janvier 1687 à l'Académie, qui déclenchèrent la querelle des Anciens contre les Modernes : 'Que l'on peut comparer, sans crainte d'être injuste, le siècle de Louis, au beau siècle d'Auguste'.



Dernières nouvelles
Ce n'est pas dans les vieux pots…
27 Janvier 1687
L'académicien Charles Perrault, auteur des fameux 'Contes', présente un long poème critiquant la passion immodérée des oeuvres du passé et célébrant celles de son époque. La "querelle des anciens et des modernes" est lancée. Ce conflit se[...]


Voir les 1 chroniques associées à Charles Perrault
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MessagePosté le: 31-08-2007 00:54    Sujet du message: litte"rature Répondre en citant

Victor Hugo jeune,,
dessin d'Adèle Foucher,
la future Madame Hugo.
Victor Hugo est né à Besançon le 26 février 1802. Fils d'un général de Napoléon, il suivit d'abord son père dans le hasard des expéditions et des campagnes, en Italie, en Espagne, où il fut page du roi Joseph et élève au séminaire des nobles de Madrid. Vers l'âge de onze ans, il vint s'établir avec sa mère, séparée à cette époque du général, à Paris, dans le quartier, presque désert alors, du Val-de-Grâce. C'est là qu'il grandit dans une liberté d'esprit et de lectures absolue, sous les yeux d'une mère extrêmement indulgente et assez insoucieuse à l'endroit de l'éducation. Il s'éleva tout seul, lut beaucoup, au hasard, s'éprit, dès quinze ans, à la fois de vers et de mathématiques, se préparant à l'École polytechnique et concourant aux Jeux floraux.
Couronné deux fois par cette société littéraire, nommé par elle maître ès jeux floraux en1820, distingué par l'Académie française en 1817, à l'âge de quinze ans, pour une pièce sur les Avantages de l'étude, s'essayant à une tragédie (Irtamène dont on trouve quelques fragments dans Littérature et Philosophie mêlees), il comprit que sa vocation était toute littéraire, abandonna les mathématiques, et lança en 1822 les Odes. Il obtint une pension de 2 000 francs de Louis XVIII, peut-être pour son livre, peut-être pour un trait de générosité dont le Roi fut touché ; il se maria (1822), et ne songea plus qu'à marcher sur les traces de Lamartine, qui était l'idole du jour.



Victor Hugo en 1829,
par Devéria Journaux (Le Conservateur littéraire), romans (Bug-Jargal, Han d'Islande), théâtre (Amy Robsart avec Ancelot, à l'Odéon, chute), vers (Ballades et nouveaux recueils d'Odes) l'occupent jusqu'en 1827. A cette date, il donne Cromwell, grand drame en vers (non joué), avec une préface qui est un manifeste. En 1828 il écrit Marion de Lorme, drame en vers, qui est interdit par la censure, en 1829 les Orientales, en 1830 Hernani, joué à la Comédie française, acclamé par la jeunesse littéraire du temps, peu goûté du public.
La Révolution de 1830 donne la liberté à Marion de Lorme, qui est jouée à la Porte Saint-Martin avec un assez grand succès.

Dès lors Victor Hugo se multiplie en créations. Les recueils de vers et les drames se succèdent rapidement. En librairie, c'est Notre-Dame de Paris, roman (1831), Littérature et philosophie mêlées (1834), Feuilles d'automne, poésies (1831), Chants du crépuscule, poésies (1835), Voix intérieures, poésies (1837), Rayons et Ombres, poésies (1840), Le Rhin, impressions de voyage (1842). – Au théâtre, c'est Le Roi s'amuse, en vers (1839), représenté une fois, puis interdit sous prétexte d'allusion politique, Lucrèce Borgia, en prose (1833), Marie Tudor, en prose (1833), Angelo, en prose (1835), Ruy Blas, en vers (1838), les Burgraves, en vers (1843).


F.-J. Heim (1787-1865),
Victor Hugo vers 1845,
Musée Carnavalet, Paris. En 1841 il avait été élu de l'Académie française, après un premier échec. En 1845 il fut nommé pair de France. En 1848 il fut élu député de Paris à l'Assemblée Constituante, fonda le journal l'Evénement pour préparer sa candidature à la Présidence de la République, et devint un personnage politique. A la Constituante, il siégea parmi la droite et vota ordinairement avec elle.
Peu soutenu dans sa candidature à la Présidence, mais réélu député de Paris, il siégea à gauche à l'Assemblée législative, se marqua énergiquement comme anti-clérical (Loi sur l'enseignement) et inclina peu à peu vers le groupe socialiste.
Au 2 décembre 1851 il se mêla au mouvement de résistance, et dut prendre la route de l'exil.


Victor Hugo,
photographié par E. Bacot,
au cours de l'exil (détail). Il se retira en Belgique, puis à Jersey, puis à Guernesey, refusa de bénéficier des amnisties, et ne rentra en France qu'en 1870. Pendant son séjour à l'étranger, il publia Napoléon le Petit, et écrivit l'Histoire d'un crime, pamphlets politiques en prose, Les Châtiments (1853), satires en vers contre les hommes de l'Empire, Les Contemplations, poésies (1856), la première Légende des Siècles (1859), Les Misérables, roman (1862), William Shakespeare, étude critique (1864), Les Travailleurs de la mer, roman (1866), Les Chansons des rues et des bois, poésies (1865), etc.


Victor Hugo en 1882,
par Bastien Lepage Revenu à Paris sous la troisième république, il vit le siège de 1870 et la guerre civile de 1871, qui lui inspirèrent l'Année terrible, poésies (1872). il donna encore la deuxième Légendes des Siècles, poésies (1877), l'Art d'être Grand-Père, poésies (1877), la troisième Légende des Siècles, poésies (1881), les Quatre vents de l'esprit, poésies (1882).
Il avait été nommé sénateur par le collège électoral de Paris en 1876. Il parla peu. Il vota constamment avec la gauche. Ses opinions politiques d'alors étaient représentées par le journal Le Rappel, fondé vers la fin de l'Empire par ses parents et alliés.
Il mourut le 22 mai 1885, « dans la saison des roses », comme il l'avait prédit quinze années auparavant, à l'âge de 83 ans, comme Goethe. Son corps fut déposé au Panthéon, après les funérailles les plus magnifiques que la France ait vues depuis Mirabeau. Il a laissé une grande quantité d'œuvres inédites qui paraîtront successivement. En 1886 on en a donné deux, le Théâtre en Liberté, et la Fin de Satan, qui n'ont rien ôté à sa gloire.
D'après Émile Faguet, Dix-Neuvième siècle, Études littéraires.
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MessagePosté le: 01-09-2007 19:26    Sujet du message: litterature Répondre en citant

Vipère au poing



Biographie d'Hervé Bazin

Petit-neveu de l'académicien René Bazin, Hervé Bazin (de son vrai nom Jean-Pierre Hervé-Bazin) est né à Angers en 1911 dans une famille bourgeoise, dévote et terrienne. Enfant, il se heurte à sa mère, sèche et autoritaire ; adolescent, il multiplie les fugues ; étudiant, inscrit contre son gré à la faculté catholique de droit d'Angers, il refuse de passer ses examens. Pour mater ce révolté permanent, qui étudie en cachette la botanique, ses parents l'obligent à préparer Saint-Cyr : au bout de six mois, il

s'enfuit ; sur la route qui le conduit à Paris, au volant de la voiture de son père, un terrible accident le rend amnésique et le condamne à un long séjour dans une maison de santé. À sa sortie, Hervé Bazin mène une existence brouillonne et, souvent, misérable.
Durant quatorze ans, il est tour à tour marchand ambulant, garçon d'ascenseur, ferrailleur et même batteur de tapis. Il fonde en 1946 une éphémère revue poétique, La Coquille, et, dans l'angoisse d'être un raté, dans les souffrances d'un divorce et de liaisons malheureuses, il écrit des poèmes et des romans jamais publiés. En 1947, le prix Apollinaire qu'il reçoit pour son recueil de vers, Jours, brise cet anonymat.
Toutefois, sur les conseils de Paul Valéry, Hervé Bazin se tourne vers la prose. En 1948, le succès et le scandale, tous deux énormes, qui suivent la parution de Vipère au poing, le lancent définitivement. Grand prix de littérature de Monaco (1957), élu membre (1960) puis président (1973) de l'académie Goncourt, Hervé Bazin obtient aussi en 1980 le prix Lénine de littérature. Romancier d'abord révolté contre sa famille, Bazin est devenu le peintre des mœurs modernes. Ses observations minutieuses et son écriture incisive font de lui un écrivain "naturaliste", en quête perpétuelle de fraternité à l'image de son engagement, depuis 1949, dans le mouvement "mondialiste" qui lutte pour l'amélioration du sort des opprimés et des déshérités.

Hatier, Itinéraires littéraires, XXe siècle, II, Paris, 1991

Principales œuvres

1948 Vipère au poing 1949 La Tête contre les murs
1950 La Mort du petit cheval 1956 Qui j'ose aimer
1960 Au nom du fils 1963 Chapeau bas
1967 Le Matrimoine 1970 Les Bienheureux de la désolation
1972 Le cri de la chouette 1975 Madame Ex.
1988 Le Démon de minuit
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MessagePosté le: 02-09-2007 18:12    Sujet du message: litterature Répondre en citant

Edmond Rostand
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Statue dédiée à Edmond Rostand à Cambo-les-Bains.Edmond Eugène Alexis Rostand, né le 1er avril 1868 à Marseille et mort le 2 décembre 1918 à Paris, des suites de la grippe espagnole, est un auteur dramatique français.

Sommaire [masquer]
1 Ses débuts
2 Cyrano de Bergerac
3 L'Aiglon et l'Académie française
4 Chantecler
5 Œuvres
6 Bibliographie
7 Liens externes



Ses débuts [modifier]
Edmond Rostand naquit dans une famille aisée de Marseille le 1er avril 1868.

En 1870, son père, craignant les désordres de la Commune, amène toute sa famille, Edmond, sa mère et ses deux cousines dans la station thermale en vogue de Luchon . Hébergés d'abord dans le chalet Spont, puis dans la villa Devalz, ils firent édifier la villa Julia, à proximité du Casino. Edmond Rostand passa plus de vingt-deux étés à Luchon , qui lui a inspiré ses premières œuvres. Il y écrivit notamment une pièce de théâtre en 1888, Le Gant rouge, et surtout un volume de poésie en 1890, Les Musardises. Il poursuivit ses études de droit à Paris, où il s'était inscrit au barreau sans y exercer et, après avoir, un temps, pensé à la diplomatie, il décida de se consacrer à la poésie.

En 1888, avec son ami Froyez, journaliste parisien, il alla au champ de course de Moustajon : et de décorer leur équipage d'une abondance de fleurs des champs... Ils firent sensation devant un établissement à la mode, le café Arnative, et improvisèrent en terrasse une joyeuse "bataille de fleurs" avec leurs amis . C'est ainsi que naquit la première "bataille de fleurs" (corso fleuri ayant traditionnellement lieu le dernier dimanche d'août à Luchon , et où le gagnant se voyait remettre une bannière).

Dans le train pour Montréjeau, son père fit la rencontre de Madame Lee et de sa fille Rosemonde Gérard, et les invita à prendre le thé à la villa Julia. Edmond se mariera le 8 avril 1890 avec cette dernière, poétesse elle aussi, dont Leconte de Lisle était le parrain, et Alexandre Dumas le tuteur.

Rosemonde et Edmond Rostand auront deux fils, Maurice, né en 1891, et Jean, né en 1894. Edmond quittera Rosemonde (en 1915) pour son dernier amour, la comédienne Mary Marquet.

Edmond Rostand obtient son premier succès en 1894 avec Les Romanesques, pièce en vers présentée à la Comédie-Française.


Cyrano de Bergerac [modifier]
La première représentation de Cyrano de Bergerac, le 28 décembre 1897, à Paris, au Théâtre de la Porte Saint-Martin, va lui apporter la gloire. Pourtant, quelques minutes avant la pièce, Rostand pressent un fiasco et demande pardon à la troupe de l'avoir entraînée dans « cette effrayante aventure ».

En réalité, cette pièce venait à point pour rendre le moral à une France traumatisée par la perte de l'Alsace-Lorraine, à la suite de la guerre franco-prussienne de 1870, et hantée, depuis, par l'humiliation et l'esprit de revanche. Son héros démontre, avec panache, que l'on peut, dans l'adversité, garder la tête haute et faire preuve d'un très grand sens de l'honneur, avec la plus haute élévation d'âme.

Aussi, dès l'entracte, la salle applaudit debout et même, un ministre vient le trouver dans les coulisses, décroche sa Légion d'honneur pour la lui agrafer, et s'explique : "Permettez-moi de prendre un peu d'avance". Et, au baisser de rideau, le public d'applaudir à tout rompre, vingt minutes durant !

Pour l'anecdote, notons qu'à l'Acte IV, scène VI, un cadet de Gascogne se présente avec des titres de fantaisie, qui font explicitement référence à différents endroits, situés autour de Luchon :

Baron de Casterac de Cahusac
Vidame de Malgouyre Estresc Lesbas d'Escarabiot
Chevalier d'Antignac-Juzet
Baron Hillot de Blagnac-Saléchant de Castel-Crabioules .
Par ailleurs, la scène du balcon serait, dit-on, inspirée d'un fait de jeunesse, le poète ayant effectivement aidé Jérôme Faduilhe dans sa cour, jusque là infructueuse, à une certaine Marie Castain : il lui avait écrit ses lettres d'amour.

La pièce fut traduite en plusieurs langues et eut un succès universel.

Le personnage de Cyrano, brillant représentant de l'esprit français, est devenu un véritable archétype, au même titre que Hamlet, ou que Don Quichotte (qu'il mentionne d'ailleurs dans la pièce).

Pour les amateurs, ajoutons qu'un opéra, Cyrano de Bergerac, fut composé par l'italien Franco Alfano (1876-1954), sur une adaptation du librettiste Henri Cain (1859-1937), récemment représenté, en 2005, au Metropolitan Opera de New York, avec Plácido Domingo dans le rôle titre - l'opéra a été monté depuis, en 2006, à l'Opéra de Montpellier, avec Roberto Alagna.


L'Aiglon et l'Académie française [modifier]
En 1900, son nouveau drame, L'Aiglon, est lui aussi
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MessagePosté le: 02-09-2007 23:03    Sujet du message: litterature Répondre en citant

Sigmund Freud
Psychanalyste autrichien
[Psychologie]
Né à Freiberg (moravie) le 06 mai 1856
Décédé à Londres le 23 novembre 1939

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« Le rêve est le gardien du sommeil »
Sigmund Freud

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Biographie de Sigmund Freud

Originaire d'une famille juive de Bohème réfugiée à Vienne, Sigmund Freud montre très tôt des dispositions pour l'étude et lit Shakespeare dès l'âge de huit ans. Diplômé en 1881 de la faculté de médecine, il s'intéresse tout d'abord à la neurologie. En octobre 1885, il rejoint le professeur Charcot à Paris et profite de ses leçons sur l'hystérie. De retour à Vienne, il travaille avec Josef Breuer sur le cas d'Annah O, supposée hystérique, dont l'étude jette les bases de la psychanalyse, notamment ses liens avec la sexualité. La mort de son père en 1896 accélère le processus : Freud met en évidence le principe du refoulement. En 1897, il commence à travailler sur les rêves qui le conduisent à ses découvertes les plus importantes : l'existence du fantasme et le complexe d'Oedipe. A partir de 1920, il oppose les principes de vie et de mort qui composent chaque être, défini par le ça, le moi et le surmoi. Chantre de la psychanalyse, il forme des disciples motivés, dont sa propre fille Anna. Atteint d'un cancer, il fuit l'Autriche à la veille de la Seconde Guerre mondiale et meurt à Londres.

» Tout Sigmund Freud sur fnac.com «

Les anecdotes sur Sigmund Freud

Freud... archéologue ?
Ce fut grâce à son intérêt pour Victor Schliemann, archéologue à la recherche des ruines de Troie et l'un des tous premiers à utiliser la méthode des strates, que Freud fit le parallèle entre le souvenir et le traumatisme. Il devina que les causes des troubles psychologiques étaient enfouies dans la mémoire de façon inconsciente et qu'il fallait les faire remonter, à la manière de l'archéologie.



Les chroniques historiques
La part du rêve
14 Octobre 1900
Publication de 'L'Interprétation des rêves' de Sigmund Freud. Il pose les bases d'une nouvelle science : la psychanalyse. Il pense pouvoir soigner les "troubles mentaux" par l'explication des rêves. Selon lui ils ne sont que l'expression[...]


Voir les 1 chroniques associées à Sigmund Freud
Les messages [des membres]
Message de yogiloursji à Sigmund Freud

J’ai cru que vous vous appeliez Freund. Quel bonheur alors. Mais il ne faut pas rêver n’est-ce pas ! Certes vous avez ouvert des portes. Ebranlé le conservatisme de l’époque. Vous pensiez peut-être qu’il fallait mieux se suicider en connaissance de cause plutôt que dans l’ignorance. Mais vous savez, votre visage est sévère et pas vraiment compatissant. Le patient n’est-il qu’un cobaye ? Mais quand je regarde le portrait de Jung, je me sens aimé et je m’émerveille du Mystère d’Etre.



Message de althea à Sigmund Freud

Monsieur Freud, je voulais vous remercier pour votre génie et votre intelligence
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MessagePosté le: 03-09-2007 21:00    Sujet du message: LITTERATURE Répondre en citant

Jules ROMAINS (1885-1972)

Élu en 1946 au fauteuil 12

Grand officier de la Légion d'honneur
Commandeur des Palmes académiques
Commandeur des Arts et des Lettres

Prédécesseur : Abel BONNARD
Successeur : Jean d’ ORMESSON


Œuvres
Discours et travaux académiques

Romancier, auteur dramatique, poète, essayiste
Biographie

Né à Saint-Julien-en-Chapteuil (Haute-Loire), le 26 août 1885.
Fils d’instituteurs, Jules Romains fut élevé dans le respect de l’idéal laïque et rationaliste de la IIIe République. Après des études secondaires au lycée Condorcet, il fut reçu à l’École normale supérieure en 1906, et obtint l’agrégation de philosophie en 1909. Ayant commencé sa carrière d’enseignant, il fut mobilisé en 1914 dans le service auxiliaire.
Après avoir publié ses premiers poèmes dès l’âge de dix-huit ans (L’Ame des hommes, 1904), il devait, à l’issue de la Première Guerre mondiale, renoncer à sa carrière dans l’enseignement pour se consacrer exclusivement à la littérature. Son œuvre allait être marquée par une idée maîtresse, conçue lors de ses années de jeunesse : celle de l’unanimisme, expression de l’âme collective d’un groupe social. Cette théorie nourrit son recueil de poèmes, La Vie unanime (1908), et ses romans : Mort de quelqu’un (1911) et Les Copains (1913). Elle trouvera son expression accomplie dans la somme que constituent Les Hommes de bonne volonté, vingt-sept volumes publiés entre 1932 et 1946, vaste fresque dans laquelle, à travers le récit de destins croisés, Jules Romains brosse un tableau de l’évolution de la société moderne entre 1908 et 1933.
Mais ce fut d’abord au théâtre que Jules Romains acquit sa notoriété, dès après la Grande Guerre, notamment avec Knock ou le Triomphe de la médecine, créé par Louis Jouvet en 1923. Devaient suivre Amédée ou les Messieurs en rang (1923), Le Mariage de monsieur Le Trouhadec (1926), Le Déjeuner marocain (1926), Démétrios (1926), Jean le Maufranc (1926), Le Dictateur, (1926), Boën ou la Possession des biens (1930), etc.
À la fin des années 1920, Jules Romains était avec Pirandello et George Bernard Shaw l’un des trois dramaturges de son temps les plus joués dans le monde.
Engagé dans la vie politique, Jules Romains fut proche dans l’entre-deux-guerres du parti radical-socialiste, et se lia avec son chef, Édouard Daladier. Ayant soutenu le Front populaire, il milita par pacifisme pour l’amitié franco-allemande, et ce, malgré son antifascisme, après l’accession d’Hitler au pouvoir.
Président du Pen club international de 1936 à 1941, Jules Romains devait s’exiler pendant la Seconde Guerre mondiale aux États-Unis et au Mexique.
En 1945, poussé par le général de Gaulle, soucieux de rénover l’Académie française, et encouragé par son ami Georges Duhamel, à l’époque secrétaire perpétuel, Jules Romains, qui s’apprêtait à quitter une nouvelle fois la France pour le Mexique, rédigea pour poser sa candidature une lettre dans laquelle la mention du fauteuil restait en blanc.
Il fut élu en son absence le 4 avril 1946, par 13 voix au premier tour, à la place laissée vacante par la destitution d’Abel Bonnard, découlant de sa condamnation en 1945 pour collaboration avec l’ennemi. C’est Georges Duhamel qui le reçut, le 7 novembre 1946. Il ne rendit pas hommage à son prédécesseur.
Son orientation politique le portait désormais vers un certain conservatisme, qui s’exprima dans les chroniques hebdomadaires qu’il donna à L’Aurore de 1953 à 1971 ; partisan de l’Algérie française, il mena le cartel des non contre de Gaulle au référendum de 1962.
Mort le 14 août 1972.
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musika



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MessagePosté le: 03-09-2007 22:21    Sujet du message: Répondre en citant

coucou ma linette est ce que tout va bien pour toi,
ta santé, comment elle est ce jour
je te fais une grosse bise MUSIKA

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ixia



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MessagePosté le: 05-09-2007 07:11    Sujet du message: Répondre en citant

S.O.S !

J'ai prèté et du coup perdu, un livre auquel je tenais énormément .

Qui peut me dire ou je peux m'en procurer un autre ?

Il s'agit du ---Petit "ou le petit"livre vert de :

l'ayatollah Rouhollah Khmeini .

Je veux le relire pour rire avant de mourrir sans mourrir de rire !!!

MERCI .

ixia.
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musika



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MessagePosté le: 05-09-2007 08:33    Sujet du message: Répondre en citant

Very Happy Very Happy je ne sais pas Wink
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Marie



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MessagePosté le: 05-09-2007 13:32    Sujet du message: littérature Répondre en citant

bonjour je pense que tu trouveras ce livre au éditions" HALLIER""





Le petit livre vert de l'ayatollah khomeini (Khomeiny)
DE L'AYATOLLAH KHOMEYNI (ou KHOMEINY) Les textes ci-dessous n'ont rien d'humoristiques. ... By Ayatollah Ruhollah Khomeini. Fatwa. Islam. Ouléma. پايگاه اطلاع رسانى آثار ...

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un sourire éclaire votre journée
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ixia



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Messages: 9019
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MessagePosté le: 05-09-2007 14:27    Sujet du message: Répondre en citant

Je n'en mettrai pas des pages et des pages sur ce forum ,je vous rassure de suite .

c'est le ridicule des moeurs et coutumes qui m'ont fait rire ,par rapport a la religion ,c'est tout .

Petit ex : si tu as trop aimé ta mule tu ne peux pas la manger mais tu peux la vendre a 10 km de chez toi ,et ...là, elle redevient pure .

Des petites choses bètes comme celle-ci .


Un esprit simple et pas compliqué ,ixia.
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