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Posté le: 28-10-2005 14:36 Sujet du message: combien tu m'aimes Bernard BLIER
Dernier film de Blier, "Combien tu m'aimes?": à la folie, pas du tout?pour ceux aOU CELLES QUI NE VONT PAS AU CINEMA
PARIS (AP) - Trop belle pour toi (sauf si tu as gagné au Loto). Monica Bellucci est l'incarnation de la Beauté avec un grand B dans le nouveau film que Bertrand Blier a écrit uniquement pour elle, "Combien tu m'aimes?" (sortie mercredi sur les écrans français). "C'est un film qui est fait sur une actrice, pour une actrice. Je ne l'aurais pas fait avec une autre. Cela n'aurait aucun sens", explique le réalisateur, à rendre jaloux Vincent Cassel, compagnon dans la vie de Monica Bellucci et père de leur petite fille, à qui l'actrice italienne donnait le sein entre deux scènes pendant le tournage.
Elle apparaît dès les premières images du film, prostituée assise dans la vitrine d'un bar de Pigalle. François (Bernard Campan), archétype du Français moyen, est à l'extérieur. Il la regarde. Il entre.
Il lui explique qu'il vient de gagner 4 542 000 euros au Loto, et lui propose "100 000 euros par mois jusqu'à ce que j'aie plus de ronds", dit-il. Pour faire quoi?, demande-t-elle. "Vivre avec moi", répond-il.
Bien sûr, elle accepte, car sinon il n'y aurait pas de film. Et voici la belle prostituée et le client banal (mais millionnaire) qui partent ensemble.
Sur des airs de saxo jazzy ou des musiques d'opéra, tout le film va jouer de cette opposition entre la beauté et la banalité, avec entre les deux le célèbre duo amour-argent. Lui: calvitie, oreilles pointues, mal rasé, regard de cocker, jean et manteau noir, longue écharpe. Elle: en robe moulante, en peignoir blanc, en fourreau chinois rouge et noir, en nuisette, toujours incarnation de la féminité. "Est-ce de ma faute si j'ai des rondeurs bien placées?", demande-t-elle.
L'histoire de ce couple inédit va connaître des hauts et des bas, des rebondissements, des commentaires de l'entourage. François a le coeur fragile, et "un mec fragile du palpitant, il ne va pas se mettre en ménage avec une bombe nucléaire", lui dit son ami médecin (Jean-Pierre Darroussin).
Et puis, il y a le maquereau de la belle, un gangster qui ne veut pas la lâcher comme ça (Gérard Depardieu)...
"Le film n'existe que parce qu'un jour je suis allé voir le film de Gaspard Noé 'Irréversible', que j'ai adoré, et je suis resté sous le choc de la présence exceptionnelle de Monica", explique Bertrand Blier.
"Dans l'histoire du cinéma, je n'avais jamais vu ça, même Marilyn Monroe n'avait jamais joué ça. Je ne compare pas les talents d'actrice, ce n'est pas ça, mais l'audace, la liberté de mouvements, le corps, l'explosion - tout en restant habillée. Alors, je me suis dit: 'C'est pour moi, c'est pour ça que je fais du cinéma'."
Pour ça quoi? "Pour filmer des femmes!", ajoute-t-il, lui qui a tourné avec Carole Bouquet, Miou-Miou, Brigitte Fossey, Carole Laure, Isabelle Huppert, Nathalie Baye, Charlotte Gainsbourg, Anouk Grinberg, Valeria Bruni-Tedeschi, entre autres.
Comme souvent, chez Bertrand Blier, il y a à boire et à manger dans "Combien tu m'aimes?": un scénario qui dérape dans tous les sens et de tous les côtés, des scènes faussement décalées, des répliques qui frisent la facilité ou le n'importe quoi; mais aussi une vraie sincérité qui perce sous le cynisme, des choses beaucoup plus profondes et sérieuses qui font vibrer l'intelligence ou l'émotion du spectateur.
Ce mélange, qui est la marque de fabrique du réalisateur, entre provocation et originalité, donne des films plus ou moins réussis, plus ou moins ratés, dans une carrière déjà bien remplie (18 longs métrages depuis 1963). "Combien tu m'aimes?" n'échappera pas à la règle: on aimera beaucoup ou pas du tout, rarement entre les deux.
"Tous mes films sont des comédies, je n'ai jamais fait de film sérieux. Tous mes personnages sont des demeurés", dit Bertrand Blier. Pour qui recherche un scénario solide, une histoire construite, une mise en scène classique, il vaut mieux aller voir ailleurs. Car pour Blier, l'important, ce sont les acteurs: "au cinéma, le choix des acteurs est plus important que le scénario, qui est une formalité quand on a des acteurs comme Monica Bellucci et Bernard Campan".
Il y a de bonnes critiques pour ce fim Marie, et j'avais vu les deux principaux acteurs invités chez Drucker ou Fogiel, je ne sais plus, mais ils avaient pris beaucoup de plaisir à tourner ensemble. _________________
" Le bonheur ne court pas le monde; il faut vivre où l'on est heureux "
Annick, j'ai écouté bien au contraire des critiques de cinéma très sévères par rapport à ce film et à son actrice principale.....J'ai entendu le mot "nul" prononcé. De toute façon, il ne me tente guère. L'actrice et la personnalité de Monica Belluci m'insupportent. C'est une satue de mode, toujours en représentation, figée, froide et imbue de sa personne. Non, je ne l'aime pas, mais pour le film.....j'attend le bouche à oreilles et je me déciderai en fonction. Je sais que les critiques sont parfois sévères, c'est pour ça que je ne vais pas me précipiter sur ce film _________________
Posté le: 05-11-2005 09:57 Sujet du message: réponse
Bonjour CHOUCHOUTE, heureuse de ton retour, je vois que parfois il est bon de mettre en discution un film en mettant un résumé, comme çà chacun peut donner son avis sur les divers personnages qui jouent ou font le film au moins ANNICK et toi vous,vous etes données la peine de lire cet article j'espère que d'autres liront cette rubrique cinéma, et l'aimeront bises, a chacun sont tour!!!!!!! _________________
Chouchoute, pour Monica je pense un peu comme toi, qu'elle est figée, je la trouve belle malgré tout, peut-être d'une beauté artificielle mais pas de cette beauté qui émanait de Romy.
Bises Marie, toi qui passes dans ce petit coin. _________________
" Le bonheur ne court pas le monde; il faut vivre où l'on est heureux "
Moi aussi j'ai lu...
Et je pense que belluci est une tres belle femme et une bonne artiste
J'ai seulement vu 3 films, mais tres différents
Irreversible
agents secrets
Asterix et Cléopatre
Elle s'en sort très bien....oui je sais je suis un mec oui , un mec normal _________________ Ne vous penchez pas trop sur votre passé,
vous risqueriez de tomber dans l'oubli
Posté le: 06-11-2005 15:10 Sujet du message: réponse
vous avez raison cette jeune femme est trés belle, elle parait froide , mais rapellez vous ce que l'on disait de CAROLE BOUQUET, notre actrice trés belle aussi, elle n'est pas du tout froide car pour vivre avec gérard DEPARDIEU il faut du courage et de m'humour, donc ne jugeons pas trop vite!!!!!!peut etre nous surprendra t -elle,!!!!!!! _________________
Posté le: 10-11-2005 15:35 Sujet du message: cinema
hustoire d'un boxeur
De l'ombre à la lumière
Un film de Ron Howard LE FILM PHOTOS 9 AVIS
ETATS UNIS (2005)
Bande-annonce
Photos
9 AVIS LECTEURS
GENRE Drame > Drame
EN BREF Dans les années 20, Jim Braddock était un boxeur prometteur, mais une blessure et la malchance ont mis un terme à sa carrière. Alors que la crise économique s’empare des Etats-Unis, il est contraint d’accepter n’importe quel travail pour nourrir sa femme et ses trois enfants. Comme la moitié du pays, Jim se retrouve à la soupe populaire.
Lorsque son agent lui décroche un combat, c’est une chance d’améliorer l’ordinaire, mais quand Jim y affronte un champion et gagne, c’est un miracle. De retour sur le ring Jim entame un parcours incroyable qui le conduira bientôt face à Max Baer, le redoutable champion du monde qui a déjà tué deux hommes en combat…
DATE DE SORTIE Mercredi 14 Septembre 2005
REALISATEUR Ron Howard
ACTEURS PRINCIPAUX Bruce McGill , Paddy Considine , Paul Giamatti , Renée Zellweger , Russell Crowe
NOTRE AVIS
Devant De l'ombre à la lumière, on a la nette impression que Ron Howard a très envie de faire une razzia sur les Oscars équivalente à celle d'Un homme d'exception : même biographie d'un homme hors du commun triomphant de l'adversité par sa seule volonté (même scénariste d'ailleurs), même acteur, et même culte du rêve américain. De ce fait, le film pourrait presque s'apparenter à un cousin de Rocky dans la Grande Dépression des années 1930 avec ses figures imposées prêtant souvent à rire (la famille, le meilleur produit dopant !). Et pourtant, une fois ces paramètres assimilés, on prend goût à ce film grâce à la qualité d'interprétation de Russell Crowe aussi sobre que convaincant et Paul Giamatti en pince-sans-rire. A eux deux, ils parviennent à compenser la réalisation décidément académique de Ron Howard. Divertissant, à défaut d'être inoubliable.
DUREE 144 mn
POUR... ceux qui aiment les gladiateurs des temps modernes.
Line, j'ai entendu parler de ce film et il parait qu'il est très bien. Je ne sais pas s'il est encore dans les salles, mais je vais me renseigner. _________________
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