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Posté le: 28-08-2006 14:47 Sujet du message: L'île du Levant...
Petite incursion à l’île du Levant
Comme disait Devos : « J’ai voulu voir la mer… » L’arrivée a eu lieu, au Lavandou, en fin septembre de fin du siècle : l’an 2.000
Occupation des lieux de location : Il faisait beau, il faisait chaud…la mer était belle, la vie serait plus belle aussi pendant ces trois semaines !
J’en oubliais ces vers de G. de Nerval qui me taraudent l’esprit trop souvent :
« L’Homme a un pied dans la tombe quand l’Espoir ne le soutient plus… »
En cette fin de samedi, organisation et installation habituelles, mais le dimanche matin, dés sept heures : sortie rituelle de marche à pied. Après quelques centaines de mètres, j’ai atteint le boulevard front de mer. Et j’ai repris rituellement mon périple habituel en direction du Port du Lavandou. Ce boulevard est plat, vivant aussi, car déjà parcouru par les Touristes, et surtout, avantage pour moi : il jouxte les Plages et…la mer !
*
Dans le ‘beau-de-l’air’, j’ai retrouvé mes réminiscences habituelles :
« Homme libre, toujours tu chériras la mer… »
Et le ‘rein-beau’ :
« Elle est retrouvée – Quoi ? – l’Eternité – C’est la mer mêlée au soleil »
Et quand ça chatouille ‘vers-l’aine’ :
« Je ne sais pourquoi – mon esprit amer – d’une aile inquiète vole sur la mer…
mouette à l’essor mélancolique- Qui suit la vague et ma pensée… »
Ma promenade habituelle se prolonge après le port vers les rochers de saint Clair, puis la crique d’Aiguebelle et retour. Ma sortie de l’après midi, à l’inverse m’amène vers le Port de Bormes les mimosas, puis sur la grande Plage, les premiers rochers du Cap Bénat et retour. Deux fois sept kilomètres par jour.
Monotone ? Jamais… « La mer toujours renouvelée » les vagues, les bateaux, les touristes, les baigneurs, les chiens et les oiseaux marins !
Matin et soir, en fin de parcours, je prends un petit bain de 15 à 20 minutes dans une eau à 24° de moyenne, avant de rentrer…
Au large, en direction du sud, il y a les Iles d’Or : l’Ile du Levant et celle de Port Cros paraissant bien près. Porquerolles elle, est cachée par le cap Bénat. Cela m’a donné des idées, d’autant qu’à chacun de mes passages côté Port du Lavandou, sur la jetée, je côtoyais les vedettes qui assurent le service de ces Iles.
Par curiosité, j’ai regardé le tableau d’affichage et les horaires des différentes rotations. Cela a conforté mes idées : D’abord l’Ile du Levant : départ 14h - arrivée 14h30. Retour : 18h30…
C’est donc quatre heures à passer sur l’Ile que je connaissais déjà : c’était bien suffisant !
Et dés le mercredi, j’ai embarqué sur l’une de ces vedettes, chargée à ras bord de « moutons bêlants… » pardon : de touristes bruyants ! Passant à l’avant, j’ai pu heureusement me retrouver assis sur un capot, sous le cockpit face à la proue.
Les bancs devant moi étaient complets et retentissaient de : « Ya, ya, ya » Allemands ou peut-être en partie Hollandais ? Sur une mer calme, pailletée d’or, le ronron des gros moteurs diesels était presque une hérésie. Mais nous sommes vite arrivés au port d’Héliopolis quasiment désert à cette heure là…
A peine débarqués, j’ai pris le sentier de gauche qui amène côté nord, face à la côte de France. J’étais en short ; tee-shirt ; petit sac à dos ; chaussures de course à pied et casquette blanche, vissée sur la tête, à cause du grand soleil…
Première rencontre, une grande pancarte :
« Partie de l’Ile exclusivement réservée aux Naturistes »
et pour mieux illustrer cette injonction, une énorme statue de pierre. Pas de tête, ni de membres ; un dos normal ; mais plus bas, une énorme paire de fesses… Elle est donc plus prés de la Vénus Hottentote que de la Callipyge !
Ce sentier, bien qu’étroit et caillouteux, épouse la forme des rochers. Il est donc montant et descendant, dans une garrigue fournie. Ce n’est pas désagréable à qui est entraîné à la marche à pied. De temps en temps, un petit embranchement donne accès vers la mer : des criques rocheuses uniquement. Et allongés ou assis sur ces roches plus ou moins lisses, des grands singes nus…oh ! Pardon : des Naturistes, dont j’ai plaint les ventres et les postérieurs, reposant sur des surfaces aussi peu engageantes et brûlantes en sus !
Moi, j’attendais d’arriver à la grande crique de l’Avis pour me baigner un petit moment avant de reprendre mon périple autour de l’Ile, dans sa partie Civile. Les trois quarts de sa surface étant occupée par la Marine Nationale …à un moment, je suis arrivé sur une partie pentue ; des pierres plates y tenaient lieu d’escaliers. Au dessus de moi, soudain, j’ai vu une paire de fesses en gros ( !) plan : bien réelles, celles-là !
Des tongs sous les pieds ; Jambes courtes et fesses qui tressautaient à chaque pas. Un dos brûlé de soleil, et au-dessus du tout, un grand « chapeau de paille d’Italie » ou bien d’ailleurs…
Ah ! J’allais oublier : elle tenait une grande serviette à la main. Entendant mes pas précipités, elle s’est tournée, fesses côté verdure pour me laisser passer. J’ai vu alors le côté pile ; de lourds seins pendants, un ventre ptosé, la touffe du pubis coupée ras : naturisme oblige !
J’étais déjà à sa hauteur, et elle a dit :
- Passez donc Monsieur ! Courez vite vers votre Destin…
Elle avait de l’humour, cette Dame visiblement sexagénaire [ Comme…moi ! ] mais avec des rides plus visibles, puisque de couleur blanche sur un visage tanné. Ce visage était éclairé par un sourire mi-moqueur, mi-pincé…
J’ai dit au passage :
- Pardon ! Je vais un peu vite…c’est que je veux me baigner à l’Avis, avant de continuer le sentier jusqu’au Port…
Elle m’a coupé la parole :
- Vous savez que c’est strictement ‘naturiste’ dans cette partie de l’Ile ? D’ailleurs vous auriez moins chaud…
A mon tour, mais déjà loin, j’ai crié :
- ‘A poils’, quand je cours ou quand je nage, çà me les coince !
Et d’encore plus loin, j’ai entendu nettement :
- ‘Pôvre c…’ !
Arrivé à la crique de l’Avis, sur les grandes plaques de ciment lisse, il y avait déjà toute une brochette de naturistes que j’ai contournés, ignorant les nombreux regards réprobateurs !
Un peu plus loin, je savais trouver une crique plus petite, et chance : il n’y avait personne. Constituée de pierres et rochers : il fallait faire avec. Je me suis ‘dépoilé’, puis j’ai souffert des pieds sur ces petits rochers pointus, avant de trouver une eau assez profonde pour nager. J’étais bien ; j’avais eu si chaud !
J’ai nagé longtemps et c’est d’un peu loin que j’ai vu arriver un groupe familial : Grand-Père, Grand-Mère, Fille et Petite Fille, sans doute ?
Tous ‘à poils’ bien sûr, sauf la petite qui n’en avait sans foute pas encore ! Grand-Papa, à peu prés de mon âge, mais ventripotent, l’air réjoui, m’a rejoint en nageant.
Vite disert et bavard, il a attaqué :
- ‘Elle’ est bonne, hein ? Depuis vingt cinq ans nous venons ici en famille. Notre petite maisonnette est à peine à cinq cent mètres d’ici…
Et patati, et patata !
Saôulé, j’ai préféré rentrer. Quand je me suis rapproché du bord, ces Dames pas gênées, jouaient avec la Petite, lui cherchant des galets ronds et plats pour les lancer en ricochets. J’arrivais en nageant jusqu’au plus prés du bord à cause des pointes de rochers sous l’eau.
Elles me tournaient le dos, se baissant et se relevant, tour à tour. Comment mes yeux ne se seraient pas appesantis sur le spectacle : Grand-Maman, pensée fulgurante :
- Bof !
Mais pour ce qui était de la jeune Femme… la quarantaine, peut-être ? Il n’en a pas été de même ! Cette toison bien taillée, laissait visible une ‘fente’ appétissante, qui m’a fait saliver…
Cette fois posément, j’ai pensé :
- Bon sang ! Dans cette position… ( je censure le reste ! )
Mais ma pensée suivante a été :
- Arrête de fantasmer idiot : Ce n’est pas du ‘millet’ pour ton ‘canari’ !
Je ne voulais plus voir côté grand maman, encore moins vers la gamine. Gêné, mes yeux se sont alors fixés, volontairement, au centre…sur la Maman ! Mains en appui sur le fond, je suis arrivé presque sous son ‘poster’…en me disant :
- Bon sang ! C’est beau quand même…
Elle s’est tournée vers moi : le soleil dorait ses cheveux châtains, et son visage était aussi bronzé que…le ‘reste’ ! Sa bouche pulpeuse s’ouvrait sur des dents très blanches : elle m’a souri !
Comme le Papy précédemment, c’est la Mamy qui m’a dit, elle aussi :
- Elle est bonne, hein ?
Et j’ai répondu, faisant un lapsus énorme mais involontaire :
-Oui, elle est ‘magnifique’ !
J’allais sortir de l’eau, quand j’ai réalisé que j’étais en érection … Brassens l’a chanté :
« La bandaison Papa, ça ne se commande pas ! »
Que faire ?
Je me suis éloigné un peu, l’air faussement intéressé, par la recherche d’une rive plus accueillante…
Assez vite, la honte de cet état aidant, j’ai retrouvé un appendice caudal plus normal. Je suis sorti, me rhabillant très vite sous les yeux réprobateurs de ces Dames et de Grand-Papa qui nous avait rejoint ! Aussi, j’ai vite filé sans demander mon reste…
A nouveau le sentier qui monte et serpente, jouxtant assez vite le grillage de séparation avec la partie militaire de l’Ile. Les arbousiers qui bordent les côtés regorgeaient de baies bien mûres : Je me suis régalé de fruits, et encore plus de souvenirs ( Arbousiers d’Algérie – Et Yoyo, ma tendre amie ! ) Je suis vite arrivé au village, peu occupé à cette période de l’année. Maisons, hôtels, commerces, tous nichés dans la verdure, mais les volets fermés…
Aux terrasses des deux cafés ouverts, qui se font face, il y avait des touristes. De belles ‘Gretchens’ reconnues aux classiques : « Ya, ya, ya » Le torse nu comme il se doit, et la plupart en strings ! Les serveurs étaient habillés, eux, et çà c’était nouveau ! En tout cas, le spectacle m’a fait adopter un ton égrillard pour l’envoi de mes cartes postales…
Un moment après, je suis redescendu vers le Port, et sur ma route, j’ai croisé un ‘Spectre’ : une vieille Dame décatie, flageolante dans la montée, mais bien dans la lignée et l’esprit naturiste … Pitié ! Je n’en dirai pas plus !
Sur le Port, côté sud, il y a une grille ouverte une partie de l’année, portant le panneau :
« Domaine Maritime. Plage ouverte de juin jusqu’en septembre.
Non surveillée. Naturisme toléré »
et côté Nord, celui du
« Naturisme only »
J’avais du temps à occuper avant le rembarquement. Tour d’horizon, j’ai repéré une longue jetée non occupée par les bateaux, côté naturiste.
Je m’y suis dirigé et j’ai grimpé une échelle de fer pour l’atteindre. Je me suis soyuvent demandé si mon subconscient avait repéré les trois Grâces qui y étaient alignées sur leurs serviettes, nez vers la mer et fesses en l’air, côté Port…
J’ai soudain émergé en perspective arrière sur ces grâces qui étaient plutôt des grasses…
Pour celle du milieu dont les fesses n’avaient rien à envier à la statue de pierre, symbole de l’entrée au Zoo, ma pensée fulgurante et… méchante a été :
- Oh ! ‘Calcutta’… ( je censure la suite ! )
Mais déjà mes yeux, tels ceux des caméléons, biglaient entre les fesses de gauche et celles de droite. Blonde à gauche, Brune à droite : forêts bien taillées ( pas encore en épilation totale quia gagné le milieu naturiste ) ‘tire-lire’ apparentes… ma pensée a vagabondé toujours à pleine vitesse :
- Am-stram-gram, pic et pic, et collé gram…
Et je me suis récité du Nerval :
« Sois Brune ou Blonde – le Dieu du Monde –C’est le plaisir … »
Je les dépassais déjà, mais mon ‘Brigadier’, lui, aurait bien frappé les trois coups d’une pièce de théâtre, ancienne comme le Monde ou Adam et Eve jouaient les premiers rôles…
Ouais ! Ce n’est pas avec une pomme qu’elle l’a séduit l’Adam, mais bien avec ce que je venais de voir …Heureusement que j’étais habillé, moi !
La Blonde de gauche, à mon passage, s’est soulevée sur les avant-bras, redonnant forme à ses grosses ‘doudounes’ et elle m’a jeté un regard furtif, sans aménité. Une fraction de seconde nos yeux se sont croisés : Elle a fixé mon visage buriné, et s’est instantanément détournée, dédaigneusement !
J’ai avancé encore de quelques mètres. J’avais repéré des rochers lisses, propices à un plongeon sans problème dans la mer. J’étais côté Naturiste : Je me suis donc à nouveau dépoilé. Je sentais sur moi, les yeux furtifs et hypocrites de ces trois Gorgones qui devaient penser :
-Encore un ‘Q’…blanc de touriste …
Pour plonger, j’ai du me tourner vers elles, en partie…Mes idées folles au vu du spectacle précité avaient gonflé un certain corps caverneux. Je n’étais pas tout à fait en état normal et j’ai vu nettement leurs yeux loucher sur cette flèche aux dimensions surfaites pour un. Vieil ‘Eros déplumé’ ! L’une des trois, la Blonde je crois, a dit, je ne sais quoi, à voix haute, et elles se sont esclaffées bruyamment toutes les trois !
Vexé, furieux, j’ai plongé et nagé vigoureusement, pensant :
- Pauvres ‘c…’…il fut un temps ou vous ne m’auriez pas fait tant d’effet !
J’ai pensé ensuite à la chanson de Brel :
« Chez ces gens là, Monsieur – On ne se regarde pas Monsieur… »
Peut-être, mais en tout cas, on s’épie… les anatomies !
Ce second bain, je l’ai apprécié encore plus que le premier. En nageant, je me suis approché des rochers Nord, encore garnis de ‘singes nus’, et… j’ai levé le nez quasiment sous un couple, debout sur un rocher. L’espace blanc des maillots manquants prouvait que c’était des touristes de passage, tout comme moi.
Mes yeux se sont vrillés sur la Dame : une Blonde Walkyrie aux formes harmonieuses, du type Vénus de Milo, auxquelles je suis plus sensible qu’au genre des trois précédentes, du type Odalisques de harems, à posters plantureux, comme ces « Femmes d’Alger » peintes par Delacroix…
J’ai envié le Tristan de cette Iseut, revoyant en fulgurance la Blonde Ophélie de ma jeunesse, et plus récemment, ma ‘Poupée Barbie’ de Pampelone et autres lieux…Me disant que pour ces spectacles là, j’étais désormais bien ‘Mal armé’, en me remémorant Brise Marine :
« La chair est triste, hélas ! »
Même, si moi, je n’ai pas lu tous les livres…
« Fuir ! La bas, fuir… »
Vers ces oiseaux, ivres d’espace et de liberté…
De retour vers le môle de départ ou gisaient ma serviette et mes habits, je me suis hissé sur le quai : Les trois Bronzées, auréolées par le soleil couchant levaient le camp. Les observant à mon tour, je me suis dit à voix basse :
- Quel dommage, Mesdames, que votre ami Phoebus vous donne cette belle couleur sans pour autant fondre votre cellulite, comme le beurre dans une poêle à frire !
Mon regard s’est-il fait par trop insistant sur votre pubis, Madame la Blonde ? Vous avez eu un petit sourire satisfait et moqueur…J’ai deviné votre pensée :
-çà te fait saliver, hein ! Vieux Schnock, mais tu peux toujours aller te rhabiller…
Ce que j’ai d’ailleurs fait, illico presto !
Un peu plus tard, quand le bateau virant sur son aire a quitté le Port, mes pensées étaient plus à un Adieu qu’à un au revoir pour ce berceau du Naturisme
Qui n’est pas l’embarquement pour Cythère
Et très frustrant pour un vieux mâle solitaire
En conclusion du récit : Je n’ai rien contre cette pratique, et cette Ile peut être un Paradis pour un Couple Naturiste en parfaite harmonie …
Posté le: 28-08-2006 15:51 Sujet du message: réponse
JAN, tu n'es qu'un homme avec ses désirs lorsqu'il voit une jolie silhouette a l'horizon, le naturisme pas toujours folichon mais parfois attirant lorsque la silhouette est belle quelque soit l'age le désir revient a ce beau spectacle,mais tu es un poète et a travers tous tes mots resortent les phrases de nos chers poètes disparus,j'ai beaucoup aimé ton récit plein d'ironie mais si bien décrit merci de m'avoir fait réver
Du vêtement et de la pudeur
Et le tisserand dit : "Parlez-nous de Vêtements"
Et il répondit :Vos vêtements dissimulent beaucoup de votre beauté, mais ils ne cachent point ce qui n'est pas beau.
Et bien que vous recherchiez en vos habits le sceau de votre liberté, il se peut que vous y trouviez un harnais et une chaîne.
Puissiez-vous accueillir le soleil et le vent avec plus de votre peau et moins de vos vêtements.
Car le souffle de la vie est dans le soleil et la main de la vie est dans le vent.
Il en est qui disent: "C'est le vent du nord qui a tissé les robes que nous portons".
Et je dis : Oui, c'est le vent du nord, mais la honte fut son métier et l'amolissement des tendons son fil.
Et son travail achevé, il rit dans la forêt.
N'oubliez pas que la pudeur n'est qu'un bouclier contre l'oeil de l'impur.
Et quand l'impur ne sera plus? Que sera la pudeur sinon une chaîne et une souillure de l'esprit?
Et souvenez-vous que la terre se réjouit de sentir vos pieds nus et que les vents joueraient volontiers avec vos cheveux.
Je suis tellement heureux que mon récit ne t'ait pas choquée
mais t'ait fait sourire...
Le tisserand a raison, mais au Paradis originel est-sûr que l'on
se servait d'une feuille de vigne ? En tout cas, le corps féminin
nu est infiniment plus beau et... chaste que celui de l'homme !
Je partage une fois de plus tes avis sur la question du Naturisme,
mais ma 'Poupée Barbie' oblige, j'y avais goûté sur la fameuse
plage de Pampelone, célèbre depuis le gendarme de St Tropez !
Pourtant Musika a raison elle aussi,
jeunes ou vieux les hommes ne sont que des pâtes
plus ou moins aldentées, car :
'Entre les pattes Panzani'
Mdr ? je l'espère...
Mon seul but était d'amuser le lecteur (trice )
avec mes élucubrations sur une réalité... hélas
Jan
Dernière édition par Jan Goure le 29-08-2006 10:10; édité 1 fois
Inscrit le: 09 Fév 2006 Messages: 1708 Localisation: Au bord de la mer
Posté le: 19-09-2006 20:33 Sujet du message:
Ouf !
Quel texte ! Je ne suis pas habituée sur RA à trouver tant de littérature !
Jan, quand on est nu comme un ver, fût-il luisant, on peut avoir le coeur dans les étoiles mais mieux vaut garder les yeux modestement baissés... et le reste aussi... _________________
Oui, Jan, tu auras beau aimer la Vénus de Milo, ce n'est pas elle qui pourra te prendre dans ses bras ...hi hi hi ... _________________
" Le bonheur ne court pas le monde; il faut vivre où l'on est heureux "
au Louvres j'ai admiré aussi la Victoire de Samothrace
et ne me suis pas envolé non plus !
Quelques fois j'ai enfourché Pégase
Et vers les étoiles, j'ai foncé plein gaz...
Mdr ?
Et bien j'ai passé un très bon moment à te lire
Je me suis bien poilée sans me d....
Bon, c'est pas terrible mais je fais ce que je peux..
Je ne suis jamais allée chez les naturistes et cela ne me manque pas.
J'aime beaucoup ta satire vis à vis du ridicule que procure certaines situations, je ne parle pas de la .......de papa, mais de certaines scènes où tu nous décris......les personnages qui auraient eu intérêt à ne pas se dévoiler complètement
Merci pour ce récit Jan
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