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Béchard…Un passé révolu.

 
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Sostène 101



Inscrit le: 02 Fév 2007
Messages: 308
Localisation: Var

MessagePosté le: 09-03-2007 19:22    Sujet du message: Béchard…Un passé révolu. Répondre en citant

Bonsoir à tous,

Ceci est ma dernière participation parce que je me sens un peu seul, avec mes histoires de troufion, sur un forum littéraire.

Au cours de mon séjour dans l’armée de l’air j’ai été affecté, durant quelques mois, au début de 1943, à Colomb-Béchard (Algérie).

Colomb-Béchard était une petite ville située au sud des montagnes de l'Atlas, aux portes du désert. La population était formée, en majorité, d'autochtones. Il y avait cependant quelques centaines d'Européens appartenant à l'aviation, à la légion étrangère, à la société Méditérranée-Niger et à la Compagnie Transsaharienne.

La société Méditerranée-Niger construisait une voie ferrée qui, prolongeant la ligne existante, venant d'Oran, devait relier Colomb-Béchard au fleuve Niger (1700 km). Elle n'alla jamais plus loin que 50 km au sud de Béchard.
La Compagnie Transsaharienne exploitait des autocars, spécialement aménagés pour le désert, qui reliaient Béchard au Niger en attendant la mise en service, plus qu'aléatoire, de la ligne de chemin de fer.

Il y avait peu de distractions à Colomb-Béchard. Les matchs de football du dimanche, les visites à la légion et les virées chez Fifine, étaient les seuls dérivatifs à la vie quotidienne..
Fifine était une personnalité de Colomb-Béchard. Elle était propriétaire d'une maison close considérée comme la plus sélecte du quartier réservé. Cette appréciation était toute relative, compte tenu de l'état misérable des autres établissements, mais Fifine en tirait un certain prestige qui faisait d'elle, quasiment, la patronne du quartier réservé. Ce quartier comportait un certain nombre de maisons dites closes -mais ouvertes à tous les vents- disposées autour d'une cour rectangulaire dans laquelle on entrait en passant sous un porche surveillé par un poste de garde. Le service de garde étant assuré, en alternance, par la légion et par l'aviation.

Chez Fifine il y avait, au rez-de-chaussée, une salle d'environ 50 m² meublée d'un comptoir et de tables avec chaises. Les clients consommaient des boissons ou dansaient. Quelques-uns d'entre eux prenaient le risque de monter à l'étage avec les pensionnaires, mais la majorité s'abstenait par craintes des maladies dites "vénériennes". La pénicilline n'était pas encore en usage dans les hôpitaux militaires français.

A noter que, concernant ces pensionnaires, à notre arrivée d'Oran nous les avions trouvées plutôt moches alors que deux mois plus tard nous les trouvions plutôt belles. Curieux n'est-ce pas ?

Chaque soir un ouvrier du Méditerranée-Niger venait jouer de l'accordéon. Les clients dansaient avec les filles mais comme elles étaient peu nombreuses -cinq ou six peut être- certains invitaient, en tout bien tout honneur, un copain avec qui ils faisaient de savantes figures de tango, paso-doble, valse, etc, qui soulevaient l'hilarité générale.

Lorsque nous prenions la garde au quartier réservé, nous devions faire, avec le chef de la police locale, le tour de toutes les maisons afin d'y contrôler l'identité des occupants. Le chef entrait dans les chambres sans le moindre avertissement, surprenant souvent les clients dans des postures plus que conviviales. Mais ceux-ci n'en avaient cure. Ils avaient l'habitude de déposer leurs papiers d'identité bien en vue, à côté du lit ( si toutefois il y en avait un ) avant toute chose.

Un match de football avait lieu le dimanche après-midi. Il opposait les unes aux autres les équipes de l'armée de l'air, de la légion et des entreprises présentes sur la place de Colomb-Béchard. Une finale, baptisée « Coupe Fifine », était jouée en présence des personnalités de la ville, à savoir : le représentant du pouvoir civil, le colonel commandant l'armée de l'air, le commandant de la légion étrangère, Fifine, ainsi que les représentants des entreprises.

Ainsi allait la vie à Colomb-Béchard, en attendant le retour vers le nord, au-delà des plateaux de l'Atlas.

Bien amicalement.
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Annick



Inscrit le: 15 Aoû 2005
Messages: 14156
Localisation: Normandie et Bourgogne

MessagePosté le: 09-03-2007 21:20    Sujet du message: Répondre en citant

Ce sont de beaux souvenirs, Sostène.

Il y a des épisodes assez cocasses !
Razz
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" Le bonheur ne court pas le monde; il faut vivre où l'on est heureux "
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Jan Goure



Inscrit le: 18 Juil 2006
Messages: 1865

MessagePosté le: 10-03-2007 11:36    Sujet du message: Répondre en citant

Sostène,

Eh ! bien tu vois, c'est trés bien conté en cette autobiographie
qui pour moi a plus de valeur que tout ce qui est romancé...
Mon premier instructeur en morse, le S/c Maurin avait été
oprateur au Mer Niger, et mobilisé fin 42...
Mon premier chef de station radio à Ghardaïa, Mr Barataud
avait été employé au Mer-Niger, lui aussi...
Je vois qu'il y avait des Ouled Naïls aussi à Béchar !

Merci pour cette lecture
Amicalement

Jan
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Sostène 101



Inscrit le: 02 Fév 2007
Messages: 308
Localisation: Var

MessagePosté le: 10-03-2007 12:58    Sujet du message: Répondre en citant

Merci Jan pour cette appréciation,

J'ai connu, à Béchard, un couple dont le mari était responsable de la station radio. Cette station, située sur la route dite de "Bidon 2", comportait d'immenses pylônes qui permettaient, je suppose, de communiquer avec toute l'AFN.

Durant mon séjour à Alger du début 44 voila que je retrouve, un jour, ce couple assis sur les marches de la grande poste. Je ne me souviens plus s'ils étaient en congé ou s'ils avaient reçu une nouvelle affectation.

Je connaissais déjà Alger avant cette période. J'avais été détaché, durant un mois, de la base d'Oran-La Sénia à la base de Maison-Blanche.

Bien amicalement.
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Jan Goure



Inscrit le: 18 Juil 2006
Messages: 1865

MessagePosté le: 10-03-2007 15:18    Sujet du message: Répondre en citant

Sostène,
La station dont tu parles faisait partie des RRA... La direction civile
était sise au 5è étage de la grande poste d'Alger. Vu la date indiquée
il devait s'agir du couple Drodelot, radios tous les deux...
Le Mer Niger c'était autre chose, et dissous de par la guerre !
En décalage, avec toi, mon départ au service en avril 48 m'a conduit à faire mes classes de 'gonfleur d'hélices à cette base d'Oran la Sénia dont tu fais état...
Le café à l'eau saumâtre, les plages magnifiques : Aïn el Turc, Paradis, moulin bleu... et surtout 'Villa des Roses' à Ekmull au dessus d'Oran !
Deux mois super, puis deux autres au peloton à Blida dans l'Algérois.
Ensuite, de par ma spécialité envoyé base aérienne de Biskra aux portes du Sahara...
Voila nous avons partagé des souvenirs et je te réitère mes amitiés
Jan
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Annick



Inscrit le: 15 Aoû 2005
Messages: 14156
Localisation: Normandie et Bourgogne

MessagePosté le: 10-03-2007 15:52    Sujet du message: Répondre en citant

Jan et Sostène,


C'est bien que vous puissiez partager des souvenirs si lointains et presque communs.

_________________

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Sostène 101



Inscrit le: 02 Fév 2007
Messages: 308
Localisation: Var

MessagePosté le: 10-03-2007 18:01    Sujet du message: Répondre en citant

Bonsoir Jan,

Quelle surprise ! Apprendre aujourd’hui le nom d’un couple rencontré 64 ans auparavant, loin de chez soi….. Il n’y a que sur Internet que l’on peut voir cela !
Très étonnant. Il ne manquerait plus qu’ils nous lisent sur leur ordinateur…..

A La Sénia, le café saumâtre bien sûr, Aïn el Turk bien sûr. Par contre je n’ai pas connu Paradis et Moulin bleu mais, avec les copains, nous allions quelquefois aux Andalouses où à Béni-Saf.
La Villa des Roses ne me disait rien mais après dégagement des brumes qui m’encombrent l’esprit il me semble me rappeler qu’il s’agissait d’u lieu où l’on ne se livrait pas seulement aux jeux de la plage ?
Curieux ces coincidences.
Avec toutes mes amitiés.

Une vue de la plage de Béni-Saf en 1941.
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Annick



Inscrit le: 15 Aoû 2005
Messages: 14156
Localisation: Normandie et Bourgogne

MessagePosté le: 10-03-2007 19:19    Sujet du message: Répondre en citant

Je connais la Villa des Roses par les récits de Jan ! Very Happy

Tu as raison Sostène, et Jan te le confirmera, on n'y faisait pas que des châteaux de sable.... Razz
_________________

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Sostène 101



Inscrit le: 02 Fév 2007
Messages: 308
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MessagePosté le: 10-03-2007 20:30    Sujet du message: Répondre en citant

Excuse moi Jan, ce n'est pas une photo de la plage de Béni-Saf mais de celle d'Aîn el Turk.
Bonne soirée.
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Papy Lulu



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MessagePosté le: 10-03-2007 20:34    Sujet du message: Répondre en citant

La Villa des Roses c'est la que............!!!!!!!!!!!!la suite est censurée..Souvenirs Souvenirs.
Plus sérieux en parlant de Béchard je peux précisier que mon père a été responsable de la construction de la centrale électrique pas loin de la...j'étais tout petit petit..
_________________
Lorsque tu ne vois pas bien ce qu'il y a au loin..rien ne t'oblige à aller voir de pres (conseil d'un sage Berbère)
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Jan Goure



Inscrit le: 18 Juil 2006
Messages: 1865

MessagePosté le: 11-03-2007 11:17    Sujet du message: Répondre en citant

Sostène,
Drodelot avait vingt ans de plus que moi, je souhaite qu'il soit toujours de ce monde, mais ?
Quel plaisir d'évoquer ces souvenirs là, en décalé
notre passage à la base aérienne de la Sénia...
Allez les 'plumitifs' sont vite chatouillés du clavier
Je vais envoyer ici, des extraits d'un ouvrage en
prose : "L'amour tarifé" le nom à lui seul est parlant ?
Cette nouvelle concerne "La villa des roses"...
J'espère te faire sourire !

Meilleures amitiés

Jan
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Sostène 101



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Messages: 308
Localisation: Var

MessagePosté le: 11-03-2007 11:19    Sujet du message: Répondre en citant

Bonjour à tous,
J’ai trouvé un site intitulé : Page-souvenirs des unités LPA, avec les sous-titres suivants : Photos du DLA3, classe 1960, Colomb-Béchar, et accompagné de la photo ci-dessous avec la légende suivante : "Autre forme de détente " chez Fifine ".


Dans le groupe la personne de droite lui ressemble, dans son aspect général. Le visage.....? Je ne peux rien dire...17ans après??
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Sostène 101



Inscrit le: 02 Fév 2007
Messages: 308
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MessagePosté le: 11-03-2007 13:03    Sujet du message: Répondre en citant

A Papy Lulu et Jean,

Je suis arrivé à Oran, venant de France, en octobre 40. A ce moment là je m'étais déjà débarrassé de mon.....enfin de la chose à laquelle tu fais allusion Papy. Dans les jours qui ont suivi, un camarade m'a entraîné dans un établissement qui était situé, me semble-t-il, derrière le théâtre et qui n’était probablement pas de la même classe que la Villa des Roses.
Des souvenirs plus récents me reviennent : la patronne de la Villa des Roses n'a-t-elle pas fait parler d'elle, en France, après 1962 ?

Je ne me souviens pas de la centrale électrique de Béchard, peut-être qu'elle n'existait pas en 43 ?
Nous allions souvent à Kénadsa ou il y avait des Français qui travaillaient aux mines de charbon.

Jan je serais heureux de lire ton ouvrage sur la Villa des Roses. C'est curieux que je ne puisse pas me souvenir plus nettement de ce lieu de perdition.

J'ai fais, avec ma femme, en 1970, une sorte de pèlerinage à Oran. Je suis retourné aux casernements de la base. Ceux ci sont devenus l'Université d'Oran. J'ai été autorisé à me promener librement dans les lieux. Ce qui m'a étonné c'est la végétation dans la cour. Je n'avais connu que des arbres malingres qui venaient d'être plantés et là je retrouvais une forêt.

A béchard le couple Drodelot, qui vivait très à l'écart de l'agglomération, devait s'ennuyer ferme et, lorsque j'étais leur invité, nous devions parler de la France et de nos familles, dont nous étions coupés depuis le 8 novembre 1942.


Vue partielle des casernements de la Sénia, en fin 40.
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musika



Inscrit le: 23 Mar 2005
Messages: 18472

MessagePosté le: 11-03-2007 17:46    Sujet du message: Répondre en citant

éh bien voilà...SOSTENE..j'ai tout lu.
tu vois, Sostene, je ne savais pas....tes écrits, me racontent une
vie que je ne connaissais pas.......

merci à toi...
_________________
poete_musika..4 mains
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Jan Goure



Inscrit le: 18 Juil 2006
Messages: 1865

MessagePosté le: 12-03-2007 17:48    Sujet du message: Répondre en citant

Sostène,

Désolé, mais les détails de ta description de la station radio dont tu parles
ont fait remonter des précisions :
Tu dis à quelques kilomètres de la ville ? donc c'était la Station STS
(service télécommunications et signalisation ) qui travaillait pour l'aviation
Ce que tu as vu de ces antennes extérieures étaient destinées au radiogoniomètre de nuit. Celui de jour, plus précis, était une grande spire
montée sur roulements à l'intérieur, avec un curseur qui donnait le max de signal reçu sur un cadran de 360° ... j'ai oeuvré dans le même type de station, pendant mon service militaire, à la base aérienne de Biskra. Indicatif international : FXB... Sur le 930 m, veille internationale, on recevait des demandes de relèvement d'avions qui étaient trés éloignés
mais qui avec le relevé de 3 stations disséminées sur leurs parcours, avaient une trianulation précise à quelques kilomètres prés de leur position...
Si l'on en revient aux RRA qui travaillaient uniquement pour l'armée de terre, le centre de Béchar était dans un quartier du centre ville. Drodelot,
métropolitain, y était chef de poste. Son épouse née Marquès, était Algéroise, elle. Son frère était radio lui aussi. A l'époque précitée, le 3ème radio était mr Gazzo. Celui-ci aprés le débarquement allié de 1942
a été rappelé comme s/Chef, à la 807è cie de Trans aux ordres du Lieutenant Wolfer qui avait été patron des trans de Béchar avant ça.
Cette cie a été le fer de lance ( trans ) auprés des EM de l'avant. Ils avaient des camions shelters Américains, SCR399, avec un metteur de 1 kwt. De ce fait, ils reliaient non seulement les EM mais toutes les bases arrières, on les entendait d'Alger 5/5...
C'était tous des radios camouflés comme civils en AFN entre 1940 et 42,
gràce au général Weygand qui avait prévu que l'AFN serait un jour une plate forme d'où les Français entreraient à nouveau dans la guerre de libération de la France.
Parmi eux, il y a vait des Femmes qui ont été admirables. Quand elles nous ont raconté leur vie dans ces camions radio, mitraillés car recherchés par les 'boches' ( à l'époque leur appellation, tu le sais ) le soir, un casque américain d'eau pour leur toilette intime... Cette cie a été en Tunisie, puis Italie, puis de la côte sud est de la France jusqu'en Allemagne ! le lieutenant Wolfer, devenu commandant a été ensuite notre Colonel des trans de la Région militaire d'Alger. Et je l'ai retrouvé encore, grand patron des trans de la 3è RM à Rennes en 1962...
J'ai toujours été trés fier de ces Camarades là, regrettant que mon âge ne m'ait pas permis d'être des leurs...
Amicalement
Jan
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Sostène 101



Inscrit le: 02 Fév 2007
Messages: 308
Localisation: Var

MessagePosté le: 12-03-2007 20:38    Sujet du message: Répondre en citant

Bonsoir Jan,
Merci pour toutes ces précisions. Ce qui est curieux c'est que j'ai retrouvé ce couple, celui dont je parlais, sur les marches de la grande poste à Alger. C'est à dire au pied du bâtiment dans lequel étaient logés les services de télécommunications dont tu m'a parlé.
Il y avait, dans les années 50, à Villebon sur Yvette (91) une station ayant, en ce qui concerne les pylônes et antennes, le même aspect général que celle de C. Béchar.

Bonne soirée.
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VOGCHEN



Inscrit le: 20 Mar 2008
Messages: 1

MessagePosté le: 20-03-2008 11:05    Sujet du message: Colomb Béchar Répondre en citant

Je suis tombé par hazard sur ce forum et ayant habité à Colomb Béchar jusqu'à l'âge de 15 ans et demi j'ai naturellement lu tous ces messages.
Nous avons quitté cette ville en janvier 1963.
Mon père était cheminot au Mer Niger. Dans un des messages il est question du Mer Niger, en fait il y avait deux lignes de chemins de fer, une reliant Oran à Colomb Béchar de la société CFA (chemin de fer algérien) et l'autre reliant Oujda à Colomb Béchar et qui devait au départ aller jusqu'au Niger de la société Méditerranée au Niger plus communément appelé Mer Niger.
Si vous aimez cette région ou si vous vous voulez voir de nombreuses photos et qui sait retrouver des gens que vous avez peut être cotoyé, je vous conseille ces deux sites. Sur Bécharis vous trouverez même beaucoup de photos de cette centrale électrique dont il est question dans un des messages.

http://becharis.com/
http://lesenfantsdebechar.free.fr/
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