Retraite Active Ce forum s'adresse à tous les retraités et futurs retraités. Les membres de ce forum ont la possibilité de discuter de tous leurs centres d'intérêt que ceux-ci soient les voyages, les loisirs ou l'actualité, entre autres.
Le thème du fil d'Athas s'appelle de A à Z....Qui te dit qu'il va nous lire les histoires de la Bible en permanence...moi ça ne me dérange pas du tout. En tous cas c'est bien mieux qu'un livre porno ...et puis connaitre cette histoire c'est aussi de la culture, même si l'on n'est pas chrétien... _________________
et, vlan tu as tout mis par terre............ATHAS
à chaque fois, que tu fais quelquechose, tu es jugé....... il ni a que celle ou celui qui ne fait rien, qui ne craint rien....
le POUR et le CONTRE........c'est pas facile de plaire à tout le monde.. et c'est difficile d'accepter, le jugement de l'autre....
je suis comme toi,
nous sommes comme toi,
pour une seule, personne tu t enfuies, alors notre jugement à nous, tu t en fiches.........tu préferes la fuite.....et bien pourtant, nous sommes là à tes cotés.........j'attends donc la suite de ton histoire.......sinon c'est moi
qui va la faire, et à ma sauce.........alors tu choisis..
MOI ou TOI NOE façon MUSIKA, ou NOE façon ATHAS
allez tiens en public, je peux te faire une bise, et si Madame ATHAS voit cela, qu'elle n'y prenne pas ombrage,
je ne suis qu'une ligne à l'encre de chine........rien de bien grave....
et, fatiguée ce matin.........que je reviens corriger mon orthographe... _________________ poete_musika..4 mains
Dernière édition par musika le 03-10-2005 09:52; édité 1 fois
Coucou Athas, je vois que tu m'as pardonné... j'en suis fort aise...
Je remarque aussi que tu es "Témoin de Jéhovah", ce dont je respecte aussi vu que nous avons un couple qui nous apporte tous les 15 jours les revues... bien que je sois protestante et mon mari catholique...
Et je suis contente de vois aussi que tu as au moins trouvé "un juste" sur le forum... même si ce n'était pas moi...
Bonjour Alex
C'est bien de ne pas juger les autres trop rapidement et j'irais jusqu'à dire que nous ne devrions juger personne et comme tu es protestante tu dois savoir que de la fàçon dont on juge , on sera jugé ou que nous soyons et qui que nous soyons
Moi je voulais faire plus court
Ou en trois fois, tant pis
Es-tu tjs persuadée que la Bible n'est pas de la littérature?
Bonne journée _________________ Ne vous penchez pas trop sur votre passé,
vous risqueriez de tomber dans l'oubli
Inscrit le: 28 Juin 2005 Messages: 355 Localisation: MONTPELLIER
Posté le: 04-10-2005 09:16 Sujet du message:
ATHAS a écrit:
Bonjour Alex
C'est bien de ne pas juger les autres trop rapidement et j'irais jusqu'à dire que nous ne devrions juger personne et comme tu es protestante tu dois savoir que de la fàçon dont on juge , on sera jugé ou que nous soyons et qui que nous soyons
Moi je voulais faire plus court
Ou en trois fois, tant pis
Es-tu tjs persuadée que la Bible n'est pas de la littérature?
Bonne journée
nous ne sommes pas la pour juger mais etre a l ecoute des uns et des autres et a apprendre a se connaitre et a passer de bons moments ensemble
bisous a vous tous
angel _________________
Qui n’a pas rêvé un jour dans sa vie de sauver, tous les animaux de la terre,
Moi la première,
Quelle belle histoire ! que nous pouvons raconter, à nos enfants, et petits enfants
Quelle belle imagerie,……ce livre,
Et les animaux, de les voir tous réunis
A cette époque, là, ils n’avaient pas les arguments scientifiques pour justifier,
D’un cataclysme……..
Alors de bouche à oreilles on a inventer une belle histoire.
Un homme à lui seul, qui a construit un bateau, mais c’est magique pour un enfant,
Et, nous nous savons bien qu’a cette époque, combien d’années il lui a fallu. Mais les rêves n’ont pas d années, les rêves font grandir, l imaginaire……
Nous avons tous rêvé sur les pharaons, sur Osiris,
Sur leurs dieux,
Et, personne ne s’en plaint…….on continue à rêver, et pourtant…..rien ne tient debout…
Que d’histoires que nous voulons savoir, sur les dieux ….de cette époque, …
L arche de NOE, fait marcher notre imaginaire, Mon dieu quelle est belle cette HISTOIRE, je me lasse pas de la lire….et tous ces animaux…dans une bonne entente…
Exactement comme les contes de PERRAULT, ou JULES VERNE avec ses inventions
Il ne faut pas prendre au premier degré, ce que l’on raconte.
Nous pouvons, en prendre quelques leçons cela veut aussi, peut être nous inciter, a être
Prévoyant, et mettre de côté pour subsister………..pendant la période creuse de notre vie,
La bible est une littérature……..oui, il y a peut-être un philosophie a en tirer ….la bible peut être lue par toutes les confessions religieuses, et chacun puisera sa propre interpretation …
Cela doit pouvoir se lire de différentes façons,
Suivant nos prédispositions……on n’a pas tous la même chose dans la tête au départ….
Mais, le principal, c’est de se respecter, et de respecter les idées de chacun…. _________________ poete_musika..4 mains
Posté le: 05-10-2005 12:35 Sujet du message: réponse sujet
je suis de ton avis musika la bible nous inspire et chacun comprend a sa façon les préceptes qui nous sont indiqués, on lit la bible comme un beau roman selon ses croyances, il m'arrive de relire certains passages qui me ramènent a la réalité des choses de la vie , chacun sa croyance voila!!!!!!! _________________
je crois aussi que quant nous somme sur un forum , il faut respecter les idées et croiance de chacun , nous pouvons donner notre avis mais c'est tout .
et surtout ne pas esseyer de initiée d autre personnes a c'est propre croyance. un forum n est pas fait pour cela , mais juste pour dicuter entre nous et donnée et accepter surtout les avis de chacun .
j espère que je me suis bien fais comprendre et n ai froiser personnes car ce n était pas le but, bien au contraire _________________ Tamon ... Le plus lourd fardeau, c'est d 'exister sans vivre .
c'est pour cela, qu'il faut rester dans cette rubrique.....nous en discutons ici... mais revenons à notre sujet LITTERATURE... et non pas religion... _________________ poete_musika..4 mains
Posté le: 05-10-2005 14:52 Sujet du message: litterature
un livre qVipère au Poing a été adapté à la télévision en 1971. Alice Sapritch y interprète le rôle de Folcoche dans une réalisation de Pierre Cardinal.
Résumé du roman
L'histoire débute durant l'été 1922. Un enfant découvre une vipère. Il la saisit et l'étouffe de ses mains. Cet acte lui vaut d'être comparé à Hercule, le personnage de la mythologie grecque, qui dans son berceau étrangla deux serpents.
25 ans plus tard, Jean Rezeau, "l'enfant de 1922" est le narrateur de l'histoire. Son surnom est Brasse-Bouillon. Il évoque la propriété de sa famille, La Belle Angerie. Il présente sa grand-mère paternelle, Mme Rezeau, chez qui lui et son frère aîné, Ferdinand, ont passé, parmi des domestiques dévoués, quelques années d'enfance heureuses tandis que leurs parents et leur plus jeune frère séjournaient en Chine. M. Rezeau père enseignait le droit international dans une université chinoise.
Lorsque Jean a huit ans, sa grand-mère meurt d'une maladie des reins. Les parents doivent rentrer de Chine. Les deux frères ont hâte de revoir leurs parents et de découvrir ce petit frère, Marcel, qu'ils ne connaissent pas .
Mais les retrouvailles se transforment en cauchemar. Les deux frères sont sur le quai de la gare de Segré pour accueillir leurs parents et leur petit frère. Ils se précipitent vers leur mère pour l'embrasser. Mais celle-ci, agacée par ces gestes de tendresse les gifle sans ménagement et leur ordonne de porter les valises.
M. Rezeau cesse de travailler et vit des revenus de la propriété. Homme faible, il est dominé par sa femme et préfère passer ses journées à collectionner les insectes plutôt que de s'occuper de ses enfants. Le narrateur décrit ensuite les autres membres de sa famille : sa mère, Mme Rezeau est la fille d'un sénateur, et la petite fille d'un banquier. Très riche , elle a apporté une immense dot au mari que lui ont choisi ses parents.
Puis Jean présente ses frères : Ferdinand, l'aîné, dit Fredie que l'on appelle parfois Chiffe en raison de son caractère timide et peureux; et Marcel , le jeune frère , le préféré de sa mère, qu'il décrit comme fourbe et travailleur. Jean , le narrateur que l'on appelle Brasse-Bouillon, se décrit comme un enfant joufflu, aimant la vie mais aussi rebelle et ayant mauvais caractère.
Dès leur arrivée, les parents imposent une discipline de fer. M. Rezeau établit des horaires draconiens et Mme Rezeau commet de sévères brimades, dont la plus traumatisante est de tondre ses enfants avec la tondeuse qui servait auparavant pour l'âne Cadichon.
Les deux frères aînés subissent la cruauté de leur mère, sa partialité et sa sévérité. Elle chasse Ernestine , la gouvernante, qui a eu le malheur de protester et peut ainsi à sa guise imposer sa tyrannie . Elle nourrit mal ses enfants, et se permet pendant les repas de planter sa fourchette dans leurs mains. Elle les prive de promenades et les condamne à passer leurs journées à désherber les allées du parc. Elle confisque les objets et les jouets de ses enfants ainsi que les friandises que leur offre leurs grands-parents. Pire, le soir, après la prière, chaque enfant doit se confesser devant elle et le précepteur et avouer les péchés de la journée. Marcel, le jeune fils préféré, en profite pour dénoncer ses frères.
Blessés par tant de cruauté, Fredie et Jean se réfugient dans l'hypocrisie et affublent leur mère du surnom de Folcoche, association de folle et de cochonne.
Durant la saison de chasse , M. Rezeau père propose à ses enfants de l'accompagner et de rabattre le gibier. Les fils profitent pleinement des ces quelques heures de liberté. Folcoche, elle, vit mal ce plaisir que leur procure ce loisir. Un soir, excédé de constater que ses fils ont passé une très agréable journée, elle décide de sévir. Pour une fois, leur père décide de s'interposer. Vexée par cet échec Folcoche fait payer cette humiliation à ses enfants. Sans aucun motif, les dents serrées, elle les bat. Le jardinier , qui a eu le malheur d'assister à la scène est licencié.
Un soir pendant la prière, Folcoche s'évanouit. Le médecin diagnostique des calculs à la vésicule. En plus de la douleur que doit supporter Mme Rezeau, en raison de cette maladie, elle doit affronter Brasse-Bouillon qui a trouvé comme seule défense de la fixer dans les yeux durant les repas. Ce soir-là il parvient à soutenir son regard pendant huit minutes.
A la Belle Angerie, les précepteurs se succèdent à un rythme effréné. Soit ils ont le malheur de se hasarder à des remarques, soit ils ne supportent pas cette ambiance haineuse. Les enfants commencent à leur donner des surnoms, ainsi BIV est-il remplacé par BV qui ne reste que 8 jours.
Le 14 juillet 1927, Folcoche est hospitalisée à Angers pour une opération de la vésicule biliaire. Les garçons profitent de l'absence de leur mère : ils laissent repousser les pissenlits du jardin et leur cheveux. Même leur père semble aller mieux, ses migraines diminuent et il se met à initier ses enfants à sa passion des insectes, à la politique,à la botanique et à l'astronomie.
Folcoche tarde à retrouver la santé; ses garçons craignent son retour et se prennent à rêver de sa mort. Ils en profitent aussi pour se constituer des réserves : une cachette dans la chambre de Fredie leur permet de stocker toutes les provisions qu'ils peuvent récupérer.
Folcoche rentre à la Belle Angerie. Mais durant les quelques mois de son absence, ses fils ont grandi et les gifles qu'elle distribue toujours aussi généreusement ont beaucoup moins d'impact. Il lui faut changer de stratégie. Elle essaye de renvoyer Fine, la femme qui sert la famille depuis trente ans, mais M. Rezeau s'y oppose. Pour semer la discorde parmi les trois frères qui ont constitué un "pacte de défense", Folcoche tente de corrompre Marcel , le jeune frère, mais Brasse-Bouillon parvient à maintenir l'union sacrée entre les enfants.
Folcoche décide alors d'éloigner les deux aînés pour mettre au point une nouvelle tactique. M. Rezeau père, Ferdinand et Jean partent en voiture dans le Gers. Cette aventure permet aux deux frères de goûter des plaisirs inconnus : des hôtes chaleureux, des lits confortables, des repas délicieux.... Mais bizarrement Brasse-Bouillon supporte mal cette vie sans interdiction et sans haine. Folcoche lui manque ...
Une lettre de Marcel, leur frère cadet, leur permet d'avoir les dernières nouvelles de la Belle Angerie. Folcoche a engagé un nouveau précepteur encore plus sévère que les précédents. Elle a aussi découvert la cachette où les enfants stockaient leurs provisions. Le retour risque d'être terrible...
Les enfants rentrent à la Belle Angerie. Aussitôt ils donnent à l'abbé Traquet, leur nouveau précepteur, le surnom de BVII. Celui-ci commence par fouetter Frédie, en raison des provisions trouvées dans sa chambre. Mais Brasse-Bouillon ne reste pas inactif : en cachette il réconforte son frère aîné . Ensuite il jette le trouble chez Folcoche en lui laissant croire que le précepteur a vraiment été très clément avec le fautif. Puis il murmure au précepteur que sa mère le prend pour un simple domestique. Enfin il obtient de son père que Frédie bénéficie d'une amnistie.
Jean est devenu le principal souffre douleur de Folcoche. Elle multiplie les humiliations et lui, les représailles. C'est la "guerre civile". A l'actif de Folcoche : les soupes épouvantablement salées, les habits de son fils qu'elle déchire et qu'elle accuse ensuite de négligence. Brasse Bouillon n'est pas en reste : il déchire la collection de timbres de Folcoche, arrose ses fleurs avec de l'eau de Javel. Pour faire payer à leur mère sa piété perfide , les frères se défoulent dans les églises : ils jettent les missels dans les bénitiers, détraquent les horloges, couvrent les murs de graffitis...
Puis c'est la guerre "alimentaire" . Folcoche leur donne à manger du poisson avarié et accuse ses enfants d'avoir voulu empoisonner les chevaux. Cette accusation donne des idées aux enfants. Ils versent 100 gouttes de belladonne dans le café de leur mère pour l'empoisonner. Mais celle-ci qui a souvent utilisé ce médicament durant sa maladie n'aura qu'une "simple" colique. Les enfants ne désarment pas , si l'empoisonnement a échoué, alors ce sera la noyade dans la rivière. Folcoche en réchappe miraculeusement.
Folcoche qui comprend qu'elle a échappé par deux fois à la mort décide de se venger. Elle demande à l'abbé Traquet de fouetter Brasse Bouillon , qu'elle soupçonne d'être le meneur. Il se barricade dans sa chambre et s'enfuit la nuit venue.
Il parvient à se rendre à Paris chez ses grands parents maternels, les Pluvignec. Il est impressionné par ce sénateur qui vit dans le somptueux quartier d'Auteuil , par sa fortune mais est incommodé par sa vanité. M. Pluvignec, lui, est amusé par l'audace de son petit-fils et il promet d'œuvrer pour réconcilier l'enfant et sa famille.
M. Rezeau père arrive à Paris chercher son fils et à la grande surprise de ce dernier il n'exprime aucune colère , juste un embarras. Jean en vient presque à regretter que ce ne soit pas Folcoche qui ait fait le voyage. Certes, il la déteste, mais elle, elle aurait fait preuve d'autorité et de fermeté.
Brasse Bouillon revient avec son père à la Belle Angerie . L'ambiance est plutôt à l'indifférence. Il prend alors l'habitude de se réfugier sur la plus haute branche d'un arbre de la propriété. Ce refuge, où il se rend très souvent lui permet d'analyser la nouvelle situation. Il sait que maintenant son combat contre Folcoche a changé de nature. Sa corpulence d'adolescent, ses initiatives, son assurance et son sens de la provocation impressionnent Folcoche. Il rêve d'être bientôt exclu de la famille.
Les travaux recommencent à la Belle Angerie : il faut désherber les allées du parc, cirer les parquets du salon... Pourtant un anniversaire va modifier le quotidien. Cela fait vingt cinq ans que le vénérable René Rezeau a été élu à l'Académie française. Jacques Rezeau, le père de Jean souhaite organiser une grande cérémonie familiale pour fêter l'illustre octogénaire. Le jour de la fête, il faut écouter un discours assommant de trois heures. Jacques Rezeau profite de cette journée pour vanter les valeurs de la bourgeoisie et de la famille. Jean pour sa part a trouvé cette cérémonie désuète et incongrue. La haine qu'il éprouvait pour ses proches s'étend maintenant à toute sa famille et à toute la bourgeoisie.
Brasse Bouillon et Folcoche se ménagent quelque peu. Jean a maintenant quinze ans et commence à désirer les femmes. Il jette son dévolu sur Madeleine, une jeune fermière. Un dimanche d'été, en fin d'après-midi, il parvient à la séduire sous l'œil attentif de Frédie qui, à la fois, contrôle le voisinage et s'assure de la réussite de son frère.
Pendant quelques semaines, Jean savoure sa conquête, mais très vite il s'irrite des marques de tendresse de Madeleine. Pour lui, les femmes ne peuvent être différentes de sa mère, c'est pourquoi il s'en méfie.
Folcoche qui sait maintenant que Brasse Bouillon la connaît parfaitement souhaite l'éloigner. Elle projette de cacher son portefeuille dans la chambre de son fils puis elle l'accusera. Jean pressent le piège. Il voit sa mère sortir de sa chambre et s'empresse de lui rapporter le portefeuille qu'elle a "oublié". La confrontation entre les deux adversaires n'a pas lieu, car finalement ils ont le même objectif : le départ de Jean pour le Collège. Ce qu'il finit par obtenir pour lui et pour ses frères
Jean va prévenir Madeleine de son départ. Il se moque de sa tristesse. Elle fond en larmes.
Les trois garçons vont partir comme internes chez les Jésuites au Mans. Reste une haine définitive entre Folcoche et Jean. Cette animosité a façonné pour toujours la personnalité du narrateur. Il n'a plus confiance en rien ni en personne. Il quitte la Belle Angerie "une vipère au poing".
Vipère au poing, le film
ue j'ai beaucoup apprecié - vipere au poing HERVE BAZ
je voudrais porter à la connaissance des postiers, que ceci n'est qu'une
ligne de la rubrique" LITTERATURE".
Il existe une ligne "CINEMA" et nombre d'autres lignes
J'ai ouvert cette ligne pour accueillir toutes sortes de littératures;
d'ou le titre "A à Z"
Si donc, vous pouviez poster chaque sujet à sa place, vous seriez très gentils et gentilles
Merci pour tous _________________ Ne vous penchez pas trop sur votre passé,
vous risqueriez de tomber dans l'oubli
Posté le: 05-10-2005 16:09 Sujet du message: litterature de a a z
musika je ne peux pas faire editer je n'ai que citer, la page s'arrête la. merci de ta comprehension. Je l'aurais fait, si se serait possible. bisou LINE
Non Line tu as "éditer"
Sers t'en pour éffacer ton sujet sur la ligne "de AàZ"
Parfois "éditer" ne parait pas parce qu'il faut déplacer la page de droite à gauche avec la barre du bas, regardes bien si tel n'est pas ton problème
Merci _________________ Ne vous penchez pas trop sur votre passé,
vous risqueriez de tomber dans l'oubli
Elle doit avoir "éditer" peut-être que sa page n'est pas bien bien en place sur son écran et qu'elle doive faire un léger déplacement vers la gauche pour voir son "éditer"???
Posté le: 06-10-2005 04:34 Sujet du message: sujet editer litterature
non ATHAS , j'ai beau deplacer ma page de gauche a droite et vice versa, editer reste cache sous le cadre de l'ecran. allez vous bientôt me comprendre. Ce n'est pas une mauvaise volonte de ma part. Si je pouvais, il y a longtemps que ce serait reparer. Bise LINE
Inscrit le: 29 Aoû 2005 Messages: 83 Localisation: ouest france
Posté le: 06-10-2005 14:09 Sujet du message:
l arche de noe......entendu et réentendu par ma mere.....grand message d espoir ---et pleins d'animaux comme on les aime.... sympa a lire,
il existe un dessin animé : "la prophétie des grenouilles" qui est sortie l'année derniere, et qui a eu un grand succé
c'est l'histoire d'un déluge, et des animaux sauvés
... POUVEZ-VOUS DORMIR QUAND LE VENT SOUFFLE LA NUIT
Un fermier, très mécontent du travail effectué par l'un de ses ouvriers s'en fut à la foire chercher un remplaçant
Il y rencontra un jeune homme, un peu gauche, à l'air simple.
- "Alors, jeune homme, lui dit le fermier, quel est votre nom?"
-"Jean, Monsieur"
-"Et que faites -vous dans la vie?"
-"Je travaille comme valet de ferme"
-"Etes-vous au courant du travail à effectuer dans une ferme ?"
- "Certainement, Monsieur"
- "Quelles sont vos aptitudes ? "
- "Avec tous mes respects, Monsieur, je sais dormir quand le vent souffle la nuit"
- "Pardon ?"
- "Oui, je sais dormir quand le vent souffle la nuit"
- " Ma foi, jeune homme, répondit le fermier, celà n'est guère une réponse ; la plupart de mes gens font celà très bien"
Le fermier continua donc sa recherche mais ne trouva personne. Plusieurs fois il revit Jean et chaque fois celui-ci lui donnait la même réponse étrange : " Je sais dormir quand le vent souffle la nuit"
Tard dans l'après-midi, le fermier prit sa décision. Trouvant que les yeux de Jean reflétaient l'honnêteté,
il lui dit ceci:" Vous êtes certainement un drôle de numéro comme valet de ferme, mais je vous embauche. Nous verrons de quoi vous êtes capable"
Jean travailla plusieurs semaines sans que l'on remarqua son travail. Ce qui n'est pas étonnant en soi car le travail bien fait passe souvent inaperçu. C'est seulement quand quelque chose ne tourne pas rond que l'on y prête attention.
Puis une nuit, le vent commença à chasser devant lui d'énormes nuages. Il prit sa force dans les collines, traversa la forêt avec beaucoup de fracas, martela les batiments et donna contre les meules de foin, hurlant dans les cheminées.
Lorsque le fermier entendit le vent, il se dressa sur son lit; il connaissait bien ce vent là
Déjà plusieurs fois celui-ci lui avait arraché les portes des étables, dispersé son foin et renversé ses poulaillers. Il appella Jean qui dormait au grenier. Il hurla plus fort que le vent mais personne ne lui répondait. Enfin, à grandes enjambées, il monta le secouer.
"Jean! Jean! lève-toi!.La tempête va tout emporter".Rien à faire, Jean dormait profondémment.
Il sortit seul dans la tourmente, s'attendant au pire.
Eh bien non, au contraire; il vit les portes de l' étable solidement barricadées, les chevaux liés, en sureté ,les fenêtres bloquées et le bétail sâgement couché dans la crêche.Il trouva également les meules de foin bien arrimées par des bâches attachées par de grosses cordes fixées sur des pieux enfoncés profondémment en terre.La porcherie était intacte et les poulaillers en place malgré la tempête.
Tout à coup, il se mit à rire à plein gosier. Il venait de comprendre les paroles de Jean.
Quelle leçon pouvons nous en tirer, nous qui savons qu'un jour prochain , celà surviendra
Nous sommes suffisemment conseillés et renseignés.
Faisons notre part et peut-être pourrons- nous dire comme Jean "J'ai appris à dormir quand le vent souffle la nuit" _________________ Ne vous penchez pas trop sur votre passé,
vous risqueriez de tomber dans l'oubli
Quand je suis née, j'étais noire
Quand j'ai grandi, j étais noire
Quand je vais au soleil, je suis noire
Quand j'ai peur , je suis noire
Quand je suis malade, je suis noire
Quand je mourrai, je serai noire
Tandis que toi homme blanc
Quand tu es né, tu étais rose
Quand tu as grandi, tu étais blanc
Quand tu vas au soleil, tu es rouge Quand tu as froid, tu es bleu Quand tu as peur, tu es vert Quand tu es malade, tu es jaune Quand tu mourras ,tu seras gris
Et après çà ,tu as le toupet de m'appeller:
" FEMME DE COULEUR" _________________ Ne vous penchez pas trop sur votre passé,
vous risqueriez de tomber dans l'oubli
j'ai envie de te dire ATHAS...doit on toujours tirer des lecons de lavie!!!!
maintenant, je n'en suis pas si sure!!!!
au premier abord, ton fermier avait remarqué l'honneteté de JEAN..........
il est vrai ATHAS, que le travail bien fait, ou les actes de la vie faites dans le silence et le respect de l'autre, ne se remarquent pas!!!!!on remarque toujours l'imprudent, ou le téméraire....mais jamais celui qui veille en silence... c'est vrai
cela rejoint ma pensée (celui qui ne fait rien, ne sera jamais critiqué, celui qui fera le sera)............... il est plus simple, de ne rien faire, que de faire.
cela revient au même quand on dit (c'est dans la difficulté que l'on remarque un ami)......
l'on peut braire, et faire bouger le vent.........si l'on agit pas, cela ne sert a rien... _________________ poete_musika..4 mains
Inscrit le: 13 Sep 2005 Messages: 36 Localisation: région parisienne
Posté le: 21-11-2005 17:49 Sujet du message:
chapeau ATHAS !!!c'est très vrai ce que tu viens d'écrire et ça devrait nous porter à réfléchir et savoir que dans tout être humain le même coeur
bat et que le sang a la même couleur, n'ya -t-il pas d'ailleurs une très belle chanson de CLAUDE NOUGARO à ce sujet _________________ CIRTA
Inscrit le: 13 Sep 2005 Messages: 36 Localisation: région parisienne
Posté le: 21-11-2005 18:03 Sujet du message:
quant à l'histoire de jean, sommes-nous toujours prêts à dormir la conscience tranquille du travail bien fait, faisons toujours tout ce qu'il faut pour affronter ce qui peut arriver ; ne sommes-nous pas quelque fois un peu trop laxistes il y a de quoi cogiter sur la question ! _________________ CIRTA
Posté le: 21-11-2005 18:06 Sujet du message: réponse
je crois que PIERRE PERRET a écrit une trés belle chanson a ce sujet
la trouvait plutôt jolie, Lily
Elle arrivait des Somalies Lily
Dans un bateau plein d'émigrés
Qui venaient tous de leur plein gré
Vider les poubelles à Paris
Elle croyait qu'on était égaux Lily
Au pays de Voltaire et d'Hugo Lily
Mais pour Debussy en revanche
Il faut deux noires pour une blanche
Ça fait un sacré distinguo
Elle aimait tant la liberté Lily
Elle rêvait de fraternité Lily
Un hôtelier rue Secrétan
Lui a précisé en arrivant
Qu'on ne recevait que des Blancs
Elle a déchargé des cageots Lily
Elle s'est tapé les sales boulots Lily
Elle crie pour vendre des choux-fleurs
Dans la rue ses frères de couleur
L'accompagnent au marteau-piqueur
Et quand on l'appelait Blanche-Neige Lily
Elle se laissait plus prendre au piège Lily
Elle trouvait ça très amusant
Même s'il fallait serrer les dents
Ils auraient été trop contents
Elle aima un beau blond frisé Lily
Qui était tout prêt à l'épouser Lily
Mais la belle-famille lui dit nous
Ne sommes pas racistes pour deux sous
Mais on veut pas de ça chez nous
Elle a essayé l'Amérique Lily
Ce grand pays démocratique Lily
Elle aurait pas cru sans le voir
Que la couleur du désespoir
Là-bas aussi ce fût le noir
Mais dans un meeting à Memphis Lily
Elle a vu Angela Davis Lily
Qui lui dit viens ma petite sœur
En s'unissant on a moins peur
Des loups qui guettent le trappeur
Et c'est pour conjurer sa peur Lily
Qu'elle lève aussi un poing rageur Lily
Au milieu de tous ces gugus
Qui foutent le feu aux autobus
Interdits aux gens de couleur
Mais dans ton combat quotidien Lily
Tu connaîtras un type bien Lily
Et l'enfant qui naîtra un jour
Aura la couleur de l'amour
Contre laquelle on ne peut rien
On la trouvait plutôt jolie, Lily
Elle arrivait des Somalies Lily
Dans un bateau plein d'émigrés
Qui venaient tous de leur plein gré
Vider les poubelles à Paris.
Posté le: 21-11-2005 18:11 Sujet du message: réponse
je n'aurai peut etre pas du mettre la chanson ds ce sujet mais je voulais répondre a athas, c'est tout, vous pouvez la remettre ds chanson si cela vous dérange _________________
Inscrit le: 12 Nov 2005 Messages: 16 Localisation: Lozère profonde
Posté le: 21-11-2005 19:42 Sujet du message:
Athas, le conte de Jean est superbe.
Une chose m'a frappée dans ce texte, hormis le fond qui donne à réfléchir, c'est la phrase, que je trouve terrible :
Jean travailla plusieurs semaines sans que l'on remarqua son travail. Ce qui n'est pas étonnant en soi car le travail bien fait passe souvent inaperçu. C'est seulement quand quelque chose ne tourne pas rond que l'on y prête attention.
C'est absoluement vrai et c'est une chose à laquelle on devrait toujours faire attention, surtout vis à vis des enfants. Mais ce n'est pas toujours facile lorsqu'on est entraîné par la vie.
Marie, je crois que c'est (pour moi) la plus belle chanson de Pierre Perret. Je l'ai beaucoup chanté à ma dernière fille à l'époque où je l'endormais en chantant. _________________ Ecrire, c'est crier en silence ! Une petite visite sur mon site me fera plaisir !
@ Marie, cette chanson de Pierre Perret je l'ai entendue lorsque j'étais à la clinique pour accoucher de mon dernier... (c'était pas hier, juste avant hier ) et je me souviens d'avoir eu les larmes aux yeux en l'entendant...
Mais peut-être que chez moi, c'est différent... ma belle-soeur s'appelle Lily...
Inscrit le: 27 Aoû 2005 Messages: 740 Localisation: 59 nord france
Posté le: 21-11-2005 23:13 Sujet du message: De A à Z
Bonsoir tout le monde,
Je trouve l'histoire de Jean très réaliste , et en accord avec des principes de vie .Elle peut également etre reprise sur un plan philosophique .Nous craignons parfois les tempètes de la vie ,souvent à tort,notre vie ne vaut elle pas plus que toutes les richesse de ce monde ,
Mais , pour retourner à l'histoire de Jean , ce n'est pas celui qui sonne de la trompette devant soi pour attirer le regard des foules , qui est le plus récompencé. Car la gloire appartient aux humbles ,
Comme Scott Peck le cité dans son livre LE CHEMIN LE MOINS FREQUENTE :Les rivières souterraines , sont les plus profondes .
Et , un auteur cité :La modestie est à la critique ce que sont les ombres des figures dans un tableau , elle lui donne de la force et du relief.
Quand tu t'assieds à la table d'un riche , ne recherche pas la première place , assieds toi au bout de la table , alors il te remarquera et te priera de t'assoir à coté de lui.Ces paroles sont issues de la bible ..
Que celui qui a des oreilles pour entendre ,écoute !!!!!!!
Posté le: 22-11-2005 00:15 Sujet du message: HISTOIRE DE JEAN
Je vais essayer de vous dire ce que j'en pense:
JEAN en bon collaborateur, a, sans rien dire fait tout ce qu'il fallait
pour que le vent lorsqu'il soufflera ne détruise rien.
Il s'est donc préparé à cet événement, et, de ce fait Il a évité beaucoup
d'ennuis à son Employeur.
Ce dernier ne Lui a pas fait confiance de suite puisqu'Il ne l'a embauché
que parce qu'Il n'a trouvé personne!!!
Donc Il faut que ns sachions ns préparer, se tenir prêts, pour des moments difficiles.
Il faut savoir aider les autres sans sans glorifier, et, leur faire confiance
sans attendre des actes de leur part pour leur faire confiance.
Tu sais ATHAS ton histoire me trouble un peu :
Je dirai que je retrouve un peu en elle l'évangile du dimanche 6/11:
" la parabole des 10 vierges " : savoir attendre: les insensées n'ont
pas pris d'huile, les autres ont tout prévus et lorsque le Maître est
arrivé il n'y a que celle qui avait l'huile qui ont été accépté.
C'est difficile d'expliquer par des mots en quelques lignes le dévelop-
-pement d'un tel sujet
Bien amicalement
Je mets ci-dessous quelques mots d'un chant qui correspond
Ils sont nombreux, ces gens de rien,
Ces bienheureux du quotidien
Qui n'entreront pas dans l'histoire.
Ceux qui ont travaillé sans gloire
Et qui se sont usés les mains
A pétrir, à gagner le pain....
Ils sont nombreux
Ceux dont on ne dit pas un mot
Ces bienheureux de l'humble classe
Ceux qui n'ont pas fait de miracle
Ceux qui n'ont jamais eu d'extase
Et qui n'ont laissé d'autre trace
Qu'un coin de terre ou un berceau
Ils ont leur nom sur tant de pierres,
Et quelques fois dans nos coeurs
Et quand l'un d'eux quitte la terre
Pour regagner l'infini
Une étoile naît dans les cieux
Posté le: 22-11-2005 09:46 Sujet du message: réponse a line
SYLVIE et ZUDINETTE, j'ai répondu a athas par cette merveilleuse chanson de PIERRE PERRET , car je trouvai que le sujet concordait bienavec son post, je suis ravie de vous avoir fait plaisir, j'adore cette chanson ,je ne devrai pas dire j'adore, mais j'aime cette chanson et j'espère qu'elle aura plu a plusieurs personne bises a vous deux et a tous _________________
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