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Le transgenrisme peut se définir ainsi : adoption des signes caractéristiques de l'autre sexe suite à des manipulations lourdes : prises d'hormones, opérations. Mais on ne peut changer le genre des chromosomes, on ne changer que l'apparence, c'est une sorte de travestissement mais sans retour en arrière possible.
Les enfants et adolescents sont les principales cibles des tenants de ce mirage. Ces derniers sèment la confusion dans l'esprit d'enfants qui ont besoin de repères.
Les enfants entrent à peine dans la puberté qu'on les déstabilise avec des cas très particuliers. Lors de la période floue de l’adolescence on constate l'existence de fragilités psychologiques. Un adolescent qui se sent mal dans sa peau, c'est-à-dire la grande majorité, peut, influencé par la propagande ambiante, se demander s'il ne devrait pas changer de sexe. Dans neuf cas sur dix, ce sera une très mauvaise idée.
La protection de l’enfant et la préservation de son intégrité physique et psychique obligent à être très prudent.
Les jeunes qui s 'aventurent dans ce jeu dangereux peuvent changer d'avis et vouloir revenir à l'état initial. Ce n'est pas possible. Quand ils auront 50 ou 60 ans et qu'à ce moment là la mode transgenre aura disparu on ne verra qu'une chose : derrière leur apparence d'homme, la femme apparaîtra, derrière leur apparence de femme, l'homme apparaîtra
Mais qui leur a mis ce poison et ces psychoses dans le cerveau ? C’est de l’embrigadement idéologique à l’état pur et ce sont les adultes les coupables. Un enfant est un innocent. Il y’a un très bon livre qui s’appelle La fabrique de l’enfant transgenre de Caroline Eliacheff et Céline Masson.
« Aux États-Unis, mais aussi en Europe, les demandes de changement de sexe chez les enfants et surtout les adolescents augmentent depuis plusieurs années. Les psychanalystes Caroline Eliacheff et Céline Masson alertent sur les dérives du « transgenrisme » chez les mineurs. Le poids de la culture LGBTQI et l’influence des réseaux sociaux ont donné une visibilité nouvelle à la « dysphorie de genre », ou sentiment d’être né dans le « mauvais corps ». Émancipation progressiste ou phénomène d’embrigadement idéologique ? Outre que les traitements hormonaux et chirurgicaux feraient d’un enfant sain un patient à vie, la réponse affirmative trop rapide à ce désir de changement de sexe risque aussi de porter atteinte à sa construction psychique. Nombreuses sont les voix (trop souvent étouffées) qui avouent regretter cette transition tandis que plusieurs pays reviennent sur la prescription précoce de bloqueurs de puberté et d’hormones antagonistes. Au nom de la protection de l’enfant, Caroline Eliacheff et Céline Masson dénoncent un prétendu « droit à l’autodétermination » qui occulte et instrumentalise les souffrances des adolescents. »
Répétons-le inlassablement : LA PSEUDO THÉORIE DU GENRE N’A STRICTEMENT AUCUN FONDEMENT SCIENTIFIQUE. La vérité est dans la science, c’est-à-dire dans la génétique. Cette discipline est le fruit d’une centaine d’années d’investigations par des MILLIERS de chercheuses et chercheurs à travers le monde. Toutes ces personnes ont consacré leur vie à l’étude de ce domaine scientifique. Et ils sont tous d’accord sur le fait que notre sexe est défini dès notre première cellule diploïde résultant de la combinaison du spermatozoïde et de l’ovule, et qu’ensuite chacune de nos cellules diploïdes est marquée femme XX ou homme XY comme la première. Voilà un résultat clair, simple et net. Par conséquent : ON NE PEUT PAS CHANGER DE SEXE.
Ceci étant, il est clair en effet que le PACS, suivi du mariage pour tous, puis maintenant de la pseudo théorie du genre va dans le même sens : "officialiser le confusionnisme sexuel pour imposer l’installation du transgenrisme, dernier avatar de cette politique d’indifférenciation sexuelle". Le trangenrisme est une fumisterie en contradiction avec les connaissances de la génétique. Cependant, répété en boucle dans les médias, il devient une menace, car, comme l’expliquait déjà Josef Goebbels dans les années trente, "un mensonge répété 4 fois reste un mensonge, mais répété 100 fois devient vérité". Là est le danger.
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